Apéro jeux de société

- Par l'auteur HDS Stark31 -
Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Apéro jeux de société Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Apéro jeux de société
Nous avions décidé de nous octroyer un break dans notre taf et d’aller passer quelques jours chez un ami commun dans le Var. Nous avions l’habitude de nous installer dans son salon, sur le parquet au coin de la cheminée, ce qui est fort agréable ! apéro au rhum arrangé, jeux de société « blanc mangé coco »…

La soirée battait son plein, et je sentais cette énergie vibrante parcourir la pièce. Les rires fusaient, les verres tintaient, les jeux s’enchaînaient dans une euphorie presque palpable. Une retrouvaille entre amis, une atmosphère chargée de complicité et d’une tension imperceptible, qui glissait sous la surface comme un courant sous-marin. Et moi, je m’y laissais porter.

J’aimais cette sensation d’être au centre de cette dynamique, sans vraiment le vouloir. Mon jean moulait parfaitement mes formes, et mon pull fin, collant à ma peau, laissait deviner la finesse de ma silhouette. Je captais les regards, surtout celui de Julien. Depuis combien de temps n’avais-je pas ressenti cette chaleur brûlante sous ma culotte, cette conscience aiguë d’un désir latent ?

Pierre, mon mari, m’observait du coin de l’œil, un sourire en coin, savourant ce moment. Il savait. Il aimait me voir ainsi, rayonnante, désirée. Et il savait aussi que ce soir, quelque chose d’autre flottait dans l’air.

Lorsque les jeux commencèrent à prendre une tournure plus audacieuse, je sentis une vague de frissons me parcourir. L’anticipation me fit frissonner lorsque Pierre annonça le premier gage :

— Julien, tu vas devoir masser Lana… les yeux bandés.

Un sourire amusé éclaira mon visage alors que Julien s’exécutait, se laissant guider dans l’obscurité par ses mains seules. Je m’assis sur le parquet du salon, sentant l’adrénaline me gagner. Julien, à genoux devant moi, posa lentement ses paumes sur mes épaules et exerça une pression mesurée.

Dès le premier contact, un frisson violant me parcourut. Ses mains chaudes, fortes, glissaient sur ma peau, et sans ma vue pour me distraire, chaque sensation était amplifiée. Ses doigts descendirent lentement, suivant les courbes de ma nuque jusqu’à mes omoplates, effleurant le creux de mon dos.

Puis, il s’arrêta une fraction de seconde.

Je sentis son souffle se suspendre lorsqu’il comprit. L’absence de soutien-gorge. Un silence flottant s’installa, lourd de sous-entendus. Et puis, imperceptiblement, ses mains glissèrent plus bas.

Une main curieuse effleura mon flanc, puis vint timidement sous mon pull. Je n’eus pas le temps de réagir qu’il osa plus. Ses doigts chauds trouvèrent mes seins nus, une caresse hésitante qui devint plus assurée lorsqu’il sentit ma peau se tendre sous ses paumes. Mon dos s’arqua légèrement, un gémissement discret m’échappa.

Julien était aveugle, mais il sentait tout. La façon dont mon corps réagissait, le frisson qui me parcourait, la tension qui montait en moi comme une vague impossible à contenir.

Ses pouces tracèrent des cercles lents sur mes pointes durcies, et un soupir brûlant s’échappa de ses lèvres.
Puis, sans prévenir, il se pencha sur moi et trouva mes lèvres.

Le baiser fut brut, foudroyant. Une étincelle incendiaire embrasa mon ventre lorsqu’il m’embrassa avec une intensité troublante, sauvage. Sa langue s’insinua entre mes lèvres, exploratrice, avide. Je perdis pied, incapable de penser, seulement capable de sentir, de répondre à cette vague de désir qui nous happait tous les deux.

Pierre qui avait triché en soulevant son bandeau, regardait. Il ne dit rien. Il ne bougea pas.

Le tirage du jeu sonna la fin du gage. Un silence flottant s'installa, une tension presque palpable suspendue entre nous. Mon corps vibrait encore des caresses de Julien, mes lèvres picotaient du baiser interdit que nous venions d’échanger.
Pierre, qui n'était pas censé avoir enlevé son bandeau, s’empressa de le remettre avec un sourire en coin.

— Bien, bien, bien… On dirait que ce gage a fait son effet, plaisanta-t-il, amusé.

Un rire nerveux m’échappa tandis que j'essayais de reprendre contenance. Mais mon corps me trahissait, encore parcouru de frissons et de désirs inassouvis, mes tétons pointant outrageusement sous mon pull. Julien, de son côté, avait du mal à réguler sa respiration, son torse se soulevant de façon saccadée. Il était à peine capable de masquer l’évidence : il était tout aussi excité que moi.

On but un verre de Papy Zouk, tentant de briser cette tension, mais l’énergie qui circulait entre nous était électrisante. Nos regards s’évitaient et se retrouvaient aussitôt, chaque contact oculaire une promesse silencieuse de ce qui couvait encore sous la surface.

Puis le jeu reprit. Cette fois, ce fut moi qui perdis.

— Parfait ! Lana, à ton tour de masser Julien… et toujours les yeux bandés, bien sûr ! annonça Pierre, d’une voix faussement légère.

Julien s’exécuta, s’allongeant sur le sol, son bandeau bien en place. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine tandis que je me positionnais à califourchon sur lui. Mes doigts effleurèrent ses épaules larges, descendant lentement, savourant chaque muscle tendu sous mes paumes.

Mais à peine avais-je commencé que je sentis ses mains remonter sur mes hanches. Une chaleur intense se répandit dans mon ventre alors que ses doigts glissaient avec une lente assurance sous mon pull, retrouvant ma peau nue. Un frisson violent me parcourut.

Son souffle s’accéléra lorsqu’il reprit possession de mes seins, effleurant mes pointes déjà durcies sous l’effet du désir. Mon dos s’arqua involontairement sous cette caresse experte, et un soupir échappa à mes lèvres entrouvertes lorsqu’il vint faire rouler mes tétons entre ses doigts.

Lui, toujours aveugle, sentait chaque réaction, chaque mouvement imperceptible de mon corps en quête de plus. Il jouait avec mes sensations, faisant rouler mes tétons entre ses doigts habiles, provoquant des vagues de chaleur qui coulaient jusqu’entre mes cuisses.

Un gémissement m’échappa lorsque ses lèvres, guidées par l’instinct, retrouvèrent les miennes. Cette fois, il ne s’agissait plus d’un simple baiser. C’était brut, vorace, affamé. Nos langues se cherchèrent avec une avidité délirante, mes mains agrippant sa nuque pour l’attirer plus près.

La chaleur entre mes jambes devint insoutenable. Mon jean était trempé, chaque mouvement de mon bassin contre lui une supplique silencieuse. D’un geste fiévreux, il fit glisser mon pull le long de mes bras, l’abandonnant sur le sol. Mon ventre se contracta violemment lorsque ses doigts retrouvèrent la fermeture de mon jean. Il le déboutonna avec une lenteur calculée, son souffle errant contre la peau sensible de ma gorge.

Délicatement, il fit glisser le tissu le long de mes hanches, me dévoilant peu à peu. Son toucher sur mes cuisses nues me fit gémir. Je me sentais brûlante, liquide, offerte.

Lorsqu’il glissa deux doigts entre mes lèvres trempées, mon corps se tendit dans une extase incontrôlable. Il explora lentement mon intimé, sa paume appuyée contre mon clitoris, jouant avec mon désir comme un musicien avec son instrument.

Puis, avec une audace troublante, ses doigts taquinèrent mon autre ouverture, provoquant une décharge électrique qui m’arracha un gémissement plus sonore. Je n’avais plus aucune barrière, plus aucune retenue.

Mes propres mains se perdirent sur son torse brûlant, explorant chaque relief de sa peau. Je le voulais, tout entier. Je le sentis raide et prêt sous moi, son bassin cherchant le mien avec une impatience fiévreuse.

Pendant ce temps, Pierre observait en ayant relevé son bandeau discrètement.

Il savait. Il savait que cela allait déraper, que cette tension était trop forte pour rester simplement un jeu. Alors, plutôt que de remettre son bandeau, il le fit glisser sur son front et nous regarda, voyeur fasciné, s’abandonnant au plaisir de voir sa femme se donner sous ses yeux.

Il ne disait rien. Il ne bougeait pas. Il se contentait d’assister, de savourer chaque frisson qui parcourait mon corps, chaque gémissement qui s’échappait de mes lèvres tremblantes.

Et nous, oubliant tout, nous abandonnions à cette brûlure qui menaçait de nous consumer entièrement.
La température avait atteint un point de non-retour. Mon corps tout entier était une braise ardente sous les caresses expertes de Julien. Ses doigts fouillaient mes profondeurs avec une maîtrise troublante, deux en moi, l’autre osant mon anus avec une lente provocante pénétration. Mon souffle s’étranglait en gémissements brisés, mon ventre se contractait sous chaque poussée.

Ma tête bascula en arrière, la vague montait en moi, plus forte, plus dévorante. Je me sentais consumée, mon corps entier vibrant sous ses assauts habiles. Mais ce n’était pas seulement Julien qui me rendait folle. C’était le regard de Pierre, assis sur le canapé, muet, mais dont le souffle lourd et le jean tendu trahissaient son propre plaisir.

Voir mon mari excité au point de ne plus pouvoir cacher son désir me fit frémir davantage. L’idée qu'il aimait me voir ainsi, offerte, se laissant dévorer sous ses yeux, me rendait encore plus insatiable. J'avais l'impression que mon propre plaisir se nourrissait du sien.

Julien sentait ma réaction et ne ralentissait pas. Ses doigts m’envahissaient toujours plus profondément, tandis qu’il traçait des cercles brûlants sur mon clitoris avec son pouce. Je tremblais de plus en plus, incapable de contenir mes gémissements. Mes ongles s'enfoncèrent dans ses bras lorsque la jouissance m'emporta.

Mais je n’avais pas fini.

D’un geste fiévreux, je pris le contrôle et entrepris de déshabiller Julien entièrement. Mon souffle s'accéléra encore lorsque je découvris son sexe déjà bien dressé, pulsant d'envie. Ses yeux toujours bandés, il laissait son corps réagir à chaque sensation sans pouvoir voir ce qui allait suivre. Sans attendre, je glissai mes doigts autour de sa rigidité, le caressant avec une lenteur calculée, le savourant avant de le guider vers moi.

D’un mouvement fluide, j’orientai sa pointe brûlante vers mon intimité ouverte et trempée. Julien ne se fit pas prier. Il poussa, et son sexe s'enfonça en moi avec une facilité déconcertante, étirant mes parois dans une délicieuse plénitude. Un cri m’échappa au moment où il me remplit entièrement, une onde de plaisir me traversant de part en part.

Je jouis presque instantanément.

Une vague de chaleur incontrôlable se répandit dans tout mon corps, me laissant pantelante, secouée par des spasmes d'extase. Mais Julien ne s'arrêta pas. Il me maintint contre lui, savourant les tressaillements de mon corps autour du sien, avant de commencer à onduler en moi.

Je me laissai aller, le bassin suivant naturellement ses mouvements, amplifiant chaque enfoncement, chaque friction. Mes gémissements se transformèrent en couinements incontrôlables, mon corps réclamant toujours plus.

Pierre, de son côté, semblait hypnotisé par la scène. Son regard brûlant restait vissé sur mon visage, sur mon corps qui absorbait chaque coup de rein avec une avidité sans honte. Son torse se soulevait rapidement, ses doigts crispés sur son propre jean, incapable de résister à la tentation.

Julien et moi, désormais assis face à face, nous accrochions l'un à l'autre, nos corps plaqués l'un contre l'autre dans une danse effrénée. Il m'empoigna fermement, me dominant de son rythme puissant, et je le laissai faire, totalement soumise à cette déferlante de sensations brûlantes.

Mais il en voulait plus.

D'un geste assuré, il me fit basculer en arrière et s’installa au-dessus de moi en missionnaire. Son bandeau toujours en place, il ne pouvait que sentir et entendre mes réactions, ce qui semblait décupler son désir. Nos regards ne se croisaient pas, mais il percevait mon plaisir dans chaque mouvement de mon corps sous lui et autour de son sexe que mon vagin enserrait en moi.

Ses hanches percutèrent les miennes plus fort, plus vite. Mon dos s'arc-bouta sous lui alors que les vagues de plaisir reprenaient, plus violentes. Mes jambes l'enlacèrent instinctivement, l'attirant plus profondément en moi.

Pierre, lui, n’avait plus aucune retenue. Il avait ouvert son pantalon et se caressait d'une main, le regard fiévreux rivé sur moi, sur ma bouche entrouverte qui laissait échapper des cris d’extase sans retenue.

Puis, Julien accéléra, sa respiration devenant erratique. Son sexe pulsait en moi avec une intensité toujours croissante, et je sentis le point de rupture approcher. Une vague de chaleur immense monta en moi, mon corps se contractant tout entier.

— Oh oui… Julien… je vais…

D'un dernier mouvement profond, il se tendit violemment au-dessus de moi, enfonçant son sexe au plus profond de mon ventre.

Son orgasme explosa en moi dans une secousse puissante, et cette ultime sensation de son sperme chaud remplissant mon sexe, m’entraîna à mon tour. Mon corps convulsa sous le sien alors qu’un cri étranglé m’échappait, l’orgasme me consumant entièrement.

Pierre jouit au même instant, un grognement rauque lui échappant tandis qu’il se laissait emporter par le spectacle de ma jouissance ultime.

Nous restâmes ainsi, pantelants, Julien toujours en moi, son bandeau toujours noué autour de sa tête, ne pouvant que deviner le regard brûlant de mon mari sur nous.

Le jeu avait définitivement changé les règles ce soir.

Le minuteur du jeu sonna au même moment, marquant officiellement la fin du gage. Un silence flottant s'installa, chacun reprenant ses esprits après l'orage de sensations qui venait de les traverser.

Pierre, rapidement, se redressa et ajusta son pantalon en faisant mine de s'être assoupi. Il remit son bandeau et s'adossa au canapé, feignant l'innocence. Il ne voulait pas mettre Julien dans l'embarras, ni briser l'instant par un malaise inutile.

Julien, de son côté, se releva lentement, retirant son bandeau au même moment que Pierre. Lorsque leurs regards se croisèrent, ils découvrirent la réalité de la situation : Julien et moi étions toujours entièrement nus, nos peaux encore marquées par l'intensité du moment, son sexe pendant à demi bandé, et le mien dégoulinant de mon plaisir et de la semence de Julien ne laissait aucun doute sur le plaisir qui venait d’être partagé.

Un silence passa, et Pierre brisa la tension avec une pointe d'humour.

— Oups... Je crois que le gage a dérapé.

Tout le monde éclata de rire, un rire un peu nerveux, teinté d’une gêne latente mais aussi d’une complicité indéniable.
L’atmosphère se détendit progressivement, la conversation reprenant un ton plus banal, chacun cherchant à retrouver une certaine normalité après l’orage de passion qui avait balayé la pièce. Finalement, la fatigue se fit sentir et tout le monde décida qu'il était temps d'aller se coucher.

Pierre et moi montâmes dans notre chambre, le silence épais entre nous ne faisant qu'amplifier la tension électrique qui flottait encore. Lorsqu'on referma la porte derrière nous, je me tournai vers lui avec un regard brûlant, une lueur de désir mêlée à une autorité silencieuse.

— Déshabille-toi, ordonnai-je dans un souffle.

Pierre ne se fit pas prier. Il se défit lentement de ses vêtements, ses yeux brillants de curiosité et d'envie rivés sur moi. Je m'assis sur le bord du lit, entrouvrant mes cuisses avec une sensualité délibérée.

— Viens ici… Nettoie-moi. Efface chaque trace.

Son regard s’assombrit sous l’effet de mon ordre. Il savait exactement ce que je voulais dire. D’un mouvement fluide, il s’agenouilla devant moi, ses mains glissant lentement sur mes cuisses pour les ouvrir davantage. Son souffle chaud effleura ma peau avant que sa langue ne vienne tracer des cercles sur mon intimité encore marquée par la passion qui m’avait traversée plus tôt et le jus de Julien qui me remplissait encore.

La sensation était électrisante. Me faire dévorer ainsi, sentir sa langue effacer les vestiges du plaisir d’un autre déversé en moi, renforçait l’excitation qui me consumait. Mon corps réagissait avec une intensité nouvelle, amplifiée par cette réalité indéniable : deux hommes m’avaient prise ce soir. Deux hommes s’étaient succédés sur moi, et cela m’exaltait au plus haut point.

Mon dos s’arqua sous la vague de plaisir qui me submergea. Pierre m’aspirait, me dévorait avec une faim brûlante, son envie de reprendre possession de moi transparaissant dans chaque coup de langue, chaque pression contre mon clitoris gonflé de plaisir.

Je gémissais plus fort, incapable de contenir l’orgasme qui montait en moi comme un raz-de-marée. Quand il m’attrapa par les hanches pour m’ancrer contre sa bouche, je perdis totalement le contrôle. Mon cri s’étrangla dans ma gorge alors que je cédais à l’extase, tremblante, submergée par une jouissance sauvage.

Mon souffle était encore saccadé lorsque je l'attirais contre moi, pressant mon corps contre le sien. Ses yeux étaient brûlants de désir, son souffle court contre ma peau. Sans un mot, je glissai ma main entre nous, trouvant son sexe rigide déjà prêt à me rejoindre.

Lentement, je le guidai en moi, savourant la sensation de son corps qui me remplissait entièrement. Mais cette fois, il n’y avait pas de douceur. C’était urgent, brut. Pierre grogna en s’enfonçant violemment, mes jambes enroulées autour de sa taille pour l’attirer plus profond. Il me prenait avec une intensité animale, ses mains agrippant mes hanches, ses coups de reins frénétiques, possessifs, cherchant à me marquer d’une manière que Julien ne pourrait jamais effacer.

— Tu aimes ça… savoir que j’ai été prise par deux hommes… soufflai-je, provocante.

Il grogna plus fort, ses coups devenant presque désespérés.

— Tu es à moi, Lana…

Ces mots déclenchèrent en moi un nouvel incendie. Mon corps tout entier se contracta autour de lui, et dans un cri de pure extase, je me perdis totalement. L’orgasme me saisit avec une force inédite, envoyant des vagues de plaisir incontrôlables à travers chaque nerf en feu.

Pierre suivit presque instantanément, un grognement rauque s’arrachant de ses lèvres alors qu’il cédait à son propre plaisir, se libérant entièrement en moi dans une dernière secousse violente.

Nous restâmes ainsi, collés l'un à l'autre, haletants, le silence seulement troublé par nos respirations saccadées. Pierre effleura doucement mon dos de ses doigts, puis murmura contre ma peau :

— Jamais je n’ai eu autant envie de toi...

Un sourire se dessina sur mes lèvres tandis que je caressais ses cheveux, savourant encore les restes de cette nuit qui, je le savais, venait de redéfinir les règles de notre jeu.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour, j'adore j'aimerais tellement être à la place de Pierre.

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Très bien écrit, bravo, j'attends la suite.

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Très belle histoire de candauliste actif.Daniel



Texte coquin : Apéro jeux de société
Histoire sexe : Une rose rouge
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