Arthur, le fils de mon meilleur ami (07)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur, le fils de mon meilleur ami (07)
Galvanisé par ma relation avec Arthur, le sentiment de puissance et de dominance qui m’envahit, je continue ma frénésie d’écriture. Les pages s’enchainent rapidement, avec fluidité. Je revis. C’est extraordinaire de se sentir ainsi.
Arthur semble lui avoir compris nos nouveaux rôles respectifs et les accepter pleinement, et même les adorer, à voir comment il prend du plaisir et se donne complètement à moi quand on baise. Il n’essaie plus de prendre l’initiative… Il a compris que moi seul décidais.
Je peux maintenant accélérer et pousser nos jeux encore plus loin.
J’envoie un SMS à Arthur en lui demandant d’organiser un diner pour nous deux sur la terrasse ce soir. Quelque chose de simple : des burgers au barbecue et une bonne bouteille de rosé.
J’ai envie de le voir servir : lui qui a tant l‘habitude de se faire servir…
Le soir, il m’attend. Il a mis la table, et les burgers sont en train de griller sur le barbecue. Il est mignon, pieds nus, en short et polo.
- Approche
Il se lève et je l’embrasse sur la bouche. Il enroule ses bras autour de mon cou.
- J’vais te baiser d’abord
Il est surpris en bien… je vois que j’arrive à le surprendre. Je retire son polo. Son torse nu, musclé, magnifique, est à moi. Juste quelques caresses et quelques lèches sur les tétons.
- Mets-toi contre le mur, et cambre-toi
Je le plaque face au mur et fait glisser son short. A ma grande satisfaction, je constate qu’il m’a obéit : il porte un superbe jockstrap. Ses fesses sont parfaitement mises en valeur. Je les récompense de caresses puis les écarte pour admirer cette belle rosette. Arthur se cambre parfaitement, mains collées contre le mur, tête légèrement de côté. Ses yeux se ferment et les premiers cris de plaisir s’échappent, au moment où ma langue commence à lécher son anus. Je me régale avec cet anulingus, et lui aussi. Je le mange pour démarrer le repas. Je prends tout mon temps. Puis je l’encule par derrière. Debout. Contre le mur. Il s’est cambré davantage. Mes mains agrippent tour à tour ses hanches et ses épaules. Il bande bien dans son jockstrap.
Personne ne viendra nous surprendre car il est tard, mais la scène est surement belle à observer. Ma bite se glisse bien entre les petites fesses d’Arthur cerclées par le jockstrap. Je vais à vitesse moyenne car je n’ai pas envie de la faire jouir. Par contre, je finis par exploser en lui. Il se retourne en souriant : je lis dans son visage qu’il sent mon sperme couler en lui et qu’il aime ça.
Je le retourne et fait glisser le jockstrap. Je constate qu’il est mouillé de précum. Arthur et tout nu et je le conduis près de la table. Je place un burger dans son assiette et je branle le minet. Quand il s’apprête à jouir je colle son gland à la viande afin que le sperme le recouvre, telle une sauce. Arthur se marre.
Je referme le burger et vais m’assoir. J’ai remis mon short. On commence à manger comme si de rien n’était. Je suis habillé, il est nu. J’aime ce contraste, ce signe de domination. Je savoure mon burger
- C’est bon ?
- Un léger gout de poisson pour de la viande
Il rit, mais il aime le jeu. Il a mon sperme au fond de lui et mange le sien. Cette idée me plait. Je bande de nouveau. Après les burgers, c’est lui que je veux comme dessert
- Approche
Il se lève, moi aussi. D’une main autoritaire, j’envoie balader mon assiette et mon verre. Ils tombent sur la terrasse et se brisent. Arthur est interloqué. Je l’allonge sur la table, sur le dos, jambes levées, à la place de mon assiette. Et je replonge ma queue en lui, dans son cul encore bien lubrifié. Ses jambes calées contre mes épaules, je le sodomise. C’est lui mon dessert.
Sous mes coups de queue, la table tremble et grince. Le reste de la vaisselle vacille, un autre verre tombe et se casse. La bouteille de rosé à moitié vide se renverse et coule sur la table. J’aime voir mon sexe et ma domination faire vaciller le petit monde d’Arthur. Ce dernier se tient fermement au bord de la table avec les mains. Il couine. J’attrape son jockstrap et le lui plante sur le nez, pour l’intoxiquer avec l’odeur de son sperme séché, puis je le lui glisse dans la bouche. Il serre fort avec les dents pendant que je continue à l’enculer.
Il bande de plus en plus et moi j’accélère. Jusqu’à ce que le sperme commence à couler au bout de son gland. De petits jet seulement. Un orgasme anal long et lent. Je lui vide les couilles progressivement. Il pousse de longs soupirs à chaque fois, tout en serrant le jockstrap avec les dents. Il le retire pour commencer à ramasser le sperme avec les doigts et le manger devant moi. J’aime ce spectacle. Et tout en l’observant, je me retire pour éjaculer contre son anus. De belles larmes de sperme viennent atterrir autour de la rosette. Je les repousse à l’intérieur avec mon gland, pendant qu’Arthur continue à lécher son foutre.
Puis de lui-même, il quitte la table pour venir me sucer. Il a maintenant tous les bons reflexes de soumis. Il devine ce que j’attends de lui. Mes caresses dans ses cheveux en guise de gratitude.
Je le redresse et le serre amoureusement dans les bras. Je l’embrasse et lui caresse les fesses.
- Ok, tu vas nettoyer tout ce bordel maintenant ok ?
J’ai envie de le voir travailler, nettoyer. Nu, il nettoie tout, ramasse les bris de verres et d’assiettes. C’est un spectacle plaisant. Je l’abandonne ainsi, à ses corvées.
Cet épisode continue à me donner de l’énergie pour écrire. La créativité dont je fais preuve pour mes jeux érotiques avec Arthur est aussi forte que celle qui m’anime quand j’écris. Même si le sujet de mon livre n’a rien à voir…
Je laisse encore quelques jours se passer, car j’ai beaucoup de pages à écrire, et je souhaite aussi faire patienter Arthur. Je suis maintenant convaincu qu’il ne couche avec personne d’autre entre nos plans cul, et qu’il ne se masturbe pas. Il attend. Ses petites couilles se gonflent de sperme… D’ailleurs la fin de l’été approche et la plupart de ses amis sont rentrés.
J’ai décidé de pousser les choses encore plus pour notre prochain jeu sexuel.
Un matin, alors que j’ai travaillé une bonne partie de la nuit, et que mes pulsions dominatrices sont à leur maximum, j’observe Arthur qui se baigne nu dans la piscine, comme il en a maintenant l’habitude.
Je quitte ma chambre pour aller le retrouver :
- Suis-moi, reste nu
Il me suit docilement à l’intérieur de la maison, nu. Je monte à l’étage et le conduit dans la chambre de ses parents, que j’avais repéré lors de ma visite le premier jour.
J’embrasse doucement Arthur sur la bouche.
- Maintenant, tu vas laisser daddy s’occuper de toi
Je commence à l’embrasser doucement dans le cou et à le branler. Puis ma langue vient caresser ses petits seins. Il frémit et lâche un « oh daddy, oui ». Mes mains caressent ses beaux pectoraux et ses abdominaux. Puis ses fesses. Et je descends à genoux pour le sucre.
- Oh daddy, suce-moi
Je lui donne satisfaction et donne le plus de plaisir à cette belle bite, jeune, lisse et gorgée de sang. Je la prends en entier aussi, jusqu’à coller mon nez contre son pubis. Je caresse ses mollets et ses fesses. Je masse aussi ses testicules, bien pleines et gonflées. Je me remets sur mes pieds et l’embrasse de manière très sensuelle
- Maintenant suce daddy
Assis comme un roi sur le lit, le laisse Arthur jouer avec ma bite. Il est ravi. Il suce maintenant très bien. Un vrai pro. Il s’est s’y prendre. C’est surtout son regard, docile, passionnément, amoureux qui m’excite le plus quand il me suce comme ça. Ma nuque le pousse bien et il arrive prendre ma bite en entier avec sa gorge.
- Donne ton cul a daddy maintenant
Il vient se mettre au-dessus de mon visage, en 69, pour se faire rimmer tout en me suçant. Il gémit de plus en plus et m’appelle « daddy » tout le temps. Il a bien compris et joue le jeu. Je me délecte de lécher ce petit cul qui m’appartient entièrement maintenant. Il est vite prêt pour la sodomie. En levrette. Toujours commencer par la position de soumission, celle où il s’offre. Il se lâche aussitôt à coup de « baise moi, daddy, fuck me daddy ». Il bouge parfaitement. J’observe son corps jeune et imberbe avancer sur ma bite. Je n’ai besoin de rien faire, si ce n’est caresser cette peau parfaitement, maintenant intégralement bronzée. Il n’a plus de marque de maillot. Il n’a jamais été aussi beau.
Je l’attrape maintenant par les hanches pour l’enculer un peu plus vite. Ses cris deviennent plus forts et plus aigus. Je tire sur ses cheveux et sa nuque se cambre bien. Comme il est bien dans l’esprit, je décide d’aller plus loin. Je me retire de lui
- Allonge-toi sur le ventre, mains derrière le dos
Je retire une des cordelettes qui supportent les rideaux de la chambre et m’approche. Il est à moi. Nu, disponible, sur le ventre, la tête collée aux draps. Je lui attache aussitôt les mains. Il a tourné la tête, mais se laisse faire.
Je le fais rouler hors du lit sans ménagement. Il tombe presqu’a la renverse.
- A genoux
Dès que ma bite s’approche, il ouvre grand la bouche. Les mains attachées dans le dos, c’est tout ce qu’il a à m’offrir. Je plonge mon sexe bien chaud dans sa bouche. Gourmand et motivé, il suce bien, mais j’en veux plus. J’ai pris sa tête entre mes mains et je lui baise maintenant la bouche, à coups de longs mouvements, rapides et bien profonds. La salive s’accumule mains il parvient à bien respirer et accepte parfaitement le défi. Je l’entends bien reprendre sa respiration une fois que je le libère.
- Sur le ventre
Il m’obéit et se met sur le lit. Je lui administre aussitôt une belle fessée. Il crie, mais à ma grande satisfaction il lance un « oh daddy punis moi ». Encouragé, je continue la séance de fessée. Des marques rouges commencent à apparaitre sur ses belles petites fesses.
Satisfait, je le recouvre aussitôt et plonge d’un coup sec ma bite dans son petit cul. Il crie de surprise, pas de douleur car il est maintenant bien ouvert et habitué à la taille de mon sexe depuis un moment. Je commence à le pilonner aussitôt sans réfléchir. Le savoir attache et complètement à ma merci décuple ma libido. Et celle-ci augmente encore plus avec les « baise moi daddy, défonce-moi » qu’il crie. Je le couvre complètement et lui mordille le cou ou les oreilles. Je me redresse et le tire par les cheveux. J’aime entendre le claquement de mes hanches contre ses fesses. Quand je sens que l’orgasme est proche, je pousse pour me caler au plus profond de lui et ne bouge plus. Je veux éjaculer le plus profondément possible en lui, comme pour y laisser une trace permanente. Je ressens un orgasme puissant et Arthur le ressent car il pousse des gémissements à chaque jet que je lâche en lui.
Je reste plusieurs secondes et me retire
- Reste comme ça
Je reprends mon souffle et le regarde. Il me rend fou attaché de dos comme cas. Ses mains prisonnières. Son dos et ses fesses sont magnifiques. Il est jeune, imberbe, mince, et on devine un peu de muscles en haut du dos. Je me penche pour l’embrasser dans le cou et sur les épaules. Je me suis mis rapidement à rebander et je me replonge aussitôt en lui. Deuxième tour. Je l’encule à la même vitesse que la première fois. Je peux me lâcher encore plus car je ne risque pas de jouir accidentellement. Je profite à fond de l’occasion. Je veux lui donner la sodomie la plus longue et intense qu’il ait jamais connu. Je le défonce pendant de longues minutes. Puis je me retire, viens me placer à ses cotes, lui relève la tête en l’attrapant par les cheveux. Il ouvre aussitôt la bouche et me suce. En quelques branlées je jouis sur son visage et dans sa bouche. Il me suce aussitôt et nettoie tout.
Je retire le lien derrière son dos. Il se jette aussitôt dans mes bras. On fait un câlin, plein de baisers et de caresses, sans échanger un mot.
Je m’assois ensuite sur le lit et le place de dos entre mes jambes, assis lui aussi, son dos collé à mon torse. Je l’embrasse dans le cou, mes mains caressent son torse. Je prends sa bite dans une main et commence à le branler doucement. Il ne peut pas voir mon visage, seulement entendre ma voix et sentir mes mains sur son corps
- Alors tu aimes quand daddy s’occupe de toi ?
- Oh oui daddy
Sa voix est douce, étranglée par l’émotion.
- Les fessées aussi ?
- Oui daddy, j’aime ça
- Et surtout te faire baiser par daddy ?
- Oui… oh oui
Sa voix est de plus en plus étranglée par le plaisir. Il est proche de l’orgasme. J’accélère la branlée
- Jouis pour daddy maintenant
- Oui… oh… ah. Daddy… daddy… daddy
Il crie maintenant et éjacule. Les jets montent haut à la verticale et retombent sur son torse et sur mes mains. Ses doigts et les miens ramassent le sperme tout chaud et le conduisent vers sa bouche. Je glisse mes doigts dans sa bouche et il les suce bien. Il fait de même avec ses propres doigts, couverts de foutre eux aussi.
Je lui glisse à l’oreille : « vas te doucher, et reste nu ».
Quand Arthur se douche, je m’éclipse dans ma chambre. Je veux limiter les discussions avec lui. Histoire de continuer à baser notre relation uniquement sur le sexe. Sur une expérience de domination pure, pleine de surprises, sans la moindre explication. Je ne veux pas qu’il réfléchisse, juste qu’il subisse et expérimente. Le plaisir n’en est que plus grand.
La fin de mon séjour approche. Car les jours qui suivent sont incroyablement productifs. J’ai presque terminé la première version de mon récit. Bien sûr, il reste beaucoup de relecture, et des modifications à apporter, mais j’ai maintenant accompli ce que je souhaitais… Avec Arthur aussi d’ailleurs. Cette expérience a été tellement intense…
Le dernier soir, je viens trouver Arthur dans le salon. Il est affalé sur le canapé avec son smartphone. Mais quand il repère ma présence il se redresse aussitôt.
- Je voulais juste te dire que je vais rentrer à Paris demain. J’ai bien avancé mon roman et je pense qu’il est temps pour moi de faire mes bagages
Arthur laisse échapper un « oh » de surprise. Des larmes commencent à se former dans ses yeux. Sans que je ne dise rien, il commence à retirer ses vêtements de lui-même. Il ne porte qu’un t-shirt et un short, pas de sous-vêtement. En quelques secondes, il est à poil. Il se met à genoux devant moi, et les yeux toujours embués de larmes, la gorge nouée, il lance : « baise moi une dernière fois Maxime…j’ferai tout ce que tu veux…j’veux ta queue et ton sperme en moi… tout le temps... dans ma bouche… dans mon cul… baise moi Maxime… daddy… je t’en prie »
Je le regarde en souriant et avance mon paquet bien gonflé sous mon short devant lui. Il a compris et il tire dessus, et ma bite jaillit. Il l’attrape aussitôt avec la bouche et lâche un énorme soupir de satisfaction. Il me dévore des yeux. Je me mets à poil tout en continuer à me faire sucer.
Arthur vénère ma queue. Il est devenu un suceur accompli. Il pourrait faire du porno. Les regards coquins qu’il me jette, sa façon de titiller avec sa langue, de branler. Ma main glisse dans sa crinière soyeuse.
Je m’assieds sur le canapé pour me faire sucer confortablement. Je fais glisser ma main dans le dos d’Arthur jusqu’à sa raie car je vais bientôt m’occuper de son petit cul.
- Va chercher le gel
Je le regarde marcher nu, la bite bien bandée. Il revient avec le gel et le place sur la table basse
- Mets-toi à quatre pattes
Je dévore ses petites fesses maintenant bien bronzées. J’adore le lécher, introduire ma langue en lui, le mouiller, l’entendre gémir de plaisir. Il commence à me supplier de le baiser : pas de doute, il est maintenant accro. Je prends tout mon temps et je multiplie les caresses partout sur sa peau nue.
Quand l’envie d’être en lui devient la plus forte, je lui demande de se préparer devant moi. Je le regarde en train de se caresser le trou avec du gel puis de se mettre un doigt pour se lubrifier l’intérieur. Je me masse la bite avec du gel en le regardant.
Je n’ai pas besoin de lui demander de se positionner : il se met spontament en levrette sur le canapé. Et je le pénètre très facilement. J’observe mon sexe glisser en lui avec tellement de facilite. Il peut mettre en prendre beaucoup dans le cul, c’est prometteur. J’aime caresser ses petites fesses, et parfois leur donner une petite tape, tout en continuant à l’enculer. Je suis relativement doux, mais vif avec lui aujourd’hui. Je sors ma queue pour observer le trou béant de son cul, pour mieux replonger en lui.
Je m’assois ensuite sur le canapé, et l’invite à s’empaler sur moi, mais de dos, entre mes jambes. Les mains calées sur mes genoux, il monte et descend sur ma queue. A lui de faire tout le travail. Il se la met bien profond. J’observe son dos et sa nuque. Je les caresse, il frissonne. Puis il monte sur le canapé, se met sur ses pieds, toujours de dos et continue son rodéo. Son dos est maintenant plus proche de mon visage et je peux l’embrasser et le lécher. Ça chatouille, il rit.
Mais je veux pouvoir l’embrasser. Il se retourne et me fait face. Le rodéo se poursuit et on peut maintenant s’embrasser passionnément. Et je peux aussi caresser ses petits seins. J’observe son sexe parfaitement bandé, vertical, entre nos deux corps.
Soudain je me redresse et le soulève, avec ma bite toujours en lui. Il enroule instinctivement ses jambes autour de moi, et ses bras autour de mon cou pour m’embrasser. Dans cette position instable, je le conduis vers la grande table du salon et l’allonge sur le dos. Jambes levées et bien écartées, il s’offre à moi. J’ai pris ses chevilles dans mes mains et l’encule maintenant bien profondément. La robuste table en chaine grince légèrement. Je rapproche une de ses jambes pour lui lécher le mollet. Il gémit. Sa bite bien dure bouge au rythme des coups de queue et ruisselle de precum. Je ressens beaucoup de plaisir à le regarder comme ça et prends tout mon temps.
Quand l’orgasme approche, je le fais mettre à genoux et lui administre une superbe faciale. Le sperme dégouline, et sa blancheur contraste avec le bronzage de son visage. Il me regarde un moment comme ça, souriant, le visage maculé de sperme avant de me sucer. Sa langue passe sur ses lèvres pour ramasser mes semences. Je le redresse et l’embrasse. Le sperme se déposé aussi sur mes lèvres.
A mon tour d’être à genoux et de la sucer. Il ne met pas longtemps à éjaculer dans ma bouche et j’avale tout. Je veux son sperme en moi pour la dernière fois de mon séjour.
Je le prends par la main et le conduis nu vers sa chambre. Nous sommes tout nus dans les bras l’un de l’autre, je caresse ses fesses, et l’embrasse. Le sperme continue de glisser doucement dans nos bouches. On s’est vite remis à bander. A 18 ans, ses hormones sont toujours en ébullition. Et lui a complètement réveillé ma libido ces dernières semaines.
On s’allonge sur le lit, sur le flanc, face à face. Les lèvres se collent, les langues se mêlent et les mains caressent les peaux nues. Ma main se concentre ensuite sur sa bite et ses couilles. Je les masse, les caresse. Puis je vais plus en dessous, et caresse son anus avec le doigt. Sans jamais décoller mes lèvres des siennes. Puis mon doigt se glisse en lui. Il est encore bien ouvert et lubrifié. Je rentre aussitôt un deuxième doigt et trouve sa prostate. Son corps se cambre et il lâche un soupir, même si ma langue est toujours contre la sienne. Mon bras est enroulé autour de son corps et je le tiens bien en place. Son corps convulse un peu au fur et à mesure que mes doigts travaillent sa prostate. Sa langue s’agite davantage contre la mienne. J’ai glissé 4 doigts. Il est bien ouvert. Le plaisir monte.
Excité, ouvert, Arthur est prêt à se livrer de nouveau. Je le pénètre donc en missionnaire. Les bras tendus de part et d’autre de son corps, je le sodomise. Je fais un mouvement lent, puis un coup très sec et très profond. A chaque coup sec, il pousse un petit cri et je lis tant de plaisir dans ses yeux. Dès que je me penche pour l’embrasser, il redresse la tête pour que ses lèvres viennent à la rencontre des miennes.
Je me penche maintenant entièrement sur lui et colle ma bouche dans son cou, avant de m’agiter en lui. Je sens ses mains contre mes fesses. Il me pousse en lui encore plus fort. Ses mains agrippent aussi mes cheveux et ma nuque. Je le baise dans cette position pendant un moment.
Il vient ensuite s’empaler sur moi. Je me cale sur mes coudes et le laisse jouer entièrement jouer avec ma bite. Je le dévore des yeux sans le toucher. Mais je ne résiste pas longtemps et me redresse complètement. Je le sers dans mes bras. Une main caresse son dos, une autre sa nuque, tandis qu’il continue à agiter son bassin, et que je donne des petits coups de queue. La sensualité est à son comble. J’ai l’impression de fusionner avec lui. Je le serre encore plus fort. Nos fronts sont collés l’un à l’autre. Nos regards se noient l’un dans l’autre. Nos souffles haletants se mélangent dans nos bouches entrouvertes. Elles s’ouvrent davantage et nous crions ensemble sans nous quitter des yeux alors que nous jouissons exactement au même moment, moi en lui, et lui sur mon ventre.
Mes lèvres trouvent aussitôt son cou, et ma main serre ses cheveux dans la nuque. On sourit. Comme d’habitude, on n’échange pas beaucoup de mots. Le sexe, intense, brut… c’est sur ça que notre relation est bâtie. Il est surpris de me voir me glisser sous la couette. Il se couche aussitôt à mes côtés, et place sa tête sur mon épaule
- J’veux te revoir
J’embrasse ses cheveux
- Ça serait bien
Le matin à l’aube, je m’extrais en silence du lit. Arthur est nu, au-dessus des draps, couché sur le ventre. Il dort profondément. J’admire son corps, nu et innocent, avide de sexe. Je ne veux pas le réveiller.
Il reste insupportable, mais les dernières semaines ont été incroyables. Il m’a donné tant de plaisir… et lui en a reçu aussi. On se doit beaucoup l’un l’autre. Je m’interroge sur la suite à donner à cette relation, primaire, brute, uniquement basée sur le sexe… On verra. Je fais mes bagages rapidement et quitte la villa à l’aube.
==
Deux mois plus tard, je suis convoqué dans le bureau d’Alain. Je lui ai envoyé le manuscrit de mon roman la semaine précédente, et il est sensé me faire un retour. Je suis nerveux au moment de pénétrer dans son bureau.
Après quelques banalités, il me fait assoir face à lui, à son bureau.
- J’ai fini ton manuscrit hier soir
- Et alors ?
- Alors ? Ouah… Maxime… je suis sous le choc. C’est à mes yeux ton meilleur roman… Très gros potentiel pour les prix littéraires
Je n’en reviens pas
- Tu es sérieux ?
- On ne peut plus sérieux… j’ai adoré
Alain n’est pas du genre à faire des compliments. Il avait d’ailleurs exprimé de nombreuses réserves à propos de mes deux derniers romans, et il avait raison. Ce furent des échecs. J’ai donc toute confiance en son jugement… et l’entendre être si élogieux me remplit de joie… et de soulagement.
Après quelques commentaires tout aussi élogieux, il s’affale un peu au fond de son siège, et sourit.
- Tu vois… tu étais sceptique quand je t’ai proposé de l’écrire au calme chez moi en Provence… mais il s’avère que c’était une excellente idée
- Oui je dois dire que c’était une excellente idée
Il sourit encore plus, et tout en me faisant un clin d’œil, il ajoute :
- J’étais sûr que toutes les conditions seraient réunies pour que tu retrouves toute ton énergie… et ta confiance…
Je suis interloqué… et je comprends tout. Il avait donc tout manigancé. Me jeter dans les bras de son fils, homo, pour réveiller mon énergie créatrice ! A mon avis, sans la complicité d’Arthur… Il savait probablement que nous passerions à l’acte naturellement. Je n’en reviens pas.
Je prétexte un rendez-vous à déjeuner pour m’éclipser… En refermant la porte du bureau, je ne peux m’empêcher de sourire. Je dois dire que le plan d’Alain a parfaitement fonctionné… mais il a trop bien fonctionné, probablement au-delà de ses espérances.
Car depuis deux mois, Arthur et moi sommes maintenant amants réguliers. A la rentrée, maintenant étudiant à Paris, il m’a supplié de le revoir et nous avons commencé à nous revoir pour des moments torrides, où Arthur, soumis, se donne entièrement à moi. Et je me suis donné comme objectif de lui faire découvrir de nouveaux plaisirs et jeux érotiques.
Je ne sais pas trop où cette relation ira, car il reste immature, et nous avons l’air de nous contenter du sexe…
Mais en tout cas on s’amuse très bien ensemble. Et Alain n’est pas au courant.
Merci encore, Alain !
FIN
Arthur semble lui avoir compris nos nouveaux rôles respectifs et les accepter pleinement, et même les adorer, à voir comment il prend du plaisir et se donne complètement à moi quand on baise. Il n’essaie plus de prendre l’initiative… Il a compris que moi seul décidais.
Je peux maintenant accélérer et pousser nos jeux encore plus loin.
J’envoie un SMS à Arthur en lui demandant d’organiser un diner pour nous deux sur la terrasse ce soir. Quelque chose de simple : des burgers au barbecue et une bonne bouteille de rosé.
J’ai envie de le voir servir : lui qui a tant l‘habitude de se faire servir…
Le soir, il m’attend. Il a mis la table, et les burgers sont en train de griller sur le barbecue. Il est mignon, pieds nus, en short et polo.
- Approche
Il se lève et je l’embrasse sur la bouche. Il enroule ses bras autour de mon cou.
- J’vais te baiser d’abord
Il est surpris en bien… je vois que j’arrive à le surprendre. Je retire son polo. Son torse nu, musclé, magnifique, est à moi. Juste quelques caresses et quelques lèches sur les tétons.
- Mets-toi contre le mur, et cambre-toi
Je le plaque face au mur et fait glisser son short. A ma grande satisfaction, je constate qu’il m’a obéit : il porte un superbe jockstrap. Ses fesses sont parfaitement mises en valeur. Je les récompense de caresses puis les écarte pour admirer cette belle rosette. Arthur se cambre parfaitement, mains collées contre le mur, tête légèrement de côté. Ses yeux se ferment et les premiers cris de plaisir s’échappent, au moment où ma langue commence à lécher son anus. Je me régale avec cet anulingus, et lui aussi. Je le mange pour démarrer le repas. Je prends tout mon temps. Puis je l’encule par derrière. Debout. Contre le mur. Il s’est cambré davantage. Mes mains agrippent tour à tour ses hanches et ses épaules. Il bande bien dans son jockstrap.
Personne ne viendra nous surprendre car il est tard, mais la scène est surement belle à observer. Ma bite se glisse bien entre les petites fesses d’Arthur cerclées par le jockstrap. Je vais à vitesse moyenne car je n’ai pas envie de la faire jouir. Par contre, je finis par exploser en lui. Il se retourne en souriant : je lis dans son visage qu’il sent mon sperme couler en lui et qu’il aime ça.
Je le retourne et fait glisser le jockstrap. Je constate qu’il est mouillé de précum. Arthur et tout nu et je le conduis près de la table. Je place un burger dans son assiette et je branle le minet. Quand il s’apprête à jouir je colle son gland à la viande afin que le sperme le recouvre, telle une sauce. Arthur se marre.
Je referme le burger et vais m’assoir. J’ai remis mon short. On commence à manger comme si de rien n’était. Je suis habillé, il est nu. J’aime ce contraste, ce signe de domination. Je savoure mon burger
- C’est bon ?
- Un léger gout de poisson pour de la viande
Il rit, mais il aime le jeu. Il a mon sperme au fond de lui et mange le sien. Cette idée me plait. Je bande de nouveau. Après les burgers, c’est lui que je veux comme dessert
- Approche
Il se lève, moi aussi. D’une main autoritaire, j’envoie balader mon assiette et mon verre. Ils tombent sur la terrasse et se brisent. Arthur est interloqué. Je l’allonge sur la table, sur le dos, jambes levées, à la place de mon assiette. Et je replonge ma queue en lui, dans son cul encore bien lubrifié. Ses jambes calées contre mes épaules, je le sodomise. C’est lui mon dessert.
Sous mes coups de queue, la table tremble et grince. Le reste de la vaisselle vacille, un autre verre tombe et se casse. La bouteille de rosé à moitié vide se renverse et coule sur la table. J’aime voir mon sexe et ma domination faire vaciller le petit monde d’Arthur. Ce dernier se tient fermement au bord de la table avec les mains. Il couine. J’attrape son jockstrap et le lui plante sur le nez, pour l’intoxiquer avec l’odeur de son sperme séché, puis je le lui glisse dans la bouche. Il serre fort avec les dents pendant que je continue à l’enculer.
Il bande de plus en plus et moi j’accélère. Jusqu’à ce que le sperme commence à couler au bout de son gland. De petits jet seulement. Un orgasme anal long et lent. Je lui vide les couilles progressivement. Il pousse de longs soupirs à chaque fois, tout en serrant le jockstrap avec les dents. Il le retire pour commencer à ramasser le sperme avec les doigts et le manger devant moi. J’aime ce spectacle. Et tout en l’observant, je me retire pour éjaculer contre son anus. De belles larmes de sperme viennent atterrir autour de la rosette. Je les repousse à l’intérieur avec mon gland, pendant qu’Arthur continue à lécher son foutre.
Puis de lui-même, il quitte la table pour venir me sucer. Il a maintenant tous les bons reflexes de soumis. Il devine ce que j’attends de lui. Mes caresses dans ses cheveux en guise de gratitude.
Je le redresse et le serre amoureusement dans les bras. Je l’embrasse et lui caresse les fesses.
- Ok, tu vas nettoyer tout ce bordel maintenant ok ?
J’ai envie de le voir travailler, nettoyer. Nu, il nettoie tout, ramasse les bris de verres et d’assiettes. C’est un spectacle plaisant. Je l’abandonne ainsi, à ses corvées.
Cet épisode continue à me donner de l’énergie pour écrire. La créativité dont je fais preuve pour mes jeux érotiques avec Arthur est aussi forte que celle qui m’anime quand j’écris. Même si le sujet de mon livre n’a rien à voir…
Je laisse encore quelques jours se passer, car j’ai beaucoup de pages à écrire, et je souhaite aussi faire patienter Arthur. Je suis maintenant convaincu qu’il ne couche avec personne d’autre entre nos plans cul, et qu’il ne se masturbe pas. Il attend. Ses petites couilles se gonflent de sperme… D’ailleurs la fin de l’été approche et la plupart de ses amis sont rentrés.
J’ai décidé de pousser les choses encore plus pour notre prochain jeu sexuel.
Un matin, alors que j’ai travaillé une bonne partie de la nuit, et que mes pulsions dominatrices sont à leur maximum, j’observe Arthur qui se baigne nu dans la piscine, comme il en a maintenant l’habitude.
Je quitte ma chambre pour aller le retrouver :
- Suis-moi, reste nu
Il me suit docilement à l’intérieur de la maison, nu. Je monte à l’étage et le conduit dans la chambre de ses parents, que j’avais repéré lors de ma visite le premier jour.
J’embrasse doucement Arthur sur la bouche.
- Maintenant, tu vas laisser daddy s’occuper de toi
Je commence à l’embrasser doucement dans le cou et à le branler. Puis ma langue vient caresser ses petits seins. Il frémit et lâche un « oh daddy, oui ». Mes mains caressent ses beaux pectoraux et ses abdominaux. Puis ses fesses. Et je descends à genoux pour le sucre.
- Oh daddy, suce-moi
Je lui donne satisfaction et donne le plus de plaisir à cette belle bite, jeune, lisse et gorgée de sang. Je la prends en entier aussi, jusqu’à coller mon nez contre son pubis. Je caresse ses mollets et ses fesses. Je masse aussi ses testicules, bien pleines et gonflées. Je me remets sur mes pieds et l’embrasse de manière très sensuelle
- Maintenant suce daddy
Assis comme un roi sur le lit, le laisse Arthur jouer avec ma bite. Il est ravi. Il suce maintenant très bien. Un vrai pro. Il s’est s’y prendre. C’est surtout son regard, docile, passionnément, amoureux qui m’excite le plus quand il me suce comme ça. Ma nuque le pousse bien et il arrive prendre ma bite en entier avec sa gorge.
- Donne ton cul a daddy maintenant
Il vient se mettre au-dessus de mon visage, en 69, pour se faire rimmer tout en me suçant. Il gémit de plus en plus et m’appelle « daddy » tout le temps. Il a bien compris et joue le jeu. Je me délecte de lécher ce petit cul qui m’appartient entièrement maintenant. Il est vite prêt pour la sodomie. En levrette. Toujours commencer par la position de soumission, celle où il s’offre. Il se lâche aussitôt à coup de « baise moi, daddy, fuck me daddy ». Il bouge parfaitement. J’observe son corps jeune et imberbe avancer sur ma bite. Je n’ai besoin de rien faire, si ce n’est caresser cette peau parfaitement, maintenant intégralement bronzée. Il n’a plus de marque de maillot. Il n’a jamais été aussi beau.
Je l’attrape maintenant par les hanches pour l’enculer un peu plus vite. Ses cris deviennent plus forts et plus aigus. Je tire sur ses cheveux et sa nuque se cambre bien. Comme il est bien dans l’esprit, je décide d’aller plus loin. Je me retire de lui
- Allonge-toi sur le ventre, mains derrière le dos
Je retire une des cordelettes qui supportent les rideaux de la chambre et m’approche. Il est à moi. Nu, disponible, sur le ventre, la tête collée aux draps. Je lui attache aussitôt les mains. Il a tourné la tête, mais se laisse faire.
Je le fais rouler hors du lit sans ménagement. Il tombe presqu’a la renverse.
- A genoux
Dès que ma bite s’approche, il ouvre grand la bouche. Les mains attachées dans le dos, c’est tout ce qu’il a à m’offrir. Je plonge mon sexe bien chaud dans sa bouche. Gourmand et motivé, il suce bien, mais j’en veux plus. J’ai pris sa tête entre mes mains et je lui baise maintenant la bouche, à coups de longs mouvements, rapides et bien profonds. La salive s’accumule mains il parvient à bien respirer et accepte parfaitement le défi. Je l’entends bien reprendre sa respiration une fois que je le libère.
- Sur le ventre
Il m’obéit et se met sur le lit. Je lui administre aussitôt une belle fessée. Il crie, mais à ma grande satisfaction il lance un « oh daddy punis moi ». Encouragé, je continue la séance de fessée. Des marques rouges commencent à apparaitre sur ses belles petites fesses.
Satisfait, je le recouvre aussitôt et plonge d’un coup sec ma bite dans son petit cul. Il crie de surprise, pas de douleur car il est maintenant bien ouvert et habitué à la taille de mon sexe depuis un moment. Je commence à le pilonner aussitôt sans réfléchir. Le savoir attache et complètement à ma merci décuple ma libido. Et celle-ci augmente encore plus avec les « baise moi daddy, défonce-moi » qu’il crie. Je le couvre complètement et lui mordille le cou ou les oreilles. Je me redresse et le tire par les cheveux. J’aime entendre le claquement de mes hanches contre ses fesses. Quand je sens que l’orgasme est proche, je pousse pour me caler au plus profond de lui et ne bouge plus. Je veux éjaculer le plus profondément possible en lui, comme pour y laisser une trace permanente. Je ressens un orgasme puissant et Arthur le ressent car il pousse des gémissements à chaque jet que je lâche en lui.
Je reste plusieurs secondes et me retire
- Reste comme ça
Je reprends mon souffle et le regarde. Il me rend fou attaché de dos comme cas. Ses mains prisonnières. Son dos et ses fesses sont magnifiques. Il est jeune, imberbe, mince, et on devine un peu de muscles en haut du dos. Je me penche pour l’embrasser dans le cou et sur les épaules. Je me suis mis rapidement à rebander et je me replonge aussitôt en lui. Deuxième tour. Je l’encule à la même vitesse que la première fois. Je peux me lâcher encore plus car je ne risque pas de jouir accidentellement. Je profite à fond de l’occasion. Je veux lui donner la sodomie la plus longue et intense qu’il ait jamais connu. Je le défonce pendant de longues minutes. Puis je me retire, viens me placer à ses cotes, lui relève la tête en l’attrapant par les cheveux. Il ouvre aussitôt la bouche et me suce. En quelques branlées je jouis sur son visage et dans sa bouche. Il me suce aussitôt et nettoie tout.
Je retire le lien derrière son dos. Il se jette aussitôt dans mes bras. On fait un câlin, plein de baisers et de caresses, sans échanger un mot.
Je m’assois ensuite sur le lit et le place de dos entre mes jambes, assis lui aussi, son dos collé à mon torse. Je l’embrasse dans le cou, mes mains caressent son torse. Je prends sa bite dans une main et commence à le branler doucement. Il ne peut pas voir mon visage, seulement entendre ma voix et sentir mes mains sur son corps
- Alors tu aimes quand daddy s’occupe de toi ?
- Oh oui daddy
Sa voix est douce, étranglée par l’émotion.
- Les fessées aussi ?
- Oui daddy, j’aime ça
- Et surtout te faire baiser par daddy ?
- Oui… oh oui
Sa voix est de plus en plus étranglée par le plaisir. Il est proche de l’orgasme. J’accélère la branlée
- Jouis pour daddy maintenant
- Oui… oh… ah. Daddy… daddy… daddy
Il crie maintenant et éjacule. Les jets montent haut à la verticale et retombent sur son torse et sur mes mains. Ses doigts et les miens ramassent le sperme tout chaud et le conduisent vers sa bouche. Je glisse mes doigts dans sa bouche et il les suce bien. Il fait de même avec ses propres doigts, couverts de foutre eux aussi.
Je lui glisse à l’oreille : « vas te doucher, et reste nu ».
Quand Arthur se douche, je m’éclipse dans ma chambre. Je veux limiter les discussions avec lui. Histoire de continuer à baser notre relation uniquement sur le sexe. Sur une expérience de domination pure, pleine de surprises, sans la moindre explication. Je ne veux pas qu’il réfléchisse, juste qu’il subisse et expérimente. Le plaisir n’en est que plus grand.
La fin de mon séjour approche. Car les jours qui suivent sont incroyablement productifs. J’ai presque terminé la première version de mon récit. Bien sûr, il reste beaucoup de relecture, et des modifications à apporter, mais j’ai maintenant accompli ce que je souhaitais… Avec Arthur aussi d’ailleurs. Cette expérience a été tellement intense…
Le dernier soir, je viens trouver Arthur dans le salon. Il est affalé sur le canapé avec son smartphone. Mais quand il repère ma présence il se redresse aussitôt.
- Je voulais juste te dire que je vais rentrer à Paris demain. J’ai bien avancé mon roman et je pense qu’il est temps pour moi de faire mes bagages
Arthur laisse échapper un « oh » de surprise. Des larmes commencent à se former dans ses yeux. Sans que je ne dise rien, il commence à retirer ses vêtements de lui-même. Il ne porte qu’un t-shirt et un short, pas de sous-vêtement. En quelques secondes, il est à poil. Il se met à genoux devant moi, et les yeux toujours embués de larmes, la gorge nouée, il lance : « baise moi une dernière fois Maxime…j’ferai tout ce que tu veux…j’veux ta queue et ton sperme en moi… tout le temps... dans ma bouche… dans mon cul… baise moi Maxime… daddy… je t’en prie »
Je le regarde en souriant et avance mon paquet bien gonflé sous mon short devant lui. Il a compris et il tire dessus, et ma bite jaillit. Il l’attrape aussitôt avec la bouche et lâche un énorme soupir de satisfaction. Il me dévore des yeux. Je me mets à poil tout en continuer à me faire sucer.
Arthur vénère ma queue. Il est devenu un suceur accompli. Il pourrait faire du porno. Les regards coquins qu’il me jette, sa façon de titiller avec sa langue, de branler. Ma main glisse dans sa crinière soyeuse.
Je m’assieds sur le canapé pour me faire sucer confortablement. Je fais glisser ma main dans le dos d’Arthur jusqu’à sa raie car je vais bientôt m’occuper de son petit cul.
- Va chercher le gel
Je le regarde marcher nu, la bite bien bandée. Il revient avec le gel et le place sur la table basse
- Mets-toi à quatre pattes
Je dévore ses petites fesses maintenant bien bronzées. J’adore le lécher, introduire ma langue en lui, le mouiller, l’entendre gémir de plaisir. Il commence à me supplier de le baiser : pas de doute, il est maintenant accro. Je prends tout mon temps et je multiplie les caresses partout sur sa peau nue.
Quand l’envie d’être en lui devient la plus forte, je lui demande de se préparer devant moi. Je le regarde en train de se caresser le trou avec du gel puis de se mettre un doigt pour se lubrifier l’intérieur. Je me masse la bite avec du gel en le regardant.
Je n’ai pas besoin de lui demander de se positionner : il se met spontament en levrette sur le canapé. Et je le pénètre très facilement. J’observe mon sexe glisser en lui avec tellement de facilite. Il peut mettre en prendre beaucoup dans le cul, c’est prometteur. J’aime caresser ses petites fesses, et parfois leur donner une petite tape, tout en continuant à l’enculer. Je suis relativement doux, mais vif avec lui aujourd’hui. Je sors ma queue pour observer le trou béant de son cul, pour mieux replonger en lui.
Je m’assois ensuite sur le canapé, et l’invite à s’empaler sur moi, mais de dos, entre mes jambes. Les mains calées sur mes genoux, il monte et descend sur ma queue. A lui de faire tout le travail. Il se la met bien profond. J’observe son dos et sa nuque. Je les caresse, il frissonne. Puis il monte sur le canapé, se met sur ses pieds, toujours de dos et continue son rodéo. Son dos est maintenant plus proche de mon visage et je peux l’embrasser et le lécher. Ça chatouille, il rit.
Mais je veux pouvoir l’embrasser. Il se retourne et me fait face. Le rodéo se poursuit et on peut maintenant s’embrasser passionnément. Et je peux aussi caresser ses petits seins. J’observe son sexe parfaitement bandé, vertical, entre nos deux corps.
Soudain je me redresse et le soulève, avec ma bite toujours en lui. Il enroule instinctivement ses jambes autour de moi, et ses bras autour de mon cou pour m’embrasser. Dans cette position instable, je le conduis vers la grande table du salon et l’allonge sur le dos. Jambes levées et bien écartées, il s’offre à moi. J’ai pris ses chevilles dans mes mains et l’encule maintenant bien profondément. La robuste table en chaine grince légèrement. Je rapproche une de ses jambes pour lui lécher le mollet. Il gémit. Sa bite bien dure bouge au rythme des coups de queue et ruisselle de precum. Je ressens beaucoup de plaisir à le regarder comme ça et prends tout mon temps.
Quand l’orgasme approche, je le fais mettre à genoux et lui administre une superbe faciale. Le sperme dégouline, et sa blancheur contraste avec le bronzage de son visage. Il me regarde un moment comme ça, souriant, le visage maculé de sperme avant de me sucer. Sa langue passe sur ses lèvres pour ramasser mes semences. Je le redresse et l’embrasse. Le sperme se déposé aussi sur mes lèvres.
A mon tour d’être à genoux et de la sucer. Il ne met pas longtemps à éjaculer dans ma bouche et j’avale tout. Je veux son sperme en moi pour la dernière fois de mon séjour.
Je le prends par la main et le conduis nu vers sa chambre. Nous sommes tout nus dans les bras l’un de l’autre, je caresse ses fesses, et l’embrasse. Le sperme continue de glisser doucement dans nos bouches. On s’est vite remis à bander. A 18 ans, ses hormones sont toujours en ébullition. Et lui a complètement réveillé ma libido ces dernières semaines.
On s’allonge sur le lit, sur le flanc, face à face. Les lèvres se collent, les langues se mêlent et les mains caressent les peaux nues. Ma main se concentre ensuite sur sa bite et ses couilles. Je les masse, les caresse. Puis je vais plus en dessous, et caresse son anus avec le doigt. Sans jamais décoller mes lèvres des siennes. Puis mon doigt se glisse en lui. Il est encore bien ouvert et lubrifié. Je rentre aussitôt un deuxième doigt et trouve sa prostate. Son corps se cambre et il lâche un soupir, même si ma langue est toujours contre la sienne. Mon bras est enroulé autour de son corps et je le tiens bien en place. Son corps convulse un peu au fur et à mesure que mes doigts travaillent sa prostate. Sa langue s’agite davantage contre la mienne. J’ai glissé 4 doigts. Il est bien ouvert. Le plaisir monte.
Excité, ouvert, Arthur est prêt à se livrer de nouveau. Je le pénètre donc en missionnaire. Les bras tendus de part et d’autre de son corps, je le sodomise. Je fais un mouvement lent, puis un coup très sec et très profond. A chaque coup sec, il pousse un petit cri et je lis tant de plaisir dans ses yeux. Dès que je me penche pour l’embrasser, il redresse la tête pour que ses lèvres viennent à la rencontre des miennes.
Je me penche maintenant entièrement sur lui et colle ma bouche dans son cou, avant de m’agiter en lui. Je sens ses mains contre mes fesses. Il me pousse en lui encore plus fort. Ses mains agrippent aussi mes cheveux et ma nuque. Je le baise dans cette position pendant un moment.
Il vient ensuite s’empaler sur moi. Je me cale sur mes coudes et le laisse jouer entièrement jouer avec ma bite. Je le dévore des yeux sans le toucher. Mais je ne résiste pas longtemps et me redresse complètement. Je le sers dans mes bras. Une main caresse son dos, une autre sa nuque, tandis qu’il continue à agiter son bassin, et que je donne des petits coups de queue. La sensualité est à son comble. J’ai l’impression de fusionner avec lui. Je le serre encore plus fort. Nos fronts sont collés l’un à l’autre. Nos regards se noient l’un dans l’autre. Nos souffles haletants se mélangent dans nos bouches entrouvertes. Elles s’ouvrent davantage et nous crions ensemble sans nous quitter des yeux alors que nous jouissons exactement au même moment, moi en lui, et lui sur mon ventre.
Mes lèvres trouvent aussitôt son cou, et ma main serre ses cheveux dans la nuque. On sourit. Comme d’habitude, on n’échange pas beaucoup de mots. Le sexe, intense, brut… c’est sur ça que notre relation est bâtie. Il est surpris de me voir me glisser sous la couette. Il se couche aussitôt à mes côtés, et place sa tête sur mon épaule
- J’veux te revoir
J’embrasse ses cheveux
- Ça serait bien
Le matin à l’aube, je m’extrais en silence du lit. Arthur est nu, au-dessus des draps, couché sur le ventre. Il dort profondément. J’admire son corps, nu et innocent, avide de sexe. Je ne veux pas le réveiller.
Il reste insupportable, mais les dernières semaines ont été incroyables. Il m’a donné tant de plaisir… et lui en a reçu aussi. On se doit beaucoup l’un l’autre. Je m’interroge sur la suite à donner à cette relation, primaire, brute, uniquement basée sur le sexe… On verra. Je fais mes bagages rapidement et quitte la villa à l’aube.
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Deux mois plus tard, je suis convoqué dans le bureau d’Alain. Je lui ai envoyé le manuscrit de mon roman la semaine précédente, et il est sensé me faire un retour. Je suis nerveux au moment de pénétrer dans son bureau.
Après quelques banalités, il me fait assoir face à lui, à son bureau.
- J’ai fini ton manuscrit hier soir
- Et alors ?
- Alors ? Ouah… Maxime… je suis sous le choc. C’est à mes yeux ton meilleur roman… Très gros potentiel pour les prix littéraires
Je n’en reviens pas
- Tu es sérieux ?
- On ne peut plus sérieux… j’ai adoré
Alain n’est pas du genre à faire des compliments. Il avait d’ailleurs exprimé de nombreuses réserves à propos de mes deux derniers romans, et il avait raison. Ce furent des échecs. J’ai donc toute confiance en son jugement… et l’entendre être si élogieux me remplit de joie… et de soulagement.
Après quelques commentaires tout aussi élogieux, il s’affale un peu au fond de son siège, et sourit.
- Tu vois… tu étais sceptique quand je t’ai proposé de l’écrire au calme chez moi en Provence… mais il s’avère que c’était une excellente idée
- Oui je dois dire que c’était une excellente idée
Il sourit encore plus, et tout en me faisant un clin d’œil, il ajoute :
- J’étais sûr que toutes les conditions seraient réunies pour que tu retrouves toute ton énergie… et ta confiance…
Je suis interloqué… et je comprends tout. Il avait donc tout manigancé. Me jeter dans les bras de son fils, homo, pour réveiller mon énergie créatrice ! A mon avis, sans la complicité d’Arthur… Il savait probablement que nous passerions à l’acte naturellement. Je n’en reviens pas.
Je prétexte un rendez-vous à déjeuner pour m’éclipser… En refermant la porte du bureau, je ne peux m’empêcher de sourire. Je dois dire que le plan d’Alain a parfaitement fonctionné… mais il a trop bien fonctionné, probablement au-delà de ses espérances.
Car depuis deux mois, Arthur et moi sommes maintenant amants réguliers. A la rentrée, maintenant étudiant à Paris, il m’a supplié de le revoir et nous avons commencé à nous revoir pour des moments torrides, où Arthur, soumis, se donne entièrement à moi. Et je me suis donné comme objectif de lui faire découvrir de nouveaux plaisirs et jeux érotiques.
Je ne sais pas trop où cette relation ira, car il reste immature, et nous avons l’air de nous contenter du sexe…
Mais en tout cas on s’amuse très bien ensemble. Et Alain n’est pas au courant.
Merci encore, Alain !
FIN
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comblé
Merci, Très belle histoire, très complète, bien écrite et bandante. Chacun des épisodes montre une progression dans la relation et une variété des positions. Vivement une autre histoire !