Ashley - 9 La Cité des Anges.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 9 La Cité des Anges.
Ils me regardent tous dévorer. Je prends des beignets qui restent. De toute façon, ils les laissent dans le plat. Sam me dit :— Je vais prendre rendez-vous avec Johnny Heyssen, le meilleur agent. Tu veux que Summer te montre la ville ?
J’avale un demi-beignet, tousse un peu puis réponds :— Oui M’sieur, avec plaisir.
Je me rends bien compte de mon manque de manières, mais c’est normal quand on vient de la campagne. J’apprendrai. Sam me donne 500 $ ! C’est en attendant que je signe un contrat avec son agent. Avec lui, il y a eu l’accord que vous savez ! Je le remercie et j’embrasse Sam, Pussycat et même le garde du corps.
Ensuite, je pars avec ma copine Summer. Enfin, copine n’est pas le mot. Je me sens en sécurité avec elle. On va prendre sa voiture... À l’intérieur, c’est assez bordélique. Quand elle met le contact, le moteur rugit ! J’ai l’impression que sa voiture, c’est un loup déguisé en agneau.
On roule dans LA, c’est une ville immense... elle me demande :— Tu veux louer une chambre dans le motel où je suis ?
— Je ne pourrais pas rester avec vous ? Je vous donnerais le prix de la chambre.
— Pour quelques jours, d’accord. Ensuite tu iras dans un centre pour apprendre à jouer. Je vais me reposer 2 h, puis je te montrerai la ville. Qu’est-ce que tu veux voir ?
— Hollywood Boulevard, le "Walk of Fame."C’est l’endroit où il y a les empreintes des mains et des pieds des stars.
— Bon, OK... Ce soir, on rejoindra des amis à Venice. Si tu veux, on peut passer voir les esclaves. Ce n’est pas encore terminé, mais tu les verras.
— Sérieux ?
— Arrête de demander ça, si je te le dis, c’est vrai.
— Oui Summer. J’aimerais beaucoup y aller. Vous connaissez ceux qui sont là ?
— Bien sûr, c’est la société de Monsieur Sam et de ses amis.
— Il a vraiment beaucoup d’activités.
Elle pousse un soupir avant de me demander :— Tu n’as toujours pas compris qui c’était ?
— ... Euh... un riche homme d’affaires ?
Elle rit et répond :— Oui, c’est ça, tu es mignonne.
Je sais très bien que ça veut dire que je suis... un peu conne, mais je m’en fous. Monsieur Sam va me lancer, on s’est serré les mains. Et puis, je me doute bien que ça doit être un peu comme un parrain. Je lui demande quand même :— Il a aidé le président Birch à être élu ?
— C’est mieux de ne pas parler pas de ça.
— Et vous, vous faites quoi ?
— Moi, je suis un mercenaire, un chasseur de prime. On me paie pour retrouver les gens ou pour la protection.
— Vous recherchez les esclaves en fuite ?
— Eh, t’es obsédée, toi !
— Dans le village, j’ai vu fouetter une esclave et euh...
Elle rigole, puis répond :— Ça t’a impressionnée, on dirait. Regarde, on arrive dans Watts, le quartier noir.
— Ça ne vous fait pas peur ?
— Je suis connue...
On arrive devant son motel. Je m’attendais à des bungalows pimpants entourés de plantes et on se retrouve devant un immense bâtiment à un étage. Il est rose.. non, il a été rose. Au rez-de-chaussée, il y a des dizaines de chambres et un emplacement pour garer sa voiture. Et il y a autant de portes au 1er étage et plusieurs escaliers de fer pour monter ou descendre. Summer s’exclame :— Putain ! Il y a un connard qui s’est mis à ma place.
Elle percute un peu l’arrière de la voiture. La sirène de l’antivol se met en marche et quelques minutes plus tard, un gros homme sort d'une chambre en caleçon. Il est armé d’une batte de base-ball. Summer l’attend, les jambes écartées, style western. Dès qu’il la reconnaît, le gros homme devient pâle et s’arrête net. Il lui dit :— Toutes mes excuses, Mademoiselle Summer, j’ignorais que c’était votre place. Je bouge ma voiture immédiatement...
Elle remonte dans la voiture et prend sa place dès qu’il a bougé. Il se gare et vient vite vers nous, toujours en caleçon pas très propre, avec une couille qui dépasse. Il lui dit :— Je ne savais pas que vous aviez changé de chambre, excusez-moi encore, Mademoiselle Summer.
— Pas de problème, Paul, mais fais gaffe, t’as une couille qui cherche à s’échapper.
Il rit... soulagé, puis entre dans sa chambre. C’est dingue, mais je mouille de voir à quel point ce gros mec avait peur d’elle !
On entre dans la chambre... c’est rudimentaire : un lit, une armoire, une valise ouverte, une minuscule salle de bain avec un lavabo et des w.c.. Ah, oui il y a quand même une télé. Je lui dis :— ... Euh... je dois faire pipi.
— Pas besoin de me demander la permission, t’es une grande fille, maintenant.
Je vais vite m’asseoir sur les w.c.. Elle est pressée aussi car elle enlève son jean, monte sur un tabouret et pisse dans le lavabo. La musique de nos jets se mélange... Je suis la seule à m’essuyer, elle est cool ! Summer n’a pas de culotte, on est faites pour s’entendre. En allant vers le lit, elle enlève son tee-shirt, puis se couche. Elle est sur le dos... je vois 2 ou 3 tatouages et quelques cicatrices... ses seins tombent un peu et elle a des poils sur le pubis, comme moi. Elle écarte les cuisses en disant :— C’est ça que tu veux, hein ?
— Ouiiii....
— Vas-y, mais fais-moi jouir vite, car je veux dormir un peu...
On se retrouve lèvres à lèvres, enfin mes lèvres sur celles de sa chatte... Ses poils sont humides et elle sent la chatte sauvage, je la lèche.
Elle me donne un petit coup de talon sur les fesses en disant :— Clito !
Je me concentre dessus pendant quelques minutes et elle jouit. Elle me dit :— Tu peux te caresser, moi je dors.
C’est pas l’envie qui me manque, bien sûr, mais j’ai encore plus envie de me coller contre ses fesses et son dos, en "cuiller". On dort comme deux petits anges ou deux petits démons !
***Une heure plus tard, elle me réveille... en disant :— Viens, j’ai faim.
J’aimerais prendre une douche, mais elle se rhabille et je la suis, un peu dans la vape de n’avoir dormi qu’une heure. On reprend sa voiture et on file vers le centre de LA. Elle me dit :— On est à La Brea. C’est ici que des tigres à dents de sabre et leurs proies se sont noyés dans une mare de bitume liquide. On retrouve leurs squelettes fossilisés.
— Oh ! On peut aller voir ?
— Un autre jour, si tu veux voir les esclaves.
— Oui, je préfère.
On arrive dans le centre et Summer se gare dans un parking. Elle échange quelques mots avec un gardien. Arrivées dans une petite rue, on entre dans un restaurant italien. Là, elle connaît tout le monde. Le patron l’embrasse, une des serveuses aussi. Elle me présente :— Ashley, la nouvelle pouliche de Monsieur Sam.
J’ai droit à des "che bella !" et à des baisers. Le patron me met même carrément la main au cul, en disant :— Ma che bel culo, piccola !
Moi, je ne suis pas du genre à donner une gifle ou à créer une pétition sur le Net. Au contraire, je trouve ça flatteur. Alors je remue mes fesses sous sa main, en riant. Il nous installe lui-même à une petite table. Summer lui demande :— Qu’est-ce que tu nous proposes, Luigi ?
— Je vais vous gâter...
La serveuse nous apporte du jambon cru. Bof... elle dit :— C’est du BelottaJe goûte et, oh mon Dieu ! Il est délicieux, presque autant que la chatte de Summer. Ensuite, elle nous apporte des... raviolis. Re-bof... oui, mais, ce sont des raviolis aux truffes blanches ! Je mange des truffes pour la première fois et j’adore. On boit un délicieux vin rosé légèrement pétillant. Summer me dit :— Accélère un peu Ashley, on a des trucs à faire...
— Oui...
Je termine rapidement ma glace aux fruits pour ne rien laisser, c’est trop bon. Le patron vient me demander :— Comment tu trouves ma cuisine ?
— C’était absolument délicieux.
Summer le remercie, puis l’embrasse, moi aussi. J’ai droit à une nouvelle main aux fesses. Nous partons... mais n’aurait-on pas oublié quelque chose ? Je dis à Summer :— Vous ne payez pas ?
— Non...
Ah bon, cool... Nous sommes assez prêt de Hollywood Blvd. On passe devant le Grauman Chinese Theater et je vois toutes les empreintes de mains et de pieds des stars. Il y a beaucoup de touristes qui les photographient et font des selfies. Immédiatement, certains d’entre eux me demandent de poser avec eux. Summer m’explique :— Ils te prennent pour un sosie de Marilyn Monroe.
Ça c'est depuis que j'ai changé de couleur de cheveux. Je préfère ma couleur naturelle d'ailleurs.
Il y a beaucoup de sosies, on a croisé Elvis, Charlie Chaplin, Madonna... Et puis une belle blonde avec des formes vient vers nous pour dire :— Tu sais qu’il ne doit pas y avoir deux sosies de Marilyn. Tu es syndiquée ?
C'est Summer qui répond :— Elle n'est pas sosie. Elle vient juste voir le Walk of Fame".
— Mais, pour moi c'est difficile et...
— Elle est sous contrat avec Monsieur Boizano. Si vous posez ensemble, l’argent sera pour toi.
A suivre.
Si vous voulez me parler, je suis ici et je suis sympa... mia.michael@hotmail.fr
J’avale un demi-beignet, tousse un peu puis réponds :— Oui M’sieur, avec plaisir.
Je me rends bien compte de mon manque de manières, mais c’est normal quand on vient de la campagne. J’apprendrai. Sam me donne 500 $ ! C’est en attendant que je signe un contrat avec son agent. Avec lui, il y a eu l’accord que vous savez ! Je le remercie et j’embrasse Sam, Pussycat et même le garde du corps.
Ensuite, je pars avec ma copine Summer. Enfin, copine n’est pas le mot. Je me sens en sécurité avec elle. On va prendre sa voiture... À l’intérieur, c’est assez bordélique. Quand elle met le contact, le moteur rugit ! J’ai l’impression que sa voiture, c’est un loup déguisé en agneau.
On roule dans LA, c’est une ville immense... elle me demande :— Tu veux louer une chambre dans le motel où je suis ?
— Je ne pourrais pas rester avec vous ? Je vous donnerais le prix de la chambre.
— Pour quelques jours, d’accord. Ensuite tu iras dans un centre pour apprendre à jouer. Je vais me reposer 2 h, puis je te montrerai la ville. Qu’est-ce que tu veux voir ?
— Hollywood Boulevard, le "Walk of Fame."C’est l’endroit où il y a les empreintes des mains et des pieds des stars.
— Bon, OK... Ce soir, on rejoindra des amis à Venice. Si tu veux, on peut passer voir les esclaves. Ce n’est pas encore terminé, mais tu les verras.
— Sérieux ?
— Arrête de demander ça, si je te le dis, c’est vrai.
— Oui Summer. J’aimerais beaucoup y aller. Vous connaissez ceux qui sont là ?
— Bien sûr, c’est la société de Monsieur Sam et de ses amis.
— Il a vraiment beaucoup d’activités.
Elle pousse un soupir avant de me demander :— Tu n’as toujours pas compris qui c’était ?
— ... Euh... un riche homme d’affaires ?
Elle rit et répond :— Oui, c’est ça, tu es mignonne.
Je sais très bien que ça veut dire que je suis... un peu conne, mais je m’en fous. Monsieur Sam va me lancer, on s’est serré les mains. Et puis, je me doute bien que ça doit être un peu comme un parrain. Je lui demande quand même :— Il a aidé le président Birch à être élu ?
— C’est mieux de ne pas parler pas de ça.
— Et vous, vous faites quoi ?
— Moi, je suis un mercenaire, un chasseur de prime. On me paie pour retrouver les gens ou pour la protection.
— Vous recherchez les esclaves en fuite ?
— Eh, t’es obsédée, toi !
— Dans le village, j’ai vu fouetter une esclave et euh...
Elle rigole, puis répond :— Ça t’a impressionnée, on dirait. Regarde, on arrive dans Watts, le quartier noir.
— Ça ne vous fait pas peur ?
— Je suis connue...
On arrive devant son motel. Je m’attendais à des bungalows pimpants entourés de plantes et on se retrouve devant un immense bâtiment à un étage. Il est rose.. non, il a été rose. Au rez-de-chaussée, il y a des dizaines de chambres et un emplacement pour garer sa voiture. Et il y a autant de portes au 1er étage et plusieurs escaliers de fer pour monter ou descendre. Summer s’exclame :— Putain ! Il y a un connard qui s’est mis à ma place.
Elle percute un peu l’arrière de la voiture. La sirène de l’antivol se met en marche et quelques minutes plus tard, un gros homme sort d'une chambre en caleçon. Il est armé d’une batte de base-ball. Summer l’attend, les jambes écartées, style western. Dès qu’il la reconnaît, le gros homme devient pâle et s’arrête net. Il lui dit :— Toutes mes excuses, Mademoiselle Summer, j’ignorais que c’était votre place. Je bouge ma voiture immédiatement...
Elle remonte dans la voiture et prend sa place dès qu’il a bougé. Il se gare et vient vite vers nous, toujours en caleçon pas très propre, avec une couille qui dépasse. Il lui dit :— Je ne savais pas que vous aviez changé de chambre, excusez-moi encore, Mademoiselle Summer.
— Pas de problème, Paul, mais fais gaffe, t’as une couille qui cherche à s’échapper.
Il rit... soulagé, puis entre dans sa chambre. C’est dingue, mais je mouille de voir à quel point ce gros mec avait peur d’elle !
On entre dans la chambre... c’est rudimentaire : un lit, une armoire, une valise ouverte, une minuscule salle de bain avec un lavabo et des w.c.. Ah, oui il y a quand même une télé. Je lui dis :— ... Euh... je dois faire pipi.
— Pas besoin de me demander la permission, t’es une grande fille, maintenant.
Je vais vite m’asseoir sur les w.c.. Elle est pressée aussi car elle enlève son jean, monte sur un tabouret et pisse dans le lavabo. La musique de nos jets se mélange... Je suis la seule à m’essuyer, elle est cool ! Summer n’a pas de culotte, on est faites pour s’entendre. En allant vers le lit, elle enlève son tee-shirt, puis se couche. Elle est sur le dos... je vois 2 ou 3 tatouages et quelques cicatrices... ses seins tombent un peu et elle a des poils sur le pubis, comme moi. Elle écarte les cuisses en disant :— C’est ça que tu veux, hein ?
— Ouiiii....
— Vas-y, mais fais-moi jouir vite, car je veux dormir un peu...
On se retrouve lèvres à lèvres, enfin mes lèvres sur celles de sa chatte... Ses poils sont humides et elle sent la chatte sauvage, je la lèche.
Elle me donne un petit coup de talon sur les fesses en disant :— Clito !
Je me concentre dessus pendant quelques minutes et elle jouit. Elle me dit :— Tu peux te caresser, moi je dors.
C’est pas l’envie qui me manque, bien sûr, mais j’ai encore plus envie de me coller contre ses fesses et son dos, en "cuiller". On dort comme deux petits anges ou deux petits démons !
***Une heure plus tard, elle me réveille... en disant :— Viens, j’ai faim.
J’aimerais prendre une douche, mais elle se rhabille et je la suis, un peu dans la vape de n’avoir dormi qu’une heure. On reprend sa voiture et on file vers le centre de LA. Elle me dit :— On est à La Brea. C’est ici que des tigres à dents de sabre et leurs proies se sont noyés dans une mare de bitume liquide. On retrouve leurs squelettes fossilisés.
— Oh ! On peut aller voir ?
— Un autre jour, si tu veux voir les esclaves.
— Oui, je préfère.
On arrive dans le centre et Summer se gare dans un parking. Elle échange quelques mots avec un gardien. Arrivées dans une petite rue, on entre dans un restaurant italien. Là, elle connaît tout le monde. Le patron l’embrasse, une des serveuses aussi. Elle me présente :— Ashley, la nouvelle pouliche de Monsieur Sam.
J’ai droit à des "che bella !" et à des baisers. Le patron me met même carrément la main au cul, en disant :— Ma che bel culo, piccola !
Moi, je ne suis pas du genre à donner une gifle ou à créer une pétition sur le Net. Au contraire, je trouve ça flatteur. Alors je remue mes fesses sous sa main, en riant. Il nous installe lui-même à une petite table. Summer lui demande :— Qu’est-ce que tu nous proposes, Luigi ?
— Je vais vous gâter...
La serveuse nous apporte du jambon cru. Bof... elle dit :— C’est du BelottaJe goûte et, oh mon Dieu ! Il est délicieux, presque autant que la chatte de Summer. Ensuite, elle nous apporte des... raviolis. Re-bof... oui, mais, ce sont des raviolis aux truffes blanches ! Je mange des truffes pour la première fois et j’adore. On boit un délicieux vin rosé légèrement pétillant. Summer me dit :— Accélère un peu Ashley, on a des trucs à faire...
— Oui...
Je termine rapidement ma glace aux fruits pour ne rien laisser, c’est trop bon. Le patron vient me demander :— Comment tu trouves ma cuisine ?
— C’était absolument délicieux.
Summer le remercie, puis l’embrasse, moi aussi. J’ai droit à une nouvelle main aux fesses. Nous partons... mais n’aurait-on pas oublié quelque chose ? Je dis à Summer :— Vous ne payez pas ?
— Non...
Ah bon, cool... Nous sommes assez prêt de Hollywood Blvd. On passe devant le Grauman Chinese Theater et je vois toutes les empreintes de mains et de pieds des stars. Il y a beaucoup de touristes qui les photographient et font des selfies. Immédiatement, certains d’entre eux me demandent de poser avec eux. Summer m’explique :— Ils te prennent pour un sosie de Marilyn Monroe.
Ça c'est depuis que j'ai changé de couleur de cheveux. Je préfère ma couleur naturelle d'ailleurs.
Il y a beaucoup de sosies, on a croisé Elvis, Charlie Chaplin, Madonna... Et puis une belle blonde avec des formes vient vers nous pour dire :— Tu sais qu’il ne doit pas y avoir deux sosies de Marilyn. Tu es syndiquée ?
C'est Summer qui répond :— Elle n'est pas sosie. Elle vient juste voir le Walk of Fame".
— Mais, pour moi c'est difficile et...
— Elle est sous contrat avec Monsieur Boizano. Si vous posez ensemble, l’argent sera pour toi.
A suivre.
Si vous voulez me parler, je suis ici et je suis sympa... mia.michael@hotmail.fr
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