Ashley - 37 Madame Stone.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 37 Madame Stone.
Jeffery intervient à nouveau :— Accélérez un peu, les gars.
Le commis, il ne faut pas lui dire deux fois, il jouit dans la vulve de Nouzha (oui, les esclaves ont des vulves, pas des chattes). Jeffery dit à Radia :— Ouvre la bouche.
C'est beau le sperme qui coule de la vulve de Nouzha à la bouche de Radia. Je commence à "chauffer" moi !
Le cuisinier, lui, a du mal à jouir. Madame Stone lui dit :— On va t'aider.
Elle se tourne vers moi en disant :— Va lui lécher le cul, ça l'aidera.
Elle est folle ! Je ne vais sûrement pas le faire ! Elle ajoute :— Vas-y ou on te laisse ici pour la nuit.
Là, je me rebiffe ! Je réponds :— Mon mari va vous...
Elle me coupe en disant :— Il est au courant et impatient de voir les vidéos.
Elle me montre des caméras disséminées un peu partout. C'est de nouveau un coup de ce sale rat. Il me le paiera.
Jeffery pose la main sur mes fesses et les caresse en disant :— Je connais Madame Stone, si elle le dit, elle le fera.
Ils me regardent tous en souriant. J'ai autant envie de lécher le cul de ce gros cuisinier suant que de... sauter à l'élastique. D'un autre côté, au "House of Pussies" je léchais les culs des clients qui payaient bien. Et puis, je suis ici incognito. Je vais me mettre à genoux derrière le cuisinier. Il tend déjà son gros derrière vers mon visage. Je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter et puis je plonge. Bon, je passe sur les détails. Ce qui importe, c'est qu'aussitôt, il grogne et remue son gros derrière, pire qu'un diable dans un bénitier. Il ne faut pas longtemps avant qu'il inonde la vulve d'Alexandra et bientôt la bouche d'Aline qui est en dessous. Je me relève aussitôt.
Et puis là, je me dis : Oui mais oh, Ashley, qu'est-ce que tu fous ?? Ça n'a pas de sens d'obéir à cette femme, qui est ton employée ! Je lui dis :— Je voudrais vous parler, Madame Stone.
On s'éloigne un peu et je lui dis :— Vous savez, je vous apprécie professionnellement, mais à présent, je suis la femme du Président. Je voudrais beaucoup que vous soyez plus...
Je ne trouve pas le mot. Elle attend...
— Plus respectueuse avec moi.
Elle me regarde en souriant et répond :— Le Président m'a dit qu'il faut le faire quand on est en public. Mais ici, personne ne te connaît ou presque, donc je te traite comme la petite pute que tu es ! Quand on est seules, je veux que tu m'obéisses !
Elle est complètement folle ! Elle ajoute :— Maintenant, on va fouetter les filles pour leur apprendre à être plus souriantes. On peut te fouetter aussi. Ou alors, tu t'excuses.
Elle le ferait, je le sais... Je fais quoi ? Me plaindre à mon mari, inutile. Allez, un petit moment de honte est vite passé. Je lui dis :— Pardon...
— Oh non ! Il va falloir faire beaucoup mieux comme excuses pour éviter le fouet.
— Je m'excuse sincèrement, Madame Stone...
Elle tend la main vers moi, mais pas pour que je la serre... pour que je l'embrasse. J'ai peur du fouet et j'aime trop ce qu'elle fait avec les filles... Je m'incline pour embrasser sa main. Oui, je sais, Jackie Kennedy n'aurait jamais fait ça... Ni ce qui suit. Elle me dit :— Je ne t'ai pas dit de te relever !
Elle remet sa main à hauteur de sa chatte, je m'incline et j'embrasse sa main, pliée en deux, jusqu'à ce qu'elle me dise :— C'est bon, je te pardonne. Tu peux te redresser.
— Merci, Madame Stone.
Madame Reagan n'aurait jamais fait ça non plus ! J'ai un peu la tête qui tourne : trop d'émotions. Jeffery nous dit :— Venez boire un verre, pendant qu'on prépare les filles pour le fouet.
Oh oui, j'en ai besoin... On va s'asseoir. Il y a une bouteille de Bourbon sur la table. L'alcool, je n'aime pas, mais là, j'en ai besoin. Je bois une grande gorgée de Bourbon... Aïe ! Ça pique, mais ça change bien le goût que j'avais en bouche. Jeffery dit à Madame Stone :— Elle m'inspire, ta petite protégée.
— Tu veux qu'elle te suce ?
— Oui, ça me ferait plaisir.
Elle se tourne vers moi en disant— Tu as entendu ? Et enlève ta robe.
Ah oui, c'est la suite logique. Je me suis aplatie devant elle et maintenant, je suis bien obligée de faire ce qu'elle dit. Ici, je ne suis plus qu'une "fille". Et puis, j'ai léché un trou du cul, une bite, ce n'est pas pire. À l'avenir, je ne me retrouverai plus à la merci de Madame Stone. Mais ici, je n'ai pas le choix. Madame Stone me dit :— À moins que tu ne préfères...
Je préfère pas, inutile de le préciser. Je me lève, ôte ma robe et je vais me mettre à genoux entre les cuisses de Jeffery. Il a déjà sorti son sexe de son pantalon. Madame Stone me dit :— Commence par masser sa bite entre tes seins.
Une fois qu'on a commencé à obéir, difficile de faire marche arrière. Donc je mets le sexe de Jeffery entre mes seins et je le branle, en les pressant à deux mains. On continue le jeu de tout à l'heure ? D'accord : Madame Clinton n'aurait jamais fait ça. Monica, peut-être... J'ai son sexe sous le nez et j'ai une bonne surprise : non seulement Jeffery doit se faire sucer tous les jours, mais en plus il est propre. Sucer une bite propre, c'est cool... Rapidement, il humidifie mes seins et son gland glisse bien entre eux. Je le branle un moment, tandis qu'il me caresse la nuque. Il finit par me dire :— Putain que tu es bonne ! Tu es née pour sucer les bites (natural born cocks' licker)... Je veux tout lâcher... dans ta bouche.
Je préférerais qu'il vise le sol, mais vous connaissez les hommes ! Dès que j'ai son sexe en bouche, il jouit et j'avale tout comme une fille qui a fait ses classes au "House of Pussies". En me caressant la joue, il me dit :— Tu es une suceuse de premier ordre.
C'est gentil, sauf qu'il ajoute pour Madame Stone :— Tu devrais la faire travailler pour toi !
Cette garce répond :— Ça viendra.
Dans tes rêves, espèce de grosse maquerelle de m... Jeffery stoppe mes pensées en disant :— Il faut s'occuper de dresser mes filles.
Oui, ça, c'est cool. On passe dans la pièce voisine. Les filles sont attachées deux par deux dans une armature carrée avec des anneaux. Elles sont collées l'une à l'autre, Alexandra contre sa mère Aline et Radia contre sa sœur Nouzha. Elles sont face à face et sur la pointe des pieds. Ça ne doit pas être très confortable et elles gémissent... Madame Stone leur dit :— Vous allez recevoir le fouet parce que vous n'êtes pas assez obéissantes. De plus, vous avez toutes fait des grimaces pour des choses aussi insignifiantes que sucer une bite pas très propre. Allez-y les gars.
Elle a dit ça à deux hommes armés de fouets. On voit qu'ils ont l'habitude de punir les esclaves. Ils lèvent leurs fouets ensemble et ils partent en sifflant s'enrouler autour des hanches et des fesses des quatre filles. Les fouets laissent une belle traînée rouge sur les quatre fesses. Les filles poussent des cris stridents, pour un coup de fouet !
Les hommes lèvent les fouets à nouveau et ils viennent claquer à nouveau autour des filles une bonne quinzaine de fois. Elles ne manquent pas de crier à chaque coup. C'est vrai que leurs fesses finissent par être ornées d'une série de stries rouges du plus bel effet. Les hommes arrêtent de fouetter !
C'est trop vite à mon goût, mais Jeffery leur dit :— Merci, les gars.
Puis à nous :— Venez à côté, je dois te parler de quelque chose, Emma.
Je remets ma robe et je vais m'asseoir. Je demande une bière à une serveuse esclave. Je suis bien mouillée, je demanderais volontiers à Madame Stone si je peux jouer avec un des gardes. Oui, c'est dingue : je n'ai rien à lui demander... Elle me dit justement :— Ashley...
— Oui Madame Stone.
— Je dois parler avec Jeffery, va pisser !
Exactement comme le fait Summer. Jeffery ajoute :— Tu peux aussi aller voir tes esclaves, il y a sûrement la file pour leurs bouches et leurs culs.
Je finis ma bière et je me lève. Je vais pisser puis je vais voir les quatre filles, à nouveau bien installées sur leurs bancs. Oh putain : il y a des files pour les filles. Dès qu'un orifice se libère, un homme y met sa bite ! Je vois une inscription : 20 $. Ce n'est pas énorme, mais il y a beaucoup de monde. Comme elles doivent avaler quand un homme jouit dans leurs bouches, j'ai l'impression qu'elles n'auront plus faim après leur journée de travail ! Après ça, elles fileront droit. Ma garce de voix intérieure me souffle "Elles seront tellement bien dressées qu'elles t'embrasseront les mains comme tu l’as fait à Madame Stone.""Sale petite garce !" C'est à ma voix intérieure que je parle. Arrête de penser à ça, Ashley. Un des employés de Jeffery me demande :— Tu veux voir un des nouveaux bancs, petite ?
Je suis incognito, donc je peux le suivre. D'autant plus que c'est un grand Black, pas mal du tout ! On va dans une autre pièce. Le gars me dit :— Regarde là, un nouveau banc avec des anneaux spéciaux. Penche-toi, tu verras mieux...
Je ne suis pas née de la dernière pluie, et j'ai une petite idée de ce qu'il veut : mon cul ! Mais bon, si on peut faire plaisir, à lui et à moi... Je me penche pour voir les anneaux qui n'ont rien de spécial. Il remonte ma jupe sur mes reins et promène son gland mouillé le long de ma fente tout aussi mouillée. Je me tortille un peu...
Ouch !! Il me pénètre d'un bon coup de reins et ses couilles viennent claquer sur mes cuisses ! Aaah ! Très vite, ça fait du bien !! Il me baise à grands coups de reins et je serre les dents pour ne pas crier... Pas la peine de donner une autre raison à Madame Stone de... Oh ! Le sexe dans ma chatte se met encore à grossir... Il est de plus en plus à l'étroit, ce qui est très agréable, vous en conviendrez... Ça y est, il me prend par les hanches et inonde ma chatte. Pour être polie et surtout parce que je n'y tiens plus, je jouis presque en même temps que lui.
Il sort son sexe et il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :— J'adore ton cul, petite.
C'est gentil. Le garde qui nous a conduits ici vient vers moi pour me dire :— Madame Stone vous réclame, Madame.
Je retourne près de Madame Stone et Jeffery. Je vois que le niveau du bourbon a pas mal baissé et Madame Stone a l'air d'avoir bien picolé. Elle me dit :— Je t'avais dit d'aller pisser, pas de te faire baiser, petite traînée.
Ça fait rire Jeffery. Elle ajoute :— Et moi ?
— Vous, Madame Stone ?
— Tu n'as pas envie que je prenne mon pied ?
— Mais, euh... si, bien sûr Madame Stone.
Elle se fait un peu glisser sur sa chaise, soulève sa jupe en disant :— File là-dessous....
Mais, jusqu'où ça va, tout ça ? Madame Stone pèse sûrement 90 kg, elle a des gosses joues, un vilain petit nez et des cheveux teints en roux. Elle ajoute :— Si tu attends trop, tu vas me vexer.
Bon, après tout ce que j'ai déjà fait, c'est pas la chatte d'une grosse femme qui va me faire peur ! Ensuite... je prendrai des dispositions... pour de vrai. Je me mets à genoux entre ses grosses cuisses comme tout à l'heure avec Jeffery. J'aperçois sa grosse chatte luisante, puis je suis dans le noir, car elle a rabattu sa jupe sur ma tête. J'ai peur du noir et je n'aime pas du tout son odeur ! Elle sent comme les poubelles d'un restaurant de fruits de mer en été. Je suis obligée de le dire, désolée. Il faut que je la fasse jouir avant d'étouffer dans la poubelle. J'embrasse sa grosse moule, l'image est justifiée, et je la lèche. Le goût est moins pire, si je puis dire... Je me concentre sur son clito qui doit faire plusieurs centimètres et je m'en occupe comme si c'était la bite d'un lutin. Je l'entends discuter politique avec Jeffery. Je sais lécher, vous le savez, mais il y a des gens qui manifestent peu, par exemple Summer. Madame Stone est comme ça aussi... je sens à peine ses grosses cuisses frémir contre mes joues. Enfin, après avoir longuement mordillé et sucé son clito, elle jouit ! Je m'en rends compte parce qu'elle mouille mon visage. Ouf ! Vite, de l'air ! Je veux me reculer, mais elle serre les cuisses sur mon visage en disant :— Tu restes là jusqu'à ce que je t'autorise à sortir.
Normal : j'ai mis mon doigt dans l'engrenage, je vais y passer tout entière. Au secours : sortez-moi de là ! Elle soulève un peu sa jupe et me dit :— Pose tes lèvres sur ma chatte, je veux sentir ton souffle.
L'engrenage !! Il me faut Summer, quand on était à Malibu, Madame Stone se conduisait presque normalement. Enfin, j'entends elle me dit :— On va y aller, Jeffery, merci pour tout.
— Avec plaisir, Emma.
Elle soulève sa jupe en disant :— On dirait que tu y prends goût à ma chatte. Allez, sors de là.
Je me relève et elle ajoute :— Qu'est ce qu'on dit ?
— Merci Madame Stone.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
A suivre.
Le commis, il ne faut pas lui dire deux fois, il jouit dans la vulve de Nouzha (oui, les esclaves ont des vulves, pas des chattes). Jeffery dit à Radia :— Ouvre la bouche.
C'est beau le sperme qui coule de la vulve de Nouzha à la bouche de Radia. Je commence à "chauffer" moi !
Le cuisinier, lui, a du mal à jouir. Madame Stone lui dit :— On va t'aider.
Elle se tourne vers moi en disant :— Va lui lécher le cul, ça l'aidera.
Elle est folle ! Je ne vais sûrement pas le faire ! Elle ajoute :— Vas-y ou on te laisse ici pour la nuit.
Là, je me rebiffe ! Je réponds :— Mon mari va vous...
Elle me coupe en disant :— Il est au courant et impatient de voir les vidéos.
Elle me montre des caméras disséminées un peu partout. C'est de nouveau un coup de ce sale rat. Il me le paiera.
Jeffery pose la main sur mes fesses et les caresse en disant :— Je connais Madame Stone, si elle le dit, elle le fera.
Ils me regardent tous en souriant. J'ai autant envie de lécher le cul de ce gros cuisinier suant que de... sauter à l'élastique. D'un autre côté, au "House of Pussies" je léchais les culs des clients qui payaient bien. Et puis, je suis ici incognito. Je vais me mettre à genoux derrière le cuisinier. Il tend déjà son gros derrière vers mon visage. Je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter et puis je plonge. Bon, je passe sur les détails. Ce qui importe, c'est qu'aussitôt, il grogne et remue son gros derrière, pire qu'un diable dans un bénitier. Il ne faut pas longtemps avant qu'il inonde la vulve d'Alexandra et bientôt la bouche d'Aline qui est en dessous. Je me relève aussitôt.
Et puis là, je me dis : Oui mais oh, Ashley, qu'est-ce que tu fous ?? Ça n'a pas de sens d'obéir à cette femme, qui est ton employée ! Je lui dis :— Je voudrais vous parler, Madame Stone.
On s'éloigne un peu et je lui dis :— Vous savez, je vous apprécie professionnellement, mais à présent, je suis la femme du Président. Je voudrais beaucoup que vous soyez plus...
Je ne trouve pas le mot. Elle attend...
— Plus respectueuse avec moi.
Elle me regarde en souriant et répond :— Le Président m'a dit qu'il faut le faire quand on est en public. Mais ici, personne ne te connaît ou presque, donc je te traite comme la petite pute que tu es ! Quand on est seules, je veux que tu m'obéisses !
Elle est complètement folle ! Elle ajoute :— Maintenant, on va fouetter les filles pour leur apprendre à être plus souriantes. On peut te fouetter aussi. Ou alors, tu t'excuses.
Elle le ferait, je le sais... Je fais quoi ? Me plaindre à mon mari, inutile. Allez, un petit moment de honte est vite passé. Je lui dis :— Pardon...
— Oh non ! Il va falloir faire beaucoup mieux comme excuses pour éviter le fouet.
— Je m'excuse sincèrement, Madame Stone...
Elle tend la main vers moi, mais pas pour que je la serre... pour que je l'embrasse. J'ai peur du fouet et j'aime trop ce qu'elle fait avec les filles... Je m'incline pour embrasser sa main. Oui, je sais, Jackie Kennedy n'aurait jamais fait ça... Ni ce qui suit. Elle me dit :— Je ne t'ai pas dit de te relever !
Elle remet sa main à hauteur de sa chatte, je m'incline et j'embrasse sa main, pliée en deux, jusqu'à ce qu'elle me dise :— C'est bon, je te pardonne. Tu peux te redresser.
— Merci, Madame Stone.
Madame Reagan n'aurait jamais fait ça non plus ! J'ai un peu la tête qui tourne : trop d'émotions. Jeffery nous dit :— Venez boire un verre, pendant qu'on prépare les filles pour le fouet.
Oh oui, j'en ai besoin... On va s'asseoir. Il y a une bouteille de Bourbon sur la table. L'alcool, je n'aime pas, mais là, j'en ai besoin. Je bois une grande gorgée de Bourbon... Aïe ! Ça pique, mais ça change bien le goût que j'avais en bouche. Jeffery dit à Madame Stone :— Elle m'inspire, ta petite protégée.
— Tu veux qu'elle te suce ?
— Oui, ça me ferait plaisir.
Elle se tourne vers moi en disant— Tu as entendu ? Et enlève ta robe.
Ah oui, c'est la suite logique. Je me suis aplatie devant elle et maintenant, je suis bien obligée de faire ce qu'elle dit. Ici, je ne suis plus qu'une "fille". Et puis, j'ai léché un trou du cul, une bite, ce n'est pas pire. À l'avenir, je ne me retrouverai plus à la merci de Madame Stone. Mais ici, je n'ai pas le choix. Madame Stone me dit :— À moins que tu ne préfères...
Je préfère pas, inutile de le préciser. Je me lève, ôte ma robe et je vais me mettre à genoux entre les cuisses de Jeffery. Il a déjà sorti son sexe de son pantalon. Madame Stone me dit :— Commence par masser sa bite entre tes seins.
Une fois qu'on a commencé à obéir, difficile de faire marche arrière. Donc je mets le sexe de Jeffery entre mes seins et je le branle, en les pressant à deux mains. On continue le jeu de tout à l'heure ? D'accord : Madame Clinton n'aurait jamais fait ça. Monica, peut-être... J'ai son sexe sous le nez et j'ai une bonne surprise : non seulement Jeffery doit se faire sucer tous les jours, mais en plus il est propre. Sucer une bite propre, c'est cool... Rapidement, il humidifie mes seins et son gland glisse bien entre eux. Je le branle un moment, tandis qu'il me caresse la nuque. Il finit par me dire :— Putain que tu es bonne ! Tu es née pour sucer les bites (natural born cocks' licker)... Je veux tout lâcher... dans ta bouche.
Je préférerais qu'il vise le sol, mais vous connaissez les hommes ! Dès que j'ai son sexe en bouche, il jouit et j'avale tout comme une fille qui a fait ses classes au "House of Pussies". En me caressant la joue, il me dit :— Tu es une suceuse de premier ordre.
C'est gentil, sauf qu'il ajoute pour Madame Stone :— Tu devrais la faire travailler pour toi !
Cette garce répond :— Ça viendra.
Dans tes rêves, espèce de grosse maquerelle de m... Jeffery stoppe mes pensées en disant :— Il faut s'occuper de dresser mes filles.
Oui, ça, c'est cool. On passe dans la pièce voisine. Les filles sont attachées deux par deux dans une armature carrée avec des anneaux. Elles sont collées l'une à l'autre, Alexandra contre sa mère Aline et Radia contre sa sœur Nouzha. Elles sont face à face et sur la pointe des pieds. Ça ne doit pas être très confortable et elles gémissent... Madame Stone leur dit :— Vous allez recevoir le fouet parce que vous n'êtes pas assez obéissantes. De plus, vous avez toutes fait des grimaces pour des choses aussi insignifiantes que sucer une bite pas très propre. Allez-y les gars.
Elle a dit ça à deux hommes armés de fouets. On voit qu'ils ont l'habitude de punir les esclaves. Ils lèvent leurs fouets ensemble et ils partent en sifflant s'enrouler autour des hanches et des fesses des quatre filles. Les fouets laissent une belle traînée rouge sur les quatre fesses. Les filles poussent des cris stridents, pour un coup de fouet !
Les hommes lèvent les fouets à nouveau et ils viennent claquer à nouveau autour des filles une bonne quinzaine de fois. Elles ne manquent pas de crier à chaque coup. C'est vrai que leurs fesses finissent par être ornées d'une série de stries rouges du plus bel effet. Les hommes arrêtent de fouetter !
C'est trop vite à mon goût, mais Jeffery leur dit :— Merci, les gars.
Puis à nous :— Venez à côté, je dois te parler de quelque chose, Emma.
Je remets ma robe et je vais m'asseoir. Je demande une bière à une serveuse esclave. Je suis bien mouillée, je demanderais volontiers à Madame Stone si je peux jouer avec un des gardes. Oui, c'est dingue : je n'ai rien à lui demander... Elle me dit justement :— Ashley...
— Oui Madame Stone.
— Je dois parler avec Jeffery, va pisser !
Exactement comme le fait Summer. Jeffery ajoute :— Tu peux aussi aller voir tes esclaves, il y a sûrement la file pour leurs bouches et leurs culs.
Je finis ma bière et je me lève. Je vais pisser puis je vais voir les quatre filles, à nouveau bien installées sur leurs bancs. Oh putain : il y a des files pour les filles. Dès qu'un orifice se libère, un homme y met sa bite ! Je vois une inscription : 20 $. Ce n'est pas énorme, mais il y a beaucoup de monde. Comme elles doivent avaler quand un homme jouit dans leurs bouches, j'ai l'impression qu'elles n'auront plus faim après leur journée de travail ! Après ça, elles fileront droit. Ma garce de voix intérieure me souffle "Elles seront tellement bien dressées qu'elles t'embrasseront les mains comme tu l’as fait à Madame Stone.""Sale petite garce !" C'est à ma voix intérieure que je parle. Arrête de penser à ça, Ashley. Un des employés de Jeffery me demande :— Tu veux voir un des nouveaux bancs, petite ?
Je suis incognito, donc je peux le suivre. D'autant plus que c'est un grand Black, pas mal du tout ! On va dans une autre pièce. Le gars me dit :— Regarde là, un nouveau banc avec des anneaux spéciaux. Penche-toi, tu verras mieux...
Je ne suis pas née de la dernière pluie, et j'ai une petite idée de ce qu'il veut : mon cul ! Mais bon, si on peut faire plaisir, à lui et à moi... Je me penche pour voir les anneaux qui n'ont rien de spécial. Il remonte ma jupe sur mes reins et promène son gland mouillé le long de ma fente tout aussi mouillée. Je me tortille un peu...
Ouch !! Il me pénètre d'un bon coup de reins et ses couilles viennent claquer sur mes cuisses ! Aaah ! Très vite, ça fait du bien !! Il me baise à grands coups de reins et je serre les dents pour ne pas crier... Pas la peine de donner une autre raison à Madame Stone de... Oh ! Le sexe dans ma chatte se met encore à grossir... Il est de plus en plus à l'étroit, ce qui est très agréable, vous en conviendrez... Ça y est, il me prend par les hanches et inonde ma chatte. Pour être polie et surtout parce que je n'y tiens plus, je jouis presque en même temps que lui.
Il sort son sexe et il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :— J'adore ton cul, petite.
C'est gentil. Le garde qui nous a conduits ici vient vers moi pour me dire :— Madame Stone vous réclame, Madame.
Je retourne près de Madame Stone et Jeffery. Je vois que le niveau du bourbon a pas mal baissé et Madame Stone a l'air d'avoir bien picolé. Elle me dit :— Je t'avais dit d'aller pisser, pas de te faire baiser, petite traînée.
Ça fait rire Jeffery. Elle ajoute :— Et moi ?
— Vous, Madame Stone ?
— Tu n'as pas envie que je prenne mon pied ?
— Mais, euh... si, bien sûr Madame Stone.
Elle se fait un peu glisser sur sa chaise, soulève sa jupe en disant :— File là-dessous....
Mais, jusqu'où ça va, tout ça ? Madame Stone pèse sûrement 90 kg, elle a des gosses joues, un vilain petit nez et des cheveux teints en roux. Elle ajoute :— Si tu attends trop, tu vas me vexer.
Bon, après tout ce que j'ai déjà fait, c'est pas la chatte d'une grosse femme qui va me faire peur ! Ensuite... je prendrai des dispositions... pour de vrai. Je me mets à genoux entre ses grosses cuisses comme tout à l'heure avec Jeffery. J'aperçois sa grosse chatte luisante, puis je suis dans le noir, car elle a rabattu sa jupe sur ma tête. J'ai peur du noir et je n'aime pas du tout son odeur ! Elle sent comme les poubelles d'un restaurant de fruits de mer en été. Je suis obligée de le dire, désolée. Il faut que je la fasse jouir avant d'étouffer dans la poubelle. J'embrasse sa grosse moule, l'image est justifiée, et je la lèche. Le goût est moins pire, si je puis dire... Je me concentre sur son clito qui doit faire plusieurs centimètres et je m'en occupe comme si c'était la bite d'un lutin. Je l'entends discuter politique avec Jeffery. Je sais lécher, vous le savez, mais il y a des gens qui manifestent peu, par exemple Summer. Madame Stone est comme ça aussi... je sens à peine ses grosses cuisses frémir contre mes joues. Enfin, après avoir longuement mordillé et sucé son clito, elle jouit ! Je m'en rends compte parce qu'elle mouille mon visage. Ouf ! Vite, de l'air ! Je veux me reculer, mais elle serre les cuisses sur mon visage en disant :— Tu restes là jusqu'à ce que je t'autorise à sortir.
Normal : j'ai mis mon doigt dans l'engrenage, je vais y passer tout entière. Au secours : sortez-moi de là ! Elle soulève un peu sa jupe et me dit :— Pose tes lèvres sur ma chatte, je veux sentir ton souffle.
L'engrenage !! Il me faut Summer, quand on était à Malibu, Madame Stone se conduisait presque normalement. Enfin, j'entends elle me dit :— On va y aller, Jeffery, merci pour tout.
— Avec plaisir, Emma.
Elle soulève sa jupe en disant :— On dirait que tu y prends goût à ma chatte. Allez, sors de là.
Je me relève et elle ajoute :— Qu'est ce qu'on dit ?
— Merci Madame Stone.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
A suivre.
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