Arthur et Maxime (03)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur et Maxime (03)
Ce récit constitue la suite de l’histoire « Arthur, le fils de mon meilleur ami ». Bonne lecture ! sylvainerotic@yahoo.com
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Dans les semaines qui suivent, Arthur et moi continuons à nous voir régulièrement. Une relation qui reste quand même centrée sur le sexe, avec quelques moments où j’essaie de m’intéresser à lui, et de construire quelque chose. Il n’a pas l’air entièrement intéressé. Je pense qu’il me voit principalement pour le sexe, et que les moments passés hors du lit ne sont pour lui que le prix à payer… Toutefois, il me confie qu’il ne couche avec personne d’autre. Et je le crois. Car son énergie sexuelle est énorme, et j’ai du mal à concevoir qu’il la dépense avec d’autres.
Son attitude avec moi s’améliore quelque peu. Il se montre moins gamin, moins gâté, et il arrive à tenir une conversation. Fait-il vraiment des efforts ?
C’est donc une étrange relation qui est en train de se construire entre nous.
Par contre, son attitude avec les autres restent complètement immature. Je le vois parfois interagir avec d’autres, au téléphone, ou dans la rue. Et il se montre toujours aussi arrogant et déplaisant. Fait il cela pour provoquer ? Qu’attend il en retour ? Toujours est-il que cela me donne des idées… L’envie d’utiliser la domination sexuelle pour le calmer. Et lui donner les bonnes leçons qu’il mérite. Car j’ai la conviction que c’est ce qu’il désire. Tous les signaux qu’il me donne au lit vont dans cette direction. Charge à moi d’organiser les bons plans cul pour ça.
Une belle occasion se présente. Arthur cherche un garagiste sur Paris, pour les révisions de la voiture de sports que ses parents lui ont offerte pour ses 18 ans. Je l’envoie chez Roger, que je connais. Il avait participé à une partouze que j’avais organisée pour les 20 ans d’Alex. Roger est brut de décoffrage, dominant et adore les minets. Je sais déjà qu’Arthur est une proie parfaite. Et je rêve de l’offrir à Roger. J’ai donné carte blanche à Roger.
La première fois qu’Arthur dépose sa voiture, l’électricité est déjà dans l’air. Roger ne quitte pas des yeux Arthur. Il rêve de se taper ce petit minet arrogant, bien habillé, et frimeur dans sa voiture de sports. Arthur se montre impatient. Ça n’échappe pas à Roger, qui se montre froid et cassant. Il ne fait aucun doute que c’est un jeu des deux côtés. Apres l’expérience avec Jacques, Arthur n’est pas naïf. Il se doute bien que si je lui ai recommandé Roger, c’est parce qu’il y avait quelque chose derrière… Et il en joue pleinement.
Quand Arthur repasse prendre son véhicule deux jours après, en fin de journée, le garage est désert. C’est important pour lui de récupérer la voiture car il a prévu une virée avec des potes.
Roger est seul, et la voiture est encore à l’atelier. Ses mains sont graisseuses et il les frotte avec un vieux chiffon. Arthur est étonné :
- Ma voiture est pas prête ?
- Nan… j’ai pas tout à fait terminé
Est-ce de la comédie, ou bien de la frustration bien réelle, mais Arthur s’emporte
- Sérieux ??? Mais putain, on avait dit qu’elle serait prête ce soir ?
Roger jette un regard sombre à Arthur, jette le chiffon au sol et s’approche
- C’est quoi ton problème, hein ?
Arthur se fige. Un mélange de peur et d’excitation. La main énorme, caleuse, et encore graisseuse de Roger saisit Arthur par le menton.
- C’est quoi ton problème, sale gosse ? Hein ? Tu crois que tout t’est dû, hein ? Tu peux pas attendre un peu ?
La mâchoire serrée dans la main énorme de Roger, Arthur ne peut que bredouiller une réponse inaudible. L’autre main de Roger saisit violemment Arthur au paquet, serrant sa bite et ses couilles
- T’as envie que j’m’occupe de toi, plutôt que de ta bagnole, hein ? C’est ça que tu veux ?
Car en effet, bien que compressée sous sa main, la bite d’Arthur se tend, tant le minet est excité par ce mâle alpha qui abuse de lui. Roger relâche la pression et ouvre la fermeture éclair de son bleu de travail, laissant apparaitre un torse musclé et velu. Il attrape violemment Arthur par la nuque en serrant fort les cheveux, et de l’autre main le saisit par le col. Cela lui permet de venir lui plaquer la tête, mais surtout le nez contre son torse. Le but est clair : intoxiquer Arthur du parfum viril de Roger, un mélange de transpiration, de chaleur et d’odeur de garage. Arthur se laisse faire. Et se laisse enivrer. Quand Roger le relâche, il a en face de lui un Arthur décoiffé, avec un polo blanc dont le col est déjà déformé et couvert de taches de graisses.
Rogers saisit le col de chaque côté pour arracher le polo de grande marque d’un coup sec et le jeter par terre. Puis il sort son sexe, long et fort large. Torse nu, Arthur se met aussitôt à genoux pour sucer. La main de Roger agrippe aussitôt sa tignasse pour prendre contrôle de la tête.
- Je savais que t’attendais que ça…vas-y suce…
La bouche déformée par l’énorme bite, Arthur se régale. Se taper un daddy viril et dominant… il n’attend que ça en effet. Le ciment froid du sol fait mal aux genoux, mais Arthur s’en moque, car la bite de Roger lui donne un plaisir fou. Il la fait rentrer au fond de sa gorge. La branle. La serre dans sa main comme pour en apprécier la grosseur. Il lèche ensuite les couilles velues avant de se remettre à sucer. Pendant ce temps-là, les mains de Roger caressent et tirent les cheveux bruns ou pousse la nuque pour encourager les gorges profondes. Puis il agrippe franchement la tête avec les deux mains. Arthur s’immobilise et se laisse baiser la bouche. Roger n’a plus qu’à faire glisser sa bite dans la bouche et la gorge d’Arthur comme il veut. Aussi vite et aussi profond qu’il le veut. La salive s’accumule. Arthur respire par le nez pour ne pas s’étouffer, mais il est content de reprendre son souffle quand Roger lui donne un peu de répit. Puis Roger le relève
- Enlève ton short
Arthur s’exécute, ne gardant que ses baskets aux pieds. Roger a fait glisser le haut de son bleu de travail et il est maintenant torse nu. Il serre Arthur contre lui. Une main plaquée contre les fesses, une autre contre la nuque, pour plonger le nez d’Arthur sous son aisselle. Aussitôt, le minet lèche les poils pour gouter à la saveur acre du mâle qui va le baiser.
- Penche toi contre ta caisse
Arthur obéit se penche contre le capot de sa voiture. Il sent les énormes mains caleuses de Roger lui écarter les fesses, puis un crachat atterrir sur sa rosette. C’est ensuite le visage rugueux qui vient se poser contre les fesses, et la langue commence à caresser l’anus. Arthur pousse aussitôt des « hhmm, oui » de plaisir. Les fesses sont écartées au maximum et le bout de langue rentre même dans l’anus. La salive coule en abondance. Arthur se tord de plaisir, à se faire bouffer le cul comme ça. Il se cambre de lui-même.
Puis Roger se redresse, attrape de la vaseline et s’en enduit le sexe. Le gland énorme vient presser contre l’anus, et Roger donne un grand coup sexe. Arthur crie, mais personne n’est là pour l’entendre. L’engin est rentré en lui sans ménagement. Ça brule. Mais il s’en moque. La satisfaction psychologique est plus forte que la douleur physique, et il sait que le plaisir va se faire sentir progressivement. Un coup de queue de Roger, brusque, le surprend. Son corps est pris d’un spasme, mais il sent aussitôt les grosses mains de Roger lui agripper les hanches pour le maintenir en place. Les coups de queue reprennent. Très vifs et profonds, mais séparées de plusieurs secondes. Pour laisser à Arthur le temps de sentir et d’apprécier et à Roger de savourer. Chaque coup est maintenant accompagné d’un râle agressif de plaisir d’un côté, et d’un cri de jouissance de l’autre. Roger peut alors accélérer et commencer son travail de sape dans le cul d’Arthur. Le gland vient buter contre le fond du rectum, et les hanches contre les fesses. La sodomie est totale.
Roger attrape maintenant Arthur par les cheveux et le tire vers lui pour le forcer à se cambrer encore plus. Il accélère. Arthur a fermé les yeux et s’abandonne complètement. Puis la main lui saisit maintenant le cou pour le pencher complètement contre le capot. Au contact du métal froid, Arthur frissonne. Mais son plaisir ne diminue pas. Sa prostate est caressée en permanence par la bite de Roger qui continue ses va et vient.
La sodomie cesse un moment. Roger se détache et admire son sexe luisant. Arthur s’est retourné
- Suce moi
Sans réfléchir, le jeune minet tombe à genoux et prend le sexe en bouche, luisant de vaseline et de précum, et encore bien chaud. Roger est satisfait. Son emprise sur Arthur est totale. Il le toise, les mains sur les hanches et le laisse jouer avec sa queue.
- Allonge toi sur le capot
Arthur obéit et s’allonge, sur le dos, jambes écartées, près à se faire baiser par devant. Roger lui ôte ses baskets et le laisse en chaussettes, avant de replonger sa bite dans le cul bien ouvert d’Arthur. La sodomie reprend. D’abord doucement. Roger alterne les regards vers son sexe, et vers le visage d’Arthur, bien conscient de l’effet qu’il procure. Le sexe d’Arthur est bandé et mouillé. Arthur repense à la baise sauvage de l’été dernier, quand je l’avais pris sur le capot. Renouveler l’expérience ne peut que le rendre heureux. Il continue à gémir et admire le torse puissant de Roger s’agiter au dessus de lui. Tout l’enivre. La situation. Les odeurs. Le plaisir de se faire enculer sauvagement par un daddy.
Roger a agrippé la queue d’Arthur et le branle. Puis, il laisse faire le minet. L’orgasme n’est pas loin. Arthur se chauffe et Roger et au bord de la rupture. C’est d’ailleurs Roger qui lui ordonne de jouir, mais du cul.
Arthur cesse de se branler mais garde sa queue en main, à quarante cinq degrés, histoire de maximiser les projections quand l’orgasme viendra. Celui-ci est déclenché par un ultime coup contre sa prostate. Les jets puissants, des éclairs blancs viennent atterrir contre son menton, puis sur ses pectoraux et sur ses abdominaux tendus par la position. Arthur jouit de ton son corps et criant, et d’autres cris d’ajoutent quand il sent le sperme de Roger, abondant se déverser en lui.
Roger ordonne ensuite à Arthur de le sucer, histoire d’abuser du beau minet arrogant jusqu’au bout. Nu, en chaussette, transpirant, mais radieux, Arthur a savouré chaque instant. Roger sourit
- Ta voiture est prête, tu peux rentrer chez toi
Arthur sourit. Quel beau menteur ce Roger. Il enfile doucement ses vêtements tâchés et à moitié déchirés dans les préliminaires torrides. Avant de le laisser partir, Roger ajoute :
- Viens faire réviser ta voiture le plus souvent possible
Arthur sourit. Il en meurt d’envie
Quand je retrouve Arthur peu après, il me raconte tout, en détails. Je suis satisfait de ce plan organisé pour lui. Je savais que ça lui plairait et qu’il jouerait le jeu. Il faudra donc que je continue à organiser ce genre de rencontres.
A suivre…
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Dans les semaines qui suivent, Arthur et moi continuons à nous voir régulièrement. Une relation qui reste quand même centrée sur le sexe, avec quelques moments où j’essaie de m’intéresser à lui, et de construire quelque chose. Il n’a pas l’air entièrement intéressé. Je pense qu’il me voit principalement pour le sexe, et que les moments passés hors du lit ne sont pour lui que le prix à payer… Toutefois, il me confie qu’il ne couche avec personne d’autre. Et je le crois. Car son énergie sexuelle est énorme, et j’ai du mal à concevoir qu’il la dépense avec d’autres.
Son attitude avec moi s’améliore quelque peu. Il se montre moins gamin, moins gâté, et il arrive à tenir une conversation. Fait-il vraiment des efforts ?
C’est donc une étrange relation qui est en train de se construire entre nous.
Par contre, son attitude avec les autres restent complètement immature. Je le vois parfois interagir avec d’autres, au téléphone, ou dans la rue. Et il se montre toujours aussi arrogant et déplaisant. Fait il cela pour provoquer ? Qu’attend il en retour ? Toujours est-il que cela me donne des idées… L’envie d’utiliser la domination sexuelle pour le calmer. Et lui donner les bonnes leçons qu’il mérite. Car j’ai la conviction que c’est ce qu’il désire. Tous les signaux qu’il me donne au lit vont dans cette direction. Charge à moi d’organiser les bons plans cul pour ça.
Une belle occasion se présente. Arthur cherche un garagiste sur Paris, pour les révisions de la voiture de sports que ses parents lui ont offerte pour ses 18 ans. Je l’envoie chez Roger, que je connais. Il avait participé à une partouze que j’avais organisée pour les 20 ans d’Alex. Roger est brut de décoffrage, dominant et adore les minets. Je sais déjà qu’Arthur est une proie parfaite. Et je rêve de l’offrir à Roger. J’ai donné carte blanche à Roger.
La première fois qu’Arthur dépose sa voiture, l’électricité est déjà dans l’air. Roger ne quitte pas des yeux Arthur. Il rêve de se taper ce petit minet arrogant, bien habillé, et frimeur dans sa voiture de sports. Arthur se montre impatient. Ça n’échappe pas à Roger, qui se montre froid et cassant. Il ne fait aucun doute que c’est un jeu des deux côtés. Apres l’expérience avec Jacques, Arthur n’est pas naïf. Il se doute bien que si je lui ai recommandé Roger, c’est parce qu’il y avait quelque chose derrière… Et il en joue pleinement.
Quand Arthur repasse prendre son véhicule deux jours après, en fin de journée, le garage est désert. C’est important pour lui de récupérer la voiture car il a prévu une virée avec des potes.
Roger est seul, et la voiture est encore à l’atelier. Ses mains sont graisseuses et il les frotte avec un vieux chiffon. Arthur est étonné :
- Ma voiture est pas prête ?
- Nan… j’ai pas tout à fait terminé
Est-ce de la comédie, ou bien de la frustration bien réelle, mais Arthur s’emporte
- Sérieux ??? Mais putain, on avait dit qu’elle serait prête ce soir ?
Roger jette un regard sombre à Arthur, jette le chiffon au sol et s’approche
- C’est quoi ton problème, hein ?
Arthur se fige. Un mélange de peur et d’excitation. La main énorme, caleuse, et encore graisseuse de Roger saisit Arthur par le menton.
- C’est quoi ton problème, sale gosse ? Hein ? Tu crois que tout t’est dû, hein ? Tu peux pas attendre un peu ?
La mâchoire serrée dans la main énorme de Roger, Arthur ne peut que bredouiller une réponse inaudible. L’autre main de Roger saisit violemment Arthur au paquet, serrant sa bite et ses couilles
- T’as envie que j’m’occupe de toi, plutôt que de ta bagnole, hein ? C’est ça que tu veux ?
Car en effet, bien que compressée sous sa main, la bite d’Arthur se tend, tant le minet est excité par ce mâle alpha qui abuse de lui. Roger relâche la pression et ouvre la fermeture éclair de son bleu de travail, laissant apparaitre un torse musclé et velu. Il attrape violemment Arthur par la nuque en serrant fort les cheveux, et de l’autre main le saisit par le col. Cela lui permet de venir lui plaquer la tête, mais surtout le nez contre son torse. Le but est clair : intoxiquer Arthur du parfum viril de Roger, un mélange de transpiration, de chaleur et d’odeur de garage. Arthur se laisse faire. Et se laisse enivrer. Quand Roger le relâche, il a en face de lui un Arthur décoiffé, avec un polo blanc dont le col est déjà déformé et couvert de taches de graisses.
Rogers saisit le col de chaque côté pour arracher le polo de grande marque d’un coup sec et le jeter par terre. Puis il sort son sexe, long et fort large. Torse nu, Arthur se met aussitôt à genoux pour sucer. La main de Roger agrippe aussitôt sa tignasse pour prendre contrôle de la tête.
- Je savais que t’attendais que ça…vas-y suce…
La bouche déformée par l’énorme bite, Arthur se régale. Se taper un daddy viril et dominant… il n’attend que ça en effet. Le ciment froid du sol fait mal aux genoux, mais Arthur s’en moque, car la bite de Roger lui donne un plaisir fou. Il la fait rentrer au fond de sa gorge. La branle. La serre dans sa main comme pour en apprécier la grosseur. Il lèche ensuite les couilles velues avant de se remettre à sucer. Pendant ce temps-là, les mains de Roger caressent et tirent les cheveux bruns ou pousse la nuque pour encourager les gorges profondes. Puis il agrippe franchement la tête avec les deux mains. Arthur s’immobilise et se laisse baiser la bouche. Roger n’a plus qu’à faire glisser sa bite dans la bouche et la gorge d’Arthur comme il veut. Aussi vite et aussi profond qu’il le veut. La salive s’accumule. Arthur respire par le nez pour ne pas s’étouffer, mais il est content de reprendre son souffle quand Roger lui donne un peu de répit. Puis Roger le relève
- Enlève ton short
Arthur s’exécute, ne gardant que ses baskets aux pieds. Roger a fait glisser le haut de son bleu de travail et il est maintenant torse nu. Il serre Arthur contre lui. Une main plaquée contre les fesses, une autre contre la nuque, pour plonger le nez d’Arthur sous son aisselle. Aussitôt, le minet lèche les poils pour gouter à la saveur acre du mâle qui va le baiser.
- Penche toi contre ta caisse
Arthur obéit se penche contre le capot de sa voiture. Il sent les énormes mains caleuses de Roger lui écarter les fesses, puis un crachat atterrir sur sa rosette. C’est ensuite le visage rugueux qui vient se poser contre les fesses, et la langue commence à caresser l’anus. Arthur pousse aussitôt des « hhmm, oui » de plaisir. Les fesses sont écartées au maximum et le bout de langue rentre même dans l’anus. La salive coule en abondance. Arthur se tord de plaisir, à se faire bouffer le cul comme ça. Il se cambre de lui-même.
Puis Roger se redresse, attrape de la vaseline et s’en enduit le sexe. Le gland énorme vient presser contre l’anus, et Roger donne un grand coup sexe. Arthur crie, mais personne n’est là pour l’entendre. L’engin est rentré en lui sans ménagement. Ça brule. Mais il s’en moque. La satisfaction psychologique est plus forte que la douleur physique, et il sait que le plaisir va se faire sentir progressivement. Un coup de queue de Roger, brusque, le surprend. Son corps est pris d’un spasme, mais il sent aussitôt les grosses mains de Roger lui agripper les hanches pour le maintenir en place. Les coups de queue reprennent. Très vifs et profonds, mais séparées de plusieurs secondes. Pour laisser à Arthur le temps de sentir et d’apprécier et à Roger de savourer. Chaque coup est maintenant accompagné d’un râle agressif de plaisir d’un côté, et d’un cri de jouissance de l’autre. Roger peut alors accélérer et commencer son travail de sape dans le cul d’Arthur. Le gland vient buter contre le fond du rectum, et les hanches contre les fesses. La sodomie est totale.
Roger attrape maintenant Arthur par les cheveux et le tire vers lui pour le forcer à se cambrer encore plus. Il accélère. Arthur a fermé les yeux et s’abandonne complètement. Puis la main lui saisit maintenant le cou pour le pencher complètement contre le capot. Au contact du métal froid, Arthur frissonne. Mais son plaisir ne diminue pas. Sa prostate est caressée en permanence par la bite de Roger qui continue ses va et vient.
La sodomie cesse un moment. Roger se détache et admire son sexe luisant. Arthur s’est retourné
- Suce moi
Sans réfléchir, le jeune minet tombe à genoux et prend le sexe en bouche, luisant de vaseline et de précum, et encore bien chaud. Roger est satisfait. Son emprise sur Arthur est totale. Il le toise, les mains sur les hanches et le laisse jouer avec sa queue.
- Allonge toi sur le capot
Arthur obéit et s’allonge, sur le dos, jambes écartées, près à se faire baiser par devant. Roger lui ôte ses baskets et le laisse en chaussettes, avant de replonger sa bite dans le cul bien ouvert d’Arthur. La sodomie reprend. D’abord doucement. Roger alterne les regards vers son sexe, et vers le visage d’Arthur, bien conscient de l’effet qu’il procure. Le sexe d’Arthur est bandé et mouillé. Arthur repense à la baise sauvage de l’été dernier, quand je l’avais pris sur le capot. Renouveler l’expérience ne peut que le rendre heureux. Il continue à gémir et admire le torse puissant de Roger s’agiter au dessus de lui. Tout l’enivre. La situation. Les odeurs. Le plaisir de se faire enculer sauvagement par un daddy.
Roger a agrippé la queue d’Arthur et le branle. Puis, il laisse faire le minet. L’orgasme n’est pas loin. Arthur se chauffe et Roger et au bord de la rupture. C’est d’ailleurs Roger qui lui ordonne de jouir, mais du cul.
Arthur cesse de se branler mais garde sa queue en main, à quarante cinq degrés, histoire de maximiser les projections quand l’orgasme viendra. Celui-ci est déclenché par un ultime coup contre sa prostate. Les jets puissants, des éclairs blancs viennent atterrir contre son menton, puis sur ses pectoraux et sur ses abdominaux tendus par la position. Arthur jouit de ton son corps et criant, et d’autres cris d’ajoutent quand il sent le sperme de Roger, abondant se déverser en lui.
Roger ordonne ensuite à Arthur de le sucer, histoire d’abuser du beau minet arrogant jusqu’au bout. Nu, en chaussette, transpirant, mais radieux, Arthur a savouré chaque instant. Roger sourit
- Ta voiture est prête, tu peux rentrer chez toi
Arthur sourit. Quel beau menteur ce Roger. Il enfile doucement ses vêtements tâchés et à moitié déchirés dans les préliminaires torrides. Avant de le laisser partir, Roger ajoute :
- Viens faire réviser ta voiture le plus souvent possible
Arthur sourit. Il en meurt d’envie
Quand je retrouve Arthur peu après, il me raconte tout, en détails. Je suis satisfait de ce plan organisé pour lui. Je savais que ça lui plairait et qu’il jouerait le jeu. Il faudra donc que je continue à organiser ce genre de rencontres.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Si je peux (et oui, je peux, une fois proposée, un récit n'appartient plus entièrement à l'auteur, mais aussi aux lecteurs), je suis un peu déçu de ne pas retrouver la lente séduction lue dans 'Arthur, le fils de mon meilleur ami' :-/ Ici, l'aîné dirige juste le plus jeune, qui ne l'avait d'ailleurs pas attendu pour explorer sa sexualité, vers des rencontres toujours plus humiliantes avec des mecs de systématiquement le double de son âge moyennement respectueux (mes excuses aux garagistes huilés)...
Je souris pourtant un peu en m'attendant à quelques 'témoignages sincères' de contemporains du mécano qui vont assurer avoir eux-mêmes fait couiner des garçons de plaisir ^^
Je souris pourtant un peu en m'attendant à quelques 'témoignages sincères' de contemporains du mécano qui vont assurer avoir eux-mêmes fait couiner des garçons de plaisir ^^