Après match 1
Récit érotique écrit par Stef [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2012 dans la catégorie Plus on est
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Après match 1
COUP DE COEUR HDS
Après Match
Un match de Hockey avec ton équipe « visiteur » préférée ne se manque pas.
Voilà 3 jours que tu y penses. Iras, iras pas ?
Ton hésitation ne dure que quelques heures.
Une heure avant tu te décides.
Lorsque tu enfiles tes bas noirs, ton excitation commence à naître. Une jupe, pas trop
courte, mi-genoux, est vite revêtue.
Une chemise blanche très transparente est ton choix pour le haut. Des chaussures à
talons et un blouson court mais bien chaud, finissent à t’habiller.
Tu ne portes rien sous ta chemise, rien sous ta jupe. Aucun sous-vêtement. Cela te
trouble…
3ème tiers temps, le score t’importe peu. Tu hésites encore !
La fin du match approche et tu te lèves.
Le chemin des vestiaires est long, tes jambes se ramollissent. Ton regard se trouble,
et tu n’entends presque plus rien. Juste les battements de ton cœur qui s’accélèrent
et une toute petite voix, douce, qui te dit : « Vas-y, vas-y, tu ne le regretteras pas
». « Oses ! Fonces ! Tu es belle ».
Tu ne vois pas les gens que tu croises, tu ne les entends pas vraiment.
Tu avances et t’arrêtes devant la porte du vestiaire.
L’équipe arrive. Une bonne quinzaine de mâles se dirige vers toi.
Ils ont gagnés et sont euphoriques.
Le premier qui s’approche te reconnais et sans un mot ouvre la porte et te fait signe
de rentrer.
Tu entres.
Les uns après les autres maintenant passent devant toi, et pour la plupart, te
reconnaissent. Certaines têtes te sont inconnues, et cela t’effrait légèrement.
Un grand nombre te salut : « Bonjour ; Waouh ; Quelle bonne surprise » ou bien encore
: « Salut ma belle ; Que du bonheur ! C’est sympa d’être venue »…
La porte se referme.
Quelques dizaines de minutes passent. Certains joueurs prennent leur douche, d’autres
sont venus t’offrir à boire et te parler. Bref, l’ambiance est détendue.
Tu te décides alors de le faire !
Tu poses ton verre et va te placer au beau milieu du vestiaire.
Là, tu enlèves ton blouson et le poses à tes pieds.
Quelques sifflets transpercent la pièce. Les garçons sous la douche rappliquent
immédiatement.
Un frisson parcourt ton corps lorsque tu aperçois quelques torses nus, certains velus
; des ventres aux abdominaux saillants où l’eau ruisselle encore dessus ; et des
sexes. Des sexes qui te paraissent magnifiques, d’une taille plus que respectable, et
qui, devant toi, semblent t’appeler…
Tu manques de t’avancer mais tu te retiens pour en rester à ton projet.
Sous ton chemisier, tes seins sont tendus comme rarement. Il est aisé de les voir et
chacun peu remarquer comme ils sont beaux. Leurs pointes repoussent comme deux
aiguilles ce tissu qui ne demande qu’à lâcher.
Tes mains montent lentement pour les caresser. Tes paumes de mains passent et
repassent dessus.
Tu t’attardes parfois sur leurs extrémités pour les faire rougir d’avantage.
Puis tu les empoignes, les serres fort et les relâches. Tes mains sont trop petites
pour les enfermer, ils sont gros, ils sont beaux.
Tu te mordilles les lèvres, tu te sens bien.
Un, deux puis trois boutons ne résistent pas à tes doigts.
Les suivants suivront sans difficulté. Ton chemisier est maintenant grand ouvert. Et
tes seins sont là, dehors, sans aucune pudeur, fiers et magnifiques.
Le spectacle l’est tout autant. Des murmures parcourent la pièce mais tu les entends à
peine.
Ta main droite glisse vers ta jupe. Elle en remonte lentement les bords.
Ta main gauche ne veut pas rester seule et la rejoint pour l’aider.
Tantôt tes bas apparaissent, tantôt ils disparaissent.
Au passage tu te caresses les cuisses, tes doigts glissent sur tes bas et ils en
profitent parfois pour remonter d’avantage ta jupe.
Ils s’aventurent maintenant sur l’arrière de tes jambes et petit à petit se dirigent
vers tes fesses.
Tes mains se font câlines sur ta peau douce.
Ce petit jeu dure plusieurs minutes. Le vestiaire en reste muet.
Le haut de tes cuisses et une partie de tes fesses sont alors constamment portés à la
vue de tous.
Ta jupe devient superflue, tu l’enlèves !
Te voilà uniquement en bas et chaussures avec ton chemisier grand ouvert. Ton
excitation redouble.
D’un geste assuré et sans retenu, tu diriges une main vers ton petit triangle.
Tu poses tes doigts dessus. Ils se mettent alors à remonter puis redescendre, avec une
lenteur exquise. Ton autre main est posée sur ta cuisse, et parfois tes yeux se
ferment pour mieux apprécier tes premiers frissons.
Soudain, tes doigts se font plus précis, et ils s’attardent sur les sillons de ton
sexe.
Tu sens immédiatement le résultat de ton excitation. Ce lubrifiant naturel va te
permettre de poursuivre ton chemin…
Lentement, un doigt, ton majeur, se glisse à l’intérieur de ta jolie fente.
Tu fermes les yeux et entrouvres légèrement ta bouche.
Tu restes ainsi inerte quelques secondes.
Puis tu reprends.
Tu pousses ton poignet, de plus en plus, pour faire en sorte que la pénétration soit
maximale. Et tu y arrives. Tu te masturbe !...
Le rythme, dès le début, est soutenu. Ton plaisir est immense.
Tes yeux se rouvrent et tu découvres alors le paradis : la totalité des jeunes mâles
devant toi sont quasi nus. Certains complètement, d’autres partiellement, mais ils ont
tous, sans exception, leur sexe à la main. Tu te retournes et découvres derrière toi
le même spectacle.
Tu excites tous ces hommes. Tu es ivre de bonheur.
A présent tu n’es plus seule à jouer.
Combien de sexes dressés vers toi t’entourent ? Tu ne veux même pas compter.
Tu accélères subitement tes vas et viens, et des picotements t’envahissent.
Tu stoppes.
Tes doigts ressortent de ton vagin. L’index et l’annulaire se collent au majeur.
Tes genoux fléchissent légèrement et tu écartes doucement tes cuisses
Tu replaces ta main devant ton sexe, et, lentement, introduis ces 3 doigts. Puis, tu
reprends ta masturbation.
Ton regard ne veut pas en perdre une miette. Toutes ces mains s’agitant sur ces sexes.
Tous ces hommes se masturbant autour de toi. Leurs yeux sont portés sur toi et les
tiens sur eux. Ou plutôt sur leur sexe. Au gré des mouvements ils apparaissent et
disparaissent dans le creu de leur main. Tu n’en aperçois parfois qu’une partie pour
en découvrir la totalité aussitôt après.
Ce petit jeu de cache-cache te rend folle. Attendre le moment où tu peux enfin
découvrir l’ensemble du sexe et t’émerveiller par sa grandeur ou sa grosseur devient
un supplice.
Ton regard les mange, tu veux les toucher, les sentir, les caresser, les lécher, les
engloutir…
Tu te décides à y aller.
Rien ne se passe. Ton corps ne te répond plus. Chaque partie de toi semble concentrée
sur le bonheur que tu es en train de te donner.
Sans control, ta main inoccupée remonte vers tes seins. Ses doigts effleurent tes
mamelons. Ils sont si sensibles que ce toucher va te faire vaciller. Tes jambes cèdent
et tu tombes à genoux.
Tes doigts se crispent en toi. Tes fesses se contractent avec force. Ta bouche
s’ouvre, et elle s’écarte de plus en plus. Tes poils se dressent. La première secousse
est fantastique et laisse échapper de ta gorge un râle de jouissance.
Tu es prise alors de frissons et de tremblements. La seconde vague va arriver…
Tu empoignes ton sein fermement et attends.
Elle se déverse en toi sans prévenir. Tes yeux ne peuvent plus être ouverts.
Sous la secousse, ton bassin recule et tu te plis en deux. Ta tête se redresse pour ne
pas perdre l’équilibre. Tes fesses sont bombées en arrière, légèrement écartées. Ta
bouche est grande ouverte et le cri qui s’en échappe est à la hauteur de ce que tu
ressens. Grandiose !
Les hommes qui te regardent sont subjugués par ce moment de beauté.
La secousse est passée mais le son de ta voix laisse encore entendre un gémissement de
bonheur.
Des petites secousses se succèdent et tu les accompagnes avec des sursauts.
La dernière vague est dévastatrice.
Tu es figée dans cette position, sur les genoux, penchée en avant, la tête relevée.
Tes trois doigts sont toujours en toi.
Tes yeux se ferment. La secousse te propulse en avant et tu te retrouve couchée sur le
ventre. La tête relevée, la bouche fermée sur tes lèvres.
Le choc est terrible de violence, de bonheur et d’ivresse.
Tes genoux s’écartent sans ménagement laissant à certains la vue sur tes fesses
grandes ouvertes.
Ta main lâche ton sein et va se poser à tes côtés pour maintenir cette posture. Tu ne
contrôles plus rien et es au bord de l’évanouissement.
Les sensations sont indescriptibles. Cela dure des secondes et tu profites au maximum
de cet instant.
Ta jouissance te transporte et te laisse là sans défenses !!!.........
Après Match
Un match de Hockey avec ton équipe « visiteur » préférée ne se manque pas.
Voilà 3 jours que tu y penses. Iras, iras pas ?
Ton hésitation ne dure que quelques heures.
Une heure avant tu te décides.
Lorsque tu enfiles tes bas noirs, ton excitation commence à naître. Une jupe, pas trop
courte, mi-genoux, est vite revêtue.
Une chemise blanche très transparente est ton choix pour le haut. Des chaussures à
talons et un blouson court mais bien chaud, finissent à t’habiller.
Tu ne portes rien sous ta chemise, rien sous ta jupe. Aucun sous-vêtement. Cela te
trouble…
3ème tiers temps, le score t’importe peu. Tu hésites encore !
La fin du match approche et tu te lèves.
Le chemin des vestiaires est long, tes jambes se ramollissent. Ton regard se trouble,
et tu n’entends presque plus rien. Juste les battements de ton cœur qui s’accélèrent
et une toute petite voix, douce, qui te dit : « Vas-y, vas-y, tu ne le regretteras pas
». « Oses ! Fonces ! Tu es belle ».
Tu ne vois pas les gens que tu croises, tu ne les entends pas vraiment.
Tu avances et t’arrêtes devant la porte du vestiaire.
L’équipe arrive. Une bonne quinzaine de mâles se dirige vers toi.
Ils ont gagnés et sont euphoriques.
Le premier qui s’approche te reconnais et sans un mot ouvre la porte et te fait signe
de rentrer.
Tu entres.
Les uns après les autres maintenant passent devant toi, et pour la plupart, te
reconnaissent. Certaines têtes te sont inconnues, et cela t’effrait légèrement.
Un grand nombre te salut : « Bonjour ; Waouh ; Quelle bonne surprise » ou bien encore
: « Salut ma belle ; Que du bonheur ! C’est sympa d’être venue »…
La porte se referme.
Quelques dizaines de minutes passent. Certains joueurs prennent leur douche, d’autres
sont venus t’offrir à boire et te parler. Bref, l’ambiance est détendue.
Tu te décides alors de le faire !
Tu poses ton verre et va te placer au beau milieu du vestiaire.
Là, tu enlèves ton blouson et le poses à tes pieds.
Quelques sifflets transpercent la pièce. Les garçons sous la douche rappliquent
immédiatement.
Un frisson parcourt ton corps lorsque tu aperçois quelques torses nus, certains velus
; des ventres aux abdominaux saillants où l’eau ruisselle encore dessus ; et des
sexes. Des sexes qui te paraissent magnifiques, d’une taille plus que respectable, et
qui, devant toi, semblent t’appeler…
Tu manques de t’avancer mais tu te retiens pour en rester à ton projet.
Sous ton chemisier, tes seins sont tendus comme rarement. Il est aisé de les voir et
chacun peu remarquer comme ils sont beaux. Leurs pointes repoussent comme deux
aiguilles ce tissu qui ne demande qu’à lâcher.
Tes mains montent lentement pour les caresser. Tes paumes de mains passent et
repassent dessus.
Tu t’attardes parfois sur leurs extrémités pour les faire rougir d’avantage.
Puis tu les empoignes, les serres fort et les relâches. Tes mains sont trop petites
pour les enfermer, ils sont gros, ils sont beaux.
Tu te mordilles les lèvres, tu te sens bien.
Un, deux puis trois boutons ne résistent pas à tes doigts.
Les suivants suivront sans difficulté. Ton chemisier est maintenant grand ouvert. Et
tes seins sont là, dehors, sans aucune pudeur, fiers et magnifiques.
Le spectacle l’est tout autant. Des murmures parcourent la pièce mais tu les entends à
peine.
Ta main droite glisse vers ta jupe. Elle en remonte lentement les bords.
Ta main gauche ne veut pas rester seule et la rejoint pour l’aider.
Tantôt tes bas apparaissent, tantôt ils disparaissent.
Au passage tu te caresses les cuisses, tes doigts glissent sur tes bas et ils en
profitent parfois pour remonter d’avantage ta jupe.
Ils s’aventurent maintenant sur l’arrière de tes jambes et petit à petit se dirigent
vers tes fesses.
Tes mains se font câlines sur ta peau douce.
Ce petit jeu dure plusieurs minutes. Le vestiaire en reste muet.
Le haut de tes cuisses et une partie de tes fesses sont alors constamment portés à la
vue de tous.
Ta jupe devient superflue, tu l’enlèves !
Te voilà uniquement en bas et chaussures avec ton chemisier grand ouvert. Ton
excitation redouble.
D’un geste assuré et sans retenu, tu diriges une main vers ton petit triangle.
Tu poses tes doigts dessus. Ils se mettent alors à remonter puis redescendre, avec une
lenteur exquise. Ton autre main est posée sur ta cuisse, et parfois tes yeux se
ferment pour mieux apprécier tes premiers frissons.
Soudain, tes doigts se font plus précis, et ils s’attardent sur les sillons de ton
sexe.
Tu sens immédiatement le résultat de ton excitation. Ce lubrifiant naturel va te
permettre de poursuivre ton chemin…
Lentement, un doigt, ton majeur, se glisse à l’intérieur de ta jolie fente.
Tu fermes les yeux et entrouvres légèrement ta bouche.
Tu restes ainsi inerte quelques secondes.
Puis tu reprends.
Tu pousses ton poignet, de plus en plus, pour faire en sorte que la pénétration soit
maximale. Et tu y arrives. Tu te masturbe !...
Le rythme, dès le début, est soutenu. Ton plaisir est immense.
Tes yeux se rouvrent et tu découvres alors le paradis : la totalité des jeunes mâles
devant toi sont quasi nus. Certains complètement, d’autres partiellement, mais ils ont
tous, sans exception, leur sexe à la main. Tu te retournes et découvres derrière toi
le même spectacle.
Tu excites tous ces hommes. Tu es ivre de bonheur.
A présent tu n’es plus seule à jouer.
Combien de sexes dressés vers toi t’entourent ? Tu ne veux même pas compter.
Tu accélères subitement tes vas et viens, et des picotements t’envahissent.
Tu stoppes.
Tes doigts ressortent de ton vagin. L’index et l’annulaire se collent au majeur.
Tes genoux fléchissent légèrement et tu écartes doucement tes cuisses
Tu replaces ta main devant ton sexe, et, lentement, introduis ces 3 doigts. Puis, tu
reprends ta masturbation.
Ton regard ne veut pas en perdre une miette. Toutes ces mains s’agitant sur ces sexes.
Tous ces hommes se masturbant autour de toi. Leurs yeux sont portés sur toi et les
tiens sur eux. Ou plutôt sur leur sexe. Au gré des mouvements ils apparaissent et
disparaissent dans le creu de leur main. Tu n’en aperçois parfois qu’une partie pour
en découvrir la totalité aussitôt après.
Ce petit jeu de cache-cache te rend folle. Attendre le moment où tu peux enfin
découvrir l’ensemble du sexe et t’émerveiller par sa grandeur ou sa grosseur devient
un supplice.
Ton regard les mange, tu veux les toucher, les sentir, les caresser, les lécher, les
engloutir…
Tu te décides à y aller.
Rien ne se passe. Ton corps ne te répond plus. Chaque partie de toi semble concentrée
sur le bonheur que tu es en train de te donner.
Sans control, ta main inoccupée remonte vers tes seins. Ses doigts effleurent tes
mamelons. Ils sont si sensibles que ce toucher va te faire vaciller. Tes jambes cèdent
et tu tombes à genoux.
Tes doigts se crispent en toi. Tes fesses se contractent avec force. Ta bouche
s’ouvre, et elle s’écarte de plus en plus. Tes poils se dressent. La première secousse
est fantastique et laisse échapper de ta gorge un râle de jouissance.
Tu es prise alors de frissons et de tremblements. La seconde vague va arriver…
Tu empoignes ton sein fermement et attends.
Elle se déverse en toi sans prévenir. Tes yeux ne peuvent plus être ouverts.
Sous la secousse, ton bassin recule et tu te plis en deux. Ta tête se redresse pour ne
pas perdre l’équilibre. Tes fesses sont bombées en arrière, légèrement écartées. Ta
bouche est grande ouverte et le cri qui s’en échappe est à la hauteur de ce que tu
ressens. Grandiose !
Les hommes qui te regardent sont subjugués par ce moment de beauté.
La secousse est passée mais le son de ta voix laisse encore entendre un gémissement de
bonheur.
Des petites secousses se succèdent et tu les accompagnes avec des sursauts.
La dernière vague est dévastatrice.
Tu es figée dans cette position, sur les genoux, penchée en avant, la tête relevée.
Tes trois doigts sont toujours en toi.
Tes yeux se ferment. La secousse te propulse en avant et tu te retrouve couchée sur le
ventre. La tête relevée, la bouche fermée sur tes lèvres.
Le choc est terrible de violence, de bonheur et d’ivresse.
Tes genoux s’écartent sans ménagement laissant à certains la vue sur tes fesses
grandes ouvertes.
Ta main lâche ton sein et va se poser à tes côtés pour maintenir cette posture. Tu ne
contrôles plus rien et es au bord de l’évanouissement.
Les sensations sont indescriptibles. Cela dure des secondes et tu profites au maximum
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