Apprentissage... à distance

- Par l'auteur HDS Smilee -
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Apprentissage... à distance Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Apprentissage... à distance
De tout temps j’ai toujours eu une bonne répartie. Je peux autant m'en servir pour avoir du répondant que pour balancer des petites phrases troublantes, notamment envers la gente féminine. Le dernier exemple en date est particulièrement croustillant. Pour le dernier jour de nos vacances dans le sud avec mon fils je l’emmène dans un parc zoologique. À l’entrée une jeune fille nous fait rentrer. Elle est emmitouflée dans une grosse veste noire. Elle a un visage rond mais plutôt charmant. Elle a de jolis yeux noisette. Dommage qu’ils ne soient pas mis en valeur. Comme elle toute entière d’ailleurs.

Je prends les entrées et commence la visite. Puis vient l’heure du nourrissage des loups. Je me dirige vers le lieu de rendez-vous. La jeune fille de l’accueil marche devant moi. Je découvre un corps plutôt bien proportionné. Elle porte un pantalon noir plutôt serré au niveau des fesses. Fesses vraiment généreuses comme je les aime. Encore une fois ses vêtements sont en revanche très mal choisis. Mon fils court à côté d’elle et lui parle. Elle lui sourit d’un sourire charmant. Malgré son jeune âge et son manque d’entretien personnel elle me trouble. Pendant le reste de la visite je ne peux arrêter de penser à elle. À la sortie je passe par la boutique pour acheter un souvenir à mon fils. C’est encore la même fille qui m’encaisse. Elle me demande alors :
- La visite vous a plu ?
- Oui très joli parc. Mais je suis quand même déçu
- Ah bon pourquoi ?
- Il faudrait prévenir les visiteurs que le chef d’œuvre du parc se trouve à l’accueil, je lui déclare dans un sourire ravageur.

La jeune femme vire au rouge. Elle est complètement décontenancée par mes paroles. Je sors du parc avec mon fils et me dirige vers la voiture. J’entends derrière moi une voix qui crie « Monsieur ! ». C’est elle qui marche rapidement vers moi et me tend mon ticket de caisse me signalant que je l’ai oublié. Je la remercie, range le ticket dans mon portefeuille et nos routes se séparent. Nous repartons au logement avec mon fils puis nous allons une dernière fois à la piscine du camping.

Le soir je range nos affaires de façon à partir le lendemain matin de bonne heure. Nous rentrons chez nous de ces belles vacances. La semaine suivante la vie reprend son cours. Le week-end d’après mon fils est avec sa mère. Je m’occupe donc de mes affaires personnelles. Je me pose notamment pour faire mes comptes de nos vacances. En triant les tickets j’ai la surprise de découvrir sur le ticket du zoo une inscription « Ludivine 06 12 34 56 78 ». Voilà pourquoi elle avait couru pour m’amener mon ticket ! Et je le découvre quand je suis à des centaines de kilomètres. Rien que pour son estime de soi je ne peux pas ne pas lui répondre. Je prends mon téléphone et lui envoie :
- Bonjour. Je viens juste de découvrir votre mot sur mon ticket de caisse. Je suis déçu car je suis reparti dans ma région. J’aurais beaucoup aimé vous revoir. En tout cas c’est très flatteur qu’une jolie jeune fille comme vous me laisse son numéro

Je continue ma journée et sors prendre un verre en terrasse. Ludivine me répond alors que je suis au café :
- Bonjour. Ce n’est pas dans mes habitudes de laisser mon numéro à des inconnus mais vos paroles m’avaient fortement troublées. Merci.
- Avec plaisir. Mes paroles étaient sincères
- Arrêtez-vous me faites rougir
- Pourtant vous devez avoir l’habitude
- Pas du tout
- Eh bien les jeunes de nos jours ont de la merde dans les yeux
- Je ne suis pas ce qu’on appelle un canon de beauté.
- Permettez-moi de ne pas être d’accord. Quand on a dix-huit ans je veux bien mais à votre âge l’attirance des hommes est plus grande pour les femmes rondes
- Pourquoi quel âge pensez-vous que j’ai ? me demande t’elle
- 25 ans
- Ah non j’en ai moins
- Combien ?
- 19
- Je n’aurai pas cru. Vous ne faites pas gamine
- Merci
- En effet dans ces cas-là souvent les garçons de votre âge sont obnubilés par le culte de la minceur
- Malheureusement oui
- Ne vous inquiétez pas cela ne dure pas
- J’espère car je vis plutôt mal cette situation. C’est pour cela que vos paroles m’ont tant marqué.
- Après si je peux me permettre…
- Oui ?
- Vous ne vous mettez pas en valeur
- C’est-à-dire ?
- De mes souvenirs que ce soit niveau vestimentaire ou maquillage vous pourriez faire ressortir vos atouts
- Et quels sont-ils ?
- Votre visage déjà. Il est harmonieux. Vos yeux sont pleins de charme. Un joli maquillage léger et il serait resplendissant
- Merci
- Et ensuite… et surtout même votre tenue vestimentaire. Je me rappelle parfaitement votre veste qui cachait toutes vos formes.
- J’ai du mal à m’habiller autrement
- Tiens là comment êtes-vous habillée ?
- Je suis en jogging sur mon canapé
- Voulez-vous que je vous aide un peu ?
- Oui je veux bien
- Alors allez enfiler la tenue que vous mettez habituellement quand vous sortez et envoyez-moi la photo
- D’accord

Moins de 5 minutes après je reçois sa photo. Elle est habillée d’un pantalon noir plutôt large. Elle porte aussi une veste noire qui cache sa poitrine. Malgré tout il me semble détecter une forte poitrine. Je vais aller plus loin pour voir ses formes. Je lui envois alors :
- Exactement ce que je pensais. Un pantalon et une veste qui ne mettent pas vos formes en valeur. Avez-vous dans votre garde-robe une tenue plus légère type robe printanière ?
- Non je n’ai pas ça
- C’est dommage j’aurai pu vous aider à prendre conscience de votre beauté
- À moins que…
- Oui
- Je peux en piquer une à ma grande sœur nous faisons à peu près la même taille
- Eh bien faites ça et renvoyez-moi la photo
- D’accord

J’attends de longues minutes avec un certain frétillement dans mon caleçon. Au bout d’un bon quart d’heure je lui envoie :
- Tout va bien ?
- Non
- Que se passe-t-il ?
- Je suis affreuse
- Je suis sûr que non. Faites-moi confiance
- D’accord mais ne vous moquez pas
- Cela ne risque pas

Je reçois aussitôt la photo. Ludivine porte une robe bleue à fleurs blanches qui s’arrête au-dessus du genou. Comme je le présageais sa poitrine semble imposante même si comprimée dans une brassière. En tout cas cela confirme mes suppositions : elle a tout ce qu’il faut pour être à tomber. Je lui réponds :
- Qu’est-ce que vous êtes belle !
- Arrêtez, je suis affreuse
- Absolument pas. Cette robe vous va parfaitement
- Je trouve qu’elle me grossit… notamment au niveau des fesses
- Il faudrait que je vous connaisse pour en juger mais je suis sûr que votre postérieur est superbe
- Il est difforme
- Je suis sûr que non. Si cela ne vous dérange pas envoyez moi une photo et je vous dirai
- Non je n’oserais pas
- Qu’est-ce que vous risquez à part vous rendre compte que j’ai raison ?
- Me ridiculiser
- Je vous promets que ce ne sera pas le cas
- D’accord. Mais ne vous moquez pas je ne m’en remettrais pas
- Promis

Je reçois la photo prise de dos. Son postérieur étire majestueusement sa robe. Seul bémol : une grosse marque de culotte transparaît sur la robe cassant un peu les formes. Je ne la fais pas attendre et lui réponds :
- Votre postérieur a l’air fantastique
- C’est vrai ?
- Oui. Si vous voulez tout savoir j’ai immédiatement eu une réaction incontrôlée
- C’est-à-dire ?
- C’est-à-dire que mon caleçon s’est tendu
- Réellement ?
- Oui je vous promets
- Montrez-moi
- Comment ça ?
- Je viens de vous envoyer deux photos, à vous de m’en envoyer une
- C’est plutôt juste. Mais je suis à l’extérieur avec du monde autour
- C’est bien ce que je pensais ce n’est pas vrai
- Mais si
- Je ne vous crois pas
- OK OK je vais trouver une solution.

Je vais aux toilettes et prends la photo demandée. Je reviens dehors et lui envoie. Elle me répond :
- En effet c’est flatteur
- Et encore vous pouvez faire beaucoup mieux
- Comment ?
- La robe est jolie mais je pense que d’autres coupes seraient divines sur vous. Mais le plus gros point ce sont vos sous-vêtements. Avez-vous de jolis dessous type soutien-gorge un peu travaillé et tanga ou string ?
- Non je ne porte pas ce type de vêtements
- C’est dommage ça vous irait si bien. Vôtre brassière compresse une poitrine qui ne demande qu’à s’exprimer et votre large culotte casse vos lignes
- J'ai bien essayé une fois quelque chose de plus sexy mais je ne me suis pas trouvée belle
- Pourtant je pense que vous feriez tourner la tête de plus d’un homme
- Je ne suis pas sûre
- Oh que oui. Tiens êtes-vous prête à faire quelque chose d’un peu fou ?
- Ça dépend quoi
- Enlevez votre soutien-gorge et votre culotte et reprenez la photo
- Toute nue ?
- Non avec la robe. Mais si vous voulez en prendre une nue je ne suis pas contre. A part que je risque de ne plus pouvoir me lever
- J’aimerais bien voir ça
- Je vous promets que je risque de rester longtemps assis dans ce café
- Je vais déjà prendre la photo habillée
- Allez-y j’attends avec impatience

Deux minutes plus tard je reçois deux photos. Sur la première Ludivine est de face. Ses seins ont pris leur volume mais ça se voit que ce n’est pas sa robe car ils ne rentrent pas bien dans le bustier. Mais sa poitrine semble toutefois particulièrement harmonieuse malgré une belle taille. Sur la deuxième Ludivine est de dos. Ses fesses ont pris leur taille réelle et comprime la robe qui remonte pour la peine un peu plus. Je suis en admiration devant ses formes. Mon sexe commence à vraiment être à l’étroit dans mon jean. Je reste subjugué devant cette sublime image. Je ne sais pas pendant combien de temps je reste bloqué. Ludivine me renvoie un message :
- C’est si horrible ?
- Pardon ? Absolument pas. Au contraire. Je suis resté bloqué devant cette œuvre d’art
- Alors verdict
- Vos formes sont magnifiques
- Merci c’est agréable à entendre
- C’est sincère
- Pourquoi avoir mis tant de temps à répondre ?
- J’étais plongé dans mes pensées
- Et quelles étaient-elles ?
- Désolé mais vu votre âge je ne peux vous les raconter
- Je suis majeure vous savez
- Oui mais peut être vierge
- Non je ne le suis pas…. Mais je n’ai eu que deux malheureuses expériences
- Pourquoi malheureuses ?
- Car ça s’est plutôt mal passé et que je n’en ai pas tiré de plaisir
- Et seule y arrivez-vous ?
- Je n’ai jamais trop essayé.
- Pourtant c’est la base du plaisir de connaître son corps
- Alors qu’elles étaient vos pensées ?
- Écoutez, je vous propose un deal
- Lequel ?
- Je vous raconte mes pensées et vous reproduisez ce que je raconte en réalité
- D’accord je veux bien essayer
- Alors je m’imagine arriver vers vous. Je pose mes mains sur vos hanches par-dessus la robe. Je remonte sur vos seins puis votre cou et enfin votre visage. Je vous embrasse tout en passant mes mains sur vos cuisses dénudées. Je remonte sur vos fesses en soulevant la robe sans jamais arrêter de vous embrasser. Je continue de remonter mes mains sur votre peau et finis par vous enlever la robe. J’arrête de vous embrasser pour contempler ce merveilleux corps. C’est comme la découverte d’une œuvre d’art. Tout mon être est touché. Que ce soit physiquement bien sûr mais émotionnellement aussi. Vous êtes tout simplement belle… Tout va bien pour vous ?
- Parfaitement bien. Continuez, s’il vous plaît
- Je vais continuer. Mais avant dites-moi ce que vous ressentez
- Je ressens des palpitations… dans mon vagin.
- C’est normal c’est l’excitation qui commence. Respectez-vous notre accord ?
- C’est-à-dire ?
- Êtes-vous bien nue ?

Comme réponse je reçois une photo de Ludivine. Elle est bien nue. Elle est magnifique. Ses seins sont de très belles tailles mais grâce à sa jeunesse tiennent plutôt bien. Elle a des larges mamelons surmontés de tétons complètement aplatis pour l’instant. Son ventre n’est pas si imposant que ça… contrairement à ses hanches qui sont bien larges. Elles donnent envie de les prendre dans ses mains et de les parcourir sous toutes les coutures. Son pubis n’est pas trop entretenu mais ce n’est pas la forêt vierge non plus. Cela mériterait juste un peu de rafraîchissement. Puis vient le chef d’œuvre : ses cuisses. Elles sont larges, parsemées de grains de beauté, bien épilées, bref elles sont parfaites. J’imagine un joli tatouage dessiner ses courbes et remonter sur les fesses. C’est bon je bande bien dur. Je lui envoie :
- Somptueux. Je suis sous le charme. Et je peux te dire que je bande comme je n’ai pas bandé depuis longtemps.
- Merci
- C’est sincère. Je continue alors mon histoire. Je contemple votre corps avec les yeux pétillants de désir. Je suis particulièrement sensible à vos magnifiques cuisses. Leurs formes, leurs volumes, leurs textures… tout est parfait. Mais vos seins ne me laissent pas indifférent non plus. Mais j’y reviendrai plus tard. Avant toute chose je veux découvrir le clou du spectacle : vos fesses. Je passe alors derrière vous et reste ébahi devant ses montagnes voluptueuses. Vos larges hanches dévoilent toute leur splendeur sous cet angle de vue. J’en prends plein les yeux… mais je ne compte pas m’arrêter aux yeux. Je m’approche de vous et pose mes mains sur vos épaules. Votre peau est douce. Elle réagit à mon contact en déclenchant des frissons. Ceux-ci parcourent votre échine et descendent jusqu’à vos fesses. Je vois votre peau se dresser sous ce frisson notamment sur cette zone déjà objet de mes fantasmes.

Je suis interrompu dans ma succession de message par une photo de Ludivine. Elle se tient debout et prend une photo d’elle à travers le miroir afin que je voie son profil arrière. Grâce au reflet du miroir je vous aussi un sein qui cette fois est bien plus tendu que la première photo. Mes messages ont donc un effet sur elle. Je lui envoie :
- Mon Dieu ! Quelle beauté ! Ça ne va pas de me prendre comme ça par surprise ! Je ne vais pas pouvoir me lever pendant des heures avec vos provocations
- C’est pour illustrer votre récit
- Je peux vous dire qu’il n’y a pas que le récit qui va être illustré. Mon caleçon ne sortira pas indemne de cette aventure
- Continuez votre histoire s’il vous plaît
- Cela vous plaît ?
- Oui je n’ai jamais ressenti ces sensations auparavant et j’aimerais aller plus loin
- Alors je continue. N’hésitez pas à reproduire avec vos mains ce que je vous décris
- Je vais essayer
- Alors j’ai mes mains sur vos épaules. Je descends le long de votre dos. J’attrape vos hanches dont je fais le tour. Mes mains se retrouvent sur votre ventre et remonte sur vos seins. Je glisse mes doigts sous vos globes pour atteindre leur base. Je les soulève en suivant leurs magnifiques formes. Mes doigts arrivent en contact de vos mamelons puis de vos tétons. Ceux-ci sont déjà durcis de mes précédentes caresses. Je les pince légèrement ce qui les rends durs comme du béton. Je fais alors le tour pour faire face à vous. Je souris fièrement d’être en présence d’une si belle femme. Je reprends vos seins dans mes mains et plonge ma langue sur vos tétons. Je les caresse du bout de la langue avant d’englober les mamelons dans ma bouche. Je sens votre respiration s’accélérer. J’imagine votre vagin se remplir de cyprine. Mais pour l’instant je fais durer l’attente et n’y plonge pas… enfin pas encore. Je m’occupe ensuite du sein droit car je ne veux pas faire de jaloux. Il subit le même traitement que son jumeau. Les deux sont bien durs et éborgneraient quelqu’un.

Je suis de nouveau interrompu par un message de Ludivine. C’est une nouvelle photo de Ludivine. Elle fait un zoom sur ses deux seins avec les tétons qui ressortent bien.
- Exactement comme ça, je continue. Une fois qu’ils ont eu leur compte je remonte vous embrasser tout en gardant mes mains sur vos seins. Lentement ma main gauche descend sur votre ventre puis sur votre pubis. J’écarte vos cuisses pour me faciliter l’accès puis arrive enfin à vos lèvres. Elles ne sont pas autant humides que ce que j’aurais pensé. Mais vu votre inexpérience ce n’est pas non plus surprenant. Mais je vais remédier à ça. Je vous allonge sur le lit et me glisse entre vos cuisses qui s’offrent à moi. Je m’approche doucement comme un prédateur de ces lèvres entrouvertes. Mes narines se remplissent de cette odeur si irrésistible. Ma langue entre maintenant en contact de vos lèvres. Elles frémissent de ce toucher soyeux. Je dessine leurs formes puis remonte vers votre petit bouton. Il est tout emmitouflé. Mais je vais le libérer. Je le titille de ma langue pour le stimuler. Il gonfle légèrement sous mes caresses. Vous ressentez cette sensation jusqu’alors inconnue de plaisir intense. Pourtant je n'en suis qu’au début. Un doigt vient effleurer votre intimité ce qui génère la sécrétion de cyprine. Les premières gouttes viennent se poser sur ma langue. J’avale pour déguster ce qui est mon péché mignon. J’entreprends alors un cunnilingus digne de ce nom (essayez de vous caresser pendant que je raconte). Je parcours ce nouvel abricot de fond en comble. J’y ajoute bientôt un doigt pour vous stimuler aussi de l’intérieur. Rapidement un deuxième suit. Je les crochète pour augmenter vos sensations. Au mouvement de votre ventre je comprends que j’atteins mes objectifs. J’accélère la stimulation de mes doigts qui alternent entre cet antre de vie mais aussi votre clitoris maintenant bien excité. J’essaye de percevoir quels gestes vous procurent le plus de plaisir et insiste sur ceux-là (faites de même). Bientôt je trouve le bon rythme et insiste dessus. Les gémissements augmentent. Mes doigts coulissent facilement en vous et caressent habilement votre bouton. Je sens que le point de rupture est proche. Un dernier effort. Après ses longues minutes de délicieuse torture, vient enfin la libération. Un rugissement énorme jaillit de vous et s’extériorise par la voix mais aussi par des mouvements de légères convulsions. Vous atteignez un orgasme tonitruant qui vous emporte dans une autre dimension. Je ralentis petit à petit mes mouvements pour accompagner votre redescente puis je viens poser un délicat baiser sur vos lèvres. Les unes, puis les autres. Je passe ma main sur votre corps totalement relâché attendant que vous regagniez vos esprits. Tout va bien pour vous ?

J’attends patiemment la réponse. Elle tarde à venir. Je finis par lui envoyer :
- Vous êtes encore là ?
- Oui. Excusez-moi
- De quoi ?
- Je… je ne sais pas
- Je ne comprends pas. Mes propos vous ont dérangé ?
- Non. C’est juste que… je crois que j’ai eu un orgasme
- C’est votre premier ?
- Oui
- Tant mieux. Un conseil pour votre avenir : ne craignez pas de découvrir votre corps, d’expérimenter, de voir ce que vous aimez, ce que vous n’aimez pas. Votre vie sexuelle n’en sera que plus épanouie
- Merci
- Pas de problème. Allez, je vous laisse reprendre tranquillement vos esprits. Cela fait pas mal pour une première fois.
- Et vous ça va ?
- Je vais attendre une ou deux heures que je puisse me lever
- Lol. Et ça ne va pas vous faire mal
- Je ferais ce qu’il faut ce soir en pensant à vous. N’hésitez pas à relire mes messages pour vous motiver
- Merci de votre bienveillance
- Pas de soucis. Au revoir Ludivine
- Au revoir

Je reste sur la terrasse du café à repenser à cette jeune fille. Autant j’ai toujours été plutôt attiré par les femmes d’âge mûr autant l’apprentissage d’une jeune innocente ne me laisse pas indifférent…

Une semaine plus tard je reçois un texto de Ludivine :
- Bonjour. J’ai beaucoup pensé à vous cette semaine. J’ai lu et relu vos messages qui m’aident beaucoup à développer ma libido. Mais je reste toujours un peu sur ma faim…
- Bonjour. C’est normal l’appétit vient en mangeant. Maintenant il faut passer aux travaux pratiques
- Je ne suis pas encore prête
- Alors quoi ?
- J’aimerais que vous m’écriviez la suite des préliminaires de la dernière fois
- Comment ça la suite ?
- J’aimerais que vous me décriviez comment vous me feriez l’amour
- D’accord je comprends. Pour me mettre dans la situation comment êtes-vous habillée ?
- Je suis nue dans mon lit
- Ça commence bien alors.
- J’ai essayé de me masturber en relisant vos messages mais à force cela a moins d’impact maintenant
- Pourquoi à force. Vous avez beaucoup relu mes messages
- Un peu oui
- C’est-à-dire ?
- Plusieurs fois par jour
- Ah oui quand même
- Moi qui croyais ne pas aimer le sexe en fait j’adore ça
- Et encore vous n’avez pas goûté à grand-chose
- Justement j’aimerais plus
- D’accord. Puis je avoir un peu de motivation
- Comme quoi ?
- À vous de voir
- J’ai une idée

Je reçois alors une photo de Ludivine nue, allongée sur son lit, les jambes ouvertes. Magnifique
- Parfait comme motivation. Je reprends où j’en étais ou je repars du début
- Non continuez j’ai déjà relu la première partie
- D’accord. Je vous laisse un peu de répit après cet orgasme tonitruant. Puis je viens vous embrasser. Je passe mes mains sur votre corps. Vous me rendez mes baisers puis passez vos mains sous mon polo et me l’enlevez. Vos doigts parcourent mon torse, mon ventre et descendent irrémédiablement vers mon pantalon. Vous dégrafez le bouton qui vous sépare de l’objet de votre convoitise. Je vous aide en enlevant mon jean. Mon caleçon se tend déjà. Vous le voyez et cela vous plaît de savoir que vous êtes la cause de cette bosse. Vous passez votre main dessus. Ce contact pourtant non direct suffit à déclencher une érection totale. Tellement que mon sexe pointe son nez au niveau de l’élastique du caleçon. Il n’en faut pas plus pour que vous le libériez de sa prison de tissu. Il prend tout son ampleur et se montre sous son meilleur jour. Timidement votre main se pose dessus. J’aime ce doux contact tout en délicatesse. Tout en continuant de s’embrasser vous exercez de légers va et vient qui vous permettent de ressentir toute la chaleur de ce membre dressé que pour vous. Je ressens l’hésitation dans votre être pour la suite des événements. Ne voulant pas vous brusquez je décide de ne pas poursuivre les préliminaires. Je bascule sur vous. Je sens la crispation dans votre corps et un peu d’appréhension dans votre regard. Je vous embrasse en caressant votre visage. Vos plis se détendent. J’en profite pour mettre en contact nos sexes. Ils se disent tendrement bonjour en échangeant le fluide de leurs muqueuses. Mon gland vient délicatement ouvrir vos lèvres. Il s’humidifie de votre cyprine de façon à poursuivre son exploration trépidante. Centimètre après centimètre il s’introduit dans votre être. Pendant ce temps je ne cesse de vous embrasser, de vous caresser et de vous dire que vous êtes belle. Tout en douceur j’arrive en butée dans les profondeurs de votre corps. Les yeux dans les yeux je commence à naviguer dans cette mer de plaisir. Je vogue sur un océan de volupté. J’accélère petit à petit le rythme. Vos lourds seins commencent à rebondir sous mes coups de butoir. Votre visage se détend et laisse transparaître le plaisir qui monte en vous. Mes mouvements sont toujours sensuels mais plus fermes. J’attrape vos hanches pour donner plus d’ampleur aux ondulations. Les gémissements timides qui sortaient de votre gorge se transforment en rugissements. Vous semblez libérer une pression enfouie depuis longtemps. Voyant que toutes vos appréhensions concernant le sexe semblent s’envoler, je décide de passer à la vitesse supérieure. Je soulève vos cuisses et les remonte sur mon torse. Je peux ainsi rentrer encore plus profondément en vous. Tout d’abord doucement. Puis de plus en plus vite. Vous semblez au comble du bonheur. J’attrape le derrière de vos genoux pour ramener le bas de votre corps contre votre torse. Votre bassin est ainsi orienté de façon à ce que mon bassin s’encastre parfaitement en lui. Nos corps ne font plus qu’un. Je vous pilonne ainsi avec vigueur. Vous aimez ce sentiment d’être l’objet de mes désirs. Le plaisir envahit tous les pores de votre corps jusqu’à la jouissance. Vous expulsez votre bonheur de façon assourdissante. Mais contrairement au premier orgasme vous ne semblez pas rassasiée. Alors que je me retire vous vous relevez prestement et me projetez sur le lit. Aussitôt vous me chevauchez et vous empalez sur moi. Vous rebondissez allègrement sur moi. Vous n’êtes plus cette jeune fille timide et qui pensait ne pas aimer les plaisirs de la chair. Vous êtes une femme sûre d’elle et libérée. Vous vous redressez tout en continuant vos mouvements de hanches sur mon sexe. Que vous êtes belle ! Je caresse vos seins fièrement dressés puis vous tombez sur moi et nous nous embrassons tout en continuant notre connexion sexuelle. Je serre fermement vos hanches et vous donne un peu plus de rythme. Vous vous relâchez complètement sous cette emprise. La source de plaisir est continue et ne semble jamais se tarir. Notre chevauchée fantastique se poursuit longuement. Je sens que pour moi aussi le plaisir est tellement intense que si nous continuons je vais craquer. Mais pas avant de vous prendre dans ma position préférée. Je vous soulève donc et vous couche sur le ventre. Je me positionne derrière vous puis attrape vos hanches. Je les tire vers moi et vers le haut. J’écarte vos cuisses et entre en vous d’un coup. Vous en lâchez un râle de surprise. Je vous pilonne par derrière avec vigueur. Vos fesses ondulent sous mes coups de butoir. J’adore ! Cela me motive encore plus à continuer de plus en plus fort, de plus en plus vite. Qu’est ce j’aime cette position. J’aime tout : les sensations, le visuel, le sentiment de domination. Tout. Mais vu les forts gémissements cela n’a pas l’air de vous déplaire non plus. Je sens d’ailleurs que vous aussi êtes proche du point de rupture. J’insiste en agrippant vos hanches et en les claquant bien forts contre moi. Je tiens vos fesses bien hautes alors que votre visage reste collé au lit. Je fais le pari de donner ce qu’il me reste sachant que cela va me faire partir. Mais avec un peu de chance je réussirai à vous emporter avec moi. Je mets mes dernières forces dans cette levrette endiablée afin de conclure en beauté cette délicieuse expérience. Je retarde tant que je peux l’éjaculation. Mais ce n’est plus possible. La délivrance intervient et je me déverse en vous sans retenue. Le flux est abondant et puissant. Ces giclées se répercutent en vous et déclenche également votre jouissance. Nos corps en harmonie pendant ces si belles minutes s’accordent à monter au 7ème ciel à l’unisson. Que c’est beau les rapports humains quand ils sont partagés comme ça avec un plaisir mutuel, de la bestialité mais surtout beaucoup de respect… Une fois le moment passé je me retire et me couche à côté de vous. Je caresse votre dos puis nous nous endormons dans cette plénitude absolue.

Je stoppe mes messages et attends son retour. Celui-ci ne semble pas arrivé tout de suite. Alors que j’attrape mon téléphone pour lui envoyer un nouveau message j’en reçois un de sa part :
- Waouh ! Quel talent !
- Merci
- J’adore la façon dont vous décrivez les choses
- Je ne vous l’ai pas dit mais l’écriture est une de mes passions
- Ça se voit. J’en suis encore toute retournée
- Avez-vous réussi à libérer ce qui était coincé ?
- Oh que oui. Et je pense que je vais relire ces messages un paquet de fois
- Tant mieux
- Et vous, vous êtes-vous masturbé en écrivant ?
- Non je suis avec mon fils. Mais je repenserai à vous ce soir dans mon lit
- J’aimerais bien me coucher avec vous dans votre lit…
- Je suis un peu vieux pour vous
- Pas tant que ça. Et puis vous m’avez donné plus de plaisir à distance en une semaine que toutes mes expériences réunies
- C’est normal l’apprentissage du sexe n’est pas une chose aisée mais cela viendra. Ne vous mettez pas la pression et vous verrez que tout se passera bien
- Merci en tout cas de ce que vous faites pour moi
- Avec plaisir. Je vais en revanche vous laisser car c’est l’heure du bain
- Avec ce côté protecteur et attentionné du père de famille vous me faites totalement craquer.
- C’est flatteur de plaire à une si jolie jeune femme. Bonne soirée

Le temps de reprendre mes esprits et je retourne à la vie normale. Je m’occupe de mon fils puis du repas et enfin du coucher. Quand je redescends j’hésite entre écrire une nouvelle histoire érotique ou regarder un peu de porno. J’attrape mon téléphone qui était en train de charger et découvre que j’ai plusieurs messages en attente. C’est Ludivine qui m’envoie de la motivation pour le soir (selon ses termes). Il s’agit de photos d’elle. Une première nue debout de face, puis de dos. Magnifique. Puis une autre allongée sur le lit. Encore une avec la main sur son vagin qui écarte légèrement ses lèvres. Torride. Puis deux dernières. Une où elle est assise à califourchon comme si elle chevauchait quelqu’un. Et la dernière en levrette la tête collée contre le lit. Splendide. Toutes les photos ne sont pas superbement cadrées mais j’imagine qu’elle les a prises avec le retardateur donc ce n'est pas facile. En tout cas cela répond à ma question. Ce sera masturbation dans le lit en regardant ces photos. Je m’installe dans le lit en repensant à cette jolie jeune femme. Je ne comprends pas qu’elle puisse être attirée par un homme du double de son âge. Mais cela m’excite de penser à cette innocente à qui je pourrais tant apprendre. Il ne faut pas deux minutes pour que je jouisse. Je vais passer une bonne nuit.

Durant les jours suivants je pense beaucoup à Ludivine. Je me repasse ses photos régulièrement. Et à chaque fois je bande. Puis un jour Ludivine m’envoie un message :
- Bonjour. Pouvez-vous m’aider ?
- Bien sûr. Pour quoi faire ?
- Je suis en train de faire les magasins pour les soldes et j’ai du mal à choisir mes vêtements. Je me trouve trop grosse et donc pas sexy dans quasiment toutes les tenues
- Pas de soucis avec grand plaisir
- Voici une première tenue

Ludivine m’envoie une photo dans une robe noire qui fait plus parachute qu’autre chose. Je lui envoie :
- Effectivement cette robe ne vous met pas en valeur. Il vous faut quelque chose de plus moulant vu vos belles formes
- Vous croyez ?
- Faites-moi confiance

Cinq minutes après je reçois une nouvelle photo. Elle porte une robe bleu nuit très très moulante. Trop d’ailleurs :
- Très sexy… mais dans un usage privé. Pour sortir c’est plutôt limite
- Je m’en doutais que ça ne m’allait pas
- Je n’ai pas dit ça. Pour être honnête malgré la marque non sexy de votre culotte je bande à la vue de votre photo. Alors avec un string dessous je vous saute dessus. Mais en extérieur c’est d’autres types de femmes qui s’habillent comme ça
- C’est vrai je vous fais tant d’effets ?
- Et bien plus encore. Essayez d’autres tenues pour voir
- OK j’y retourne

J’attends avec impatience les nouvelles photos. Elle tarde un peu à venir. Mais le résultat est splendide. Elle porte une robe rouge bordeaux qui arrive aux genoux. Le décolleté est suffisamment ouvert pour montrer la belle forme de sa poitrine mais pas trop pour faire vulgaire. La ceinture serre bien sa taille et fait ressortir ses grosses fesses. Je m’empresse de lui envoyer :
- Vous êtes magnifique
- Pourtant je ne me trouve pas belle
- Oh que si. Pouvez en prendre une de dos pour voir comment elle fait ?
- Oui

Je reçois la photo de ses belles fesses. Malheureusement la marque d’une grosse culotte vient un peu tout cassé. Mais malgré ça je suis sous le charme.
- Je confirme cette robe vous met magnifiquement en valeur
- Merci. Mais je ne sais pas si j’oserai sortir dans cette tenue
- Pourtant vous feriez malheur. Moi je serai fier de me balader avec vous accrochée à mon bras
- Merci. Je suis touché
- C’est sincère. Juste si je peux me permettre…
- Oui
- Changez vos dessous. Achetez un tanga ou un shorty qui limitera la marque sur vos fesses et ça sera parfait
- C’est pareil ce n’est pas le genre de sous vêtement que j’ose porter
- Je suis sûr que ce serait somptueux. Mais de la jolie lingerie, pas du bas de gamme. Là où vous êtes-vous devez bien avoir un magasin de lingerie ?
- Oui il y a un Aubade
- Parfait. Si vous y arrivez, allez-y et vous ne serez pas déçu
- Je verrai…
- En tout cas vous pouvez prendre cette robe. On continue ?
- Ça a l’air de vous plaire
- J’adore. À la fois pour vous venir en aide… et aussi pour mes yeux
- Alors je continue

Ludivine enchaîne avec différentes tenues : robes courtes ou longues, jupe, pantalons, jeans, … Certaines lui vont parfaitement, d’autres un peu moins. Mais en tout cas elle va repartir avec une jolie garde-robe. Puis vient le chef d’œuvre. Ludivine porte un pantalon noir extrêmement moulant aux niveaux des fesses et des cuisses puis plus large au niveau des mollets. En haut elle a un t-shirt sans manches noir aussi très près du corps. Ce qui me marque c’est que sur cette photo je vois très distinctement qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Suit aussitôt une photo de dos. J’ai beau zoomer je ne vois pas de marques sur ces fesses. Les vêtements épousent parfaitement ses délicieuses formes. Je suis béat devant cette beauté. Après avoir récupéré un peu mes esprits je lui envoie :
- Waouh. Je suis scotché. Que vous êtes belle. Tout est parfait
- Merci.
- Portez-vous des sous-vêtements ?
- Non aucun
- C’est bien ce qui me semblait. J’adore. Si je vous croisais dans la rue votre image me poursuivrait pendant des jours
- Vous exagérez
- Absolument pas. Je suis bouche bée devant votre beauté
- Merci
- Merci à vous d’avoir ébloui ma journée
- Il reste un magasin où je souhaiterais aller
- Pas de soucis. Mais il sera très dur de faire mieux
- Pari retenu

Je me demande bien ce qu’elle me prépare. Puis je me prends à rêver d’essayage de lingerie. Après tout elle a l’air plutôt joueuse vu toutes les photos qu’elle m’a envoyé alors que nous nous connaissons à peine. Je bande rien que d’y penser. Puis vient le verdict. Et il est sans appel. Ludivine est bien dans un magasin de lingerie. Elle porte un ensemble corset tanga blanc avec un porte-jarretelle assorti. Absolument prodigieux. Je reste bloqué sur cette vision de rêve. Ludivine m’envoie :
- Ça ne va pas ? Je stresse de votre non-retour
- Excusez-moi j’ai beugué. Je n’ai pas de mot pour décrire cette œuvre d’art. Je pense que l’explication la plus explicite vient de mon pantalon qui est au bord de l’explosion. Il ne faudrait pas grand-chose pour que je parte. Vous êtes tout simplement splendide !
- Merci
- Mes mots ne sont même pas assez forts. Je tombe à la renverse. Et vous comment vous trouvez vous
- C’est la première fois que j’essaie quelque chose comme ça donc plutôt mal à l’aise
- Mais est-ce que ça vous plaît ?
- De savoir que ça vous fait autant d’effets oui. Sinon je trouve que cela me boudine un peu le ventre et les fesses
- Vos fesses sont exquises. Un chef d’œuvre. Pour le ventre je peux comprendre mais sachez que cela plaît à plus d’hommes que ce que vous pensez. Vous êtes belle
- Merci…
- Rendez-vous compte du potentiel de séduction que vous avez. Il est énorme
- Je ne me vois pas comme ça
- J’aimerais vous prêter mes yeux pour que vous vous en rendiez compte.
- Je crains toujours que ce genre de tenues attire des hommes malveillants
- C’est effectivement une possibilité. A vous d’être forte et prudente pour ne pas vous faire avoir
- Merci de toutes ces belles choses que vous me dites
- Ils ont autre chose dans ce magasin ? je lance pour en voir encore plus
- Oui vous voulez que je continue ?
- Je ne dis pas non
- D’accord

Et là s’enchaîne les minutes parmi les plus excitantes de ma vie. Ludivine essaie tout type de sous-vêtements : des tangas, des shortys, des corsets, des guêpières, des porte jarretelles, des nuisettes, …. Tout y passe. Elle est magnifique dans tous. Mêmes les culottes dont je ne suis pas friand lui vont bien. Je bande comme un cheval. Je commente au fur et à mesure les essayages. Puis vient le clou du spectacle. Ludivine m’envoie trois photos. La première de face où elle porte juste un bas bleu et soutient sa grosse poitrine en se regardant dans la glace. La deuxième de dos où je peux admirer ses belles fesses mises en valeur par son string qui épouse parfaitement ses formes. Et enfin la dernière est exceptionnelle. Ludivine a mis le string sur le côté, se tient penchée en avant les mains sur le mur de la cabine d’essayage, les seins ballants bien visibles vu que la photo est prise de ¾ avec ce texte : « Je vous attends… ». Je suis scotché par le jeu de cette jeune femme. Nous nous connaissons à peine mais elle fait preuve d’un potentiel exceptionnel. Elle a le charme et l’innocence d’une jeune femme mais la sensualité avec une touche de perversion d’une femme expérimentée. Autant jusqu’à présent j’étais dans une volonté d’apprentissage pour elle pour la suite de sa vie. Autant maintenant j’ai envie de jouer avec elle et pas qu’à distance. Je lui réponds à sa série de photos :
- Si j’étais là les murs de la cabine d’essayage trembleraient tellement je vous pilonnerais avec vigueur. Vous crierez à tel point que la vendeuse serait obligée de fermer le magasin pour venir participer avec nous à notre ébat endiablé.
- Oh oui continuez. Je suis toujours dans la même position et je me caresse en vous lisant…
- La vendeuse ouvrirait le rideau, remonterait sa jupe écarterait son string et viendrait se mettre devant votre tête. Elle prendrait votre tête et la plongerait sur son vagin déjà luisant. Vous goûteriez ainsi pour la première fois au jus d’une femme. Cette vision décuplerait mes forces et augmenterait la puissance de mes pénétrations. Vous arriveriez bientôt à la jouissance. Les contractions de votre vagin autour de mon sexe viendraient à bout de moi et je sortirais juste avant afin de repeindre vos fesses et le bas de votre dos de sperme. Je crois que je n’aurais pas d’autre choix que d’acheter ce string maintenant…
- Moi aussi je pense, me répond Ludivine avec une photo de ces doigts remplis de cyprine
- Superbe. Vous pouvez acheter le magasin tout vous va
- Merci. Pour les compliments et pour cet orgasme inopiné.
- A votre service. Mais je crois qu’après nos différents échanges nous pouvons nous tutoyer maintenant. Non ?
- D’accord. Je vais payer mes affaires et je rentre
- Bonne soirée alors et merci pour ces moments hautement excitants
- Merci pour ton aide pour choisir les vêtements aussi
- Pas de soucis à bientôt Ludivine
- A bientôt

C’est la tête pleine de belles images que je continue ma journée. Les jours défilent et mes masturbations ne suffisent pas à faire descendre la pression. Même deux aventures ponctuelles n’arrivent pas à diminuer mon désir pour Ludivine. Je décide donc de passer une nouvelle étape. Je récupère l’adresse de Ludivine et lui envoie un nouveau jouet : le Lush 3 de Lovense. Je la préviens d’un cadeau surprise imminent. Trois jours après je reçois un message de sa part :
- Salut. J’ai reçu ton cadeau. Merci je n’avais pas d’accessoires pour mes jeux solitaires…
- Pas que solitaire
- C’est-à-dire ?
- Qu’il est paramétré pour que je puisse le contrôler à distance
- Oui j’ai vu mais il faudrait que tu sois près de moi
- Non même de l’autre bout du monde je peux arriver à le contrôler
- C’est vrai ?
- Oui. Donc quand tu auras un petit moment tranquille nous pourrons l’essayer
- Oh oui j’ai hâte. Pourquoi pas maintenant ?
- Je suis avec mon fils mais quand il sera couché si tu veux
- D’accord je vais attendre cet instant avec impatience
- A tout à l’heure

Je suis moi-même impatient d’être à ce moment qui s’annonce magique. Le soir venu je lui envoie :
- Alors prête
- Je n’attends que toi
- Alors enduit l’objet du lubrifiant qu’il y avait avec et insère le en toi.
- Avec plaisir… c’est fait
- Maintenant détends toi. Concentre-toi sur tes sensations. Et écoute mon histoire qui va décrire ce que tu vas ressentir. Nous nous promenons dans un centre commercial. Tu portes un pantalon noir bien moulant au niveau des fesses ce qui fait clairement ressortir les marques de ton string. En haut tu as un débardeur rouge et un soutien-gorge assorti. Tu es simplement belle. Tu as inséré ton nouveau cadeau avant notre départ et nous sommes partis pour un moment de complicité intense. Nous nous baladons main dans la main. De mon autre main j’ai lancé l’application Lovense sur mon téléphone. Tout en déambulant devant les vitrines des magasins je commence à envoyer quelques impulsions. Tu réagis en me serrant la main. Je te regarde, te souris… et envoie une autre salve de stimulations. Tu me regardes en tournant la tête sur le côté. Tu te prépares à souffrir… pour ton plus grand plaisir. Tu rentres dans un magasin de décoration. C’est loin d’être ce que je préfère alors je te laisse naviguer dans le magasin. Je me poste un peu plus loin et peux utiliser plus librement l’application. Je joue avec tes sensations en faisant varier la fréquence et la puissance des impulsions. À plusieurs reprises je te vois te tenir aux rayons devant les secousses excitatives. Mais tu résistes plutôt bien. Tu achètes deux bricoles et nous continuons notre promenade. Je te propose de rentrer dans un magasin de chaussures. Tu acceptes sans te douter du piège que je te tends. Le vendeur t’accueille et te conseille différentes chaussures. Tu choisis de jolis talons pour aller avec une de tes robes. Tu t’assoies sur le banc et le vendeur s’accroupit pour te les enfiler. C’est le moment que je choisis pour déclencher de nouveau le Lush. Tu sursautes de surprise. J’accélère le rythme alors que le vendeur finit de mettre la première chaussure. Je sens que tu voudrais fermer les jambes mais tu ne peux pas. La vibration du jouet est faible mais doit être audible vu la proximité du vendeur. Au cas où je monte encore d’un cran. Tu lâches un gémissement que tu coupes. Le vendeur te regarde de façon interrogative. Toutefois il continue et met la deuxième chaussure. Je continue aussi ma torture passionnelle…. Une fois les deux chaussures mises tu te lèves. Mais tes jambes flagellent sous l’excitation et tu manques de tomber. Le vendeur te rattrape mais profite de l’occasion pour te toucher les seins. Le malin… Je te laisse tranquille le temps que tu testes les chaussures mais je sens que tu es à point…. Le vendeur nous regarde bizarrement. Je pense qu’il a compris notre petit jeu. Nous achetons les chaussures puis nous allons manger. Nous choisissons nos plats dans un self puis allons-nous asseoir à une table. Je profite de cette pause pour te laisser souffler… jusqu’au dessert. Là je reprends la stimulation de façon progressive. Plus ça va et moins tu arrives à manger. Tu finis par lâcher ta fourchette et poses les deux mains écartées sur la table. Tu halètes de façon visible. Mais dans un restaurant de ce type personne ne prête attention aux autres. En peu de temps tu jouis un peu bruyamment à tel point que plusieurs personnes se retournent vers nous. Pourtant je n’étais pas encore au maxi possible. Je me lève pour régler et partir avant qu’on nous vire du restaurant
- Tu peux t’arrêter là j’ai joui depuis un petit moment
- Et alors mon histoire ne te plaît pas ?
- Oh que si au contraire même.
- Alors laisse-moi continuer. Profite. Tu peux te caresser les seins et le clitoris en même temps si tu veux. Tu n’as pas encore découvert toute la puissance de cet objet
- Continue alors
- Après ce repas il nous reste un magasin de vêtements à faire. Tu es libérée d’un poids et tu te dis que la torture est finie. Mais c’est sans me connaître. Dans le dernier magasin tu veux essayer un pantalon que tu as vu en vitrine et deux robes. Tu essaie d’abord le pantalon. Il te va particulièrement bien. Cela réenclenche mon érection. Je décide alors de partager mon excitation avec toi. J’attends que tu sois de retour dans la cabine. Une fois la première robe enfilée je relance l’application et les stimulations. Tu es surprise par les vibrations. Tu avais presque oublié sa présence. Mais après le restaurant les sensations sont moindres. Enfin… pour l’instant. Tu sors pour te regarder dans le miroir. Je joue en montant progressivement le niveau. Mais au moment du changement de robe c’est encore gérable pour toi. Une fois le dernier essayage en cours je mets le mode Tremblement de terre. Tu peines à rester debout tellement cela te secoue. Tu rentres difficilement dans la cabine. De l’extérieur je t’entends gémir. Je maintiens la pression. Je n’entends bientôt plus que le bruit si caractéristique d’une masturbation frénétique. Je passe la tête par le côté du rideau et je te vois, à quatre pattes par terre, la robe relevée sur les hanches, en train de te caresser avec vigueur. La vision est superbe. J’aime être responsable d’un craquage dans un lieu insolite. Je jette un coup d’œil dans le magasin, il est désert. Juste la vendeuse qui est sur son téléphone derrière la caisse. Je rentre dans la cabine et referme le rideau. Je tâte ton vagin et finis la main trempée de cyprine. J’essuie mes doigts sur ton anus et sors mon sexe. Je le mets devant ton petit trou et entre sans difficulté. Je continue de te torturer avec ton jouet. Bientôt te voilà stimulée par tes doigts sur ton clitoris, le Lush dans ton vagin et mon pénis dans ton anus. Très rapidement tu jouis sous cette triple stimulation. Je ressors et te demande de te retourner. Tu te retrouves avec mon sexe à hauteur de visage. Tu le prends dans ta bouche et commence une fellation énergique. J’éjacule rapidement dans ta bouche. Tu ressors mon pénis mais un dernier jet finit sur ton visage. Tu es mignonne avec ton filet de sperme sur la joue et le nez. Je ressors de la cabine. La vendeuse n’a pas bougé. Je t’attends. Tu te changes et nous allons payer les vêtements choisis. Arrivé à la caisse je me tourne vers toi et découvre avec surprise que tu as toujours ma semence sur ton visage. La vendeuse te regarde très bizarrement mais ne semble pas comprendre. Nous payons et sortons en direction de la voiture. Plusieurs personnes te dévisagent. C’est notre première cumwalk aussi bien pour toi que pour moi. Nous arrivons à la voiture. Tu essuies ton visage, enlève le jouet et nous rentrons à la maison sans doute pour une partie de jambes en l’air endiablée…
- Merci
- Pour quoi ?
- Pour tout : le cadeau, l’histoire, les trois orgasmes, …. Tout
- Avec plaisir
- Et toi tu as joui ?
- Oui aussi…
- Super
- Ça t’a plu alors cette surprise ?
- C’est surprenant. Mais terriblement efficace
- Tant mieux. Nous pourrons rejouer une autre fois si tu veux. Mais tu peux aussi t’en servir toute seule
- Merci. Mais je pense que je vais vite m’en lasser
- Pourquoi ? Tu as pleins de modes pour des expériences différentes
- Oui mais je commence à en avoir assez. J’ai envie de toi, de te sentir près de moi… et en moi
- Tu sais Ludivine il vaut mieux que tu trouves un jeune de ton âge pas quelqu’un qui en a plus du double
- Toi seul a su allumer le feu en moi… et je ne veux que toi pour l’éteindre…
- C’est gentil cela me touche. Surtout d’une si merveilleuse jeune femme
- Je suis en vacances à la fin du mois de septembre. Est-il possible que je vienne passer quelques jours chez toi ?
- Est-ce vraiment ce que tu veux ?
- Au plus profond de moi
- Alors oui. Dis-moi quand et j’essaierai de prendre quelques jours
- Super. J’ai hâte de te revoir
- Moi aussi. Je vais te laisser. Passe une bonne soirée
- Toi aussi

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une très belle histoire sensuelle et erotique qui nous prend par la main et nous emmène au nirvana. C’est très bien écrit et le final super. Daniel

Histoire Erotique
Belle histoire très très érotique, une tension croissante, des descriptions sensuelles et détaillées, un bonheur à lire !

Un grand bravo !



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