April, en quête de sexe 12 - histoire érotique

Après une journée de cours éprouvante, je rentrais dans ma chambre d'internat. Aussitôt rentrée, je m'écroulais sur mon lit, épuisée. Je restais allongée sur le lit, habillée d'un mini-short en jean, d'un débardeur violet et je ne portais pas de sous-vêtements. Je restais ainsi quelques minutes quand la porte de la chambre s'ouvrit : c'était Ana, ma coloc brune à la poitrine avantageuse( 95D). Elle était habillée d'un jean moulant et d'un top noir très décolleté. Elle me vit allongée et me sourit :

- Qu'est ce que t'as, t'es fatiguée ?
- Oui mais ça va ne t'inquiète pas.
- Tant mieux alors parce j'ai quelques envies là.


Elle se mit doucement sur moi et m'embrassa tendrement. Je lui rendais son baiser doucement, ne désirant pas aller trop vite pour l'instant. Elle continuait à m'embrasser tout en posant ses mains sur ma poitrine pour la masser. Je gémis doucement sous ses caresses et je glissais ma main droite sous son top pour lui caresser le dos et mon autre main se faufila sous son jean, venant caresser ses fesses. Nous restâmes ainsi quelques secondes , chacune caressant le corps en chaleur de l'autre. Elle me retira mon débardeur, dévoilant ma superbe poitrine pointant de désir ; lentement, elle les prit en bouche, les lapant et les dévorant avidement. Je soupirais sous ses caresses, me tortillant de plaisir. Elle me massa les seins vigoureusement, mordillant mes tétons en me lançant des regards de braises. Elle me caressait vraiment bien et je dus me mordre la lèvre inférieure pour ne pas gémir. Elle continua de me procurer de douces caresses sur mes seins puis elle finit par être intéressé par une autre partie de mon anatomie. Elle retira mon mini-short et entreprit de me lécher l'entrejambe. Sa langue fouillait mon intimité, scrutant mes parois vaginales et caressant délicatement mon clito. Gémissante, je me tortillais sous ses habiles caresses, poussant des petits cris de satisfaction. Elle me léchait efficacement et elle me pinçait le clito, me procurant des vagues de plaisir intense. Elle mordilla ensuite mon clito et elle entra deux doigts en moi, me faisant crier de plaisir. Elle entreprit de lent va-et-vient, faisant monter le plaisir lentement mais sûrement. Alors que je gémissais doucement, elle accéléra soudainement ses caresses, me faisant pousser un grand cri de plaisir. Elle alla de plus en plus vite me faisant me tortiller sur le lit tentant de résister à l'orgasme qui montait en moi mais je ne pus tenir et je hurlais en me cambrant, jouissant de tout mon être sous son délicieux cunni. Mon plaisir descendit lentement, me faisant encore trembler sous la puissance de cet orgasme. Fière d'elle, Ana se redressa et s'agenouilla sur moi, en position dominante. Elle retira son top et retira son soutien-gorge, dévoilant sa somptueuse poitrine. Je voulus me redresser pour les prendre en bouche mais elle me cloua au matelas en posant ses mains sur ma poitrine, l'écrasant délicieusement. Elle me lança un sourire puis m'adressa la parole :

- Mmm t'es sexy vu d'en haut.


Elle semblait apprécier être au-dessus et m'empêcha de prendre l'ascendant. Mais elle ne perdait rien pour attendre :

- Toi, tu es superbe vu d'en bas.


Ce qui n'était pas de la mauvaise foi : agenouillée sur moi, dévoilant son corps de rêve ne demandant qu'à être dévoré, ses seins tenant magnifiquement bien même sans soutien-gorge, tout en elle appelait à la débauche. Avant que je puisse tenter quoi que ce soit pour la renverser, elle me tint le cou d'une main et porta son autre main à ma bouche pour me présenter son index. J'ouvris la bouche : d'un air de fausse soumise, je lui suçais son doigt, la regardant comme si j'étais en son pouvoir. Elle eut un sourire satisfait mais elle le perdit immédiatement : je lui pris ses deux poignets sans lui laisser le temps de réagir et je la fis basculer sur le côté. Elle poussa un cri de surprise et tenta de se redresser mais je ne lui en laissais pas le temps et je la plaquais contre le mur et je lui tins ses poignets au-dessus de sa tête. Elle se retrouvais donc assise, à ma merci. Sans attendre, je l'embrassais fougueusement, tournoyant à toute vitesse ma langue autour de la sienne. Alors que ma main gauche lui tenait les poignets au-dessus de sa tête, ma main droite investit son jean, se faufilant dans sa culotte et je la pénétrais sans attendre avec trois de mes doigts ce qui lui fit pousser un cri étouffé par mon baiser. Impitoyable, je la doigtais vigoureusement et sauvagement sans même lui retirer son jean et sa culotte. Je la doigtais à toute vitesse, la rendant folle, et je continuais à l'embrasser sauvagement pour l'empêcher d'exprimer son plaisir. Je la sentais se tortiller et essayer de s'échapper mais ma prise sur ses poignets était bien ferme et elle ne pouvait s'échapper. Je l'embrassais jusqu'à ce que je commençais à manquer d'air : je rompis alors notre baiser et descendis vers sa poitrine en embrassant son cou et sa clavicule au passage. Je lapais ses tétons tendus, lui arrachant des gémissements. Je lui mordis assez fort son téton ce qui lui fit pousser un cri de douleur. Je la consolais en accélérant mes va-et-vient en elle et en introduisant une quatrième doigt en elle. Elle criait de plaisir, exprimant dans de grands cris tout le délice que mes caresses lui procurait. Je lui léchais le tour de l'auréole, titillant le bout de son sein, la faisant frémir. J'accélérais encore la cadence, faisant encore plus crier une Ana très expressive : ça m'étonnerait pas que tout l'étage entende ses cris. Je continuais à la malmener avec mes va-et-vient dévastateurs en elle et elle finit par avoir un orgasme qui la fit hurler de plaisir. Son corps convulsait légèrement et elle poussait encore des cris de plaisirs. Ana était très bruyante quand elle jouissait ! Elle finit par se calmer et, retirant mes doigts de son intérieur, je l'embrassais tendrement la prenant dans mes bras pour la cajoler.


Nous restâmes ainsi quelques minutes, l'une dans les bras de l'autre, et nous nous assoupîmes, ravi de cette baise rapide.