April, en quête de sexe 25 - histoire érotique

Un samedi après-midi, j'étais chez Scott. Je savais que ses parents et son frère ne seraient pas là et que Scott n'allait pas tarder à arriver. Et comme j'avais les clés de chez lui, j'avais eue envie de lui faire une petite surprise sexy. Comme je ne voulais pas perdre de temps quand il arriverait, je m'étais déjà déshabillée ; je ne portais plus qu'un simple string et un soutien-gorge bleu ciel. Je m'admirais devant le miroir de la salle de bain : je me trouvais diablement sexy... et j'avais aussi les chevilles qui gonflaient de prétention devant ma beauté. Tandis que je m'admirais encore et encore, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir.


Enfin ! Je me rendis devant la porte pour sauter sur Scott... sauf que ce n'était pas lui. Et ce n'était ni ses parents, ni son frère non plus. C'était une fille. Et pas n'importe quelle fille :


Cette bombe avait des cheveux aussi blonds que les miens, attachés en queue de cheval. Elle avait un joli visage accompagné de deux beaux yeux verts. Elle portait un petit T-shirt blanc qui dévoilait son ventre et une bonne partie de sa poitrine. Pour le bas, elle portait un mini-short en jean. Et le reste de son corps, qui était libre de tout vêtements, était agrémenté de jolis tatouages.


La jolie blonde se mordit la lèvre inférieure et elle me complimenta :


- Mmm, t'es sacrément sexy toi... . Je peux savoir ce qu'une aussi jolie fille que toi fait ici ?


J'étais un peu surprise : je ne savais pas qui était cette fille, ni ce qu'elle faisait là. Je ne savais pas vraiment comment réagir :


- Euh... je te retourne la question, lui demandai-je d'un ton intrigué.


Elle s'approcha de moi en me lançant un sourire charmeur :


- Ben, à la base, je comptais coucher avec Scott, mais j'ai comme l'impression que tu es là pour la même raison. Scott est dans sa chambre ?


L'entendre dire qu'elle comptait se faire Scott me rendit un brin jalouse :


- Non il n'est pas là, il devrait pas tarder à arriver.Mais t'es qui exactement au fait? Lui demandai-je d'un ton interrogateur
- Moi c'est Clara. J'ai rencontrée Scott il y a quelques temps, depuis c'est devenu un plan cul régulier. Et toi, tu dois être April, c'est ça ?


Je haussai légèrement les sourcils


- Il t'a parlé de moi ?


Elle s'approcha encore de moi, son corps à quelques centimètres du mien :


- Oh oui, il m'a beaucoup parlé de toi, me dit-elle en se pinçant la lèvre inférieure. Je sais que tu l'as dépucelé. D'après ce qu'il m'a dit, tu es très douée au lit. Tu es dominante aussi à ce qu'il m'a raconté. Et il m'a aussi parlé de tes copines. Je dois avouer que je pensais qu'il mentait un peu. Il est très mignon, mais ça me semblait un peu gros qu'il couche avec tant de filles sexy. Mais maintenant que je vois à quel point t'es sexy, je me rends compte qu'il disait la vérité.


J'étais flattée de savoir qu'elle me trouvait sexy. Et le fait que ça sorte de la bouche d'une fille tout aussi canon me flattait encore plus.


J'eus soudainement une idée : j'étais venue chez Scott pour me le faire car j'avais envie de sexe. Malheureusement pour moi, il n'était pas encore arrivé. Par contre, mon envie de sexe était bien présente, et elle me tiraillait de plus en plus. Et devant moi, j'avais une sublime blonde qui, vu comme elle me regardait, devait aimer les femmes tout autant que les hommes. Alors je décidais d'assouvir ma soif avec cette bombe, et tant pis pour Scott, il n'avait qu'à arriver avant.


Je pris un ton légèrement arrogant et lui décochai un sourire narquois :


- T'es pas mal non plus. Même si je suis bien plus sexy que toi.


Clara eut un haussement de sourcils :


- Plus sexy que moi ? Vraiment ?


J'en rajoutai une couche :


- Y a pas photo ! Nos seins sont de la même taille, mais les miens sont beaucoup mieux ! Lui dis-je en soupesant mes obus.


Je me retournai et je me penchai légèrement :


- Et pour ce qui est de mon cul, je n'ai pas encore vue le tien mais je suis prêt à parier que j'ai un meilleur cul que le ti... aah.


Je ne pus finir ma phrase car elle me plaqua de face contre le mur. Sans attendre, elle descendit mon string et elle me mit une forte fessée. Clara me caressa, du bout des doigts, le dos au niveau de la colonne vertébrale. Elle me mordilla le lobe de l'oreille puis elle me susurra :


- Je te préviens, je ne serais pas douce avec toi.


Et elle enfonça trois doigts dans mon intimité, sans plus de préliminaires. Comme elle me l'avait annoncé, elle ne fut pas douce : elle me doigta à toute vitesse, sans aucune délicatesse, comme pour me punir. Mais elle se débrouillait très très bien, elle me branlait efficacement, me procurant un plaisir intense. Ma bouche restait ouverte, laissant des gémissements. Clara retira ensuite ses doigts de ma chatte et elle les rentra dans mon cul. Comme pour mon trou de devant, elle y alla à fond. Tandis que sa main droite me doigtait impitoyablement, sa main gauche vint titiller vigoureusement mon clito. Je sentis mon orgasme montait petit à petit, tandis que les lèvres de Clara déposaient de sauvages baisers sur ma nuque. Elle sentit que j'allais jouir alors elle me tira les cheveux pour rejeter ma tête en arrière. Elle me fixa et elle accéléra la cadence de ses doigts, me faisant pousser un long et bruyant. Elle continua de me baiser avec ses doigts divins jusqu'à qu'elle me fasse finalement jouir. Je poussai un grand cri de contentement tandis que Clara regarda mes yeux chavirer de plaisir.


Après m'avoir fait jouir, Clara me mit une nouvelle fessée. Elle se dirigea vers le canapé tout en retirant son mini-short. Elle retira ensuite sa culotte pour ensuite s'asseoir sur le canapé. Elle écarta ses jambes, me dévoilant sa chatte toute épilée, et elle me fit signe de m'approcher d'elle :


- Viens me lécher.


Encore un peu sonnée par mon orgasme, j'allai vers elle et je m'agenouillai : j'avais maintenant son entrejambe à hauteur de mon visage. Je posai mes mains sur ses cuisses puis je me jetais sur elle : je titillai d'abord son clito du bout de ma langue. J'infiltrai ensuite ma langue en elle et je la fis tournoyer. J'alternai entre sa chatte et son clitoris, ne m'occupant d'elle qu'avec ma langue, mes mains caressant sa cuisse. Je m'occupais d'elle de plus en plus avidement, la faisant gémir. Au bout d'un moment, elle me caressa les cheveux et elle me dit :


- Mmm, tu te débrouilles super bien. T'es vraiment douée, ma belle.


Enorgueilli par ce compliment, j'accélérais d'un coup la cadence ce qui la fit tressauter de surprise. Ma langue se mit à virevolter, tournoyant en elle puis autour de son clitoris. Je la léchais toujours aussi bien tandis que sa main se crispa dans mes cheveux. Elle eut un spasme et elle appuya encore plus ma tête contre sa chatte quand un orgasme la fit se cambrer de satisfaction.


Clara avait les yeux mi-clos et elle se mordillait la lèvre inférieure. Elle semblait sonnée par cette jouissance. Je profitais de la situation : je tirais sur ses jambes pour la faire asseoir par terre. Sans attendre, je remontai son t-shirt juste au-dessus de sa poitrine, poitrine dénuée de soutien-gorge. J'infiltrai sans douceur trois de mes doigts en elle et ma bouche se jeta sur son sein gauche. Clara eut un long gémissement. Elle voulut se redresser mais je l'en empêchai : je lui mordillai son téton et je la baisai violemment avec mes doigts. Du coin de l'oeil, je surveillais les réactions du visage de Clara : elle avait les yeux mi-clos, sa lèvre inférieure pincée. Son corps se tortillait, vibrant à chacun de mes va-et-vient et de mes coups de langues sur son téton. Je continuais à la faire vibrer puis j'arrêtais de m'occuper de son sein gauche : je me redressai légèrement et je la regardai gémir. Je la tins à la gorge et la forçait à me regarder :


- Mmm, te voir perdre la tête comme ça m'excite encore plus. Je vais vraiment prendre mon pied à te mettre à ma botte.


Clara me lança un regard noir et, entre deux gémissements, elle me répondit faiblement :


- … Salope...


J'accélérai encore la cadence de mes doigts ce qui la fit encore plus crier. Je continuais à la narguer :


- C'est toi la salope, à gémir au rythme de mes doigts.


Avant qu'elle ne continue à se rebeller, je pris en bouche son sein droit. Clara était toute tremblante, son bas-ventre ondulait au même rythme de mes doigts. Elle ne résista pas plus longtemps et elle finit par jouir : son corps se crispa tout comme ses mains, tandis que sa bouche s'ouvrit pour laisser s'échapper un gémissement.


Je me mis debout et je toisai une Clara, assise par terre, encore tremblante. Je pris son T-shirt et je lui retirai, la mettant totalement nue. Je me penchais vers elle et je lui déposai un bisou sur ses lèvres. Je lui pris le menton et je la regardai droit dans ses jolis yeux verts :


- J'ai bien envie d'essayer une partie entre filles dans le lit de Scott. Viens avec moi.


Je me redressai et je me dirigeai vers la chambre de Scott avec Clara sur mes talons. Une fois dans la chambre, je retirais mon soutien-gorge, m'assis sur le lit et je lui fis signe de me rejoindre. Elle ne fit se pas prier et elle vint entre mes bras pour m'embrasser langoureusement. Je la serrai dans mes bras, écrasant nos poitrines l'une contre l'autre.


Nous nous embrassâmes sensuellement pendant plusieurs minutes puis j'eus envie de passer à autre chose : je glissai ma main entre nos jambes et je titillai son clitoris du bout des doigts. Je voulus ensuite la renverser pour la faire jouir une nouvelle fois mais je n'en eus pas le temps : Clara se retira de mes bras et elle se glissa derrière moi. Avant que je puisse faire le moindre geste, elle enroula ses jambes autour de moi. Et malheureusement pour moi, mes bras étaient entre ses jambes. Je me débattis mais elle me tenait solidement. J'étais comme ligotée par ses jambes. Clara prit à pleine main mes seins, elle les pétrit fermement et elle tritura mes tétons entre ses index et ses majeurs. Je me mordis la lèvre de plaisir et je me débattis plus faiblement. Clara souffla doucement contre mon oreille, elle me mordilla le lobe de l'oreille avant de me chuchoter :


- Tu es super sexy et les orgasmes que tu me donnes sont extraordinaires. Mais j'aime pas trop te voir essayer de me soumettre. Je préfère t'entendre gémir comme une chienne. Et crois-moi, tu vas gémir comme jamais ma belle salope.


Je tentais de me libérer de son emprise mais elle tint bon. Tandis qu'une de ses mains continu à s'occuper de mes seins et à pincer mes tétons, Clara fit courir son autre main sur mon ventre. Elle caressa ensuite mon pubis juste avant de descendre sa main contre ma chatte. Elle ne rentra pas encore ses doigts, préférant caresser mes lèvres intimes et mon clitoris. Tandis que ses mains me caressaient, elle m'embrassa la nuque et le creux de mon cou, me faisant frissonner de plaisir. Elle rentra ensuite deux doigts en moi et elle commença à me branler lentement, très lentement. Tandis que son index et son majeur caressaient mon intimité, son pouce titilla mon clitoris. Clara me demanda d'une voix chaude :


- Tu aimes comme je te branles ?
- Oui mais je t'en prie, va plus vite.


Clara pinça gentiment un de mes tétons :


- Demandes-le moi encore.


Ma langue se glissa entre mes lèvres pour humidifier mes lèvres :


- S'il te plaît, va plus vite.


Clara me mordilla l'oreille :


- Puisque c'est demandé si gentiment.


Alors que je m'attendais à ce qu'elle accélère un peu, elle me prit au dépourvu : elle me doigta à toute vitesse. Je poussai un léger cri de surprise et de plaisir, tandis que ma tête partit en arrière. Clara me doigta furieusement, tout en caressant sans pitié mes seins. Je tentais bien de lutter contre les vagues de plaisir qui montaient en moi, mais c'était peine perdue. Elle me faisait trop de bien, elle s'occupait de mes seins mieux que personne et ses doigts en moi me procuraient beaucoup plus de plaisir que la majorité des queues qui étaient entrées en moi. Et comme j'étais toujours emprisonnée entre ses jambes, je ne pouvais rien faire d'autre que gémir de plus en plus fort. Clara me le fit d'ailleurs remarquer :


- Tu vois ? Je t'avais dit que tu gémirais comme une chienne.


Je me débattis encore une fois, mais c'était plus pour la forme que pour me libérer, ses caresses me retiraient toute volonté. La cadence de ses doigts en moi ne ralentissait pas, elle continuait de me doigtait encore et encore. Je finis par approcher peu à peu de l'orgasme. Ses doigts me faisaient maintenant trembler, je sentais que j'allais jouir mais malheureusement Clara ne l'entendit pas de cette oreille : au moment où j'allais jouir, ma douce tortionnaire ralentit ses va-et-vient, m'empêchant de jouir. Elle continua de me branler lentement, me maintenant à la limite de l'orgasme sans me permettre d'y accéder. Je savais où elle voulait en venir, elle voulait sûrement que je la supplie de me laisser jouir. Et j'avais raison :


- Supplie-moi si tu veux jouir, me souffla-t-elle à l'oreille.


J'avais très envie de jouir, très très envie même. Mais je ne voulais pas céder, je voulais tenir, lui résister :


- Pas question... .


Mais j'avais dit ce « pas question » d'une voix faible, d'une voix proche de la défaite. Et Clara le savait : elle continua de me tourmenter avec ses doigts :


- Allez, je sais que t'en as envie. Laisse-toi aller. Supplie-moi.


Bordel, c'était dur de tenir ! Je me débattis une dernière fois, tentant de me libérer de l'emprise de ses jambes. Mais elles tenaient toujours bon. Tandis qu'une de ses mains continuait à me torturer, son autre main me tint par la gorge pour rejeter ma tête en arrière. Elle me fixa dans les yeux et m'ordonna encore :


- Supplie-moi.


Je soutins difficilement son regard et je résistai faiblement :


- Non...


Clara ne lâcha pas l'affaire : sa main quitta ma gorge et elle descendit vers ma poitrine qu'elle massa efficacement. Son autre main continuait encore de me mettre au supplice et en plus elle titilla mon clito avec son pouce. C'en fut trop pour moi, je ne pouvais tenir plus longtemps :


- Je t'en supplie Clara, laisse-moi jouir... succombais-je d'une voix toujours aussi faible.


Clara eut un sourire de satisfaction : elle me doigta à toute vitesse et elle massa mes seins plus vigoureusement. Étant déjà aux portes de l'orgasme, je jouis quasi instantanément dans un hurlement de plaisir. Mon corps fut pris de soubresauts tant la jouissance qu'elle m'avait procurée était forte.


Clara me libéra de ses jambes, me faisant m'écrouler sur le lit, sonnée par l'un des meilleurs orgasmes de ma vie. Clara m'observa d'un sourire moqueur, puis elle s'assit sur mon visage :


- Fais-moi encore jouir, ma belle.


Sonnée, je ne réagis pas tout de suite, alors elle se déhancha sur mon visage. Je mis quelques secondes à récupérer, puis je posais mes mains sur l'intérieur de ses cuisses et je m'appliquais à la lécher. Je la léchais du mieux que je pouvais, désirant la remercier pour le plaisir qu'elle m'avait procuré. Elle ne fut pas longue à commencer à gémir et ses mains s'agrippèrent dans mes cheveux. Je fis tournoyer ma langue, titillant son clito, ses lèvres intimes et l'intérieur de son intimité. Je continuais ainsi pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que Clara pousse un long gémissement avant de jouir.

À suivre...