Arthur et Maxime (06)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur et Maxime (06)
Ce récit constitue la suite de l’histoire « Arthur, le fils de mon meilleur ami ». Bonne lecture ! sylvainerotic@yahoo.com
==
Le réveil avec Arthur est magique. Sentir son corps nu contre le mien. Son sourire quand j’ouvre les yeux.
Les jours qui suivent, eux aussi, sont magiques. Arthur et moi vivons maintenant notre relation. D’abord nous formons un couple. Et on assume complètement notre différence d’âge. On se tient par la main et s’embrasse en public. Je laisse Arthur gérer sa communication avec ses amis. Pour l’instant, son père n’est pas au courant. Cela prendra du temps..
On assume aussi le côté père – fils de notre relation dans la vie de tous les jours. Je continue à faire découvrir des choses à Arthur, sans lui imposer. Je l’aide à murir, à découvrir ses gouts, à former sa personnalité. Je m’amuse aussi à faire des courses avec lui et lui acheter ce qu’il veut. J’aime le gâter. Je remplace ses parents de ce côté-là.
Arthur passe aussi presque toutes ses nuits chez moi. Le moment où il me rejoint nu pour se blottir dans mes bras sous les draps est un pur bonheur. Côté sexuel, tout reste très intense. On fait l’amour tous les jours, parfois plus.
Petit à petit, le comportement d’Arthur change. Il se montre moins capricieux. Mais surtout, il sait qu’il n’a pu besoin de me provoquer pour que je le punisse et le domine. Ce qu’il adore. Je lui donne maintenant ce qu’il recherche sans attendre.
Cela se passe par exemple peu de temps après le début officiel de notre relation dad – son.
Je trouve un prétexte bidon, insignifiant pour lui faire des remontrances, et lui dire qu’il a été un méchant garçon. Bien sûr, il comprend tout de suite que c’est un jeu. Auquel il va se prêter dans hésiter une seconde.
- Déshabille toi
Je prends l’air sévère, lui l’air triste. Il se met nu tout en baissant les yeux.
- A genoux, mains sur la tête
Je suis habillé, il est nu. Je suis debout, il est à mes pieds. Sans lui laisser redresser la tête, ou lever les yeux, je lui mets un collier de cuir autour du cou. J’ai rêvé de ce moment dès que j’ai vu Arthur pour la première fois. J’attache ensuite la laisse au collier pour accroitre mon emprise sur lui. Je lui fais plaquer la tête contre mon paquet, pour qu’il sente ma bite en érection sous mon jean. Je lui plaque la tête et laisse mon sexe durcir contre sa joue.
Puis je sors ma queue. Et la lui plante direct dans la bouche, le plus profond possible. Il manque de s’étouffer.
- Suce daddy, bad boy
Ma main est serrée dans ses cheveux tout au long de la fellation. Ses yeux se lèvent de temps en temps vers moi, soumis et suppliant. Ma bite ne quitte pas sa bouche pendant un long moment, et il n’utilise que ses lèvres, car que je lui ai ordonné des garder les mains dans le dos. Je ferme les yeux et savoure la caresse soumise de ses lèvres et de sa bouche sur ma bite.
Je tire ensuite sur la laisse pour le redresser brutalement.
- Ouvre la bouche
Je crache à l’intérieur puis l’embrasse brutalement, ma langue rentrant le plus profondément possible dans sa bouche.
Je le traine vers la chambre, et le penche contre le lit, sur le ventre, pieds au sol, fesses exposées.
- Daddy est très en colère contre toi… tu mérites d’être puni
Je lui assène une violente fessée sur son petit cul. Il tressaille. Je recommence.
- Oh oui daddy punis moi
Les fessées sont fortes et espacées dans le temps. Je regarde les marques rouges se former sur la peau blanche. Je m’applique à les faire apparaitre partout. Cela lui brule. Mais il aime ça, et me demande de continuer à le punir. Les fesses sont maintenant brulantes et rouges foncées.
Je retire la laisse, le laisse en collier, lui attache les mains avec des menottes par devant, et le pousse sur le lit. Je me mets à poil, et j’installe ma webcam pour filmer. Il m’attend sur le lit, nu, attache, vulnérable mais bouillant de désir.
Je le tire de façon à ce qu’il reste allongé sur le lit, sur son dos, mais avec la tête à l’extérieur du lit, penchée en arrière. Je peux plonger ma queue dans sa bouche et la baiser. Il bave, s’étouffe, mais surtout il est étourdi quand le sang commence à lui monter à la tête. Mon objectif est de lui faire perdre son équilibre et de le faire se soumettre davantage. Il est tout groggy quand je le redresse, et crache sur son visage. Il sort la langue pour ramasser ma salive et je crache aussi directement dans sa bouche.
Je ne lui laisse pas de répit et je l’attache maintenant au lit, sur le dos, les bras relevés par-dessus la tête. La vue est superbe. On dirait un jeune martyr sur une peinture de la renaissance italienne. Je sors de la table de nuit un rouleau de sparadrap noir épais et lui en colle un morceau sur la bouche. Plus que jamais il est à moi. Et je vous pouvoir utiliser mes jouets sur lui. Alex, mon ex, n’aimait pas la domination. Dommage. Mes jouets ont donc très peu servi…
Quand je sors un petit gode, Arthur relève instinctivement les jambes et les écarte. Un murmure de désir se fait entendre sous le bâillon. J’introduis le gode graissé doucement. Ça rentre facilement. Il est de petite taille. Je bouge, je tourne. Je joue avec son cul. Je regarde la pénétration, le gode glisse profondément en lui. Je passe ensuite à un second gode, plus gros, plus long, plus large. L’anus s’ouvre en résistant un peu. Pas de douleur pour Arthur. Du plaisir, au contraire. Sa bite se contracte et durcit davantage. Je bouge doucement le gode en lui… puis j’accélère. J’aime regarder le gode le transpercer, voir à quel point il est large par rapport au petit cul d’Arthur. Ce dernier gémit sous le sparadrap.
Plaisir différent : je sors maintenant les boules japonaises. Je lis de la surprise dans les yeux d’Arthur. Les boules sont bien larges. Je le rentre progressivement en lui. Son anus les mange une à une, jusqu’à remplir son cul. Puis je tire pour les faire sortir. Doucement pour les premières, plus rapidement pour les suivantes. Et je sais qu’il aime. Je le sens sur sa peau qui frissonne, et dans les regards qu’il me jette.
Pour finir je sors un plug ultra large. Cette fois, je lis de la peur dans ses yeux. Mais je ne veux pas le forcer.
- Tu es prêt ?
Il hésite. De la transpiration apparait sur son front. Mais il fait oui de la tête. Je lui glisse des poppers sous le nez. Il est déjà bien détendu mais il doit s’ouvrir encore plus. Le plug rentre progressivement en lui. Au point le plus large, je vois le visage d’Arthur se tendre, puis le plug est avale et disparait en lui pour ne garder que la poignet à l’extérieur. Je n’ai jamais autant possédé son corps. Je viens me placer à califourchon au-dessus de son torse. J’arrache le sparadrap. La brulure le fait crier mais maintenant qu’il peut s’exprimer, il se met à gueuler : « baise moi la bouche, daddy », tout en serrant son anus sur le plug. Je plonge ma bite dans sa bouche. Il garde sa tête immobile, pour se faire baiser docilement. Jamais il n’aura été autant abuser des deux côtes, livrant son cul au maximum et offrant sa bouche en réceptacle. Mon gland glisse jusqu’au fond de sa gorge. Après lui avoir violé la bouche, je l’abandonne, le visage rougi, ruisselant de salive.
Je reviens vers son cul, et retire le plug. Sans laisser le trou béant se refermer, je le pénètre. Mon sexe rentre même sans toucher les parois de son anus. Je démarre une baise sauvage, en serrant ses chevilles dans mes mains. Maintenant qu’Arthur peut parler, il gueule : « daddy, baise moi, baise moi ». Et je suis ravi de lui donner ce qu’il veut. Son cul est souple, bien ouvert. Mais il sert son sphincter sur moi. On baise ensemble.
Je le détache ensuite, lui tire les cheveux pour me faire sucer. Il suce sans hésitation mon sexe qui sort à peine de son corps. Je le laisse gouter le gout acre, puis le plaque sur le ventre de tout son long, pour mieux replonger ma bite entre ses fesses. Son corps est tout à moi. Je le baise brutalement, vite, loin, fort. Je ruine son petit cul. Ma main lui plaque la tête contre l’oreiller. Ses cris sont à moitié étouffés. Mais je lui sors ensuite la tête de la en le tirant par les cheveux. Il se met aussitôt à gueuler : « BAISE MOI… DADDY, BAISE MOI »
- Vas y continue, gueule, que tous les voisins t’entendent
Arthur continue à jurer. Et quand on entend les voisins taper contre le mur, je suis satisfait. Je continue à le sodomiser avec agressivité le plus longtemps possible, jusqu’à éjaculer en lui. Après l’orgasme, aussi longtemps que mon sexe reste dur, je n’interromps pas et continue à le baiser. Je le sens frissonner et crier davantage. Je sais qu’il est en train de jouir, le sexe collé aux draps.
Je peux maintenant reprendre mon souffle. Je lui caresse doucement l’épaule. Un baiser, doux et lent sur les lèvres, signale la fin du jeu. Je retire le collier et prend de ses nouvelles. Il a adoré. Oui, son anus et ses cheveux lui brulent, mais la douleur est un stimulant et il a pris énormément de plaisir. Il veut recommencer.
On fait un câlin. Je le caresse, je l’embrasse. Après le père fouettard, le père câlin. Cependant, les choses ne sont pas tout à fait terminées pour Arthur. C’est lui qui me prend par la main et qui me conduit dans la salle de bains. Il vient se mettre à genoux dans la baignoire. Il me regarde. Je sais ce qu’il veut. Il m’en a parlé. Je le rejoins. Le jet chaud de la douche coule entre nous. Je commence à uriner doucement sur son torse. Il observe le jet chaud. Il s’est remis à bander. Progressivement je fais remonter le jet dans son cou, puis vers son visage. Il ouvre la bouche. Recrache un peu mais avale aussi. Il a pris sa bite en main et se branle. Sentant le jet se tarir, il prend directement ma bite en bouche pour boire directement à la source. Il éjacule en avalant les dernières gouttes. Je le rince abondamment.
A suivre…
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Le réveil avec Arthur est magique. Sentir son corps nu contre le mien. Son sourire quand j’ouvre les yeux.
Les jours qui suivent, eux aussi, sont magiques. Arthur et moi vivons maintenant notre relation. D’abord nous formons un couple. Et on assume complètement notre différence d’âge. On se tient par la main et s’embrasse en public. Je laisse Arthur gérer sa communication avec ses amis. Pour l’instant, son père n’est pas au courant. Cela prendra du temps..
On assume aussi le côté père – fils de notre relation dans la vie de tous les jours. Je continue à faire découvrir des choses à Arthur, sans lui imposer. Je l’aide à murir, à découvrir ses gouts, à former sa personnalité. Je m’amuse aussi à faire des courses avec lui et lui acheter ce qu’il veut. J’aime le gâter. Je remplace ses parents de ce côté-là.
Arthur passe aussi presque toutes ses nuits chez moi. Le moment où il me rejoint nu pour se blottir dans mes bras sous les draps est un pur bonheur. Côté sexuel, tout reste très intense. On fait l’amour tous les jours, parfois plus.
Petit à petit, le comportement d’Arthur change. Il se montre moins capricieux. Mais surtout, il sait qu’il n’a pu besoin de me provoquer pour que je le punisse et le domine. Ce qu’il adore. Je lui donne maintenant ce qu’il recherche sans attendre.
Cela se passe par exemple peu de temps après le début officiel de notre relation dad – son.
Je trouve un prétexte bidon, insignifiant pour lui faire des remontrances, et lui dire qu’il a été un méchant garçon. Bien sûr, il comprend tout de suite que c’est un jeu. Auquel il va se prêter dans hésiter une seconde.
- Déshabille toi
Je prends l’air sévère, lui l’air triste. Il se met nu tout en baissant les yeux.
- A genoux, mains sur la tête
Je suis habillé, il est nu. Je suis debout, il est à mes pieds. Sans lui laisser redresser la tête, ou lever les yeux, je lui mets un collier de cuir autour du cou. J’ai rêvé de ce moment dès que j’ai vu Arthur pour la première fois. J’attache ensuite la laisse au collier pour accroitre mon emprise sur lui. Je lui fais plaquer la tête contre mon paquet, pour qu’il sente ma bite en érection sous mon jean. Je lui plaque la tête et laisse mon sexe durcir contre sa joue.
Puis je sors ma queue. Et la lui plante direct dans la bouche, le plus profond possible. Il manque de s’étouffer.
- Suce daddy, bad boy
Ma main est serrée dans ses cheveux tout au long de la fellation. Ses yeux se lèvent de temps en temps vers moi, soumis et suppliant. Ma bite ne quitte pas sa bouche pendant un long moment, et il n’utilise que ses lèvres, car que je lui ai ordonné des garder les mains dans le dos. Je ferme les yeux et savoure la caresse soumise de ses lèvres et de sa bouche sur ma bite.
Je tire ensuite sur la laisse pour le redresser brutalement.
- Ouvre la bouche
Je crache à l’intérieur puis l’embrasse brutalement, ma langue rentrant le plus profondément possible dans sa bouche.
Je le traine vers la chambre, et le penche contre le lit, sur le ventre, pieds au sol, fesses exposées.
- Daddy est très en colère contre toi… tu mérites d’être puni
Je lui assène une violente fessée sur son petit cul. Il tressaille. Je recommence.
- Oh oui daddy punis moi
Les fessées sont fortes et espacées dans le temps. Je regarde les marques rouges se former sur la peau blanche. Je m’applique à les faire apparaitre partout. Cela lui brule. Mais il aime ça, et me demande de continuer à le punir. Les fesses sont maintenant brulantes et rouges foncées.
Je retire la laisse, le laisse en collier, lui attache les mains avec des menottes par devant, et le pousse sur le lit. Je me mets à poil, et j’installe ma webcam pour filmer. Il m’attend sur le lit, nu, attache, vulnérable mais bouillant de désir.
Je le tire de façon à ce qu’il reste allongé sur le lit, sur son dos, mais avec la tête à l’extérieur du lit, penchée en arrière. Je peux plonger ma queue dans sa bouche et la baiser. Il bave, s’étouffe, mais surtout il est étourdi quand le sang commence à lui monter à la tête. Mon objectif est de lui faire perdre son équilibre et de le faire se soumettre davantage. Il est tout groggy quand je le redresse, et crache sur son visage. Il sort la langue pour ramasser ma salive et je crache aussi directement dans sa bouche.
Je ne lui laisse pas de répit et je l’attache maintenant au lit, sur le dos, les bras relevés par-dessus la tête. La vue est superbe. On dirait un jeune martyr sur une peinture de la renaissance italienne. Je sors de la table de nuit un rouleau de sparadrap noir épais et lui en colle un morceau sur la bouche. Plus que jamais il est à moi. Et je vous pouvoir utiliser mes jouets sur lui. Alex, mon ex, n’aimait pas la domination. Dommage. Mes jouets ont donc très peu servi…
Quand je sors un petit gode, Arthur relève instinctivement les jambes et les écarte. Un murmure de désir se fait entendre sous le bâillon. J’introduis le gode graissé doucement. Ça rentre facilement. Il est de petite taille. Je bouge, je tourne. Je joue avec son cul. Je regarde la pénétration, le gode glisse profondément en lui. Je passe ensuite à un second gode, plus gros, plus long, plus large. L’anus s’ouvre en résistant un peu. Pas de douleur pour Arthur. Du plaisir, au contraire. Sa bite se contracte et durcit davantage. Je bouge doucement le gode en lui… puis j’accélère. J’aime regarder le gode le transpercer, voir à quel point il est large par rapport au petit cul d’Arthur. Ce dernier gémit sous le sparadrap.
Plaisir différent : je sors maintenant les boules japonaises. Je lis de la surprise dans les yeux d’Arthur. Les boules sont bien larges. Je le rentre progressivement en lui. Son anus les mange une à une, jusqu’à remplir son cul. Puis je tire pour les faire sortir. Doucement pour les premières, plus rapidement pour les suivantes. Et je sais qu’il aime. Je le sens sur sa peau qui frissonne, et dans les regards qu’il me jette.
Pour finir je sors un plug ultra large. Cette fois, je lis de la peur dans ses yeux. Mais je ne veux pas le forcer.
- Tu es prêt ?
Il hésite. De la transpiration apparait sur son front. Mais il fait oui de la tête. Je lui glisse des poppers sous le nez. Il est déjà bien détendu mais il doit s’ouvrir encore plus. Le plug rentre progressivement en lui. Au point le plus large, je vois le visage d’Arthur se tendre, puis le plug est avale et disparait en lui pour ne garder que la poignet à l’extérieur. Je n’ai jamais autant possédé son corps. Je viens me placer à califourchon au-dessus de son torse. J’arrache le sparadrap. La brulure le fait crier mais maintenant qu’il peut s’exprimer, il se met à gueuler : « baise moi la bouche, daddy », tout en serrant son anus sur le plug. Je plonge ma bite dans sa bouche. Il garde sa tête immobile, pour se faire baiser docilement. Jamais il n’aura été autant abuser des deux côtes, livrant son cul au maximum et offrant sa bouche en réceptacle. Mon gland glisse jusqu’au fond de sa gorge. Après lui avoir violé la bouche, je l’abandonne, le visage rougi, ruisselant de salive.
Je reviens vers son cul, et retire le plug. Sans laisser le trou béant se refermer, je le pénètre. Mon sexe rentre même sans toucher les parois de son anus. Je démarre une baise sauvage, en serrant ses chevilles dans mes mains. Maintenant qu’Arthur peut parler, il gueule : « daddy, baise moi, baise moi ». Et je suis ravi de lui donner ce qu’il veut. Son cul est souple, bien ouvert. Mais il sert son sphincter sur moi. On baise ensemble.
Je le détache ensuite, lui tire les cheveux pour me faire sucer. Il suce sans hésitation mon sexe qui sort à peine de son corps. Je le laisse gouter le gout acre, puis le plaque sur le ventre de tout son long, pour mieux replonger ma bite entre ses fesses. Son corps est tout à moi. Je le baise brutalement, vite, loin, fort. Je ruine son petit cul. Ma main lui plaque la tête contre l’oreiller. Ses cris sont à moitié étouffés. Mais je lui sors ensuite la tête de la en le tirant par les cheveux. Il se met aussitôt à gueuler : « BAISE MOI… DADDY, BAISE MOI »
- Vas y continue, gueule, que tous les voisins t’entendent
Arthur continue à jurer. Et quand on entend les voisins taper contre le mur, je suis satisfait. Je continue à le sodomiser avec agressivité le plus longtemps possible, jusqu’à éjaculer en lui. Après l’orgasme, aussi longtemps que mon sexe reste dur, je n’interromps pas et continue à le baiser. Je le sens frissonner et crier davantage. Je sais qu’il est en train de jouir, le sexe collé aux draps.
Je peux maintenant reprendre mon souffle. Je lui caresse doucement l’épaule. Un baiser, doux et lent sur les lèvres, signale la fin du jeu. Je retire le collier et prend de ses nouvelles. Il a adoré. Oui, son anus et ses cheveux lui brulent, mais la douleur est un stimulant et il a pris énormément de plaisir. Il veut recommencer.
On fait un câlin. Je le caresse, je l’embrasse. Après le père fouettard, le père câlin. Cependant, les choses ne sont pas tout à fait terminées pour Arthur. C’est lui qui me prend par la main et qui me conduit dans la salle de bains. Il vient se mettre à genoux dans la baignoire. Il me regarde. Je sais ce qu’il veut. Il m’en a parlé. Je le rejoins. Le jet chaud de la douche coule entre nous. Je commence à uriner doucement sur son torse. Il observe le jet chaud. Il s’est remis à bander. Progressivement je fais remonter le jet dans son cou, puis vers son visage. Il ouvre la bouche. Recrache un peu mais avale aussi. Il a pris sa bite en main et se branle. Sentant le jet se tarir, il prend directement ma bite en bouche pour boire directement à la source. Il éjacule en avalant les dernières gouttes. Je le rince abondamment.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ca me rappel mon adolescence lors de mes premiers rapports sexuel avec le père d'un copain , lui 40a (24 de plus que moi ) il était super beau et très doux , on se voyait 2 a 3 fois par semaine dans son cabinet professionel attenant a un petit studio , je précise que j 'etait entierement consentant tellement il me plaisait et cela a durer 3 années . VALENTIN