Arrêté pour manifestation
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arrêté pour manifestation
Arrêté pour manifestation
Cette histoire s'est déroulée il y a quelques années et c'est cet événe-ment qui m'a fait évoluer dans ma sexualité.
A l'époque j'ai trente-sept ans, marié et papa d'un petit garçon de dix-huit mois.
Je suis pour cinq mois en déplacement professionnel dans un pays étran-ger, européen où sa démocratie n'est qu'une façade.
Oui, je n'ai pas le vrai canon d'un mannequin, mais sans me vanter, d'après ce que l'on dit et surtout mon épouse je ne suis tout de même pas si mal foutu avec mon mètre quatre-vingt-cinq et soixante-dix kilos. Les cheveux châtains clairs et yeux gris-verts, sans compter que je suis que très peu poilu et quelques mois avant mon mariage, il y a une dizaine d'année, sur un corps légèrement dessiné et musclé par quelques heures de sport mensuel je m'épile le torse, les aisselles et les parties intimes.
Venons-en à ce qui s'est passé. Cette fois-ci, je rentre plus tôt, en fin d'après-midi, à pied, directement vers mon appart-hôtel. Sur une des avenues du "quartier chic" que j'empreinte pour atteindre la très belle rue perpendiculaire de mon hôtel. Un semblant de manifestation se meut je marche en hâtant le pas sur le trottoir lorsque d'un seul coup, je sens une main insérer fermement mon épaule et me tire en arrière. Il en est de même avec mon avant bras. Je suis surpris d'être encadré de deux personnes de la police étatique. Je suis dirigé et emmené vers un véhicule break noir qui vient de former une colonne avec les autres voitures qui démarrent avec avertisseurs et gyrophares.
A ma descente, me voilà mis avec un groupe d'hommes de tout âge, et toute condition sociale. Nous franchissons les marches d'un bâtiment cossu. En levant la tête, j'arrive à traduire, c'est, ce qui correspond à notre commissariat de police.
Le groupe de policiers, après nous avoir amenés et déposés dans ce vaste et impressionnant édifice, ressortent pour nous confier à de nouveaux policiers qui sont à l'intérieur. Ceux-ci nous séparent et nous cantonnent dans différents espaces et pièces. Je suis seul dans une grande pièce et même grande pièce où je peux m'asseoir confortablement. Pendant le long moment d'attente, je pense à Anne-Charlotte et mon petit Alexandre. Beaucoup de choses se bousculement dans ma tête dans ce pays assez rigide.
Presque une heure d'attente et un policier vient me chercher, nous marchons quelques mètres d'un long couloir pour me faire entrer dans un bureau où trois autres policiers sont installés autour d'un large bureau, me voilà debout assez anxieux devant ces quatre hommes. Le plus gradé me fait asseoir pour me faire décliner mon identité. Entre deux réponses, je me permets de leurs demander pourquoi je fus emmené et que je me trouve dans ces murs. L'un d'eux me répond que je n'aurais pas dû manifester, c'était une insulte à leur Gouvernement. J'ai essayé de les contredire en leur affirmant que je rentrais seulement chez moi et que je n'avais pas eu connaissance de ce grand mouvement de foule. L'échange continue encore un petit moment, après un bref silence je pense que ce contrôle d'identité est terminé. Le plus petit des policiers m'annonce que c'était la phase administrative, maintenant il va falloir accompagner ces écrits de photos et autres contrôles. Il me fait lever pour me mettre le long du mur où mes différentes mensurations sont prises et ensuite la photo sur plusieurs plans en chemise et pantalon.
Le chef (son prénom -Hynek): Vous vous déshabillez s'il vous plaît ! !.
J'enlève chemise et tee-shirt, puis les chaussures et le pantalon. Je reste assez intimidé debout devant eux, et attends.
Hynek : (sur un ton sec) Je vous ai dit déshabillé – il reste encore le slip !!
Complètement honteux j'enlève mon sous-vêtement et me voilà nu comme un ver devant quatre hommes en uniforme. J'observe leurs yeux écarquillés avec un regard profond et sombre. D'un coup, un flash me passe en tête et me doute le pourquoi, je suis rasé et épilé et n'ai aucun poil. Les mains dans le dos, inconsciemment mes doigts tournent mon alliance. Le plus jeune (Thibor) me conduit vers une table.
Thibor : S'il-vous plaît, mettez-vous face à la table penchez-vous en avant puis, vous écartez vos jambes….. Bien !, je vous remercie.
Bohuslav Restez bien les jambes écartées et maintenant, avec vos mains vous écartez vos fesses.
Je me sens complètement rougir et honteux, j'ai les jambes qui tremblent et la chair de poule sur tout le corps. Le chef interpelle le quatrièmeHyneck : Sobéslav, vérifie qu'il ne cache rien.
Ce quatrième policier s'approche et il me semble regarder et constater.
Sobéslav : Non, il n'y a rien ! Mais vous verriez sa rosette ! Comme elle est régulièrement plissée ; je n'ai jamais vu un trou aussi beau tout est bien lisse. Il n'a aucun poil, aucun duvet. Nous n'avons encore jamais vu un si bel orifice ! un spécimen pareil aussi netBohuslav : Alors qu'est-ce que tu attends ?
Et là, je sens quelque chose de chaud, c'est sa langue qui me lèche et qui tourne par saccades autour de mon trou.
Moi : Que faites-vous ? Vous me demandez d'être nu pour un contrôle, Ce n'est déjà pas évident d'être comme cela devant vous. Mais là ce n'est pas une vérification. Vous savez je suis marié et papa.
Thibor : Tu as fini de te plaindre. C'est comme cela ici.
Pendant ces paroles l'autre continue toujours de me lécher le trou et parfois arrive à insérer le bout de sa langue à l'intérieur. Ce qui me procure une sensation complètement inconnue; Les trois autres regardent (je pense vicieusement) et parlent entre-deux à voix basse. Sobéslav, a posé ses mains sur chaque globe de mes fesses et rentre un peu plus sa langue tournoyante sur et dans ma rosette. Ces sensations sont très intenses. Je ne me suis jamais fait toucher d'une telle manière par un homme. Oh ! Seulement lors de ma jeunesse quelques touche-pipi comme de nombreux très jeunes. A part cela, je n'ai jamais été attiré par la gente masculine. En ce moment, sous le travail de cette langue, il est incroyable que cela me donne comme un agréable plaisir dans tout le corps avec des frissons. Et sans arrière pensée, je sens ma verge comme bouger. Il ne faut pas que je me mette à bander devant cette police. Bornés comme le sont ses employés, ils me prendraient pour un homosexuel, une tarlouse comme ils disent ici. En plus, c'est vrai je suis épilé partout, mais cet acte n'a aucune connotation sexuelle particulière. Il continue sa manœuvre linguale qui me fait de plus en plus d'effets. Je sens ma bitte se développer et même grossir. Le processus a commencé et je ne peux plus le stopper. Ma queue devient droite et très raide avec parfois de petits mouvements de bas en haut. Je me surprends à vouloir pousser des murmures de plaisir. A vrai dire c'est très bon, je n'avais jamais ressenti de telles sensations. Sobéslav écarte davantage mes fesses pour entrer plus profondément sa langue et comme par instant il me semble que ma petite rosette s'ouvre avec cette technique qui excite la muqueuse intérieure. Je constate que Thibor se déplace pour dire quelque chose à l'oreille de mon brouteur, qui lui répond par un humn !, humn !. Voilà que Thibor s'approche de moi, me frôle et se baisse, puis en un éclair engloutir ma teub dans sa bouche. J'ai un mouvement de recul mais Sobéslav pousse mon bassin en avant. Mes dix-neuf centimètres sont absorbés. Lui aussi fait mouvoir sa langue autour de mon gland et sa couronne. Il commence à aspirer avec un mouvement de va et vient sur toute la longueur. Je me sens tout bizarre. Mais que c'est bon, très bon. J'ai beaucoup de chance d'avoir une épouse qui me fasse des fellations. Pas très fréquentes, c'est vrai, mais j'ai droit à cette gâterie à peu près toutes les trois, quatre semaines, ce qui n'est pas mal, d'après mes collèges de travail. Mais là, je succombe presque avec le plaisir que ce policier me donne avec une technique surprenante. Mon sexe à l'air d'apprécier car il se raidit à m'en faire mal. Entre une langue et une bouche aussi performantes, à un moment, je suis obligé de laisser partir des gémissements de plaisir. Ce que je récents est indescriptible. Et ce sont deux hommes qui m'amènent à une telle découverte du plaisir. Je croyais qu'Anne-Charlotte me comblait; mais là avec deux officiers de police j'atteins le summum. Au bout d'un court moment je sens ma sève monter de mes couilles vers mon mandrin qui mouille déjà du méat. Je suppose que Thibor en est conscient, car il ouvre grand sa bouche pour libérer mon membre. Il ne le touche plus afin d'éviter une éjaculation. Mon esprit est dans le flou et le brouillard. J'avoue que c'est très bon et je souhaite autant à un hétéro ou un homo de connaître cette intense tension vers le plaisir. Je n'en peux plus de tout ce que je ressens, de ce que je vis. Thibor est toujours placé derrière moi et imperturbable dans son travail de lèche cul. Le chef Hyneck interpelle BohuslavHyneck : Alors ? Trop timide ? Tu peux si tu le souhaitesAvec toutes ces questions que j'ai eu du mal à traduire instantanément vu mon état d'excitation. je me demande bien ce que celui-là veut, car pour un contrôle d'identité, tout dégénère. Je n'ose pas trop les contrarier, car dans ce pays la police à presque tout pouvoir. Ce policier apparemment d'une cinquantaine d'année, met sa veste d'uniforme sur le porte-manteaux. Bohuslav s'approche de Sobéslav et je sens certains mouvements. Lui aussi voudrait-il me lécher la rondelle? Je n'en peux plus. En retirant sa langue voilà que Bohuslav me crache sur mon petit trou. Sans m'y attendre, ce "salaud" me plante sa verge en moi. Je pousse un hurlement, car il l'enfonce d'un seul coup sans ménagement; Quelle horreur. Moi papa, voilà que je suis sodomisé. Quelle honte ! Mon Dieu ! si ma chère femme apprend cela. Et Bohuslav commence des va et vient lent sur toute la longueur de son sexe qui (j'ai su après) fait presque vingt-deux centimètres avec un diamètre de plus de cinq. Mon cul semble éclater malgré tout le travail de préparation avec cette langue pendant pus de trois-quarts d'heure. Au fur et à mesure du burinage, je me surprends à prendre du plaisir. Je pousse des gémissements, jusqu'au moment échappe un c'est bon, c'est bon. Je suis sucé en même tant que sodomisé. Après avoir eu mal, très mal, la douleur s'estompe pour faire place à un plaisir intense. Par moment cette belle queue avec son gland touche ma prostate en me procurant presque de l'extase.
A un moment je lance à Sobéslav, Moi : Continuez de sucer, plus profond, c'est bon, c'est bon oui, oui ! !
Il ne se le fait pas dire deux fois, il accélère ses sucions qui font un bruit pas possible avec la salive qui lui coule le long de la bouche, et pendant ce temps Bohuslav fait des va et vient plus ample qui percute ma prostate à plusieurs reprises ce qui me fait maintenant crier de plaisir. Ma respiration est de plus en plus courte ce qui accélère mes battement cardiaque. Même aux grands moments de l'orgasme avec ma femme je ne me suis jamais conduit comme cela. J'évacue des mots crus, des onomatopées, jusqu'aux cris "continuez, continuez" "allez-y, allez-y" La bouche cogne contre mon pubis tout lise tellement les va et vient sont devenus rapides et violents, et le bas-ventre et les testicules de Bohuslav frapper et claquer mes fesses.
Alors que j'étais honteux il y a deux heures me voilà participant à cette partie sexuelle imprévue et intense en découvrant un réel plaisir en compagnie de ces hommes vicieux aux corps sublimes de l'Est et bien montés pour me donner ce plaisir inconnu. Je sens une grand plaisir venant de mon cul lors des coups de butoirs sur ma prostate au même moment où ma liqueur intime monte le long de membre viril qui semble éclater. Bohuslav lâche ses jets de foutre qui me remplissent et coulent sur l'intérieur de mes cuisses au moment où je lâche des litres de semence comme cela ne m'était jamais arrivé tout dans la bouche de Sobéslav en poussant plus qu'un cri, mais un hurlement prolongé et rauque quand mon corps se met immédiatement à trembler avec des soubresauts répétitifs et intenses accompagnés de sons de plaisir et soulagement.
Ces policiers ont eu la correction de m'essuyer pour enlever tous ces amas et grumeaux de jute réciproque. Après ce moment de saillie et fellation j'ai signé le procès verbal et très gentiment deux de ces policiers m'ont raccompagnés à l'hôtel. Nous avons pris l'apéritif au bar de celui-ci en expliquant que je n'avais rien fait avant avec des hommes. Ils me dirent que si j'avais aimé, mais surtout si j'avais vraiment trouvé du plaisir il fallait de nouveau réitérer ce genre d'exercice sexuel. Ils me proposèrent de nous revoir. A chaque fois j'apprécie cette nouvelle jouissance due notamment au massage de la prostate et de leurs savantes fellations. Jusqu'à la fin du séjour de mon déplacement ils m'ont procuré de nombreux orgasmes agréables.
Je suis toujours marié, car j'aime mon épouse. Nos rapports se sont un peu espacés et j'ai maintenant des aventures et rencontres avec des hommes de mon âge qui me procurent ces échanges de plaisir masculinJe ne regrette rien.
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Cette histoire s'est déroulée il y a quelques années et c'est cet événe-ment qui m'a fait évoluer dans ma sexualité.
A l'époque j'ai trente-sept ans, marié et papa d'un petit garçon de dix-huit mois.
Je suis pour cinq mois en déplacement professionnel dans un pays étran-ger, européen où sa démocratie n'est qu'une façade.
Oui, je n'ai pas le vrai canon d'un mannequin, mais sans me vanter, d'après ce que l'on dit et surtout mon épouse je ne suis tout de même pas si mal foutu avec mon mètre quatre-vingt-cinq et soixante-dix kilos. Les cheveux châtains clairs et yeux gris-verts, sans compter que je suis que très peu poilu et quelques mois avant mon mariage, il y a une dizaine d'année, sur un corps légèrement dessiné et musclé par quelques heures de sport mensuel je m'épile le torse, les aisselles et les parties intimes.
Venons-en à ce qui s'est passé. Cette fois-ci, je rentre plus tôt, en fin d'après-midi, à pied, directement vers mon appart-hôtel. Sur une des avenues du "quartier chic" que j'empreinte pour atteindre la très belle rue perpendiculaire de mon hôtel. Un semblant de manifestation se meut je marche en hâtant le pas sur le trottoir lorsque d'un seul coup, je sens une main insérer fermement mon épaule et me tire en arrière. Il en est de même avec mon avant bras. Je suis surpris d'être encadré de deux personnes de la police étatique. Je suis dirigé et emmené vers un véhicule break noir qui vient de former une colonne avec les autres voitures qui démarrent avec avertisseurs et gyrophares.
A ma descente, me voilà mis avec un groupe d'hommes de tout âge, et toute condition sociale. Nous franchissons les marches d'un bâtiment cossu. En levant la tête, j'arrive à traduire, c'est, ce qui correspond à notre commissariat de police.
Le groupe de policiers, après nous avoir amenés et déposés dans ce vaste et impressionnant édifice, ressortent pour nous confier à de nouveaux policiers qui sont à l'intérieur. Ceux-ci nous séparent et nous cantonnent dans différents espaces et pièces. Je suis seul dans une grande pièce et même grande pièce où je peux m'asseoir confortablement. Pendant le long moment d'attente, je pense à Anne-Charlotte et mon petit Alexandre. Beaucoup de choses se bousculement dans ma tête dans ce pays assez rigide.
Presque une heure d'attente et un policier vient me chercher, nous marchons quelques mètres d'un long couloir pour me faire entrer dans un bureau où trois autres policiers sont installés autour d'un large bureau, me voilà debout assez anxieux devant ces quatre hommes. Le plus gradé me fait asseoir pour me faire décliner mon identité. Entre deux réponses, je me permets de leurs demander pourquoi je fus emmené et que je me trouve dans ces murs. L'un d'eux me répond que je n'aurais pas dû manifester, c'était une insulte à leur Gouvernement. J'ai essayé de les contredire en leur affirmant que je rentrais seulement chez moi et que je n'avais pas eu connaissance de ce grand mouvement de foule. L'échange continue encore un petit moment, après un bref silence je pense que ce contrôle d'identité est terminé. Le plus petit des policiers m'annonce que c'était la phase administrative, maintenant il va falloir accompagner ces écrits de photos et autres contrôles. Il me fait lever pour me mettre le long du mur où mes différentes mensurations sont prises et ensuite la photo sur plusieurs plans en chemise et pantalon.
Le chef (son prénom -Hynek): Vous vous déshabillez s'il vous plaît ! !.
J'enlève chemise et tee-shirt, puis les chaussures et le pantalon. Je reste assez intimidé debout devant eux, et attends.
Hynek : (sur un ton sec) Je vous ai dit déshabillé – il reste encore le slip !!
Complètement honteux j'enlève mon sous-vêtement et me voilà nu comme un ver devant quatre hommes en uniforme. J'observe leurs yeux écarquillés avec un regard profond et sombre. D'un coup, un flash me passe en tête et me doute le pourquoi, je suis rasé et épilé et n'ai aucun poil. Les mains dans le dos, inconsciemment mes doigts tournent mon alliance. Le plus jeune (Thibor) me conduit vers une table.
Thibor : S'il-vous plaît, mettez-vous face à la table penchez-vous en avant puis, vous écartez vos jambes….. Bien !, je vous remercie.
Bohuslav Restez bien les jambes écartées et maintenant, avec vos mains vous écartez vos fesses.
Je me sens complètement rougir et honteux, j'ai les jambes qui tremblent et la chair de poule sur tout le corps. Le chef interpelle le quatrièmeHyneck : Sobéslav, vérifie qu'il ne cache rien.
Ce quatrième policier s'approche et il me semble regarder et constater.
Sobéslav : Non, il n'y a rien ! Mais vous verriez sa rosette ! Comme elle est régulièrement plissée ; je n'ai jamais vu un trou aussi beau tout est bien lisse. Il n'a aucun poil, aucun duvet. Nous n'avons encore jamais vu un si bel orifice ! un spécimen pareil aussi netBohuslav : Alors qu'est-ce que tu attends ?
Et là, je sens quelque chose de chaud, c'est sa langue qui me lèche et qui tourne par saccades autour de mon trou.
Moi : Que faites-vous ? Vous me demandez d'être nu pour un contrôle, Ce n'est déjà pas évident d'être comme cela devant vous. Mais là ce n'est pas une vérification. Vous savez je suis marié et papa.
Thibor : Tu as fini de te plaindre. C'est comme cela ici.
Pendant ces paroles l'autre continue toujours de me lécher le trou et parfois arrive à insérer le bout de sa langue à l'intérieur. Ce qui me procure une sensation complètement inconnue; Les trois autres regardent (je pense vicieusement) et parlent entre-deux à voix basse. Sobéslav, a posé ses mains sur chaque globe de mes fesses et rentre un peu plus sa langue tournoyante sur et dans ma rosette. Ces sensations sont très intenses. Je ne me suis jamais fait toucher d'une telle manière par un homme. Oh ! Seulement lors de ma jeunesse quelques touche-pipi comme de nombreux très jeunes. A part cela, je n'ai jamais été attiré par la gente masculine. En ce moment, sous le travail de cette langue, il est incroyable que cela me donne comme un agréable plaisir dans tout le corps avec des frissons. Et sans arrière pensée, je sens ma verge comme bouger. Il ne faut pas que je me mette à bander devant cette police. Bornés comme le sont ses employés, ils me prendraient pour un homosexuel, une tarlouse comme ils disent ici. En plus, c'est vrai je suis épilé partout, mais cet acte n'a aucune connotation sexuelle particulière. Il continue sa manœuvre linguale qui me fait de plus en plus d'effets. Je sens ma bitte se développer et même grossir. Le processus a commencé et je ne peux plus le stopper. Ma queue devient droite et très raide avec parfois de petits mouvements de bas en haut. Je me surprends à vouloir pousser des murmures de plaisir. A vrai dire c'est très bon, je n'avais jamais ressenti de telles sensations. Sobéslav écarte davantage mes fesses pour entrer plus profondément sa langue et comme par instant il me semble que ma petite rosette s'ouvre avec cette technique qui excite la muqueuse intérieure. Je constate que Thibor se déplace pour dire quelque chose à l'oreille de mon brouteur, qui lui répond par un humn !, humn !. Voilà que Thibor s'approche de moi, me frôle et se baisse, puis en un éclair engloutir ma teub dans sa bouche. J'ai un mouvement de recul mais Sobéslav pousse mon bassin en avant. Mes dix-neuf centimètres sont absorbés. Lui aussi fait mouvoir sa langue autour de mon gland et sa couronne. Il commence à aspirer avec un mouvement de va et vient sur toute la longueur. Je me sens tout bizarre. Mais que c'est bon, très bon. J'ai beaucoup de chance d'avoir une épouse qui me fasse des fellations. Pas très fréquentes, c'est vrai, mais j'ai droit à cette gâterie à peu près toutes les trois, quatre semaines, ce qui n'est pas mal, d'après mes collèges de travail. Mais là, je succombe presque avec le plaisir que ce policier me donne avec une technique surprenante. Mon sexe à l'air d'apprécier car il se raidit à m'en faire mal. Entre une langue et une bouche aussi performantes, à un moment, je suis obligé de laisser partir des gémissements de plaisir. Ce que je récents est indescriptible. Et ce sont deux hommes qui m'amènent à une telle découverte du plaisir. Je croyais qu'Anne-Charlotte me comblait; mais là avec deux officiers de police j'atteins le summum. Au bout d'un court moment je sens ma sève monter de mes couilles vers mon mandrin qui mouille déjà du méat. Je suppose que Thibor en est conscient, car il ouvre grand sa bouche pour libérer mon membre. Il ne le touche plus afin d'éviter une éjaculation. Mon esprit est dans le flou et le brouillard. J'avoue que c'est très bon et je souhaite autant à un hétéro ou un homo de connaître cette intense tension vers le plaisir. Je n'en peux plus de tout ce que je ressens, de ce que je vis. Thibor est toujours placé derrière moi et imperturbable dans son travail de lèche cul. Le chef Hyneck interpelle BohuslavHyneck : Alors ? Trop timide ? Tu peux si tu le souhaitesAvec toutes ces questions que j'ai eu du mal à traduire instantanément vu mon état d'excitation. je me demande bien ce que celui-là veut, car pour un contrôle d'identité, tout dégénère. Je n'ose pas trop les contrarier, car dans ce pays la police à presque tout pouvoir. Ce policier apparemment d'une cinquantaine d'année, met sa veste d'uniforme sur le porte-manteaux. Bohuslav s'approche de Sobéslav et je sens certains mouvements. Lui aussi voudrait-il me lécher la rondelle? Je n'en peux plus. En retirant sa langue voilà que Bohuslav me crache sur mon petit trou. Sans m'y attendre, ce "salaud" me plante sa verge en moi. Je pousse un hurlement, car il l'enfonce d'un seul coup sans ménagement; Quelle horreur. Moi papa, voilà que je suis sodomisé. Quelle honte ! Mon Dieu ! si ma chère femme apprend cela. Et Bohuslav commence des va et vient lent sur toute la longueur de son sexe qui (j'ai su après) fait presque vingt-deux centimètres avec un diamètre de plus de cinq. Mon cul semble éclater malgré tout le travail de préparation avec cette langue pendant pus de trois-quarts d'heure. Au fur et à mesure du burinage, je me surprends à prendre du plaisir. Je pousse des gémissements, jusqu'au moment échappe un c'est bon, c'est bon. Je suis sucé en même tant que sodomisé. Après avoir eu mal, très mal, la douleur s'estompe pour faire place à un plaisir intense. Par moment cette belle queue avec son gland touche ma prostate en me procurant presque de l'extase.
A un moment je lance à Sobéslav, Moi : Continuez de sucer, plus profond, c'est bon, c'est bon oui, oui ! !
Il ne se le fait pas dire deux fois, il accélère ses sucions qui font un bruit pas possible avec la salive qui lui coule le long de la bouche, et pendant ce temps Bohuslav fait des va et vient plus ample qui percute ma prostate à plusieurs reprises ce qui me fait maintenant crier de plaisir. Ma respiration est de plus en plus courte ce qui accélère mes battement cardiaque. Même aux grands moments de l'orgasme avec ma femme je ne me suis jamais conduit comme cela. J'évacue des mots crus, des onomatopées, jusqu'aux cris "continuez, continuez" "allez-y, allez-y" La bouche cogne contre mon pubis tout lise tellement les va et vient sont devenus rapides et violents, et le bas-ventre et les testicules de Bohuslav frapper et claquer mes fesses.
Alors que j'étais honteux il y a deux heures me voilà participant à cette partie sexuelle imprévue et intense en découvrant un réel plaisir en compagnie de ces hommes vicieux aux corps sublimes de l'Est et bien montés pour me donner ce plaisir inconnu. Je sens une grand plaisir venant de mon cul lors des coups de butoirs sur ma prostate au même moment où ma liqueur intime monte le long de membre viril qui semble éclater. Bohuslav lâche ses jets de foutre qui me remplissent et coulent sur l'intérieur de mes cuisses au moment où je lâche des litres de semence comme cela ne m'était jamais arrivé tout dans la bouche de Sobéslav en poussant plus qu'un cri, mais un hurlement prolongé et rauque quand mon corps se met immédiatement à trembler avec des soubresauts répétitifs et intenses accompagnés de sons de plaisir et soulagement.
Ces policiers ont eu la correction de m'essuyer pour enlever tous ces amas et grumeaux de jute réciproque. Après ce moment de saillie et fellation j'ai signé le procès verbal et très gentiment deux de ces policiers m'ont raccompagnés à l'hôtel. Nous avons pris l'apéritif au bar de celui-ci en expliquant que je n'avais rien fait avant avec des hommes. Ils me dirent que si j'avais aimé, mais surtout si j'avais vraiment trouvé du plaisir il fallait de nouveau réitérer ce genre d'exercice sexuel. Ils me proposèrent de nous revoir. A chaque fois j'apprécie cette nouvelle jouissance due notamment au massage de la prostate et de leurs savantes fellations. Jusqu'à la fin du séjour de mon déplacement ils m'ont procuré de nombreux orgasmes agréables.
Je suis toujours marié, car j'aime mon épouse. Nos rapports se sont un peu espacés et j'ai maintenant des aventures et rencontres avec des hommes de mon âge qui me procurent ces échanges de plaisir masculinJe ne regrette rien.
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