Aprés midi pédagogie ... - histoire érotique

Par une belle journée de début juillet, Dany mon mari propose que nous allions pique-niquer sur le bord d’un petit lac bordé de saules situé à vingt kilomètres de notre ville. Je sais par avance comment cela va se terminer, l’endroit discret est propice aux ébats, et même si c’est interdit, à la baignade sans maillot .

- Chéri, il ne nous reste plus de bières.
- C’n’est pas grave Louise, nous en achèterons des fraîches au petit super marché du bourg, avant de prendre la route qui mène à l’étang.

Ma femme a revêtu la petite jupe portefeuille que j’aime bien, en voiture, elle dévoile ses cuisses à mon bon plaisir, c'est-à-dire jusqu’au bombé de sa petite culotte, sous son corsage ses seins nus pointent, je dois me contrôler pour garder les yeux sur la route

Dany bande, j’en suis sûre ! Ses ongles courts viennent gratter le triangle bien rempli de mon tanga bleu, irradiant au passage mon clitoris et faisant pleurer ma foufoune, des poils humides passent au travers de la dentelle. Presque arrivés à destination, il se gare sur la place du village, juste à coté deux jeunes désœuvrés discutant appuyés sur un scooter. Dany traverse la rue en direction du magasin, j’ouvre ma portière pour laisser entrer un peu d’air, ce geste ne passe pas inaperçu aux yeux des jeunes, surtout que ma cuisse extérieure est très dénudée. Pour ‘m’amuser’ je pose mon pied sur l’entrée de la portière et la balance au gré de la musique rythmée de l’autoradio, ce qui dévoile le haut de ma cuisse , peut être même qu’ils peuvent apercevoir ma culotte ? Peut-être même qu’ils bandent ?

Quand je ressors du magasin le pack de bières à la main, je remarque tout de suite les jeunes gars qui ont les yeux rivés sur ma voiture… A vrai dire c’est plutôt sur ma femme… Sans me démonter, je vais vers eux, mon arrivée les surprend, ils sursautent !

- Pardon, les gars, pouvez-vous m’indiquer le chemin du lac ?
- C’n'est pas compliqué m’sieur, à la sortie du village, c’est la première à gauche, ne la ratez pas, car elle ne se remarque pas beaucoup, mais vous savez, la pêche est interdite !
- Nous n’y allons pas pour pécher, mais … Merci du renseignement, bonne journée !
- Au revoir m’sieurs Dame
- Au revoir les garçons !

Pourquoi mon mari a-t-il été leur demander la route alors qu’il la connaît par cœur ?

- Je ne peux pas te laisser seule sans que tu aguiches tous les coqs du village !
- Je n’ai rien fait chéri …
- Je plaisante ! N’empêche qu’ils ont dû bien se rincer l’œil !
- Hoooo, tu parles, juste un bout de cuisse ! Ils ne doivent pas avoir l’habitude de voir une femme sexy !
- De sexy à allumeuse ? Où est la barrière ? ! Je suppose que tu es bien mouillée ?
- Et qui va en profiter ?
- Tu ne perds rien pour attendre !

Arrivés au plan d’eau nous débarquons paniers et couverture à quelques dizaines de mètres pour nous isoler des regards et trouver une bonne place à l’ombre, au plus près de la berge. Nous nous asseyons, cet intermède de la place du village m’a excité, pourquoi pas prendre un ‘acompte’ avant de déjeuner ? Louise a ses cuisses complètement dévoilées et remontées vers elle, sa minette gonfle son slip, je l’attrape par le cou et la bascule sur la couverture.

- Dany ! Que fais-tu ? !
- Je bande, tu m’as trop allumé ma salope.

À quoi bon résister, c’est exactement ce que je désire, je m’alanguis, nos lèvres se joignent, la main de mon mari se faufile entre mes cuisses, je lui ouvre largement le passage, son membre pèse sur ma hanche, des doigts caressent ma vulve sous le tissu, déjà un peu partie j’entends au loin comme un ronflement mais peut importe, qu’il me baise mon salaud de mari !

Pendant que je fouille son vagin inondé, un bruit de moteur, plus précisément de deux roues me parvient. Bof l’étang est grand, pour nous dénicher ici il faut nous chercher, Louise cherche ma queue, j’écarte les jambes pour lui faciliter la besogne.

Le bruit a cessé ….. Dans ma main, la bite de Dany se cabre, je le branle amoureusement, j’aimerais bien sucer ce beau membre… J’interromps le baiser qui n’a pas cessé et essaie de me relever, il a compris ….

- Reste allongé chéri, je vais m’occuper de toi …
- Mets-toi à genoux un peu de coté, je vais te caresser en même temps.
- Si tu veux, je vais quitter cette jupe encombrante …
- Et moi mon pantalon ….
- J’ai rêvé où j’ai entendu des branches craquer ?
- Mai non voyons, ne rompt pas l’enchantement présent …Suces- moi mon amour.

N’empêche qu’elle a raison, des bruits suspects se reproduisent, placé comme je suis j’ai une vue dégagée sur les environs immédiats, tandis qu’elle me pompe merveilleusement et que mes doigts jouent avec ses trous j’observe... Et… Je vois deux têtes ! Deux visages que je reconnais, les deux salopiots du village ont mordu à l’hameçon ! Ils nous ont suivis ! Ils se contentent de mater et ça m’excite, j’appuie sur le dos de ma femme afin qu’elle se cambre et fasse ressortir son entrejambe, mes doigts vicieux écartent le fond de la petite culotte, la chatte est visible par les jeunes qui se sont relevés afin de mieux apprécier la scène, je vois aussi le mouvement de leur bras qui manipulent les verges tendues, ils savent que je les ai vu mais ne se formalisent pas pour autant, au contraire ils font quelques pas dans notre direction.

Pourquoi Dany a-t-il écarté mon tanga ? Ses doigts cherchent à ouvrir ma moule sans la caresser, comme s’il voulait l’exposer à des regards, je suis sûre que quelqu’un nous observe, au lieu de me choquer ça m’excite, mes coulées de cyprine redoublent d’intensité.

- Ne dit rien chérie, les deux jeunes du village nous épient, pourquoi les priver de la vue de ta chatte ouverte ?
- Muuuummmm …

Pour me prouver que ça ne la dérange pas elle redouble les sucions sur mon gland, encouragé par son audace je fais un signe de tête aux jeunes qui se regardent avant de se déplacer lentement vers nous sans lâcher ce qu’ils masturbent allégrement, arrivés à deux mètres ils s’agenouillent, les yeux leur sortent des orbites, ils sont là pour se soulager.

- Elle est belle ….
- C’est votre femme ?
- Oui, ça vous dirait de la caresser ?
- Lui caresser la chatte ?
- Bien sûr ! Elle n’attend que ça.

Chacun une main sur les fesses, ils n’osent pas venir rejoindre la mienne, alors je leur laisse l’entrejambe libre, mais le slip cherche naturellement à recouvrir la fente

- Enlevez-lui la culotte ce sera mieux pour la toucher.
- C’est vrai ? On peut ?
- Accroches l’autre coté Nathan, et tires en même temps que moi.
- Resserres les cuisses Louise sinon ils vont craquer ton slip.

Je sens le morceau de dentelle glisser sur mes cuisses, je soulève un genou après l’autre, le tanga se retrouve vite sur la couverture, à nouveau je sépare mon entrejambe, aussitôt quatre mains avides se ruent sur mon sexe, je recrache la queue de mon mari car il m’est impossible de me concentrer depuis que mes lèvres sont tiraillées de chaque côté.

- DOUCEMENT !!
- Allez-y mollo les gars ! Ne lui faites pas mal, qui veux la lécher ?

Ils s’interrogent du regard …

- Ça te dit à toi ?
- Non, et toi ?
- J’n’ai jamais fait ça, lécher une chatte de femme ? Beurk !
- Alors qui veut la baiser ?
- MOI !!
- NON ! MOI !!
- Ne vous battez pas, vas-y toi, après ce sera ton tour.

Deux mains tremblantes m’agrippent les hanches, une verge de taille modeste m’investit aussitôt la moule, il me pilonne nerveusement et maladroitement, mais c’est le ravissement de la jeunesse fougueuse.

- Elle peut me sucer pendant ce temps ?
- Tu veux lui faire chérie ?
- Approche petit !
- Petit ? J’ai dix-sept ans madame !
- Ton copain aussi ?
- Bien sûr !

Louise avale goulument ce membre effilé au gland bien découpé, son visage est à vingt centimètres du mien, je regarde le membre coulisser entre ses lèvres au gré des secousses infligées par le copain, soudain ma femme lâche la bite et la dirige vers moi …

- Vas-y, suces le toi aussi …

Après une brève hésitation, j’avale la tige mouillée de la salive de Louise, le jeune a sentit qu’il se passait quelque chose de pas normal et essaie de se retirer, mais ne sentant pas de différence, il se laisse faire, je pompe avec délicatesse comme j’aime qu’on me le fasse, la sensation de douceur du gland est formidablement agréable, il geint plus qu’avec ma femme qui essaie de me le reprendre.

- Repasses-le moi ! On va le faire coulisser entre nos deux bouches, d’accord ?
- Huuummmm huuummm … OK, approches-toi …

À présent, c’est la queue qui glisse entre nos lèvres, le jeune jubile de se faire sucer par un couple, son copain qui lime ma femme n’en revient pas et lâche tout dans le con de Louise qui se cambre.

- HAAA putain le salaud ! Tu te fais sucer par un mec ?
- Si tu savais comme c’est bon, ho merde, je vais jouir !

Louise et moi retenons la queue afin qu'il ne décharge pas sur la couverture, le premier jet nous échappe et fuse jusque dans l’herbe, le deuxième est happé par ma femme qui me repasse rapidement la queue, je la laisse finir dans ma bouche, les mecs pouffent de rire.

- Ho putain quelle journée ! M’sieur ? On peut changer de place ? Je voudrais bien la baiser moi aussi votre femme !
- Fait vite, après vous partirez.
- Je voudrais la prendre de face pour téter ses seins en même temps …

Louise s’exécute et s’allonge sur le dos, le jeune Nathan toujours en forme s’agenouille devant la moule éclatée qui recrache la semence de son copain. En appui sur les mains il guide son gland face au trou vaginal, la bite raide comme du bois entre presque violemment, son bas-ventre percute celui de ma femme qui accuse le coup.

- Quelle ardeur ! Baise-moi petit, tu l’avais déjà fait avant ?
- Oui …
- Menteur ! Il est puceau m’dame !
- C’est vrai ? Il ne faut pas avoir honte, vas-y, je te laisse faire.

Le jeune baise ma femme vigoureusement, comme s’il avait peur que je lui dise d’arrêter. Louise cerne son bassin avec ses grandes jambes pour essayer de freiner ses ardeurs, enfin il se calme et se penche pour happer un téton , à présent il lime lentement la chatte, sans doute qu’il craint d’éjaculer rapidement, que fait le deuxième me direz-vous ?? Il n’ose pas me le demander, mais sa queue parle pour lui, il a envie que je le suce.

Tandis que le jeune Nathan me fait l’amour, à travers mes cils, je vois mon mari à genoux qui tend la main vers la bite plaquée sur le ventre de son propriétaire, celui-ci ne refuse pas la fellation. Quelle journée pour nous aussi, deux jeunes puceaux éduqués par moi et Dany qui suce deux queues pour la première fois ! Pris de frénésie en voyant son pote se faire sucer lui aussi, mon jeune amant ne se retient plus et largue toute sa sauce dans mon ventre, mélangeant sa semence à la purée abondante qui suinte de ma moule, au même moment les joues de mon mari se gonflent, les reins creusés en avant l’ado fait don de son sperme à Dany qui déglutit avec appétit.

- Putain Nathan ! Il est plus de treize heures, nous allons nous faire engueuler.
- T’as raison partons vite !

Nous restons là comme deux couillons, souillés de sperme frais, avant de tomber dans les bras l’un de l’autre.

- Quelle séance ma chérie !
- Ça restera un souvenir inoubliable Dany chéri ! Baises-moi vite !

Soudain, une voix nous interpelle …...

- Excusez-moi messieurs dames ? Je peux prendre la suite des jeunes ???