Ashley - 61 Gober des soleils bleus.

- Par l'auteur HDS Mia-michael -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ashley - 61 Gober des soleils bleus. Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 61 Gober des soleils bleus.
Chers lectrices et lecteurs "imaginaires", vous savez comme j'ai peur de tout, comme je manque de courage, comme je crains la douleur... Et pourtant, je réponds à Madame Stone :— Punissez-moi, Madame.
Vous pensez peut-être « C'est Summer qui doit être fouettée, on sait déjà qui Madame Stone va choisir ». Et qu'est-ce qui l’empêche de nous fouetter toutes les deux ? Sans faire attention à ma réponse, Madame Stone sourit – ça fait toujours peur – puis elle dit :— Summer, tu as joué avec le feu... Mais bon, je ne vais pas te fouetter moi-même.
Elle se masse l'épaule droite en grimaçant, puis s’explique :— J'ai une tendinite.
Bien fait ! Mais je n'en crois rien, elle craint de fouetter Summer elle-même, c'est tout. Madame Stone s'adresse ensuite à la Première Fille :— Gloria, donne-lui dix coups de fouet.
— Oui Madame.
Cette fille va décrocher le fouet à trois lanières qui pend à un clou et elle dit à Summer :— Mets-toi en position.
Summer se met à quatre pattes, puis place son front sur ses mains posées par terre. Elle a un trop beau cul... La Première Fille lève le fouet et l'abat sur ses fesses... Rapidement, trois bandes rouges viennent les embellir encore plus. Et pourtant, je jure que ça me fait mal. La fille recommence, deux fois, trois fois... Summer gémit, mais je crois que c'est une réaction de "complaisance". Dix fois, le fouet lui mord les fesses. Quand c'est fini, Madame Stone lui dit :— Tu peux te relever.
Elle n’ose pas lui dire « Remercie et va te mettre à genoux dans un coin ». Tout le monde a peur de Summer, même Madame Stone... Même Monsieur Sam ! Enfin, peut-être.
Madame Stone appelle les filles pour leur donner des corvées : nettoyage, lessive, faire les chambres, serveuses... Les filles vont mettre l'uniforme qui correspond à ce qu'elles ont à faire. Ces tenues sont lavées une fois par semaine. Normal que des esclaves sentent leurs transpirations et celles des autres. Summer doit faire des chambres. Elle met un uniforme et part avec les autres filles. Et moi, je reste là... Il y a les filles de cuisine et tout le personnel qui préparent les repas. Madame Stone claque des doigts pour que je lève les yeux et elle désigne ses jambes. Ouf ! Ce n'est pas le fouet, mais la lécher. Un moindre mal... Je m'insinue entre ses grosses cuisses. Elle lève une jambe et pose le pied sur un tabouret. Je reconnais tout, même dans la pénombre : les longs poils roux filasse, l'odeur de ménagerie négligée, les grandes lèvres qui ressemblent à un immense papillon dégoûtant et puis le clito de la taille d’une petite bite. Je sais ce qu'elle veut : de la passion ! J'ai eu mal pour Summer, je le jure, mais ne pas être fouettée m’a également soulagée. Elle veut de la passion ? OK, j'embrasse, je lèche et je suce sa grosse chatte très fatiguée... Je ne vais pas tout décrire, je l'ai déjà fait et puis je sais que ma lectrice imaginaire n'aime pas beaucoup ça. Elle jouit enfin... Ouf ! Elle me dit :— Mets-toi à genoux.
Je me mets dans la position qu'elle souhaite.   Elle se tourne un peu vers moi pour dire :— Raconte-moi ce qui s'est passé à partir du moment où le couple t'a enlevée.
Mais... euh... je ne sais pas ce que je peux lui dire. Elle ajoute :— Va chercher le fouet.
Je vais le prendre et elle me dit :— Chaque mensonge par omission, cinq coups de fouet.
— Mais... si je me souviens pas....
— Commence.
Alors, je raconte tout... Qu'est-ce que je peux faire d’autre ? Je suis une esclave, je dois obéir, d'autant plus que j'ai le fouet dans les mains et les lanières sont encore chaudes des fesses de Summer... C'est une image. Quand j'ai tout raconté, elle ne fait aucun autre commentaire, elle me dit juste :— Lave-toi le visage, tu sens la chatte.
Étonnant ! Je vais me débarbouiller, puis elle me montre une armoire du doigt en disant :— Mets l'uniforme qui est là.
C'est une tenue de femme de chambre, mais sexy, jupe courte, décolleté. Quand je suis habillée, elle me dit :— Va à la réception, on t'indiquera de quelles chambres tu dois t’occuper.
— Oui Madame. Je peux y aller ?
Geste de la main... Je descends pour me mettre aux ordres du réceptionniste. Il y a plusieurs filles qui attendent comme moi. Elles sont jolies, mais c'est moi qu'on demande. Je comprends vite pourquoi : ils savent que je suis l'ex Première Dame. Les informations circulent vite. De la même façon, tout le monde sait bientôt que Summer est ici provisoirement et qu'elle est dangereuse. Même les clients n'osent pas la demander.
Trois jours après notre arrivée, on se retrouve nues avec les autres esclaves dans la cuisine, le QG de Madame Stone. Elle donne des corvées à faire à toutes les filles. Quand il ne reste plus que nous deux, elle dit à Summer :— Tu fais peur à tout le monde. Monsieur Sam veut que tu ailles t'occuper de la sécurité du Slave Paradise.
Summer l'avait dit ! Yess ! Et moi ? Je m'accroche au bras de Summer Madame  Stone le voit et me dit :— Mais oui ma petite fille, tu peux l’accompagner.
Elles rient toutes les deux... M'en fous, du moment qu'on part d'ici. Summer et Madame Stone s'embrassent !! On va chez la Première Fille, qui nous enlève nos colliers et nous rend nos vêtements. On quitte l'hôtel, tout le monde a l'air soulagé du départ de Summer...
***Je devrais également être soulagée de partir de là, mais j'ai appris à me méfier des coups de putes que me joue souvent un destin vicelard. Pour parler plus élégamment, je me dis « Et maintenant, qu'est-ce qui va m'arriver ? »Summer va rejoindre l'équipe de sécurité du « Slave Paradise », il faut dire que ça lui convient beaucoup mieux. Je retrouve l'endroit qui me rappelle l'époque où j'étais célèbre... De l'eau et des douleurs sont passées sous les ponts.
Summer doit partir pour une mission confiée par Monsieur Sam. Avant de partir jusqu'au lendemain, elle me dit : — Tu dois être occupée à quelque chose, sinon tu vas faire des conneries et puis, tu es à moi, il faut que tu gagnes de l'argent pour ta maîtresse. Tu veux être barmaid ou faire du pole dance ou même chanter dans le bar ? Réfléchis.
— Oui, je te dirai quoi demain.
Elle m'embrasse et s'en va. Je vais réfléchir, mais en m'amusant... La suite de cette journée, je n'en suis pas fière. Je commence par aller dans le bar de l'hôtel, j'ai envie de boire quelque chose de fort... Le problème, c'est que je n'ai pas d'argent, alors je vais sur la plage. Si rien n'a changé, l’endroit est privé, donc j'enlève ma robe... Ça fait du bien d'être nue au soleil. Je vais me baigner. Des jeunes gens m'ont repérée et ils viennent me parler. Ils m'offrent des bières... on flirte... on mange... C'est la suite qui dérape. J'ai des flashs : je me vois sucer quelques queues, mais comme je suis toujours une esclave, c'est normal. Par moment, je pense à Summer et je me dis « Elle ne va pas être contente ». Et, puis un garçon me propose des pilules en forme de soleil, mais bleues... c'est beau. J'en prends trois et je les avale avec une gorgée de bière. Je pense « Je vais planer... » mais au lieu de ça, j'ai l'impression de tomber, et puis c'est le noir complet.
Je me réveille dans une pièce inconnue... Oh ! On dirait une chambre d'hôpital... Oui, c'est ça... À côté de moi, il y a d'autres lits avec des gens couchés, dont certains gémissent. J'ai une terrible gueule de bois... Je déteste les hôpitaux, il faut que je parte d'ici et je ne veux surtout pas que Summer apprenne ce que j'ai fait. Je me lève péniblement, en me tenant aux montants des autres lits pour parvenir jusqu’à la porte...
Plusieurs personnes me disent : « Tu devrais rester dans ton lit ».
Là, je me rends compte que j'ai un de ces stupides vêtements complètement ouverts derrière. Tant pis, je vais quand même dans le couloir.
Un infirmier arrive et m'engueule ;— Vous êtes indécente, Mademoiselle, il y a des jeunes ici !
J'en peux rien, moi, s'il y a des jeunes... Ils ne vont pas mourir d'avoir vu une paire de fesses !  Il ajoute :— Tu ne serais pas l'esclave de Summer, toi ?
— Oui, mais...
Il m'attrape par l'oreille pour m'obliger à me pencher en avant, en me faisant crier. Là, on voit vraiment mes fesses, connard ! Il me ramène dans la chambre et me remet au lit en m’annonçant :— Je dirai à Summer de te punir !
Puis il m'attache les poignets aux barreaux du lit avec des liens en plastique. Du lit d’à côté, une gosse femme me dit :— Tu vois ce qui arrive quand on veut faire sa maligne.
Une autre ajoute :— Et c'est une esclave en plus ! Qu'est-ce qu'elle vient faire ici ?
Enfin, un homme y va de son commentaire :— Très joli cul en tout cas.
Je ferme les yeux. Qu'est-ce que j'ai fait !!! Un garde du "Slave Paradise" arrive. Je le connais de vue. Il est avec un infirmier qui détache mes liens. Le garde me dit :— Habille-toi.
Je vais derrière un paravent pour remettre mes vêtements. On sort de la chambre et je dis au garde :— On m'a donné des pilules qui...
Il m'interrompt :— Tu expliqueras ça à Summer.
Encore un sale con ! Au Slave Paradise, on va dans un hangar. Dans une grande cage, il y a des esclaves qui vont être vendues. Le garde me dit :— Déshabille-toi, tu vas pouvoir réfléchir à la punition qui t'attend.
Quand je suis nue, il m'enferme avec les esclaves. Ma punition commence ! Dès qu'on est seules, les filles m'interrogent. Je leur sers l'histoire qu'elles ont envie d'entendre : je me suis enfuie et j'ai peur de ce qui va m'arriver. Elles ont l'air d'accord, ça va chauffer pour mes fesses. D'autres filles racontent leur histoire, vraie ou fausse. Je suis faible, j'ai mal à la tête et surtout j'ai une méga trouille... Je somnole peu ou je m'endors, quand j'entends la voix de Summer dire :— Tu es fière de toi ?
— Pardon, je...
— Combien de coups de fouet ?
— ... Dix, Maîtresse.
— D'accord.
Le garde qui est avec elle ouvre la cage. Je vais me mettre à genoux devant elle en disant ;— Je ne pouvais pas savoir que...
— En position !

À suivre.
 

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