Anton Gaté Ep01 Futur Chastisan - histoire érotique

Anton Gaté Ep01
Futur Chastisan


Cette histoire se passe dans le monde de Anton … Une petite série de 14 épisodes que je vous conseille de lire si ce n'est déjà fait …



Gastoliphan Théodolyfrène était un charmant jeune homme il avait fait sa validation depuis peu et tout comme son ami Guni avait obtenu un joli vingt trois.

Gastoliphan Théo … Oui bon on ne va continuer comme ça pendant cinquante pages. Nous appellerons désormais notre héro Gaté. C'est d'ailleurs ce que tout le monde faisait, c'est plus court et ça ne compliquera en rien l'histoire .

Reprenons …

Gaté connaissait Guni depuis toujours, ils avaient à peut près le même âge. Ils avaient le même cran, un beau vingt trois chacun. D'accord c'était Guni le plus actif et Gaté s'en souvenait.

A l'âge de quatorze ans Guni se lançait dans les études supérieures, il était alors un beau jeune homme qui approchait de l'âge adulte et Gaté faisait des études d'art.

Compte tenu de leur cran, on leur proposait une carrière militaire tout mais les deux jeunes hommes n'étaient pas attirés par l'uniforme. Enfin le ceinturon, l'uniforme se limitait souvent à un ceinturon.

Guni était très assidu dans ses études mais ce n'était pas le cas de Gaté. Il aimait traîné, on le remarquait en particulier dans le quartier ou travaillait le Chastisan.

Vous ne connaissez pas ? C'est l'artisan qui fabriquait les dispositifs de chasteté que portait environ la moitié des hommes dans ce monde. Pour faire carrière il fallait en porter un, pour se marier aussi, à moins d'avoir un cran élevé.

Il en avait un de vingt trois, donc il n'était pas concerné par ces dispositif. Plus tard bien sûr son mari en porterait un, mais plus tard, s'il a une petite bite. C'est ainsi que les choses marchaient dans ce monde.

Mais voilà Gaté était fasciné par ces objets, surtout les plus beaux, les plus sophistiqués, les plus travaillé.

Bien sûr il y avait le dispositif en ivoire de dentosaures. Particulièrement coûteux et haut de gamme. Gaté admirait la manière dont travaillaient les ouvriers et tout particulièrement le Maître Chastisan. Il avait fait son chef d’œuvre, il le portait, c'était le travail qu'il avait présenté pour obtenir le titre de Maître Chastisan.

Bien sûr il ne le quittait jamais. Son modèle était spécial, il ne pouvait pas l'ouvrir, il ne pourrait jamais le retirer. L'objet était magnifique en ivoire végétale et ivoire de Dentosaure. Cette dernière matière était tellement chère qu'il avait fait son modèle en mélangeant les deux matières.

Chastisan était un métier respecté, et même si le plus souvent, il portait un petit chiffre tatoué sur l'épaule. Même un petit douze ne l'empêchait pas d'être très respecté.

Aucun Chastisan n'était d'un cran élevé, c'était comme ça. Les hommes qui étaient d'un cran élevé et donc avait une grosse bite faisaient d'autres choix de carrière. Ceux qui étaient doué de leurs mains et avaient une petite bite pouvaient en choisissant cette profession obtenir un statut dans la société.

Il y avait aussi le Maître Horloger, lui il avait une grosse bite, un cran de vingt. Mais dans cette profession on n'était pas obligé de porter une cage à bite, enfin si on avait une grosse bite mais pour être Chastisan, là il fallait porter la cage à bite, c'était obligatoire.

Gaté était très habile de ses mains. Mais c'étaient les cages à bites qui le passionnaient. Ses deux père s'en désolaient. L'un était d'un cran de quinze et l'autre un petit douze. Pour eux, leur enfant était un don du ciel, grâce à lui ils gagnaient en prestige.

Militaire aurait été une très bonne situation pour eux comme pour leur fils. Enfin depuis quelques années, tout change, comme je vous en parlais dans une autre histoire ( Docteur Guni ).

Gaté délaissait son travail à l'école de sculpture et passait ses journées dans l'atelier du Chastisan. Il y avait trois apprentis, c'était des jeunes, il apprenaient le métier. Ils n'étaient que moyennement doués et le Chastisan ne s'attendait pas à les voir faire une grande carrière. Selon lui aucun n'avait le talent pour terminer au grade de Maître.

Gaté sympathisait rapidement avec le Maître. C'est lui qui avait fabriqué le cage de chasteté de Tooni un des pères de Guni, elle était entièrement en ivoire de Dentosaure ( vous vous rendez compte !!! ). C'était une merveille, il ne la cachait que très peu. Il avait une tunique très bien taillée qui s'arrêtait au niveau de la ceinture, bien au dessus de sa cage.

La présence de Gaté dans l'atelier ne surprenait personne, les clients qui le voyaient supposaient qu'il allait se marier et qu'il choisissait un dispositif pour son époux et les apprentis aimaient bien le regarder.

Contrairement à toute l'équipe qui portait une cage à bite, lui, portait une grosse queue bien longue, bien large, bien épaisse qui se balançait entre ses jambes. Il donnait toujours l'impression de bander, de bander mou mais de bander. C'était comme une grosse molle qu'on avait envie de malaxer de tripoter et de sucer.

Tous les hommes dans ce monde étaient larges, musclés et d'un physique très avantageux, même ceux qui avaient une toute petite bite. Il faut bien se figurer la situation, c'étaient tous des athlètes.

Gaté avait passé toute la journée dans l'atelier, il avait observé le travail de chacun. Les apprentis se préparaient pour rentrer chez eux, rangeaient l'atelier et le Maître Chastisan était satisfait de son travail. Il venait de terminer un dispositif.

C'était un dispositif en céramique, il ne restait plus qu'à le passer au four.

– La cage n'est pas terminée ? Demandait Gaté.
– Non, maintenant il faut la cuire, ensuite il faudra la poncer et tu verras elle va vraiment devenir magnifique.
– Si on ne la cuit pas, elle est déjà magnifique là ?
– Elle va se retransformer en poussière, si on la laisse comme ça. C'est une cage en métal en fait. Mais il est totalement recouvert de ce verni blanc, elle durera dans le temps et ne s’altérera jamais.

C'était un four de petite taille, le Maître Chastisan l'ouvrait et y glissait l'objet avec beaucoup de précautions. Le four était plein, on ne lance pas une cuisson pour quelques objets, elle dure toute la nuit, un des apprenti le surveillerait.

– Demain dans la matinée nous les ressortirons. Tu verras.

Puis se retournant vers Gaté.

– Et toi mon bonhomme, tu choisis un modèle pour ton époux ?
– Non !
– Je pensais que tu allais te marier.
– Non, je suis encore un peu jeune.
– Tu es près pour le mariage, si tu veux épouser un de mes apprentis, je te jure qu'ils seraient tous d'accord.

Le Chastisan s'approchait de Gaté et doucement lui caressait la queue. Cette queue large et lourde qui pendait puis se redressait. Gaté était passif, mais personne ne s'en rendait vraiment compte.

Guni s'en était bien rendu compte quand il l'avait entendu gueuler : '' Oui vas y défonce moi le cul, oui, encore, a fond … Aaaaaaaah ! ''.

Guni sait faire la différence entre ceux qui couinent et ceux qui râlent de plaisir et jouissent quand il leur défonce le cul … Depuis qu'il s'amuse avec ses petit camarades, enfin avec leurs cul, il a de l'expérience. Mais ça c'est une autre histoire.

Gaté bandait bien ferme. Sa queue se relevait vers le haut, trop lourde sans doute, elle ne parvenait pas à remonter jusqu'à la verticale. Elle n'était pas totalement dure non plus mais elle était bien assez ferme.

Le Maître Chastisan appréciait ce qu'il voyait. Il était impressionné aussi mais il n'hésitait pas une seconde. Des queues comme celle-là il en trouvait. C'était l'avantage de son boulot. Mais des queues comme ça étaient et restaient des exception. Le Chastisan se penchait, puis s'accroupissait pour être plus à son aise, il prenait la queue de Gaté dans la bouche, l'avalait avec une étonnante facilité. C'est vrai qu'il avait de l'expérience.

Il savait la caresser longuement avec sa langue, il enroulait sa langue autour du gland au moment ou il entrait dans la bouche, c'était toujours un moment très apprécié par son partenaire du moment et Gaté n'échappait pas à la règle. Il était passif mais il aimait bien se faire sucer la queue.

Surtout qu'avec une grosse queue, c'est pas si facile de trouver un suceur à la hauteur. Il appréciait et ne le cachait pas … Son gland s'enfonçait et disparaissait, sa queue continuait à s'enfoncer. Gaté était impressionné, il s'était déjà fait sucé mais personne ne lui avait avalé la bite aussi profond.

Il sentait son gland s'écraser sur quelque chose de dur, de dur mais de doux. Il ne savait pas vraiment ce que c'était mais c'était bon. Pour le Chastisan c'était moins facile, ce truc dur c'était seulement le fond de sa gorge et là le pauvre pendant ce temps, ne pouvait plus respirer.

Il savait gérer cette situation. Il savait synchroniser sa respiration. Rapidement il reculait son visage et la queue de Gaté ressortait, de nouveau sa langue caressait la queue de Gaté et le plaisir continuait.

De nouveau Gaté gémissait de plaisir, il tremblait le pauvre, enfin le pauvre il n'était pas vraiment dans une situation inconfortable. Il était passif, c'est vrai mais j'aurais du mal à croire qu'il n'appréciait pas !

Il relevait la tête et regardait vers le plafond en gémissant de plaisir. Il tirait la tête du Chastisan vers lui avec force et la repoussait, sa queue entrait bien profond et ressortait presque totalement. Le Chastisan n'avait plus qu'à encaisser, il savait faire le bougre, il savait faire et gérait ça très bien.

Puis Gaté se retirait, sans lui laisser de temps de remettre ça, l'artisan se relevait, se retournait, se penchait en avant.

Vas y défonce moi le cul ! Ordonnait-il à Gaté.

Vous savez, Gaté est un garçon très serviable et quand on lui demande un truc pareil, même si ce n'est pas sa position préférée, il ne peut pas refuser une requête pareille ! Il se lubrifiait rapidement la bite et sans faire plus de manières là lui enfonçait dans le cul.

Le Chastisan à hurlé, il s'est contracté, il semblait tenter de se relever mais Gaté appuyait sur son dos et le pauvre restait penché en avant à subir. Mais c'est vrai qu'il l'avait voulu !

Il gueulait, il gémissait, il en redemandait et Gaté lui en donnait. Il s'enfonçait et ressortait avec force et vigueur. Il variait la vitesse de ses assauts et rapidement le bruit régulier plus ou moins rapide par moment ponctuait le silence de cette fin de journée dans l'atelier.

Le Chastisan se retenait à cet établi pour ne pas valser dans la salle, Gaté était très fort et très musclé, et ce meuble était très lourd. L'artisan semblait suffoquer par moment, il manquait d'air.

Gaté n'aimait pas particulièrement cette position, il se donnait donc à fond, comme pour en finir. Pour le pauvre Chastisan qui ne connaissait pas encor bien Gaté, c'était une surprise. Heureusement il avait de l'entraînement et savait encaisser.

Les coups de butoir étaient violent, et de plus en plus forts. Gaté transpirait, c'est vrai qu'il ne ménageait pas ses efforts. Le Chastisan était tout rouge, et à bout de souffle au moment ou c'est Gaté qui criait à son tour, il jouissait dans le cul de l'artisan. Il jouissait longuement et c'est tout aussi longuement qu'il continuait à le limer.

Il finissait par se retirer et un long filet de liquide blanc coulait du cul de l'artisan. Celui-ci ne bougeait pas, il reprenait son souffle.

– Tu es un bon coup toi Gaté ! On te sent passer, et après on te sent encore. Tu es sûr de ne pas penser au mariage ?
– Veux-tu devenir mon maître en apprentissage ? Demandait Gaté.

Le Chastisan se retournait, son visage ne cachait pas sa surprise. Il voulait donc mettre cette très belle bite dans une cage ? Quel tristesse ! Se disait le Maître Artisan.

A suivre


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