Ashley - 70 Les fouilles.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 70 Les fouilles.
On doit toutes se mettre à quatre pattes, côte à côte sur deux rangées, nos fesses se faisant face. C'est spécial et inquiétant. Qu'est-ce qu'elle va nous faire ? Madame Stone, Nouzha et les deux étudiants se promènent entre nous, en envoyant des coups de fouet sur un cul puis sur un autre... négligemment. Madame Stone continue son discours qui se résume à « vous aurez la vie dure tant que vous n'aurez pas trouvé les fossiles ». Je pousse un cri, puis une autre fille crie... et ça dure, jusqu'à ce qu'elles se lassent de ce jeu cruel.
Madame Stone nous dit :— On va faire quatre équipes. Nouzha, choisis sept filles.
Elle nous désigne, Radia et moi, puis cinq autres filles. Les trois étudiants choisissent aussi. Toutes les filles reçoivent un pantalon, un sac à dos avec de l'eau et de quoi manger. Pour communiquer, on a le cadran sur notre bracelet. Ça ne me dérange pas d'être nue mais là, je suis contente d'avoir un pantalon, même rouge, à cause des buissons et des épines. Nouzha nous dit :— Le terrain qui appartient à Mademoiselle Summer est délimité par un fil de plastique rouge. Si vous dépassez cette limite, vous aurez une décharge électrique dans votre collier. Vous devrez faire demi-tour pour que ça s'arrête.
Elle indique aussi où chaque équipe doit fouiller. On a même le plan sur l'écran du bracelet. On part en équipe de deux.
On a vu des documentaires sur les fossiles qui ont été trouvés et sur la couleur des ossements. On cherche vraiment. On trouve des pierres qui ont un peu la forme des fossiles, des outils indiens et même deux pointes de flèches. On s'assied juste pour manger. Le reste du temps, on cherche. Le soir, quand la lumière décline, notre bracelet nous dit "rentrez". Ouf ! C'est pas de refus.
Au camp, on mange bien : de la viande, des légumes, des fruits. Ils veulent qu'on soit en forme ! Ensuite on a droit à des nouveaux documentaires et à neuf heures du soir, Nouzha dit :— Au lit !
À neuf heures ?! On regagne les tentes. Bien sûr, on est fatiguées, mais neuf heures, c'est tôt. Les lits sont des matelas posés sur une grande toile. Radia et moi, on partage le même matelas, deux autres filles font la même chose. On s'embrasse, puis une chose en entraînant une autre, on se lèche malgré la fatigue, on jouit, avant de s'endormir enlacées...
***Le lendemain matin, on va déjeuner, stressées à l'idée du fouet. Quand on a mangé, on ne doit pas se mettre à quatre pattes, heureusement, mais debout sur deux rangées. Nouzha nous sermonne :— Plusieurs filles se sont caressées ou se sont léchées. Comme vous devez mettre toute votre énergie à trouver ces fossiles, Mademoiselle Summer a décidé de vous équiper de ce petit gadget.
Elle nous montre... une ceinture de chasteté ! Bien sûr, ce n'est plus comme au temps des croisades, mais c'est quand même du métal et du plastique.
Nouzha commence par sa sœur, puis moi, puis les autres. Elle l'ajuste bien, vérifie que les petites ouvertures sont bien devant le méat urinaire et l'anus. Ma chatte est en prison : au secours !! Les autres chefs équipent leurs filles. Quand on a toutes ce gadget qui colle à nos parties intimes, on entend "clic" et Nouzha nous dit :— Voilà, vous êtes bouclées ! Seule mademoiselle Summer pourra vous libérer... Vous vous rendez compte que ce n'est que le début des mesures pour que vous vous donniez à 200 %. Les autres façons de vous stimuler seront beaucoup moins amusantes, croyez-moi....
Elle réfléchit et ajoute :— En chasse, sauf Radia et Ash, vous venez avec moi.
Qu'est ce qu'on a fait ?? On la suit dans sa tente. Elle enlève son jean et son tee-shirt et nous dit :— Vous avez quelques minutes pour me faire jouir.... Radia la chatte, Ash les seins...
Et ça, c'est pas perdre du temps et de l'énergie ? Radia connaît bien sa sœur. Elle se glisse entre ses cuisses et sa bouche vient se coller à chatte de Nouzha. Celle-ci a replié son bras au-dessus de sa tête, j'embrasse le buisson de poils de son aisselle, puis je me jette sur ses seins comme un bébé Gomez affamé... J'ai l'impression que Radia lèche sa sœur par plaisir. Après cinq minutes, elle nous dit :— Changez maintenant !
Radia vient vite lui sucer les seins tandis que je me glisse entre ses cuisses. Oh ! c'est la mousson, là. Je suce son clito, puis fais virevolter ma langue autour de lui. Elle me caresse le dos de son pied nu.... Nouzha parle comme si on était attablé à une terrasse et pas comme si deux esclaves la léchaient. Elle nous dit :— Je vais vous donner un petit plan, où vous aurez le plus de chance de trouver les fossiles. Si vous les découvrez, vous serez récompensées et moi aussi... Ooooh, toi, petite cochonne, tu lèches aussi bien que ma sœur.... Aaaaaah....
Ah ! Quand même... Bientôt, elle jouit. Je la lèche encore un peu, jusqu'au moment où elle dit :— OK, bougez.
On se relève. Nouzha est belle et ça m'a plu de la lécher... Heureusement que la ceinture de chasteté est en acier et plastique, ça ne rouille pas. Mais je ne peux quand même pas imaginer qu'on va rester longtemps comme ça.
***Les chattes en cage, ça va durer trois semaines ! Une éternité. Le régime répressif s'intensifie : fouet, menaces, privation de nourriture et puis obligation de manger de grandes quantités. Il y a pire que le fouet : 30 minutes à genoux, les bras levés et bien droits !
Ce matin, on part vers la montagne, Radia et moi. On va examiner le flan d'une colline où personne n'a fouillé. On sort des débris divers d'une argile verte, mais rien qui ressemble à un os. Et puis soudain, on entend :— Vous cherchez quoi, les filles ?
On fait un bond et on se retourne. Il y a un Indien dans l'ombre de la végétation. On ne l'avait absolument pas entendu venir. Il est vêtu d'un jean et d'un tee-shirt, mais c'est bien un Indien. Je réponds :— Vous nous avez fait peur, on ne vous avait pas entendu. Vous venez du village ?
— Non, je ne suis pas un Navajo, mais un Hopi.
Je ne sais pas si on peut lui dire ce qu'on cherche. Je regarde Radia, genre "On lui dit ?"... Et puis merde, s'il y a une minuscule chance qu'il puisse nous renseigner... Je réponds :— Des ossements, des fossiles.
— Des fossiles de dinosaures ?
— Oui !
— Comme ça ?
Il sort de sa poche une dent, identique à celles des dinos qu'on cherche. Oh putain, c'est ça ! J'en mouille ma ceinture de chasteté ! Je lui demande :— Ouiii ! Vous pouvez nous montrer où vous l'avez trouvée ?
— Vous voyez, j'ai un problème. Ma femme m'a quitté pour un Texan et je respecte les filles et les femmes de ma tribu.
Je lui dis :— Si on peut vous aider...
— Oui, j'aimerais jouer avec deux petites Blanches, même si les fesses de l'une d'elles doivent être un peu colorées.
Là, il parle de Radia. Je réponds :— Si on fait ce que vous voulez, vous nous montrez ?
Avant qu'il réponde, je tiens à lui montrer nos... appâts. Je relève mon tee-shirt et lui montre mes seins, je les caresse... Il regarde Radia, qui fait la même chose. Là, il est convaincu. Il lève la main paume tournée vers nous :— On joue, puis je vous montrerai.
Je baisse mon pantalon et je lui dis :— On nous a mis ça afin qu'on garde toute notre énergie pour chercher les fossiles, mais je vais demander qu'on nous libère.
Je compose le numéro de Summer sur mon bracelet. Elle répond tout de suite :— Quoi ?
— Summer, c'est très important. On est ici avec un Indien Hopi, je crois que c'est un... charman...
— Un shaman, sotte !
— Oui, c'est ça. Il sait où se trouve le gisement, il nous a montré une dent, c'est exactement la même que sur les photos. Si on est... euh... gentille avec lui... il nous montre le gisement. J'y crois vraiment, je...
Et là, on entend "clic" et nos deux ceintures s'ouvrent. On les enlève. Libres... enfin ! Nos chattes respirent à pleins poumons... C'est une image ! L'Indien enlève son jean et son tee-shirt. Son visage est marqué, mais il est mince et musclé.
Je me colle à lui et je fais signe à Radia de faire la même chose dans son dos. Il est coincé entre quatre seins. Il me caresse les fesses et je sens son sexe contre mon ventre. Il m'embrasse... Je lui dis :— Si vous voulez bien vous coucher.
Il s'allonge et je dis à Radia :— Suce-le.
C'est super d'avoir une équipière obéissante. Elle s'assied à côté de lui et prends son sexe en main, puis elle dégage le gland et le met en bouche. C'est ce que je voulais : que Radia le nettoie avec sa langue, avant de participer moi-même. Je m'assieds de l'autre côté et on le lèche à deux comme deux gamines... de 18 ans, qui partagent un cornet avec une grosse boule de glace.
Il est assez stoïque, oui, c'est un cha... shaman ! Il apprécie notre façon de lécher sa bite et il nous caresse. Là, on entend un bruit de moteur : une jeep arrive à toute allure. Sumer m'a localisée grâce à mon bracelet. Elle monte la petite pente et arrive où nous sommes. Elle parle en navajo à l'Indien qui lui répond dans la même langue. Ensuite elle nous dit :— Bougez-vous.
Elle se déshabille et, une fois nue, elle se met au-dessus de I'Indien, un pied de chaque côté de ses hanches, puis elle s'assied complètement sur son sexe. Je ne sais pas si elle est excitée à l'idée du gisement ou si c'est nos salives qui ont bien lubrifié le sexe de l'Indien... Les deux sans doute. Ses belles fesses vont et viennent sur le sexe du mâle. Elle se penche sur lui, colle ses seins sur son torse et l'embrasse sur la bouche. L'Indien lui empoigne les fesses... Je sais que Summer parvient bien à contracter son vagin, je l'ai déjà vu envoyer un homme au 7e ciel à toute vitesse. Cependant, cet Hopi est un dur à cuire. Il lui dit quelque chose en navajo et Summer nous traduit :— Une fille lui lèche les couilles, l'autre s'assied sur son visage.
Je désigne les couilles de l'Indien à Radia et elle rampe aussitôt pour les lécher. J'adore avoir une esclave. Moi, je vais m'asseoir sur le visage, son nez entre mes fesses et sa bouche contre ma chatte. Ça fait trois semaines qu'on a pas joui et l'ensemble que nous formons est tellement excitant... Summer s'est redressée pour me faire de la place et je caresse ses seins tout en l'embrassant. C'est trop bon... d'autant que je pense à Radia occupée de lécher des couilles tandis que les fesses de Summer la heurtent à chaque coup de reins. Pauvre !! Je rigole, j'adore l'idée... Trop ! Je jouis sous la langue de l'Indien. Summer lui parle de nouveau en navajo. J'imagine qu'elle lui dit :— Attention mon frère, "biche odorante" va t'envoyer au 7ème ciel.
À suivre.
Madame Stone nous dit :— On va faire quatre équipes. Nouzha, choisis sept filles.
Elle nous désigne, Radia et moi, puis cinq autres filles. Les trois étudiants choisissent aussi. Toutes les filles reçoivent un pantalon, un sac à dos avec de l'eau et de quoi manger. Pour communiquer, on a le cadran sur notre bracelet. Ça ne me dérange pas d'être nue mais là, je suis contente d'avoir un pantalon, même rouge, à cause des buissons et des épines. Nouzha nous dit :— Le terrain qui appartient à Mademoiselle Summer est délimité par un fil de plastique rouge. Si vous dépassez cette limite, vous aurez une décharge électrique dans votre collier. Vous devrez faire demi-tour pour que ça s'arrête.
Elle indique aussi où chaque équipe doit fouiller. On a même le plan sur l'écran du bracelet. On part en équipe de deux.
On a vu des documentaires sur les fossiles qui ont été trouvés et sur la couleur des ossements. On cherche vraiment. On trouve des pierres qui ont un peu la forme des fossiles, des outils indiens et même deux pointes de flèches. On s'assied juste pour manger. Le reste du temps, on cherche. Le soir, quand la lumière décline, notre bracelet nous dit "rentrez". Ouf ! C'est pas de refus.
Au camp, on mange bien : de la viande, des légumes, des fruits. Ils veulent qu'on soit en forme ! Ensuite on a droit à des nouveaux documentaires et à neuf heures du soir, Nouzha dit :— Au lit !
À neuf heures ?! On regagne les tentes. Bien sûr, on est fatiguées, mais neuf heures, c'est tôt. Les lits sont des matelas posés sur une grande toile. Radia et moi, on partage le même matelas, deux autres filles font la même chose. On s'embrasse, puis une chose en entraînant une autre, on se lèche malgré la fatigue, on jouit, avant de s'endormir enlacées...
***Le lendemain matin, on va déjeuner, stressées à l'idée du fouet. Quand on a mangé, on ne doit pas se mettre à quatre pattes, heureusement, mais debout sur deux rangées. Nouzha nous sermonne :— Plusieurs filles se sont caressées ou se sont léchées. Comme vous devez mettre toute votre énergie à trouver ces fossiles, Mademoiselle Summer a décidé de vous équiper de ce petit gadget.
Elle nous montre... une ceinture de chasteté ! Bien sûr, ce n'est plus comme au temps des croisades, mais c'est quand même du métal et du plastique.
Nouzha commence par sa sœur, puis moi, puis les autres. Elle l'ajuste bien, vérifie que les petites ouvertures sont bien devant le méat urinaire et l'anus. Ma chatte est en prison : au secours !! Les autres chefs équipent leurs filles. Quand on a toutes ce gadget qui colle à nos parties intimes, on entend "clic" et Nouzha nous dit :— Voilà, vous êtes bouclées ! Seule mademoiselle Summer pourra vous libérer... Vous vous rendez compte que ce n'est que le début des mesures pour que vous vous donniez à 200 %. Les autres façons de vous stimuler seront beaucoup moins amusantes, croyez-moi....
Elle réfléchit et ajoute :— En chasse, sauf Radia et Ash, vous venez avec moi.
Qu'est ce qu'on a fait ?? On la suit dans sa tente. Elle enlève son jean et son tee-shirt et nous dit :— Vous avez quelques minutes pour me faire jouir.... Radia la chatte, Ash les seins...
Et ça, c'est pas perdre du temps et de l'énergie ? Radia connaît bien sa sœur. Elle se glisse entre ses cuisses et sa bouche vient se coller à chatte de Nouzha. Celle-ci a replié son bras au-dessus de sa tête, j'embrasse le buisson de poils de son aisselle, puis je me jette sur ses seins comme un bébé Gomez affamé... J'ai l'impression que Radia lèche sa sœur par plaisir. Après cinq minutes, elle nous dit :— Changez maintenant !
Radia vient vite lui sucer les seins tandis que je me glisse entre ses cuisses. Oh ! c'est la mousson, là. Je suce son clito, puis fais virevolter ma langue autour de lui. Elle me caresse le dos de son pied nu.... Nouzha parle comme si on était attablé à une terrasse et pas comme si deux esclaves la léchaient. Elle nous dit :— Je vais vous donner un petit plan, où vous aurez le plus de chance de trouver les fossiles. Si vous les découvrez, vous serez récompensées et moi aussi... Ooooh, toi, petite cochonne, tu lèches aussi bien que ma sœur.... Aaaaaah....
Ah ! Quand même... Bientôt, elle jouit. Je la lèche encore un peu, jusqu'au moment où elle dit :— OK, bougez.
On se relève. Nouzha est belle et ça m'a plu de la lécher... Heureusement que la ceinture de chasteté est en acier et plastique, ça ne rouille pas. Mais je ne peux quand même pas imaginer qu'on va rester longtemps comme ça.
***Les chattes en cage, ça va durer trois semaines ! Une éternité. Le régime répressif s'intensifie : fouet, menaces, privation de nourriture et puis obligation de manger de grandes quantités. Il y a pire que le fouet : 30 minutes à genoux, les bras levés et bien droits !
Ce matin, on part vers la montagne, Radia et moi. On va examiner le flan d'une colline où personne n'a fouillé. On sort des débris divers d'une argile verte, mais rien qui ressemble à un os. Et puis soudain, on entend :— Vous cherchez quoi, les filles ?
On fait un bond et on se retourne. Il y a un Indien dans l'ombre de la végétation. On ne l'avait absolument pas entendu venir. Il est vêtu d'un jean et d'un tee-shirt, mais c'est bien un Indien. Je réponds :— Vous nous avez fait peur, on ne vous avait pas entendu. Vous venez du village ?
— Non, je ne suis pas un Navajo, mais un Hopi.
Je ne sais pas si on peut lui dire ce qu'on cherche. Je regarde Radia, genre "On lui dit ?"... Et puis merde, s'il y a une minuscule chance qu'il puisse nous renseigner... Je réponds :— Des ossements, des fossiles.
— Des fossiles de dinosaures ?
— Oui !
— Comme ça ?
Il sort de sa poche une dent, identique à celles des dinos qu'on cherche. Oh putain, c'est ça ! J'en mouille ma ceinture de chasteté ! Je lui demande :— Ouiii ! Vous pouvez nous montrer où vous l'avez trouvée ?
— Vous voyez, j'ai un problème. Ma femme m'a quitté pour un Texan et je respecte les filles et les femmes de ma tribu.
Je lui dis :— Si on peut vous aider...
— Oui, j'aimerais jouer avec deux petites Blanches, même si les fesses de l'une d'elles doivent être un peu colorées.
Là, il parle de Radia. Je réponds :— Si on fait ce que vous voulez, vous nous montrez ?
Avant qu'il réponde, je tiens à lui montrer nos... appâts. Je relève mon tee-shirt et lui montre mes seins, je les caresse... Il regarde Radia, qui fait la même chose. Là, il est convaincu. Il lève la main paume tournée vers nous :— On joue, puis je vous montrerai.
Je baisse mon pantalon et je lui dis :— On nous a mis ça afin qu'on garde toute notre énergie pour chercher les fossiles, mais je vais demander qu'on nous libère.
Je compose le numéro de Summer sur mon bracelet. Elle répond tout de suite :— Quoi ?
— Summer, c'est très important. On est ici avec un Indien Hopi, je crois que c'est un... charman...
— Un shaman, sotte !
— Oui, c'est ça. Il sait où se trouve le gisement, il nous a montré une dent, c'est exactement la même que sur les photos. Si on est... euh... gentille avec lui... il nous montre le gisement. J'y crois vraiment, je...
Et là, on entend "clic" et nos deux ceintures s'ouvrent. On les enlève. Libres... enfin ! Nos chattes respirent à pleins poumons... C'est une image ! L'Indien enlève son jean et son tee-shirt. Son visage est marqué, mais il est mince et musclé.
Je me colle à lui et je fais signe à Radia de faire la même chose dans son dos. Il est coincé entre quatre seins. Il me caresse les fesses et je sens son sexe contre mon ventre. Il m'embrasse... Je lui dis :— Si vous voulez bien vous coucher.
Il s'allonge et je dis à Radia :— Suce-le.
C'est super d'avoir une équipière obéissante. Elle s'assied à côté de lui et prends son sexe en main, puis elle dégage le gland et le met en bouche. C'est ce que je voulais : que Radia le nettoie avec sa langue, avant de participer moi-même. Je m'assieds de l'autre côté et on le lèche à deux comme deux gamines... de 18 ans, qui partagent un cornet avec une grosse boule de glace.
Il est assez stoïque, oui, c'est un cha... shaman ! Il apprécie notre façon de lécher sa bite et il nous caresse. Là, on entend un bruit de moteur : une jeep arrive à toute allure. Sumer m'a localisée grâce à mon bracelet. Elle monte la petite pente et arrive où nous sommes. Elle parle en navajo à l'Indien qui lui répond dans la même langue. Ensuite elle nous dit :— Bougez-vous.
Elle se déshabille et, une fois nue, elle se met au-dessus de I'Indien, un pied de chaque côté de ses hanches, puis elle s'assied complètement sur son sexe. Je ne sais pas si elle est excitée à l'idée du gisement ou si c'est nos salives qui ont bien lubrifié le sexe de l'Indien... Les deux sans doute. Ses belles fesses vont et viennent sur le sexe du mâle. Elle se penche sur lui, colle ses seins sur son torse et l'embrasse sur la bouche. L'Indien lui empoigne les fesses... Je sais que Summer parvient bien à contracter son vagin, je l'ai déjà vu envoyer un homme au 7e ciel à toute vitesse. Cependant, cet Hopi est un dur à cuire. Il lui dit quelque chose en navajo et Summer nous traduit :— Une fille lui lèche les couilles, l'autre s'assied sur son visage.
Je désigne les couilles de l'Indien à Radia et elle rampe aussitôt pour les lécher. J'adore avoir une esclave. Moi, je vais m'asseoir sur le visage, son nez entre mes fesses et sa bouche contre ma chatte. Ça fait trois semaines qu'on a pas joui et l'ensemble que nous formons est tellement excitant... Summer s'est redressée pour me faire de la place et je caresse ses seins tout en l'embrassant. C'est trop bon... d'autant que je pense à Radia occupée de lécher des couilles tandis que les fesses de Summer la heurtent à chaque coup de reins. Pauvre !! Je rigole, j'adore l'idée... Trop ! Je jouis sous la langue de l'Indien. Summer lui parle de nouveau en navajo. J'imagine qu'elle lui dit :— Attention mon frère, "biche odorante" va t'envoyer au 7ème ciel.
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