Attirence et dévotion (partie2)
Récit érotique écrit par Alexis2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Attirence et dévotion (partie2)
…Après la fellation, Michel s’était laissé choir sur une des chaises de la salle de commande.
Il n’avait pas prit la peine de rentrer son artillerie qui formait une masse compacte et
pantelante entre ses cuisses. Mais ma curiosité était trop forte pour que je le laisse se
reposer trop longtemps. Je repris l’objet de mon adoration dans une main et le tâtais lentement
pour le faire revivre. Rapidement il se ranima et s’endurcit. Soudain, emporté par une
incontrôlable pulsion, je me penchais vers Michel dans le but de l’embrasser sur la bouche.
J’essuyais un refus radical de l’homme qui me repoussa sans ménagement. Je compris
immédiatement que j’avais commis une erreur en voulant précipiter les choses. Il se redressa,
le visage cramoisi en me jetant un regard furibard. Je compris aussitôt que j’allais être puni.
Il me saisit par les épaules, me retourna et m’obligea à me pencher en avant sur le bureau sur
lequel je m’appuyais des coudes. Il tira sur la ceinture de mon pantalon qui glissa sur mes
chevilles en même temps que mon slip. C’était ce qui s’appelle être prestement déculotté!
Ensuite, il entreprit de frotter son sexe contre mes fesses tout en me maintenant fermement
plaqué contre le bureau. Le membre, à nouveau entièrement déployé, s’insinua entre mes jambes
jusqu’à repousser mes testicules. Je pus le saisir pour le flatter un moment avant qu’il ne
soit présenté devant l’étroite ouverture. Michel pointa le gland sur l’entrée et força le
passage. Dire que je n’éprouvais aucune douleur serait un mensonge, cependant mon envie était
si grande que celle-ci fût moins ardente que ce que je redoutais. La colonne progressa ensuite
peu à peu en laissant à l’orifice dilaté du temps pour s’adapter à ses proportions
exceptionnelles. A mi course, le phallus avait atteint le fond de ma cavité rectale, sa
progression fût stoppée et Michel se redressa pour enclencher la marche arrière. Il me ramona
ainsi avec de larges va et viens où chaque coup de rein était plus profond que le précédent.
Dans un dernier effort, le sexe s’enfonça jusqu’à la garde ce qui supposait que le glorieux
dard avait pénétré largement dans mes viscères en repoussant les limites admissibles de la
sodomie. Mon amant s’en soucia peu. Il s'astiquait en me transperçant de part en part dans la
quête d’un plaisir égoïste. Il n’essayait pas d’en procurer à son partenaire. Si par instants
il me saisissait les organes génitaux d’une poigne virile, c’était pour les broyer
douloureusement dans un but que lui seul était capable d’expliquer. Peut être considérait il
qu’un homme qui se faisait enculer devait toujours souffrir. Et que si la sodomie lui procurait
du plaisir il se devait de le maltraiter d’une autre manière. C’était un geste qui collait
parfaitement à son tempérament déplaisant et hypocrite. Il ne lui suffisait pas de prendre un
plaisir énorme avec son amant, il lui fallait également le briser en le faisant souffrir plus
qu’il n’était nécessaire. Il mettait ainsi ses actes en accord avec ses paroles puisqu’il
n’hésitait pas à déclamer à qui voulait bien l’entendre, que «tout ce que méritaient ces pédés
c’était de se faire casser le cul». C’était clairvoyant de sa part. Quand j’avais entendu ces
fortes paroles, je m’étais dit qu’une telle morgue cachait certainement un fantasme qu’il
serait intéressant d’explorer. Et c’est à cet instant que mon désir d’être possédé par cet
homme m’avait saisi et ne m’avait plus quitté. A ma grande satisfaction je pouvais constater
que je ne m’étais pas trompé car il se révélait être un baiseur tout aussi efficace avec
quelqu'un de son propre sexe. J’avais eu quelques échos sur ses capacités sexuelles provenant
de femmes qui avaient été séduites par le charme peu banal de cet individu. Elles avaient
négligemment laissé échapper des secrets d’alcôve qui avaient rapidement fait la tour de
l’entreprise, étayant ainsi sa réputation de bretteur impénitent. Michel s’était évidement
gardé de démentir les faits, amplifiant même leur résonance au risque de compromettre gravement
les adultérines car bien évidement, la plupart étaient mariées…
(A suivre)
Il n’avait pas prit la peine de rentrer son artillerie qui formait une masse compacte et
pantelante entre ses cuisses. Mais ma curiosité était trop forte pour que je le laisse se
reposer trop longtemps. Je repris l’objet de mon adoration dans une main et le tâtais lentement
pour le faire revivre. Rapidement il se ranima et s’endurcit. Soudain, emporté par une
incontrôlable pulsion, je me penchais vers Michel dans le but de l’embrasser sur la bouche.
J’essuyais un refus radical de l’homme qui me repoussa sans ménagement. Je compris
immédiatement que j’avais commis une erreur en voulant précipiter les choses. Il se redressa,
le visage cramoisi en me jetant un regard furibard. Je compris aussitôt que j’allais être puni.
Il me saisit par les épaules, me retourna et m’obligea à me pencher en avant sur le bureau sur
lequel je m’appuyais des coudes. Il tira sur la ceinture de mon pantalon qui glissa sur mes
chevilles en même temps que mon slip. C’était ce qui s’appelle être prestement déculotté!
Ensuite, il entreprit de frotter son sexe contre mes fesses tout en me maintenant fermement
plaqué contre le bureau. Le membre, à nouveau entièrement déployé, s’insinua entre mes jambes
jusqu’à repousser mes testicules. Je pus le saisir pour le flatter un moment avant qu’il ne
soit présenté devant l’étroite ouverture. Michel pointa le gland sur l’entrée et força le
passage. Dire que je n’éprouvais aucune douleur serait un mensonge, cependant mon envie était
si grande que celle-ci fût moins ardente que ce que je redoutais. La colonne progressa ensuite
peu à peu en laissant à l’orifice dilaté du temps pour s’adapter à ses proportions
exceptionnelles. A mi course, le phallus avait atteint le fond de ma cavité rectale, sa
progression fût stoppée et Michel se redressa pour enclencher la marche arrière. Il me ramona
ainsi avec de larges va et viens où chaque coup de rein était plus profond que le précédent.
Dans un dernier effort, le sexe s’enfonça jusqu’à la garde ce qui supposait que le glorieux
dard avait pénétré largement dans mes viscères en repoussant les limites admissibles de la
sodomie. Mon amant s’en soucia peu. Il s'astiquait en me transperçant de part en part dans la
quête d’un plaisir égoïste. Il n’essayait pas d’en procurer à son partenaire. Si par instants
il me saisissait les organes génitaux d’une poigne virile, c’était pour les broyer
douloureusement dans un but que lui seul était capable d’expliquer. Peut être considérait il
qu’un homme qui se faisait enculer devait toujours souffrir. Et que si la sodomie lui procurait
du plaisir il se devait de le maltraiter d’une autre manière. C’était un geste qui collait
parfaitement à son tempérament déplaisant et hypocrite. Il ne lui suffisait pas de prendre un
plaisir énorme avec son amant, il lui fallait également le briser en le faisant souffrir plus
qu’il n’était nécessaire. Il mettait ainsi ses actes en accord avec ses paroles puisqu’il
n’hésitait pas à déclamer à qui voulait bien l’entendre, que «tout ce que méritaient ces pédés
c’était de se faire casser le cul». C’était clairvoyant de sa part. Quand j’avais entendu ces
fortes paroles, je m’étais dit qu’une telle morgue cachait certainement un fantasme qu’il
serait intéressant d’explorer. Et c’est à cet instant que mon désir d’être possédé par cet
homme m’avait saisi et ne m’avait plus quitté. A ma grande satisfaction je pouvais constater
que je ne m’étais pas trompé car il se révélait être un baiseur tout aussi efficace avec
quelqu'un de son propre sexe. J’avais eu quelques échos sur ses capacités sexuelles provenant
de femmes qui avaient été séduites par le charme peu banal de cet individu. Elles avaient
négligemment laissé échapper des secrets d’alcôve qui avaient rapidement fait la tour de
l’entreprise, étayant ainsi sa réputation de bretteur impénitent. Michel s’était évidement
gardé de démentir les faits, amplifiant même leur résonance au risque de compromettre gravement
les adultérines car bien évidement, la plupart étaient mariées…
(A suivre)
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