Arthur, Marie et Annie
Récit érotique écrit par XASS23 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Arthur, Marie et Annie
Je me prénomme Arthur, je prépare une licence de droit à la Fac d’Orléans où j’habite avec mes parents. Marie ma mère et Jean-Louis mon père. Ma sœur Annie est à la Fac de bordeaux et loge en colocation avec une copine
Aujourd’hui, mare de potasser, Je suis tranquillement assis devant mon ordi en train de mater un film porno et de me branler quand la porte de ma chambre s’ouvre. C’est maman.
- « He bien Arthur, je pensais que tu préparais tes cours mais quel spectacle. »
- « Ça te choque maman ? »
- « Non, c’est de ton Age mais tu devrais penser à tes examens et prendre exemple sur ta sœur qui vient d’obtenir son master à Bordeaux. Je ne t’avais jamais vu dans cet état mais je constate que tu es bien membré et digne de ton père. Sois sérieux, reprend ton travail de la Fac. Nous dînons dans une demi-heure car papa a une réunion à l’entreprise. »
Un peu décontenancé et démotivé, j’éteins mon ordi et descends au salon avec papa qui regarde les infos en attendant le repas.
- « Voulez-vous l’apéro les garçons ? » nous lance maman.
- « Volontiers, un Coka pour moi, je suppose que papa veut son éternel Pastis »
- « Oui mon pastis glaçons ! »
Le téléphone de papa sonne, c’est Annie, ma sœur qui annonce son arrivée pour le weekend pour fêter sa réussite.
Lorsque maman nous amène nos consos, elle s’est mise à l’aise dans un peignoir court légèrement entrouvert laissant voir ses jambes gainées de bas nylon noirs et le haut soulignant bien la forme de sa généreuse poitrine. Lorsqu’elle se penche pour poser les verres sur la table du salon, je distingue nettement son soutien-gorge en dentelle et le haut de ses seins. Elle se rend compte de mon regard appuyé et me fait les gros yeux d’un signe réprobateur.
Mon père ne se rend compte de rien trop absorbé par la séquence de télé.
En sirotant mon Coka je repense à la vidéo de tout à l’heure et à la remarque de maman. Je me souviens avoir fait quelques rêves en fantasmant sur la vue de ma mère sortant de la salle de bains.
C’est vrai qu’elle a corps splendide et qu’elle est toujours habillée sexy. Mais bon. C’est ma mère.
Nous passons à table et comme à l’accoutumé, je suis assis en face d’elle. A chacun de ses déplacements pour aller chercher les plats, je remarque que son peignoir s’entrouvre sur ses jambes jusqu’à dévoiler furtivement le haut de ses cuisses. Je pense qu’elle n’a pas de culotte et je sens que je commence à bander malgré moi.
Au cours du repas, je ne sais pas ce qui me prend mais j’allonge mes jambes pour essayer de caresser les siennes. Elle ne réagit pas mais me regarde fixement toujours avec un air réprobateur.
Je fais exprès de faire tomber ma fourchette sous la table, j’ai trop envie de mater les cuisses de ma mère. En me baissant je constate qu’elle a écarté les jambes et effectivement, elle n’a pas de culotte. La vue de sa touffe de polis bruns m’excite au plus haut point. Je me ravise en me rasseyant tranquillement.
Papa qui est pressé pour ne pas rater l’heure de sa réunion, avale goulument son dessert et nous laisse terminer notre repas.
- « Tu es incorrigible Arthur, je vois que les vidéos pornos te font de l’effet, tu regardes ta mère comme une copine de plaisir. »
- « Maman avoue qu’avec ta tenue tu es plus que provoquante et j’aimerais bien voire plus de ce que tu caches sous ton peignoir »
- « Allons, sois sage, je t’autorise à regarder ce qui te fais plaisir pendant que je débarrasse la table mais pense que ce n’est pas très normal de mater sa mère à ton âge alors que tu as plein de copines à la Fac »
- « Maman tu me fais bander. J’ai envie de me branler en te regardant comme devant mes vidéos »
- « Ne dis donc pas de bêtises mais branle-toi si tu en as envie, ça va te libérer de tes fantasmes lubriques »
Cela dit, j’ouvre mon pantalon et commence à m’astiquer ?
Dans ses allers et venues, je constate que ma mère jette de temps en temps un regard appuyé sur mon sexe.
- « Est-ce que ça t’excite maman de me voir me branler devant toi, tu m’as dit que j’avais une belle bite ? »
-« Je n’ai pas employé ce mot. Je t’ai dit que tu étais bien membré. Je ne peux pas dire que je reste de marbre mais je m’interdis d’avoir des pensées malsaines »
- « Maman, je veux voir ta chatte et tes seins. Regarde ma queue, elle est raide comme un gourdin »
- « Arrête Artur, cette conversation est indécente »
Lorsqu’elle est tournée vers les placards pour ranger la vaisselle, je la surprends à porter une main dans son soutien-gorge
Pour ranger les verres, elle va dans le salon et s’éternise un peu. Je suis sûr qu’elle se touche.
Lorsqu’elle revient, je trouve qu’elle a les pommettes toutes rouges
- « Ça va maman ? Je suis sûr que je t’excite et que tu mouilles »
En avançant vers moi, elle ouvre grand son peignoir.
- « He bien oui ! Tu m’as donné envie. Regarde, ça te plait Tu veux voir mes seins, je sens que les tétons se dressent de plaisir ? »
- « Approche maman, j’ai envie de te sucer »
- « Ne m’appelle plus maman, appelle moi Marie »
- « Oui Marie, viens on va baiser »
Elle s’approche langoureusement de moi, me saisit la queue pendant que je lui pétris les seins sous son soutien-gorge.
Lâchant ma queue elle me prend vigoureusement la tête et plaque sa bouche contre la mienne, sa langue fouille ma bouche, pendant qu’une de mes mains cherche sa chatte. Effectivement ses poils sont trempes de mouille et dès que j’atteins son clito, elle m’envoie un puissant jet de cyprine. Nos bouches se séparent et je descends la mienne jusqu’à sa vulve pour aspirer le délicieux nectar.
- « Vas-y Arthur bouffe moi le con je sens que je vais jouir, caresse-moi le cul.
Je monte ! je monte ! c’est bon ahhhh !»
Son orgasme est si violent qu’en m’attrapant par les épaules, nous nous renversons sur le carrelage.
Nos corps se frottent frénétiquement
- « Baise moi Arthur mais retiens toi, je voudrais que tu me décharges dans le cul »
Après lui avoir littéralement défoncé la chatte, je me sers de sa mouille pour lui lubrifier son petit trou et la pénètre sans ménagement. A l’entrée, elle pousse un cri de douleur.
- « Tu m’as fait mal au début mais maintenant c’est bon, c’est merveilleux, baise ! baise ! encule moi profond fait moi jouir par le cul, il paraît que c’est sublime, je n’y suis jamais arrivée avec ton père même en me branlant avec un gode. »
A force de la limer je sens que je vais jouir et éjaculer, je la préviens :
- « Marie je vais te remplir de mon sperme »
- « Vas-y je le veux essayons de jouir ensemble »
- « Tu es prête ? je lâche tout »
S’ensuit une extase commune qui nous fait crier ensemble de plaisir.
En me retirant, une bonne partie de mon sperme coule sur le carrelage et à ma grande surprise, je vois ma mère s’allonger pour aspirer le reste de mon foutre.
- « He bien Marie tu es une vraie salope jamais j’aurais cru ça de ma mère »
- « Maintenant nous sommes complices Arthur est ce que tu penses que nous -recommencerons ? »
- « Bien sûr ma salope, je te baiserai par tous les bouts »
Sur ces belles paroles prometteuses, chacun se retire dans sa chambre.
Vers minuit, j’entends mon père qui rentre et qui va directement se coucher.
Après quelques instants, ne dormant pas en songeant à cette extraordinaire partie de baise avec ma mère, je perçois des gémissements venant de la chambre des parents. Je me lève et tend l’oreille près de la porte.
- « Baise moi mon amour, mets ta grosse queue dans mon cul j’ai envie d’une bonne sodo »
La salope, elle en veut encore, demain je la défoncerai. Sentant ma queue grossir, je reviens au lit et me finis avec une bonne branlette.
Le lendemain au petit déjeuner, mon père est déjà parti au boulot. Maman prépare le café.
- « Tu descends déjeuner Artur ? »
- « Oui, j’arrive maman. »
En passant devant la cuisine, j’aperçois ma mère se frottant sur le coin de la table à hauteur de son entre jambes. Mais elle se branle ma parole ! C’est une vrais nympho !
En déjeunant, assis en face d’elle, je constate que son corsage est largement ouvert sur sa poitrine.
- « As-tu bien dormi Arthur ? »
- « Pas trop, j’étais pourtant épuisé mais en pleine nuit, j’ai été réveillé par vos ébats avec papa où tu lui demandais à voix haute de bien t’enculer. Ça m’a excité et je me suis branlé en vous écoutant. Apparemment tu en redemandais encore. »
- « Oui, tu as pu le voir, je suis accro au sexe et cette nouveauté de me faire baiser par mon fils me rends dingue. Viens me baiser, suce-moi sous la table ma chatte est trempe. »
- « Je t’ai aperçu tout à l’heure sur le coin de la table. Tu te branlais ? »
- « Oui, je t’attendais. J’aime bien me caresser la chatte de cette façon, je fais entrer le tissus de ma robe dans mon con et c’est très jouissif. »
Sans attendre, je me glisse sous la table. Elle a déjà écarté ses cuisses et remonté sa robe pour bien se dégager. Elle n’a pas de culotte et je constate que sa toison est trempe. En passant ma langue sur son clito, je le sens dressé comme une petite bite.
- « Oui c’est bon ! aspire-moi bien mais attention, je vais jouir en envoyant un jet de cyprine. Prend ce jus dans ta bouche et porte le dans la mienne, je veux sentir le goût de ma chatte. »
Cela fait, la bouche pleine de son jus, je me sors de dessous la table et viens poser ma bouche contre la sienne. S’ensuit un fourrage de langue effréné où se mêlent sa sécrétion et nos salives.
- « C’est la première fois que je goûte mon jus, c’est très excitant et ça me donne une idée. Chaque fois que je mouillerai, je le recueillerai pour le boire. Tu devrais faire pareil avec ton sperme, pas pour le boire mais pour m’en faire cadeau. Maintenant, viens me baiser sur le carrelage. Et n’oublie pas de t’occuper de mon petit trou. »
Naturellement, j’obéis bien volontiers à cette injonction et s’ensuit une baise effrénée jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir et lui déverse ma semence au fond de son cul.
- « Tu ne t’en es peut-être pas rendu compte mon Arthur, mais j’ai joui trois fois pendant que tu me baisais le con et le cul. Tu es merveilleux. Je serai toujours à ta disposition quand tu auras envie.
Tu sais que ta sœur vient demain pour le weekend fêter sa réussite à son master ? alors attention, pas d’incartade, nous foutrions tout en l’air. »
- « Sauf si j’arrive à la baiser !! »
- « Tu plaisantes ! tu ne vas pas baiser ta sœur ? Je serais jalouse et de toute façon je crois qu’elle est lesbienne, elle ne m’a présenté que des copines quand je suis allé la voir à Bordeaux. »
- « Bon, tu as raison restons calmes et tout ira bien. »
Aujourd’hui, mare de potasser, Je suis tranquillement assis devant mon ordi en train de mater un film porno et de me branler quand la porte de ma chambre s’ouvre. C’est maman.
- « He bien Arthur, je pensais que tu préparais tes cours mais quel spectacle. »
- « Ça te choque maman ? »
- « Non, c’est de ton Age mais tu devrais penser à tes examens et prendre exemple sur ta sœur qui vient d’obtenir son master à Bordeaux. Je ne t’avais jamais vu dans cet état mais je constate que tu es bien membré et digne de ton père. Sois sérieux, reprend ton travail de la Fac. Nous dînons dans une demi-heure car papa a une réunion à l’entreprise. »
Un peu décontenancé et démotivé, j’éteins mon ordi et descends au salon avec papa qui regarde les infos en attendant le repas.
- « Voulez-vous l’apéro les garçons ? » nous lance maman.
- « Volontiers, un Coka pour moi, je suppose que papa veut son éternel Pastis »
- « Oui mon pastis glaçons ! »
Le téléphone de papa sonne, c’est Annie, ma sœur qui annonce son arrivée pour le weekend pour fêter sa réussite.
Lorsque maman nous amène nos consos, elle s’est mise à l’aise dans un peignoir court légèrement entrouvert laissant voir ses jambes gainées de bas nylon noirs et le haut soulignant bien la forme de sa généreuse poitrine. Lorsqu’elle se penche pour poser les verres sur la table du salon, je distingue nettement son soutien-gorge en dentelle et le haut de ses seins. Elle se rend compte de mon regard appuyé et me fait les gros yeux d’un signe réprobateur.
Mon père ne se rend compte de rien trop absorbé par la séquence de télé.
En sirotant mon Coka je repense à la vidéo de tout à l’heure et à la remarque de maman. Je me souviens avoir fait quelques rêves en fantasmant sur la vue de ma mère sortant de la salle de bains.
C’est vrai qu’elle a corps splendide et qu’elle est toujours habillée sexy. Mais bon. C’est ma mère.
Nous passons à table et comme à l’accoutumé, je suis assis en face d’elle. A chacun de ses déplacements pour aller chercher les plats, je remarque que son peignoir s’entrouvre sur ses jambes jusqu’à dévoiler furtivement le haut de ses cuisses. Je pense qu’elle n’a pas de culotte et je sens que je commence à bander malgré moi.
Au cours du repas, je ne sais pas ce qui me prend mais j’allonge mes jambes pour essayer de caresser les siennes. Elle ne réagit pas mais me regarde fixement toujours avec un air réprobateur.
Je fais exprès de faire tomber ma fourchette sous la table, j’ai trop envie de mater les cuisses de ma mère. En me baissant je constate qu’elle a écarté les jambes et effectivement, elle n’a pas de culotte. La vue de sa touffe de polis bruns m’excite au plus haut point. Je me ravise en me rasseyant tranquillement.
Papa qui est pressé pour ne pas rater l’heure de sa réunion, avale goulument son dessert et nous laisse terminer notre repas.
- « Tu es incorrigible Arthur, je vois que les vidéos pornos te font de l’effet, tu regardes ta mère comme une copine de plaisir. »
- « Maman avoue qu’avec ta tenue tu es plus que provoquante et j’aimerais bien voire plus de ce que tu caches sous ton peignoir »
- « Allons, sois sage, je t’autorise à regarder ce qui te fais plaisir pendant que je débarrasse la table mais pense que ce n’est pas très normal de mater sa mère à ton âge alors que tu as plein de copines à la Fac »
- « Maman tu me fais bander. J’ai envie de me branler en te regardant comme devant mes vidéos »
- « Ne dis donc pas de bêtises mais branle-toi si tu en as envie, ça va te libérer de tes fantasmes lubriques »
Cela dit, j’ouvre mon pantalon et commence à m’astiquer ?
Dans ses allers et venues, je constate que ma mère jette de temps en temps un regard appuyé sur mon sexe.
- « Est-ce que ça t’excite maman de me voir me branler devant toi, tu m’as dit que j’avais une belle bite ? »
-« Je n’ai pas employé ce mot. Je t’ai dit que tu étais bien membré. Je ne peux pas dire que je reste de marbre mais je m’interdis d’avoir des pensées malsaines »
- « Maman, je veux voir ta chatte et tes seins. Regarde ma queue, elle est raide comme un gourdin »
- « Arrête Artur, cette conversation est indécente »
Lorsqu’elle est tournée vers les placards pour ranger la vaisselle, je la surprends à porter une main dans son soutien-gorge
Pour ranger les verres, elle va dans le salon et s’éternise un peu. Je suis sûr qu’elle se touche.
Lorsqu’elle revient, je trouve qu’elle a les pommettes toutes rouges
- « Ça va maman ? Je suis sûr que je t’excite et que tu mouilles »
En avançant vers moi, elle ouvre grand son peignoir.
- « He bien oui ! Tu m’as donné envie. Regarde, ça te plait Tu veux voir mes seins, je sens que les tétons se dressent de plaisir ? »
- « Approche maman, j’ai envie de te sucer »
- « Ne m’appelle plus maman, appelle moi Marie »
- « Oui Marie, viens on va baiser »
Elle s’approche langoureusement de moi, me saisit la queue pendant que je lui pétris les seins sous son soutien-gorge.
Lâchant ma queue elle me prend vigoureusement la tête et plaque sa bouche contre la mienne, sa langue fouille ma bouche, pendant qu’une de mes mains cherche sa chatte. Effectivement ses poils sont trempes de mouille et dès que j’atteins son clito, elle m’envoie un puissant jet de cyprine. Nos bouches se séparent et je descends la mienne jusqu’à sa vulve pour aspirer le délicieux nectar.
- « Vas-y Arthur bouffe moi le con je sens que je vais jouir, caresse-moi le cul.
Je monte ! je monte ! c’est bon ahhhh !»
Son orgasme est si violent qu’en m’attrapant par les épaules, nous nous renversons sur le carrelage.
Nos corps se frottent frénétiquement
- « Baise moi Arthur mais retiens toi, je voudrais que tu me décharges dans le cul »
Après lui avoir littéralement défoncé la chatte, je me sers de sa mouille pour lui lubrifier son petit trou et la pénètre sans ménagement. A l’entrée, elle pousse un cri de douleur.
- « Tu m’as fait mal au début mais maintenant c’est bon, c’est merveilleux, baise ! baise ! encule moi profond fait moi jouir par le cul, il paraît que c’est sublime, je n’y suis jamais arrivée avec ton père même en me branlant avec un gode. »
A force de la limer je sens que je vais jouir et éjaculer, je la préviens :
- « Marie je vais te remplir de mon sperme »
- « Vas-y je le veux essayons de jouir ensemble »
- « Tu es prête ? je lâche tout »
S’ensuit une extase commune qui nous fait crier ensemble de plaisir.
En me retirant, une bonne partie de mon sperme coule sur le carrelage et à ma grande surprise, je vois ma mère s’allonger pour aspirer le reste de mon foutre.
- « He bien Marie tu es une vraie salope jamais j’aurais cru ça de ma mère »
- « Maintenant nous sommes complices Arthur est ce que tu penses que nous -recommencerons ? »
- « Bien sûr ma salope, je te baiserai par tous les bouts »
Sur ces belles paroles prometteuses, chacun se retire dans sa chambre.
Vers minuit, j’entends mon père qui rentre et qui va directement se coucher.
Après quelques instants, ne dormant pas en songeant à cette extraordinaire partie de baise avec ma mère, je perçois des gémissements venant de la chambre des parents. Je me lève et tend l’oreille près de la porte.
- « Baise moi mon amour, mets ta grosse queue dans mon cul j’ai envie d’une bonne sodo »
La salope, elle en veut encore, demain je la défoncerai. Sentant ma queue grossir, je reviens au lit et me finis avec une bonne branlette.
Le lendemain au petit déjeuner, mon père est déjà parti au boulot. Maman prépare le café.
- « Tu descends déjeuner Artur ? »
- « Oui, j’arrive maman. »
En passant devant la cuisine, j’aperçois ma mère se frottant sur le coin de la table à hauteur de son entre jambes. Mais elle se branle ma parole ! C’est une vrais nympho !
En déjeunant, assis en face d’elle, je constate que son corsage est largement ouvert sur sa poitrine.
- « As-tu bien dormi Arthur ? »
- « Pas trop, j’étais pourtant épuisé mais en pleine nuit, j’ai été réveillé par vos ébats avec papa où tu lui demandais à voix haute de bien t’enculer. Ça m’a excité et je me suis branlé en vous écoutant. Apparemment tu en redemandais encore. »
- « Oui, tu as pu le voir, je suis accro au sexe et cette nouveauté de me faire baiser par mon fils me rends dingue. Viens me baiser, suce-moi sous la table ma chatte est trempe. »
- « Je t’ai aperçu tout à l’heure sur le coin de la table. Tu te branlais ? »
- « Oui, je t’attendais. J’aime bien me caresser la chatte de cette façon, je fais entrer le tissus de ma robe dans mon con et c’est très jouissif. »
Sans attendre, je me glisse sous la table. Elle a déjà écarté ses cuisses et remonté sa robe pour bien se dégager. Elle n’a pas de culotte et je constate que sa toison est trempe. En passant ma langue sur son clito, je le sens dressé comme une petite bite.
- « Oui c’est bon ! aspire-moi bien mais attention, je vais jouir en envoyant un jet de cyprine. Prend ce jus dans ta bouche et porte le dans la mienne, je veux sentir le goût de ma chatte. »
Cela fait, la bouche pleine de son jus, je me sors de dessous la table et viens poser ma bouche contre la sienne. S’ensuit un fourrage de langue effréné où se mêlent sa sécrétion et nos salives.
- « C’est la première fois que je goûte mon jus, c’est très excitant et ça me donne une idée. Chaque fois que je mouillerai, je le recueillerai pour le boire. Tu devrais faire pareil avec ton sperme, pas pour le boire mais pour m’en faire cadeau. Maintenant, viens me baiser sur le carrelage. Et n’oublie pas de t’occuper de mon petit trou. »
Naturellement, j’obéis bien volontiers à cette injonction et s’ensuit une baise effrénée jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir et lui déverse ma semence au fond de son cul.
- « Tu ne t’en es peut-être pas rendu compte mon Arthur, mais j’ai joui trois fois pendant que tu me baisais le con et le cul. Tu es merveilleux. Je serai toujours à ta disposition quand tu auras envie.
Tu sais que ta sœur vient demain pour le weekend fêter sa réussite à son master ? alors attention, pas d’incartade, nous foutrions tout en l’air. »
- « Sauf si j’arrive à la baiser !! »
- « Tu plaisantes ! tu ne vas pas baiser ta sœur ? Je serais jalouse et de toute façon je crois qu’elle est lesbienne, elle ne m’a présenté que des copines quand je suis allé la voir à Bordeaux. »
- « Bon, tu as raison restons calmes et tout ira bien. »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres excitant, ca donne envie
ca me rappelle des souvenirs et le top c est quand je la lechais pleine de sperme de mon pere et que je le sucais apres
ca me rappelle des souvenirs et le top c est quand je la lechais pleine de sperme de mon pere et que je le sucais apres
YESSS !!! Un régal, je pense qu'elle à très envie de se faire fister, en tout cas, si son fils lui propose, je ne pense pas qu'elle hésiterai très longtemps. Encore !!!
Quel texte excitant....
Vivement la suite
Cyrille
Vivement la suite
Cyrille
Beau texte peut-être une suite avec la sœur et la mère....