après midi remplie - histoire érotique

Je suis de passage à Paris et je décide, ayant quelques heures libres, de me rendre dans un ciné porno que j’ai fréquenté autrefois. Il existe toujours, beaucoup ont disparu, laissant place à des cabines, ce que je n’apprécie pas toujours. Celui-la est toujours assez fréquenté. Deux salles, une en bas, l’autre à l’étage, celle que je préfère. Il y a des toilettes dont la lumière a disparu depuis longtemps et où se déroulent les ébats les plus chauds.
Aujourd’hui, entre autres, j’ai envie de sucer des queues et c’est là que j’en trouverai.
Je m’installe à quelques mètres des toilettes, le dos au mur et quand je suis habitué à l’obscurité de la salle, j’observe le va et vient des hommes. Tout de suite l’un d’eux qui était près de la porte me repère et vient se mettre à mes côtés. Du coin de l’œil je le vois se rapprocher de moi. Il entre au contact son pied se pose sur le mien. Je me dégage et me dirige vers les toilettes, j’entre dans la pièce très sombre. Il me suit, me pose la main sur l’épaule puis sur les reins. J’avance la mienne vers son bas ventre et je sens la bosse. Il accepte la caresse et m’entraîne vers le fond, se met face à moi, sort son sexe et me saisissant par le cou m’embrasse. J’ai saisi sa queue déjà gonflée et la tripote. Lui dégrafe ma chemise et ma ceinture et parcourt mon corps de caresses, me pince le bout des seins et me roule des pelles qui n’en finissent pas. J’aime bien sa queue, de bonne taille, dure et tendue, le gland assez prononcé.
Au bout d’un moment il me demande de me baisser et de le sucer ce que je fais sans hésitation. Je commence par sucer son gland, tourner la langue autour avant progressivement de l’engloutir. C’est bon, j’aime sentir une bite dans ma bouche. Longuement je le tète sans trop le serrer, je lui caresse les couilles que j’ai sorties. Il me fait relever plusieurs fois pour m’embrasser à pleine bouche avant de m’obliger à le sucer de nouveau. Pendant ces longues minutes je ne manque pas d’essayer de voir ce qui se passe autour de nous. De temps à autre quelqu’un allume furtivement une lampe ou un portable pour mater. C’est ainsi que je vois que nous ne sommes plus seuls. Deux types sont à nos côtés qui me regardent la queue à la main. L’un se branle et avance sa main vers mes fesses, profitant que je suis courbé vers le sexe de mon premier mec. Ses doigts me caressent doucement, me parcourent la raie. A ce moment mon type décharge violemment dans ma bouche, je prends tout et recrache sans pouvoir me relever. L’autre m’a saisi aux hanches et avance sa queue vers mon trou. Il force, cela me fait mal, très gros calibre. Je m’appuie sur le mur pour ne pas tomber, essaie de ma décontracter. Il pousse toujours et je sens que ça entre. J’ai mal mais j’aime me sentir baisé. Cela va beaucoup mieux quand son gland a passé l’anneau. Il me lime alors méthodiquement en poussant des grognements de plaisir. Cela dure et l’autre type qui était à coté me présente sa queue sur le nez. Je la saisis, elle n’est pas encore très dure mais je vois qu’elle est de belle taille. Je le branle, j’en ai plein la main et plein le cul.
Le type pousse de plus en plus fort . Je le sens décharger dans mon ventre. Sa queue mollit très vite et sors de mon cul entraînant le jus qui en coule. Je m’essuie d’une main et me redresse. Je continue à astiquer le troisième. Pas loin de nous il y a un type qui se fait mettre par un noir et qui gueule à chaque fois que l’autre s’enfonce. Trop grosse pour moi celle-la mais ça m’excite. Je m’aperçois que le type que je branle est un arabe, il me parle à l’oreille et m’embrasse, lui aussi me pince les seins et descend vers mes fesses pour me tripoter.
Je crois comprendre qu’il veut que je le suce. Je suis venu pour en prendre alors pourquoi pas.
Je prends sa queue en bouche . Elle est devenue sous l’effet de la branle énorme, j’ai du mal à la tenir entière mais c’est bon et chaud. Je n’ai pas pu relever mon pantalon et des mains me frôlent, m’envahissent, me branlent au passage. Comme la queue de mon type est bien horizontale, je m’accroupis pour le pomper. Un mec en profite pour se baisser et me glisser les doigts dans le cul, il me branle l’anus et tente de s’enfoncer le plus loin possible. Je jouis de tout mon corps. C’est la frénésie, des insultes me sont murmurées à l’oreille, je suis une pute, une salope, je prends du rond…
L’arabe me fait redresser, il veut me prendre par derrière, bien que j’ai le trou dilaté, il est trop gros pour moi alors je le finis à la main.
Je m’accorde un moment de pose, remets mon pantalon et ressort des toilettes mais j’ai été repéré et des types viennent me tourner autour en espérant se faire vider ou bien m’enfiler à leur tour.
Je suis retourné dans les toilettes et la fête a recommencé pendant longtemps, j’en ai sucé pas mal et me suis fait tripoter et enfiler plusieurs fois, je suis ressorti défoncé, le trou brûlant et trempé mais heureux et comblé de plaisir, j’y reviendrai.