Ashley - 58 Un nouveau jouet.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 58 Un nouveau jouet.
Ils boivent. Summer me laisse terminer sa bière.
Dans le courant de l'après-midi, des clients viennent chercher des pièces détachées de voitures et des objets divers. Le père va prendre ça dans une sorte de hangar bricolé. Ils sont tous Noirs et très intéressés par la servante blanche. Quelques amis viennent boire une bière. Ils mangent peu mais boivent beaucoup. Les parents et les enfants ont tout de suite retenu mon nom, les amis aussi. Sans arrêt, j'entends "Ashley, va chercher..." à boire ou même, la fille me dit : — Ashley, passe-moi ma bière.
Alors qu'elle n'a qu'à tendre le bras pour la prendre ! Je suis leur nouveau jouet.
***Le soir, ils sont plusieurs à manger ici. Tous, ils me demandent quelque chose et ils sont ravis quand je leur fais une révérence. Il faut dire que les épouses et les filles travaillent comme bonnes chez des riches propriétaires blancs. Quant aux hommes, ceux qui travaillent, c'est souvent dans leurs plantations. À la fin du repas, je reçois les restes... Ils ont une grosse revanche à prendre et, manque de pot, ça tombe sur moi. Quand j'ai fini, je demande à la fille :— Vous pourriez me dire où je peux faire pipi, Mademoiselle ?
— Dehors.
Le fils prend une lampe de poche en disant :— Je vais te montrer.
On sort et il éclaire un coin de terre herbeux en disant :— Fais-la.
Oh putain, ils n'ont pas de w.c. ! Je retrousse ma jupe et je pisse, tandis qu'il éclaire ma chatte.
Quand j'ai fini, il pose la main sur mon épaule en disant :— Reste comme ça.
Il éclaire mon visage puis le bout de son sexe. Mais, j'ai pas envie du tout, moi !! Il me dit sèchement :— Obéis !!
J'ai tellement l'habitude d'être docile que j'ouvre la bouche et il s'enfonce entre mes lèvres en grognant de satisfaction. Il braque toujours sa lampe sur moi, tandis que mon visage va et vient sur son sexe. Il me dit :— J'aime ça, voir une Blanche me sucer la bite.
Mais qu'est-ce qu'ils ont tous avec les Blancs ? Tu le sais, lectrice imaginaire, quand on suce un homme à l'improviste, ce n'est pas toujours agréable. D'autant plus quand c'est un garçon qui vit dans une cabane où il n'y a pas de sanitaires... Tandis que je tiens la base de son sexe de la main droite, je presse ses couilles de la main gauche. Il aime et me le dit :— Oh, putain de Blanche, qu'est-ce que tu suces bien !
Encore quelques allers et retours de ma bouche sur son sexe et il jouit. Là aussi, j’ai l’habitude d’être obligée d’avaler. Il me regarde déglutir son sperme dans le faisceau de sa lampe et il redit :— Oh, putain de putain !
Ça va, j'ai compris... Je me relève et on retourne dans la maison. Ils ont tous bien picolé. Dès que je suis de retour, je dois continuer à servir un alcool du coin qui a l'air hyper fort. Le jeune homme me regarde beaucoup et il me caresse la jambe quand je suis près de lui. Vers minuit, j'ai du mal à me retenir de bâiller. Heureusement, c'est l'heure où les invités s'en vont. Il y a deux petites chambres, une pour les parents, l'autre pour les enfants... Le père amène un vieux matelas dans la pièce qui sert de living. Mouais... Summer et moi, on se couche toutes habillées et je me colle à elle.
***Le lendemain, les parents se lèvent vers 8 h. J'ai heureusement passé une bonne nuit, surtout parce que j'étais contre Summer. Le fils, vient m'embrasser, tandis que sa sœur, continue à me donner des ordres, les parents aussi... Connaissant bien Summer, je vois qu'elle a l'air stressée. Je lui demande :— Il y a un problème ?
— Oui, il va y en avoir un... tu te souviens du 1 % de plus que les bébés Gomez ont obtenu... Monsieur Sam n'a pas aimé du tout. Tu vas voir que...
Elle s'interrompt parce qu'on entend un bruit de moteur. C'est un taxi qui dépose Monsieur Sam. Je vois qu'il est avec quelqu'un. Oh ! C'est Sarah, sa nièce. C'est une vraie garce. Il ne lui a fallu que 24 h pour arriver. Je suppose qu'il a pris un jet jusqu'à Nassau, puis un petit avion jusqu'ici. Summer va le saluer et elle embrasse Sarah. Moi, on m'ignore ou plus exactement, avec mon uniforme, je passe complètement inaperçue. Monsieur Sam, Summer et Sarah vont discuter avec Ruppert dans l'atelier. La mère et Melinda n'ont pas l'air très concernées. Au bout d'une vingtaine de minutes, ils reviennent devant la maison. tout à l'air d'aller... à part quand Monsieur Sam dit :— J'ai quelque chose à mettre au point avec les filles et puis on peut y aller.
— Pas de problème.
Il se tourne vers Summer en disant :— Je sais que tu n'as pas peur de grand-chose, mais me faire chanter, c'est prendre un très gros risque.
— Je n'ai pas fait ça, je...
— Tu te tais et tu écoutes.
On écoute tous, moi pas du tout à l'aise. Monsieur Sam poursuit :— Tu as doublé ce que je voulais te donner, à un moment où je ne pouvais plus changer mes plans. Tu seras punie.
Ouch ! Personne n'ose parler comme ça à Summer. Monsieur Sam continue :— Tu auras tes 2 %, mais... toi et ta copine, vous devrez travailler trois mois pour moi. Après ces fouilles, vous viendrez au nouveau casino et tu seras traitée comme une esclave.
Summer répond :— Merci Monsieur.
Ah, mince ! Elle sera traitée comme une esclave et elle remercie... sans doute parce qu'elle craignait pire. Qu'est-ce qu'il y a de pire qu'être traitée comme une esclave ? Oui, plein de choses. Monsieur Sam se tourne vers le père et lui dit :— On peut y aller.
On monte dans un vieux pick up. Ruppert conduit, Monsieur Sam et Sarah sont à côté de lui.... Summer et moi, on est dans la benne du pick up. Je prends la main de Summer et je caresse sa paume avec mon pouce, ce geste signifiant : « Je t'en prie Summer, explique ». Elle me dit à l'oreille :— Qu'est-ce que tu veux que je te dise... Je l'ai baisé et ça lui fait mal au cul. Esclave pendant deux mois pour 1 % de plusieurs trésors, je prenais le risque.
— Et moi, je serai esclave avec toi ?
— Toutes les chances... mais Monsieur Sam va te garder. Dans deux bons mois, on partira ensemble... Je t'expliquerai.
— Et pour le trésor ou les trésors ?
— Ruppert est le jardinier et l'homme à tout faire d'un riche Blanc, dont la famille est ici là depuis des siècles. Leur fille est leur bonne. Quand ils sont absents, c'est-à-dire neuf mois par an, c'est lui qui s'occupe des chiens, de la maison et du jardin. La propriété est entourée d'un haut mur électrifié. Là où on cherchait, on a aperçu le mur. Les trésors sont juste derrière.
J'ai bu ses paroles et je la regarde avec de grands yeux. Elle ajoute :— Ça te plaît comme histoire, hein ?
— Oh oui ! Par contre la présence de Sarah....
Je ne continue pas, car on est arrivées devant la propriété. Tout autour, il y a le mur électrifié. Le portail s'ouvre puis se referme derrière nous. Deux chiens courent autour de la voiture. Ruppert arrête le pick up et descend. Les chiens lui font une fête. Ils sont grands et impressionnants, je ne connais pas leur marque, je veux dire leur race, peut-être des danois. Il dit aux chiens qu'on est des amis... Oui, ça vaut mieux. On descend tous...
J'admire la maison... très grande, très moderne. Elle est entourée d'une belle végétation tropicale. Plus loin, c'est la forêt et les marais qui recommencent jusqu'à la mer. En contrebas de la maison, il y a une très grande piscine. Ruppert nous dit :— Suivez-moi, c'est à une petite demi-heure. Sarah me montre un grand sac qui est à l'arrière du pick up ainsi qu'un frigo portable en disant :— Toi tu portes ça, il faut que tu serves à quelque chose.
Mais pourquoi moi ? Elle me regarde, alors je réponds :— Oui mademoiselle Sarah.
Toujours aussi garce ! On prend un petit sentier entouré de buissons d'hibiscus et d'autres arbustes à fleurs. Ruppert est devant, suivi par Sarah, Monsieur Sam, Summer, moi et mon gros sac et puis les chiens qui me collent autant que si j'étais une entrecôte sur pattes. En quittant les buissons de fleurs, on entre dans la forêt. Je regarde bien autour de moi, au cas où il y aurait des araignées. Après une marche épuisante, surtout pour moi, on arrive pas loin du haut mur qui clôt la propriété. Ruppert dit :— C'est ici, devant nous.
Je pose enfin le sac et le frigo. Il va dans une zone un peu dégagée entre des arbres en disant :— Les chiens suivaient un animal, ils ont creusé et des monnaies sont apparues.
Sarah me dit :— Donne-moi le sac.
Je vais le mettre à ses pieds.
— Ouvre et sors le détecteur.
Elle est devenue paralysée ? Je lui donne le détecteur, elle l'allume et met des écouteurs. Ensuite, elle le passe au-dessus de la zone que Ruppert a indiquée en faisant des mouvements de va-et-vient très près du sol. Elle s'arrête et nous regarde en disant :— Ça sonne partout !
Elle prend une pelle pliable dans le sac et me dit :— Creuse.
Heureusement, le sol est sableux, donc assez meuble. Je creuse environ un mètre et je cogne quelque chose. Je dégage un peu et je vois apparaître des débris de bois et l'éclat doré des monnaies. Ils viennent tous voir. Grand sourire de Monsieur Sam, qui dit à Ruppert :— On commence demain si ça vous convient.
— Tout à fait. Puis il me dit :— Rebouche le trou...
Pendant que je remets de la terre dans la cavité, Summer sort des bouteilles de champagne du frigo en disant :— On va arroser ça. C'est pour ça que c'était si lourd : il y a plusieurs bouteilles de champagne. Elle l'ouvre et remplit des gobelets en plastique. Je demande à Monsieur Sam :— Je peux en avoir, Monsieur ? J'ai très soif...
— Oui.
Ouf ! Comme eux, je bois plusieurs verres... On est tous euphoriques.
À suivre.
Dans le courant de l'après-midi, des clients viennent chercher des pièces détachées de voitures et des objets divers. Le père va prendre ça dans une sorte de hangar bricolé. Ils sont tous Noirs et très intéressés par la servante blanche. Quelques amis viennent boire une bière. Ils mangent peu mais boivent beaucoup. Les parents et les enfants ont tout de suite retenu mon nom, les amis aussi. Sans arrêt, j'entends "Ashley, va chercher..." à boire ou même, la fille me dit : — Ashley, passe-moi ma bière.
Alors qu'elle n'a qu'à tendre le bras pour la prendre ! Je suis leur nouveau jouet.
***Le soir, ils sont plusieurs à manger ici. Tous, ils me demandent quelque chose et ils sont ravis quand je leur fais une révérence. Il faut dire que les épouses et les filles travaillent comme bonnes chez des riches propriétaires blancs. Quant aux hommes, ceux qui travaillent, c'est souvent dans leurs plantations. À la fin du repas, je reçois les restes... Ils ont une grosse revanche à prendre et, manque de pot, ça tombe sur moi. Quand j'ai fini, je demande à la fille :— Vous pourriez me dire où je peux faire pipi, Mademoiselle ?
— Dehors.
Le fils prend une lampe de poche en disant :— Je vais te montrer.
On sort et il éclaire un coin de terre herbeux en disant :— Fais-la.
Oh putain, ils n'ont pas de w.c. ! Je retrousse ma jupe et je pisse, tandis qu'il éclaire ma chatte.
Quand j'ai fini, il pose la main sur mon épaule en disant :— Reste comme ça.
Il éclaire mon visage puis le bout de son sexe. Mais, j'ai pas envie du tout, moi !! Il me dit sèchement :— Obéis !!
J'ai tellement l'habitude d'être docile que j'ouvre la bouche et il s'enfonce entre mes lèvres en grognant de satisfaction. Il braque toujours sa lampe sur moi, tandis que mon visage va et vient sur son sexe. Il me dit :— J'aime ça, voir une Blanche me sucer la bite.
Mais qu'est-ce qu'ils ont tous avec les Blancs ? Tu le sais, lectrice imaginaire, quand on suce un homme à l'improviste, ce n'est pas toujours agréable. D'autant plus quand c'est un garçon qui vit dans une cabane où il n'y a pas de sanitaires... Tandis que je tiens la base de son sexe de la main droite, je presse ses couilles de la main gauche. Il aime et me le dit :— Oh, putain de Blanche, qu'est-ce que tu suces bien !
Encore quelques allers et retours de ma bouche sur son sexe et il jouit. Là aussi, j’ai l’habitude d’être obligée d’avaler. Il me regarde déglutir son sperme dans le faisceau de sa lampe et il redit :— Oh, putain de putain !
Ça va, j'ai compris... Je me relève et on retourne dans la maison. Ils ont tous bien picolé. Dès que je suis de retour, je dois continuer à servir un alcool du coin qui a l'air hyper fort. Le jeune homme me regarde beaucoup et il me caresse la jambe quand je suis près de lui. Vers minuit, j'ai du mal à me retenir de bâiller. Heureusement, c'est l'heure où les invités s'en vont. Il y a deux petites chambres, une pour les parents, l'autre pour les enfants... Le père amène un vieux matelas dans la pièce qui sert de living. Mouais... Summer et moi, on se couche toutes habillées et je me colle à elle.
***Le lendemain, les parents se lèvent vers 8 h. J'ai heureusement passé une bonne nuit, surtout parce que j'étais contre Summer. Le fils, vient m'embrasser, tandis que sa sœur, continue à me donner des ordres, les parents aussi... Connaissant bien Summer, je vois qu'elle a l'air stressée. Je lui demande :— Il y a un problème ?
— Oui, il va y en avoir un... tu te souviens du 1 % de plus que les bébés Gomez ont obtenu... Monsieur Sam n'a pas aimé du tout. Tu vas voir que...
Elle s'interrompt parce qu'on entend un bruit de moteur. C'est un taxi qui dépose Monsieur Sam. Je vois qu'il est avec quelqu'un. Oh ! C'est Sarah, sa nièce. C'est une vraie garce. Il ne lui a fallu que 24 h pour arriver. Je suppose qu'il a pris un jet jusqu'à Nassau, puis un petit avion jusqu'ici. Summer va le saluer et elle embrasse Sarah. Moi, on m'ignore ou plus exactement, avec mon uniforme, je passe complètement inaperçue. Monsieur Sam, Summer et Sarah vont discuter avec Ruppert dans l'atelier. La mère et Melinda n'ont pas l'air très concernées. Au bout d'une vingtaine de minutes, ils reviennent devant la maison. tout à l'air d'aller... à part quand Monsieur Sam dit :— J'ai quelque chose à mettre au point avec les filles et puis on peut y aller.
— Pas de problème.
Il se tourne vers Summer en disant :— Je sais que tu n'as pas peur de grand-chose, mais me faire chanter, c'est prendre un très gros risque.
— Je n'ai pas fait ça, je...
— Tu te tais et tu écoutes.
On écoute tous, moi pas du tout à l'aise. Monsieur Sam poursuit :— Tu as doublé ce que je voulais te donner, à un moment où je ne pouvais plus changer mes plans. Tu seras punie.
Ouch ! Personne n'ose parler comme ça à Summer. Monsieur Sam continue :— Tu auras tes 2 %, mais... toi et ta copine, vous devrez travailler trois mois pour moi. Après ces fouilles, vous viendrez au nouveau casino et tu seras traitée comme une esclave.
Summer répond :— Merci Monsieur.
Ah, mince ! Elle sera traitée comme une esclave et elle remercie... sans doute parce qu'elle craignait pire. Qu'est-ce qu'il y a de pire qu'être traitée comme une esclave ? Oui, plein de choses. Monsieur Sam se tourne vers le père et lui dit :— On peut y aller.
On monte dans un vieux pick up. Ruppert conduit, Monsieur Sam et Sarah sont à côté de lui.... Summer et moi, on est dans la benne du pick up. Je prends la main de Summer et je caresse sa paume avec mon pouce, ce geste signifiant : « Je t'en prie Summer, explique ». Elle me dit à l'oreille :— Qu'est-ce que tu veux que je te dise... Je l'ai baisé et ça lui fait mal au cul. Esclave pendant deux mois pour 1 % de plusieurs trésors, je prenais le risque.
— Et moi, je serai esclave avec toi ?
— Toutes les chances... mais Monsieur Sam va te garder. Dans deux bons mois, on partira ensemble... Je t'expliquerai.
— Et pour le trésor ou les trésors ?
— Ruppert est le jardinier et l'homme à tout faire d'un riche Blanc, dont la famille est ici là depuis des siècles. Leur fille est leur bonne. Quand ils sont absents, c'est-à-dire neuf mois par an, c'est lui qui s'occupe des chiens, de la maison et du jardin. La propriété est entourée d'un haut mur électrifié. Là où on cherchait, on a aperçu le mur. Les trésors sont juste derrière.
J'ai bu ses paroles et je la regarde avec de grands yeux. Elle ajoute :— Ça te plaît comme histoire, hein ?
— Oh oui ! Par contre la présence de Sarah....
Je ne continue pas, car on est arrivées devant la propriété. Tout autour, il y a le mur électrifié. Le portail s'ouvre puis se referme derrière nous. Deux chiens courent autour de la voiture. Ruppert arrête le pick up et descend. Les chiens lui font une fête. Ils sont grands et impressionnants, je ne connais pas leur marque, je veux dire leur race, peut-être des danois. Il dit aux chiens qu'on est des amis... Oui, ça vaut mieux. On descend tous...
J'admire la maison... très grande, très moderne. Elle est entourée d'une belle végétation tropicale. Plus loin, c'est la forêt et les marais qui recommencent jusqu'à la mer. En contrebas de la maison, il y a une très grande piscine. Ruppert nous dit :— Suivez-moi, c'est à une petite demi-heure. Sarah me montre un grand sac qui est à l'arrière du pick up ainsi qu'un frigo portable en disant :— Toi tu portes ça, il faut que tu serves à quelque chose.
Mais pourquoi moi ? Elle me regarde, alors je réponds :— Oui mademoiselle Sarah.
Toujours aussi garce ! On prend un petit sentier entouré de buissons d'hibiscus et d'autres arbustes à fleurs. Ruppert est devant, suivi par Sarah, Monsieur Sam, Summer, moi et mon gros sac et puis les chiens qui me collent autant que si j'étais une entrecôte sur pattes. En quittant les buissons de fleurs, on entre dans la forêt. Je regarde bien autour de moi, au cas où il y aurait des araignées. Après une marche épuisante, surtout pour moi, on arrive pas loin du haut mur qui clôt la propriété. Ruppert dit :— C'est ici, devant nous.
Je pose enfin le sac et le frigo. Il va dans une zone un peu dégagée entre des arbres en disant :— Les chiens suivaient un animal, ils ont creusé et des monnaies sont apparues.
Sarah me dit :— Donne-moi le sac.
Je vais le mettre à ses pieds.
— Ouvre et sors le détecteur.
Elle est devenue paralysée ? Je lui donne le détecteur, elle l'allume et met des écouteurs. Ensuite, elle le passe au-dessus de la zone que Ruppert a indiquée en faisant des mouvements de va-et-vient très près du sol. Elle s'arrête et nous regarde en disant :— Ça sonne partout !
Elle prend une pelle pliable dans le sac et me dit :— Creuse.
Heureusement, le sol est sableux, donc assez meuble. Je creuse environ un mètre et je cogne quelque chose. Je dégage un peu et je vois apparaître des débris de bois et l'éclat doré des monnaies. Ils viennent tous voir. Grand sourire de Monsieur Sam, qui dit à Ruppert :— On commence demain si ça vous convient.
— Tout à fait. Puis il me dit :— Rebouche le trou...
Pendant que je remets de la terre dans la cavité, Summer sort des bouteilles de champagne du frigo en disant :— On va arroser ça. C'est pour ça que c'était si lourd : il y a plusieurs bouteilles de champagne. Elle l'ouvre et remplit des gobelets en plastique. Je demande à Monsieur Sam :— Je peux en avoir, Monsieur ? J'ai très soif...
— Oui.
Ouf ! Comme eux, je bois plusieurs verres... On est tous euphoriques.
À suivre.
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