Appartement avec vue (Alice et Margot 3)
Récit érotique écrit par FlorentDoe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2015 dans la catégorie Plus on est
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Appartement avec vue (Alice et Margot 3)
Les filles vivaient dans un appartement de ville très design. Une ancienne fabrique ou une ancienne usine réaménagée. Un duplex partagé entre blanc et noir. Un bar délimitait une cuisine moderne. Un escalier montait à l’étage. Une grande baie vitrée s’ouvrait du palier sur ce que je devinais être, y apercevant, un lit une chambre.
Margot nous attendait sur la terrasse. Elle donnait sur un grand parc derrière chez elles. Un verre à la main, une cigarette à la bouche. Son ombre se détachait dans la lumière de la lune. Margot ne portait plus que son porte-jarretelle blanc et son string bleu marine. Elle était dos à nous, penchée sur le garde corps en verre de leur terrasse.
Elle tourna la tête vers nous en nous entendant rentrés.
-Tu veux quelque chose à boire ?
-Un verre de blanc ?
-Alice tu nous sers ça ?
Je rejoignis Margot. Face à la splendide vue sur le parc, elle avait le ventre collé contre la paroi de verre, les jambes croisées. A mon approche elle se pencha un peu plus. J’avais une vue imprenable sur son sexe et son anus impudiquement exhibés.
A côté de la grande baie vitrée ouverte entre le salon et le balcon, une autre de la même dimension donnait dans une chambre. « Celle de Margot » me dis-je en y voyant la robe bleue étendue sur le lit.
Je me mis derrière la jolie brune. Elle devait sentir ma queue bandée à travers mon pantalon. Je glissai l’une de mes mains sur son ventre et lui massai les épaules de l’autre. Ma main descendit et passa sous son string en dentelle. Son clitoris était saillant et elle eu un spasme de plaisir quand mon doigt passa dessus.
-Tu n’as pas peur des voisins ?
-Tant mieux s’il y en a. Mais je crois qu’à cette heure-ci il y a peu de monde… Dommage…Ma main lui caressait la chatte. Mes doigts jouaient alternativement avec son clitoris et ses lèvres. Elle poussait des petits gémissements de plaisir.
Alice revint avec deux verres de blanc. Elle avait laissé tomber sa robe elle aussi. Sans culotte comme j’avais pu le constater dans la voiture, sa petite touffe rousse était maintenant à l’air. Elle posa mon verre sur la table basse et s’enfonça dans un fauteuil qui semblait tout à fait confortable avec le sien à la main. Elle commença à se caresser la poitrine et s’enfonça un puis deux doigts dans le minou en nous regardant. Ses jambes relevées pour mieux écarter sa chatte montraient qu’elle portait toujours son petit bijou fiché dans son cul.
Je m’abaissai et descendit lentement le string de Margot en en prenant l’élastique entre les dents. Ma tête s’enfouit entre ses fesses. La brune écarta doucement les jambes pour me faciliter le passage. Ma langue alla le plus loin possible pour arriver à ses lèvres tandis que mes doigts continuaient à astiquer son petit bouton. Je joignis mes lèvres aux siennes et embrassa sa chatte. Ma langue sortit de son minou et parcourut son entre-jambe jusqu’à son petit trou. Elle décrivit des cercles concentriques autour de son anus avant de tenter d’y pénétrer. D’abord serré, son sphincter ne mis pas longtemps à se relâcher. Après avoir bien humidifié sa paroi, j’y entrai facilement un doigt. Doucement dans un premier temps, mon majeur commença à accélérer le rythme. Pour son plus grand plaisir si j’en croyais ses mains portées à ses seins et les mouvements de sa tête que je pouvais voir à travers le garde corps en verre. Pour le plus grand plaisir d’Alice aussi à en croire le bruit humides que ses doigts faisaient en se branlant.
Alice se leva et allait rentrer dans le salon. Margot la regarda par au dessus de son épaule, le visage éreinté mais le ton ferme.
-Tu fais quoi, ma chérie ?
-Je vais chercher un jeu.
-Pas question, pas ce soir. Tu ne joues qu’avec tes doigts aujourd’hui.
-Tu es dure.
-C’est comme ça, ma belle. Et tu m’obéis.
Margot passa une main sous mon menton et le tira vers le haut pour me relever. Elle se retourna et une fois ma bouche à se hauteur la colla contre la sienne. Elle m’embrassa avec une telle fougue que je la soupçonnai de vouloir recueillir le plus possible de la mouille qui devait maculer mon visage.
Elle se tourna vers Alice.
-Déshabille-le. Mais interdit de le toucher. Je suis sûre que tu t’es servie dans la voiture.
Margot esquissa un sourire et s’écarta de moi.
Alice me rejoint. Elle défit les boutons de ma chemise. Je la pris par la taille et l’approchai de moi. Je voulais qu’elle aussi sente sur sa chate ma bite tendue. Mais la rouquine appuya doucement ses mains sur mon torse et se tint écartée de moi de quelques centimètres. Elle m’enleva ma chemise. Je tentai de l’embrasser mais elle détourna la tête.
-Tu as entendu Margot ? Je ne peux pas.
Elle se mit à genoux devant moi et dégrafa ma ceinture. Ses mains agrippèrent le bouton de mon pantalon. Elle le défit, ouvrit ma braguette et abaissa mon froc jusqu’au sol. Elle remonta ensuite ses mains le long de l’intérieur de mes jambes. Je ressentis un petit spasme quand ses doigts vinrent frôler mes couilles. Mon sexe tendu formait une forme reconnaissable à travers mon boxer noir mais la rouquine ne s’y intéressa pas. Ses doigts se glissèrent dans l’élastique de mon caleçon et elle le descendit. Ainsi libéré mon sexe se tenait bien droit.
Alice en approcha sa bouche. Je sentis son souffle sur ma queue. Un souffle court, plein de désir. Sa tête tourna autours, sa joue se posa sur mon pubis, ses mains effleuraient mon sexe mais sans qu’elle ne se décide à l’empoigner.
-Tu crois que je ne t’ai pas vue ? Retourne dans ton canapé.
Le ton était sec. Alice obtempéra tout de suite.
Margot s’approcha de moi, saisit ma bite dans une main et me tira vers sa chambre. Elle me tourna dos à son lit et poussa de ses deux mains sur mon torse. Je me laissai tomber sur le matelas.
Margot se retourna. Elle toisa Alice restée de l’autre côté de la vitre. Elle embrassa sa main et souffla sur sa paume comme pour lui envoyer le baisser et lui dire au revoir. Sans lâcher son amante des yeux, elle s’assit sur mon ventre me montrant uniquement son dos. Elle prit ma queue entre ses deux mains et entama un mouvement de va-et-vient. Bientôt, l’une de ses mains descendit entre mes fesses. J’écartai les jambes et son doigt vint danser autour de mon anus. Tout en continuant à me branler, elle lécha son doigt et le remit à l’entrée de mon cul.
-Tu avais l’air d’aimer ça tout à l’heure non ?
Elle appuya doucement sur son doigt et il vint forcer ma résistance. Elle l’enfonça délicatement me faisant pousser un petit cri de plaisir et me branla le cul délaissant mon sexe quelques instants. C’était la première fois qu’une fille enfonçait son doigt aussi loin dans mon petit trou. L’une ou l’autre était déjà venue explorer sobrement la zone. Mais jamais au point de me l’enfoncer dans son entièreté. Je me surpris à me demander si je préférais ces caresses ou celles proférées à mon dard.
Pendant ce temps là, face à nous, Alice se caressait dans le canapé où nous l’avions abandonnée. Elle ne perdait pas une miette de la scène qui se déroulait face à elle et en jouissait de frustration.
Margot avança son bassin et vint s’empaler sur ma bite, ses genoux de part et d’autre de mon corps couché sur le lit, ses mains posées sur mes cuisses. Son cul bougeait divinement. Ma queue prise en étau ressentait la moindre contraction des muscles de son vagin. Elle maitrisait ceux-ci à merveille. Je me rendis alors compte que c’était la première fois que j’étais en elle. C’était magique. Sa main venait caresser la partie de mon sexe qui émergeait du sien. Je me relevai et pris ses seins à pleines mains. Je me rendis alors compte qu’elle regardait Alice d’un regard provoquant. Elle lui montrait ce qu’elle ne pouvait avoir.
-Mets-moi un doigt dans le cul, prépare-moi.
Elle dit cette phrase suffisamment fort pour qu’avec la porte fenêtre ouverte, Alice ne puisse pas ne pas l’entendre. Je vis la tête de la rousse partir en arrière. Ses jambes se serrèrent sur ses doigts enfoncés le plus loin possible dans sa chatte. Elle comprima l’un de ses seins en poussant des cris qui, à n’en pas douter, risquait d’attirer l’un ou l’autre voisin.
Je léchai mon pouce et l’approchai de l’anus de la torride brune. Lentement, je pressai sa rondelle. Mon doigt entra bien facilement, preuve que l’on était déjà passé par là. Je sentis mon dard dénudé alors que Margot se relevait. Mais pas pour longtemps. Elle prit ma bite en main et la posa contre son cul. Elle s’y enfonça en un coup. Elle poussa un hurlement entre douleur et soulagement qui venait en écho de ceux d’Alice. Son regard était toujours porté sur la rouquine en train de se masturber face à nous.
-Encule-moi fort.
Elle me dit ça d’un ton autoritaire. A la fois inquiétant et excitant. Alors qu’en fait, c’était elle, dans cette position, qui avait la maitrise des évènements. Elle avait replié ses jambes sous elle et ses pieds étaient posés sur le lit. Elle montait et descendait son bassin de tout son poids sur ma queue comme bon lui semblait. Je n’en pouvais plus de cette cadence. Je sentais que j’allais jouir. Elle accélérait sans cesse le rythme. Son conduit serré compressait ma bite et accentuait les sensations que je pouvais ressentir.
-Attends que je jouisse, Florent. Je viens, je viens, ne te lâche pas maintenant.
En un coup son mouvement s’interrompit et elle cria. Sa tête partit en arrière et ses lèvres vinrent trouver les miennes. Elle m’embrassa violement. Elle mordit mes lèvres à sang dans des spasmes qui semblaient incontrôlables. Ses bras par au dessus de nos deux têtes, elle serra nos visages le plus proche possible l’un de l’autre. Son bassin avait recommencé à monter et descendre mais de manière bien moins harmonieuse, moins rythmée. Et bien moins vite aussi. Elle n’avait plus la maitrise de son corps. Sa jouissance avait pris le dessus.
En face de nous, Alice se mordait les lèvres. Voir sa copine jouir de la sorte la mettait dans un état indescriptible. Le tissu du fauteuil sous sa chatte était inondé de cyprine. Deux mains ne lui suffisaient plus.
Avant que je ne jouisse, Margot se leva et vint s’asseoir derrière moi. Elle était haletante, chancelante. Elle titubait et n’arrivait plus à marcher droit. Elle semblait ne plus tenir sur ses jambes. Elle posa une jambe de part et d’autre de mon corps. Ses mains passèrent sur mon ventre et vinrent saisir mon sexe au bord de l’éclatement.
-On ne peut pas la laisser comme ça cette petite chose. Elle nous a fait tellement jouir. Elle mérite, elle aussi, qu’on s’occupe d’elle.
Margot disait ça sur un ton provoquant, excitant. Elle commença à me branler d’une main. Son autre vint se ficher sous me couilles. Et son majeur descendit bien vite vers mon cul. Nous avions tout deux découvert à quel point j’aimais ça. Mais elle savait qu’elle n’avait que peu de temps pour aller s’insérer dans mon anus avant que je ne jouisse. Et, en effet, lorsqu’elle y arriva, j’éclatai presqu’instantanément. Des jets de spermes jaillirent de mon gland et vinrent maculer le plancher en hêtre foncé de marques blanches. Je criais sans m’en rendre compte. En face de moi, Alice jouissait aussi de voir cette liqueur blanchâtre venir inonder les mains de sa maitresse. Mon sperme dégoulinait entre les doigts de Margot. Il débordait de sa main et recouvrait mes couilles.
Margot et moi nous laissâmes tomber en arrière. Je sentais sa chatte trempée dans mon dos. Elle me caressait le torse avec ses doigts pleins de ma jute. Elle les ramena à sa bouche. J’entendis qu’elle se les léchait. Elle me caressa alors les lèvres.
-Tu as déjà gouté ton sperme ?
Je fis non de la tête. Elle se dégagea alors du poids de mon corps et vint s’asseoir à califourchon sur mon ventre.
-T’as jamais essayé ? Vous les garçons n’essayez pas tous de vous faire des auto-pipes quand vous découvrez votre petit oiseau ?
Elle ramena ses doigts près de ma bouche. Elle en fit le tour avec son index couvert de sperme. Je n’ouvrai pas la bouche.
-Petit frileux va. J’ai une autre méthode pour t’y faire gouter.
Elle enfouit ses doigts dans sa bouche et les nettoya de ma semence qui y restait. Mais elle n’avala pas. Elle approcha son visage du mien, me prit la tête entre les mains et ouvrit délicatement sa bouche. Je voulu m’écarter mais elle me tenait fermement. Bien sûr j’avais la force nécessaire pour me dégager de son étreinte mais je ne forçai pas pour me libérer. Le liquide blanchâtre coula de ses lèvres et vint se poser sur les miennes que je tenais fermées. Elle approchait de plus en plus sa bouche. Nos visages se rejoignirent. Je cédai et nous commençâmes à nous embrasser. Mon sperme se mêlait à nos salives. J’avalais l’un et l’autre indistinctement goûtant pour la première fois à ma jouissance.
Margot se jeta sur le dos à côté de moi en riant. Elle se mit en appui sur son épaule et me regarda tendrement. Elle m’embrassa d’un baiser câlin et furtif.
-Merci.
Elle me tourna le dos et fit mine de s’endormir.
Je regardai par la fenêtre. Alice s’était relevée et avançait vers nous. Son déhanchement se découpait dans la lumière de la lune. A contre jour, aussi provocante, aussi sexuelle, elle était magnifique, irrésistible. Elle s’approcha du lit, souleva l’édredon et me poussa un peu. Elle se blottit contre moi. Nous nous mirent en cuillère. Alice s’endormit très vite. Fourbu par tant de jouissance, je ne mis pas longtemps à me sentir partir moi aussi. Juste avant de m’endormir, je sentis le corps de Margot venir se blottir contre le mien. Sa main vint se poser sur mon sexe éreinté juste avant que je ne m’endorme dans la moiteur de la pièce emplie d’une odeur forte de sexe et de sueur.
Margot nous attendait sur la terrasse. Elle donnait sur un grand parc derrière chez elles. Un verre à la main, une cigarette à la bouche. Son ombre se détachait dans la lumière de la lune. Margot ne portait plus que son porte-jarretelle blanc et son string bleu marine. Elle était dos à nous, penchée sur le garde corps en verre de leur terrasse.
Elle tourna la tête vers nous en nous entendant rentrés.
-Tu veux quelque chose à boire ?
-Un verre de blanc ?
-Alice tu nous sers ça ?
Je rejoignis Margot. Face à la splendide vue sur le parc, elle avait le ventre collé contre la paroi de verre, les jambes croisées. A mon approche elle se pencha un peu plus. J’avais une vue imprenable sur son sexe et son anus impudiquement exhibés.
A côté de la grande baie vitrée ouverte entre le salon et le balcon, une autre de la même dimension donnait dans une chambre. « Celle de Margot » me dis-je en y voyant la robe bleue étendue sur le lit.
Je me mis derrière la jolie brune. Elle devait sentir ma queue bandée à travers mon pantalon. Je glissai l’une de mes mains sur son ventre et lui massai les épaules de l’autre. Ma main descendit et passa sous son string en dentelle. Son clitoris était saillant et elle eu un spasme de plaisir quand mon doigt passa dessus.
-Tu n’as pas peur des voisins ?
-Tant mieux s’il y en a. Mais je crois qu’à cette heure-ci il y a peu de monde… Dommage…Ma main lui caressait la chatte. Mes doigts jouaient alternativement avec son clitoris et ses lèvres. Elle poussait des petits gémissements de plaisir.
Alice revint avec deux verres de blanc. Elle avait laissé tomber sa robe elle aussi. Sans culotte comme j’avais pu le constater dans la voiture, sa petite touffe rousse était maintenant à l’air. Elle posa mon verre sur la table basse et s’enfonça dans un fauteuil qui semblait tout à fait confortable avec le sien à la main. Elle commença à se caresser la poitrine et s’enfonça un puis deux doigts dans le minou en nous regardant. Ses jambes relevées pour mieux écarter sa chatte montraient qu’elle portait toujours son petit bijou fiché dans son cul.
Je m’abaissai et descendit lentement le string de Margot en en prenant l’élastique entre les dents. Ma tête s’enfouit entre ses fesses. La brune écarta doucement les jambes pour me faciliter le passage. Ma langue alla le plus loin possible pour arriver à ses lèvres tandis que mes doigts continuaient à astiquer son petit bouton. Je joignis mes lèvres aux siennes et embrassa sa chatte. Ma langue sortit de son minou et parcourut son entre-jambe jusqu’à son petit trou. Elle décrivit des cercles concentriques autour de son anus avant de tenter d’y pénétrer. D’abord serré, son sphincter ne mis pas longtemps à se relâcher. Après avoir bien humidifié sa paroi, j’y entrai facilement un doigt. Doucement dans un premier temps, mon majeur commença à accélérer le rythme. Pour son plus grand plaisir si j’en croyais ses mains portées à ses seins et les mouvements de sa tête que je pouvais voir à travers le garde corps en verre. Pour le plus grand plaisir d’Alice aussi à en croire le bruit humides que ses doigts faisaient en se branlant.
Alice se leva et allait rentrer dans le salon. Margot la regarda par au dessus de son épaule, le visage éreinté mais le ton ferme.
-Tu fais quoi, ma chérie ?
-Je vais chercher un jeu.
-Pas question, pas ce soir. Tu ne joues qu’avec tes doigts aujourd’hui.
-Tu es dure.
-C’est comme ça, ma belle. Et tu m’obéis.
Margot passa une main sous mon menton et le tira vers le haut pour me relever. Elle se retourna et une fois ma bouche à se hauteur la colla contre la sienne. Elle m’embrassa avec une telle fougue que je la soupçonnai de vouloir recueillir le plus possible de la mouille qui devait maculer mon visage.
Elle se tourna vers Alice.
-Déshabille-le. Mais interdit de le toucher. Je suis sûre que tu t’es servie dans la voiture.
Margot esquissa un sourire et s’écarta de moi.
Alice me rejoint. Elle défit les boutons de ma chemise. Je la pris par la taille et l’approchai de moi. Je voulais qu’elle aussi sente sur sa chate ma bite tendue. Mais la rouquine appuya doucement ses mains sur mon torse et se tint écartée de moi de quelques centimètres. Elle m’enleva ma chemise. Je tentai de l’embrasser mais elle détourna la tête.
-Tu as entendu Margot ? Je ne peux pas.
Elle se mit à genoux devant moi et dégrafa ma ceinture. Ses mains agrippèrent le bouton de mon pantalon. Elle le défit, ouvrit ma braguette et abaissa mon froc jusqu’au sol. Elle remonta ensuite ses mains le long de l’intérieur de mes jambes. Je ressentis un petit spasme quand ses doigts vinrent frôler mes couilles. Mon sexe tendu formait une forme reconnaissable à travers mon boxer noir mais la rouquine ne s’y intéressa pas. Ses doigts se glissèrent dans l’élastique de mon caleçon et elle le descendit. Ainsi libéré mon sexe se tenait bien droit.
Alice en approcha sa bouche. Je sentis son souffle sur ma queue. Un souffle court, plein de désir. Sa tête tourna autours, sa joue se posa sur mon pubis, ses mains effleuraient mon sexe mais sans qu’elle ne se décide à l’empoigner.
-Tu crois que je ne t’ai pas vue ? Retourne dans ton canapé.
Le ton était sec. Alice obtempéra tout de suite.
Margot s’approcha de moi, saisit ma bite dans une main et me tira vers sa chambre. Elle me tourna dos à son lit et poussa de ses deux mains sur mon torse. Je me laissai tomber sur le matelas.
Margot se retourna. Elle toisa Alice restée de l’autre côté de la vitre. Elle embrassa sa main et souffla sur sa paume comme pour lui envoyer le baisser et lui dire au revoir. Sans lâcher son amante des yeux, elle s’assit sur mon ventre me montrant uniquement son dos. Elle prit ma queue entre ses deux mains et entama un mouvement de va-et-vient. Bientôt, l’une de ses mains descendit entre mes fesses. J’écartai les jambes et son doigt vint danser autour de mon anus. Tout en continuant à me branler, elle lécha son doigt et le remit à l’entrée de mon cul.
-Tu avais l’air d’aimer ça tout à l’heure non ?
Elle appuya doucement sur son doigt et il vint forcer ma résistance. Elle l’enfonça délicatement me faisant pousser un petit cri de plaisir et me branla le cul délaissant mon sexe quelques instants. C’était la première fois qu’une fille enfonçait son doigt aussi loin dans mon petit trou. L’une ou l’autre était déjà venue explorer sobrement la zone. Mais jamais au point de me l’enfoncer dans son entièreté. Je me surpris à me demander si je préférais ces caresses ou celles proférées à mon dard.
Pendant ce temps là, face à nous, Alice se caressait dans le canapé où nous l’avions abandonnée. Elle ne perdait pas une miette de la scène qui se déroulait face à elle et en jouissait de frustration.
Margot avança son bassin et vint s’empaler sur ma bite, ses genoux de part et d’autre de mon corps couché sur le lit, ses mains posées sur mes cuisses. Son cul bougeait divinement. Ma queue prise en étau ressentait la moindre contraction des muscles de son vagin. Elle maitrisait ceux-ci à merveille. Je me rendis alors compte que c’était la première fois que j’étais en elle. C’était magique. Sa main venait caresser la partie de mon sexe qui émergeait du sien. Je me relevai et pris ses seins à pleines mains. Je me rendis alors compte qu’elle regardait Alice d’un regard provoquant. Elle lui montrait ce qu’elle ne pouvait avoir.
-Mets-moi un doigt dans le cul, prépare-moi.
Elle dit cette phrase suffisamment fort pour qu’avec la porte fenêtre ouverte, Alice ne puisse pas ne pas l’entendre. Je vis la tête de la rousse partir en arrière. Ses jambes se serrèrent sur ses doigts enfoncés le plus loin possible dans sa chatte. Elle comprima l’un de ses seins en poussant des cris qui, à n’en pas douter, risquait d’attirer l’un ou l’autre voisin.
Je léchai mon pouce et l’approchai de l’anus de la torride brune. Lentement, je pressai sa rondelle. Mon doigt entra bien facilement, preuve que l’on était déjà passé par là. Je sentis mon dard dénudé alors que Margot se relevait. Mais pas pour longtemps. Elle prit ma bite en main et la posa contre son cul. Elle s’y enfonça en un coup. Elle poussa un hurlement entre douleur et soulagement qui venait en écho de ceux d’Alice. Son regard était toujours porté sur la rouquine en train de se masturber face à nous.
-Encule-moi fort.
Elle me dit ça d’un ton autoritaire. A la fois inquiétant et excitant. Alors qu’en fait, c’était elle, dans cette position, qui avait la maitrise des évènements. Elle avait replié ses jambes sous elle et ses pieds étaient posés sur le lit. Elle montait et descendait son bassin de tout son poids sur ma queue comme bon lui semblait. Je n’en pouvais plus de cette cadence. Je sentais que j’allais jouir. Elle accélérait sans cesse le rythme. Son conduit serré compressait ma bite et accentuait les sensations que je pouvais ressentir.
-Attends que je jouisse, Florent. Je viens, je viens, ne te lâche pas maintenant.
En un coup son mouvement s’interrompit et elle cria. Sa tête partit en arrière et ses lèvres vinrent trouver les miennes. Elle m’embrassa violement. Elle mordit mes lèvres à sang dans des spasmes qui semblaient incontrôlables. Ses bras par au dessus de nos deux têtes, elle serra nos visages le plus proche possible l’un de l’autre. Son bassin avait recommencé à monter et descendre mais de manière bien moins harmonieuse, moins rythmée. Et bien moins vite aussi. Elle n’avait plus la maitrise de son corps. Sa jouissance avait pris le dessus.
En face de nous, Alice se mordait les lèvres. Voir sa copine jouir de la sorte la mettait dans un état indescriptible. Le tissu du fauteuil sous sa chatte était inondé de cyprine. Deux mains ne lui suffisaient plus.
Avant que je ne jouisse, Margot se leva et vint s’asseoir derrière moi. Elle était haletante, chancelante. Elle titubait et n’arrivait plus à marcher droit. Elle semblait ne plus tenir sur ses jambes. Elle posa une jambe de part et d’autre de mon corps. Ses mains passèrent sur mon ventre et vinrent saisir mon sexe au bord de l’éclatement.
-On ne peut pas la laisser comme ça cette petite chose. Elle nous a fait tellement jouir. Elle mérite, elle aussi, qu’on s’occupe d’elle.
Margot disait ça sur un ton provoquant, excitant. Elle commença à me branler d’une main. Son autre vint se ficher sous me couilles. Et son majeur descendit bien vite vers mon cul. Nous avions tout deux découvert à quel point j’aimais ça. Mais elle savait qu’elle n’avait que peu de temps pour aller s’insérer dans mon anus avant que je ne jouisse. Et, en effet, lorsqu’elle y arriva, j’éclatai presqu’instantanément. Des jets de spermes jaillirent de mon gland et vinrent maculer le plancher en hêtre foncé de marques blanches. Je criais sans m’en rendre compte. En face de moi, Alice jouissait aussi de voir cette liqueur blanchâtre venir inonder les mains de sa maitresse. Mon sperme dégoulinait entre les doigts de Margot. Il débordait de sa main et recouvrait mes couilles.
Margot et moi nous laissâmes tomber en arrière. Je sentais sa chatte trempée dans mon dos. Elle me caressait le torse avec ses doigts pleins de ma jute. Elle les ramena à sa bouche. J’entendis qu’elle se les léchait. Elle me caressa alors les lèvres.
-Tu as déjà gouté ton sperme ?
Je fis non de la tête. Elle se dégagea alors du poids de mon corps et vint s’asseoir à califourchon sur mon ventre.
-T’as jamais essayé ? Vous les garçons n’essayez pas tous de vous faire des auto-pipes quand vous découvrez votre petit oiseau ?
Elle ramena ses doigts près de ma bouche. Elle en fit le tour avec son index couvert de sperme. Je n’ouvrai pas la bouche.
-Petit frileux va. J’ai une autre méthode pour t’y faire gouter.
Elle enfouit ses doigts dans sa bouche et les nettoya de ma semence qui y restait. Mais elle n’avala pas. Elle approcha son visage du mien, me prit la tête entre les mains et ouvrit délicatement sa bouche. Je voulu m’écarter mais elle me tenait fermement. Bien sûr j’avais la force nécessaire pour me dégager de son étreinte mais je ne forçai pas pour me libérer. Le liquide blanchâtre coula de ses lèvres et vint se poser sur les miennes que je tenais fermées. Elle approchait de plus en plus sa bouche. Nos visages se rejoignirent. Je cédai et nous commençâmes à nous embrasser. Mon sperme se mêlait à nos salives. J’avalais l’un et l’autre indistinctement goûtant pour la première fois à ma jouissance.
Margot se jeta sur le dos à côté de moi en riant. Elle se mit en appui sur son épaule et me regarda tendrement. Elle m’embrassa d’un baiser câlin et furtif.
-Merci.
Elle me tourna le dos et fit mine de s’endormir.
Je regardai par la fenêtre. Alice s’était relevée et avançait vers nous. Son déhanchement se découpait dans la lumière de la lune. A contre jour, aussi provocante, aussi sexuelle, elle était magnifique, irrésistible. Elle s’approcha du lit, souleva l’édredon et me poussa un peu. Elle se blottit contre moi. Nous nous mirent en cuillère. Alice s’endormit très vite. Fourbu par tant de jouissance, je ne mis pas longtemps à me sentir partir moi aussi. Juste avant de m’endormir, je sentis le corps de Margot venir se blottir contre le mien. Sa main vint se poser sur mon sexe éreinté juste avant que je ne m’endorme dans la moiteur de la pièce emplie d’une odeur forte de sexe et de sueur.
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