Anton Ep 7 Un désir d'enfant
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anton Ep 7 Un désir d'enfant
Anton Ep 7 Un désir d'enfant
Pour la première fois depuis le big bang, sur une idée de Junior, voici la suite des aventures de Anton ( Tooni ) . L'idée originale est de Junior, les cascades et la chorégraphie sont de Charly … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existe est absolument fortuite )
C'est là que vous apprendrez peut être comment on fait les bébés …
Tooni s'était parfaitement adapté à sa nouvelle vie. Il aimait bien les marques de respect que tout le monde lui montrait. Dans la caserne tout le monde le connaissait, tout le monde le saluait quand il passait, surtout les gardes de grades subalternes. Mais les officiers aussi lui montraient du respect et beaucoup de sympathie, c'était le mari du chef de la caserne !
Les mois passaient avec une certaine monotonie. Le logement était grand. Il avait aménagé une grande maison à proximité de la caserne. Là il se sentait mieux, il se sentait chez lui. C'est sans aucune difficulté qu'il avait convaincu son époux de ne plus loger à la caserne. Guss avait installé un bureau dans une aile de la maison, et le matin, cette partie de la maison ressemblait plus à une annexe de la caserne qu'à une maison bourgeoise. Mais le reste de la journée, Guss était à la caserne et Tooni devenait le maître de maison. Ils avaient trois serviteurs de cran onze ( des toutes petites bites ) qui portaient bien sûr un dispositif de chasteté.
Tooni avait adopté la tenu de son mari qui était plus dévêtu que vêtu. Guss ne portait généralement qu'un ceinturon avec un kilt en lanière de cuir très courtes, des sandales et une cape … Il était beau Guss, il le savait et surtout, il évitait de le cacher. Tooni pour sortir portait une tunique délicatement ajustés et très ouverte sur le torse, pas trop courte, on pouvait apercevoir son dispositif de chasteté par moments, selon les mouvements qu'il faisait. Mais à la maison il avait une tenus plus légère.
Là Tooni, tout comme son marie portait un kilt très court, on pouvait voir très facilement ses couilles qui formait une sorte de boule dure, c'est l'effet que donnait le cockring et la cage en ivoire de dentosaure ( vous vous rendez compte, ivoire de dentosaure ! J'arrive pas à y croire, NDL ) très rare, très cher, très luxueux, très définitif. Il ne la retirerait jamais ! Quand il était détendu, je veux dire par là, quand il ne bandait pas, que sa queue ne manifestait pas, ses couilles pendaient mollement mais quand la pression montait …
Il faut bien savoir que même après des mois à porter le dispositif de chasteté, chez beaucoup d'homme la queue ne se calme pas. Certains n'ont plus du tout ou plus que très peu d'érections mais d'autres conservent les érections quotidiennes. La nuit en particulier, mais aussi dans la journée à la suite d'une stimulation. Tooni avait de nombreuses stimulations.
Son mari Guss, en particulier, qui avait des proportion magnifique et une queue effrayante qui pendait lourdement en dessous de son kilt. Il en avait étudié la longueur et il ne voulait surtout pas que le kilt soit trop long. Un petit coquin ce Guss. Il y avait aussi les gardes à la caserne, en général dans la journée, lors des entraînements ils ne portaient rien en dessous de la ceinture, et le plus souvent rien au dessus non plus …
Tooni ne s'en plaignait pas, à chaque fois qu'il voyait entrer Guss, sa queue manifestait. Il bandait dans sa cage. Pour lui c'était déjà une sensation agréable, le dispositif tentait de se relever, ses couilles se serraient et formaient une grosse boule bien ferme qui glissait contre ses cuisses quand il marchait. Mais rien ne se voyait. Ou presque.
Dans la journée aussi, il croisait des homes qui s'habillait à l'image de Gusss, c'est à dire le plus haut possible en dessous de la ceinture. Les visiteurs, qui passaient au bureau de Guss, enfin les visiteurs militaires. On tolérait bien des choses pour ceux qui avaient une grosse bite. Il y avait des tuniques qu'on pouvait porter totalement ouvertes sur le devant.
Tooni adorait ce modèle mais il hésitait, c'est vrai qu'avec le dispositif en ivoire de dentosaure, ça faisait son effet. Il avait essayé une tunique de ce genre mais il préférait réfléchir, son prix était un peu élevé.
Avec tout ça, Tooni était chaud du cul pratiquement en permanence. Heureusement Guss lui était chaud de la bite presque tout le temps. Il n'était pas rare que quand Guss entrait à la maison le soir il bandait rien qu'en voyant son mari. A ce moment Tooni n'attendait pas, il savait se dévouer pour son mari celui là. Il y avait un grand réservoir d'eau chaude qui était prêt, Tooni d'un geste de la main donnait l'ordre de faire couler un bain.
Tooni retirait la cape de son époux, la suspendait avec délicatesses pour ne pas la froisser à un coussin accroché au mur. Donnait en même temps un baiser très doux dans le coup de son mari. Il y mettait une grande douceur, il faisait déjà monter le désir, le plaisir ce serait pour plus tard. Un tout petit peu plus tard.
Avec des gestes lents, il se plaçait devant son mari, il donnait une ou deux caresses de la main. Puis glissant lentement sa main sur son ventre du haut vers le bas il lui retirait son ceinturon. Déjà la queue de Guss se redressait avec fierté. Il n'en fallait pas plus pour réveiller Guss, réveiller ses désirs. Pendant la journée il avait joué les gros bras, les beaux mâle hyper viril. Pendant toute la journée il s'était baladé la queue à l'air, qui se balançait lourdement. Pendant toute la journée il l'avait senti, il avait contrôlé son désir et s'il n'avait pas souvent totalement débandé, il n'avait pas pour autant bandé une seule fois.
Pendant toute la journée il avait gardé cette grosse molle prête à se redresser, et là il avait son mari en face de lui qui lui souriait. Il se laissait aller, il consommait déjà le plaisir de sentir son membre se redresser, il ressentait déjà le plaisir d'un contact physique avec une personne qu'il désirait et qui se faisait désirer.
Tooni lui prenait alors la main et le conduisait au bain. C'était une large baignoire enfoncée dans le sol, quelques marche permettait d'y entrer sans effort et quand Guss s'allongeait, sa queue se redressait avec force contre son ventre.
Tooni se déshabillait ensuite, ce qui ne prenait pas beaucoup de temps... Comme je vous le disais il ne portait pas grand chose sur le dos quand il restait à la maison, et à peine plus quand il sortait c'est vrai !
Ensuite il entrait dans le bain, et avec une immense douceur il caressait son époux, lui passais ce shampooing qui sentait si bon et donnait la peau si douce. C'était un produit très agréable que lui préparait l’apothicaire, il était délicieusement parfumé et laissait la peau douce, les poils aussi devenaient doux.
Tooni caressait la queue de Guss, là il ne la suçait pas car si ce produit sent terriblement bon et laisse une sensation de douceur, il a très mauvais goût.
Guss rendait à Tooni toutes les caresses qu'il recevait de lui, il insistait sur ses couille. Tooni lui avait dit qu'il aimait cette sensation de sentir ses couilles frotter contre l'intérieur de ses cuisses après le bain.
C'est finalement enlacés, chacun dans les bras de l'autre. Guss était allongé sur le sol confortablement installé, la tête posée sur un coussin. Tooni s'était allongé sur le corps musclé de son époux, ils s'embrassaient.
Rapidement Tooni prenait la queue de son mari dans la bouche, Guss appuyait sur la tête de Tooni. C'est un jeu qui les amusait tous les deux. Tooni parvenait à avaler sans difficulté la très belle queue de Guss. Il parvenait maintenant à maintenir la position pendant de longues, de très longues secondes.
'' Le plus dure, disait-il, c'est de couper sa respiration ! Ça limite. Sinon je pourrais tenir des heures … ''
On peut légitimement se demander s'il n'abusait pas un peu mais c'est vrai qu'il avalait la queue de Guss avec une étonnante facilité maintenant qu'il avait quelques mois d'entraînement. C'est vrai aussi qu'il aimait ça.
Il avalait le grand membre virile de son compagnon, il était doux, de grosse taille mais doux. Il aimait le sentir glisser contre sa langue, il aimait passer sa langue tout autour pendant de longues minutes. Guss gémissait de plaisir et en redemandait. Il appuyait sur le tête de Tooni, le maintenait avec force pendant le plus longtemps possible. Il savait deviner à quel moment il fallait le relâcher.
Tooni relevait alors la tête, essoufflé il toussait, il râlait un peu quelquefois, Guss l'embrassait alors avec tendresse sans pour autant cacher son amusement puis Tooni recommençait .
Au bout d'un long moment Guss tendait à son époux un produit lubrifiant, les pauvres utilisent du beurre mais dans cette maison on préférait les onguents de chez l’apothicaire. Tooni se lubrifiait longuement le cul, en mettait un peu sur la queue de son mari, puis prenait position pour s'asseoir sur son membre viril.
Gus adorait voir le visage de Tooni au moment ou il sentait son anus se dilater et envelopper sa queue. Il faisait une grimace à cet instant ou la bite de Guss s'enfonçait en lui.
Guss sentait sa queue stimuler à l’extrême, il la sentait brusquement confinée, terriblement serrée, à chaque fois il avait l'impression que le cul de Tooni était trop étroit et que ça ne rentrerait pas. Il n'était pas trop étroit Tooni, c'était seulement Guss qui était très large.
Tooni se sentait envahi, il sentait son anus se dilater, ce n'était pas douloureux, au contraire, mais à chaque fois il avait l'impression que son anus s'était dilaté à la limite qu'il allait déchirer. Dans sa tête c'était la folie.
Puis quand ses fesses s'écrasaient sur le ventre de son mari il avait l'impression qu'il allait exploser.
Guss se relevait, assis maintenant sur ses fesses, il serrait contre lui le corps de Tooni qui repliait ses jambes dans le dos de Guss. Tonni reposait alors de tout son poids sur la queue de son mari. Une queue énorme qui lui fouillait les entrailles. Il était empalé, et ne pouvait plus se libérer si Gus s'y opposait.
C'est à ce moment que Gus commençait à balancer son bassin d'avant en arrière, c'est à ce moment que Tooni le plus souvent hurlait de plaisir. Quelquefois il n'y avait pas que du plaisir mais ça aussi, ça faisait partie du plaisir. Quelquefois Tooni hurlait, et quand il ne hurlait pas il gémissait, il gémissait même très fort.
Il se cramponnait au cou de son mari. Il y avait toujours un moment ou il finissait par perdre tout contrôle de la situation, à ce moment il s'abandonnait totalement, en toute confiance à son mari.
Guss Repliait ses jambes en tailleur et les mouvement de son bassin devenaient plus violents. De nouveau Tooni hurlait, gueulait, mais là ce n'était plus que de plaisir. Il lui arrivait de juter à ce moment. Ça pouvait durer très longtemps, il pouvait juter ainsi. Il n'était pas rare qu'il ne s'en rende même pas compte ou très peu.
Quand il jouissait, car il jouissait ça c'est sûr, c'était avec son cul. Avec sa peau aussi. Le contacte de la peau de Guss, lisse et tellement douce après le bain. Les lèvres de Guss embrassait la gorge de Tooni, il le mordait aussi, histoire de rigoler. Pas pour lui faire mal, il ne mordait pas trop fort, il lui suçait en même temps et lui laissait un suçon. Il aimait voir cette trace rouge qui mettait un long moment à disparaître l'amusait beaucoup le lendemain matin. Mais il ne le faisait pas à chaque fois heureusement.
Guss appuyait ses jambes contre le sol et se soulevait, Tooni se soulevait en même temps poussé par la queue de Guss qui était arrivé au fond de son corps. Tooni hurlait et si jamais c'était de douleur, Guss savait le deviner et retenait alors ses mouvements. À cet instant chacun des deux ne pensait qu'à donner du plaisir à l'autre avant de prendre son propre plaisir.
Il paraît que c'est ça l'amour.
Tooni faisait d'orribles grimaces, il manquait d'air, il se cramponnait, il se retenait au cou de Guss.
Guss gémissait également, fort, de plus en plus fort. Il respirait d'une manière désordonnée. Leurs cœurs battaient vite, il battaient très vite, à la même vitesse, avec la même force. Ils s'embrassait avec passion.
Quand Guss relevait la tête c'était pour hurler de plaisir, il jutait, il jouissait. Tooni répondait alors par une série de mouvement de panique, il jouissait lui aussi, même si dans son cas ça faisait déjà un moment que ça avait commencé.
C'est en tremblant que Tooni se cramponnait de nouveau de toutes ses force à son mari, il cachait son visage contre lui.
Guss était pris de quelques convulsions, Tooni se serrait alors encore plus fort puis comprenait que Guss rigolait. Il écartait la tête, lui n'avait pas envie de rigoler. Il avait une bite énorme garé dans son cul et il la sentait bien, elle ne lui donnait pas que du plaisir …
– Et bien bonhomme, tu es toujours aussi en forme je vois !
C'était Maaro dont Tooni reconnaissait la voix tout de suite.
– Ah Tooni, j'ai oublié de te prévenir que ce soir nous aurons deux invités. Rajoutait Guss.
Le second invité était Redy. Tooni les connaissait bien. Ils l'avaient tous les deux essayé à plusieurs reprises. On est comme ça entre militaire, on se prête son mari sans faire trop de manières.
Guss soulevait Tooni et le dégageait. Il le laissait ensuite lui laver la bite avant de se relever et de rejoindre ses invités. Il ne prenait pas la peine de se rhabiller mais personne ne s'en offusquait.
Tooni les retrouvait un peu plus tard, il avait mis une tunique ouverte très courte qui ne cachait ni ses couilles ni son dispositif en ivoire de dentosaure.
Tooni supervisait le service, c'était son rôle quand ils recevaient. Il s'installait en face de son époux Guss, ainsi il pouvait voir tout ce qui se passait à table et donnait les consignes aux serviteurs.
Rédi avait décidé de se marier, il demandait quelques conseils à Tooni. Lui demandant s'il ne connaissait pas une petite bite au cul gourmand.
Maaro était venu seul, c'était rare, en règle général, les militaires mariés sortent avec leurs époux. Mais Maaro expliquait.
– Comme tu as pu voir Guss, je suis venu sans Addji car je voudrais lui faire une surprise. Il m'a dit il y a quelques temps qu'il aimerait avoir un enfant, Si tu pouvais nous organiser ça le plus discrètement possible. C'est pour cela que je ne voulais pas t'en parler à la caserne, il aurait été au courant dans la minute.
Puis se retournant vers Tooni.
– Et toi tu ne lui dit rien surtout, je compte sur toi, tu gâcherais la surprise.
Tooni promettait et rajoutais.
– Addji m'en avait parlé, si tu veux Maaro je lui dirai que la période ne s'y prête pas, qu'il faut attendre au moins la prochaine année lunaire et que j'ai fait moi-aussi une demande officielle à mon époux …– C'est une très bonne idée. Lui répondait Maaro.
– Quoi donc, attendre la prochaine année lunaire ou faire une demande officielle … ? Pour cela il faudrait demander à Guss ce qu'il en pense …
Tous les regards se portaient alors vers Guss, il avait une cuisse de volaille dans la bouche et se régalait. Brusquement il ne bougeait plus, il regardait Maaro, Rédy puis Tooni …
Tu voudrais avoir un enfant ? Demandait-il à Tooni …
…
Ceux qui s'attendaient à la réponse, à : '' comment on fait les bébés ? '', devront attendre le prochain épisode …
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pour la première fois depuis le big bang, sur une idée de Junior, voici la suite des aventures de Anton ( Tooni ) . L'idée originale est de Junior, les cascades et la chorégraphie sont de Charly … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existe est absolument fortuite )
C'est là que vous apprendrez peut être comment on fait les bébés …
Tooni s'était parfaitement adapté à sa nouvelle vie. Il aimait bien les marques de respect que tout le monde lui montrait. Dans la caserne tout le monde le connaissait, tout le monde le saluait quand il passait, surtout les gardes de grades subalternes. Mais les officiers aussi lui montraient du respect et beaucoup de sympathie, c'était le mari du chef de la caserne !
Les mois passaient avec une certaine monotonie. Le logement était grand. Il avait aménagé une grande maison à proximité de la caserne. Là il se sentait mieux, il se sentait chez lui. C'est sans aucune difficulté qu'il avait convaincu son époux de ne plus loger à la caserne. Guss avait installé un bureau dans une aile de la maison, et le matin, cette partie de la maison ressemblait plus à une annexe de la caserne qu'à une maison bourgeoise. Mais le reste de la journée, Guss était à la caserne et Tooni devenait le maître de maison. Ils avaient trois serviteurs de cran onze ( des toutes petites bites ) qui portaient bien sûr un dispositif de chasteté.
Tooni avait adopté la tenu de son mari qui était plus dévêtu que vêtu. Guss ne portait généralement qu'un ceinturon avec un kilt en lanière de cuir très courtes, des sandales et une cape … Il était beau Guss, il le savait et surtout, il évitait de le cacher. Tooni pour sortir portait une tunique délicatement ajustés et très ouverte sur le torse, pas trop courte, on pouvait apercevoir son dispositif de chasteté par moments, selon les mouvements qu'il faisait. Mais à la maison il avait une tenus plus légère.
Là Tooni, tout comme son marie portait un kilt très court, on pouvait voir très facilement ses couilles qui formait une sorte de boule dure, c'est l'effet que donnait le cockring et la cage en ivoire de dentosaure ( vous vous rendez compte, ivoire de dentosaure ! J'arrive pas à y croire, NDL ) très rare, très cher, très luxueux, très définitif. Il ne la retirerait jamais ! Quand il était détendu, je veux dire par là, quand il ne bandait pas, que sa queue ne manifestait pas, ses couilles pendaient mollement mais quand la pression montait …
Il faut bien savoir que même après des mois à porter le dispositif de chasteté, chez beaucoup d'homme la queue ne se calme pas. Certains n'ont plus du tout ou plus que très peu d'érections mais d'autres conservent les érections quotidiennes. La nuit en particulier, mais aussi dans la journée à la suite d'une stimulation. Tooni avait de nombreuses stimulations.
Son mari Guss, en particulier, qui avait des proportion magnifique et une queue effrayante qui pendait lourdement en dessous de son kilt. Il en avait étudié la longueur et il ne voulait surtout pas que le kilt soit trop long. Un petit coquin ce Guss. Il y avait aussi les gardes à la caserne, en général dans la journée, lors des entraînements ils ne portaient rien en dessous de la ceinture, et le plus souvent rien au dessus non plus …
Tooni ne s'en plaignait pas, à chaque fois qu'il voyait entrer Guss, sa queue manifestait. Il bandait dans sa cage. Pour lui c'était déjà une sensation agréable, le dispositif tentait de se relever, ses couilles se serraient et formaient une grosse boule bien ferme qui glissait contre ses cuisses quand il marchait. Mais rien ne se voyait. Ou presque.
Dans la journée aussi, il croisait des homes qui s'habillait à l'image de Gusss, c'est à dire le plus haut possible en dessous de la ceinture. Les visiteurs, qui passaient au bureau de Guss, enfin les visiteurs militaires. On tolérait bien des choses pour ceux qui avaient une grosse bite. Il y avait des tuniques qu'on pouvait porter totalement ouvertes sur le devant.
Tooni adorait ce modèle mais il hésitait, c'est vrai qu'avec le dispositif en ivoire de dentosaure, ça faisait son effet. Il avait essayé une tunique de ce genre mais il préférait réfléchir, son prix était un peu élevé.
Avec tout ça, Tooni était chaud du cul pratiquement en permanence. Heureusement Guss lui était chaud de la bite presque tout le temps. Il n'était pas rare que quand Guss entrait à la maison le soir il bandait rien qu'en voyant son mari. A ce moment Tooni n'attendait pas, il savait se dévouer pour son mari celui là. Il y avait un grand réservoir d'eau chaude qui était prêt, Tooni d'un geste de la main donnait l'ordre de faire couler un bain.
Tooni retirait la cape de son époux, la suspendait avec délicatesses pour ne pas la froisser à un coussin accroché au mur. Donnait en même temps un baiser très doux dans le coup de son mari. Il y mettait une grande douceur, il faisait déjà monter le désir, le plaisir ce serait pour plus tard. Un tout petit peu plus tard.
Avec des gestes lents, il se plaçait devant son mari, il donnait une ou deux caresses de la main. Puis glissant lentement sa main sur son ventre du haut vers le bas il lui retirait son ceinturon. Déjà la queue de Guss se redressait avec fierté. Il n'en fallait pas plus pour réveiller Guss, réveiller ses désirs. Pendant la journée il avait joué les gros bras, les beaux mâle hyper viril. Pendant toute la journée il s'était baladé la queue à l'air, qui se balançait lourdement. Pendant toute la journée il l'avait senti, il avait contrôlé son désir et s'il n'avait pas souvent totalement débandé, il n'avait pas pour autant bandé une seule fois.
Pendant toute la journée il avait gardé cette grosse molle prête à se redresser, et là il avait son mari en face de lui qui lui souriait. Il se laissait aller, il consommait déjà le plaisir de sentir son membre se redresser, il ressentait déjà le plaisir d'un contact physique avec une personne qu'il désirait et qui se faisait désirer.
Tooni lui prenait alors la main et le conduisait au bain. C'était une large baignoire enfoncée dans le sol, quelques marche permettait d'y entrer sans effort et quand Guss s'allongeait, sa queue se redressait avec force contre son ventre.
Tooni se déshabillait ensuite, ce qui ne prenait pas beaucoup de temps... Comme je vous le disais il ne portait pas grand chose sur le dos quand il restait à la maison, et à peine plus quand il sortait c'est vrai !
Ensuite il entrait dans le bain, et avec une immense douceur il caressait son époux, lui passais ce shampooing qui sentait si bon et donnait la peau si douce. C'était un produit très agréable que lui préparait l’apothicaire, il était délicieusement parfumé et laissait la peau douce, les poils aussi devenaient doux.
Tooni caressait la queue de Guss, là il ne la suçait pas car si ce produit sent terriblement bon et laisse une sensation de douceur, il a très mauvais goût.
Guss rendait à Tooni toutes les caresses qu'il recevait de lui, il insistait sur ses couille. Tooni lui avait dit qu'il aimait cette sensation de sentir ses couilles frotter contre l'intérieur de ses cuisses après le bain.
C'est finalement enlacés, chacun dans les bras de l'autre. Guss était allongé sur le sol confortablement installé, la tête posée sur un coussin. Tooni s'était allongé sur le corps musclé de son époux, ils s'embrassaient.
Rapidement Tooni prenait la queue de son mari dans la bouche, Guss appuyait sur la tête de Tooni. C'est un jeu qui les amusait tous les deux. Tooni parvenait à avaler sans difficulté la très belle queue de Guss. Il parvenait maintenant à maintenir la position pendant de longues, de très longues secondes.
'' Le plus dure, disait-il, c'est de couper sa respiration ! Ça limite. Sinon je pourrais tenir des heures … ''
On peut légitimement se demander s'il n'abusait pas un peu mais c'est vrai qu'il avalait la queue de Guss avec une étonnante facilité maintenant qu'il avait quelques mois d'entraînement. C'est vrai aussi qu'il aimait ça.
Il avalait le grand membre virile de son compagnon, il était doux, de grosse taille mais doux. Il aimait le sentir glisser contre sa langue, il aimait passer sa langue tout autour pendant de longues minutes. Guss gémissait de plaisir et en redemandait. Il appuyait sur le tête de Tooni, le maintenait avec force pendant le plus longtemps possible. Il savait deviner à quel moment il fallait le relâcher.
Tooni relevait alors la tête, essoufflé il toussait, il râlait un peu quelquefois, Guss l'embrassait alors avec tendresse sans pour autant cacher son amusement puis Tooni recommençait .
Au bout d'un long moment Guss tendait à son époux un produit lubrifiant, les pauvres utilisent du beurre mais dans cette maison on préférait les onguents de chez l’apothicaire. Tooni se lubrifiait longuement le cul, en mettait un peu sur la queue de son mari, puis prenait position pour s'asseoir sur son membre viril.
Gus adorait voir le visage de Tooni au moment ou il sentait son anus se dilater et envelopper sa queue. Il faisait une grimace à cet instant ou la bite de Guss s'enfonçait en lui.
Guss sentait sa queue stimuler à l’extrême, il la sentait brusquement confinée, terriblement serrée, à chaque fois il avait l'impression que le cul de Tooni était trop étroit et que ça ne rentrerait pas. Il n'était pas trop étroit Tooni, c'était seulement Guss qui était très large.
Tooni se sentait envahi, il sentait son anus se dilater, ce n'était pas douloureux, au contraire, mais à chaque fois il avait l'impression que son anus s'était dilaté à la limite qu'il allait déchirer. Dans sa tête c'était la folie.
Puis quand ses fesses s'écrasaient sur le ventre de son mari il avait l'impression qu'il allait exploser.
Guss se relevait, assis maintenant sur ses fesses, il serrait contre lui le corps de Tooni qui repliait ses jambes dans le dos de Guss. Tonni reposait alors de tout son poids sur la queue de son mari. Une queue énorme qui lui fouillait les entrailles. Il était empalé, et ne pouvait plus se libérer si Gus s'y opposait.
C'est à ce moment que Gus commençait à balancer son bassin d'avant en arrière, c'est à ce moment que Tooni le plus souvent hurlait de plaisir. Quelquefois il n'y avait pas que du plaisir mais ça aussi, ça faisait partie du plaisir. Quelquefois Tooni hurlait, et quand il ne hurlait pas il gémissait, il gémissait même très fort.
Il se cramponnait au cou de son mari. Il y avait toujours un moment ou il finissait par perdre tout contrôle de la situation, à ce moment il s'abandonnait totalement, en toute confiance à son mari.
Guss Repliait ses jambes en tailleur et les mouvement de son bassin devenaient plus violents. De nouveau Tooni hurlait, gueulait, mais là ce n'était plus que de plaisir. Il lui arrivait de juter à ce moment. Ça pouvait durer très longtemps, il pouvait juter ainsi. Il n'était pas rare qu'il ne s'en rende même pas compte ou très peu.
Quand il jouissait, car il jouissait ça c'est sûr, c'était avec son cul. Avec sa peau aussi. Le contacte de la peau de Guss, lisse et tellement douce après le bain. Les lèvres de Guss embrassait la gorge de Tooni, il le mordait aussi, histoire de rigoler. Pas pour lui faire mal, il ne mordait pas trop fort, il lui suçait en même temps et lui laissait un suçon. Il aimait voir cette trace rouge qui mettait un long moment à disparaître l'amusait beaucoup le lendemain matin. Mais il ne le faisait pas à chaque fois heureusement.
Guss appuyait ses jambes contre le sol et se soulevait, Tooni se soulevait en même temps poussé par la queue de Guss qui était arrivé au fond de son corps. Tooni hurlait et si jamais c'était de douleur, Guss savait le deviner et retenait alors ses mouvements. À cet instant chacun des deux ne pensait qu'à donner du plaisir à l'autre avant de prendre son propre plaisir.
Il paraît que c'est ça l'amour.
Tooni faisait d'orribles grimaces, il manquait d'air, il se cramponnait, il se retenait au cou de Guss.
Guss gémissait également, fort, de plus en plus fort. Il respirait d'une manière désordonnée. Leurs cœurs battaient vite, il battaient très vite, à la même vitesse, avec la même force. Ils s'embrassait avec passion.
Quand Guss relevait la tête c'était pour hurler de plaisir, il jutait, il jouissait. Tooni répondait alors par une série de mouvement de panique, il jouissait lui aussi, même si dans son cas ça faisait déjà un moment que ça avait commencé.
C'est en tremblant que Tooni se cramponnait de nouveau de toutes ses force à son mari, il cachait son visage contre lui.
Guss était pris de quelques convulsions, Tooni se serrait alors encore plus fort puis comprenait que Guss rigolait. Il écartait la tête, lui n'avait pas envie de rigoler. Il avait une bite énorme garé dans son cul et il la sentait bien, elle ne lui donnait pas que du plaisir …
– Et bien bonhomme, tu es toujours aussi en forme je vois !
C'était Maaro dont Tooni reconnaissait la voix tout de suite.
– Ah Tooni, j'ai oublié de te prévenir que ce soir nous aurons deux invités. Rajoutait Guss.
Le second invité était Redy. Tooni les connaissait bien. Ils l'avaient tous les deux essayé à plusieurs reprises. On est comme ça entre militaire, on se prête son mari sans faire trop de manières.
Guss soulevait Tooni et le dégageait. Il le laissait ensuite lui laver la bite avant de se relever et de rejoindre ses invités. Il ne prenait pas la peine de se rhabiller mais personne ne s'en offusquait.
Tooni les retrouvait un peu plus tard, il avait mis une tunique ouverte très courte qui ne cachait ni ses couilles ni son dispositif en ivoire de dentosaure.
Tooni supervisait le service, c'était son rôle quand ils recevaient. Il s'installait en face de son époux Guss, ainsi il pouvait voir tout ce qui se passait à table et donnait les consignes aux serviteurs.
Rédi avait décidé de se marier, il demandait quelques conseils à Tooni. Lui demandant s'il ne connaissait pas une petite bite au cul gourmand.
Maaro était venu seul, c'était rare, en règle général, les militaires mariés sortent avec leurs époux. Mais Maaro expliquait.
– Comme tu as pu voir Guss, je suis venu sans Addji car je voudrais lui faire une surprise. Il m'a dit il y a quelques temps qu'il aimerait avoir un enfant, Si tu pouvais nous organiser ça le plus discrètement possible. C'est pour cela que je ne voulais pas t'en parler à la caserne, il aurait été au courant dans la minute.
Puis se retournant vers Tooni.
– Et toi tu ne lui dit rien surtout, je compte sur toi, tu gâcherais la surprise.
Tooni promettait et rajoutais.
– Addji m'en avait parlé, si tu veux Maaro je lui dirai que la période ne s'y prête pas, qu'il faut attendre au moins la prochaine année lunaire et que j'ai fait moi-aussi une demande officielle à mon époux …– C'est une très bonne idée. Lui répondait Maaro.
– Quoi donc, attendre la prochaine année lunaire ou faire une demande officielle … ? Pour cela il faudrait demander à Guss ce qu'il en pense …
Tous les regards se portaient alors vers Guss, il avait une cuisse de volaille dans la bouche et se régalait. Brusquement il ne bougeait plus, il regardait Maaro, Rédy puis Tooni …
Tu voudrais avoir un enfant ? Demandait-il à Tooni …
…
Ceux qui s'attendaient à la réponse, à : '' comment on fait les bébés ? '', devront attendre le prochain épisode …
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