Arthur et Maxime (10)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur et Maxime (10)
Ce récit constitue la suite de l’histoire « Arthur, le fils de mon meilleur ami ». Bonne lecture ! sylvainerotic@yahoo.com
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La baise folle avec Arthur dans son lit, en réinventant la perte de sa virginité avec moi, suivie par celle encore plus folle dans le lit de son père, marque un tournant essentiel pour Arthur. Un verrou vient de sauter. Comme si la boucle était bouclée et que je lui avais offert tout ce qui sommeillait en lui depuis longtemps mais n’avait pas pu se réaliser. Je lui ai tout donné. Il n’y a maintenant plus rien d’inachevé dans sa tête.
Et je m’en suis rendu compte très facilement. Dès que nous nous sommes réveillés, nus et plus heureux que jamais dans le lit d’Alain, Arthur s’est levé, et toujours nu, a appelé son père. Un coup de fil surprise, candide, amical. Il aimerait déjeuner avec lui. Car ça fait un moment qu’ils ne se sont pas parlés. Je le regarde, nu avec son téléphone, enthousiaste. Complètement libéré d’un poids inavouable.
Après ce déjeuner, Arthur m’appelle. Il se sent tellement bien et heureux. Il a passé un bon moment. Il a bien sur annoncé à Alain que nous étions en couple. Ce dernier a été surpris. Il nous avait bien poussé dans les bras l’un de l’autre l’été dernier, afin de m’aider à retrouver l’inspiration. Il ne se doutait pas que cela ait pris une tournure plus sérieuse. Mais beau joueur, il se montre content pour son fils. Il se rend bien compte que celui-ci a muri. Arthur se sent prêt à changer sa relation avec lui. Ils se sont promis de se revoir souvent.
Et, en effet, dans les semaines qui suivent, Arthur est souvent en contact avec son père. Il se montre maintenant intéressé et complice avec son père. L’enfant gâté, provocateur et insolent a laissé place à un homme sain et équilibré. J’en suis tellement heureux. Comme si tout s’était finalement mis en place pour Arthur. Comme si les deux figures du père s’était maintenant séparée en deux personnages distincts : le père réel et biologique, avec qui Arthur peut avoir une vraie relation saine, et le père sexuel, incestueux, que j’incarne et qui lui permet de réaliser ses fantasmes interdits (et les miens par la même occasion).
L’été est là et cela nous donne une superbe occasion : Arthur m’invite à passer l’été avec lui en Provence, là même où nous nous sommes rencontrés l’an dernier. Là même où tout a commencé. Autant dire que l’idée me plait. Et je compte d’ailleurs en profiter pour démarrer mon prochain roman.
Mon cœur tressaille quand on arrive là-bas. Tant de bons souvenirs me reviennent. La villa est à nous pour l’été. Alain a prévu de passer quelques jours au milieu de l’été, mais c’est tout. Dès la porte fermée, je sens que le lieu a le même effet sur Arthur que sur moi. Il enroule ses bras autour de mon cou et m’embrasse :
- Je suis tellement content de revenir ici avec toi, daddy
- Moi aussi, son… et tu sais comment j’aimerais te voir ici
Il se détache et se déshabille entièrement devant moi. Il revient coller son corps nu contre le mien. Je l‘embrasse. Lentement, mais avec la langue. Mes parcourent son dos et ses fesses
- Mmmh… mon amour
Je continue à l’aimer comme ça. Il est nu, je suis habillé. Il me prend par la main et me conduit vers la piscine. Il descend doucement dans la piscine. Tout en me déshabillant, j’observe son corps de dos, la courbure parfaite de ses fesses disparaitre dans l’eau. Je le rejoins, nu moi aussi. Mon plaisir est aussitôt intense. Celui de nager nu. De sentir l’eau recouvrir mon corps en intégralité. Celui de me rafraichir. Mais aussi celui de prendre le corps nu d’Arthur dans mes bras, dans cet environnement.
Nous nous amusons ensemble dans l’eau, en alternant nage et caresses. Baisers. Jeu de corps à corps dans l’eau. Je touche son corps dans l’eau et il touche le mien. On mêle l’eau à nos jeux. Je caresse son sexe sous l’eau. Je serre Arthur dans mes bras. Il grimpe sur mon dos et m’embrasse dans le cou.
Pour s’amuser, il plonge sous l’eau et s’amuse à me sucer en apnée. Ce jeu m’amuse. Je le récompense d’un baiser quand il revient à la surface.
- Fais moi l’amour daddy
Il s’installe au bord de la piscine, jambes écartées. Je suis dans l’eau et viens le sucer. Mes mains caressent ses mollets humides. Il est bien dur dans ma bouche. Il gémit et caresse mes cheveux bien mouillés eux aussi. Mes mains se glissent ensuite sous ses cuisses pour les relever. Il comprend et les relève complètement. Il s’allonge sur le dos, les bras par-dessus la tête, et offre son corps au soleil, et son cul aux caresses de ma langue. Il est radieux. Je le lèche doucement, avec précision. L’extrémité de ma langue le pénètre. Je prends tout mon temps, et interrompt le rimming par des baisers et des lèches sur l’intérieur de ses cuisses et sur ses couilles.
Je pars chercher du gel. Je sais où en trouver. Je pénètre dans la chambre d’Arthur par la baie vitrée. Cela me rappelle tellement de souvenirs. Cette première fois où il avait prétendu être puceau et s’offrir à moi. Tellement de choses se sont passées depuis. Mais je ne m’attarde pas et prend le gel dans la table de nuit.
Quand je reviens sur la terrasse, Arthur m’attend à quatre pattes, le long de la piscine, en plein soleil. Il a déroulé une serviette et s’est mis dessus. J’adore quand il m’attend comme ça, dans une position sexuelle, de soumission. Ma main caresse son dos en passant. Puis la courbure de la fesse. Ma main glisse dans la raie. Mais je ne résiste pas au plaisir de le lécher encore un peu. Puis je me lubrifie un doigt et commence à caresser son anus. Doucement. Je le glisse en lui et le masse à l’intérieur. Il tressaille. Je prends mon temps. Lui donne du plaisir avec mon doigt. Puis je glisse un deuxième. Et un troisième. Son cul est maintenant une merveille. Souple mais toujours serré.
Je finis par le pénétrer avec ma bite. Doggy style. Levrette. On fait l’amour dehors comme ça. Sans se soucier de qui pourrait nous surprendre. Nos corps bougent parfaitement. Arthur s’agite pour accompagner la pénétration. Il serre son anus sur ma queue. Je fais de longs mouvements moi aussi, profonds. Mes mains caressent le corps encore blanc. J’ai hâte de la voir entièrement bronzé de la tête aux pieds. Mais déjà sa peau brille au soleil. L’eau de la piscine lui a donné un reflet argenté. Je saisis les hanches d’Arthur et le baise un peu plus vite. Mais je ne suis pas dans un plan agressif cette fois.
Je me penche complètement sur Arthur, enroule un bras contre son torse. Je l’embrasse dans le cou et continue mes mouvements de bassin pour le pénétrer. Je me redresse mais Arthur passe sa main derrière pour m’attirer plus vers lui. Je sais qu’il cherche encore plus de contact physique. Il se redresse complètement. On s’embrasse sur la bouche et je continue à l’enculer par derrière, cette fois redressé. Mes mains caressent ses côtes puis ses seins. D’une main je le branle et lui masse les couilles. Je continue à le sodomiser et à l’embrasser.
Arthur se détache et se place sur le dos, jambes écartées, les mains bien calées derrière les cuisses. Je n’ai qu’à me glisser en lui, bien installé sur mes genoux. Tout en rentrant en lui, je dépose un long baiser sur son pied, qui est venu effleurer mon visage.
- Oh, mon chéri, mon amour, mon bébé, tu es tellement beau
Arthur sourit : « je t’aime daddy »
Je fais de longs mouvements en lui, les mains serrées sur chacune des chevilles. Arthur se branle. Il observe mon torse puissant entre ses jambes. Puis je cale ses jambes contre mes épaules. Cela ressert légèrement son cul sur ma bite. Arthur en rajoute en serrant délibérément son anus sur mon sexe. Ça me fait mouiller à l’intérieur de lui.
Trop attiré par ses lèvres, je finis par me pencher sur lui pour l’embrasser, tout en continuant à l’enculer. Je sens le soleil chauffer mes épaules, mon dos et mes fesses. Arthur a les jambes levées vers le ciel. Les caresses de ses mains s’ajoutent à celles du soleil sur ma peau. Je le serre contre moi et mes baisers se portent vers son cou. Je lui fais l’amour plus pleinement que jamais, au soleil.
Je me détache et vient me placer sur le dos.
- Viens t’assoir sur daddy
Coquin, Arthur me suce un peu et me branle avant de vouloir m’avoir en lui. Puis il vient s’assoir de lui-même sur moi, et se glisse ma bite entre ses fesses. Nu, libre, pénétré, le corps envahi par le soleil, Arthur se libère et utilise ma queue pour se donner le plus de plaisir possible. Ses mouvements de hanches sont amples. Profonds. Mes mains ne peuvent se retenir de vénérer son corps jeune, légèrement musclé et imberbe. Le soleil a maintenant complètement conquis sa peau. Elle est chaude et douce sous mes caresses. Je branle le sexe en érection, dresse face à moi. Mes mains agrippent ses fesses. Je me mets à faire des mouvements pour participer moi aussi à la pénétration.
Il se penche pour m’embrasser. Je l’encule plus vite. Ses lèvres se sont détachées des miennes. Il ferme les yeux et sa bouche s’ouvre pour laisser échapper des cris de plaisir. J’ai glissé mes doigts pour les glisser en lui, pour l’ecarteler davantage. Il se redresse et reprend ses déhanchements.
Il se met ensuite sur ses pieds. Il monte et descend sur ma queue. Je l’observe disparaitre en lui. Arthur se branle. On est proche de la rupture tous les deux. C’est lui qui jouit le premier, en dirigeant sa queue vers mon visage. Les premiers m’atteignent sur les lèvres. Les suivants se rependent sur mon torse. La chaleur du sperme sur ma peau m’excite et me fait éjaculer à mon tour. En lui.
Comme après chaque orgasme, on se caresse et s’embrasse doucement, avec beaucoup de sensualité. On se redresse et marche nus, main dans la main. On pénètre dans la chambre d’Arthur. Je m’allonge sur le dos. Arthur vient se coucher contre moi, la tête sur mon épaule. Je respire ses cheveux. Ma main le caresse. On s’endort.
Quand j’ouvre les yeux, après cette sieste réparatrice, mon visage est tout proche d’Arthur. Je dépose un baiser sur ses lèvres, instinctivement. Il m’en rend un. Sa main caresse mon torse. Je sens son sexe en érection contre ma cuisse. Il vient caresser mon téton du bout du doigt.
- J’ai encore envie, daddy
Ma main saisit sa bite, mais très vite vient caresser son anus. Je lui mets un doigt. Je me mets aussitôt à faire l’amour à sa bouche avec la mienne. Nos lèvres ne se décollent plus. Sa langue et la mienne se caressent en permanence. La salive circule d’une bouche à l’autre. J’augmente le nombre de doigts en lui et tourne, bouge. Je fais l’amour à son cul avec ma main. Son corps se tord de plaisir, sous les baisers et la pénétration. Mais il reste bien collé à moi. Quatre doigts sont maintenant rentrés à plat en lui.
Sa bouche finit par se décoller de la mienne
- Fiste moi, daddy
C’est ce que je voulais entendre. Arthur y a pris gout. Apres son premier fist chez ses oncles, Arthur avait recommencé. Il était passé chez Roger le garagiste un soir pour se livrer complètement. La séance de baise, brute, agressive, s’était fini par un fist.
Je passe des poppers à Arthur. Il lève les jambes et je lui travaille cul. Il s’ouvre progressivement. J’y vais doucement. Mais d’avoir eu la chance de me glisser complètement en lui, il change de position et se met sur ses genoux, la tête dans l’oreiller et les fesses relevées. Soumission totale. Il veut se donner.
Je continue à le travailler et finit par rentrer en lui. Ses gémissements sont intenses. Sa bite est dure. Elle bouge à chaque fois que mes caresses stimulent sa prostate. Je n’ai aucun mal à le faire jouir. Je regarde son sexe cracher sur le lit.
On refait encore l’amour deux fois ce jour-là, dans toutes les pièces de la maison. Histoire de bien débuter les vacances et de célébrer notre retour dans les lieux où tout a commencé.
A suivre…
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La baise folle avec Arthur dans son lit, en réinventant la perte de sa virginité avec moi, suivie par celle encore plus folle dans le lit de son père, marque un tournant essentiel pour Arthur. Un verrou vient de sauter. Comme si la boucle était bouclée et que je lui avais offert tout ce qui sommeillait en lui depuis longtemps mais n’avait pas pu se réaliser. Je lui ai tout donné. Il n’y a maintenant plus rien d’inachevé dans sa tête.
Et je m’en suis rendu compte très facilement. Dès que nous nous sommes réveillés, nus et plus heureux que jamais dans le lit d’Alain, Arthur s’est levé, et toujours nu, a appelé son père. Un coup de fil surprise, candide, amical. Il aimerait déjeuner avec lui. Car ça fait un moment qu’ils ne se sont pas parlés. Je le regarde, nu avec son téléphone, enthousiaste. Complètement libéré d’un poids inavouable.
Après ce déjeuner, Arthur m’appelle. Il se sent tellement bien et heureux. Il a passé un bon moment. Il a bien sur annoncé à Alain que nous étions en couple. Ce dernier a été surpris. Il nous avait bien poussé dans les bras l’un de l’autre l’été dernier, afin de m’aider à retrouver l’inspiration. Il ne se doutait pas que cela ait pris une tournure plus sérieuse. Mais beau joueur, il se montre content pour son fils. Il se rend bien compte que celui-ci a muri. Arthur se sent prêt à changer sa relation avec lui. Ils se sont promis de se revoir souvent.
Et, en effet, dans les semaines qui suivent, Arthur est souvent en contact avec son père. Il se montre maintenant intéressé et complice avec son père. L’enfant gâté, provocateur et insolent a laissé place à un homme sain et équilibré. J’en suis tellement heureux. Comme si tout s’était finalement mis en place pour Arthur. Comme si les deux figures du père s’était maintenant séparée en deux personnages distincts : le père réel et biologique, avec qui Arthur peut avoir une vraie relation saine, et le père sexuel, incestueux, que j’incarne et qui lui permet de réaliser ses fantasmes interdits (et les miens par la même occasion).
L’été est là et cela nous donne une superbe occasion : Arthur m’invite à passer l’été avec lui en Provence, là même où nous nous sommes rencontrés l’an dernier. Là même où tout a commencé. Autant dire que l’idée me plait. Et je compte d’ailleurs en profiter pour démarrer mon prochain roman.
Mon cœur tressaille quand on arrive là-bas. Tant de bons souvenirs me reviennent. La villa est à nous pour l’été. Alain a prévu de passer quelques jours au milieu de l’été, mais c’est tout. Dès la porte fermée, je sens que le lieu a le même effet sur Arthur que sur moi. Il enroule ses bras autour de mon cou et m’embrasse :
- Je suis tellement content de revenir ici avec toi, daddy
- Moi aussi, son… et tu sais comment j’aimerais te voir ici
Il se détache et se déshabille entièrement devant moi. Il revient coller son corps nu contre le mien. Je l‘embrasse. Lentement, mais avec la langue. Mes parcourent son dos et ses fesses
- Mmmh… mon amour
Je continue à l’aimer comme ça. Il est nu, je suis habillé. Il me prend par la main et me conduit vers la piscine. Il descend doucement dans la piscine. Tout en me déshabillant, j’observe son corps de dos, la courbure parfaite de ses fesses disparaitre dans l’eau. Je le rejoins, nu moi aussi. Mon plaisir est aussitôt intense. Celui de nager nu. De sentir l’eau recouvrir mon corps en intégralité. Celui de me rafraichir. Mais aussi celui de prendre le corps nu d’Arthur dans mes bras, dans cet environnement.
Nous nous amusons ensemble dans l’eau, en alternant nage et caresses. Baisers. Jeu de corps à corps dans l’eau. Je touche son corps dans l’eau et il touche le mien. On mêle l’eau à nos jeux. Je caresse son sexe sous l’eau. Je serre Arthur dans mes bras. Il grimpe sur mon dos et m’embrasse dans le cou.
Pour s’amuser, il plonge sous l’eau et s’amuse à me sucer en apnée. Ce jeu m’amuse. Je le récompense d’un baiser quand il revient à la surface.
- Fais moi l’amour daddy
Il s’installe au bord de la piscine, jambes écartées. Je suis dans l’eau et viens le sucer. Mes mains caressent ses mollets humides. Il est bien dur dans ma bouche. Il gémit et caresse mes cheveux bien mouillés eux aussi. Mes mains se glissent ensuite sous ses cuisses pour les relever. Il comprend et les relève complètement. Il s’allonge sur le dos, les bras par-dessus la tête, et offre son corps au soleil, et son cul aux caresses de ma langue. Il est radieux. Je le lèche doucement, avec précision. L’extrémité de ma langue le pénètre. Je prends tout mon temps, et interrompt le rimming par des baisers et des lèches sur l’intérieur de ses cuisses et sur ses couilles.
Je pars chercher du gel. Je sais où en trouver. Je pénètre dans la chambre d’Arthur par la baie vitrée. Cela me rappelle tellement de souvenirs. Cette première fois où il avait prétendu être puceau et s’offrir à moi. Tellement de choses se sont passées depuis. Mais je ne m’attarde pas et prend le gel dans la table de nuit.
Quand je reviens sur la terrasse, Arthur m’attend à quatre pattes, le long de la piscine, en plein soleil. Il a déroulé une serviette et s’est mis dessus. J’adore quand il m’attend comme ça, dans une position sexuelle, de soumission. Ma main caresse son dos en passant. Puis la courbure de la fesse. Ma main glisse dans la raie. Mais je ne résiste pas au plaisir de le lécher encore un peu. Puis je me lubrifie un doigt et commence à caresser son anus. Doucement. Je le glisse en lui et le masse à l’intérieur. Il tressaille. Je prends mon temps. Lui donne du plaisir avec mon doigt. Puis je glisse un deuxième. Et un troisième. Son cul est maintenant une merveille. Souple mais toujours serré.
Je finis par le pénétrer avec ma bite. Doggy style. Levrette. On fait l’amour dehors comme ça. Sans se soucier de qui pourrait nous surprendre. Nos corps bougent parfaitement. Arthur s’agite pour accompagner la pénétration. Il serre son anus sur ma queue. Je fais de longs mouvements moi aussi, profonds. Mes mains caressent le corps encore blanc. J’ai hâte de la voir entièrement bronzé de la tête aux pieds. Mais déjà sa peau brille au soleil. L’eau de la piscine lui a donné un reflet argenté. Je saisis les hanches d’Arthur et le baise un peu plus vite. Mais je ne suis pas dans un plan agressif cette fois.
Je me penche complètement sur Arthur, enroule un bras contre son torse. Je l’embrasse dans le cou et continue mes mouvements de bassin pour le pénétrer. Je me redresse mais Arthur passe sa main derrière pour m’attirer plus vers lui. Je sais qu’il cherche encore plus de contact physique. Il se redresse complètement. On s’embrasse sur la bouche et je continue à l’enculer par derrière, cette fois redressé. Mes mains caressent ses côtes puis ses seins. D’une main je le branle et lui masse les couilles. Je continue à le sodomiser et à l’embrasser.
Arthur se détache et se place sur le dos, jambes écartées, les mains bien calées derrière les cuisses. Je n’ai qu’à me glisser en lui, bien installé sur mes genoux. Tout en rentrant en lui, je dépose un long baiser sur son pied, qui est venu effleurer mon visage.
- Oh, mon chéri, mon amour, mon bébé, tu es tellement beau
Arthur sourit : « je t’aime daddy »
Je fais de longs mouvements en lui, les mains serrées sur chacune des chevilles. Arthur se branle. Il observe mon torse puissant entre ses jambes. Puis je cale ses jambes contre mes épaules. Cela ressert légèrement son cul sur ma bite. Arthur en rajoute en serrant délibérément son anus sur mon sexe. Ça me fait mouiller à l’intérieur de lui.
Trop attiré par ses lèvres, je finis par me pencher sur lui pour l’embrasser, tout en continuant à l’enculer. Je sens le soleil chauffer mes épaules, mon dos et mes fesses. Arthur a les jambes levées vers le ciel. Les caresses de ses mains s’ajoutent à celles du soleil sur ma peau. Je le serre contre moi et mes baisers se portent vers son cou. Je lui fais l’amour plus pleinement que jamais, au soleil.
Je me détache et vient me placer sur le dos.
- Viens t’assoir sur daddy
Coquin, Arthur me suce un peu et me branle avant de vouloir m’avoir en lui. Puis il vient s’assoir de lui-même sur moi, et se glisse ma bite entre ses fesses. Nu, libre, pénétré, le corps envahi par le soleil, Arthur se libère et utilise ma queue pour se donner le plus de plaisir possible. Ses mouvements de hanches sont amples. Profonds. Mes mains ne peuvent se retenir de vénérer son corps jeune, légèrement musclé et imberbe. Le soleil a maintenant complètement conquis sa peau. Elle est chaude et douce sous mes caresses. Je branle le sexe en érection, dresse face à moi. Mes mains agrippent ses fesses. Je me mets à faire des mouvements pour participer moi aussi à la pénétration.
Il se penche pour m’embrasser. Je l’encule plus vite. Ses lèvres se sont détachées des miennes. Il ferme les yeux et sa bouche s’ouvre pour laisser échapper des cris de plaisir. J’ai glissé mes doigts pour les glisser en lui, pour l’ecarteler davantage. Il se redresse et reprend ses déhanchements.
Il se met ensuite sur ses pieds. Il monte et descend sur ma queue. Je l’observe disparaitre en lui. Arthur se branle. On est proche de la rupture tous les deux. C’est lui qui jouit le premier, en dirigeant sa queue vers mon visage. Les premiers m’atteignent sur les lèvres. Les suivants se rependent sur mon torse. La chaleur du sperme sur ma peau m’excite et me fait éjaculer à mon tour. En lui.
Comme après chaque orgasme, on se caresse et s’embrasse doucement, avec beaucoup de sensualité. On se redresse et marche nus, main dans la main. On pénètre dans la chambre d’Arthur. Je m’allonge sur le dos. Arthur vient se coucher contre moi, la tête sur mon épaule. Je respire ses cheveux. Ma main le caresse. On s’endort.
Quand j’ouvre les yeux, après cette sieste réparatrice, mon visage est tout proche d’Arthur. Je dépose un baiser sur ses lèvres, instinctivement. Il m’en rend un. Sa main caresse mon torse. Je sens son sexe en érection contre ma cuisse. Il vient caresser mon téton du bout du doigt.
- J’ai encore envie, daddy
Ma main saisit sa bite, mais très vite vient caresser son anus. Je lui mets un doigt. Je me mets aussitôt à faire l’amour à sa bouche avec la mienne. Nos lèvres ne se décollent plus. Sa langue et la mienne se caressent en permanence. La salive circule d’une bouche à l’autre. J’augmente le nombre de doigts en lui et tourne, bouge. Je fais l’amour à son cul avec ma main. Son corps se tord de plaisir, sous les baisers et la pénétration. Mais il reste bien collé à moi. Quatre doigts sont maintenant rentrés à plat en lui.
Sa bouche finit par se décoller de la mienne
- Fiste moi, daddy
C’est ce que je voulais entendre. Arthur y a pris gout. Apres son premier fist chez ses oncles, Arthur avait recommencé. Il était passé chez Roger le garagiste un soir pour se livrer complètement. La séance de baise, brute, agressive, s’était fini par un fist.
Je passe des poppers à Arthur. Il lève les jambes et je lui travaille cul. Il s’ouvre progressivement. J’y vais doucement. Mais d’avoir eu la chance de me glisser complètement en lui, il change de position et se met sur ses genoux, la tête dans l’oreiller et les fesses relevées. Soumission totale. Il veut se donner.
Je continue à le travailler et finit par rentrer en lui. Ses gémissements sont intenses. Sa bite est dure. Elle bouge à chaque fois que mes caresses stimulent sa prostate. Je n’ai aucun mal à le faire jouir. Je regarde son sexe cracher sur le lit.
On refait encore l’amour deux fois ce jour-là, dans toutes les pièces de la maison. Histoire de bien débuter les vacances et de célébrer notre retour dans les lieux où tout a commencé.
A suivre…
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