Arthur, le fils de mon meilleur ami (04)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 148 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Sylvainerotic ont reçu un total de 339 797 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 415 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Arthur, le fils de mon meilleur ami (04)
Dans les jours qui suivent, je m’adapte finalement à cette situation entre Arthur et moi. J’accepte d’être à la merci de ce petit con. Quelque part j’adore aussi le détester.
De manière intéressante, avec toutes ces expériences, j’ai retrouvé une sorte de confiance en moi. Le sexe avec lui, du sexe comme je n’en avais pas eu depuis longtemps m’apporte une énergie nouvelle. J’ai déjà écrit plusieurs pages de mon nouveau roman. Je ne pense pas être au niveau où j’étais, mais c’est mieux qu’avant. Au moins je sors quelque chose…
Je ne vois quasiment pas Arthur les jours qui suivent la fellation donnée dans sa voiture. Il a l’air bien occupé avec ses amis. La soirée à la villa le soir même avait été agitée et s’était terminée à l’aube. Arthur avait comaté toute la journée, et vomit à plusieurs reprises, laissant à la femme de ménage le plaisir de tout nettoyer. Il avait ensuite enchainé d’autres soirées chez des amis, disparaissant ainsi la plupart du temps.
Il refait son apparition un après-midi de canicule. Un bruit de plongeon dans la piscine me fait lever de mon écran. Le rideau n’est pas tiré et la vue sur la piscine est directe. Arthur vient de plonger dans l’eau glacée pour se rafraichir. Sa tête émerge au bout de quelques secondes. De loin, nos regards se croisent.
Il se meut dans l’eau, fait de longues brassées puis remonte à la surface. Il sort du bassin et s’étire. Il marche doucement, comme pour exposer son corps. Je sais à quoi il joue. Cette fois, il n’y a pas même pas de store ni de rideau entre nous. Il replonge dans l’eau.
Puis au bout de quelques instants, de dos, il jette quelques regards à gauche à droite, et fait doucement glisser son caleçon de bain, laissant apparaitre ses fesses. Il est maintenant tout nu. Je sens l’oxygène se raréfier dans mon cerveau et ma gorge se serrer. Quel démon…
Aussitôt tout nu, il replonge dans l’eau. Le jeu reprend, il dévoile son corps nu, qui disparait et réapparait dans tous les positions, exposant puis cachant certaines parties de son anatomie. Puis il s’extrait du bassin en s’appuyant sur ses mains, dévoilant progressivement ses fesses hors de l’eau. Il marche nu le long du bassin sans me regarder, mais il sait ce qu’il fait. Il est jeune, il est beau, il est nu et il offre son corps à l’eau et au soleil. Je bande comme un fou devant tant de beauté. J’ai envie de courir vers lui et de le baiser.
Il s’allonge sur une chaise longue et met ses lunettes de soleil. Derrière les verres fumés je sais qu’il me regarde. Il est allongé sur le dos, nu, son corps est exposé à moi en entier, de la tête au pied. Le sexe est à l’air libre. Le corps est couvert de gouttes argentées.
Mon sang est en ébullition. Au bout de plusieurs minutes, il se met sur le ventre pour bronzer de l’autre côté, et ce sont maintenant ses fesses parfaites qu’il me donne à mater.
Il reste un moment, et se lève. La bite à moitié bandée, il se lève et se rend vers sa chambre. Il jette un dernier regard par-dessus son épaule, et disparait dans sa chambre.
Je n’en peux plus. Je bondis de ma chaise et court vers sa chambre.
J’ai le souffle court par le sprint que je viens d’effectuer. Lui est assis sagement sur son lit, nu. Il repose confortablement sur ses coudes, les jambes écartées, et le sexe dressé. Il savait très bien qu’il me ferait craquer. Il m’attendait. D’ailleurs il sourit, visiblement content de lui et de son pouvoir sur moi.
Pour la première fois, je lui confesse mes sentiments : « tu me rends fou, j’en peux plus ».
Son sourire devient plus large.
- Fous toi à poil et viens me sucer
C’est lui le maitre. Une fois nu, je me place aussitôt entre ses jambes et glisse aussitôt sa bite au fond de ma gorge. Mon nez vient aussitôt se coller contre ses poils pubiens. Je sais qu’il adore ça. D’ailleurs il penche aussitôt la tête en arrière et lâche « putain, yes ». Je lui sors le grand show : grandes succions, lèches sur tous les points sensibles de son sexe, je pétris les couilles. Je les sens pleines à déborder. Je sais que s’il vient vers moi comme ça, c’est qu’il n’a pas baisé depuis un moment. Tant mieux.
Je le branle aussi et le regarde en même temps. Puis ma langue et ma bouche reprennent leur travail de sape, tandis que mes mains caressent son corps un peu partout. Je sens le précum couler dans ma bouche. Puis ma langue s’aventure sur les couilles, je le gobe, puis descend encore plus bas. Il a aussitôt relevé ses jambes, et appuyé sa main contre ma nuque
- Vas-y bouffe moi le cul
Je commence à le rimmer. Baiser et lécher sur cette rondelle parfaite. Il couine. Plus fort que les derniers jours. Il est plus expressif. Il est maintenant complètement allongé sur le dos. Ses mains agrippent tantôt le bord du lit, ou bien il relève ses bras complètement au-dessus de sa tête, extatique du plaisir qu’il ressent.
- Encule-moi avec ta langue
Cette dernière rentre dans son trou. Puis je lui glisse un doigt et me remet à le sucer. Je glisse un deuxième doigt et masse sa prostate. Le précum devient plus abondant et coule dans ma bouche. Il adore ce que je lui fais et crie encore plus fort. Soudain il n’en peut plus, se redresse brutalement et se branle trois fois, la bite collée a mon visage. Il jouit sur moi, contre ma joue puis dans ma bouche ouverte. Enormément de foutre, comme je m’y attendais. Je le prends complètement en bouche. Il frissonne, car son gland est ultrasensible après l’orgasme. Je mange le sperme en le regardant. Ça lui plait. Il me fait me relever, m’embrasse sur la bouche et me dit : donne-moi une bonne faciale, j’en veux partout.
Il se met à genoux, bouche ouverte, langue pendue, prêt à être éclaboussé. Il ne me faut pas longtemps pour jouir. Le voir ainsi prêt et disponible est tellement excitant. J’en mets partout. Des larmes de sperme coulent sur sa gueule de beau gosse. Fier de lui, le visage maculé de sperme il commence à me sucer, et pousse le sperme de son visage vers sa bouche avec ma queue. Et il avale.
Il ne me donne pas beaucoup de répit car il rebande déjà. Le visage encore recouvert par un peu de sperme, il se dirige vers le lit.
- Glisse-toi sous moi
On se met en 69, moi en dessous, lui au-dessus. Il suce bien, avec beaucoup de motivation. Je lui fais pareil mais je sens vite à la façon dont il bouge ses fesses vers moi qu’il veut autre chose : se faire encore rimmer. Je lui obéis et des gémissements sortent de sa bouche, bien que celle-ci soit bien occupée par ma bite. On reste comme ça un moment. Puis il finit par se redresser pour se faire lécher sans me sucer. Il s’assoit même complètement sur mon visage. Mes mains se serrent contre ses cuisses et je continue à lui bouffer son petit trou. Il n’en peut bientôt plus et veut se faire enculer. Il s’est redressé pour prendre le gel dans la table de nuit. Il s’en met sur les doigts avant de me passer le tube. Je l’observe se doigter pour se lubrifier le cul tandis que je me prépare.
- Prends-moi par devant au bord du lit
Il s’allonge jambes écartées, avec un oreiller sous les fesses, de façon à ce que je l’encule en me tenant debout au bord du lit.
Quand je glisse doucement en lui, il pousse des cris aigus, comme si ma queue lui avait manqué
- Oh putain, t’es bien large, c’est bon, yes
Il aime la taille de ma queue, pas de doute. Je commence à l’enculer, en tenant ses pieds dans mes mains. J’adore le regarder, nu, jambes écartées, docile, même si c’est lui le boss. Je regarde mon sexe rentrer et sortir facilement. Il se met à bander. Une de mes mains ne peut s’empêcher de glisser sur son torse, tant ses beaux pectoraux m’attirent. La bonne taille, un peu saillant. Celle du jeune sportif. Il attrape ma main pour se mettre mes doigts dans sa bouche et sucer. Il est mignon comme ça. A croire qu’il en veut partout, dans son cul et dans sa bouche en même temps. J’accélère. Il aime ça et crie davantage. Je vois sa bite bouger sous mes coups de queue. Ses lèvres m’attirent aussi et de que je me penche sa main vient agripper ma nuque. Il sort sa langue et la mienne vient caresser la sienne avant de plonger dans sa bouche. Il embrasse vraiment bien je dois dire. Ses lèvres sont délicieuses. Ses mains ont ensuite attrapé mes fesses. Il me pousse en lui. Ses ongles rentrent dans ma peau. Nous sommes collés l’un à l’autre. Puis, en maitre des opérations, il demande ensuite à venir s’empaler sur moi.
Je me mets sur le dos et il se plante de lui-même ma bite dans le cul. Il commence son rodéo et laisse mes mains vénérer son corps. Il sait qu’il est beau. Il voit que je l’admire. Il aime qu’on baise ainsi car il contrôle complétement la sodomise et peut aussi se laisser caresser partout. J’agrippe notamment sa belle bite bien bandée dans ma main. Je serre. Il plaque ses mains contre ses fesses, se cambre. Il est beau quand il baise. Il aime le sexe. Moi aussi. Le sexe est bon avec lui. Quand on baise, je parviens à faire abstraction de son comportement de petit con…
Il se penche pour m’embrasser longuement, puis se cale sur ses pieds. Il est maintenant seul dans son rodéo. Il se branle d’une main et se maintient en équilibre de l’autre. Ses yeux sont fermés, sa tête penchée. Il cire de plus en plus : « oh oui, c’est bon, putain, fuck, oui «. Je fais aussi des va et vient. Arthur crie de plus en plus. Et je finis par éjaculer en lui. Peu après, je vois du sperme erupter de son sexe vertical, tel un geyser, et atterrir sur son ventre.
Il continue à monter et descendre sur mon sexe, tout en caressant et étalant le sperme sur son ventre. Il se lèche ensuite les doigts. Je reste en lui aussi longtemps que possible, me détachant de lui uniquement une fois débandé…
Il s’allonge nu sur le lit…
- Je voulais te demander… je me souviens que t’étais passé plusieurs fois à la maison, quand j’étais gamin avec un autre mec plus jeune que toi… c’était ton mec à l’époque ?
- Oui, Alex
- Ah tu te tapais déjà des mecs jeunes alors
Il rit…
- Oui enfin… je faisais pas que me le taper… on était en couple
- Ah ok
Il me regarde d’un drôle d’air… comme si le concept n’avait pas de sens. Soudain son téléphone vibre sur la table de nuit
- C’est ma mère… fait chier… ça fait 3 jours qu’elle essaie d’appeler
Toujours nu, il se lève et attrape le téléphone.
- M’man… oui… ouais… j’étais occupé… nan ça va…
Il fait des grimaces… comme si sa conversation avec sa mère était une corvée. Il m’ignore… On a baisé. Et comme d’habitude, il n’a plus besoin de moi après…
Après cet épisode, je me replonge dans l’écriture, même si mon esprit repense longtemps au manège érotique d’Arthur à la piscine. C’était tellement chaud.
Le problème est que mes derniers rapports avec Arthur ont clairement réveillé une libido qui avait bien décliné ces dernières années. Le sexe devient une nécessité. Mais je n’ai pas envie de venir supplier Arthur, de devenir encore plus dépendant que je ne le suis déjà.
Plusieurs jours passent, sans sexe, et c’est frustrant pour moi. Je me masturbe tous les jours… mais ce n’est pas pareil.
Un soir, alors que je rentre tard du village pour une séance de cinéma, je reconnais la mobylette du livreur de pizza dans l’entrée. Arthur commande souvent… D’ailleurs le livreur, Damien, est plutôt mignon.
Quand j’arrive sur la terrasse, Arthur est au bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Damien est allongé sur le dos, à la perpendiculaire et sa tête, sa nuque, repose sur les genoux d’Arthur.
Je m’approche. Ils sont tous les deux en train de fumer du shit et de siroter des bières.
Les deux lâchent un petit « salut ». Arthur lâche : « Damien ne vend pas que des pizzas, sa beuh est excellente aussi ». Il pousse un petit rire
- T’en veux ?
- Non, merci
Je m’assieds sur une chaise de jardin, et attrape une bière. Ma présence n’a pas l’air de les déranger. Ils discutent à voix basse. Ils rient, tirent sur leurs joints, et sirotent leurs bières.
Soudain Arthur se penche et embrasse Damien sur la bouche, qui se laisse faire. Ils continuent à discuter comme si je n’étais pas là. Et échangent des baisers de temps en temps.
Les choses deviennent un peu plus chaudes. Arthur passe sa main sous le t-shirt de Damien et lui caresse le ventre et le torse. Les baisers deviennent plus longs. Puis la main d’Arthur glisse carrément dans le short de Damien. Arthur lâche : « j’veux ta queue maintenant… en moi ». Damien se marre, et répond : « le client est roi ».
Les deux se lèvent et se touchent et se roulent des pelles tout en marchant vers la chambre d’Arthur. Je n’en peux plus. Il joue sans arrêt avec mes nerfs. Il cherche toujours à me faire craquer, pour mieux me baiser comme il veut, quand il veut. Je rentre dans ma chambre en claquant la porte.
Mais bien sûr, Arthur gueule le plus fort possible quand il fait l’amour avec Damien. Depuis mon lit, j’entends les « oh oui baise moi, plus fort, vas-y, c’est bon ». « Fais-moi jouir du cul, yes, vas-y », « jouis sur mes fesses, je veux sentir ton sperme chaud sur ma peau »
J’écrase l’oreiller sur mes oreilles, de rage. Je n’en peux plus j’ai besoin de baiser, peu importe avec qui, mais je ne vais pas ramper devant ce petit con pour avoir du sexe. Il ne m’aura plus comme ça promis.
Je jette donc mon dévolu sur Damien. Le soir de la prochaine soirée où Arthur n’est pas là, je commande une pizza, en espérant que Damien n’ait rien contre les partenaires de mon âge. Mais je suis confiant de mon charme.
Un pourboire très généreux, une invitation à rester boire un verre, quelques allusions salaces, et nos bouches se trouvent. Je l’emmène dans ma chambre. Comme c’est bon de se taper à nouveau des minets. Surtout aussi beaux !
Damien a l’air de bien aimer le sexe, et l’idée de se taper le deuxième occupant de la maison, quelques jours après le premier l’amuse beaucoup. Il est blond, un peu athlétique, un corps superbe. Il me laisse le déshabiller lentement. Il a un corps magnifique, comparable à celui d’Arthur. Je le laisse ensuite me déshabiller. Il lâche un petit cri de surprise devant la taille de mon sexe en érection.
Nus et face à face on s’embrasse et se caresse, comme pour découvrir le corps de l’autre.
- T’es actif ou passif ?
- Versatile… avec Arthur, j’ai été actif… par contre avec les mecs plus âgés… surtout bien gaulés…
Il me branle
- … je préfère être passif
- Ça me va très bien
Il m’embrasse sur la bouche
- Ça te dérange pas si je t’appelle Daddy
- Pas du tout, au contraire
Les baisers reprennent. Nous sommes face à face debout, les lèvres collées, et les langues qui se mêlent, tandis qu’on se branle mutuellement pour se chauffer.
Puis il descend à genoux de lui-même. Il fait un petit « miam miam » enfantin avant de prendre ma bite en bouche. Elle remplit bien sa bouche. Il a l’air ravi de la taille de l’engin. Il gobe bien et suce sans l’aide de ses mains. Celles-ci caressent mes cuisses puis mes fesses. Il est très doué. Ma main caresse ses beaux cheveux blonds. Puis les deux mains caressent ses belles épaules carrées. Il sort la queue de sa bouche et déclare : « c’est bon daddy ». Sa langue s’aventure ensuite sur mes couilles, il lèche aussi l’intérieur de mes cuisses. Je le relève, enroule mes bras autour de son cou et l’embrasse langoureusement
- Mets-toi sur le lit. On va faire un 69
- Oui daddy
On se met tous les deux sur le flanc pour se sucer mutuellement. Ce n’est manifestement pas son premier 69. Il s’y prend bien. On se donne beaucoup de plaisir. Sa langue est douce, caressante, tout comme ses mains sur ma peau. Les sucions font place aux lèches, aux caresses et aux baisers déposés le long du chibre, sur le gland, ou sur les couilles
Damien a lâché ma bite, et avec un grand sourire demande « daddy, baise-moi »
De lui-même, il se met à quatre pattes et m’offre ses fesses. Mes mains caressent les belles fesses, je dépose des baisers dessus. La peau est douce. Je lèche avant de glisser ma langue le long de la raie, puis sur la rosette. Damien lâche des « oh yeah daddy ». Je prends sa bite dans ma main et la tire vers moi pour la lécher aussi. Je donne un bain de salive a ces beaux organes génitaux, jeunes et déjà bien actifs. Il se tourne vers moi « sans capote, ok ? »
Je souris et me lubrifie. Je lui passe aussi deux doigts pour le graisser et l’ouvrir un peu. Ma queue rentre facilement. Son petit cul n’en est pas à ces premières sodomies apparemment.
Je démarre doucement, les mains agrippées à ses hanches. Mais j’accélère assez vite, car c’est ce qu’il demande. J’aime sentir et entendre mes hanches rebondir contre ses petites fesses. Mon gland vient toucher le fond de son rectum. C’est chaud et encore relativement serré. Je sens que je mouille déjà en lui. Sous mes mains, je sens ses muscles très légèrement saillants dans le dos et les épaules. Ce sont ces dernières que j’agrippe maintenant, alors qu’il se cambre bien.
Il finit par fatiguer mais n’en reste pas moins excité et me supplie. La tête plongée en avant, les fesses relevées, il crie maintenant des « fuck me daddy » en permanence. J’adore l’entendre comme ça.
Soudain la porte s’ouvre et Arthur apparait, le visage froid. Rentre de soirée, il a dû nous entendre car Damien gueulait fort, et moi aussi.
- Bah ça va, vous vous emmerdez pas quand j’suis pas la…
Il parle comme si c’était lui qui décidait de qui baise avec qui… incroyable.
Incrédules devant une telle immaturité, Damien se marre et continue à gémir des « oh daddy yes ». Il se redresse même et se retourne pour m’embrasser, comme pour provoquer Arthur.
Furieux, Arthur part en claquant la porte
- Quel gamin, lâche Damien
- C’est clair
Et on reprend notre baise de plus belle. Ce n’était pas prévu, mais je ne suis pas mécontent de cette petite leçon donnée à Arthur…
Je baise donc Damien avec plus d’énergie. Il vient ensuite s’empaler sur ma queue et je continue à l’enculer de longues minutes. Je jouis en lui, et il me régale d’une belle faciale.
Peu après, nu sur mon lit, alors que j’entends le bruit de la mobylette de Damien qui s’éloigne je repense à la réaction d’Arthur. Quelle immaturité ! Il ne supporte pas de me voir avec un autre ? Ou bien est-il jaloux de Damien ? Ou est-ce autre chose ? Peut-être la baise avec Damien, et les « oh daddy » lui ont paru tellement chauds, qu’en être privé lui était insupportable…
En tout cas, pour la première fois, je sens une faille, une ouverture, dans son petit jeu de gamin gâté, dominateur et manipulateur… pour la première fois, les choses ne se sont pas passées comme il le voulait.
A suivre…
De manière intéressante, avec toutes ces expériences, j’ai retrouvé une sorte de confiance en moi. Le sexe avec lui, du sexe comme je n’en avais pas eu depuis longtemps m’apporte une énergie nouvelle. J’ai déjà écrit plusieurs pages de mon nouveau roman. Je ne pense pas être au niveau où j’étais, mais c’est mieux qu’avant. Au moins je sors quelque chose…
Je ne vois quasiment pas Arthur les jours qui suivent la fellation donnée dans sa voiture. Il a l’air bien occupé avec ses amis. La soirée à la villa le soir même avait été agitée et s’était terminée à l’aube. Arthur avait comaté toute la journée, et vomit à plusieurs reprises, laissant à la femme de ménage le plaisir de tout nettoyer. Il avait ensuite enchainé d’autres soirées chez des amis, disparaissant ainsi la plupart du temps.
Il refait son apparition un après-midi de canicule. Un bruit de plongeon dans la piscine me fait lever de mon écran. Le rideau n’est pas tiré et la vue sur la piscine est directe. Arthur vient de plonger dans l’eau glacée pour se rafraichir. Sa tête émerge au bout de quelques secondes. De loin, nos regards se croisent.
Il se meut dans l’eau, fait de longues brassées puis remonte à la surface. Il sort du bassin et s’étire. Il marche doucement, comme pour exposer son corps. Je sais à quoi il joue. Cette fois, il n’y a pas même pas de store ni de rideau entre nous. Il replonge dans l’eau.
Puis au bout de quelques instants, de dos, il jette quelques regards à gauche à droite, et fait doucement glisser son caleçon de bain, laissant apparaitre ses fesses. Il est maintenant tout nu. Je sens l’oxygène se raréfier dans mon cerveau et ma gorge se serrer. Quel démon…
Aussitôt tout nu, il replonge dans l’eau. Le jeu reprend, il dévoile son corps nu, qui disparait et réapparait dans tous les positions, exposant puis cachant certaines parties de son anatomie. Puis il s’extrait du bassin en s’appuyant sur ses mains, dévoilant progressivement ses fesses hors de l’eau. Il marche nu le long du bassin sans me regarder, mais il sait ce qu’il fait. Il est jeune, il est beau, il est nu et il offre son corps à l’eau et au soleil. Je bande comme un fou devant tant de beauté. J’ai envie de courir vers lui et de le baiser.
Il s’allonge sur une chaise longue et met ses lunettes de soleil. Derrière les verres fumés je sais qu’il me regarde. Il est allongé sur le dos, nu, son corps est exposé à moi en entier, de la tête au pied. Le sexe est à l’air libre. Le corps est couvert de gouttes argentées.
Mon sang est en ébullition. Au bout de plusieurs minutes, il se met sur le ventre pour bronzer de l’autre côté, et ce sont maintenant ses fesses parfaites qu’il me donne à mater.
Il reste un moment, et se lève. La bite à moitié bandée, il se lève et se rend vers sa chambre. Il jette un dernier regard par-dessus son épaule, et disparait dans sa chambre.
Je n’en peux plus. Je bondis de ma chaise et court vers sa chambre.
J’ai le souffle court par le sprint que je viens d’effectuer. Lui est assis sagement sur son lit, nu. Il repose confortablement sur ses coudes, les jambes écartées, et le sexe dressé. Il savait très bien qu’il me ferait craquer. Il m’attendait. D’ailleurs il sourit, visiblement content de lui et de son pouvoir sur moi.
Pour la première fois, je lui confesse mes sentiments : « tu me rends fou, j’en peux plus ».
Son sourire devient plus large.
- Fous toi à poil et viens me sucer
C’est lui le maitre. Une fois nu, je me place aussitôt entre ses jambes et glisse aussitôt sa bite au fond de ma gorge. Mon nez vient aussitôt se coller contre ses poils pubiens. Je sais qu’il adore ça. D’ailleurs il penche aussitôt la tête en arrière et lâche « putain, yes ». Je lui sors le grand show : grandes succions, lèches sur tous les points sensibles de son sexe, je pétris les couilles. Je les sens pleines à déborder. Je sais que s’il vient vers moi comme ça, c’est qu’il n’a pas baisé depuis un moment. Tant mieux.
Je le branle aussi et le regarde en même temps. Puis ma langue et ma bouche reprennent leur travail de sape, tandis que mes mains caressent son corps un peu partout. Je sens le précum couler dans ma bouche. Puis ma langue s’aventure sur les couilles, je le gobe, puis descend encore plus bas. Il a aussitôt relevé ses jambes, et appuyé sa main contre ma nuque
- Vas-y bouffe moi le cul
Je commence à le rimmer. Baiser et lécher sur cette rondelle parfaite. Il couine. Plus fort que les derniers jours. Il est plus expressif. Il est maintenant complètement allongé sur le dos. Ses mains agrippent tantôt le bord du lit, ou bien il relève ses bras complètement au-dessus de sa tête, extatique du plaisir qu’il ressent.
- Encule-moi avec ta langue
Cette dernière rentre dans son trou. Puis je lui glisse un doigt et me remet à le sucer. Je glisse un deuxième doigt et masse sa prostate. Le précum devient plus abondant et coule dans ma bouche. Il adore ce que je lui fais et crie encore plus fort. Soudain il n’en peut plus, se redresse brutalement et se branle trois fois, la bite collée a mon visage. Il jouit sur moi, contre ma joue puis dans ma bouche ouverte. Enormément de foutre, comme je m’y attendais. Je le prends complètement en bouche. Il frissonne, car son gland est ultrasensible après l’orgasme. Je mange le sperme en le regardant. Ça lui plait. Il me fait me relever, m’embrasse sur la bouche et me dit : donne-moi une bonne faciale, j’en veux partout.
Il se met à genoux, bouche ouverte, langue pendue, prêt à être éclaboussé. Il ne me faut pas longtemps pour jouir. Le voir ainsi prêt et disponible est tellement excitant. J’en mets partout. Des larmes de sperme coulent sur sa gueule de beau gosse. Fier de lui, le visage maculé de sperme il commence à me sucer, et pousse le sperme de son visage vers sa bouche avec ma queue. Et il avale.
Il ne me donne pas beaucoup de répit car il rebande déjà. Le visage encore recouvert par un peu de sperme, il se dirige vers le lit.
- Glisse-toi sous moi
On se met en 69, moi en dessous, lui au-dessus. Il suce bien, avec beaucoup de motivation. Je lui fais pareil mais je sens vite à la façon dont il bouge ses fesses vers moi qu’il veut autre chose : se faire encore rimmer. Je lui obéis et des gémissements sortent de sa bouche, bien que celle-ci soit bien occupée par ma bite. On reste comme ça un moment. Puis il finit par se redresser pour se faire lécher sans me sucer. Il s’assoit même complètement sur mon visage. Mes mains se serrent contre ses cuisses et je continue à lui bouffer son petit trou. Il n’en peut bientôt plus et veut se faire enculer. Il s’est redressé pour prendre le gel dans la table de nuit. Il s’en met sur les doigts avant de me passer le tube. Je l’observe se doigter pour se lubrifier le cul tandis que je me prépare.
- Prends-moi par devant au bord du lit
Il s’allonge jambes écartées, avec un oreiller sous les fesses, de façon à ce que je l’encule en me tenant debout au bord du lit.
Quand je glisse doucement en lui, il pousse des cris aigus, comme si ma queue lui avait manqué
- Oh putain, t’es bien large, c’est bon, yes
Il aime la taille de ma queue, pas de doute. Je commence à l’enculer, en tenant ses pieds dans mes mains. J’adore le regarder, nu, jambes écartées, docile, même si c’est lui le boss. Je regarde mon sexe rentrer et sortir facilement. Il se met à bander. Une de mes mains ne peut s’empêcher de glisser sur son torse, tant ses beaux pectoraux m’attirent. La bonne taille, un peu saillant. Celle du jeune sportif. Il attrape ma main pour se mettre mes doigts dans sa bouche et sucer. Il est mignon comme ça. A croire qu’il en veut partout, dans son cul et dans sa bouche en même temps. J’accélère. Il aime ça et crie davantage. Je vois sa bite bouger sous mes coups de queue. Ses lèvres m’attirent aussi et de que je me penche sa main vient agripper ma nuque. Il sort sa langue et la mienne vient caresser la sienne avant de plonger dans sa bouche. Il embrasse vraiment bien je dois dire. Ses lèvres sont délicieuses. Ses mains ont ensuite attrapé mes fesses. Il me pousse en lui. Ses ongles rentrent dans ma peau. Nous sommes collés l’un à l’autre. Puis, en maitre des opérations, il demande ensuite à venir s’empaler sur moi.
Je me mets sur le dos et il se plante de lui-même ma bite dans le cul. Il commence son rodéo et laisse mes mains vénérer son corps. Il sait qu’il est beau. Il voit que je l’admire. Il aime qu’on baise ainsi car il contrôle complétement la sodomise et peut aussi se laisser caresser partout. J’agrippe notamment sa belle bite bien bandée dans ma main. Je serre. Il plaque ses mains contre ses fesses, se cambre. Il est beau quand il baise. Il aime le sexe. Moi aussi. Le sexe est bon avec lui. Quand on baise, je parviens à faire abstraction de son comportement de petit con…
Il se penche pour m’embrasser longuement, puis se cale sur ses pieds. Il est maintenant seul dans son rodéo. Il se branle d’une main et se maintient en équilibre de l’autre. Ses yeux sont fermés, sa tête penchée. Il cire de plus en plus : « oh oui, c’est bon, putain, fuck, oui «. Je fais aussi des va et vient. Arthur crie de plus en plus. Et je finis par éjaculer en lui. Peu après, je vois du sperme erupter de son sexe vertical, tel un geyser, et atterrir sur son ventre.
Il continue à monter et descendre sur mon sexe, tout en caressant et étalant le sperme sur son ventre. Il se lèche ensuite les doigts. Je reste en lui aussi longtemps que possible, me détachant de lui uniquement une fois débandé…
Il s’allonge nu sur le lit…
- Je voulais te demander… je me souviens que t’étais passé plusieurs fois à la maison, quand j’étais gamin avec un autre mec plus jeune que toi… c’était ton mec à l’époque ?
- Oui, Alex
- Ah tu te tapais déjà des mecs jeunes alors
Il rit…
- Oui enfin… je faisais pas que me le taper… on était en couple
- Ah ok
Il me regarde d’un drôle d’air… comme si le concept n’avait pas de sens. Soudain son téléphone vibre sur la table de nuit
- C’est ma mère… fait chier… ça fait 3 jours qu’elle essaie d’appeler
Toujours nu, il se lève et attrape le téléphone.
- M’man… oui… ouais… j’étais occupé… nan ça va…
Il fait des grimaces… comme si sa conversation avec sa mère était une corvée. Il m’ignore… On a baisé. Et comme d’habitude, il n’a plus besoin de moi après…
Après cet épisode, je me replonge dans l’écriture, même si mon esprit repense longtemps au manège érotique d’Arthur à la piscine. C’était tellement chaud.
Le problème est que mes derniers rapports avec Arthur ont clairement réveillé une libido qui avait bien décliné ces dernières années. Le sexe devient une nécessité. Mais je n’ai pas envie de venir supplier Arthur, de devenir encore plus dépendant que je ne le suis déjà.
Plusieurs jours passent, sans sexe, et c’est frustrant pour moi. Je me masturbe tous les jours… mais ce n’est pas pareil.
Un soir, alors que je rentre tard du village pour une séance de cinéma, je reconnais la mobylette du livreur de pizza dans l’entrée. Arthur commande souvent… D’ailleurs le livreur, Damien, est plutôt mignon.
Quand j’arrive sur la terrasse, Arthur est au bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Damien est allongé sur le dos, à la perpendiculaire et sa tête, sa nuque, repose sur les genoux d’Arthur.
Je m’approche. Ils sont tous les deux en train de fumer du shit et de siroter des bières.
Les deux lâchent un petit « salut ». Arthur lâche : « Damien ne vend pas que des pizzas, sa beuh est excellente aussi ». Il pousse un petit rire
- T’en veux ?
- Non, merci
Je m’assieds sur une chaise de jardin, et attrape une bière. Ma présence n’a pas l’air de les déranger. Ils discutent à voix basse. Ils rient, tirent sur leurs joints, et sirotent leurs bières.
Soudain Arthur se penche et embrasse Damien sur la bouche, qui se laisse faire. Ils continuent à discuter comme si je n’étais pas là. Et échangent des baisers de temps en temps.
Les choses deviennent un peu plus chaudes. Arthur passe sa main sous le t-shirt de Damien et lui caresse le ventre et le torse. Les baisers deviennent plus longs. Puis la main d’Arthur glisse carrément dans le short de Damien. Arthur lâche : « j’veux ta queue maintenant… en moi ». Damien se marre, et répond : « le client est roi ».
Les deux se lèvent et se touchent et se roulent des pelles tout en marchant vers la chambre d’Arthur. Je n’en peux plus. Il joue sans arrêt avec mes nerfs. Il cherche toujours à me faire craquer, pour mieux me baiser comme il veut, quand il veut. Je rentre dans ma chambre en claquant la porte.
Mais bien sûr, Arthur gueule le plus fort possible quand il fait l’amour avec Damien. Depuis mon lit, j’entends les « oh oui baise moi, plus fort, vas-y, c’est bon ». « Fais-moi jouir du cul, yes, vas-y », « jouis sur mes fesses, je veux sentir ton sperme chaud sur ma peau »
J’écrase l’oreiller sur mes oreilles, de rage. Je n’en peux plus j’ai besoin de baiser, peu importe avec qui, mais je ne vais pas ramper devant ce petit con pour avoir du sexe. Il ne m’aura plus comme ça promis.
Je jette donc mon dévolu sur Damien. Le soir de la prochaine soirée où Arthur n’est pas là, je commande une pizza, en espérant que Damien n’ait rien contre les partenaires de mon âge. Mais je suis confiant de mon charme.
Un pourboire très généreux, une invitation à rester boire un verre, quelques allusions salaces, et nos bouches se trouvent. Je l’emmène dans ma chambre. Comme c’est bon de se taper à nouveau des minets. Surtout aussi beaux !
Damien a l’air de bien aimer le sexe, et l’idée de se taper le deuxième occupant de la maison, quelques jours après le premier l’amuse beaucoup. Il est blond, un peu athlétique, un corps superbe. Il me laisse le déshabiller lentement. Il a un corps magnifique, comparable à celui d’Arthur. Je le laisse ensuite me déshabiller. Il lâche un petit cri de surprise devant la taille de mon sexe en érection.
Nus et face à face on s’embrasse et se caresse, comme pour découvrir le corps de l’autre.
- T’es actif ou passif ?
- Versatile… avec Arthur, j’ai été actif… par contre avec les mecs plus âgés… surtout bien gaulés…
Il me branle
- … je préfère être passif
- Ça me va très bien
Il m’embrasse sur la bouche
- Ça te dérange pas si je t’appelle Daddy
- Pas du tout, au contraire
Les baisers reprennent. Nous sommes face à face debout, les lèvres collées, et les langues qui se mêlent, tandis qu’on se branle mutuellement pour se chauffer.
Puis il descend à genoux de lui-même. Il fait un petit « miam miam » enfantin avant de prendre ma bite en bouche. Elle remplit bien sa bouche. Il a l’air ravi de la taille de l’engin. Il gobe bien et suce sans l’aide de ses mains. Celles-ci caressent mes cuisses puis mes fesses. Il est très doué. Ma main caresse ses beaux cheveux blonds. Puis les deux mains caressent ses belles épaules carrées. Il sort la queue de sa bouche et déclare : « c’est bon daddy ». Sa langue s’aventure ensuite sur mes couilles, il lèche aussi l’intérieur de mes cuisses. Je le relève, enroule mes bras autour de son cou et l’embrasse langoureusement
- Mets-toi sur le lit. On va faire un 69
- Oui daddy
On se met tous les deux sur le flanc pour se sucer mutuellement. Ce n’est manifestement pas son premier 69. Il s’y prend bien. On se donne beaucoup de plaisir. Sa langue est douce, caressante, tout comme ses mains sur ma peau. Les sucions font place aux lèches, aux caresses et aux baisers déposés le long du chibre, sur le gland, ou sur les couilles
Damien a lâché ma bite, et avec un grand sourire demande « daddy, baise-moi »
De lui-même, il se met à quatre pattes et m’offre ses fesses. Mes mains caressent les belles fesses, je dépose des baisers dessus. La peau est douce. Je lèche avant de glisser ma langue le long de la raie, puis sur la rosette. Damien lâche des « oh yeah daddy ». Je prends sa bite dans ma main et la tire vers moi pour la lécher aussi. Je donne un bain de salive a ces beaux organes génitaux, jeunes et déjà bien actifs. Il se tourne vers moi « sans capote, ok ? »
Je souris et me lubrifie. Je lui passe aussi deux doigts pour le graisser et l’ouvrir un peu. Ma queue rentre facilement. Son petit cul n’en est pas à ces premières sodomies apparemment.
Je démarre doucement, les mains agrippées à ses hanches. Mais j’accélère assez vite, car c’est ce qu’il demande. J’aime sentir et entendre mes hanches rebondir contre ses petites fesses. Mon gland vient toucher le fond de son rectum. C’est chaud et encore relativement serré. Je sens que je mouille déjà en lui. Sous mes mains, je sens ses muscles très légèrement saillants dans le dos et les épaules. Ce sont ces dernières que j’agrippe maintenant, alors qu’il se cambre bien.
Il finit par fatiguer mais n’en reste pas moins excité et me supplie. La tête plongée en avant, les fesses relevées, il crie maintenant des « fuck me daddy » en permanence. J’adore l’entendre comme ça.
Soudain la porte s’ouvre et Arthur apparait, le visage froid. Rentre de soirée, il a dû nous entendre car Damien gueulait fort, et moi aussi.
- Bah ça va, vous vous emmerdez pas quand j’suis pas la…
Il parle comme si c’était lui qui décidait de qui baise avec qui… incroyable.
Incrédules devant une telle immaturité, Damien se marre et continue à gémir des « oh daddy yes ». Il se redresse même et se retourne pour m’embrasser, comme pour provoquer Arthur.
Furieux, Arthur part en claquant la porte
- Quel gamin, lâche Damien
- C’est clair
Et on reprend notre baise de plus belle. Ce n’était pas prévu, mais je ne suis pas mécontent de cette petite leçon donnée à Arthur…
Je baise donc Damien avec plus d’énergie. Il vient ensuite s’empaler sur ma queue et je continue à l’enculer de longues minutes. Je jouis en lui, et il me régale d’une belle faciale.
Peu après, nu sur mon lit, alors que j’entends le bruit de la mobylette de Damien qui s’éloigne je repense à la réaction d’Arthur. Quelle immaturité ! Il ne supporte pas de me voir avec un autre ? Ou bien est-il jaloux de Damien ? Ou est-ce autre chose ? Peut-être la baise avec Damien, et les « oh daddy » lui ont paru tellement chauds, qu’en être privé lui était insupportable…
En tout cas, pour la première fois, je sens une faille, une ouverture, dans son petit jeu de gamin gâté, dominateur et manipulateur… pour la première fois, les choses ne se sont pas passées comme il le voulait.
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sylvainerotic
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi excitant. J'aime les descriptions de fellation de sodo, d'éjacs en bouche. Merci
De mieux en mieux ! BRAVO...