Arbitrage

- Par l'auteur HDS Emee -
Récit érotique écrit par Emee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Arbitrage Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Arbitrage
J' inscrivai le nom des vainqueurs du dernier combat, penchée sur la table, et vit Jordan passer du coin de l’œil. Je souriais à la feuille en me mordant la lèvre. Il allait et venait énergiquement entre les tatamis. Sa chemise et son jean mettant en valeur son corps athlétique. Un vrai délice... Il repassa. Une main frôla mes fesses. Je ne réagisais pas et continuais d'écrire, me retenant de rire. Mon corps tout entier brûlait d'impatience. Encore 15 minutes.

Il revînt à ma table, se pencha sur mon épaule et me donna une nouvelle feuille avant de me gifler le bas des fesses. « 15 minutes. » me souffla-t-il avant de s'enfuir. Je devins écarlate. Mon bas ventre se contracta. Oh ce que j'en avais envie.. Je me mordis la lèvre, tentant de me contenir devant le public.

Il ne restait plus que 7 minutes et je surveillais assidûment l'heure depuis l'horloge du gymnase. Je n'en pouvait plus d'attendre. Jordan continuait ses allées et venues, me glissant une main, ou m lançant un regard lubrique. Il me rendait folle et j 'attendais l'heure la culotte de plus en plus humide.

1 minute. Je tournais autour de sa table, relisant les scores sans les voir. Les enfant quittaient les tatamis, la compétition s'était enfin achevée. Un corps vint se coller contre mon dos et m'attrapa par les hanches. Jordan. Je lâchais un petit soupire, presque soulagée. « Aller cocotte, suis moi. » Il m'agrippa fermement par le poignée et se faufila entre les autres arbitres d'un pas rapide, direction les vestiaires. Il me poussa à l'intérieur sans ménagement, entra à son tour, alluma la lumière et ferma la porte à clef. Je ne pouvais plus revenir en arrière. Il se retourna pour me faire face et s'avança lentement vers moi, le regard lourd d'envie. Lorsqu'il s'arrêta, nos corps n'étaient plus qu'à quelques centimètre l'un de l'autre. Il planta son regard dans le mien, prédateur. Son cœur battait vite, irrégulièrement. J'entre ouvris les lèvres, soutenant son regard. La tension qu'il exerçait sur moi était intenable, je le voulais en moi tout de suite. « s'il te plaît. » fis-je d'une petite voix. Sa bouche s'étira en un mince sourire. Il approcha la tête de la mienne, me dominant de toute sa stature de mâle. Ses yeux ne lâchaient plus les miens. J'avais chaud. Je n'attendais qu'une chose : qu'il pose enfin les mains sur moi. Ma respiration se faisait difficile et je savais que mon souffle allait chatouiller le bas de sa mâchoire carrée... Cette mâchoire que j' irai bien lécher dans tous les sens d'ailleurs.. je me mordis la lèvre une fois de plus. Il pencha la tête de côté en lâchant un grognement roque,attrapa mes fesses et me plaqua contre son érection grandissante avant de placer sa bouche contre mon oreille « Tu vas te déshabillée, puis me déshabillé tout en gardant ton corps contre le mien. » me susurra-t-il, amusé. Sans réfléchir, je gémis et frottais son bassin contre sa bosse chérie, il resserra sa prise. « Fais ce que je dis. ». Je lui lança un sourire insolent et commençais à déboutonner ma chemise, le dos des mains allant frotter son torse dur et bien sculpté qui se soulevait par saccades.

Bientôt, ma chemise était complètement ouverte et il lorgnait ma poitrine sans aucune gêne. Il souffla dans mon décolleté et me fit frissonner. Toujours avec ce sourire indécent il m'ordonna d'enlever sa chemise. Je m'exécuta, en me tortillant et m'étirant vers le haut pour accomplir ma mission, me rendant plus vulnérable encore. Il en profita pour fourrer son nez dans mon soutien gorge et entrepris ainsi de mordre les balconnets. Je lâchais un cris de surprise tout en jetant ma chemise et en abaissant les bras. Il se redressa rapidement tout en me regardant, l’œil pétillant. « Dégrafe moi ça.. » m'intima-t-il, d'une voix dangereuse. Je m'exécutais à nouveau, m'écrasant contre lui pour passer les bras derrière. Son érection entre mes jambes me rendait folle, pourquoi ne pas aller à l'essentiel ? Il effleura mes flancs et alla affoler mes tétons fraîchement libérés. « Le jean. » Je soupirai, défit ma braguette et fit glisser mon jean le long des cuisses en me penchant à la verticale, appuyant mes seins contre ses paumes rudes. Presque accroupie, ses mains posées sur mes joues, la tête en face de son entre jambe, j'enlevais habillement le jean, puis, gémissant un instant, y mis un coup de dent. Il donna un petit coup de rein et me tira les cheveux en arrière, le regard dur. Son corps se contracta. Je soutins son regard, passant la langue sur mes lèvres. Il plissa les yeux et arqua un sourcil. La situation m'amusais, il en mourait d'envie. Je me relevais, veillant à frotter l'ensemble de mon buste contre sa virilité, et lui enlevais sa chemise, seins contre torse. Une main tira à nouveau sur ma queue de cheval, l'autre agrippa ma culotte. « Maintenant le jean, salope. » je souriais et hochais la tête. Il lâcha un soupire le long de mon cou alors que mes mains ouvraient sa braguette et firent tombé le tissu au sol d'un geste vif. Maintenant ma tête en arrière, il se lécha les lèvres, un sourire en coin, avant de lécher le coin de ma mâchoire, laissant un sillage chaud et humide sur ma peau. Je ne respirais plus. La main qui campait sur l'élastique de ma culotte se mit à effectuer de lents cercles sur le bas de mes fesses, tandis que l'autre élue domicile sur un tétons qu'elle pinça durement. Je gémis tout en caressant sa bosse des deux mains. Sa langue remonta jusqu'à ma bouche, alla taquiner la mienne. Enfin, nous échangions un baiser. Mes mains dérivèrent jusqu'à son cul ferme, alors que nos souffles se mêlaient, devenaient des grognements animales. Il pinça l'autre téton et fit claquer la culotte contre mon sexe, m'arrachant un crie. Il se détacha brusquement de moi, me fixant de son regard félin, et fit tomber son slip avant de caler son pénis entre mes cuisses et de m’attraper les seins. J'enlaçais ses fesses, soupirant, fébrile. Il entama de petits va et viens, jouant avec le tissu qui le séparait de mon sexe. « Je sens ta mouille d'ici. » siffla-t-il à mon cou en malaxant mes seins gonflés. « Tu es une bonne chienne. » Il mordilla le lobe de mon oreille. « A quatre pattes. »

Sans plus attendre je me jetais à terre, comme une chienne, et cambrais le dos, jambes écartés. Il avait une vue imprenable sur ma croupe. Il effleura mes fesses, refit claquer le tissu trempé et le fit glisser sans douceur jusqu'à mes genoux. Je tressautais encore. Entre mes seins, je le vis s’agenouille derrière moi. Sa langue alla léché les poils de mon entre cuisse, et remonta. Il humait à grande inhalations se qu'il appelais 'l'odeur de chienne en chaleur'. Je dégoulinais de mouille, et savais son visage recouvert. Je me cambrai encore un peu lorsque sa langue alla flatter mes grandes lèvres, et mon souffle s'affola lorsqu'il me mordilla le clitoris. Je lâchais un râle en me mordant la langue... Ses deux mains m'empoignèrent par les hanches et il me pénétra avec sa langue, simulant des va et vient en agitant mon cul. Les seins ballottés sauvagement, je me tendais à l’extrême, le visage face au plafond, yeux clos. Ce que c'était bon. Je sentais l'ensemble de mon corps se crispé, les dents serrés je subissais encore ses coups de langues incessant... partout... Mon bassin s'agitait maintenant seul, astiquant joyeusement les deux doigts de Jordan. J' haletais, et l'entendais haleté aussi. Brusquement, je me retrouvais vide, ses deux mains se refermèrent sur mes seins dures et sa queue fit une entré immédiate. Je suffoquait, haletais, écarquillais les yeux, tout en même temps je suppose. Il m'attirait à lui pour que le sente jusqu'au fond. Une décharge emplis mon bas ventre, je gémis. « C'est comme ça que je t'aime le plus, bébé. » fait-il en respirant difficilement. J'ai un faible sourire, mais toute mon attention reste sur son membre, quand va-t-il donc bouger ? Quelques secondes après, il se retira complètement pour revenir aussitôt, m'arrachant un petit cris à chaque allé et venu. Il me faisait languir et retardait mon orgasme depuis bien assez longtemps maintenant. Je le menace de me finir moi même et avant lui. Il me tire par la queue de cheval, son torse moite contre mon dos, le sexe contre mon entre jambe. « T’osera pas. » Et histoire d’asseoir son autorité,il se releva et se posta face à moi, le sexe sous mon nez, tout sourire. Je plissais les yeux en le regardant, incroyablement frustrée. Je le défis du regard et approchai lentement ma main droite de mon sexe. Il me fit les gros yeux. Je lui souris à mon tour, quelques secondes de caresses efficaces et l'orgasme était pour moi. Je m’effleurais le clitoris rapidement. Il se rapprocha. Je me pénétrais avec deux doigts. Il s'agenouilla face à moi et commença à se masturbé à son tour. Je gloussais entre deux gémissement et me donnais la caresse finale en me retenant de crier avant de m'affaler sur lui. Il n'avait pas jouit. J'avais gagné.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très beau récit, érotique comme j'aime. Envie d'en savoir plus.
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