Après-midi coquine à la plage - histoire érotique

Il est une plage naturiste que j'affectionne au bord de la Méditerranée. Par son étendue, son côté sauvage, et aussi la possibilité d'y faire parfois des rencontres coquines.
De passage dans la région, je décide de faire un détour pour y passer l'après midi, me baigner, et qui sait...
Je ne suis pas attendu à destination avant la soirée. J'ai toute l'après midi devant moi.
Arrivé sur place, je m'éloigne du coin "textile" et marche un à deux kms, là où les hommes solitaires s'installent. Nombre d'entre eux sont gays, homo ou bi. Ils ont leurs habitudes. Des "niches" sont creusées dans le sable et délimitées par des morceaux de bois et branchages divers ramassés sur la plage.
Dans les dunes, on voit des hommes qui déambulent le nez et la bite au vent, si j'ose dire, à la recherche d'un éventuel partenaire de jeu.
Je reconnais un habitué, déjà vu les années précédentes. C'est un homme mature, intégralement très bronzé, chauve, plutôt bien conservé. De temps en temps, entre deux siestes il va se baigner ou se balader dans les dunes.
C'est là que je le croise. Je crois qu'il m'avait repéré et qu'il me pistait.
Son regard sur moi confirme son intérêt pour ma personne. Il me fait signe de le suivre et m'emmène jusqu'à une cachette dans les buissons à l'abri des regards.
L'endroit est proche du chemin où passent les gens. On risque d'être surpris, ce qui attise mon excitation.
J'aime être maté lorsque je me fais baiser.
Sans hésiter, il commence à me peloter les fesses, sucer les tétons. Il me branle et me fait bander, la queue tendue, hyper gonflée, je suis très excité. Son sexe en érection est plutôt épais, bien proportionné, intégralement épilé. L'homme me plaît et je n'ai qu'une envie, c'est de m'offrir à lui. Je me retourne et je me cambre vers lui, la croupe offerte, en m'appuyant à une branche. Le message est clair : j'ai envie que tu me prennes. Car je suis plutôt passif. Être baisé dans la nature est l'un de mes jeux favoris. Ça tombe bien, car visiblement c'est son intention. J'ai sur moi le nécessaire, préservatif, lubrifiant, kleenex, sachet pour ne rien laisser traîner. On peut être coquin et respectueux de l'environnement. Je suis gâté. Mon complice bande dur, la dimension de son sexe me convient parfaitement. Bien lubrifié, il me pénètre facilement, sans douleur. Je savoure cette caresse virile dans mon fourreau intime. Il va et vient en moi sans hâte. Lui aussi apprécie d'être en moi, de sodomiser mon beau cul épanoui.
Il me baise pendant quelques minutes, jusqu'à sa jouissance qui remplit la capote. Il a su me déclencher quelques orgasmes de la croupe avant de se vider les couilles.
Satisfaits tous deux de cette brève mais intense rencontre, nous regagnons la plage.
Je vais me baigner dans la mer froide, rafraîchir et laver mon petit cul.
Une petite sieste, un peu de repos pour récupérer de ces émotions et me voici de nouveau dans les dunes.
Par jeu, sans doute pour tester encore mon sex appeal auprès des messieurs.
En repassant devant la niche de mon partenaire, je m'aperçois qu'il n'est plus seul. Un homme à la chevelure et barbe grises se dresse pour me voir lorsque je passe devant eux. Et ô surprise, il sort de son coin et me suit. J'avance jusqu'aux dunes et j'attends.
Lorsqu'il s'approche, je découvre un homme mature, d'une soixantaine d'années, mince, au physique banal.
Par contre, je suis bluffé par son phallus.
L'homme est déjà en érection, le sexe bien tendu à l'horizontale. Un phallus bien proportionné, long, très épais, chapeauté par un beau gland bien rond. C'est tout à fait inattendu et je n'en reviens pas de ce superbe sexe, hors normes. Une fois de plus, je constate que le sexe des hommes n'est pas toujours en rapport avec leur corps et leur âge.
Toujours est-il que je suis fasciné par son sexe. Quand il me fait signe de le suivre, je n'hésite pas et lui emboîte le pas. Je ne suis plus maître de mes pulsions. Il m'emmène dans la cachette déjà utilisée. Son compagnon, mon premier complice nous a rejoint et me demande s'il peut se joindre à nous. Oui, bien sûr.
J'ai alors deux hommes pour s'occuper de moi, deux mâles virils, dont un étalon.
Très excité à la perspective de recevoir en moi ce magnifique braquemart, je le caresse, soupèse, puis lèche avec gourmandise. Puis, je prends ma pose de salope qui s'offre, penché en avant, cambré, la croupe offerte. Un voyeur qui traînait par là nous a rejoint dans le fourré. Sa présence me surexcite. J'aime être maté lorsque je prends mon plaisir obscène. Les yeux écarquillés par la vue de ma croupe ouverte à ce phallus, il se masturbe frénétiquement. Bien lubrifié, je prie mon baiseur d'y aller en douceur, car ton sexe est gros lui dis-je. Il me rassure et se positionne, me saisissant par les hanches. Son compagnon me titille les tétons, branle ma queue. Probablement assoupli par la précédente sodomie, sa pénétration se fait en douceur. La sensation est incroyable, je me sens très rempli, empalé sans douleur.
Je me laisse aller à ce plaisir intense, soumis à la virilité d'un mâle qui me désire avec son sexe puissant. Dans ces moments là, je me sens animal et femelle, car on me pénètre, dans ce que j'ai de plus intime. L'envie de jouir avec ma croupe, mon petit cul violé, envahi par le va et vient d'une belle queue, qui chauffe mes chairs. Mon anus dilaté devient une vulve chaude et souple, un doux fourreau dans lequel les pénis bandent, se tendent, se gonflent jusqu'à l'orgasme. Surexcité par la situation, je perds la notion du danger. Je me laisse entraîner par le plaisir qui me submerge entre mes fesses, dans mon fourreau. Les orgasmes se succèdent, plus ou moins fulgurants, je gémis et crie de plaisir, comme une femelle...
Je ne sais combien de temps cette copulation a duré, mais je me souviens que je n'en pouvais plus d'avoir joui, avec son phallus, l'un des plus beaux qu'il m'ait été donné. Nous avons terminé ensemble lui en éjaculant abondamment dans le préservatif et moi avec un dernier orgasme.
Après les avoir remerciés de ces moments avec eux, j'ai retrouvé mon coin de plage, rassasié, comblé, euphorique.
Je retournerai à cette plage et j'espère qu'ils seront là et ..en rut.