Arlette et Huguette
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Arlette et Huguette
Ma femme, Huguette, est du matin et moi du soir. Ceci posé, il lui arrive de me réveiller par ses mouvements quand elle se masturbe avant de se lever. Pourtant la veille au soir je lui ai donné tout mon sperme soit devant, soit derrière et le plus souvent dans la bouche. A chaque fois elle prend son pied, soit par le sexe soit par la gourmandise en avalant ma semence. En plus les après midi, souvent elle reçoit une copine chère avec laquelle elle « s’amuse » : elle me le dit toujours.
En vérité Huguette est une belle salope. Ainsi j’ai pu prendre son amie Arlette comme maitresse devant elle avec son accord. C’était disons une belle partie à trois, avant de dévier vers l’amour en commun de cette fille bien faite, pas sotte du tout, bref une femme normale, attirée par le sexe, tous les sexes, même.
Au début tout c’est fait rapidement. A force de me parler des plaisirs interdits qu’elles prennent avec son amante, j’ai insisté pour participer. Il en a fallut du temps pour que mon épouse arrive à convaincre Arlette que j’étais bon baiseur qu’elle ne le regretterait pas.
Nous avons pu mettre au point la tactique classique du mari trompé. Je devais arriver un jour pendant qu’elles se masturberaient, je râlerais un peu avant de baiser la femme devant l’autre qu’elle lécherait en même temps. Le plus fort est que ça a marché.
J’entre chez moi sans faire de bruit, vers 15 heures : bien sur elles sont couchées toutes les deux, nues, se masturbant. Avant d’agir je contemple le couple de gouines affairées à se donner du plaisir.
Huguette qui m’attendait me voit la première. Elle ne dit rien sinon en s’adressant à son amante :
- Oui, c’est bon, branles moi encore.
- Je voudrais te sucer.
- Tout à l’heure, finis-moi avant.
J’arrive à ce moment là. Bien sur, surprise feinte de ma femme, surprise réelle de la part de son amie ; qui sur le moment, malgré son plaisir en cours voulait fuir. Huguette la retiens :
- Restes que veux tu qu’il nous fasse ? Qu’il nous baise et alors, on le fait bien toutes les deux.
Je n’écoute pas la conversation, je me déshabille en bandant déjà. Je vais baiser Arlette qui me plaît bien. Elle est contre ma femme, presque affolée. Pourtant je ne lui veux pas de mal. Huguette comprend mon but. Elle embrasse sa copine sur la bouche pour la rassurer.
Comme Arlette est restée sur le dos, je peux facilement lui garder les cuisses ouverte : j’ai pu voir sa chatte bien mouillée. Maintenant que je suis sur elle, je pose ma bouche sur la sienne en remplacement de celle de mon épouse. Le miracle se produit quand nos langues fraternisent. Mis comme je suis, Huguette peut lui caresser les seins.
Enfin l’acceptation quand Arlette pose ses talons sur mes reins. J’ai l’accès direct à son fourreau. Et quel abricot mouillé à souhait, mur assez pour que ma queue se trouve bien dans ce havre. Je commence les va-et-vient : elle suit le mouvement.
- Tu es sacrément bonne à baiser. Tu es douce dans ton con.
- Et toi tu sais bien me la mettre.
Ma femme avait raison, cette fille est une valeur sure dans l’échelle des baiseuses, comme elle aussi. Je vois qu’Huguette se masturbe en nous regardant : elle aura ma bite d’ici tout à l’heure. Je suis un peu surpris de sentir un doigt sur mon cul, puis dans mon cul. C’est surprenant et bon à la fois. Elle me le met à fond. Ca rajoute à mon, plaisir montant.
Le sperme n’est pas loin quand elle accélère d’elle-même le mouvement juste avant de jouir autour de ma queue. Je ne me retiens même pas : je jouis dans son vagin. Je reste en elle jusqu’au moment où je débande : dommage, je serais bien resté dans son ventre accouplé à l’amante de ma femme.
Ma femme justement veut sa part normale. Quand je quitte la chatte d’Arlette c’est Huguette qui me prend la bite : elle sait bien me faire bander encore en me suçant : elle doit prendre son pied à cause de la présence sur ma pine de mon sperme et surtout de la cyprine qui est restée collée sur mon sexe.
Sa langue fait vite le ménage en me réveillant. En me prenant dans sa bouche ce sont ses lèvres qui me font bander plus fort. Huguette me veut : elle m’a fait bander encore une fois. Reste à savoir ce qu’elle veut : ses doigts l’ont faite jouir il y a peu, je me demande comment il faut que je la baise.
Elle me regarde avec son air de me dire encule moi. Elle se met en levrette pour qu’Arlette lui passe de la cyprine sur l’anus. Elle fait un peu plus, elle lui tapisse l’arrière train et en profite pour rentrer deux doigts précurseurs de ma queue.
Je peux maintenant entrer dans le rectum sans problème : Huguette me demande souvent de la sodomiser pendant qu’elle se branle. J’entre très lentement dans le cul, comme j’aime bien, je ne force pas un seul instant ; elle ouvre son cul comme elle veut. Elle commence à gémir de plaisir qui s’accentue quand Arlette passe sous elle pour la sucer. Bien sur Huguette s’arrange pour la lécher : elles continuent leur gouineries. Il n’empêche que le doigt d’Arlette arrive, je ne sais trop comment à s’introduire en entier dans mon cul.
Cette fois, comme j’ai jouis il y a peu, je tiens le coup : Huguette jouit souvent : je le sens bien. A mon tour de jouir : je donne mon sperme sans réserve au cul de ma femme.
Les deux tribades s’en donnent à cœur joie. Ma présence les excite davantage. Tout y passe, y compris un mutuel fistage. C’est ma femme qui entre sa main dans le vagin de notre compagne pendant qu’elle se fait mettre toute la main dans le cul. Je suis étonné de voir la main évoluer lentement dans son anus dilaté au maximum : je ne pensais jamais qu’un anus puisse se détendre autant.
Elles m’excitent tant que je prends ma queue dans la main pour me faire du bien. Je vois que la bouche d’Arlette est libre : je lui donne ma queue à lécher : elle s’en tire fort bien. Je jouis juste à coté de sa bouche : je lui en donne sur le front, le menton et les seins. Elle m’a sucé comme une fille normale, pas comme obligée de me satisfaire pour que je lui pardonne de baiser ma femme.
Je n’ai rien à pardonner : elle fait parti du couple, enfin je le pense. C’est la réalité plusieurs jours plus tard après que nous ayons décidé de la faire cohabiter avec nous pour faire un vrai ménage à trois où chacun peut baiser l’autre sans problèmes dépassés de jalousie. Elle nous contente tous les deux : le couple normal et nous la contentons soit à deux, soit en couple. De plus, nous nous aimons d’amour comme des amants solides.
En vérité Huguette est une belle salope. Ainsi j’ai pu prendre son amie Arlette comme maitresse devant elle avec son accord. C’était disons une belle partie à trois, avant de dévier vers l’amour en commun de cette fille bien faite, pas sotte du tout, bref une femme normale, attirée par le sexe, tous les sexes, même.
Au début tout c’est fait rapidement. A force de me parler des plaisirs interdits qu’elles prennent avec son amante, j’ai insisté pour participer. Il en a fallut du temps pour que mon épouse arrive à convaincre Arlette que j’étais bon baiseur qu’elle ne le regretterait pas.
Nous avons pu mettre au point la tactique classique du mari trompé. Je devais arriver un jour pendant qu’elles se masturberaient, je râlerais un peu avant de baiser la femme devant l’autre qu’elle lécherait en même temps. Le plus fort est que ça a marché.
J’entre chez moi sans faire de bruit, vers 15 heures : bien sur elles sont couchées toutes les deux, nues, se masturbant. Avant d’agir je contemple le couple de gouines affairées à se donner du plaisir.
Huguette qui m’attendait me voit la première. Elle ne dit rien sinon en s’adressant à son amante :
- Oui, c’est bon, branles moi encore.
- Je voudrais te sucer.
- Tout à l’heure, finis-moi avant.
J’arrive à ce moment là. Bien sur, surprise feinte de ma femme, surprise réelle de la part de son amie ; qui sur le moment, malgré son plaisir en cours voulait fuir. Huguette la retiens :
- Restes que veux tu qu’il nous fasse ? Qu’il nous baise et alors, on le fait bien toutes les deux.
Je n’écoute pas la conversation, je me déshabille en bandant déjà. Je vais baiser Arlette qui me plaît bien. Elle est contre ma femme, presque affolée. Pourtant je ne lui veux pas de mal. Huguette comprend mon but. Elle embrasse sa copine sur la bouche pour la rassurer.
Comme Arlette est restée sur le dos, je peux facilement lui garder les cuisses ouverte : j’ai pu voir sa chatte bien mouillée. Maintenant que je suis sur elle, je pose ma bouche sur la sienne en remplacement de celle de mon épouse. Le miracle se produit quand nos langues fraternisent. Mis comme je suis, Huguette peut lui caresser les seins.
Enfin l’acceptation quand Arlette pose ses talons sur mes reins. J’ai l’accès direct à son fourreau. Et quel abricot mouillé à souhait, mur assez pour que ma queue se trouve bien dans ce havre. Je commence les va-et-vient : elle suit le mouvement.
- Tu es sacrément bonne à baiser. Tu es douce dans ton con.
- Et toi tu sais bien me la mettre.
Ma femme avait raison, cette fille est une valeur sure dans l’échelle des baiseuses, comme elle aussi. Je vois qu’Huguette se masturbe en nous regardant : elle aura ma bite d’ici tout à l’heure. Je suis un peu surpris de sentir un doigt sur mon cul, puis dans mon cul. C’est surprenant et bon à la fois. Elle me le met à fond. Ca rajoute à mon, plaisir montant.
Le sperme n’est pas loin quand elle accélère d’elle-même le mouvement juste avant de jouir autour de ma queue. Je ne me retiens même pas : je jouis dans son vagin. Je reste en elle jusqu’au moment où je débande : dommage, je serais bien resté dans son ventre accouplé à l’amante de ma femme.
Ma femme justement veut sa part normale. Quand je quitte la chatte d’Arlette c’est Huguette qui me prend la bite : elle sait bien me faire bander encore en me suçant : elle doit prendre son pied à cause de la présence sur ma pine de mon sperme et surtout de la cyprine qui est restée collée sur mon sexe.
Sa langue fait vite le ménage en me réveillant. En me prenant dans sa bouche ce sont ses lèvres qui me font bander plus fort. Huguette me veut : elle m’a fait bander encore une fois. Reste à savoir ce qu’elle veut : ses doigts l’ont faite jouir il y a peu, je me demande comment il faut que je la baise.
Elle me regarde avec son air de me dire encule moi. Elle se met en levrette pour qu’Arlette lui passe de la cyprine sur l’anus. Elle fait un peu plus, elle lui tapisse l’arrière train et en profite pour rentrer deux doigts précurseurs de ma queue.
Je peux maintenant entrer dans le rectum sans problème : Huguette me demande souvent de la sodomiser pendant qu’elle se branle. J’entre très lentement dans le cul, comme j’aime bien, je ne force pas un seul instant ; elle ouvre son cul comme elle veut. Elle commence à gémir de plaisir qui s’accentue quand Arlette passe sous elle pour la sucer. Bien sur Huguette s’arrange pour la lécher : elles continuent leur gouineries. Il n’empêche que le doigt d’Arlette arrive, je ne sais trop comment à s’introduire en entier dans mon cul.
Cette fois, comme j’ai jouis il y a peu, je tiens le coup : Huguette jouit souvent : je le sens bien. A mon tour de jouir : je donne mon sperme sans réserve au cul de ma femme.
Les deux tribades s’en donnent à cœur joie. Ma présence les excite davantage. Tout y passe, y compris un mutuel fistage. C’est ma femme qui entre sa main dans le vagin de notre compagne pendant qu’elle se fait mettre toute la main dans le cul. Je suis étonné de voir la main évoluer lentement dans son anus dilaté au maximum : je ne pensais jamais qu’un anus puisse se détendre autant.
Elles m’excitent tant que je prends ma queue dans la main pour me faire du bien. Je vois que la bouche d’Arlette est libre : je lui donne ma queue à lécher : elle s’en tire fort bien. Je jouis juste à coté de sa bouche : je lui en donne sur le front, le menton et les seins. Elle m’a sucé comme une fille normale, pas comme obligée de me satisfaire pour que je lui pardonne de baiser ma femme.
Je n’ai rien à pardonner : elle fait parti du couple, enfin je le pense. C’est la réalité plusieurs jours plus tard après que nous ayons décidé de la faire cohabiter avec nous pour faire un vrai ménage à trois où chacun peut baiser l’autre sans problèmes dépassés de jalousie. Elle nous contente tous les deux : le couple normal et nous la contentons soit à deux, soit en couple. De plus, nous nous aimons d’amour comme des amants solides.
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