Approche de la fin mars : dilatation et défonce

- Par l'auteur HDS Helenclass -
Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Approche de la fin mars : dilatation et défonce Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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Approche de la fin mars : dilatation et défonce
Cela fait 3 semaines que je n’ai pas jouis avec un sexe d’homme, je ne tiens plus, de plus les dates de départ changent quasiment tous les jours je ne peux rien prévoir, et pour finir nous n’allons plus en province. Bruno ne me décolle pas. Didier m’a envoyé un sms pendant ce temps et Pascal cherche plus ou moins à me baiser seul sans Didier. Je l’appelle mais sans résultats.
Karine ne va pas très bien et Sophie a des activités nocturnes intenses, en début de semaine, qui laissent des séquelles et qui n’arrangent pas son rendement productif. Elle se traînait, avait les traits plus que tirés, le teint livide et surtout des difficultés pour marcher, s’assoir, rester assise. Elle l’était toujours à moitié. Elle devait avoir des nuits plus qu’agitées, mais l’avantage est que ne l’entendait plus. Les autres collègues se moquent plus ou moins d’elle, je ne sais pas qui est celui qui lui fait sa fête comme cela, mais là, il y met du cœur. De mon coté, je m’ennuie profondément. Je suis sur mon téléphone pour guetter le moindre signal de Didier.
La date du départ est enfin fixée début avril, je suis soulagée (quelle salope), je vais pouvoir en fonction des disponibilités de Didier me rattraper. Je prends mon mal en patience, il reste encore 5 jours avec un we.
J’accompagne Bruno à l’aéroport, j’essaie de lui rendre le change avec un peu de tendresse. Sur le chemin du retour je ne perds pas une minute, j’appelle Didier, qui est encore sur messagerie. Je suis furieuse et furieusement en manque. Il me rappelle dans la soirée, je saute sur mon téléphone comme une adolescente. Il y a beaucoup de bruit derrière lui. Il me dit « nous sommes en voiture avec Pascal en montagne » Au vue du bruit je réponds « en voiture » Didier « oui j’ai ressorti ma petite voiture pour la décrasser de son hivernage » Moi « vous rentrez quand » Didier « demain soir normalement. Je t’appelle ».
Le lendemain je regardais l’heure toutes les 5 minutes, j’étais sur énervée, la journée était très longue. Le soir je marchais en direction du métro, je reçois un appel de Didier qui me dit « Bonsoir Ma chérie, nous allons arrivés à 19h00 environ, si tu veux venir passer la soirée avec nous »
Je savais qu’ils voulaient me baiser tous les deux, j’étais tellement en manque que sans réfléchir d’instinct ( de salope) je lui réponds « Oui pour ce soir » Didier « prend un taxi et soit à 20h00 à l’appartement, je te le rembourserai en arrivant ma chérie, j’oubliais viens en jupe courte plissée, sans culotte, porte jarretelles, chemisier blanc sans soutien gorge » moi « bisous à tout à l’heure. »
Je me disais que ces salauds devaient avoir les couilles bien pleines et que ça allait être ma fête.
Je commandais de suite le taxi et me dépêchais de rentrer. Une bonne douche, les ongles impeccables, du parfum partout. Je me préparais. Une fois arrivée, je sonne la porte s’ouvre, je prends l’ascenseur. C’est la délivrance, je sais que dans même pas 5 minutes je vais jouir. Didier m’ouvre la porte, je me jette à son cou et l’embrasse, je mouille comme une folle, je sens Pascal est derrière moi, Didier me retourne pour que je lui en fasse autant. Il me soulève et je m’empale sur sa grosse bite, je jouis presque immédiatement. Didier me dilate mon petit trou qui n’a pas été visité depuis trop longtemps, et me prend ? Je suis en double pénétration, quel bonheur. J’ai des orgasmes nombreux et profonds, je me libère, je mouille comme une chienne en chaleur. Pascal tape au fond de moi, ils me défoncent comme des salauds, j’ai un peu mal, mais je continue à jouir. Je jouissais tellement fort que j’avais de spasmes, mon corps réagissait sans contrôle aux orgasmes, c’était très bon. Je suis restée dans cette position environ 30 minutes. J’en profitais, en bonne vicieuse, aussi pour me regarder dans les miroirs de l’entrée, je pouvais apercevoir leur piston entrer et sortir de moi, ainsi que mes jambes, mes bas et mes talons hauts qui montaient et descendaient. Cela m’excitait d’autant plus. Ensuite Pascal a dit allons dans la chambre. J’étais dans ces bras empalée au plus profond de ce qui pouvait entrer. Il s’assit sur le lit s’allongea, j’avais les jambes pliées. Didier se présenta à l’entrée de mon vagin. J’ai eu beau lui dire « non non pas toute suite » il força et finit par entrée tellement je mouillais. Ils prirent place, mes chaires s’ouvraient lentement, Ils commencèrent un va et vient dont l’amplitude allait en grandissant et en s’accélérant. J’avais mal, mais je sentais le plaisir arriver. J’explosais en une succession de jouissances non contrôlées, mon corps ne répondait plus qu’au plaisir. Ils me traitaient de tous les noms. C’est la faim qui nous a arrêté, Pascal et Didier me jouissaient dans la bouche, une bonne quantité de sperme bien épais, il y avait de la réserve. Didier me dit « et bien ma chérie tu as la primeur d’un stockage de 3 jours ».
Nous dinâmes sur le canapé, moi assise au milieu d’eux les jambes bien écartées. J’étais empalée sur un plug et un god de bonnes tailles. Ces salauds actionnaient le gode vibrant. Je jouissais tellement que j’en bavais. J’étais tellement en manque que j’ai eu encore beaucoup d’orgasmes à m’en étouffer. Je voulais qu’ils me prennent. Moi « baiser moi » Pascal « pas si vite ma belle, il faut que tu ne te contrôles plus » Je mouillais abondamment, j’avais les fesses qui collaient sur la chaise. Didier me dit « et bien ma chérie, tu as vraiment envie » Moi « oui prenez moi vite ». Ils m’ont levée, retiré le plug. Didier m’a mise à genoux sur le bord du canapé et m’a sodomisée brutalement, j’eu un peu mal. Il me besognait en me traitant de tous les noms « tu as envie salope de te faire baiser, tu aimes ça des bonnes bites bien raides dans ton cul. Ne t’inquiète pas demain tu seras bien ouverte » je jouissais très fort. Il s’est retiré et Pascal est venu. « Je vais te défoncer sale pute, je vais t’éclater le cul » Il me matraquait. Didier est venu dans ma bouche et s’est vidé. Je l’aspirais pour le faire jouir au mieux. Il me tenait la tête en disant « vas bouffe moi la bite et avale tout ce sera ton dessert » Pascal fit de même. J’étais les fesses en l’air, la robe sur les hanches, mes orifices un peu douloureux par la violence des pénétrations. Nous sommes allés dans la chambre et Didier a ressorti l’écarteur. Moi « non tu ne vas pas recommencer avec ça » Didier d’un ton autoritaire « tais toi, tu es a nous, on va t’ouvrir complètement » Pascal me poussa sur le lit et me plaqua avec les jambes écartées. Didier approcha et introduit l’écarteur en moi en disant « tu vas voir Pascal le joli clitoris qu’elle a cette salope » Moi « non arrêtez je ferais tout ce que vous voudrez » Pascal « très bien on va t’ouvrir » Didier tournait la molette et je sentais mes chairs s’écarter. Ces salauds regardaient mon clitoris apparaitre. Pascal « qu’est qu’il est beau, bien rose, il est plus beau que ce que tu m’avais dit » Didier « attends de l’entendre hurler » Pascal « demain il sera à mon avis tout rouge » Moi « arretez » Didier commença à me masturber et l’orgasme arriva, je me tordais dans tous les sens, malgré Pascal qui me plaquait sur le lit les jambes bien ouvertes. Pascal « je ne l’ai jamais entendu hurler comme cela » Didier « attends un peu tu vas voir après » Didier poursuivait de plus belle. Pascal « je vais la faire taire » Didier « oui mets lui ta bite dans la bouche » Il monta sur moi, m’introduit son pieu au fond de la gorge tout en me repliant les jambes derrière ses bras. J’étais complètement immobilisée et étouffée. Ils me branlaient le clitoris et m’arrachaient des séries d’orgasmes profonds et incontrôlés. J’aspirais le pieu de Pascal, qui me le faisait coulisser dans la bouche. J’étais dans un état second, ils faisaient ce qu’ils voulaient de moi. Didier « maintenant on va changer. Pascal tu vas la sodomiser pendant que je vais m’occuper de son clitoris » Pascal « oui c’est une super idée » Moi « je suis fatiguée » Didier « tait toi, on va te défoncer jusqu’au petit matin » Pascal est venu et s’est introduit dans mes fesses qui était bien mouillées avec toute la cyprine qui avait coulée. Il s’est tourné. J’étais sur lui, sur le dos, sa bite au plus profond de moi, le vagin ouvert. Didier dit « On va la faire hurler maintenant » Il me cracha dans le vagin et recommença à me masturber. Lorsque l’orgasme est arrivé, il dit à Pascal « vas y défonce la maintenant » Il me pilonna les fesses en me poussant sur les hanches. Je jouissais tellement que j’en avais la tête qui tournait, je voyais trouble. Ils ont recommencé plusieurs fois. Je me vidais de toute mon énergie. Je ne me contrôlais plus. La seule chose que je peux dire est que j’avais beaucoup de plaisir. Lorsque Didier à retiré l’écarteur, je me suis empalé sur Pascal, à califourchon sur lui et Didier m’a sodomisé. Ils se sont déchainés sur moi. J’étais tellement fatiguée, que j’étais affalée sur Pascal comme une poupée de chiffon. Ils m’ont baisé jusqu’au petit matin. Pascal « je crois qu’on va arrêtez, elle a son compte » Didier « oui elle est fatiguée avec ce qu’on lui a mis » Je n’ai dormi que deux heures environ. En me levant le vendredi matin, j’avais mal partout, chaque mouvement de mon corps générait des douleurs, et surtout mon arrière train. Je n’avais pas subi de traitement intensif depuis presque un mois. J’avais la tête qui tournait. Didier me dit « tu veux passer le we avec nous » Moi « je peux même être disponible en début d’après midi » comme si j’en avais pas eu assez. Il m’a préparé un café bien fort pour me booster.
Didier « j’ai du travail cet après midi, vient ce soir si tu veux » j’avais envie de me faire éclater tout le we. Moi « ok ce soir 19h00 » Didier « bisous ma chérie »
J’arrivais au bureau fatiguée mais complètement vidée de toute nervosité. J’étais tellement fatiguée que je trainais les pieds et j’avais le tin livide malgré le maquillage.
Sophie en arrivant me dit « tu as fais des folies cette nuit » moi « oui ce sont des choses qui arrivent, toi tu n’en as pas fait en début de semaine et tu vas recommencer cet après midi » Sophie « oui »
Karine a une tête qui fait peur, elle est blanche, des cernes sous les yeux. Je lui dis « qu’est ce qui t’arrive » Karine « viens dans mon bureau, il est rentré ce matin au moment où j’amenais les enfants chez la nourrice, je n’ai pas dormi de la nuit, je lui ai téléphoné je ne sais combien de fois, il ne répondait pas, je me suis inquiétée ». Moi « il faut que tu te reposes, tu ne peux pas rester comme ça, tu ne tiendras pas, prend quelques jours ». J’ai limité les déplacements, même pour déjeuner, j’ai demandé à Karine d’aller me chercher un sandwich. Karine « tu as l’air complètement crevé » Moi « j’ai passé la nuit avec Didier, je n’ai pas beaucoup dormi » Karine stupéfaite « il avait la forme » Moi « de ce coté il l’a tout le temps ».

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