Ascenseur

- Par l'auteur HDS Orenbarre -
Récit érotique écrit par Orenbarre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ascenseur Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Ascenseur
En cette chaude journée d'été, je dois me rendre chez un ami qui habite au centre ville dans un immeuble d'une vingtaine d'étages. Mon pote logeant au dix-huitième étage, je dois prendre l'ascenseur. Celui-ci est assez vieux et étroit, je rentre et m'apprête à appuyer sur le bouton pour choisir ma destination quand une dame retient la porte in extremis et entre à son tour.

C'est une jolie blonde qui doit avoir la trentaine comme moi, elle est habillée en tailleur et a un look très BCBG. La jupe de son ensemble lui arrive à mi cuisse ce qui me permet d'admirer ses jolies et longues jambes. Grande pour une femme, sa poitrine volumineuse est placée au niveau de mes yeux car si la nature l'a faite grande, moi elle m'a fait plutôt petit ! Son mètre quatre vingt par rapport à mon mètre soixante huit, son regard hautain et sa beauté slave font que je me sens intimidé.

Elle appuie sur le bouton du dix septième étage. Tant mieux, je vais avoir tout mon temps pour mater discrètement ses avantages…
Nous commençons notre ascension : Premier étage, je zieute ses cuisses bronzées et galbées. Deuxième étage, je scrute son fessier à travers le tissu léger de sa jupe, je me demande si elle porte un string ou si elle n'a rien du tout ! Troisième étage, j'admire sa poitrine dont les tétons semblent darder. Quatrième étage, je lève les yeux jusqu'à son visage et quelle gène est la mienne quand je constate qu'elle me regarde la détailler de long en large !

Rouge de honte, je détourne les yeux de son regard bleu et fixe l'écran lumineux : cinquième étage, je perçois du coin de l'œil que c'est maintenant à son tour de me mater !

Sixième étage, décidément il fait très chaud aujourd'hui ! Septième étage, un coup d'œil furtif et je constate qu'elle inspecte mes fesses ! Huitième étage, je me demande si elle fait cela pour me gêner ! Neuvième étage, je suis en sueur ! Dixième étage, un grand « clac » se fait entendre dans l'ascenseur, celui-ci à un soubresaut et s'arrête.

Cette fois nous nous regardons tout les deux franchement ! Inquiets, nous attendons un peu… Peut être va t'il repartir !

• J'espère que cela ne durera pas trop longtemps, me dit-elle.
• Vous habitez cet immeuble ? Cela arrive souvent ?

• Oui j'habite ici et non cela n'arrive jamais.

• Peut être devrions nous appuyer sur le bouton secours ?

• Oui essayons.

J'appuie sur le bouton rouge, un voyant lumineux se met à clignoter et au bout de quelques secondes une voix nasillarde résonne dans l'ascenseur.

« Votre appel a été bien pris en compte, notre service d'urgence va intervenir dans les plus brefs délais… »
• Dans les plus brefs délais, dis-je, cela peut prendre quand même une ou deux heures, du temps qu'ils se déplacent et trouvent la panne !

• Vous avez sans doute raison, me répond elle, on risque de trouver le temps long…
La chaleur en ce mois de juillet est infernale et l'étroitesse des lieux ne fait rien pour arranger la chose ! En sueur tout les deux, nous essayons tant bien que mal de patienter.

• Il a fallu que cela arrive aujourd'hui ! Un des jours les plus chauds de l'année ! me dit elle.

• Heureusement, nous sommes deux, nous pouvons nous tenir compagnie.

Elle me lance alors un regard appuyé.

• Et vous pensez à quoi pour que l'on passe le temps ?

• Heu… Je ne sais pas, lui dis je, nous pouvons discuter !

• Discuter ? Seulement ? Je pensais, suite à vos œillades de tout à l'heure, que vous aviez autre chose en tête !

• Mais… Je…
• Oh ne soyez pas ennuyés, pour ma part, j'en ai fait autant !

• Ah… Je…
• Ce que vous avez vu vous a plu ?

• Heu… Oui bien sur…
• Parce que de mon côté j'ai bien aimé aussi !

Tout en disant cela elle dégrafe un à un les boutons du haut de son tailleur, ouvre celui-ci laissant apparaître ses seins voluptueux pris dans un soutien gorge en dentelles.

• On va se mettre à l'aise, me dit elle, avec cette chaleur on sera mieux dénudés, et puis comme cela nous pourrons mieux admirer nos atouts respectifs !

Atouts respectifs, me pensais je, c'est vite dit ! Mes quatre vingt kilos sur mon mètre soixante huit ne sont pas vraiment des gages de séductions ! Mon ventre bedonnant, ma calvitie précoce et la blancheur de ma peau non plus d'ailleurs !

• Mon nom est Corinne et vous ? me demande t'elle tandis qu'elle dégrafe son soutien gorge.

• Ma… Mathieu.

Ses seins son magnifiques, bien ronds, il tiennent fièrement dressés sous mes yeux admiratifs.

• Et bien Mathieu, vous ne vous déshabillez pas vous aussi ?

• Heu… Oui bien sur…
Je déboutonne doucement ma chemise, peu pressé de montrer mon corps, j'ai peur qu'elle soit déçue !

Elle par contre ne perd pas de temps et fait tomber sa jupe. Son string est mini, mais alors mini, elle se tourne pour me faire admirer ses fesses.

• Elles vous plaisent ?

• Oh oui, vous êtes vraiment délicieuse !

• Délicieuse ? Attendez donc d'y avoir goûté petit coquin !

Corinne tire alors sur la ficelle de son string et je découvre son sexe tout lisse.

J'en suis à mon quatre ou cinquième bouton de chemise quand, nue, elle s'approche de moi.

• Laissez moi faire, j'adore déshabiller un homme.

En deux trois mouvements, me voilà à poil devant la plus belle fille qui m'ai été de donné de voir en tenue d'Eve.

Se rendant compte de ma gène, ma jolie partenaire me dit alors :
• Vous semblez un peu coincé, je ne vous plais pas ?

• Oh, non pas du tout ! Vous êtes extrêmement belle. C'est que je n'ai pas l'habitude de me trouver dans une telle situation et avec une si jolie femme !

• Ah, je vois, vous vous demandez sans doute pourquoi une si jolie femme peut s'intéresser à un homme comme vous ? Que je devrais sous prétexte d'être belle, me taper que des hommes à la plastique parfaite ? Et bien détrompez vous, mes goûts sont tout autre et mon plaisir je l'ai découvert, je ne peux le prendre qu'avec des hommes dans votre genre.

Mon sexe rassuré sans doute par ces propos, pris alors toute sa dimension érectile. Corinne en s'en apercevant poussa un oh d'exclamation !

• Que voilà une verge bien dressée ! En plus de ça elle m'a l'air bien dure !

Ses doigts se posent délicatement dessus tandis que de l'autre main elle soupèse mes bourses.

• Mhhhh, elles ont l'air bien pleines. J'ai bien envie de goûter, n'avez-vous pas vous aussi l'eau qui vous monte à la bouche ?

Tout en disant cela, elle se fourre un doigt dans sa chatte, le ressort tout plein de mouille et le porte à ma bouche. Je m'en délecte, son jus est délicieux. L'on se place alors en soixante neuf pour que, chacun de notre côté, nous puissions nous repaître de nos jus intimes.

Je la sens me titiller le gland, puis elle y appose tendrement ses lèvres, l'embrasse, le lèche et enfin le gobe tout entier. De mon côté je m'applique à faire subir le même traitement à son clitoris et ses lèvres d'en bas. J'entre deux doigts dans sa grotte intime sans aucune difficulté tant l'endroit est inondé, j'appuie contre les parois de son vagin dans un mouvement de frottement. L'effet est immédiat et je l'entends gémir, sa chatte est prise de spasme, je crois que j'ai réussi à lui procurer un premier orgasme.

• Oh ! Je vois que vous savez caresser efficacement une femme, voyons s'il en est de même pour la baiser.

Elle empoigne ma verge tendue au maximum et se l'enfonce d'un coup dans sa chatte. Concentré et consciencieux, ne voulant surtout pas décevoir une si jolie femme, mes coups de reins sont rythmés. Petit à petit j'accélère la cadence, à l'écoute du corps et des réactions de ma partenaire, je sens quand il faut que je change de comportement. Jusqu'alors doux et sensuel, je me fais plus mâle, plus bestial. Mes va et vient sont désormais rapides et puissants, Corinne crie, souffle, ahane… Alors mon rut peut exulter et je me repends en elle en poussant un râle de plaisir.

Nous restons là un moment, assis, appuyés contre les parois de l'ascenseur, sans rien dire nous reprenons notre souffle.

Après environ un quart d'heure où nous discutons un peu de tout et de rien, Corinne m'étonna à nouveau quand elle me dit :
• Mathieu, et si nous passions à la suite ?

Ni une, ni deux, mon entrejambe reprend de la vigueur quand elle se tourne et me présente son popotin !

• Léchez-moi, léchez-moi le trou du cul !

J'applique ma langue sur sa rondelle, lui pétrit les fesses avec mes mains, de temps à autre ma langue s'enfonce un peu dans le trou ! Ma salive fait que bientôt l'endroit est lubrifié et je peux alors commencer à dilater l'anus avec mes doigts !

• Mhhhh, comme c'est bon, comme vous savez bien vous y prendre, Mathieu, s'y j'osais, je vous demanderais de m'enculer !

• Oh mais osez Madame, osez !

Mon sexe, de nouveau bandé au maximum se présente à l'entrée du fondement de Corinne. Mon travail avec ma langue et mes doigts porte ses fruits, j'entre facilement en elle. L'endroit est étroit, ce n'est pas une grande habituée et c'est agréable de se sentir ainsi serré.

Il faut que je sois attentif à ne pas partir trop vite tant son cul est divin ! Heureusement, ma belle est aussi excitée que moi, elle a empoignée sa chatte à pleine main, une frotte son clito et l'autre enfonce ses doigts dans le vagin.

L'orgasme que nous atteignons ensemble est formidablement puissant, il me semble que j'éjacule toute la sève de mon corps dans son trou du cul, elle semble perdre contenance, elle griffe, crie puis s'effondre dans un dernier soupir.

La suite fut plus que tendresse et câlins, dans les bras l'un de l'autre, nous nous embrassons. Le temps semblait ne plus exister tant nous étions bien l'un avec l'autre et c'est avec étonnement que nous apprîmes par la suite que nous étions restés trois heures dans cet ascenseur !

Depuis, nous nous revoyons régulièrement. Chez elle, c'est plus confortable que dans un ascenseur !!!

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Texte coquin : Ascenseur
Histoire sexe : Une rose rouge
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