ascenseur pour le septieme ciel
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
ascenseur pour le septieme ciel
Cette aventure s’est produite lors de la visite d’un appartement témoin situé au dernier étage d’un immeuble en finition
C’est l’hiver, il fait déjà nuit quand nous reprenons l’ascenseur avec Nicolas mon mari pour redescendre en compagnie de l’employé d’agence immobilière
Un grand black qui était assez occupé a mater mon cul pendant toute la visite, bon d’accord, peut être ai-je fait exprès a une ou deux reprises de me pencher plus que le raisonnable le permet, mais c’est aussi la faute a Nicolas qui m’a incitée a le faire quand il a vus que nous avions affaire a un beau noir, depuis le temps qu’il me demande d’en draguer un pour me voir prise devant lui…
Mais l’homme est resté de marbre, pendant la visite peut être pensait il que c’était uniquement dans le but de faire une meilleure affaire
Au moment de notre départ l’immeuble semble avoir été vidé des ouvriers, le black appui sur le bouton du rez-de-chaussée, les portes se referment la descente commence, je stress toujours un peu dans ces cages étroites
Soudain après seulement quelques secondes l’engin s’arrête entre deux étages, la lumière s’éteint ….
- Pas de panique messieurs dames ça va redémarrer
Il allume son brique et tape sur tous les boutons, mais rien ne se passe, le briquet s’éteint
- ‘ On ‘ va vite s’apercevoir que nous somment coincés c’est l’affaire de quelques minutes, je vais téléphoner
Il ouvre son portable, fait un numéro mais ça sonne dans le vide …..
- Ils sont déjà débauchés ? bien, attendons un peu …
Je me serre contre Nicolas
- N’aie pas peur chérie rien ne peu nous arriver de grave
Tout en parlant il caresse mes fesses sur ma jupe courte, mon imagination prend le dessus : et si je me faisais violer par ce grand noir bien plus costaud que mon mari ?
Je ne rêve pas ? Au même moment des doigts effleurent le bas de ma cuisse sur la chair nue, et ce n’est pas du coté de Nicolas qui se trouve a ma gauche donc cela ne peut être que celle de l’employé ….
Je serre le bras de mon mari qui ne comprend pas ce que je veux dire
- Ne panique pas chérie ça va aller ….
L’homme voyant que je ne repousse pas sa main en profite pour appuyer franchement et glisser plus haut, les gros doigts pétrissent ma chair soyeuse a l’intérieur de ma cuisse, mes pieds se séparent imperceptiblement laissant le champ libre aux investigations …
Mon mini slip est atteint, dans le silence et dans le noir ma respiration devenue haletante se fait entendre
Sans savoir ce qui se passe sous le tissu Nicolas caresse ma fesse toujours par-dessus la jupe, le coton de ma culotte s’humidifie rapidement
La main du noir restée libre s’empare de mon avant-bras je me laisse faire, il guide ma main vers son bas ventre, mes doigts rencontrent un objet cylindrique d’un diamètre impressionnant, chaud, soyeux, il a sorti son membre qui pointe droit devant lui, mes doigts serrent la queue dont je ne fais pas le tour, instinctivement je fais coulisser la peau, le gland circoncis est gros comme un pruneau velouté, un gémissement m’échappe
Guy croyant que je commence a paniquer mes serre sur lui, je suis obligée a regret de lâcher la queue !
- Respire à fond chérie, laisse toi aller sur moi
L’autre derrière moi en profite pour tirer sur l’entre jambe de ma culotte pour pouvoir accéder a ma fente, je dois absolument faire part de la situation a Nicolas avant que ça ne dégénère davantage, je me hisse sur la pointe des pieds pour murmurer a son oreille
- Je suis après me faire toucher la chatte …….
- Par qui ?
Il le fait exprès ou quoi ? !!
- Devine ! Combien somment-nous ici ?
- Non ? Il a ses doigts dans ton minou ?
- Oui chéri, tout à l’heure il m’a mis sa bitte énorme dans la main
- Houais, c’est bon ça, laisse toi faire chérie !
- C’est bien ce que je fais !
Et joignant le geste à la parole il relève carrément ma jupe, le black loin de paniquer tire sur l’élastique de ma culotte, me voilà le cul a l’air dans un ascenseur en panne, maintenant je prie pour que celui-ci ne redémarre pas tout de suite !
L’homme pèse sur mes reins pour me courber en deux, je m’accroche a la ceinture de mon mari, celui-ci a lui aussi sortis sa bitte, je saisis le message mais j’ai très envie de sucer la noire !
Ma rosée coule entre les gros doigts qui ouvrent mon vagin, concrétisé par un clapotis obscène, je m’arrache à la caresse sublime pour me retourner en tâtonnant a la recherche du pieu auquel a genoux je m’accroche comme a une bouée de sauvetage
La bouche largement ouverte je gobe l’œuf qui suinte déjà da plaisir, Nicolas s’adapte à la nouvelle situation il se met à genoux derrière moi pour libérer mes seins, pourvus que la cabine ne redémarre pas, je suis à moitié nue dans une position difficile à faire admettre à d’éventuels sauveteurs !
Qu’elle est bonne cette trique noueuse, l’homme tient ma tête pour baiser ma bouche a son grés, ma mâchoire est soumise a rude épreuve, le black décide de stopper la pipe royale pensant que le temps est compté il me fait relever, baisse carrément ma culotte que j’éjecte d’un coup de pied, du coup Nicolas se relève aussi, je m’appuis contre lui laissant mon bassin partir en avant les jambes ouvertes au maximum
Nicolas appuyé sur la cloison me soutient sous les bras les deux mains sur mes seins, il a compris que je vais me faire baiser par le black qui frotte sa pine sur ma touffe cherchant l’entrée de mon vagin, mes lèvres lubrifiées s’ouvrent sous la poussée virile
Ma gaine vaginale avale la totalité de la queue, je suis pleine comme un œuf, il a simplement passé sa queue et ses couilles hors de sa braguette je sens le tissu du pantalon entre mes cuisses
- Haaaaa chéri il me défonce ! Comme c’est boooooooooonnnnnn ! J’en ai plein la moule
- Quel dommage que je ne vois rien, commente moi ce que tu ressens mon amour …….
A ma grande surprise c’est mon amant qui prend la parole :
- Je lui ai mis toute ma pine dans sa chatte étroite, je suis serré, elle est bonne votre femme, dommage que nous ne soyons pas sur un lit ! Ha putain que c’est bon ! Pour la peine si vous prenez l’appartement je vous fais cadeau des frais d’agence !
- Chéri, je sens ses couilles sur mon entre cuisses elles sont gonflées comme des baudruches il va me remplir le ventre de foutre
- Fait toi saillir par cet étalon ma salope, je profiterais de ta chatte après
Les coups de reins violents font vibrer la cabine, Nicolas coincé entre les deux n’a pas la meilleure place !
Je ne touche plus terre, il a passé ses mains sous mes genoux et me soulève a bonne hauteur afin de me baiser a sa guise, je ne suis qu’une poupée de chiffon culbutée comme une putain dans une cabine publique, les vas et viens du membre fonts des bruits mouillés
- Ne t ‘arrête pas je jouiiiiiiiiiiiiiiiiii c’est booooooooooonnnnnnnnn, HAAAAAAAA OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!
Je suis comme prise de convulsions secouée par des tremblements de jouissance extrême
Soudain la cabine s’éclaire et redémarre, j’ai à peine les pieds au sol que les portes s’ouvrent deux pompiers se précipitent
- Ça va messieurs dames ? Nous venons juste d’arriver la cabine a redémarré toute seule !
Peut être est ce les coups qu’elle a subit qui l’on faite repartir ? En tout cas les pompiers ne disent rien mais ils ont surement remarqués la sueur qui perle sur nos visage, ma tête ébouriffée, mon corsage encore déboutonné, mon slip qui traine au sol, la large tache humide autour de la braguette mal refermée du black et surtout les larges flaques de foutre sur le plancher
- Petite madame vous avez l’air choquée suivez nous au fourgon nous allons prendre soin de vous ……….
C’est l’hiver, il fait déjà nuit quand nous reprenons l’ascenseur avec Nicolas mon mari pour redescendre en compagnie de l’employé d’agence immobilière
Un grand black qui était assez occupé a mater mon cul pendant toute la visite, bon d’accord, peut être ai-je fait exprès a une ou deux reprises de me pencher plus que le raisonnable le permet, mais c’est aussi la faute a Nicolas qui m’a incitée a le faire quand il a vus que nous avions affaire a un beau noir, depuis le temps qu’il me demande d’en draguer un pour me voir prise devant lui…
Mais l’homme est resté de marbre, pendant la visite peut être pensait il que c’était uniquement dans le but de faire une meilleure affaire
Au moment de notre départ l’immeuble semble avoir été vidé des ouvriers, le black appui sur le bouton du rez-de-chaussée, les portes se referment la descente commence, je stress toujours un peu dans ces cages étroites
Soudain après seulement quelques secondes l’engin s’arrête entre deux étages, la lumière s’éteint ….
- Pas de panique messieurs dames ça va redémarrer
Il allume son brique et tape sur tous les boutons, mais rien ne se passe, le briquet s’éteint
- ‘ On ‘ va vite s’apercevoir que nous somment coincés c’est l’affaire de quelques minutes, je vais téléphoner
Il ouvre son portable, fait un numéro mais ça sonne dans le vide …..
- Ils sont déjà débauchés ? bien, attendons un peu …
Je me serre contre Nicolas
- N’aie pas peur chérie rien ne peu nous arriver de grave
Tout en parlant il caresse mes fesses sur ma jupe courte, mon imagination prend le dessus : et si je me faisais violer par ce grand noir bien plus costaud que mon mari ?
Je ne rêve pas ? Au même moment des doigts effleurent le bas de ma cuisse sur la chair nue, et ce n’est pas du coté de Nicolas qui se trouve a ma gauche donc cela ne peut être que celle de l’employé ….
Je serre le bras de mon mari qui ne comprend pas ce que je veux dire
- Ne panique pas chérie ça va aller ….
L’homme voyant que je ne repousse pas sa main en profite pour appuyer franchement et glisser plus haut, les gros doigts pétrissent ma chair soyeuse a l’intérieur de ma cuisse, mes pieds se séparent imperceptiblement laissant le champ libre aux investigations …
Mon mini slip est atteint, dans le silence et dans le noir ma respiration devenue haletante se fait entendre
Sans savoir ce qui se passe sous le tissu Nicolas caresse ma fesse toujours par-dessus la jupe, le coton de ma culotte s’humidifie rapidement
La main du noir restée libre s’empare de mon avant-bras je me laisse faire, il guide ma main vers son bas ventre, mes doigts rencontrent un objet cylindrique d’un diamètre impressionnant, chaud, soyeux, il a sorti son membre qui pointe droit devant lui, mes doigts serrent la queue dont je ne fais pas le tour, instinctivement je fais coulisser la peau, le gland circoncis est gros comme un pruneau velouté, un gémissement m’échappe
Guy croyant que je commence a paniquer mes serre sur lui, je suis obligée a regret de lâcher la queue !
- Respire à fond chérie, laisse toi aller sur moi
L’autre derrière moi en profite pour tirer sur l’entre jambe de ma culotte pour pouvoir accéder a ma fente, je dois absolument faire part de la situation a Nicolas avant que ça ne dégénère davantage, je me hisse sur la pointe des pieds pour murmurer a son oreille
- Je suis après me faire toucher la chatte …….
- Par qui ?
Il le fait exprès ou quoi ? !!
- Devine ! Combien somment-nous ici ?
- Non ? Il a ses doigts dans ton minou ?
- Oui chéri, tout à l’heure il m’a mis sa bitte énorme dans la main
- Houais, c’est bon ça, laisse toi faire chérie !
- C’est bien ce que je fais !
Et joignant le geste à la parole il relève carrément ma jupe, le black loin de paniquer tire sur l’élastique de ma culotte, me voilà le cul a l’air dans un ascenseur en panne, maintenant je prie pour que celui-ci ne redémarre pas tout de suite !
L’homme pèse sur mes reins pour me courber en deux, je m’accroche a la ceinture de mon mari, celui-ci a lui aussi sortis sa bitte, je saisis le message mais j’ai très envie de sucer la noire !
Ma rosée coule entre les gros doigts qui ouvrent mon vagin, concrétisé par un clapotis obscène, je m’arrache à la caresse sublime pour me retourner en tâtonnant a la recherche du pieu auquel a genoux je m’accroche comme a une bouée de sauvetage
La bouche largement ouverte je gobe l’œuf qui suinte déjà da plaisir, Nicolas s’adapte à la nouvelle situation il se met à genoux derrière moi pour libérer mes seins, pourvus que la cabine ne redémarre pas, je suis à moitié nue dans une position difficile à faire admettre à d’éventuels sauveteurs !
Qu’elle est bonne cette trique noueuse, l’homme tient ma tête pour baiser ma bouche a son grés, ma mâchoire est soumise a rude épreuve, le black décide de stopper la pipe royale pensant que le temps est compté il me fait relever, baisse carrément ma culotte que j’éjecte d’un coup de pied, du coup Nicolas se relève aussi, je m’appuis contre lui laissant mon bassin partir en avant les jambes ouvertes au maximum
Nicolas appuyé sur la cloison me soutient sous les bras les deux mains sur mes seins, il a compris que je vais me faire baiser par le black qui frotte sa pine sur ma touffe cherchant l’entrée de mon vagin, mes lèvres lubrifiées s’ouvrent sous la poussée virile
Ma gaine vaginale avale la totalité de la queue, je suis pleine comme un œuf, il a simplement passé sa queue et ses couilles hors de sa braguette je sens le tissu du pantalon entre mes cuisses
- Haaaaa chéri il me défonce ! Comme c’est boooooooooonnnnnn ! J’en ai plein la moule
- Quel dommage que je ne vois rien, commente moi ce que tu ressens mon amour …….
A ma grande surprise c’est mon amant qui prend la parole :
- Je lui ai mis toute ma pine dans sa chatte étroite, je suis serré, elle est bonne votre femme, dommage que nous ne soyons pas sur un lit ! Ha putain que c’est bon ! Pour la peine si vous prenez l’appartement je vous fais cadeau des frais d’agence !
- Chéri, je sens ses couilles sur mon entre cuisses elles sont gonflées comme des baudruches il va me remplir le ventre de foutre
- Fait toi saillir par cet étalon ma salope, je profiterais de ta chatte après
Les coups de reins violents font vibrer la cabine, Nicolas coincé entre les deux n’a pas la meilleure place !
Je ne touche plus terre, il a passé ses mains sous mes genoux et me soulève a bonne hauteur afin de me baiser a sa guise, je ne suis qu’une poupée de chiffon culbutée comme une putain dans une cabine publique, les vas et viens du membre fonts des bruits mouillés
- Ne t ‘arrête pas je jouiiiiiiiiiiiiiiiiii c’est booooooooooonnnnnnnnn, HAAAAAAAA OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!
Je suis comme prise de convulsions secouée par des tremblements de jouissance extrême
Soudain la cabine s’éclaire et redémarre, j’ai à peine les pieds au sol que les portes s’ouvrent deux pompiers se précipitent
- Ça va messieurs dames ? Nous venons juste d’arriver la cabine a redémarré toute seule !
Peut être est ce les coups qu’elle a subit qui l’on faite repartir ? En tout cas les pompiers ne disent rien mais ils ont surement remarqués la sueur qui perle sur nos visage, ma tête ébouriffée, mon corsage encore déboutonné, mon slip qui traine au sol, la large tache humide autour de la braguette mal refermée du black et surtout les larges flaques de foutre sur le plancher
- Petite madame vous avez l’air choquée suivez nous au fourgon nous allons prendre soin de vous ……….
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