Ashley - 56 Police Maritime.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 56 Police Maritime.
Le lendemain, je sers le petit déjeuner : biscottes, confitures, biscuits... Quand tout le monde a terminé, je déjeune aussi, mais dans la petite cuisine.
Ensuite, je m'apprête à faire la lessive, quand Summer reçoit un coup de téléphone. Elle écoute, remercie puis nous dit :— On va avoir une visite surprise : la police ou des garde-côtes On va attendre qu'ils soient là, avant d'aller à terre. Première chose à faire, cacher le matériel de détection.
Il y a une planque dans la cale. Quand tout est caché, Summer nous dit :— Voilà vos rôles : Thomas est un riche homme d'affaires qui vient passer un moment dans un endroit désert avec deux putes, Ashley et moi...
Summer qui va jouer les putes ? Ça va être un rôle de composition... Enfin, je n'en sais rien. Elle poursuit :— Viens Ashley, on va se changer.
On va dans notre cabine et elle me donne un maillot en disant :— Met juste le bas.
Elle se change aussi et ne met qu'une culotte de maillot et une paire de lunette de soleil. Les autres ont installé un des fauteuils à l'arrière du bateau. Martha a fait des cocktails. Dean s'installe dans la cabine de pilotage et Johnny, le garde du corps va à l'intérieur. Summer et moi, on va s'installer chacune sur une cuisse de Thomas. Elle est belle en pute, Summer. Après dix minutes, il dit :— Vous êtes lourdes les filles, mettez-vous sur mes genoux seulement quand ils arrivent.
On va s'asseoir autour de la table. Je fais subtilement la tête à Summer. Par exemple, je ne lui ai pas demandé de pouvoir la rejoindre dans son lit. Mes fesses me font toujours mal ! Summer me dit :— C'est très dur de détecter dans cette végétation et dangereux en plus. On le fait tous sauf toi. Tu ne trouves pas que c'est la moindre des choses vis-à-vis des autres de faire ta part de travail ?
— La fessée, je l'ai méritée, mais pas devant tout le monde.
— Faut te montrer ta place quand tu fais une connerie, non ?
— Oui, Summer.
Je m’assieds sur la chaise à côté d'elle, puis je prends sa main et je l'embrasse. Elle m’attrape par la nuque et m'embrasse sur la bouche. J'adore sa bouche, sa salive...
Thomas nous dit :— Merde les filles, je bande !
On rit. Il ajoute :— Qui de vous deux va arranger ça ?
Summer me regarde et je réponds :— Moi, Monsieur.
Là, on entend un bateau arriver... Ce sont les gardes-côtes. Ils se placent le long de notre bateau et deux hommes montent à bord. Ils disent à Johnny qui est à l'avant :— Police maritime, on voudrait voir le propriétaire— Oui Messieurs, suivez-moi.
Ils arrivent à l'arrière et s'arrêtent en voyant Thomas, deux filles à moitié nues sur les genoux. Les policiers sont des métisses qui n'ont pas l'air commodes. Il y a un gros et un grand maigre... Ils me font penser à Laurel et Hardy, mais en nettement moins marrant. Thomas nous dit :— Déguerpissez les filles.
On se lève pour aller dans le bateau. J'entends un policier lui dire :— Nous venons contrôler les papiers du bateau.
— Certainement Messieurs, je vais vous montrer ça. Ah, j'ai entendu parler d'une taxe de séjour. Voici.
Je jette un petit coup d'œil et je le vois donner des enveloppes en disant :— Pendant que je vais chercher les papiers, vous voulez voir les cabines ?
Il crie :— Les filles, montrez les cabines à ces Messieurs de la police maritime.
On sort. Laurel et Hardy sont souriants. Summer leur dit :— Si vous voulez bien nous suivre.
On va dans la chambre de Thomas, le soi-disant riche propriétaire du yacht. Summer leur dit :— Vous devez faire un travail difficile, si vous avez envie de vous détendre un peu, Ashley et moi, on a été engagée pour distraire les invités. Le gros répond :— C'est bien ce qu'on se disait. Montrez-nous ce que vous savez faire avec vos bouches.
Aussitôt, Summer se met à genoux et baisse la tirette du pantalon du gros. Vous allez être surpris, lecteur ou lectrice imaginaires, mais ça me choque de voir Summer dans cette position humiliante. Le maigre baisse son pantalon et son caleçon, puis, il claque des doigts en me désignant son sexe... Oui, ça aussi, c'est humiliant, mais c'est à moi qu'il le fait. J’imite Summer et je me retrouve avec une bite en bouche. D'accord, il ne s'y attendait pas, mais bon... c'est pas agréable.
Summer suce allègrement, mais elle n'a peur de rien, elle. Quand on les a bien sucés, le mien dit :— A quatre pattes sur les lits, les filles.
Summer me dit :— Mets-toi en face de moi.
On se retrouve face à face, un peu comme des presse-livres... D'accord, ça n'existe plus. Elle m'embrasse à nouveau, tandis que les policiers maritimes fouillent nos vagins en profondeur. J'adore l'embrasser. Les hommes aiment nous voir nous embrasser, manifestement... Il ne faut pas beaucoup plus de cinq minutes pour que le maigre jouisse en moi. Le gros prend plus de temps... Après avoir joui, il se retire. Je leur passe des kleenex qui sont sur une table, mais ils ont déjà remis leurs engins dans le pantalon. Summer et moi, on se met un kleenex dans la chatte et on les accompagne à l'arrière du bateau. Elle me prend par la taille et aussitôt, je me colle à elle. Les policiers sont souriants. Thomas leur demande :— Tout s'est bien passé, Messieurs ?
Le gros répond :— Parfaitement, tout est en ordre. Bonnes vacances.
— Merci, Messieurs...
On veut les reconduire vers l'endroit où est leur bateau, mais le gros nous dit :— Ne vous montrez pas les filles, le collègue serait jaloux.
Il prend une carte dans sa poche et la donne à Summer en disant :— Si vous avez un problème, appelez-nous— Merci, c'est très gentil...
Bisous, ils partent... On va se laver la chatte et on s'habille, moi avec la robe noire et le tablier. Quand on rejoint les autres à l'arrière, Dean nous dit :— Ils en ont de la chance, les flics...
— Vous pouvez baiser Ashley, moi, il faut demander. Mais, maintenant, on va fouiller.
Elle se tourne vers moi et ajoute :— On te laisse le bateau. Si tu vois quelqu'un sur terre ou un autre bateau s'approcher, tu me téléphones.
— D'accord. Dis, comment je fais la lessive ?
— Tu mets une bassine sur le pont, tu la remplis d'eau, tu laves, tu rinces.
Donc, il n'y a même pas de machine à laver ! Je réponds :— J'espère que vous allez trouver...
Ils quittent le bateau et je commence à lessiver à l'ancienne. Il ne me manque que des pierres plates et un battoir comme on voit dans les vieilles gravures de... lavandières. Comme il fait chaud, j'enlève mon uniforme. La lessive, c'est pas marrant à faire. Il me faut bien deux heures pour tout laver et pendre les vêtements un peu partout sur la bateau, pour qu'ils sèchent.
Quand tout est fait, je prépare le repas du soir. Des boîtes de thon à l'huile, des biscottes, des biscuits, des fruits. On va faire des courses demain, a dit Summer. Régulièrement, je regarde la mer et la petite plage, mais il n'y a personne. J'écrase quelques moustiques qui me piquent, mais ce n'est rien à côté de ce qu'ils doivent subir près des marais. Je fais les lits, range les chambres et quand tout est fini, je vais sur le PC de Summer. Quand je l'ouvre, je vois un message de Summer sur un morceau de papier "Tu as fini tes corvées ?" Sur le bureau, il y a une photo de fessée. Message bien reçu. Je vais un peu sur mon jeu dans lequel je suis une aventurière qui n'a peur de rien. Oui, c'est un rôle de composition.
Quand j'entends un bruit de moteur, je termine vite mon jeu. Dommage, j'étais à deux doigts de niquer la Princesse ou de me faire niquer par le Prince, je ne sais plus. Je vais chercher des bières et des bouteilles d'eau, puis je décroche les vêtements qui sont secs. Je les plie et quand ils arrivent, je leur dis :— Vous avez trouvé ?
Pas de réponse. Il faut dire qu'ils n'ont pas l'air frais... Ils sont sales et leurs vêtements sont mouillés de sueur. Je dis très vite :— Il y a des bières fraîches à l'arrière.
Ils y vont tous et se laissent tomber dans les fauteuils pour boire les bières. Summer me dit :— Va mettre les détecteurs à leur place.
Je vais les cacher dans une armoire, puis je reviens. J'ai l'impression que, quoi que je dise, ils vont mal le prendre. J'attends... Martha me dit :— On a faim.
— Oui Madame.
Heureusement, j'ai déjà tout préparé.... J'apporte le repas sur un plateau. Ils se sont tous déshabillés. Je vais devoir laver leurs vêtements demain. Summer a mis sur la table ce qu'ils ont trouvé : deux monnaies en argent, quelques monnaies en bonze, une pipe en terre cassée. Elle parle d'un nouveau détecteur qu'ils recevront dans deux jours. Elle ajoute :— Demain, on fait mollo... Martha, tu pourrais aller faire des courses avec Ashley ?
— D'accord, on ira au marché d'Orange Creek.
— Je te ferai une liste de tout ce qu'il faut acheter, Dean vous attendra dans le port.
Le marché, ça me plaît... sauf quand Martha me dit :— Tu iras en uniforme. Il y a des Blancs riches qui ont des grandes propriétés de ce côté de l'île et on voit souvent des bonnes faire les courses.
À suivre.
Ensuite, je m'apprête à faire la lessive, quand Summer reçoit un coup de téléphone. Elle écoute, remercie puis nous dit :— On va avoir une visite surprise : la police ou des garde-côtes On va attendre qu'ils soient là, avant d'aller à terre. Première chose à faire, cacher le matériel de détection.
Il y a une planque dans la cale. Quand tout est caché, Summer nous dit :— Voilà vos rôles : Thomas est un riche homme d'affaires qui vient passer un moment dans un endroit désert avec deux putes, Ashley et moi...
Summer qui va jouer les putes ? Ça va être un rôle de composition... Enfin, je n'en sais rien. Elle poursuit :— Viens Ashley, on va se changer.
On va dans notre cabine et elle me donne un maillot en disant :— Met juste le bas.
Elle se change aussi et ne met qu'une culotte de maillot et une paire de lunette de soleil. Les autres ont installé un des fauteuils à l'arrière du bateau. Martha a fait des cocktails. Dean s'installe dans la cabine de pilotage et Johnny, le garde du corps va à l'intérieur. Summer et moi, on va s'installer chacune sur une cuisse de Thomas. Elle est belle en pute, Summer. Après dix minutes, il dit :— Vous êtes lourdes les filles, mettez-vous sur mes genoux seulement quand ils arrivent.
On va s'asseoir autour de la table. Je fais subtilement la tête à Summer. Par exemple, je ne lui ai pas demandé de pouvoir la rejoindre dans son lit. Mes fesses me font toujours mal ! Summer me dit :— C'est très dur de détecter dans cette végétation et dangereux en plus. On le fait tous sauf toi. Tu ne trouves pas que c'est la moindre des choses vis-à-vis des autres de faire ta part de travail ?
— La fessée, je l'ai méritée, mais pas devant tout le monde.
— Faut te montrer ta place quand tu fais une connerie, non ?
— Oui, Summer.
Je m’assieds sur la chaise à côté d'elle, puis je prends sa main et je l'embrasse. Elle m’attrape par la nuque et m'embrasse sur la bouche. J'adore sa bouche, sa salive...
Thomas nous dit :— Merde les filles, je bande !
On rit. Il ajoute :— Qui de vous deux va arranger ça ?
Summer me regarde et je réponds :— Moi, Monsieur.
Là, on entend un bateau arriver... Ce sont les gardes-côtes. Ils se placent le long de notre bateau et deux hommes montent à bord. Ils disent à Johnny qui est à l'avant :— Police maritime, on voudrait voir le propriétaire— Oui Messieurs, suivez-moi.
Ils arrivent à l'arrière et s'arrêtent en voyant Thomas, deux filles à moitié nues sur les genoux. Les policiers sont des métisses qui n'ont pas l'air commodes. Il y a un gros et un grand maigre... Ils me font penser à Laurel et Hardy, mais en nettement moins marrant. Thomas nous dit :— Déguerpissez les filles.
On se lève pour aller dans le bateau. J'entends un policier lui dire :— Nous venons contrôler les papiers du bateau.
— Certainement Messieurs, je vais vous montrer ça. Ah, j'ai entendu parler d'une taxe de séjour. Voici.
Je jette un petit coup d'œil et je le vois donner des enveloppes en disant :— Pendant que je vais chercher les papiers, vous voulez voir les cabines ?
Il crie :— Les filles, montrez les cabines à ces Messieurs de la police maritime.
On sort. Laurel et Hardy sont souriants. Summer leur dit :— Si vous voulez bien nous suivre.
On va dans la chambre de Thomas, le soi-disant riche propriétaire du yacht. Summer leur dit :— Vous devez faire un travail difficile, si vous avez envie de vous détendre un peu, Ashley et moi, on a été engagée pour distraire les invités. Le gros répond :— C'est bien ce qu'on se disait. Montrez-nous ce que vous savez faire avec vos bouches.
Aussitôt, Summer se met à genoux et baisse la tirette du pantalon du gros. Vous allez être surpris, lecteur ou lectrice imaginaires, mais ça me choque de voir Summer dans cette position humiliante. Le maigre baisse son pantalon et son caleçon, puis, il claque des doigts en me désignant son sexe... Oui, ça aussi, c'est humiliant, mais c'est à moi qu'il le fait. J’imite Summer et je me retrouve avec une bite en bouche. D'accord, il ne s'y attendait pas, mais bon... c'est pas agréable.
Summer suce allègrement, mais elle n'a peur de rien, elle. Quand on les a bien sucés, le mien dit :— A quatre pattes sur les lits, les filles.
Summer me dit :— Mets-toi en face de moi.
On se retrouve face à face, un peu comme des presse-livres... D'accord, ça n'existe plus. Elle m'embrasse à nouveau, tandis que les policiers maritimes fouillent nos vagins en profondeur. J'adore l'embrasser. Les hommes aiment nous voir nous embrasser, manifestement... Il ne faut pas beaucoup plus de cinq minutes pour que le maigre jouisse en moi. Le gros prend plus de temps... Après avoir joui, il se retire. Je leur passe des kleenex qui sont sur une table, mais ils ont déjà remis leurs engins dans le pantalon. Summer et moi, on se met un kleenex dans la chatte et on les accompagne à l'arrière du bateau. Elle me prend par la taille et aussitôt, je me colle à elle. Les policiers sont souriants. Thomas leur demande :— Tout s'est bien passé, Messieurs ?
Le gros répond :— Parfaitement, tout est en ordre. Bonnes vacances.
— Merci, Messieurs...
On veut les reconduire vers l'endroit où est leur bateau, mais le gros nous dit :— Ne vous montrez pas les filles, le collègue serait jaloux.
Il prend une carte dans sa poche et la donne à Summer en disant :— Si vous avez un problème, appelez-nous— Merci, c'est très gentil...
Bisous, ils partent... On va se laver la chatte et on s'habille, moi avec la robe noire et le tablier. Quand on rejoint les autres à l'arrière, Dean nous dit :— Ils en ont de la chance, les flics...
— Vous pouvez baiser Ashley, moi, il faut demander. Mais, maintenant, on va fouiller.
Elle se tourne vers moi et ajoute :— On te laisse le bateau. Si tu vois quelqu'un sur terre ou un autre bateau s'approcher, tu me téléphones.
— D'accord. Dis, comment je fais la lessive ?
— Tu mets une bassine sur le pont, tu la remplis d'eau, tu laves, tu rinces.
Donc, il n'y a même pas de machine à laver ! Je réponds :— J'espère que vous allez trouver...
Ils quittent le bateau et je commence à lessiver à l'ancienne. Il ne me manque que des pierres plates et un battoir comme on voit dans les vieilles gravures de... lavandières. Comme il fait chaud, j'enlève mon uniforme. La lessive, c'est pas marrant à faire. Il me faut bien deux heures pour tout laver et pendre les vêtements un peu partout sur la bateau, pour qu'ils sèchent.
Quand tout est fait, je prépare le repas du soir. Des boîtes de thon à l'huile, des biscottes, des biscuits, des fruits. On va faire des courses demain, a dit Summer. Régulièrement, je regarde la mer et la petite plage, mais il n'y a personne. J'écrase quelques moustiques qui me piquent, mais ce n'est rien à côté de ce qu'ils doivent subir près des marais. Je fais les lits, range les chambres et quand tout est fini, je vais sur le PC de Summer. Quand je l'ouvre, je vois un message de Summer sur un morceau de papier "Tu as fini tes corvées ?" Sur le bureau, il y a une photo de fessée. Message bien reçu. Je vais un peu sur mon jeu dans lequel je suis une aventurière qui n'a peur de rien. Oui, c'est un rôle de composition.
Quand j'entends un bruit de moteur, je termine vite mon jeu. Dommage, j'étais à deux doigts de niquer la Princesse ou de me faire niquer par le Prince, je ne sais plus. Je vais chercher des bières et des bouteilles d'eau, puis je décroche les vêtements qui sont secs. Je les plie et quand ils arrivent, je leur dis :— Vous avez trouvé ?
Pas de réponse. Il faut dire qu'ils n'ont pas l'air frais... Ils sont sales et leurs vêtements sont mouillés de sueur. Je dis très vite :— Il y a des bières fraîches à l'arrière.
Ils y vont tous et se laissent tomber dans les fauteuils pour boire les bières. Summer me dit :— Va mettre les détecteurs à leur place.
Je vais les cacher dans une armoire, puis je reviens. J'ai l'impression que, quoi que je dise, ils vont mal le prendre. J'attends... Martha me dit :— On a faim.
— Oui Madame.
Heureusement, j'ai déjà tout préparé.... J'apporte le repas sur un plateau. Ils se sont tous déshabillés. Je vais devoir laver leurs vêtements demain. Summer a mis sur la table ce qu'ils ont trouvé : deux monnaies en argent, quelques monnaies en bonze, une pipe en terre cassée. Elle parle d'un nouveau détecteur qu'ils recevront dans deux jours. Elle ajoute :— Demain, on fait mollo... Martha, tu pourrais aller faire des courses avec Ashley ?
— D'accord, on ira au marché d'Orange Creek.
— Je te ferai une liste de tout ce qu'il faut acheter, Dean vous attendra dans le port.
Le marché, ça me plaît... sauf quand Martha me dit :— Tu iras en uniforme. Il y a des Blancs riches qui ont des grandes propriétés de ce côté de l'île et on voit souvent des bonnes faire les courses.
À suivre.
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