Ashley - 42 Une livraison
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 42 Une livraison
J'enlève sa chaussure et sa chaussette. Première bonne nouvelle depuis que je suis ici : ses pieds sont presque propres. Bon, elle a transpiré et une odeur de sueur se mêle à celle du vieux cuir des chaussures militaires, mais elle n'a pas les pieds sales. Il y a une fille pour l'éventer, une pour l'ombrelle, une qui est allée lui chercher une bière et puis moi, son pied dans mes mains. La fille qui est allée chercher la bière, se met à genoux et tend la bière à la Black, qui lui dit :— Tu en as mis du temps.
— Pardon, Maîtresse.
— Pas Maîtresse. D'ailleurs, je dois me présenter, non ?
Personne n'ose répondre. Elle répète :— Non ?
Elle prend son boîtier, alors je dis très vite :— Oui...
— Je m'appelle Madame Parker, mais vous direz juste Madame. Compris ?
Huit voix répondent :— Oui, Madame.
Elle rit... Elle s'amuse bien. On la regarde boire des gorgées de bière fraîche, la gorge sèche... On a toutes terriblement soif. Elle boit, puis donne la bouteille à la fille qui l'apportée et qui est toujours à genoux, en disant :— Tu restes là et tu t'arranges pour que cette bouteille soit à portée de ma main.
— Oui, Madame.
— C'est moi qui m'occupe de vous jusqu'à votre vente. Pour vous, je suis Dieu le Père, je peux vous ménager ou vous en faire baver, ça dépendra de mon humeur. Vous avez donc intérêt à ce que je sois... de bonne humeur. Pour le moment, je n'ai pas encore utilisé le taser... on fera ça plus tard. Pour commencer, enlevez toutes vos uniformes.
On pouvait s'y attendre, au taser. On cesse aussitôt la tâche importante qu'on effectuait. Moi, lui masser le pied gauche... Dès que je suis nue, je recommence à masser son pied ! Elle dit :— Rose et Barbie, allez chercher les seaux qui sont là.
Aussitôt, deux des filles qui se trouvent devant nous vont chercher ces seaux. Madame Parker nous dit :— Buvez deux par deux, sans les mains.
On va laper, tandis que les visiteurs font des photos. Quand on a fini, on reprend toutes notre place. Elle nous dit :— On va tester votre soumission. Ash et Tracy, sucez mes orteils.
Je prends aussitôt son gros orteil en bouche... Le goût salé de sa sueur me dégoûte. Je me dis, "Elle connaît mon nom, elle sait sûrement qui je suis." Après le scanner de la rétine, on n'a plus de secrets pour personne, sauf pour les visiteurs. Jusqu'à présent... Elle nous dit :— Maintenant, toutes sur une rangée devant moi.
Les esclaves éventail, parasol, table basse pour la bière et lécheuses de pieds hésitent un instant, mais elle répète :— Toutes.
On va vite se mettre devant elle. Il y a de plus en plus de monde autour de nous. Un visiteur glisse un billet à Madame Parker en disant :— On voudrait les voir à quatre pattes.
— D'accord.
Puis elle s'adresse à nous :— Marchez !
Aïe, aïe, aïe ! On sait ce qui va se passer. Les visiteurs s'écartent et on est toutes traversées par un courant électrique du cou aux pieds, on crie et on se retrouve à quatre pattes, au milieu des gens.
Ils aiment ça, les visiteurs, on les entend rire. ! Il y a un autre visiteur qui lui donne un billet :— Les filles, debout et courez vers moi !
Dès qu'on court, on reçoitnous recevons a une décharge qui nous fait tomber, jusqu'à ce qu'on soit dans la bonne position. Les visiteurs adorent, moi j'adorerais qu'on leur fasse ! À ce moment-là, un garde vient dire à Madame Parker :— Je viens chercher celle qui s'appelle Ashley.
— Je t'en prie, elle est toute à toi.
Elle ajoute pour les visiteurs :— Qui a envie de voir fouetter les filles ?
Ils ont tous envie...
Le garde me prend par le bras et on va derrière la prison. On entre dans une grande pièce qui ressemble un peu à un théâtre. Plusieurs personnes sont là, téléphone en main. On me fait monter sur la scène. Je suis nue, mais on ne me m’oblige pas à prendre des poses spéciales, comme on le faisait au "Slave Paradise." Une caméra me filme.
À tour de rôle, les gens avec un téléphone lèvent la main. Je suis vendue par téléphone... Pour finir, un Noir en costume dit :— Adjugée à l'acheteur n° 12.
Je suis vendue à un numéro. Et si c'était Summer qui avait pris l'argent de notre compte aux îles Cayman et qui m'achète ? Non, c'est trop vite... Elle avait quelque chose d'important à faire, mais elle viendra ! Le garde qui m'a amenée vient me rechercher. On monte à l'étage et il m'enferme dans une cellule. Inutile de lui poser des questions. J'attends... Je suis à la fois heureuse de partir d'ici et angoissée en me demandant qui m'a achetée...
J'attends toujours... Je vais aux toilettes, pas facile avec la ceinture de chasteté. Quand c'est fait, je me lave soigneusement. Je suis assise sur le lit, quand un homme arrive avec un garde. Sans un mot, il me met sur le ventre et il me fait une piqûre dans la fesse... Je perds connaissance.
***Je suis avec Summer sur la plage de Venice... Il fait beau et... on me donne une claque sur les fesses. C'est Summer ! C'est comme ça qu'elle me réveille... J'émerge péniblement de mon rêve... Ouch ! J'ai mal à la tête... et là, je me souviens que j'ai été achetée ! Summer ne viendra que dans deux mois, mais elle viendra. J'ouvre les yeux, la lumière est très forte et je suis couchée sur le côté, dans le coffre d'une voiture ! Un homme me prend sous les épaules et sous les jambes pour me sortir du coffre. Il fait très chaud et humide... Il me dit :— Faut que tu boives.
Oh oui, je me rends compte que j'ai terriblement soif. Il me tend une bouteille d'eau fraîche et je bois goulûment. Il m'enlève la bouteille en disant :— Ne bois pas tout d'un coup. Tu as faim ?
— Oui, Monsieur.
C'est un costaud d'environ 35 ans. Il ouvre un paquet dans lequel il y a des sandwichs jambon fromage, plus très frais... J'ai tellement faim que je dévore. Quand j'ai fini, il me donne la bouteille d'eau et je bois encore un peu. Je lui dis :— Merci beaucoup, Monsieur, c'est vous qui m'avez achetée ?
— Non... moi, j'assure la livraison. Je te conduis où on m'a dit. Bon, on doit repartir. Il y a un short et un tee-shirt, mets-les et tu peux t'asseoir à l'avant. Ça m'arrangerait de ne pas devoir te rattraper.
— Je n'essayerai pas, Monsieur.
Oh, je n'ai plus la ceinture de chasteté... ça fait du bien : ma chatte peut respirer ! Je lui demande :— Vous savez... qui je suis ?
— Oui.
Je lui parle de Summer. Il ne m’interrompt pas... ça fait du bien de pleurnicher sur mon triste sort. On est sur une petite route dans une région aride, il y a même des grands cactus. Peut-être le sud des États-Unis ou le Mexique... Je pense à Summer...
On est dans le Sud et je vois des panneaux "Las Vegas". On entre dans la ville et il s'arrête devant un grand casino et hôtel, le Red Rock Casino. On sort de la voiture et on se dirige vers l'entrée monumentale. Je touche son bras en disant :— Je voudrais rester avec vous, j'ai peur.
— Fais profil bas et ça ira.
On entre dans l'hôtel. Je le suis vers le comptoir, il dépose un papier sur la tablette en disant :— Bonjour, je vous apporte l'envoi 662. Il faut me remplir ce papier et mettre le cachet de l'hôtel.
L'employé le regarde bêtement, mais un homme plus âgé vient devant nous en disant :— Certainement, Monsieur. Je vais faire chercher l'esclave.
Il appelle une servante et lui dit :— Tu conduis cette fille chez Madame Stone.
Quoi ?!? Elle, encore.... c'est un cauchemar....
La fille fait une révérence en disant :— Oui Monsieur.
Je me retourne vers celui qui m'a amenée. Il m'embrasse sur la joue et il me dit tout bas :— Patience.
Je m'accrocherais bien à son jean en pleurant. Pas Madame Stone !!!
La servante me dit :— Suis-moi.
Elle me conduit dans les sous-sols de l'hôtel. On arrive dans une grande pièce sans fenêtre. Il y a plusieurs servantes qui travaillent. Elles rangent de la vaisselle, nettoient par terre, préparent différentes choses. Elles me jettent un rapide coup d'œil et, voyant que j'ai le collier des esclaves autour du cou, elles continuent ce qu'elles font. On va se mettre à côté d'une grosse femme d'une cinquantaine d'années. Elle a un petit nez, des grosses joues et des petites lunettes rondes. Elle est habillée d'une robe noire à longues manches. Je la connais, elle me faisait déjà peur quand elle était mon employée.
La servante qui m'a conduit jusqu'ici attend sans bouger, tête baissée, mains croisées sur la chatte... Je fais comme elle avec une énorme envie de pisser, tellement j'ai la trouille ! La femme fait des comptes sans nous jeter un regard. C'est long... Enfin, elle nous regarde... Elle chasse la servante d'un geste de la main et me dit :— Tiens, qui voilà ! Je te manquais ?
Je bredouille :— Je... oui, Madame...
— Déshabille-toi.
J'enlève vite mon short, mon tee-shirt et mes sandales.
— Tourne-toi.
Je lui montre mes fesses et elle me donne une petite claque, comme pour juger de la fermeté en disant :— Il n'y a pas dire, tu as un beau cul...
À suivre.
— Pardon, Maîtresse.
— Pas Maîtresse. D'ailleurs, je dois me présenter, non ?
Personne n'ose répondre. Elle répète :— Non ?
Elle prend son boîtier, alors je dis très vite :— Oui...
— Je m'appelle Madame Parker, mais vous direz juste Madame. Compris ?
Huit voix répondent :— Oui, Madame.
Elle rit... Elle s'amuse bien. On la regarde boire des gorgées de bière fraîche, la gorge sèche... On a toutes terriblement soif. Elle boit, puis donne la bouteille à la fille qui l'apportée et qui est toujours à genoux, en disant :— Tu restes là et tu t'arranges pour que cette bouteille soit à portée de ma main.
— Oui, Madame.
— C'est moi qui m'occupe de vous jusqu'à votre vente. Pour vous, je suis Dieu le Père, je peux vous ménager ou vous en faire baver, ça dépendra de mon humeur. Vous avez donc intérêt à ce que je sois... de bonne humeur. Pour le moment, je n'ai pas encore utilisé le taser... on fera ça plus tard. Pour commencer, enlevez toutes vos uniformes.
On pouvait s'y attendre, au taser. On cesse aussitôt la tâche importante qu'on effectuait. Moi, lui masser le pied gauche... Dès que je suis nue, je recommence à masser son pied ! Elle dit :— Rose et Barbie, allez chercher les seaux qui sont là.
Aussitôt, deux des filles qui se trouvent devant nous vont chercher ces seaux. Madame Parker nous dit :— Buvez deux par deux, sans les mains.
On va laper, tandis que les visiteurs font des photos. Quand on a fini, on reprend toutes notre place. Elle nous dit :— On va tester votre soumission. Ash et Tracy, sucez mes orteils.
Je prends aussitôt son gros orteil en bouche... Le goût salé de sa sueur me dégoûte. Je me dis, "Elle connaît mon nom, elle sait sûrement qui je suis." Après le scanner de la rétine, on n'a plus de secrets pour personne, sauf pour les visiteurs. Jusqu'à présent... Elle nous dit :— Maintenant, toutes sur une rangée devant moi.
Les esclaves éventail, parasol, table basse pour la bière et lécheuses de pieds hésitent un instant, mais elle répète :— Toutes.
On va vite se mettre devant elle. Il y a de plus en plus de monde autour de nous. Un visiteur glisse un billet à Madame Parker en disant :— On voudrait les voir à quatre pattes.
— D'accord.
Puis elle s'adresse à nous :— Marchez !
Aïe, aïe, aïe ! On sait ce qui va se passer. Les visiteurs s'écartent et on est toutes traversées par un courant électrique du cou aux pieds, on crie et on se retrouve à quatre pattes, au milieu des gens.
Ils aiment ça, les visiteurs, on les entend rire. ! Il y a un autre visiteur qui lui donne un billet :— Les filles, debout et courez vers moi !
Dès qu'on court, on reçoitnous recevons a une décharge qui nous fait tomber, jusqu'à ce qu'on soit dans la bonne position. Les visiteurs adorent, moi j'adorerais qu'on leur fasse ! À ce moment-là, un garde vient dire à Madame Parker :— Je viens chercher celle qui s'appelle Ashley.
— Je t'en prie, elle est toute à toi.
Elle ajoute pour les visiteurs :— Qui a envie de voir fouetter les filles ?
Ils ont tous envie...
Le garde me prend par le bras et on va derrière la prison. On entre dans une grande pièce qui ressemble un peu à un théâtre. Plusieurs personnes sont là, téléphone en main. On me fait monter sur la scène. Je suis nue, mais on ne me m’oblige pas à prendre des poses spéciales, comme on le faisait au "Slave Paradise." Une caméra me filme.
À tour de rôle, les gens avec un téléphone lèvent la main. Je suis vendue par téléphone... Pour finir, un Noir en costume dit :— Adjugée à l'acheteur n° 12.
Je suis vendue à un numéro. Et si c'était Summer qui avait pris l'argent de notre compte aux îles Cayman et qui m'achète ? Non, c'est trop vite... Elle avait quelque chose d'important à faire, mais elle viendra ! Le garde qui m'a amenée vient me rechercher. On monte à l'étage et il m'enferme dans une cellule. Inutile de lui poser des questions. J'attends... Je suis à la fois heureuse de partir d'ici et angoissée en me demandant qui m'a achetée...
J'attends toujours... Je vais aux toilettes, pas facile avec la ceinture de chasteté. Quand c'est fait, je me lave soigneusement. Je suis assise sur le lit, quand un homme arrive avec un garde. Sans un mot, il me met sur le ventre et il me fait une piqûre dans la fesse... Je perds connaissance.
***Je suis avec Summer sur la plage de Venice... Il fait beau et... on me donne une claque sur les fesses. C'est Summer ! C'est comme ça qu'elle me réveille... J'émerge péniblement de mon rêve... Ouch ! J'ai mal à la tête... et là, je me souviens que j'ai été achetée ! Summer ne viendra que dans deux mois, mais elle viendra. J'ouvre les yeux, la lumière est très forte et je suis couchée sur le côté, dans le coffre d'une voiture ! Un homme me prend sous les épaules et sous les jambes pour me sortir du coffre. Il fait très chaud et humide... Il me dit :— Faut que tu boives.
Oh oui, je me rends compte que j'ai terriblement soif. Il me tend une bouteille d'eau fraîche et je bois goulûment. Il m'enlève la bouteille en disant :— Ne bois pas tout d'un coup. Tu as faim ?
— Oui, Monsieur.
C'est un costaud d'environ 35 ans. Il ouvre un paquet dans lequel il y a des sandwichs jambon fromage, plus très frais... J'ai tellement faim que je dévore. Quand j'ai fini, il me donne la bouteille d'eau et je bois encore un peu. Je lui dis :— Merci beaucoup, Monsieur, c'est vous qui m'avez achetée ?
— Non... moi, j'assure la livraison. Je te conduis où on m'a dit. Bon, on doit repartir. Il y a un short et un tee-shirt, mets-les et tu peux t'asseoir à l'avant. Ça m'arrangerait de ne pas devoir te rattraper.
— Je n'essayerai pas, Monsieur.
Oh, je n'ai plus la ceinture de chasteté... ça fait du bien : ma chatte peut respirer ! Je lui demande :— Vous savez... qui je suis ?
— Oui.
Je lui parle de Summer. Il ne m’interrompt pas... ça fait du bien de pleurnicher sur mon triste sort. On est sur une petite route dans une région aride, il y a même des grands cactus. Peut-être le sud des États-Unis ou le Mexique... Je pense à Summer...
On est dans le Sud et je vois des panneaux "Las Vegas". On entre dans la ville et il s'arrête devant un grand casino et hôtel, le Red Rock Casino. On sort de la voiture et on se dirige vers l'entrée monumentale. Je touche son bras en disant :— Je voudrais rester avec vous, j'ai peur.
— Fais profil bas et ça ira.
On entre dans l'hôtel. Je le suis vers le comptoir, il dépose un papier sur la tablette en disant :— Bonjour, je vous apporte l'envoi 662. Il faut me remplir ce papier et mettre le cachet de l'hôtel.
L'employé le regarde bêtement, mais un homme plus âgé vient devant nous en disant :— Certainement, Monsieur. Je vais faire chercher l'esclave.
Il appelle une servante et lui dit :— Tu conduis cette fille chez Madame Stone.
Quoi ?!? Elle, encore.... c'est un cauchemar....
La fille fait une révérence en disant :— Oui Monsieur.
Je me retourne vers celui qui m'a amenée. Il m'embrasse sur la joue et il me dit tout bas :— Patience.
Je m'accrocherais bien à son jean en pleurant. Pas Madame Stone !!!
La servante me dit :— Suis-moi.
Elle me conduit dans les sous-sols de l'hôtel. On arrive dans une grande pièce sans fenêtre. Il y a plusieurs servantes qui travaillent. Elles rangent de la vaisselle, nettoient par terre, préparent différentes choses. Elles me jettent un rapide coup d'œil et, voyant que j'ai le collier des esclaves autour du cou, elles continuent ce qu'elles font. On va se mettre à côté d'une grosse femme d'une cinquantaine d'années. Elle a un petit nez, des grosses joues et des petites lunettes rondes. Elle est habillée d'une robe noire à longues manches. Je la connais, elle me faisait déjà peur quand elle était mon employée.
La servante qui m'a conduit jusqu'ici attend sans bouger, tête baissée, mains croisées sur la chatte... Je fais comme elle avec une énorme envie de pisser, tellement j'ai la trouille ! La femme fait des comptes sans nous jeter un regard. C'est long... Enfin, elle nous regarde... Elle chasse la servante d'un geste de la main et me dit :— Tiens, qui voilà ! Je te manquais ?
Je bredouille :— Je... oui, Madame...
— Déshabille-toi.
J'enlève vite mon short, mon tee-shirt et mes sandales.
— Tourne-toi.
Je lui montre mes fesses et elle me donne une petite claque, comme pour juger de la fermeté en disant :— Il n'y a pas dire, tu as un beau cul...
À suivre.
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