Attrapes-moi si tu peux

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Attrapes-moi si tu peux
*Australie 2050 : Get her and fuck - Épisode 7, Round 1*
[L'écran s'illumine sur le visage de Maya, 24 ans, le regard féroce et déterminé. Les caméras holographiques captent chaque détail de son corps athlétique tandis qu'elle se prépare dans la salle annexe avant d'entrer dans le complexe. Ses longs cheveux bruns encadrent un visage aux traits fins, ses yeux verts reflètent un mélange de peur et de détermination.]
[Maya inspire profondément. La sueur perle sur sa peau bronzée. Les producteurs lui ont expliqué les règles pour la centième fois, mais elle sait ce qu'elle fait. Un million de dollars si elle parvient à neutraliser les trois chasseurs avant qu'ils ne la prennent trois fois. Le concept est brutal, mais elle a besoin de cet argent.]
["Prête, ma jolie?" demande le producteur en chef, un sourire lubrique aux lèvres. "Les caméras submicroniques sont partout. Les spectateurs ne manqueront rien... surtout pas les détails intimes."]
Je hoche la tête. Ma combinaison en néoprène moulante dessine parfaitement mes courbes, mes seins fermes pointent légèrement sous le tissu. Je sais que chaque centimètre de mon corps sera scruté, analysé, désiré par des millions de téléspectateurs. Les chasseurs ont droit à des pièges, moi à des outils de défense limités. J'ai étudié leur profil pendant des semaines. Rick, ex-militaire au corps sculpté par des années d'entraînement intensif. Jayden, champion de MMA, connu pour sa brutalité et son endurance légendaire. Et Vince, ancien gardien de prison à la carrure impressionnante et au sexe démesurément pourvu selon les rumeurs des saisons précédentes. Tous sélectionnés pour leur physique imposant et leur capacité à enchaîner les rapports sexuels sans faiblir.
La porte blindée s'ouvre devant moi. Le kilomètre carré de l'arène se déploie : forêt artificielle, zones rocheuses, petits bâtiments dispersés. C'est là que je vais vivre cet enfer pendant les prochaines 48 heures.
["Proie lâchée!" annonce la voix électronique dans l'arène. "Chasseurs libérés dans 15 minutes."]
J'ai un quart d'heure d'avance. Mes bottes frappent le sol artificiel tandis que je cours vers les zones boisées. La transpiration colle déjà mon uniforme à ma peau, soulignant davantage mes formes. La caméra s'attarde sur mes fesses qui se balancent à chaque foulée, puis sur ma poitrine qui rebondit rythmiquement. Les téléspectateurs commentent déjà mon corps, pariant sur ma résistance face aux chasseurs expérimentés.
Je me faufile entre les arbres synthétiques. Mon plan est simple : tenir à distance, neutraliser un par un. Le règlement stipule que chaque chasseur ne peut me prendre que trois fois maximum. Au-delà, ils sont disqualifiés. Si je résiste, si je les piège, je peux gagner.
Le premier abri que je trouve est une cabane rudimentaire. J'y installe quelques pièges improvisés avec les matériaux autorisés. La combinaison me comprime la poitrine, mes tétons durcissent contre le tissu rêche. La caméra en gros plan s'attarde dessus, montrant même la légère auréole visible sous le tissu humide. Je sens mes tétons qui frottent contre le néoprène à chaque mouvement, créant une stimulation constante que je ne peux ignorer.
["Chasseurs libérés!" tonne la voix métallique.]
L'arène de "Get Her and Fuck" s'étend sous un ciel artificiel parfaitement bleu. Trois heures se sont écoulées depuis mon entrée dans ce kilomètre carré spécialement conçu pour le spectacle de la chasse. Les producteurs ont créé un environnement qui se veut naturel mais où chaque élément est calculé pour maximiser les confrontations et l'excitation des téléspectateurs.
La transpiration colle ma combinaison en néoprène contre ma peau. Le tissu technologique, conçu pour résister jusqu'au moment où il doit céder, épouse chaque courbe de mon corps. Je sens le regard des caméras invisibles qui suivent le moindre de mes mouvements, captant les gouttelettes de sueur qui perlent entre mes seins et glissent le long de mon dos.
La zone boisée offre une illusion de sécurité. Je me déplace prudemment, évitant les branches mortes qui pourraient trahir ma position. L'air est chargé d'une tension électrique, comme si l'atmosphère elle-même anticipait ce qui va suivre. Les concepteurs ont même intégré des phéromones synthétiques dans l'air pour stimuler l'excitation sexuelle. À chaque inspiration, je sens mon corps réagir malgré moi. Ma vulve s'humidifie légèrement, mes tétons durcissent sous le tissu rêche.
["Proie localisée dans le secteur 7," annonce soudain la voix métallique dans les haut-parleurs camouflés. "Les téléspectateurs peuvent maintenant parier sur le premier chasseur qui la capturera."]
Cette information révèle ma position générale aux chasseurs. C'est une des règles perverses du jeu : si l'audience s'ennuie, le système intervient pour accélérer les rencontres. Les millions de voyeurs qui me regardent s'impatientent. Ils veulent du sexe, des corps qui s'entrechoquent, des fluides qui coulent.
Je me réfugie derrière un bosquet plus dense, le souffle court. Mon cœur bat à tout rompre, l'adrénaline se mêle à une excitation traîtresse. Les producteurs ont sélectionné les participants pour leur compatibilité sexuelle. Des tests préliminaires ont établi que mon corps réagirait fortement aux phéromones naturelles des trois chasseurs. Cette trahison biologique fait partie du spectacle.
Un craquement de branche me fait sursauter. Le son provient de ma droite, à environ vingt mètres. Je retiens ma respiration, immobile. Une silhouette massive se découpe entre les arbres. C'est Vince, le plus imposant des chasseurs. Dans la lumière filtrée par le feuillage artificiel, son corps sculpté projette une ombre menaçante. Sa combinaison noire moulante révèle chaque muscle tendu, et surtout, l'imposante érection qui déforme le tissu entre ses jambes.
"Je te sens, petite chatte," grogne-t-il assez fort pour que je l'entende. Sa voix rauque porte dans le silence artificiel de la forêt. "Ton odeur m'excite. Tu mouilles déjà à l'idée de ce qui t'attend? Je vais te faire jouir si fort que tout le pays t'entendra supplier pour ma queue."
Ses mots crus me font frissonner. Une caméra drone s'approche discrètement pour capter ma réaction. Je serre les cuisses, tentant d'ignorer la chaleur qui s'y développe. C'est un piège physiologique – mon corps réagit aux stimuli verbaux et aux phéromones qu'il dégage délibérément.
Je décide de me déplacer silencieusement vers une clairière que j'ai repérée plus tôt. C'est risqué, mais rester immobile finira par me trahir. Les capteurs de chaleur intégrés à sa combinaison peuvent détecter ma présence.
Malheureusement, mon mouvement fait bruisser des feuilles. Le regard de Vince se tourne instantanément dans ma direction, un sourire prédateur s'étalant sur son visage barbu.
"Te voilà," murmure-t-il, assez fort pour que les micros captent sa voix.
La course-poursuite s'engage. Mes jambes me portent à travers les fourrés, sautant par-dessus les racines artificielles. Les caméras nous suivent en plongée, offrant aux téléspectateurs une vue parfaite de mes fesses qui se balancent à chaque foulée, de ma poitrine qui rebondit sous l'effort. Les commentateurs doivent s'en donner à cœur joie, pariant sur le moment où il me rattrapera.
Il est étonnamment rapide pour sa taille. Je l'entends qui se rapproche, sa respiration lourde dans mon dos. Son ombre m'engloutit alors qu'il se jette sur moi. Sa main puissante m'agrippe les cheveux, me tirant brutalement en arrière. La douleur irradie de mon cuir chevelu. Je perds l'équilibre, tombe à genoux.
"Première prise," jubile-t-il pour les caméras qui nous encerclent comme des vautours électroniques, leurs objectifs zoomant sur mon visage crispé. "Regardez-moi cette chienne en chaleur. L'émission vient vraiment de commencer!"
Les drones-caméras s'approchent, certains à quelques centimètres seulement de mon visage, d'autres tournant autour de nous pour capturer tous les angles possibles. Un écran holographique flotte au-dessus de nous, affichant probablement en direct nos images pour les téléspectateurs, avec des statistiques sur nos rythmes cardiaques et niveaux d'excitation.
["Les niveaux d'excitation de la proie augmentent," annonce la voix métallique. "Son corps se prépare pour l'accouplement."]
Les mains de Vince parcourent mon corps, s'attardant sur mes seins qu'il pétrit à travers la combinaison. Ses doigts trouvent mes tétons durcis et les pincent cruellement. Je ne peux retenir un gémissement, mélange de douleur et de plaisir interdit.
"Tu aimes ça, hein?" murmure-t-il à mon oreille, son souffle chaud contre ma peau. "Tout le monde te regarde. Des millions de personnes vont te voir te faire baiser comme la petite salope que tu es."
Sans prévenir, il déchire ma combinaison au niveau de la poitrine. Le tissu, conçu pour céder facilement aux endroits stratégiques, se déchire en un bruit sec. Mes seins jaillissent, exposés à l'air frais et aux regards virtuels de millions de téléspectateurs. Des hologrammes de statistiques apparaissent à côté de nous : taille des mamelons, réactivité des tétons, température corporelle.
"Magnifiques," commente-t-il en les soupesant rudement. "Parfaits pour une bonne branlette espagnole plus tard."
Ses mains continuent leur exploration. Il me force à me mettre à quatre pattes, position humiliante mais parfaite pour les caméras qui ne manquent pas de filmer mon visage rougi par l'effort et l'embarras. Ses doigts puissants arrachent maintenant ma combinaison au niveau de l'entrejambe. Le tissu spécial cède facilement.
L'air frais caresse ma vulve soudain exposée. Les caméras zooment, les angles se multiplient pour ne rien manquer du spectacle de mon intimité dévoilée. Un drone spécial s'approche à quelques centimètres, son objectif macro capturant les moindres détails de mes lèvres intimes légèrement gonflées.
"Regarde comme tu mouilles déjà, petite salope," grogne Vince en frottant ses doigts contre ma fente. Il écarte délibérément mes grandes lèvres pour les caméras, exposant mon clitoris et mon entrée humide. "Vous voyez ça, les amis? Sa chatte bave déjà pour ma bite. Elle fait semblant de résister, mais son corps sait ce qu'il veut."
Je ne peux retenir un gémissement quand son pouce trouve mon clitoris et le presse fermement. La honte m'envahit - non pas tant d'être exposée ainsi, j'ai signé pour ça après tout, mais de réagir si fortement à ses attouchements. Mon corps me trahit complètement. Je sens l'humidité entre mes cuisses augmenter malgré ma volonté.
["Système d'analyse biométrique activé," annonce la voix artificielle. "La proie présente tous les signes physiologiques d'excitation sexuelle avancée. Lubrification naturelle : 78%. Engorgement des tissus érogènes : 82%. Dilatation pupillaire : 90%."]
Ces statistiques, affichées en temps réel pour l'audience, m'humilient davantage. Mon corps est devenu un livre ouvert, chaque réaction physiologique mesurée et commentée.
Vince insère soudainement un doigt en moi, puis deux, les faisant tourner pour étaler ma lubrification naturelle. Ils s'enfoncent facilement dans mon intimité trempée.
"Putain, t'es déjà trempée," constate-t-il en retirant ses doigts luisants qu'il présente ostensiblement à la caméra la plus proche. La lumière fait briller mes sécrétions sur sa peau. "Regardez comme elle mouille bien."
Il me force à tourner la tête et me fourre ses doigts dans la bouche.
"Nettoie ça, goûte comme ta chatte est prête pour ma queue."
Le goût salé de ma propre excitation envahit ma bouche. Je suce ses doigts malgré moi, mon corps répondant automatiquement. Les caméras capturent ma langue qui s'enroule autour de ses doigts, mes lèvres qui se ferment sur eux.
"Bonne fille," approuve-t-il. "Tu sais déjà comment sucer. On verra si tu suces aussi bien ma bite."
Il me retourne brutalement, face contre terre. Le sol artificiel, composé d'une mousse réaliste mais conçue pour ne pas blesser, s'enfonce sous mon poids. Vince arrache maintenant complètement le haut de ma combinaison, exposant mon dos et mes seins qui s'écrasent contre le sol. Ses mains calleuses parcourent ma colonne vertébrale, descendent vers mes fesses qu'il écarte largement.
"Quel cul parfait," commente-t-il en le claquant fort, laissant une marque rouge que les caméras s'empressent de zoomer. "Je vais m'occuper de tes deux trous, ma belle."
Les drones-caméras tournent autour de nous, certains se focalisant sur mon visage, d'autres sur mes seins écrasés contre le sol, d'autres encore sur mes fesses exposées et ma vulve luisante. L'un d'eux capture même les gouttes de sueur qui perlent sur le front de Vince, son regard prédateur, sa langue qui passe sur ses lèvres en anticipation.
["La proie est soumise pour la première fois," annonce froidement le système audio tandis que Vince se redresse légèrement.]
J'entends le bruit de sa combinaison qu'il déchire à son tour au niveau de l'entrejambe. Le bruissement du tissu est suivi d'un soupir de soulagement quand son membre est libéré de sa prison de néoprène.
Une caméra se positionne stratégiquement pour capturer son sexe dans toute sa splendeur. Il est énorme, bien au-delà de la moyenne, sélectionné spécifiquement pour impressionner l'audience. Au moins 25 centimètres de longueur, épais comme mon poignet, veiné, la tête violacée et luisante déjà d'une goutte de pré-sperme.
[Les statistiques s'affichent en surimpression pour les téléspectateurs : taille, circonférence, volume d'éjaculation prévu.]
Il le branle lentement devant les caméras, fier de son attribut. "Tu vas la sentir passer, ma jolie. Je vais te défoncer si profond que tu la sentiras dans ta gorge."
Son sexe est énorme, veiné, la tête violacée pulsant d'excitation. Il le frotte entre mes fesses, le long de ma fente humide, s'attardant sur mon clitoris pour me torturer. Je sens son gland épais qui pousse contre mon entrée, cherchant à forcer le passage. La caméra capture en gros plan cette jonction intime, mon sexe qui s'ouvre légèrement sous la pression de son membre imposant.
"Supplie-moi de te baiser," ordonne-t-il en tirant mes cheveux en arrière, forçant mon cou à se cambrer douloureusement.
"Va te faire foutre," je souffle entre deux halètements, tentant de préserver un semblant de dignité.
"Mauvaise réponse."
Il s'enfonce en moi d'un coup sec, sans préambule. Sa queue massive déchire mon intimité, m'emplissant brutalement jusqu'à la garde. Je hurle, à la fois de douleur et d'un plaisir honteux que je ne peux nier. L'intrusion est brutale, mon corps n'a pas eu le temps de s'adapter à sa taille. La sensation de brûlure se mêle à un plaisir intense quand il frappe directement contre mon point G.
"Putain, qu'elle est serrée," grogne-t-il pour les caméras. "Sa petite chatte m'aspire comme si elle voulait me sucer jusqu'à la dernière goutte."
Les drones capturent en gros plan notre jonction, son membre luisant de mes sécrétions qui va et vient dans mon sexe étiré au maximum. Les bords de ma vulve sont tendus autour de sa circonférence, prenant une teinte rosée sous la pression.
["Premier rapport sexuel imminent," commente la voix artificielle. "Dilatation vaginale à 92% de sa capacité maximale."]
Vince commence à bouger, d'abord lentement, me laissant à peine le temps de m'adapter à sa taille. Ses mains agrippent fermement mes hanches, ses doigts s'enfonçant dans ma chair, laissant certainement des marques qui dureront plusieurs jours. Chaque poussée m'arrache un gémissement, mon corps entier se déplaçant sous la force de ses coups de reins.
"Tu la sens bien ma grosse bite qui t'écartèle, hein?" siffle-t-il en accélérant ses mouvements. Ses testicules lourds claquent contre mon clitoris à chaque poussée, ajoutant une stimulation supplémentaire qui fait monter le plaisir malgré la brutalité de l'acte. "Dis à la caméra que t'aimes ça!"
"Je... je..." Les mots se perdent dans mes gémissements. Chaque poussée frappe directement contre mon point G, envoyant des vagues de plaisir dans tout mon corps.
Ses mains quittent mes hanches pour remonter vers mes seins qui ballottent sous l'impact de ses coups de reins. Il les empoigne brutalement, les malaxant comme de la pâte à modeler, pinçant et tordant mes tétons jusqu'à la limite de la douleur.
"Tu aimes ça, hein? Dis-le aux caméras!"
"Va te faire foutre," je souffle entre deux assauts, mais mon corps me trahit.
"Ta bouche dit non, mais ta chatte me suce comme une affamée," ricane-t-il en accélérant encore le rythme.
Ses testicules lourds claquent contre ma vulve à chaque poussée, créant un bruit obscène de chair contre chair qui résonne dans la forêt artificielle. Le bruit humide de son membre qui va et vient dans mon sexe trempé est amplifié par les micros sensibles. Les téléspectateurs entendent chaque détail sonore de notre accouplement forcé.
["Analyse des fluides en cours," annonce la voix. "La proie produit 40% plus de lubrification naturelle que la moyenne des participantes précédentes."]
Cette information fait rire Vince. "T'entends ça? T'es une vraie fontaine. Ton corps adore se faire défoncer en public."
Il change soudain de position, me retournant sur le dos sans se retirer. La manœuvre fait tourner son sexe en moi, le frottant contre des zones inexplorées de mon vagin. Je gémis sous la nouvelle sensation.
Je vois maintenant son visage, son expression de concentration mêlée de plaisir animal. Son corps musclé luit de sueur au-dessus du mien, chaque muscle tendu par l'effort. La différence de nos gabarits est flagrante – sa masse m'écrase, me domine complètement.
"Regarde-moi pendant que je te baise," ordonne-t-il en plongeant son regard dans le mien. "Je veux voir tes yeux quand tu jouiras sur ma queue."
Une caméra s'approche pour capturer nos visages, nos expressions, la connexion forcée de nos regards. L'intimité perverse de ce moment est diffusée en direct à des millions de personnes.
Ses va-et-vient deviennent frénétiques. Il écarte mes jambes au maximum, les repliant presque jusqu'à mes épaules pour s'enfoncer encore plus profondément. Dans cette position, son sexe atteint des profondeurs vertigineuses, frappant contre mon col utérin à chaque poussée. La douleur se mêle au plaisir dans un cocktail explosif de sensations.
"Putain, je sens ton utérus," grogne-t-il. "Je vais te remplir si profond que tu vas tomber enceinte en direct."
Cette remarque fait probablement bondir l'audience – bien sûr, toutes les participantes reçoivent un contraceptif à action longue durée avant l'émission, mais le fantasme reste puissant.
Sa main descend entre nos corps en sueur pour malaxer mon clitoris gonflé. Ses doigts experts le pincent, le frottent en cercles rapides. La double stimulation – son membre qui me remplit complètement et ses doigts sur mon bouton de plaisir – devient insoutenable. Je sens la tension monter inexorablement dans mon bas-ventre.
"Je la sens qui se contracte," annonce-t-il aux caméras. "Elle va jouir. Sa petite chatte serre ma bite comme un étau."
Mes muscles intimes commencent effectivement à se contracter involontairement autour de son membre. La tension monte, monte encore. Mes orteils se crispent, mes jambes tremblent.
"Allez, jouis pour les caméras, montre à toute l'Australie comme t'es une bonne salope," m'encourage-t-il en accélérant ses mouvements sur mon clitoris.
L'orgasme me frappe comme un raz-de-marée. Mon dos s'arque violemment, ma tête se rejette en arrière, ma bouche s'ouvre en un cri silencieux avant que le son ne déchire ma gorge. Mes parois vaginales se contractent spasmodiquement autour de son sexe, l'aspirant plus profondément.
"Elle jouit!" hurle-t-il pour l'audience tandis que mon corps convulse sous le sien. "Première prise réussie!"
Les caméras captent chaque contraction, chaque expression de mon visage déformé par la jouissance forcée. Des gros plans alternent entre mon visage en extase et notre jonction intime où l'on peut voir mes muscles se contracter rythmiquement autour de sa verge.
["Orgasme féminin détecté," confirme la voix artificielle. "Intensité : 8,7 sur 10. Durée prévue : 37 secondes."]
Vince ne me laisse pas redescendre de mon orgasme. Il accélère encore ses coups de reins, prolongeant mes spasmes de plaisir. Ses mouvements deviennent erratiques, son souffle plus court. Je sens son sexe qui pulse en moi, qui se gonfle encore davantage.
"Je vais te remplir," grogne-t-il, son visage crispé par l'effort et le plaisir imminent. "Je vais marquer ton petit ventre de ma semence."
Avec un rugissement animal, il s'enfonce une dernière fois jusqu'à la garde et éjacule puissamment. Je sens son sperme chaud qui jaillit par saccades au plus profond de mon ventre, qui m'inonde par vagues successives. Les capteurs intégrés à l'arène mesurent probablement le volume et la force de son éjaculation, données qui s'affichent certainement pour les téléspectateurs avides.
["Volume d'éjaculat : 23ml. Température : 37,2°C. Vélocité : élevée," commente froidement la voix artificielle, transformant même cet acte intime en statistiques pour l'audience.]
Il reste ainsi, planté en moi, savourant les dernières contractions de mon sexe autour du sien. Son poids m'écrase contre le sol, son souffle chaud contre mon cou. Nos corps sont collés par la sueur, unis dans cet acte primitif exposé aux yeux du monde.
"T'es une bonne petite chienne finalement," murmure-t-il à mon oreille, assez bas pour que seuls les micros les plus proches captent ses paroles. "On va bien s'amuser toi et moi dans cette arène."
Il se retire lentement, son membre toujours semi-rigide glissant hors de moi avec un bruit humide obscène. La caméra zoome immédiatement sur mon sexe béant, rougi et dilaté par son assaut, d'où s'écoule maintenant son sperme épais en filets blanchâtres.
["Extraction complète," annonce la voix. "Premier accouplement réussi."]
Vince se redresse, présentant fièrement son sexe luisant de nos fluides mélangés aux caméras. "Premier point pour moi," déclare-t-il en me regardant, allongée et vulnérable sous lui. "Et ce n'est que le début, ma jolie. J'en ai encore deux à prendre avant d'être disqualifié."
Les statistiques s'affichent sur les écrans des spectateurs : Maya 0, Vince 1, Jayden 0, Rick 0. Des paris en temps réel sont probablement lancés sur le prochain chasseur qui me trouvera, sur le nombre total d'accouplements que je subirai avant la fin de l'émission.
["Phase de récupération activée," annonce la voix. "Chasseur et proie disposent de cinq minutes de répit avant la reprise du jeu."]
Vince s'assoit à côté de moi, rearrangeant sa combinaison déchirée. Son regard parcourt mon corps exposé, marqué, souillé. "Tu es plus résistante que les précédentes," remarque-t-il. "Elles pleuraient toutes après le premier round."
Je garde le silence, rassemblant mes forces. Mon esprit calcule déjà comment retourner la situation à mon avantage. Cinq minutes de répit, c'est ce que dit le règlement. Vince semble détendu, satisfait, son garde est baissée.
["Première confrontation terminée," annonce la voix métallique. "Temps restant avant reprise du jeu : 4 minutes et 23 secondes."]
Vince se penche vers moi, caressant presque tendrement ma joue. "La prochaine fois, je m'occuperai de ton joli petit cul," promet-il. "Ou peut-être de ta bouche. Qu'est-ce que tu préférerais, ma jolie? Dis-le aux caméras."
Je respire profondément, sentant son sperme qui coule lentement entre mes cuisses. Mon corps est douloureux, mais mon esprit reste lucide. Le jeu ne fait que commencer, et malgré cette première défaite, je n'ai pas l'intention de me laisser prendre si facilement la prochaine fois.
["Temps restant : 3 minutes," informe la voix.]
Les caméras continuent de tourner, captant ma vulnérabilité momentanée, anticipant déjà la suite des événements. Les producteurs doivent jubiler devant leurs écrans – le premier accouplement a été brutal, visuel, parfait pour les audiences. Mais ils ne savent pas encore que j'ai plus d'un tour dans mon sac.
Vince commence à se relaxer complètement, s'étirant comme un grand félin satisfait. Il commet l'erreur que j'espérais – il me sous-estime.
["Temps restant : 2 minutes."]
Je commence à me redresser lentement, feignant l'épuisement total. Vince sourit, pensant que je tente simplement de retrouver une position plus confortable. Son regard est distant, probablement en train de savourer sa victoire et d'anticiper ses prochaines prises.
"Tu ferais mieux de rester allongée," conseille-t-il avec un sourire condescendant. "Tu vas avoir besoin de forces pour ce qui t'attend."
Je hoche faiblement la tête, jouant la femme soumise et brisée. Ma main glisse discrètement vers une poche cachée de ma combinaison déchirée.
["Temps restant : 1 minute."]
Le moment approche. Vince tourne légèrement la tête, distrait par un bruit dans les fourrés – probablement un des autres chasseurs qui s'approche, attiré par les sons de notre accouplement.
"On dirait que la compétition arrive," dit-il en plissant les yeux pour scruter la forêt. "Je devrais peut-être marquer mon territoire en te baisant une deuxième fois immédiatement."
C'est l'ouverture que j'attendais. Ma main trouve le petit dispositif caché dans ma combinaison – un taser rudimentaire autorisé par le règlement. Avant qu'il ne puisse réagir, je presse l'appareil contre sa cuisse et active la décharge.
Son corps massif se raidit sous le choc électrique. Un cri étranglé s'échappe de sa gorge tandis qu'il s'effondre sur le côté, ses muscles momentanément paralysés.
["Neutralisation temporaire détectée," annonce la voix artificielle, surprise évidente dans son ton programmatique. "Avantage à la proie."]
Je me redresse rapidement, ignorant la douleur entre mes jambes et le sperme qui coule le long de mes cuisses. Les drones-caméras s'agitent frénétiquement autour de moi, captant ce renversement inattendu de situation.
["La traque reprend avec un handicap temporaire pour le chasseur Vince," informe la voix. "Durée estimée de la paralysie : 17 minutes."]
C'est plus que je n'espérais. Dix-sept minutes pour m'éloigner, me cacher, préparer ma stratégie pour la suite. Je ramasse rapidement des morceaux de ma combinaison déchirée pour couvrir stratégiquement certaines parties de mon corps – pas par pudeur, mais pour me protéger de l'environnement de l'arène.
"Tu... tu me paieras ça," articule péniblement Vince, son corps toujours secoué de spasmes incontrôlables. "Je vais te retrouver et te faire supplier."
Je me penche vers lui, sachant que les caméras capturent chaque détail. "Peut-être," je murmure à son oreille. "Mais la prochaine fois, ce sera à mes conditions."
Me redressant, je m'adresse directement à une caméra proche : "Un point chacun, mais le jeu ne fait que commencer. Qu'ils viennent tous. Je suis prête."
Je m'éloigne rapidement, disparaissant dans les fourrés denses, laissant Vince impuissant derrière moi. Son rugissement de frustration résonne dans la forêt artificielle, promesse d'une vengeance brutale lorsqu'il retrouvera ses forces.
Les statistiques ont changé : Maya 1, Vince 1, Jayden 0, Rick 0. Le message est clair pour les téléspectateurs et les chasseurs – cette proie ne sera pas facile à soumettre complètement.
Quelque part dans l'arène, Jayden et Rick ont certainement vu ce qui vient de se passer. Ils savent maintenant qu'ils doivent être plus prudents, plus stratégiques. La chasse vient de devenir plus intéressante.
La voix métallique résonne une dernière fois avant que je ne m'enfonce complètement dans la végétation :
["Phase deux du jeu engagée. Tous les participants sont avertis : les enjeux viennent d'augmenter."]
Un frisson parcourt mon échine – à la fois d'appréhension et d'excitation. La suite promet d'être encore plus intense. Mais cette fois, je ne serai pas prise par surprise.
*Australie 2050 : Get her and fuck - Épisode 7, Round 2*
Les heures qui suivent ma première confrontation avec Vince sont un mélange de fuite et de stratégie. J'ai appris ma leçon – dans cette arène, être uniquement sur la défensive ne me mènera nulle part. L'aube du deuxième jour teinte le ciel artificiel d'un rose orangé parfaitement calibré pour les caméras. Les concepteurs de l'arène ont programmé un cycle jour-nuit accéléré pour maximiser les variations d'ambiance.
[Les statistiques flottent en hologrammes semi-transparents au-dessus de ma tête: "Maya : 1 neutralisation . Vince : 1 accouplement réussi, Jayden : 0 accouplement. Rick : 0 accouplement."]
Ma combinaison est en lambeaux après la rencontre avec Vince. Les morceaux restants cachent à peine certaines parties de mon anatomie, créant un effet visuel que les caméras ne se lassent pas de filmer. Je boîte légèrement – les séquelles de la brutalité de Vince se font encore sentir entre mes jambes.
["Attention téléspectateurs," annonce la voix métallique. "La proie semble avoir changé de stratégie. Les paris sont ouverts sur sa prochaine action."]
Effectivement, j'ai changé d'approche. Plutôt que de continuer à fuir, je vais attirer un chasseur de mon choix, dans un environnement que je contrôle. C'est risqué, mais nécessaire si je veux avoir une chance de gagner.
J'ai repéré un petit lac artificiel dans le secteur est de l'arène. Ses eaux cristallines sont peu profondes près des berges, avec une petite cascade qui crée une ambiance sonore parfaite – assez bruyante pour masquer certains sons, mais pas trop pour empêcher la communication. Surtout, plusieurs rochers offrent des cachettes stratégiques.
"Analyse tactique en cours," commente la voix artificielle alors que j'examine les lieux. "La proie semble préparer une embuscade."
Les téléspectateurs doivent être en effervescence. C'est rare qu'une proie prenne l'initiative de cette manière. Je commence à laisser des traces évidentes – empreintes dans la boue, branches cassées, même quelques gouttes de sang provenant d'une égratignure que je m'inflige volontairement au bras. L'odeur du sang attirera à coup sûr les chasseurs, qui ont été sélectionnés en partie pour leur odorat développé.
Arrivée au lac, je retire délibérément ce qui reste de ma combinaison. La nudité me rend vulnérable, mais aussi plus mobile. Et surtout, c'est un appât irrésistible. Les caméras drones tournoient autour de moi, capturant sous tous les angles mon corps nu qui porte encore les marques de ma rencontre avec Vince – suçons sur mes seins, traces de doigts sur mes hanches, légères irritations entre mes cuisses.
["La proie est maintenant entièrement dénudée," annonce la voix métallique. "Taux d'audience en hausse de 34% en dix secondes."]
Je plonge dans l'eau fraîche, savourant la sensation de pureté qu'elle m'apporte. Le lac est maintenu à une température idéale – assez fraîche pour durcir mes tétons et créer une réaction visuelle, mais pas assez froide pour être inconfortable. Je commence à me laver ostensiblement, m'attardant sur certaines zones érogènes. Mes mains glissent sur mes seins, les caressant lentement, puis descendent vers mon ventre plat, et enfin entre mes cuisses.
["Stimulation auto-érotique détectée," commente la voix. "Les niveaux de phéromones dans l'arène augmentent significativement."]
C'est exactement ce que je veux. Les phéromones attireront les chasseurs, et le spectacle que j'offre les rendra négligents. Je me tourne vers une caméra, écartant légèrement mes jambes pour offrir une vue imprenable sur mon intimité que je caresse langoureusement.
"Un message pour les chasseurs," je murmure, sachant que ma voix sera diffusée dans toute l'arène. "Je vous attends. Question est... êtes-vous à la hauteur?"
Moins de vingt minutes plus tard, je détecte un mouvement dans les fourrés bordant le lac. Les branchages s'écartent pour révéler Jayden, le champion de MMA. Contrairement à Vince qui misait sur sa force brute, Jayden est plus félin, plus calculateur. Son corps est différent aussi – moins massif mais incroyablement défini, chaque muscle visible sous sa combinaison noire qui épouse ses formes comme une seconde peau.
Il reste à l'orée de la forêt, m'observant. Je fais semblant de ne pas l'avoir repéré, continuant mon bain sensuel. Je lui tourne le dos, m'inclinant légèrement pour lui offrir une vue parfaite de mes fesses qui émergent partiellement de l'eau.
["Température corporelle du chasseur Jayden en hausse rapide," annonce discrètement la voix, mais assez fort pour que je l'entende. "Excitation sexuelle au niveau maximum."]
Je souris intérieurement. Mon plan fonctionne. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, je ne cherche pas à éviter l'accouplement – c'est impossible dans ce jeu. Je cherche plutôt à le contrôler, à décider quand et comment il se produira. Et surtout, à retourner la situation à mon avantage après.
Jayden s'approche silencieusement, ses pas à peine audibles sur la berge rocheuse. Je me retourne soudainement, feignant la surprise.
"Oh," je souffle, jouant la proie effarouchée. "Je pensais être seule."
Ses yeux sombres me dévisagent avec intensité. Un sourire carnassier étire ses lèvres.
"Jolie mise en scène," dit-il d'une voix étonnamment douce qui contraste avec son apparence menaçante. "Tu crois vraiment pouvoir me piéger si facilement?"
Il n'est pas dupe, mais peu importe. L'important est qu'il soit là, là où je l'ai attiré. Je recule légèrement dans l'eau, la faisant onduler autour de mes hanches.
"Qui parle de piège?" je réponds innocemment. "Peut-être que j'avais juste besoin de me rafraîchir."
"Après ta rencontre avec Vince?" Il rit doucement. "J'ai tout vu, tu sais. Comment il t'a prise, comment tu as joui malgré toi, comment tu l'as neutralisé ensuite. Impressionnant."
Il commence à défaire sa combinaison, révélant progressivement son torse sculpté, couvert de tatouages tribaux qui s'étendent jusqu'à ses épaules. Contrairement à Vince qui avait simplement déchiré sa combinaison à l'entrejambe, Jayden prend son temps, se déshabillant méthodiquement.
["Les téléspectateurs apprécient ce striptease improvisé du chasseur Jayden," commente la voix artificielle. "Les paris sur la position qu'il choisira sont ouverts."]
Jayden sourit, conscient du spectacle qu'il offre. Quand il retire finalement le bas de sa combinaison, son érection jaillit, imposante mais différente de celle de Vince – moins longue peut-être, mais d'une circonférence impressionnante, presque intimidante.
"Tu penses avoir l'avantage dans l'eau?" demande-t-il en entrant lentement dans le lac. "Erreur. J'étais champion de natation avant le MMA."
Il plonge subitement, disparaissant sous la surface. Je pivote rapidement, cherchant à anticiper son point de sortie. L'eau trouble légèrement ma vision. Soudain, je sens des mains puissantes agripper mes chevilles sous l'eau et tirer brutalement.
Je perds l'équilibre, tombant en arrière dans l'eau avec un splash retentissant. Avant que je puisse me redresser, Jayden surgit devant moi, m'emprisonnant dans ses bras. Nos corps nus se pressent l'un contre l'autre, son érection se frottant contre mon ventre.
"Tu croyais pouvoir me piéger, salope?" siffle-t-il, abandonnant sa douceur précédente.
L'eau jusqu'à la taille, nous luttons pour la domination. Ses mains glissent sur mon corps mouillé, tentant de trouver prise tandis que je me débats. Mais c'est un combattant professionnel – chacun de ses mouvements est calculé, efficace. En quelques secondes, il parvient à me retourner, plaquant mon torse contre un rocher plat qui émerge partiellement de l'eau.
["Confrontation physique engagée," annonce la voix mécanique. "Avantage significatif pour le chasseur."]
"Pas besoin de commentaires," grogne Jayden vers une caméra drone qui s'approche trop près à son goût.
Ses mains s'emparent de mes seins, les pétrissant violemment. Ses doigts trouvent mes tétons, les pincent jusqu'à la douleur. Je laisse échapper un cri malgré moi, mon corps réagissant instinctivement à la stimulation forcée.
"Tes petits tétons sont déjà durs," murmure-t-il à mon oreille, son souffle chaud contrastant avec l'eau fraîche. "Tu dis non, mais ton corps dit oui."
Une de ses mains quitte mon sein pour descendre le long de mon ventre, puis entre mes cuisses. Ses doigts habiles écartent mes lèvres intimes, trouvant mon clitoris qu'il frotte en cercles précis. Malgré ma volonté, je sens l'excitation monter. C'est différent de Vince – Jayden semble connaître parfaitement l'anatomie féminine, chaque point sensible, chaque mouvement qui provoque du plaisir.
["Analyse biométrique: excitation rapide de la proie," commente la voix artificielle. "Réactivité sexuelle 27% plus élevée que lors de la précédente rencontre."]
"Tu entends ça?" ricane Jayden. "Ton corps te trahit encore plus vite avec moi. Je sais exactement comment te faire jouir."
Ses doigts accélèrent sur mon clitoris tandis que son autre main malaxe mon sein sans ménagement. Je sens mon souffle s'accélérer, mon corps répondant malgré moi à ses attouchements experts. L'eau clapote autour de nous, rendant chaque sensation plus diffuse, plus enveloppante.
"Pas... si vite," je halète, tentant de conserver un semblant de contrôle.
"Tu n'imposes pas les règles ici," répond-il sèchement. Sa main quitte mon sein pour agripper mes cheveux, tirant ma tête en arrière. "C'est moi qui décide quand et comment tu jouis."
Il insère brusquement deux doigts dans mon sexe, les courbant immédiatement pour atteindre mon point G. Le plaisir explose, me faisant gémir involontairement. Il pompe rapidement, le bruit obscène de ses doigts dans mon intimité humide se mêlant au clapotis de l'eau.
"Je sens que tu es prête," dit-il en retirant ses doigts. "Mais pas pour ce que tu crois."
Sans avertissement, il me soulève et me jette sur la berge, m'étalant à plat ventre sur la surface boueuse. Mes seins s'écrasent dans la boue tiède, l'impact me coupant momentanément le souffle. Avant que je puisse réagir, il est sur moi, son corps musclé plaquant le mien contre le sol.
["Le chasseur Jayden opte pour une approche différente," commente la voix artificielle, presque enthousiaste. "Les téléspectateurs notent l'originalité de sa stratégie."]
Ses mains puissantes écartent brutalement mes fesses, exposant mon anus à la vue de tous. Les caméras zooment sans pudeur sur cette partie intime de mon anatomie.
"Dans ton cul, la proie," grogne-t-il, sa voix devenue rauque de désir. "Je vais te défoncer le trou du cul pour que toute l'Australie voie comme t'es une bonne salope."
La peur me traverse – cette pratique est plus douloureuse, plus invasive. C'est exactement ce qu'il cherche, une domination totale, une humiliation maximale devant les caméras.
"Attends," je souffle, tentant de gagner du temps. "Je n'ai jamais..."
"Menteuse," coupe-t-il. "Les producteurs nous ont tout dit sur ton passé sexuel. Mais t'inquiète pas, je vais quand même y aller... presque doucement."
Il ricane, sachant pertinemment que les téléspectateurs adorent ce mélange de vulnérabilité et de domination brute. Je sens son gland qui se presse contre mon anus, cherchant à forcer l'entrée. La panique monte en moi – sans lubrification, la douleur sera insoutenable.
Comme s'il lisait dans mes pensées, il crache abondamment sur mon orifice anal, utilisant sa salive comme seul lubrifiant. Son pouce force mon sphincter, l'étirant douloureusement pour préparer l'entrée de son membre imposant. Je gémis, mélange de douleur et d'appréhension.
"Détends-toi ou ça fera encore plus mal," murmure-t-il à mon oreille, son ton presque tendre contrastant avec la brutalité de ses actions.
Son gland pousse contre mon anus, la pression augmentant graduellement. Mon sphincter résiste, puis cède soudainement. La tête de son sexe pénètre brutalement mon intimité anale. La douleur est fulgurante, comme un fer rouge qui me déchire de l'intérieur. Mes cris résonnent autour du lac, rebondissant contre les parois rocheuses, amplifiés par l'acoustique naturelle de l'endroit.
["Pénétration anale réussie," annonce froidement la voix. "Première sodomie de la saison."]
Les caméras capturent en gros plan cette intrusion, mon anus étiré au maximum autour de sa circonférence impressionnante. Des larmes coulent sur mes joues, la douleur irradiant dans tout mon bas-ventre.
"Putain, ton cul est serré," grogne Jayden en s'enfonçant centimètre par centimètre. "Plus serré que toutes les précédentes proies."
Il s'immobilise quand il est entièrement en moi, me laissant un moment pour m'adapter à cette invasion. Je sens mon anus palpiter autour de son membre, étiré au-delà de ses limites. La douleur commence lentement à s'estomper, remplacée par une sensation étrange, un mélange d'inconfort et de plaisir naissant que je n'aurais jamais cru possible.
"Voyez comme elle s'adapte bien," commente-t-il pour les caméras qui tournent autour de nous comme des mouches. "Son petit trou s'habitue déjà à ma queue."
Ses va-et-vient débutent lentement, chaque mouvement étirant mon anus douloureux. La boue sous mon ventre est fraîche, contrastant avec la chaleur brûlante de mon intimité violée. Mes seins frottent contre la terre humide à chaque poussée, mes tétons hypersensibles s'irritant contre le sol granuleux.
["Dilatation anale à 84% de la capacité maximale théorique," annonce la voix artificielle. "Adaptation physiologique en cours."]
Jayden accélère progressivement, ses mains agrippant fermement mes hanches pour contrôler chaque mouvement. La douleur est toujours présente, mais quelque chose d'autre commence à émerger – une sensation nouvelle, interdite, qui se répand depuis mon anus vers mon bas-ventre.
"Tu commences à aimer ça, je le sens," dit-il en se penchant sur moi, son torse collé à mon dos. "Ton petit trou se détend, il m'accueille maintenant."
Ses doigts trouvent mon clitoris, le pincent, le malaxent sans douceur. La double stimulation embrase mes sens malgré la violence de l'acte. Un gémissement m'échappe, différent des cris de douleur précédents.
"T'aimes ça, hein, te faire enculer comme une chienne?" grogne-t-il en accélérant ses coups de reins. "Dis-le aux caméras!"
"Je... aaahh..." Les mots se perdent dans mes gémissements. Mon corps répond malgré moi, mon clitoris pulse sous ses doigts brutaux.
Il change d'angle, s'enfonçant encore plus profondément. Son sexe semble toucher des points en moi que je ne connaissais pas. Une vague de plaisir inattendue me submerge quand il frappe un point particulièrement sensible à l'intérieur de mon rectum.
["Elle a trouvé son point P," commente la voix artificielle. "Stimulation indirecte de la zone péri-vaginale via la paroi rectale."]
"Elle aime ça, la salope!" jubile Jayden pour les caméras. "Regardez comme elle mouille pendant que je lui défonce le cul!"
Effectivement, malgré l'absence de pénétration vaginale, je sens l'humidité qui s'écoule entre mes cuisses. La stimulation indirecte de mon point P à travers la paroi qui sépare mon rectum de mon vagin crée des sensations que je n'ai jamais expérimentées auparavant.
Une de ses mains quitte mon clitoris pour s'enfoncer brutalement dans mon sexe. Deux doigts, puis trois étirent ma vulve déjà humide tandis qu'il continue de pilonner mon anus. La double pénétration m'arrache des hurlements de plaisir mêlé de douleur. Jamais je n'ai ressenti une telle intensité.
["Réaction multi-orgasmique imminente," prédit la voix artificielle. "Configuration neurologique rare observée chez seulement 7% des participantes précédentes."]
Jayden intensifie ses mouvements, comprenant qu'il est sur le point de me faire vivre une expérience exceptionnelle. Ses doigts accélèrent dans mon vagin, cherchant avec précision mon point G qu'ils trouvent sans peine, le stimulant en synchronisation parfaite avec les coups de boutoir dans mon anus.
"Jouis pour moi, jouis pour les caméras," ordonne-t-il, sa voix se brisant sous l'effort et l'excitation. "Montre à l'Australie comme tu aimes te faire défoncer le cul!
Mon corps tout entier se tend comme un arc. L'orgasme qui me traverse n'a rien de comparable avec ce que j'ai expérimenté auparavant – il semble partir de mon anus, irradier vers mon vagin, puis exploser dans tout mon corps en vagues successives d'une intensité terrifiante. Mes muscles anaux se contractent violemment autour de son membre, créant un étau de chair palpitante.
["Orgasme anal confirmé," annonce la voix. "Intensité hors échelle conventionnelle. Les capteurs neuraux indiquent une stimulation simultanée de quatre zones érogènes distinctes."]
Je hurle, incapable de contenir l'intensité de ce que je ressens. Mon corps n'est plus qu'un instrument de plaisir, hors de mon contrôle. Mes mains griffent la boue, cherchant désespérément quelque chose à quoi m'accrocher tandis que les vagues de jouissance me submergent sans relâche.
["Jayden marque son premier point!" annonce triomphalement la voix alors qu'il accélère encore ses mouvements.]
Je sens son sexe qui pulse dans mon anus, qui se gonfle encore plus. Ses doigts s'agitent frénétiquement dans mon vagin, prolongeant mon orgasme au-delà du supportable. Mon corps se tend une dernière fois, puis s'effondre, épuisé, alors qu'une ultime vague de plaisir me traverse.
Jayden rugit, s'enfonçant une dernière fois jusqu'à la garde. Son sperme jaillit par jets puissants au plus profond de mes entrailles, chaque pulsation de son membre envoyant une nouvelle décharge de son essence chaude en moi.
["Volume d'éjaculation : 31ml," commente la voix artificielle. "Record de la saison battu."]
"Prends tout!" grogne-t-il en maintenant sa position, son bassin collé contre mes fesses. "Chaque putain de goutte."
Le liquide chaud se répand en moi, semblant ne jamais s'arrêter. Il me maintient plaquée au sol, savourant sa victoire, son sexe toujours enfoui dans mon anus palpitant. Je sens son sperme qui déborde, qui coule le long de mes cuisses quand il se retire finalement.
"T'as aimé ta première sodomie télévisée?" ricane-t-il en me retournant pour que les caméras puissent filmer mon visage rouge et mon anus dilaté qui se contracte, laissant échapper un filet de sperme blanchâtre.
Mon corps est épuisé, mais mon esprit reste alerte. C'est le moment que j'attendais – ces quelques secondes post-orgasmiques où le chasseur baisse sa garde, savourant sa victoire. Jayden se tient au-dessus de moi, admirant son œuvre, mon corps souillé et marqué par son passage.
["Les téléspectateurs sont enthousiastes," annonce la voix artificielle. "Satisfaction de l'audience à 97%, un record pour cette saison."]
"Tu vois," me dit Jayden en se penchant vers moi, "c'est ça que le public veut. La vraie soumission, pas ces petits jeux de cache-cache."
Son visage est à quelques centimètres du mien, son souffle chaud contre ma joue. Ses yeux parcourent mon corps avec satisfaction, s'attardant sur mon anus rougi et dilaté, sur les traces de son sperme qui coule entre mes cuisses.
"Tu sais ce qui va se passer maintenant?" Il sourit, confiant. "Je vais te laisser récupérer un peu, puis je reviendrai pour utiliser ta jolie petite bouche. Et cette fois, je filmerai ton visage pendant que tu avales."
C'est le moment. Profitant de sa proximité et de sa garde baissée, j'active le dernier gadget caché dans ce qui reste de ma combinaison - un petit taser déguisé en ornement corporel que j'avais stratégiquement placé dans mes cheveux. Le choc électrique le frappe directement à la tempe, provoquant une paralysie immédiate.
"PUTAIN!" hurle-t-il avant que ses muscles ne se figent. Son corps massif s'effondre sur le côté, convulsant sous l'effet de la décharge.
["Neutralisation temporaire réussie," informe la voix métallique, la surprise évidente dans son ton programmé. "Chasseur Jayden hors-jeu pour les 45 prochaines minutes."]
Je me redresse péniblement, chaque mouvement réveillant la douleur dans mon anus malmené. Le sperme continue de s'écouler entre mes cuisses, mais je n'ai pas le temps de m'en préoccuper. Les caméras tournent frénétiquement autour de moi, captant ce renversement de situation inattendu.
["Statistiques mises à jour," annonce la voix. "Maya : 2 neutralisations temporaires. Jayden : 1 point."]
Je ramasse quelques morceaux de ma combinaison déchirée, les utilisant pour essuyer sommairement les fluides qui coulent le long de mes jambes. Puis je me penche vers Jayden, dont le corps est toujours secoué de spasmes incontrôlables.
"Merci pour l'orgasme," je murmure à son oreille, sachant que les micros capturent chaque mot. "C'était... éducatif."
Ses yeux me fixent avec rage, seule partie de son corps qu'il peut encore contrôler. Je vois sa frustration, sa colère, mais aussi une forme de respect réticent.
"La prochaine fois," articule-t-il difficilement entre ses dents serrées, "pas de... gadgets. Juste toi... et moi."
Je souris, caressant sa joue dans un geste faussement tendre. "On verra qui piègera l'autre, chasseur."
Me redressant complètement, je m'adresse directement aux caméras, sachant que des millions de téléspectateurs sont suspendus à mes lèvres.
"Deux chasseurs neutralisés, un à venir," je déclare avec une assurance nouvelle. "Rick, je t'attends. Mais attention... je ne suis plus celle que tu crois."
Je m'éloigne du lac, laissant Jayden immobilisé sur la berge boueuse. Son corps nu et impuissant sera certainement une source d'humiliation quand les autres chasseurs le trouveront ainsi. Cela ajoutera de la tension entre eux, un autre élément que je peux exploiter.
Les drones-caméras me suivent alors que je pénètre dans la forêt dense, à la recherche d'un abri où récupérer. Mon corps porte les marques des deux chasseurs – les ecchymoses laissées par Vince, la douleur rectale infligée par Jayden – mais mon esprit est plus fort que jamais.
"Nouvelle phase du jeu initiée," annonce la voix artificielle dans toute l'arène. "Le rapport de force évolue. Tous les paris sont ouverts."
Quelque part dans cette arène, Rick m'attend. Le dernier chasseur, celui qui se croit certainement le plus intelligent, le plus stratégique. Il a vu ce qui est arrivé aux autres. Il sera prudent, calculateur.
Parfait. Car maintenant, je ne suis plus simplement une proie. Je suis devenue une prédatrice à mon tour.
* Australie 2050 : Get Her and Fuck - Episode 7 - Round 3*
L'arène se transforme alors que le jeu entre dans sa phase finale. Les producteurs ont programmé un changement spectaculaire pour marquer ce moment décisif – le ciel artificiel vire au rouge sang tandis que des barrières énergétiques poussent inexorablement tous les participants vers le centre de l'arène.
["Attention à tous les participants et téléspectateurs," annonce la voix métallique qui résonne dans tout le complexe. "Phase finale activée. Convergence forcée vers la structure centrale dans 30 minutes."]
Je me déplace avec précaution, chaque pas réveillant les douleurs des confrontations précédentes. Mon corps porte les marques de ces rencontres brutales – les ecchymoses laissées par les mains de Vince sur mes hanches, les irritations causées par la sodomie forcée de Jayden. Les restes déchirés de ma combinaison s'accrochent encore à quelques parties de mon corps, offrant une protection dérisoire.
[Les statistiques actuelles s'affichent en hologrammes géants au-dessus de l'arène : "Maya : 2 neutralisations. Vince : 1 point. Jayden : 1 point. Rick : 0 point."
"L'audience atteint des sommets inégalés," commente la voix artificielle avec une note de satisfaction évidente. "156 millions de téléspectateurs connectés en simultané à travers le monde."]
Au loin se dresse l'imposante structure centrale – une construction futuriste faite d'acier brossé, de verre intelligent et de panneaux holographiques. Haute de trois étages, elle représente l'ultime arène dans l'arène, spécialement conçue pour les confrontations finales. Ses surfaces réfléchissantes rendent difficile l'estimation de sa taille réelle ou la localisation de ses entrées.
Je m'approche prudemment, consciente que les autres chasseurs convergent également vers ce point. Les drones-caméras sont plus nombreux ici, voletant comme un essaim d'insectes métalliques, leurs objectifs capturant chaque expression, chaque mouvement, chaque goutte de sueur qui perle sur ma peau.
["Analyse tactique en cours," annonce la voix alors que j'examine la structure. "La proie adopte une approche prudente."]
L'entrée principale est un portail béant, délibérément intimidant, comme la gueule ouverte d'un prédateur mécanique. Au-dessus, un écran géant retransmet en direct les positions des quatre participants. Je constate que Vince et Jayden sont encore à plusieurs centaines de mètres, tandis que Rick…
Un frisson parcourt mon échine lorsque je réalise qu'il n'apparaît nulle part sur la carte.
["Attention," murmure la voix à un volume délibérément bas, comme pour partager un secret avec les téléspectateurs. "Le chasseur Rick a désactivé son traceur biométrique. Sa position est actuellement inconnue."]
Cette information fait monter l'adrénaline dans mes veines. Rick n'est pas seulement invisible pour moi – il est invisible pour le système lui-même. Une violation des règles? Non, probablement une "fonctionnalité spéciale" débloquée pour la phase finale, destinée à intensifier le suspense.
Je pénètre dans la structure, mes pieds nus produisant un léger bruit de succion sur le sol en polymère high-tech. L'intérieur est un labyrinthe de corridors aux parois tantôt transparentes, tantôt opaques, certaines réfléchissantes, d'autres absorbant toute lumière. La température est parfaitement régulée – ni chaude ni froide – mais l'air porte une légère charge électrostatique qui fait se dresser les poils de mes bras.
["Bienvenue dans le Nexus," annonce la voix artificielle. "Structure finale activée. Règles spéciales en vigueur."]
Je progresse lentement, tous mes sens en alerte. Le sol change subtilement de texture sous mes pieds, devenant plus souple, presque organique. Les couloirs semblent se reconfigurer derrière moi, m'empêchant de rebrousser chemin. C'est une progression à sens unique, vers le cœur de la structure.
["Configuration spatiale adaptative initiée," informe la voix. "Le Nexus réagit aux participants."]
Je comprends alors – la structure elle-même est consciente, programmée pour s'adapter à nos mouvements, à nos stratégies, peut-être même à nos émotions. Elle nous pousse inexorablement vers une confrontation inévitable.
Après plusieurs minutes de progression dans ce dédale mouvant, j'atteins ce qui semble être le cœur du Nexus – une vaste chambre circulaire d'environ quinze mètres de diamètre. Le sol est recouvert d'une matière qui évoque un tapis de mousse ultra-dense, presque liquide sous la pression, conçue pour amortir les chutes tout en offrant une adhérence parfaite.
Les murs sont constitués d'écrans panoramiques haute définition qui projettent actuellement une vue à 360 degrés de l'extérieur de la structure, comme si les parois étaient transparentes. Je vois Vince et Jayden qui approchent, chacun par un chemin différent, leurs expressions déterminées capturées en gros plan par des caméras volantes.
Au centre de la pièce se trouve une plateforme surélevée, éclairée par un faisceau de lumière blanche éblouissante descendant du plafond. On dirait presque un autel sacrificiel moderniste.
["Chambre de confrontation finale activée," annonce solennellement la voix. "Préparation pour résolution décisive du jeu."]
Je m'avance prudemment vers la plateforme centrale, cherchant à comprendre son but. Un léger bourdonnement émane de sa surface, suggérant une technologie active sous le revêtement.
C'est alors qu'une sensation bizarre me parcourt – comme un souffle glacé sur ma nuque, un picotement instinctif qui me hurle la présence d'un danger imminent. Je pivote brusquement.
Rick se tient à l'entrée de la chambre, immobile et silencieux comme une statue. Contrairement à nos précédentes rencontres fugaces dans l'arène, je peux maintenant l'observer en détail. Grand, la quarantaine imposante, son corps est un témoignage de décennies d'entraînement militaire – musclé sans excès, fonctionnel plutôt qu'esthétique. Son visage présente une cicatrice qui traverse sa joue gauche, souvenir d'un combat passé. Ses yeux gris acier m'évaluent froidement, calculant, analysant chaque détail.
["Confrontation finale initiée," déclare la voix alors que les entrées de la chambre se scellent simultanément derrière Rick, nous enfermant tous deux dans cet espace confiné.
"Règle spéciale activée," continue la voix avec une emphase dramatique. "Le vainqueur de cette confrontation remporte l'intégralité de la compétition, indépendamment des scores précédents."]
Les écrans muraux changent soudainement, affichant maintenant nos deux visages en gros plan, capturant chaque microexpression, chaque dilatation pupillaire, chaque goutte de sueur. Des graphiques biométriques s'affichent en superposition – rythme cardiaque, niveau d'adrénaline, tension musculaire, excitation sexuelle.
"Fin de partie, ma belle," dit Rick, sa voix étonnamment calme et posée. Contrairement à la brutalité primale de Vince ou à l'intensité prédatrice de Jayden, Rick dégage une aura de contrôle absolu, de calcul froid.
"Tu es différente des autres proies," continue-t-il en faisant quelques pas dans ma direction. "Les précédentes suppliaient pour qu'on les épargne, ou tentaient désespérément de séduire leur chasseur."
Il s'arrête à quelques mètres de moi, son regard parcourant délibérément mon corps meurtri, s'attardant sur les marques laissées par les précédentes confrontations.
"Mais toi," poursuit-il avec une note presque respectueuse, "tu as transformé la chasse. Tu as neutralisé mes deux concurrents après qu'ils t'aient possédée. Impressionnant."
["Analyse conversationnelle en cours," commente inutilement la voix artificielle. "Tension psycho-sexuelle détectée. Niveau d'engagement de l'audience : maximal."]
Rick commence à défaire sa combinaison, révélant progressivement sa peau marquée par les cicatrices de nombreux combats. Contrairement aux autres chasseurs qui avaient arraché leurs vêtements dans un accès de passion bestiale, ses gestes sont méthodiques, précis, presque cliniques.
"Je ne vais pas commettre les mêmes erreurs qu'eux," explique-t-il tout en continuant à se déshabiller. "Ils t'ont sous-estimée. Ils ont pensé que la domination physique suffisait."
Complètement nu maintenant, il révèle un physique moins imposant que Vince, moins athlétique que Jayden, mais dénotant une force dense, compacte, une fonctionnalité pure plutôt qu'une recherche esthétique. Son membre viril, semi-érigé, est de taille moyenne – ni monstrueux comme celui de Vince, ni exceptionnellement épais comme celui de Jayden – mais parfaitement proportionné à son corps.
["Détection d'une approche stratégique différente," signale la voix artificielle. "Le chasseur Rick emploie des techniques psychologiques avancées."]
Rick sourit légèrement à ce commentaire, confirmant silencieusement l'analyse du système.
"Sais-tu pourquoi j'ai attendu?" demande-t-il en commençant à décrire un cercle autour de moi, comme un prédateur évaluant sa proie. "Pourquoi je ne t'ai pas traquée immédiatement comme les autres?"
Il s'arrête derrière moi, si proche que je peux sentir sa chaleur sur mon corps nu, son souffle effleurant ma nuque.
"J'ai observé," murmure-t-il à mon oreille. "J'ai appris tes forces, tes faiblesses, tes réactions. J'ai vu comment tu gérais Vince et Jayden. Comment tu les laissais prendre ce qu'ils voulaient avant de retourner la situation."
Ses mains se posent légèrement sur mes épaules, une touche à peine perceptible qui envoie pourtant des frissons le long de ma colonne vertébrale.
"Et surtout," poursuit-il en contournant de nouveau mon corps pour me faire face, "j'ai vu comment ton corps réagissait malgré toi. Comment tu jouissais sous leurs assauts. Comment la honte de ce plaisir se mêlait à ta détermination."
Les écrans muraux affichent maintenant des gros plans alternés de nos visages, capturant ce duel psychologique dans ses moindres détails. Des statistiques en temps réel indiquent l'engagement de l'audience – jamais l'émission n'a connu de tels chiffres.
["Augmentation significative des paramètres d'excitation chez la proie," annonce la voix, trahissant la réaction physiologique que je tente de dissimuler.]
Rick sourit à cette information, confirmant qu'il a accès en temps réel à mes données biométriques – avantage tactique considérable dans ce jeu de manipulation psychologique.
"Tu vois," dit-il en pointant vers un des écrans affichant mes constantes vitales, "ton esprit peut mentir, mais ton corps ne ment jamais. C'est la beauté de ce jeu."
Il s'approche encore, réduisant l'espace entre nous à quelques centimètres à peine. Je peux sentir son odeur – un mélange de sueur propre et d'un parfum subtil, presque métallique.
"Je pourrais te prendre comme eux," continue-t-il, sa voix descendant d'une octave. "Te plaquer contre cette plateforme, écarter tes jambes et te posséder brutalement. Tu résisterais, puis ton corps céderait, comme avant."
Sa main effleure ma joue dans un geste faussement tendre.
"Mais ce serait..." il cherche le mot juste, "...ordinaire. Et tu n'es pas une proie ordinaire."
Il recule soudainement d'un pas, créant un espace inattendu entre nous.
"Je veux que tu comprennes quelque chose de fondamental," dit-il avec une intensité nouvelle. "Dans cette arène, la véritable victoire n'est pas physique. Elle est psychologique."
Il fait un geste large englobant les écrans muraux, les caméras flottantes, la structure entière.
"Tout ceci est conçu pour une chose : la soumission volontaire. Pas la défaite forcée, mais l'acceptation consciente de sa défaite."
Mon rythme cardiaque s'accélère alors que je saisis pleinement sa stratégie. Il ne cherche pas simplement à me dominer physiquement – il veut que je me rende, que je choisisse de me soumettre. Une défaite totale, de l'esprit autant que du corps.
["Configuration spéciale activée," annonce soudain la voix artificielle. "Protocole de choix final initié."]
La plateforme centrale s'illumine davantage, projetant un cercle de lumière parfait autour de nous deux.
["Participants, attention," continue la voix. "Selon le protocole final, la proie dispose maintenant d'un choix décisif : se soumettre volontairement ou résister jusqu'au bout. Ce choix déterminera la nature de la résolution finale."]
Rick sourit, visiblement satisfait de cette tournure des événements – probablement orchestrée avec les producteurs bien avant le début de l'émission.
"Voilà ton véritable test," dit-il doucement. "Pas de fuite possible, pas d'astuces technologiques, pas de gadgets cachés. Juste un choix pur et simple."
Les écrans muraux affichent maintenant un compte à rebours géant : 60 secondes pour prendre ma décision. Des graphiques en temps réel montrent les paris des téléspectateurs sur mon choix – l'audience est divisée presque exactement en deux.
"Un million de dollars contre ta dignité," murmure Rick, son regard plongé dans le mien. "La question est simple : jusqu'où es-tu prête à aller pour gagner?"
Je comprends maintenant le piège parfait qu'il a élaboré. Si je refuse de me soumettre, je perds automatiquement la compétition selon les nouvelles règles. Si j'accepte, je gagne peut-être financièrement, mais je perds sur un plan plus profond, psychologique.
["30 secondes restantes," annonce la voix.]
Rick s'approche à nouveau, son membre maintenant complètement érigé – non pas par excitation primale comme les autres chasseurs, mais comme un outil calculé de domination psychologique.
"Agenouille-toi," ordonne-t-il simplement.
Les caméras se rapprochent, capturant ce moment décisif sous tous les angles possibles. L'audience mondiale retient son souffle, des millions de personnes suspendues à mon choix.
["10 secondes."]
Dans un geste lent, délibéré, calculé, je m'agenouille devant lui. Les écrans explosent en statistiques folles – l'audience atteint des sommets inimaginables, les paris virtuels s'enchaînent à une vitesse vertigineuse.
["Soumission volontaire enregistrée," déclare la voix artificielle. "Phase finale initiée."]
Rick me regarde de haut, savourant ce moment de victoire psychologique. Son membre rigide se trouve maintenant à quelques centimètres de mon visage, la démonstration physique de sa domination.
"C'est ça," approuve-t-il doucement. "Montre au monde entier ce que signifie vraiment la défaite."
Il saisit mes cheveux fermement mais sans brutalité excessive, guidant mon visage vers son sexe. Ses gestes sont contrôlés, méthodiques, dénués de la frénésie animale qui caractérisait les autres chasseurs.
"Ouvre la bouche," ordonne-t-il.
Les caméras capturent en gros plan mes lèvres qui s'entrouvrent, mon regard qui monte vers lui, la tension évidente sur mon visage.
"Parfait," murmure-t-il. "Maintenant, prends-le. Lentement."
Son gland franchit la barrière de mes lèvres, s'insinuant dans ma bouche avec une délibération calculée. Contrairement aux autres chasseurs qui imposaient leur rythme brutal, Rick me laisse adapter progressivement, comprenant que cette lente progression est psychologiquement plus dévastatrice qu'une intrusion violente.
["Analyse des mouvements buccaux en cours," commente cliniquement la voix artificielle. "Participation active détectée. Confirmation de soumission volontaire."]
Ce commentaire fait sourire Rick – il sait parfaitement que cette "participation active" est un élément crucial de sa stratégie de domination. Il ne veut pas simplement utiliser ma bouche, il veut que je participe activement à ma propre défaite.
"C'est ça," encourage-t-il alors que je commence à le caresser de ma langue. "Montre à l'audience que tu choisis consciemment de me servir."
Les écrans muraux changent encore, affichant maintenant non seulement nos images, mais aussi les réactions sélectionnées de téléspectateurs du monde entier – leurs expressions de fascination morbide, d'excitation, de jubilation devant ce spectacle d'humiliation consentie.
["Audience mondiale confirmée : 214 millions de connexions simultanées," annonce la voix. "Record absolu historique pour tout programme de divertissement."]
Les mains de Rick encadrent mon visage, guidant mes mouvements en douceur mais avec fermeté. Son membre glisse plus profondément dans ma bouche, touchant parfois le fond de ma gorge, me faisant lutter contre le réflexe nauséeux.
"Regarde la caméra principale," ordonne-t-il en désignant du menton l'objectif qui flotte directement face à nous. "Je veux que le monde voie ton regard pendant que tu me suces."
Je lève les yeux vers la caméra, consciente de l'image que je projette – à genoux, les lèvres étirées autour de son sexe, des larmes involontaires perlant au coin de mes yeux. C'est l'apogée de l'humiliation publique, exactement ce que les producteurs et l'audience attendaient depuis le début.
"Parfait," approuve Rick. "Maintenant tous comprennent ce qu'est la vraie soumission."
Son rythme s'accélère légèrement, ses mains fermement ancrées dans mes cheveux. La salive s'écoule abondamment de ma bouche, coulant sur mon menton puis sur mes seins exposés. Les caméras zooment sur ces détails intimes, ne laissant rien à l'imagination des spectateurs.
"Le savoir est pouvoir," philosophe Rick entre deux respirations plus profondes. "J'ai étudié tes réactions avec les autres chasseurs. Je connais les points exacts où tu cèdes au plaisir malgré toi."
Sa main descend vers ma gorge, qu'il entoure délicatement mais fermement – pas assez pour couper ma respiration, juste assez pour sentir les mouvements de déglutition lorsque son membre pousse contre le fond de ma gorge.
"Tu sens ça?" demande-t-il, sa voix légèrement plus rauque maintenant. "Le moment précis où tu perds le contrôle, où ton corps accepte l'intrusion."
Il a raison, et les capteurs biométriques le confirment – mon corps réagit malgré ma volonté. Une chaleur traîtresse s'installe dans mon bas-ventre, mes tétons se durcissent, une humidité s'accumule entre mes cuisses. Ces réactions physiologiques s'affichent impitoyablement sur les écrans environnants.
["Excitation sexuelle de la proie en hausse constante," confirme la voix artificielle. "Réponse physiologique autonome détectée."]
Rick sourit à cette annonce, son regard alternant entre mon visage et les écrans de données biométriques.
"Même dans la défaite, ton corps cherche le plaisir," constate-t-il. "C'est fascinant, n'est-ce pas? Cette dualité entre l'esprit qui résiste et le corps qui cède."
Son rythme augmente progressivement, ses mouvements devenant plus profonds, plus insistants. Son membre pousse maintenant régulièrement contre l'entrée de ma gorge, me forçant à réprimer mes réflexes naturels. Les larmes coulent librement sur mes joues, mélange de réaction physiologique et d'humiliation profonde.
"Tu pleures," remarque-t-il, son pouce essuyant une larme. "Est-ce de honte? De frustration? Ou simplement une réaction physique?"
Il n'attend pas ma réponse – impossible à donner dans ma position actuelle. Ses poussées deviennent plus rythmiques, son souffle s'accélère légèrement.
"Je veux que tu comprennes quelque chose," dit-il, sa voix maintenant plus tendue, trahissant son excitation croissante. "Ce n'est pas juste ton corps que je possède en ce moment. C'est ton image, ton identité publique."
Il désigne d'un geste les écrans montrant les réactions de l'audience mondiale.
"À partir d'aujourd'hui, peu importe ce que tu feras de ta vie, des millions de personnes te reconnaîtront comme la femme qui s'est agenouillée volontairement, qui a choisi sa défaite."
Cette vérité cruelle amplifie l'humiliation à un niveau presque insupportable. Je réalise pleinement les implications à long terme de ce moment – cette image me suivra toujours, définira ma personne publique pour les années à venir.
Les mouvements de Rick deviennent plus erratiques, son membre pulsant légèrement dans ma bouche – signes avant-coureurs de son orgasme imminent.
["Préparation à l'éjaculation détectée," annonce cliniquement la voix artificielle. "Probabilité d'orgasme du chasseur dans les 30 secondes : 92%."]
Rick ralentit délibérément, prolongeant le moment, maximisant la tension dramatique pour l'audience. Ses mains encadrent fermement mon visage, m'immobilisant complètement.
"Regarde-moi maintenant," ordonne-t-il, son regard plongeant dans le mien. "Je veux voir tes yeux quand je jouirai dans ta gorge. Je veux que tu comprennes pleinement ta position."
Nos regards se verrouillent dans une intimité perverse, captée en gros plan par les caméras flottantes. Son membre pulse plus fortement, annonçant l'imminence de sa libération.
"Avale tout," commande-t-il, sa voix rauque. "Jusqu'à la dernière goutte."
C'est précisément ce moment de vulnérabilité maximale que j'attendais depuis le début. Alors que Rick est entièrement concentré sur son plaisir imminent, ses défenses mentales abaissées par l'approche de l'orgasme, j'active mon dernier recours – non pas un gadget externe qui serait interdit par les règles, mais une modification biologique préalablement implantée.
Une capsule de neurotoxine temporaire, chirurgicalement dissimulée sous ma langue avant même mon entrée dans l'arène, que je mords délicatement à cet instant précis. Le composé se mélange instantanément à ma salive, entrant en contact avec les muqueuses sensibles de son pénis.
Cette substance n'aurait aucun effet par simple contact avec la peau ordinaire, mais les tissus érectiles de son membre, gorgés de sang et ultra-réceptifs dans cet état d'excitation extrême, l'absorbent instantanément.
Rick ne remarque rien dans l'immédiat, interprétant certainement la légère pression de mes dents comme une stimulation supplémentaire. Son bassin pousse une dernière fois, son membre s'enfonçant profondément dans ma gorge alors que les premières contractions de son orgasme commencent.
"Je vais... jouir," annonce-t-il, son visage se crispant dans l'expression caractéristique du plaisir ultime.
Les premiers jets de son sperme frappent le fond de ma gorge au moment précis où la neurotoxine commence à faire effet. Je déglutis docilement, maintenant le contact prolongé entre les muqueuses de sa verge et le composé actif.
["Rick marque son..." commence la voix artificielle avant de s'interrompre brusquement, détectant l'anomalie qui se produit.]
L'expression de Rick change brutalement, passant de l'extase orgasmique à la confusion la plus totale. Son éjaculation se poursuit mais ses jambes commencent à trembler, non pas de plaisir mais de faiblesse soudaine. Ses mains relâchent leur emprise sur mes cheveux alors qu'il lutte visiblement pour comprendre ce qui lui arrive.
"Qu'est-ce que... tu as..." balbutie-t-il, son orgasme toujours en cours mais son corps perdant rapidement toute force.
Je me dégage lentement, me relevant tandis qu'il s'effondre graduellement sur ses genoux. Nos positions s'inversent dans une symétrie parfaite – lui maintenant agenouillé devant moi, son membre toujours rigide pulsant faiblement, éjaculant par spasmes involontaires.
["Anomalie physiologique significative détectée chez le chasseur Rick," annonce la voix artificielle, une note de surprise évidente dans son ton synthétique. "Paralysie neuromusculaire progressive en cours."]
Je m'essuie délibérément la bouche du dos de la main, fixant directement les caméras principales.
"Le règlement stipule qu'aucun dispositif externe n'est autorisé après la phase initiale," je déclare calmement. "Mais il ne mentionne rien concernant les modifications physiologiques préalables à l'entrée dans l'arène."
En effet, avant le début du jeu, j'avais soudoyé un technicien médical pour implanter chirurgicalement cette capsule sous ma langue – un détail soigneusement omis lors des examens préliminaires et des multiples scanners.
["Analyse approfondie du règlement en cours," confirme la voix après plusieurs secondes de silence tendu. Les écrans affichent le texte du règlement défilant à grande vitesse, des algorithmes d'IA juridique analysant chaque clause, chaque mot.
"Interprétation validée," annonce finalement la voix. "Aucune infraction détectée. La modification corporelle préalable ne constitue pas une violation du règlement section 7.3 concernant les dispositifs externes."]
Rick, maintenant complètement effondré sur le sol, me fixe avec un mélange de rage impuissante et de respect réticent. Son corps est entièrement paralysé à l'exception de ses yeux qui me suivent, brûlants de fureur et d'incrédulité.
"La... parfaite... proie," articule-t-il péniblement, chaque syllabe lui coûtant un effort considérable. "Tu... avais tout... planifié."
["Neutralisation permanente confirmée," proclame triomphalement la voix artificielle. "Nature de la neutralisation : paralysie neuromusculaire temporaire. Durée estimée : 36 heures. Aucun danger vital."]
Cette précision est importante – la substance n'est pas létale, juste incapacitante pour une durée bien supérieure à celle du jeu. Le composé laisse également son esprit parfaitement conscient, une cruauté calculée qui lui permet d'expérimenter pleinement sa défaite.
Les écrans muraux explosent en un kaléidoscope de couleurs et d'animations, affichant en lettres géantes : "VICTOIRE HISTORIQUE DE LA PROIE".
["Félicitations Maya!" tonne la voix artificielle avec une emphase presque humaine. "Vous remportez un million de dollars, le titre de Proie Suprême de cette saison, et établissez un nouveau record de l'émission – première proie à neutraliser TOUS les chasseurs!"]
Les barrières énergétiques de la chambre s'abaissent simultanément. Sur les écrans périphériques apparaissent les visages stupéfaits de Vince et Jayden, obligés d'assister à ma victoire depuis leurs positions dans l'arène. Leurs expressions oscillent entre l'incrédulité et une forme de respect nouveau.
["Audience finale confirmée : 236 millions de téléspectateurs simultanés," annonce fièrement la voix. "Record absolu toutes catégories confondues dans l'histoire des médias interactifs."]
Je me tiens debout, victorieuse mais meurtrie, au centre de ce théâtre technologique. Mon corps porte les stigmates de ces confrontations brutales – les ecchymoses, les morsures, les irritations, les résidus de fluides corporels – mais mon regard est celui d'une conquérante, d'une stratège qui a tout planifié depuis le début.
Les drones-caméras m'encerclent frénétiquement, capturant ma victoire sous tous les angles imaginables. Un écran holographique se matérialise devant moi, affichant les réactions en direct des réseaux sociaux et des sites d'information – mon nom est déjà en tête des tendances mondiales, mon image virale sur tous les continents.
["Une dernière déclaration pour votre public mondial?" propose la voix artificielle.]
Je fixe directement la caméra principale, consciente que mon corps nu est projeté sur des écrans dans le monde entier, des bars aux places publiques, des terminaux personnels aux façades des gratte-ciels.
"Dans un jeu conçu pour l'humiliation féminine," je déclare d'une voix claire et ferme, "j'ai choisi de renverser les règles. Ce n'est pas l'histoire d'une victime, mais celle d'une stratège. Rappelez-vous que parfois, se mettre à genoux peut être la position parfaite... pour frapper là où ça fait mal."
Un silence presque religieux s'abat sur l'arène avant qu'une clameur virtuelle n'explose – les réactions de millions de téléspectateurs fusionnant en une vague sonore qui emplit la structure.
Des portes dissimulées s'ouvrent dans les parois, révélant une équipe médicale qui s'avance prudemment. Derrière eux, j'aperçois plusieurs silhouettes en costumes sombres – les producteurs exécutifs, venus assister en personne à ce dénouement historique.
Le producteur principal, un homme d'une cinquantaine d'années au visage ciselé par les interventions esthétiques, s'approche avec un mélange de respect nouveau et d'excitation commerciale évidente.
"Maya," dit-il en me tendant une robe de chambre en soie noire ornée du logo de l'émission. "Vous venez de réinventer le concept même de notre show."
Je prends le vêtement et l'enfile lentement, savourant la sensation du tissu luxueux sur ma peau maltraitée. L'équipe médicale commence à s'occuper de Rick, le plaçant sur une civière antigravitationnelle tout en vérifiant ses constantes vitales.
"Nous avons déjà reçu des offres pour vous," continue le producteur, incapable de cacher son enthousiasme. "Des contrats publicitaires, des propositions d'autobiographie, et bien sûr... une offre pour revenir dans une édition spéciale."
Ses yeux brillent d'anticipation mercantile – il me voit déjà comme le nouveau visage de la franchise, une mine d'or potentielle.
"Imaginez," poursuit-il, baissant la voix comme pour partager une confidence, "une saison où vous seriez la chasseuse, traquant trois hommes qui auraient tout à perdre. Le public en deviendrait fou."
Les écrans muraux affichent déjà des projections conceptuelles de cette hypothétique nouvelle saison – mon visage superposé au logo du programme, avec le slogan : "Les rôles s'inversent. La proie devient prédatrice."
Je considère un instant cette proposition, évaluant les implications, les possibilités, les conséquences. Ma victoire m'a donné un pouvoir de négociation que peu de participants ont jamais possédé.
"Nous parlerons de tout cela," je réponds diplomatiquement, "après que j'aie récupéré et consulté mes avocats."
Le producteur sourit, reconnaissant dans ma réponse la naissance d'une femme d'affaires aussi calculatrice que lui.
"Bien sûr," acquiesce-t-il. "Reposez-vous. Nous avons tout le temps."
Alors que l'équipe médicale m'escorte vers la sortie, je jette un dernier regard à Rick, toujours paralysé sur sa civière. Nos yeux se croisent brièvement – les siens toujours brillants de rage impuissante, les miens reflétant une sérénité nouvelle, celle de la victoire absolue.
["Fin officielle de l'émission 'Get Her and Fuck', épisode 7," annonce la voix artificielle alors que les portes se referment derrière moi. "Restez connectés pour l'émission spéciale d'après-jeu dans 30 minutes."]
Je quitte l'arène la tête haute, laissant derrière moi le théâtre de ma transformation. Entrée comme proie, je ressors en prédatrice. Le monde m'attend, transformé lui aussi par ce qu'il vient d'observer.
[L'écran s'illumine sur le visage de Maya, 24 ans, le regard féroce et déterminé. Les caméras holographiques captent chaque détail de son corps athlétique tandis qu'elle se prépare dans la salle annexe avant d'entrer dans le complexe. Ses longs cheveux bruns encadrent un visage aux traits fins, ses yeux verts reflètent un mélange de peur et de détermination.]
[Maya inspire profondément. La sueur perle sur sa peau bronzée. Les producteurs lui ont expliqué les règles pour la centième fois, mais elle sait ce qu'elle fait. Un million de dollars si elle parvient à neutraliser les trois chasseurs avant qu'ils ne la prennent trois fois. Le concept est brutal, mais elle a besoin de cet argent.]
["Prête, ma jolie?" demande le producteur en chef, un sourire lubrique aux lèvres. "Les caméras submicroniques sont partout. Les spectateurs ne manqueront rien... surtout pas les détails intimes."]
Je hoche la tête. Ma combinaison en néoprène moulante dessine parfaitement mes courbes, mes seins fermes pointent légèrement sous le tissu. Je sais que chaque centimètre de mon corps sera scruté, analysé, désiré par des millions de téléspectateurs. Les chasseurs ont droit à des pièges, moi à des outils de défense limités. J'ai étudié leur profil pendant des semaines. Rick, ex-militaire au corps sculpté par des années d'entraînement intensif. Jayden, champion de MMA, connu pour sa brutalité et son endurance légendaire. Et Vince, ancien gardien de prison à la carrure impressionnante et au sexe démesurément pourvu selon les rumeurs des saisons précédentes. Tous sélectionnés pour leur physique imposant et leur capacité à enchaîner les rapports sexuels sans faiblir.
La porte blindée s'ouvre devant moi. Le kilomètre carré de l'arène se déploie : forêt artificielle, zones rocheuses, petits bâtiments dispersés. C'est là que je vais vivre cet enfer pendant les prochaines 48 heures.
["Proie lâchée!" annonce la voix électronique dans l'arène. "Chasseurs libérés dans 15 minutes."]
J'ai un quart d'heure d'avance. Mes bottes frappent le sol artificiel tandis que je cours vers les zones boisées. La transpiration colle déjà mon uniforme à ma peau, soulignant davantage mes formes. La caméra s'attarde sur mes fesses qui se balancent à chaque foulée, puis sur ma poitrine qui rebondit rythmiquement. Les téléspectateurs commentent déjà mon corps, pariant sur ma résistance face aux chasseurs expérimentés.
Je me faufile entre les arbres synthétiques. Mon plan est simple : tenir à distance, neutraliser un par un. Le règlement stipule que chaque chasseur ne peut me prendre que trois fois maximum. Au-delà, ils sont disqualifiés. Si je résiste, si je les piège, je peux gagner.
Le premier abri que je trouve est une cabane rudimentaire. J'y installe quelques pièges improvisés avec les matériaux autorisés. La combinaison me comprime la poitrine, mes tétons durcissent contre le tissu rêche. La caméra en gros plan s'attarde dessus, montrant même la légère auréole visible sous le tissu humide. Je sens mes tétons qui frottent contre le néoprène à chaque mouvement, créant une stimulation constante que je ne peux ignorer.
["Chasseurs libérés!" tonne la voix métallique.]
L'arène de "Get Her and Fuck" s'étend sous un ciel artificiel parfaitement bleu. Trois heures se sont écoulées depuis mon entrée dans ce kilomètre carré spécialement conçu pour le spectacle de la chasse. Les producteurs ont créé un environnement qui se veut naturel mais où chaque élément est calculé pour maximiser les confrontations et l'excitation des téléspectateurs.
La transpiration colle ma combinaison en néoprène contre ma peau. Le tissu technologique, conçu pour résister jusqu'au moment où il doit céder, épouse chaque courbe de mon corps. Je sens le regard des caméras invisibles qui suivent le moindre de mes mouvements, captant les gouttelettes de sueur qui perlent entre mes seins et glissent le long de mon dos.
La zone boisée offre une illusion de sécurité. Je me déplace prudemment, évitant les branches mortes qui pourraient trahir ma position. L'air est chargé d'une tension électrique, comme si l'atmosphère elle-même anticipait ce qui va suivre. Les concepteurs ont même intégré des phéromones synthétiques dans l'air pour stimuler l'excitation sexuelle. À chaque inspiration, je sens mon corps réagir malgré moi. Ma vulve s'humidifie légèrement, mes tétons durcissent sous le tissu rêche.
["Proie localisée dans le secteur 7," annonce soudain la voix métallique dans les haut-parleurs camouflés. "Les téléspectateurs peuvent maintenant parier sur le premier chasseur qui la capturera."]
Cette information révèle ma position générale aux chasseurs. C'est une des règles perverses du jeu : si l'audience s'ennuie, le système intervient pour accélérer les rencontres. Les millions de voyeurs qui me regardent s'impatientent. Ils veulent du sexe, des corps qui s'entrechoquent, des fluides qui coulent.
Je me réfugie derrière un bosquet plus dense, le souffle court. Mon cœur bat à tout rompre, l'adrénaline se mêle à une excitation traîtresse. Les producteurs ont sélectionné les participants pour leur compatibilité sexuelle. Des tests préliminaires ont établi que mon corps réagirait fortement aux phéromones naturelles des trois chasseurs. Cette trahison biologique fait partie du spectacle.
Un craquement de branche me fait sursauter. Le son provient de ma droite, à environ vingt mètres. Je retiens ma respiration, immobile. Une silhouette massive se découpe entre les arbres. C'est Vince, le plus imposant des chasseurs. Dans la lumière filtrée par le feuillage artificiel, son corps sculpté projette une ombre menaçante. Sa combinaison noire moulante révèle chaque muscle tendu, et surtout, l'imposante érection qui déforme le tissu entre ses jambes.
"Je te sens, petite chatte," grogne-t-il assez fort pour que je l'entende. Sa voix rauque porte dans le silence artificiel de la forêt. "Ton odeur m'excite. Tu mouilles déjà à l'idée de ce qui t'attend? Je vais te faire jouir si fort que tout le pays t'entendra supplier pour ma queue."
Ses mots crus me font frissonner. Une caméra drone s'approche discrètement pour capter ma réaction. Je serre les cuisses, tentant d'ignorer la chaleur qui s'y développe. C'est un piège physiologique – mon corps réagit aux stimuli verbaux et aux phéromones qu'il dégage délibérément.
Je décide de me déplacer silencieusement vers une clairière que j'ai repérée plus tôt. C'est risqué, mais rester immobile finira par me trahir. Les capteurs de chaleur intégrés à sa combinaison peuvent détecter ma présence.
Malheureusement, mon mouvement fait bruisser des feuilles. Le regard de Vince se tourne instantanément dans ma direction, un sourire prédateur s'étalant sur son visage barbu.
"Te voilà," murmure-t-il, assez fort pour que les micros captent sa voix.
La course-poursuite s'engage. Mes jambes me portent à travers les fourrés, sautant par-dessus les racines artificielles. Les caméras nous suivent en plongée, offrant aux téléspectateurs une vue parfaite de mes fesses qui se balancent à chaque foulée, de ma poitrine qui rebondit sous l'effort. Les commentateurs doivent s'en donner à cœur joie, pariant sur le moment où il me rattrapera.
Il est étonnamment rapide pour sa taille. Je l'entends qui se rapproche, sa respiration lourde dans mon dos. Son ombre m'engloutit alors qu'il se jette sur moi. Sa main puissante m'agrippe les cheveux, me tirant brutalement en arrière. La douleur irradie de mon cuir chevelu. Je perds l'équilibre, tombe à genoux.
"Première prise," jubile-t-il pour les caméras qui nous encerclent comme des vautours électroniques, leurs objectifs zoomant sur mon visage crispé. "Regardez-moi cette chienne en chaleur. L'émission vient vraiment de commencer!"
Les drones-caméras s'approchent, certains à quelques centimètres seulement de mon visage, d'autres tournant autour de nous pour capturer tous les angles possibles. Un écran holographique flotte au-dessus de nous, affichant probablement en direct nos images pour les téléspectateurs, avec des statistiques sur nos rythmes cardiaques et niveaux d'excitation.
["Les niveaux d'excitation de la proie augmentent," annonce la voix métallique. "Son corps se prépare pour l'accouplement."]
Les mains de Vince parcourent mon corps, s'attardant sur mes seins qu'il pétrit à travers la combinaison. Ses doigts trouvent mes tétons durcis et les pincent cruellement. Je ne peux retenir un gémissement, mélange de douleur et de plaisir interdit.
"Tu aimes ça, hein?" murmure-t-il à mon oreille, son souffle chaud contre ma peau. "Tout le monde te regarde. Des millions de personnes vont te voir te faire baiser comme la petite salope que tu es."
Sans prévenir, il déchire ma combinaison au niveau de la poitrine. Le tissu, conçu pour céder facilement aux endroits stratégiques, se déchire en un bruit sec. Mes seins jaillissent, exposés à l'air frais et aux regards virtuels de millions de téléspectateurs. Des hologrammes de statistiques apparaissent à côté de nous : taille des mamelons, réactivité des tétons, température corporelle.
"Magnifiques," commente-t-il en les soupesant rudement. "Parfaits pour une bonne branlette espagnole plus tard."
Ses mains continuent leur exploration. Il me force à me mettre à quatre pattes, position humiliante mais parfaite pour les caméras qui ne manquent pas de filmer mon visage rougi par l'effort et l'embarras. Ses doigts puissants arrachent maintenant ma combinaison au niveau de l'entrejambe. Le tissu spécial cède facilement.
L'air frais caresse ma vulve soudain exposée. Les caméras zooment, les angles se multiplient pour ne rien manquer du spectacle de mon intimité dévoilée. Un drone spécial s'approche à quelques centimètres, son objectif macro capturant les moindres détails de mes lèvres intimes légèrement gonflées.
"Regarde comme tu mouilles déjà, petite salope," grogne Vince en frottant ses doigts contre ma fente. Il écarte délibérément mes grandes lèvres pour les caméras, exposant mon clitoris et mon entrée humide. "Vous voyez ça, les amis? Sa chatte bave déjà pour ma bite. Elle fait semblant de résister, mais son corps sait ce qu'il veut."
Je ne peux retenir un gémissement quand son pouce trouve mon clitoris et le presse fermement. La honte m'envahit - non pas tant d'être exposée ainsi, j'ai signé pour ça après tout, mais de réagir si fortement à ses attouchements. Mon corps me trahit complètement. Je sens l'humidité entre mes cuisses augmenter malgré ma volonté.
["Système d'analyse biométrique activé," annonce la voix artificielle. "La proie présente tous les signes physiologiques d'excitation sexuelle avancée. Lubrification naturelle : 78%. Engorgement des tissus érogènes : 82%. Dilatation pupillaire : 90%."]
Ces statistiques, affichées en temps réel pour l'audience, m'humilient davantage. Mon corps est devenu un livre ouvert, chaque réaction physiologique mesurée et commentée.
Vince insère soudainement un doigt en moi, puis deux, les faisant tourner pour étaler ma lubrification naturelle. Ils s'enfoncent facilement dans mon intimité trempée.
"Putain, t'es déjà trempée," constate-t-il en retirant ses doigts luisants qu'il présente ostensiblement à la caméra la plus proche. La lumière fait briller mes sécrétions sur sa peau. "Regardez comme elle mouille bien."
Il me force à tourner la tête et me fourre ses doigts dans la bouche.
"Nettoie ça, goûte comme ta chatte est prête pour ma queue."
Le goût salé de ma propre excitation envahit ma bouche. Je suce ses doigts malgré moi, mon corps répondant automatiquement. Les caméras capturent ma langue qui s'enroule autour de ses doigts, mes lèvres qui se ferment sur eux.
"Bonne fille," approuve-t-il. "Tu sais déjà comment sucer. On verra si tu suces aussi bien ma bite."
Il me retourne brutalement, face contre terre. Le sol artificiel, composé d'une mousse réaliste mais conçue pour ne pas blesser, s'enfonce sous mon poids. Vince arrache maintenant complètement le haut de ma combinaison, exposant mon dos et mes seins qui s'écrasent contre le sol. Ses mains calleuses parcourent ma colonne vertébrale, descendent vers mes fesses qu'il écarte largement.
"Quel cul parfait," commente-t-il en le claquant fort, laissant une marque rouge que les caméras s'empressent de zoomer. "Je vais m'occuper de tes deux trous, ma belle."
Les drones-caméras tournent autour de nous, certains se focalisant sur mon visage, d'autres sur mes seins écrasés contre le sol, d'autres encore sur mes fesses exposées et ma vulve luisante. L'un d'eux capture même les gouttes de sueur qui perlent sur le front de Vince, son regard prédateur, sa langue qui passe sur ses lèvres en anticipation.
["La proie est soumise pour la première fois," annonce froidement le système audio tandis que Vince se redresse légèrement.]
J'entends le bruit de sa combinaison qu'il déchire à son tour au niveau de l'entrejambe. Le bruissement du tissu est suivi d'un soupir de soulagement quand son membre est libéré de sa prison de néoprène.
Une caméra se positionne stratégiquement pour capturer son sexe dans toute sa splendeur. Il est énorme, bien au-delà de la moyenne, sélectionné spécifiquement pour impressionner l'audience. Au moins 25 centimètres de longueur, épais comme mon poignet, veiné, la tête violacée et luisante déjà d'une goutte de pré-sperme.
[Les statistiques s'affichent en surimpression pour les téléspectateurs : taille, circonférence, volume d'éjaculation prévu.]
Il le branle lentement devant les caméras, fier de son attribut. "Tu vas la sentir passer, ma jolie. Je vais te défoncer si profond que tu la sentiras dans ta gorge."
Son sexe est énorme, veiné, la tête violacée pulsant d'excitation. Il le frotte entre mes fesses, le long de ma fente humide, s'attardant sur mon clitoris pour me torturer. Je sens son gland épais qui pousse contre mon entrée, cherchant à forcer le passage. La caméra capture en gros plan cette jonction intime, mon sexe qui s'ouvre légèrement sous la pression de son membre imposant.
"Supplie-moi de te baiser," ordonne-t-il en tirant mes cheveux en arrière, forçant mon cou à se cambrer douloureusement.
"Va te faire foutre," je souffle entre deux halètements, tentant de préserver un semblant de dignité.
"Mauvaise réponse."
Il s'enfonce en moi d'un coup sec, sans préambule. Sa queue massive déchire mon intimité, m'emplissant brutalement jusqu'à la garde. Je hurle, à la fois de douleur et d'un plaisir honteux que je ne peux nier. L'intrusion est brutale, mon corps n'a pas eu le temps de s'adapter à sa taille. La sensation de brûlure se mêle à un plaisir intense quand il frappe directement contre mon point G.
"Putain, qu'elle est serrée," grogne-t-il pour les caméras. "Sa petite chatte m'aspire comme si elle voulait me sucer jusqu'à la dernière goutte."
Les drones capturent en gros plan notre jonction, son membre luisant de mes sécrétions qui va et vient dans mon sexe étiré au maximum. Les bords de ma vulve sont tendus autour de sa circonférence, prenant une teinte rosée sous la pression.
["Premier rapport sexuel imminent," commente la voix artificielle. "Dilatation vaginale à 92% de sa capacité maximale."]
Vince commence à bouger, d'abord lentement, me laissant à peine le temps de m'adapter à sa taille. Ses mains agrippent fermement mes hanches, ses doigts s'enfonçant dans ma chair, laissant certainement des marques qui dureront plusieurs jours. Chaque poussée m'arrache un gémissement, mon corps entier se déplaçant sous la force de ses coups de reins.
"Tu la sens bien ma grosse bite qui t'écartèle, hein?" siffle-t-il en accélérant ses mouvements. Ses testicules lourds claquent contre mon clitoris à chaque poussée, ajoutant une stimulation supplémentaire qui fait monter le plaisir malgré la brutalité de l'acte. "Dis à la caméra que t'aimes ça!"
"Je... je..." Les mots se perdent dans mes gémissements. Chaque poussée frappe directement contre mon point G, envoyant des vagues de plaisir dans tout mon corps.
Ses mains quittent mes hanches pour remonter vers mes seins qui ballottent sous l'impact de ses coups de reins. Il les empoigne brutalement, les malaxant comme de la pâte à modeler, pinçant et tordant mes tétons jusqu'à la limite de la douleur.
"Tu aimes ça, hein? Dis-le aux caméras!"
"Va te faire foutre," je souffle entre deux assauts, mais mon corps me trahit.
"Ta bouche dit non, mais ta chatte me suce comme une affamée," ricane-t-il en accélérant encore le rythme.
Ses testicules lourds claquent contre ma vulve à chaque poussée, créant un bruit obscène de chair contre chair qui résonne dans la forêt artificielle. Le bruit humide de son membre qui va et vient dans mon sexe trempé est amplifié par les micros sensibles. Les téléspectateurs entendent chaque détail sonore de notre accouplement forcé.
["Analyse des fluides en cours," annonce la voix. "La proie produit 40% plus de lubrification naturelle que la moyenne des participantes précédentes."]
Cette information fait rire Vince. "T'entends ça? T'es une vraie fontaine. Ton corps adore se faire défoncer en public."
Il change soudain de position, me retournant sur le dos sans se retirer. La manœuvre fait tourner son sexe en moi, le frottant contre des zones inexplorées de mon vagin. Je gémis sous la nouvelle sensation.
Je vois maintenant son visage, son expression de concentration mêlée de plaisir animal. Son corps musclé luit de sueur au-dessus du mien, chaque muscle tendu par l'effort. La différence de nos gabarits est flagrante – sa masse m'écrase, me domine complètement.
"Regarde-moi pendant que je te baise," ordonne-t-il en plongeant son regard dans le mien. "Je veux voir tes yeux quand tu jouiras sur ma queue."
Une caméra s'approche pour capturer nos visages, nos expressions, la connexion forcée de nos regards. L'intimité perverse de ce moment est diffusée en direct à des millions de personnes.
Ses va-et-vient deviennent frénétiques. Il écarte mes jambes au maximum, les repliant presque jusqu'à mes épaules pour s'enfoncer encore plus profondément. Dans cette position, son sexe atteint des profondeurs vertigineuses, frappant contre mon col utérin à chaque poussée. La douleur se mêle au plaisir dans un cocktail explosif de sensations.
"Putain, je sens ton utérus," grogne-t-il. "Je vais te remplir si profond que tu vas tomber enceinte en direct."
Cette remarque fait probablement bondir l'audience – bien sûr, toutes les participantes reçoivent un contraceptif à action longue durée avant l'émission, mais le fantasme reste puissant.
Sa main descend entre nos corps en sueur pour malaxer mon clitoris gonflé. Ses doigts experts le pincent, le frottent en cercles rapides. La double stimulation – son membre qui me remplit complètement et ses doigts sur mon bouton de plaisir – devient insoutenable. Je sens la tension monter inexorablement dans mon bas-ventre.
"Je la sens qui se contracte," annonce-t-il aux caméras. "Elle va jouir. Sa petite chatte serre ma bite comme un étau."
Mes muscles intimes commencent effectivement à se contracter involontairement autour de son membre. La tension monte, monte encore. Mes orteils se crispent, mes jambes tremblent.
"Allez, jouis pour les caméras, montre à toute l'Australie comme t'es une bonne salope," m'encourage-t-il en accélérant ses mouvements sur mon clitoris.
L'orgasme me frappe comme un raz-de-marée. Mon dos s'arque violemment, ma tête se rejette en arrière, ma bouche s'ouvre en un cri silencieux avant que le son ne déchire ma gorge. Mes parois vaginales se contractent spasmodiquement autour de son sexe, l'aspirant plus profondément.
"Elle jouit!" hurle-t-il pour l'audience tandis que mon corps convulse sous le sien. "Première prise réussie!"
Les caméras captent chaque contraction, chaque expression de mon visage déformé par la jouissance forcée. Des gros plans alternent entre mon visage en extase et notre jonction intime où l'on peut voir mes muscles se contracter rythmiquement autour de sa verge.
["Orgasme féminin détecté," confirme la voix artificielle. "Intensité : 8,7 sur 10. Durée prévue : 37 secondes."]
Vince ne me laisse pas redescendre de mon orgasme. Il accélère encore ses coups de reins, prolongeant mes spasmes de plaisir. Ses mouvements deviennent erratiques, son souffle plus court. Je sens son sexe qui pulse en moi, qui se gonfle encore davantage.
"Je vais te remplir," grogne-t-il, son visage crispé par l'effort et le plaisir imminent. "Je vais marquer ton petit ventre de ma semence."
Avec un rugissement animal, il s'enfonce une dernière fois jusqu'à la garde et éjacule puissamment. Je sens son sperme chaud qui jaillit par saccades au plus profond de mon ventre, qui m'inonde par vagues successives. Les capteurs intégrés à l'arène mesurent probablement le volume et la force de son éjaculation, données qui s'affichent certainement pour les téléspectateurs avides.
["Volume d'éjaculat : 23ml. Température : 37,2°C. Vélocité : élevée," commente froidement la voix artificielle, transformant même cet acte intime en statistiques pour l'audience.]
Il reste ainsi, planté en moi, savourant les dernières contractions de mon sexe autour du sien. Son poids m'écrase contre le sol, son souffle chaud contre mon cou. Nos corps sont collés par la sueur, unis dans cet acte primitif exposé aux yeux du monde.
"T'es une bonne petite chienne finalement," murmure-t-il à mon oreille, assez bas pour que seuls les micros les plus proches captent ses paroles. "On va bien s'amuser toi et moi dans cette arène."
Il se retire lentement, son membre toujours semi-rigide glissant hors de moi avec un bruit humide obscène. La caméra zoome immédiatement sur mon sexe béant, rougi et dilaté par son assaut, d'où s'écoule maintenant son sperme épais en filets blanchâtres.
["Extraction complète," annonce la voix. "Premier accouplement réussi."]
Vince se redresse, présentant fièrement son sexe luisant de nos fluides mélangés aux caméras. "Premier point pour moi," déclare-t-il en me regardant, allongée et vulnérable sous lui. "Et ce n'est que le début, ma jolie. J'en ai encore deux à prendre avant d'être disqualifié."
Les statistiques s'affichent sur les écrans des spectateurs : Maya 0, Vince 1, Jayden 0, Rick 0. Des paris en temps réel sont probablement lancés sur le prochain chasseur qui me trouvera, sur le nombre total d'accouplements que je subirai avant la fin de l'émission.
["Phase de récupération activée," annonce la voix. "Chasseur et proie disposent de cinq minutes de répit avant la reprise du jeu."]
Vince s'assoit à côté de moi, rearrangeant sa combinaison déchirée. Son regard parcourt mon corps exposé, marqué, souillé. "Tu es plus résistante que les précédentes," remarque-t-il. "Elles pleuraient toutes après le premier round."
Je garde le silence, rassemblant mes forces. Mon esprit calcule déjà comment retourner la situation à mon avantage. Cinq minutes de répit, c'est ce que dit le règlement. Vince semble détendu, satisfait, son garde est baissée.
["Première confrontation terminée," annonce la voix métallique. "Temps restant avant reprise du jeu : 4 minutes et 23 secondes."]
Vince se penche vers moi, caressant presque tendrement ma joue. "La prochaine fois, je m'occuperai de ton joli petit cul," promet-il. "Ou peut-être de ta bouche. Qu'est-ce que tu préférerais, ma jolie? Dis-le aux caméras."
Je respire profondément, sentant son sperme qui coule lentement entre mes cuisses. Mon corps est douloureux, mais mon esprit reste lucide. Le jeu ne fait que commencer, et malgré cette première défaite, je n'ai pas l'intention de me laisser prendre si facilement la prochaine fois.
["Temps restant : 3 minutes," informe la voix.]
Les caméras continuent de tourner, captant ma vulnérabilité momentanée, anticipant déjà la suite des événements. Les producteurs doivent jubiler devant leurs écrans – le premier accouplement a été brutal, visuel, parfait pour les audiences. Mais ils ne savent pas encore que j'ai plus d'un tour dans mon sac.
Vince commence à se relaxer complètement, s'étirant comme un grand félin satisfait. Il commet l'erreur que j'espérais – il me sous-estime.
["Temps restant : 2 minutes."]
Je commence à me redresser lentement, feignant l'épuisement total. Vince sourit, pensant que je tente simplement de retrouver une position plus confortable. Son regard est distant, probablement en train de savourer sa victoire et d'anticiper ses prochaines prises.
"Tu ferais mieux de rester allongée," conseille-t-il avec un sourire condescendant. "Tu vas avoir besoin de forces pour ce qui t'attend."
Je hoche faiblement la tête, jouant la femme soumise et brisée. Ma main glisse discrètement vers une poche cachée de ma combinaison déchirée.
["Temps restant : 1 minute."]
Le moment approche. Vince tourne légèrement la tête, distrait par un bruit dans les fourrés – probablement un des autres chasseurs qui s'approche, attiré par les sons de notre accouplement.
"On dirait que la compétition arrive," dit-il en plissant les yeux pour scruter la forêt. "Je devrais peut-être marquer mon territoire en te baisant une deuxième fois immédiatement."
C'est l'ouverture que j'attendais. Ma main trouve le petit dispositif caché dans ma combinaison – un taser rudimentaire autorisé par le règlement. Avant qu'il ne puisse réagir, je presse l'appareil contre sa cuisse et active la décharge.
Son corps massif se raidit sous le choc électrique. Un cri étranglé s'échappe de sa gorge tandis qu'il s'effondre sur le côté, ses muscles momentanément paralysés.
["Neutralisation temporaire détectée," annonce la voix artificielle, surprise évidente dans son ton programmatique. "Avantage à la proie."]
Je me redresse rapidement, ignorant la douleur entre mes jambes et le sperme qui coule le long de mes cuisses. Les drones-caméras s'agitent frénétiquement autour de moi, captant ce renversement inattendu de situation.
["La traque reprend avec un handicap temporaire pour le chasseur Vince," informe la voix. "Durée estimée de la paralysie : 17 minutes."]
C'est plus que je n'espérais. Dix-sept minutes pour m'éloigner, me cacher, préparer ma stratégie pour la suite. Je ramasse rapidement des morceaux de ma combinaison déchirée pour couvrir stratégiquement certaines parties de mon corps – pas par pudeur, mais pour me protéger de l'environnement de l'arène.
"Tu... tu me paieras ça," articule péniblement Vince, son corps toujours secoué de spasmes incontrôlables. "Je vais te retrouver et te faire supplier."
Je me penche vers lui, sachant que les caméras capturent chaque détail. "Peut-être," je murmure à son oreille. "Mais la prochaine fois, ce sera à mes conditions."
Me redressant, je m'adresse directement à une caméra proche : "Un point chacun, mais le jeu ne fait que commencer. Qu'ils viennent tous. Je suis prête."
Je m'éloigne rapidement, disparaissant dans les fourrés denses, laissant Vince impuissant derrière moi. Son rugissement de frustration résonne dans la forêt artificielle, promesse d'une vengeance brutale lorsqu'il retrouvera ses forces.
Les statistiques ont changé : Maya 1, Vince 1, Jayden 0, Rick 0. Le message est clair pour les téléspectateurs et les chasseurs – cette proie ne sera pas facile à soumettre complètement.
Quelque part dans l'arène, Jayden et Rick ont certainement vu ce qui vient de se passer. Ils savent maintenant qu'ils doivent être plus prudents, plus stratégiques. La chasse vient de devenir plus intéressante.
La voix métallique résonne une dernière fois avant que je ne m'enfonce complètement dans la végétation :
["Phase deux du jeu engagée. Tous les participants sont avertis : les enjeux viennent d'augmenter."]
Un frisson parcourt mon échine – à la fois d'appréhension et d'excitation. La suite promet d'être encore plus intense. Mais cette fois, je ne serai pas prise par surprise.
*Australie 2050 : Get her and fuck - Épisode 7, Round 2*
Les heures qui suivent ma première confrontation avec Vince sont un mélange de fuite et de stratégie. J'ai appris ma leçon – dans cette arène, être uniquement sur la défensive ne me mènera nulle part. L'aube du deuxième jour teinte le ciel artificiel d'un rose orangé parfaitement calibré pour les caméras. Les concepteurs de l'arène ont programmé un cycle jour-nuit accéléré pour maximiser les variations d'ambiance.
[Les statistiques flottent en hologrammes semi-transparents au-dessus de ma tête: "Maya : 1 neutralisation . Vince : 1 accouplement réussi, Jayden : 0 accouplement. Rick : 0 accouplement."]
Ma combinaison est en lambeaux après la rencontre avec Vince. Les morceaux restants cachent à peine certaines parties de mon anatomie, créant un effet visuel que les caméras ne se lassent pas de filmer. Je boîte légèrement – les séquelles de la brutalité de Vince se font encore sentir entre mes jambes.
["Attention téléspectateurs," annonce la voix métallique. "La proie semble avoir changé de stratégie. Les paris sont ouverts sur sa prochaine action."]
Effectivement, j'ai changé d'approche. Plutôt que de continuer à fuir, je vais attirer un chasseur de mon choix, dans un environnement que je contrôle. C'est risqué, mais nécessaire si je veux avoir une chance de gagner.
J'ai repéré un petit lac artificiel dans le secteur est de l'arène. Ses eaux cristallines sont peu profondes près des berges, avec une petite cascade qui crée une ambiance sonore parfaite – assez bruyante pour masquer certains sons, mais pas trop pour empêcher la communication. Surtout, plusieurs rochers offrent des cachettes stratégiques.
"Analyse tactique en cours," commente la voix artificielle alors que j'examine les lieux. "La proie semble préparer une embuscade."
Les téléspectateurs doivent être en effervescence. C'est rare qu'une proie prenne l'initiative de cette manière. Je commence à laisser des traces évidentes – empreintes dans la boue, branches cassées, même quelques gouttes de sang provenant d'une égratignure que je m'inflige volontairement au bras. L'odeur du sang attirera à coup sûr les chasseurs, qui ont été sélectionnés en partie pour leur odorat développé.
Arrivée au lac, je retire délibérément ce qui reste de ma combinaison. La nudité me rend vulnérable, mais aussi plus mobile. Et surtout, c'est un appât irrésistible. Les caméras drones tournoient autour de moi, capturant sous tous les angles mon corps nu qui porte encore les marques de ma rencontre avec Vince – suçons sur mes seins, traces de doigts sur mes hanches, légères irritations entre mes cuisses.
["La proie est maintenant entièrement dénudée," annonce la voix métallique. "Taux d'audience en hausse de 34% en dix secondes."]
Je plonge dans l'eau fraîche, savourant la sensation de pureté qu'elle m'apporte. Le lac est maintenu à une température idéale – assez fraîche pour durcir mes tétons et créer une réaction visuelle, mais pas assez froide pour être inconfortable. Je commence à me laver ostensiblement, m'attardant sur certaines zones érogènes. Mes mains glissent sur mes seins, les caressant lentement, puis descendent vers mon ventre plat, et enfin entre mes cuisses.
["Stimulation auto-érotique détectée," commente la voix. "Les niveaux de phéromones dans l'arène augmentent significativement."]
C'est exactement ce que je veux. Les phéromones attireront les chasseurs, et le spectacle que j'offre les rendra négligents. Je me tourne vers une caméra, écartant légèrement mes jambes pour offrir une vue imprenable sur mon intimité que je caresse langoureusement.
"Un message pour les chasseurs," je murmure, sachant que ma voix sera diffusée dans toute l'arène. "Je vous attends. Question est... êtes-vous à la hauteur?"
Moins de vingt minutes plus tard, je détecte un mouvement dans les fourrés bordant le lac. Les branchages s'écartent pour révéler Jayden, le champion de MMA. Contrairement à Vince qui misait sur sa force brute, Jayden est plus félin, plus calculateur. Son corps est différent aussi – moins massif mais incroyablement défini, chaque muscle visible sous sa combinaison noire qui épouse ses formes comme une seconde peau.
Il reste à l'orée de la forêt, m'observant. Je fais semblant de ne pas l'avoir repéré, continuant mon bain sensuel. Je lui tourne le dos, m'inclinant légèrement pour lui offrir une vue parfaite de mes fesses qui émergent partiellement de l'eau.
["Température corporelle du chasseur Jayden en hausse rapide," annonce discrètement la voix, mais assez fort pour que je l'entende. "Excitation sexuelle au niveau maximum."]
Je souris intérieurement. Mon plan fonctionne. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, je ne cherche pas à éviter l'accouplement – c'est impossible dans ce jeu. Je cherche plutôt à le contrôler, à décider quand et comment il se produira. Et surtout, à retourner la situation à mon avantage après.
Jayden s'approche silencieusement, ses pas à peine audibles sur la berge rocheuse. Je me retourne soudainement, feignant la surprise.
"Oh," je souffle, jouant la proie effarouchée. "Je pensais être seule."
Ses yeux sombres me dévisagent avec intensité. Un sourire carnassier étire ses lèvres.
"Jolie mise en scène," dit-il d'une voix étonnamment douce qui contraste avec son apparence menaçante. "Tu crois vraiment pouvoir me piéger si facilement?"
Il n'est pas dupe, mais peu importe. L'important est qu'il soit là, là où je l'ai attiré. Je recule légèrement dans l'eau, la faisant onduler autour de mes hanches.
"Qui parle de piège?" je réponds innocemment. "Peut-être que j'avais juste besoin de me rafraîchir."
"Après ta rencontre avec Vince?" Il rit doucement. "J'ai tout vu, tu sais. Comment il t'a prise, comment tu as joui malgré toi, comment tu l'as neutralisé ensuite. Impressionnant."
Il commence à défaire sa combinaison, révélant progressivement son torse sculpté, couvert de tatouages tribaux qui s'étendent jusqu'à ses épaules. Contrairement à Vince qui avait simplement déchiré sa combinaison à l'entrejambe, Jayden prend son temps, se déshabillant méthodiquement.
["Les téléspectateurs apprécient ce striptease improvisé du chasseur Jayden," commente la voix artificielle. "Les paris sur la position qu'il choisira sont ouverts."]
Jayden sourit, conscient du spectacle qu'il offre. Quand il retire finalement le bas de sa combinaison, son érection jaillit, imposante mais différente de celle de Vince – moins longue peut-être, mais d'une circonférence impressionnante, presque intimidante.
"Tu penses avoir l'avantage dans l'eau?" demande-t-il en entrant lentement dans le lac. "Erreur. J'étais champion de natation avant le MMA."
Il plonge subitement, disparaissant sous la surface. Je pivote rapidement, cherchant à anticiper son point de sortie. L'eau trouble légèrement ma vision. Soudain, je sens des mains puissantes agripper mes chevilles sous l'eau et tirer brutalement.
Je perds l'équilibre, tombant en arrière dans l'eau avec un splash retentissant. Avant que je puisse me redresser, Jayden surgit devant moi, m'emprisonnant dans ses bras. Nos corps nus se pressent l'un contre l'autre, son érection se frottant contre mon ventre.
"Tu croyais pouvoir me piéger, salope?" siffle-t-il, abandonnant sa douceur précédente.
L'eau jusqu'à la taille, nous luttons pour la domination. Ses mains glissent sur mon corps mouillé, tentant de trouver prise tandis que je me débats. Mais c'est un combattant professionnel – chacun de ses mouvements est calculé, efficace. En quelques secondes, il parvient à me retourner, plaquant mon torse contre un rocher plat qui émerge partiellement de l'eau.
["Confrontation physique engagée," annonce la voix mécanique. "Avantage significatif pour le chasseur."]
"Pas besoin de commentaires," grogne Jayden vers une caméra drone qui s'approche trop près à son goût.
Ses mains s'emparent de mes seins, les pétrissant violemment. Ses doigts trouvent mes tétons, les pincent jusqu'à la douleur. Je laisse échapper un cri malgré moi, mon corps réagissant instinctivement à la stimulation forcée.
"Tes petits tétons sont déjà durs," murmure-t-il à mon oreille, son souffle chaud contrastant avec l'eau fraîche. "Tu dis non, mais ton corps dit oui."
Une de ses mains quitte mon sein pour descendre le long de mon ventre, puis entre mes cuisses. Ses doigts habiles écartent mes lèvres intimes, trouvant mon clitoris qu'il frotte en cercles précis. Malgré ma volonté, je sens l'excitation monter. C'est différent de Vince – Jayden semble connaître parfaitement l'anatomie féminine, chaque point sensible, chaque mouvement qui provoque du plaisir.
["Analyse biométrique: excitation rapide de la proie," commente la voix artificielle. "Réactivité sexuelle 27% plus élevée que lors de la précédente rencontre."]
"Tu entends ça?" ricane Jayden. "Ton corps te trahit encore plus vite avec moi. Je sais exactement comment te faire jouir."
Ses doigts accélèrent sur mon clitoris tandis que son autre main malaxe mon sein sans ménagement. Je sens mon souffle s'accélérer, mon corps répondant malgré moi à ses attouchements experts. L'eau clapote autour de nous, rendant chaque sensation plus diffuse, plus enveloppante.
"Pas... si vite," je halète, tentant de conserver un semblant de contrôle.
"Tu n'imposes pas les règles ici," répond-il sèchement. Sa main quitte mon sein pour agripper mes cheveux, tirant ma tête en arrière. "C'est moi qui décide quand et comment tu jouis."
Il insère brusquement deux doigts dans mon sexe, les courbant immédiatement pour atteindre mon point G. Le plaisir explose, me faisant gémir involontairement. Il pompe rapidement, le bruit obscène de ses doigts dans mon intimité humide se mêlant au clapotis de l'eau.
"Je sens que tu es prête," dit-il en retirant ses doigts. "Mais pas pour ce que tu crois."
Sans avertissement, il me soulève et me jette sur la berge, m'étalant à plat ventre sur la surface boueuse. Mes seins s'écrasent dans la boue tiède, l'impact me coupant momentanément le souffle. Avant que je puisse réagir, il est sur moi, son corps musclé plaquant le mien contre le sol.
["Le chasseur Jayden opte pour une approche différente," commente la voix artificielle, presque enthousiaste. "Les téléspectateurs notent l'originalité de sa stratégie."]
Ses mains puissantes écartent brutalement mes fesses, exposant mon anus à la vue de tous. Les caméras zooment sans pudeur sur cette partie intime de mon anatomie.
"Dans ton cul, la proie," grogne-t-il, sa voix devenue rauque de désir. "Je vais te défoncer le trou du cul pour que toute l'Australie voie comme t'es une bonne salope."
La peur me traverse – cette pratique est plus douloureuse, plus invasive. C'est exactement ce qu'il cherche, une domination totale, une humiliation maximale devant les caméras.
"Attends," je souffle, tentant de gagner du temps. "Je n'ai jamais..."
"Menteuse," coupe-t-il. "Les producteurs nous ont tout dit sur ton passé sexuel. Mais t'inquiète pas, je vais quand même y aller... presque doucement."
Il ricane, sachant pertinemment que les téléspectateurs adorent ce mélange de vulnérabilité et de domination brute. Je sens son gland qui se presse contre mon anus, cherchant à forcer l'entrée. La panique monte en moi – sans lubrification, la douleur sera insoutenable.
Comme s'il lisait dans mes pensées, il crache abondamment sur mon orifice anal, utilisant sa salive comme seul lubrifiant. Son pouce force mon sphincter, l'étirant douloureusement pour préparer l'entrée de son membre imposant. Je gémis, mélange de douleur et d'appréhension.
"Détends-toi ou ça fera encore plus mal," murmure-t-il à mon oreille, son ton presque tendre contrastant avec la brutalité de ses actions.
Son gland pousse contre mon anus, la pression augmentant graduellement. Mon sphincter résiste, puis cède soudainement. La tête de son sexe pénètre brutalement mon intimité anale. La douleur est fulgurante, comme un fer rouge qui me déchire de l'intérieur. Mes cris résonnent autour du lac, rebondissant contre les parois rocheuses, amplifiés par l'acoustique naturelle de l'endroit.
["Pénétration anale réussie," annonce froidement la voix. "Première sodomie de la saison."]
Les caméras capturent en gros plan cette intrusion, mon anus étiré au maximum autour de sa circonférence impressionnante. Des larmes coulent sur mes joues, la douleur irradiant dans tout mon bas-ventre.
"Putain, ton cul est serré," grogne Jayden en s'enfonçant centimètre par centimètre. "Plus serré que toutes les précédentes proies."
Il s'immobilise quand il est entièrement en moi, me laissant un moment pour m'adapter à cette invasion. Je sens mon anus palpiter autour de son membre, étiré au-delà de ses limites. La douleur commence lentement à s'estomper, remplacée par une sensation étrange, un mélange d'inconfort et de plaisir naissant que je n'aurais jamais cru possible.
"Voyez comme elle s'adapte bien," commente-t-il pour les caméras qui tournent autour de nous comme des mouches. "Son petit trou s'habitue déjà à ma queue."
Ses va-et-vient débutent lentement, chaque mouvement étirant mon anus douloureux. La boue sous mon ventre est fraîche, contrastant avec la chaleur brûlante de mon intimité violée. Mes seins frottent contre la terre humide à chaque poussée, mes tétons hypersensibles s'irritant contre le sol granuleux.
["Dilatation anale à 84% de la capacité maximale théorique," annonce la voix artificielle. "Adaptation physiologique en cours."]
Jayden accélère progressivement, ses mains agrippant fermement mes hanches pour contrôler chaque mouvement. La douleur est toujours présente, mais quelque chose d'autre commence à émerger – une sensation nouvelle, interdite, qui se répand depuis mon anus vers mon bas-ventre.
"Tu commences à aimer ça, je le sens," dit-il en se penchant sur moi, son torse collé à mon dos. "Ton petit trou se détend, il m'accueille maintenant."
Ses doigts trouvent mon clitoris, le pincent, le malaxent sans douceur. La double stimulation embrase mes sens malgré la violence de l'acte. Un gémissement m'échappe, différent des cris de douleur précédents.
"T'aimes ça, hein, te faire enculer comme une chienne?" grogne-t-il en accélérant ses coups de reins. "Dis-le aux caméras!"
"Je... aaahh..." Les mots se perdent dans mes gémissements. Mon corps répond malgré moi, mon clitoris pulse sous ses doigts brutaux.
Il change d'angle, s'enfonçant encore plus profondément. Son sexe semble toucher des points en moi que je ne connaissais pas. Une vague de plaisir inattendue me submerge quand il frappe un point particulièrement sensible à l'intérieur de mon rectum.
["Elle a trouvé son point P," commente la voix artificielle. "Stimulation indirecte de la zone péri-vaginale via la paroi rectale."]
"Elle aime ça, la salope!" jubile Jayden pour les caméras. "Regardez comme elle mouille pendant que je lui défonce le cul!"
Effectivement, malgré l'absence de pénétration vaginale, je sens l'humidité qui s'écoule entre mes cuisses. La stimulation indirecte de mon point P à travers la paroi qui sépare mon rectum de mon vagin crée des sensations que je n'ai jamais expérimentées auparavant.
Une de ses mains quitte mon clitoris pour s'enfoncer brutalement dans mon sexe. Deux doigts, puis trois étirent ma vulve déjà humide tandis qu'il continue de pilonner mon anus. La double pénétration m'arrache des hurlements de plaisir mêlé de douleur. Jamais je n'ai ressenti une telle intensité.
["Réaction multi-orgasmique imminente," prédit la voix artificielle. "Configuration neurologique rare observée chez seulement 7% des participantes précédentes."]
Jayden intensifie ses mouvements, comprenant qu'il est sur le point de me faire vivre une expérience exceptionnelle. Ses doigts accélèrent dans mon vagin, cherchant avec précision mon point G qu'ils trouvent sans peine, le stimulant en synchronisation parfaite avec les coups de boutoir dans mon anus.
"Jouis pour moi, jouis pour les caméras," ordonne-t-il, sa voix se brisant sous l'effort et l'excitation. "Montre à l'Australie comme tu aimes te faire défoncer le cul!
Mon corps tout entier se tend comme un arc. L'orgasme qui me traverse n'a rien de comparable avec ce que j'ai expérimenté auparavant – il semble partir de mon anus, irradier vers mon vagin, puis exploser dans tout mon corps en vagues successives d'une intensité terrifiante. Mes muscles anaux se contractent violemment autour de son membre, créant un étau de chair palpitante.
["Orgasme anal confirmé," annonce la voix. "Intensité hors échelle conventionnelle. Les capteurs neuraux indiquent une stimulation simultanée de quatre zones érogènes distinctes."]
Je hurle, incapable de contenir l'intensité de ce que je ressens. Mon corps n'est plus qu'un instrument de plaisir, hors de mon contrôle. Mes mains griffent la boue, cherchant désespérément quelque chose à quoi m'accrocher tandis que les vagues de jouissance me submergent sans relâche.
["Jayden marque son premier point!" annonce triomphalement la voix alors qu'il accélère encore ses mouvements.]
Je sens son sexe qui pulse dans mon anus, qui se gonfle encore plus. Ses doigts s'agitent frénétiquement dans mon vagin, prolongeant mon orgasme au-delà du supportable. Mon corps se tend une dernière fois, puis s'effondre, épuisé, alors qu'une ultime vague de plaisir me traverse.
Jayden rugit, s'enfonçant une dernière fois jusqu'à la garde. Son sperme jaillit par jets puissants au plus profond de mes entrailles, chaque pulsation de son membre envoyant une nouvelle décharge de son essence chaude en moi.
["Volume d'éjaculation : 31ml," commente la voix artificielle. "Record de la saison battu."]
"Prends tout!" grogne-t-il en maintenant sa position, son bassin collé contre mes fesses. "Chaque putain de goutte."
Le liquide chaud se répand en moi, semblant ne jamais s'arrêter. Il me maintient plaquée au sol, savourant sa victoire, son sexe toujours enfoui dans mon anus palpitant. Je sens son sperme qui déborde, qui coule le long de mes cuisses quand il se retire finalement.
"T'as aimé ta première sodomie télévisée?" ricane-t-il en me retournant pour que les caméras puissent filmer mon visage rouge et mon anus dilaté qui se contracte, laissant échapper un filet de sperme blanchâtre.
Mon corps est épuisé, mais mon esprit reste alerte. C'est le moment que j'attendais – ces quelques secondes post-orgasmiques où le chasseur baisse sa garde, savourant sa victoire. Jayden se tient au-dessus de moi, admirant son œuvre, mon corps souillé et marqué par son passage.
["Les téléspectateurs sont enthousiastes," annonce la voix artificielle. "Satisfaction de l'audience à 97%, un record pour cette saison."]
"Tu vois," me dit Jayden en se penchant vers moi, "c'est ça que le public veut. La vraie soumission, pas ces petits jeux de cache-cache."
Son visage est à quelques centimètres du mien, son souffle chaud contre ma joue. Ses yeux parcourent mon corps avec satisfaction, s'attardant sur mon anus rougi et dilaté, sur les traces de son sperme qui coule entre mes cuisses.
"Tu sais ce qui va se passer maintenant?" Il sourit, confiant. "Je vais te laisser récupérer un peu, puis je reviendrai pour utiliser ta jolie petite bouche. Et cette fois, je filmerai ton visage pendant que tu avales."
C'est le moment. Profitant de sa proximité et de sa garde baissée, j'active le dernier gadget caché dans ce qui reste de ma combinaison - un petit taser déguisé en ornement corporel que j'avais stratégiquement placé dans mes cheveux. Le choc électrique le frappe directement à la tempe, provoquant une paralysie immédiate.
"PUTAIN!" hurle-t-il avant que ses muscles ne se figent. Son corps massif s'effondre sur le côté, convulsant sous l'effet de la décharge.
["Neutralisation temporaire réussie," informe la voix métallique, la surprise évidente dans son ton programmé. "Chasseur Jayden hors-jeu pour les 45 prochaines minutes."]
Je me redresse péniblement, chaque mouvement réveillant la douleur dans mon anus malmené. Le sperme continue de s'écouler entre mes cuisses, mais je n'ai pas le temps de m'en préoccuper. Les caméras tournent frénétiquement autour de moi, captant ce renversement de situation inattendu.
["Statistiques mises à jour," annonce la voix. "Maya : 2 neutralisations temporaires. Jayden : 1 point."]
Je ramasse quelques morceaux de ma combinaison déchirée, les utilisant pour essuyer sommairement les fluides qui coulent le long de mes jambes. Puis je me penche vers Jayden, dont le corps est toujours secoué de spasmes incontrôlables.
"Merci pour l'orgasme," je murmure à son oreille, sachant que les micros capturent chaque mot. "C'était... éducatif."
Ses yeux me fixent avec rage, seule partie de son corps qu'il peut encore contrôler. Je vois sa frustration, sa colère, mais aussi une forme de respect réticent.
"La prochaine fois," articule-t-il difficilement entre ses dents serrées, "pas de... gadgets. Juste toi... et moi."
Je souris, caressant sa joue dans un geste faussement tendre. "On verra qui piègera l'autre, chasseur."
Me redressant complètement, je m'adresse directement aux caméras, sachant que des millions de téléspectateurs sont suspendus à mes lèvres.
"Deux chasseurs neutralisés, un à venir," je déclare avec une assurance nouvelle. "Rick, je t'attends. Mais attention... je ne suis plus celle que tu crois."
Je m'éloigne du lac, laissant Jayden immobilisé sur la berge boueuse. Son corps nu et impuissant sera certainement une source d'humiliation quand les autres chasseurs le trouveront ainsi. Cela ajoutera de la tension entre eux, un autre élément que je peux exploiter.
Les drones-caméras me suivent alors que je pénètre dans la forêt dense, à la recherche d'un abri où récupérer. Mon corps porte les marques des deux chasseurs – les ecchymoses laissées par Vince, la douleur rectale infligée par Jayden – mais mon esprit est plus fort que jamais.
"Nouvelle phase du jeu initiée," annonce la voix artificielle dans toute l'arène. "Le rapport de force évolue. Tous les paris sont ouverts."
Quelque part dans cette arène, Rick m'attend. Le dernier chasseur, celui qui se croit certainement le plus intelligent, le plus stratégique. Il a vu ce qui est arrivé aux autres. Il sera prudent, calculateur.
Parfait. Car maintenant, je ne suis plus simplement une proie. Je suis devenue une prédatrice à mon tour.
* Australie 2050 : Get Her and Fuck - Episode 7 - Round 3*
L'arène se transforme alors que le jeu entre dans sa phase finale. Les producteurs ont programmé un changement spectaculaire pour marquer ce moment décisif – le ciel artificiel vire au rouge sang tandis que des barrières énergétiques poussent inexorablement tous les participants vers le centre de l'arène.
["Attention à tous les participants et téléspectateurs," annonce la voix métallique qui résonne dans tout le complexe. "Phase finale activée. Convergence forcée vers la structure centrale dans 30 minutes."]
Je me déplace avec précaution, chaque pas réveillant les douleurs des confrontations précédentes. Mon corps porte les marques de ces rencontres brutales – les ecchymoses laissées par les mains de Vince sur mes hanches, les irritations causées par la sodomie forcée de Jayden. Les restes déchirés de ma combinaison s'accrochent encore à quelques parties de mon corps, offrant une protection dérisoire.
[Les statistiques actuelles s'affichent en hologrammes géants au-dessus de l'arène : "Maya : 2 neutralisations. Vince : 1 point. Jayden : 1 point. Rick : 0 point."
"L'audience atteint des sommets inégalés," commente la voix artificielle avec une note de satisfaction évidente. "156 millions de téléspectateurs connectés en simultané à travers le monde."]
Au loin se dresse l'imposante structure centrale – une construction futuriste faite d'acier brossé, de verre intelligent et de panneaux holographiques. Haute de trois étages, elle représente l'ultime arène dans l'arène, spécialement conçue pour les confrontations finales. Ses surfaces réfléchissantes rendent difficile l'estimation de sa taille réelle ou la localisation de ses entrées.
Je m'approche prudemment, consciente que les autres chasseurs convergent également vers ce point. Les drones-caméras sont plus nombreux ici, voletant comme un essaim d'insectes métalliques, leurs objectifs capturant chaque expression, chaque mouvement, chaque goutte de sueur qui perle sur ma peau.
["Analyse tactique en cours," annonce la voix alors que j'examine la structure. "La proie adopte une approche prudente."]
L'entrée principale est un portail béant, délibérément intimidant, comme la gueule ouverte d'un prédateur mécanique. Au-dessus, un écran géant retransmet en direct les positions des quatre participants. Je constate que Vince et Jayden sont encore à plusieurs centaines de mètres, tandis que Rick…
Un frisson parcourt mon échine lorsque je réalise qu'il n'apparaît nulle part sur la carte.
["Attention," murmure la voix à un volume délibérément bas, comme pour partager un secret avec les téléspectateurs. "Le chasseur Rick a désactivé son traceur biométrique. Sa position est actuellement inconnue."]
Cette information fait monter l'adrénaline dans mes veines. Rick n'est pas seulement invisible pour moi – il est invisible pour le système lui-même. Une violation des règles? Non, probablement une "fonctionnalité spéciale" débloquée pour la phase finale, destinée à intensifier le suspense.
Je pénètre dans la structure, mes pieds nus produisant un léger bruit de succion sur le sol en polymère high-tech. L'intérieur est un labyrinthe de corridors aux parois tantôt transparentes, tantôt opaques, certaines réfléchissantes, d'autres absorbant toute lumière. La température est parfaitement régulée – ni chaude ni froide – mais l'air porte une légère charge électrostatique qui fait se dresser les poils de mes bras.
["Bienvenue dans le Nexus," annonce la voix artificielle. "Structure finale activée. Règles spéciales en vigueur."]
Je progresse lentement, tous mes sens en alerte. Le sol change subtilement de texture sous mes pieds, devenant plus souple, presque organique. Les couloirs semblent se reconfigurer derrière moi, m'empêchant de rebrousser chemin. C'est une progression à sens unique, vers le cœur de la structure.
["Configuration spatiale adaptative initiée," informe la voix. "Le Nexus réagit aux participants."]
Je comprends alors – la structure elle-même est consciente, programmée pour s'adapter à nos mouvements, à nos stratégies, peut-être même à nos émotions. Elle nous pousse inexorablement vers une confrontation inévitable.
Après plusieurs minutes de progression dans ce dédale mouvant, j'atteins ce qui semble être le cœur du Nexus – une vaste chambre circulaire d'environ quinze mètres de diamètre. Le sol est recouvert d'une matière qui évoque un tapis de mousse ultra-dense, presque liquide sous la pression, conçue pour amortir les chutes tout en offrant une adhérence parfaite.
Les murs sont constitués d'écrans panoramiques haute définition qui projettent actuellement une vue à 360 degrés de l'extérieur de la structure, comme si les parois étaient transparentes. Je vois Vince et Jayden qui approchent, chacun par un chemin différent, leurs expressions déterminées capturées en gros plan par des caméras volantes.
Au centre de la pièce se trouve une plateforme surélevée, éclairée par un faisceau de lumière blanche éblouissante descendant du plafond. On dirait presque un autel sacrificiel moderniste.
["Chambre de confrontation finale activée," annonce solennellement la voix. "Préparation pour résolution décisive du jeu."]
Je m'avance prudemment vers la plateforme centrale, cherchant à comprendre son but. Un léger bourdonnement émane de sa surface, suggérant une technologie active sous le revêtement.
C'est alors qu'une sensation bizarre me parcourt – comme un souffle glacé sur ma nuque, un picotement instinctif qui me hurle la présence d'un danger imminent. Je pivote brusquement.
Rick se tient à l'entrée de la chambre, immobile et silencieux comme une statue. Contrairement à nos précédentes rencontres fugaces dans l'arène, je peux maintenant l'observer en détail. Grand, la quarantaine imposante, son corps est un témoignage de décennies d'entraînement militaire – musclé sans excès, fonctionnel plutôt qu'esthétique. Son visage présente une cicatrice qui traverse sa joue gauche, souvenir d'un combat passé. Ses yeux gris acier m'évaluent froidement, calculant, analysant chaque détail.
["Confrontation finale initiée," déclare la voix alors que les entrées de la chambre se scellent simultanément derrière Rick, nous enfermant tous deux dans cet espace confiné.
"Règle spéciale activée," continue la voix avec une emphase dramatique. "Le vainqueur de cette confrontation remporte l'intégralité de la compétition, indépendamment des scores précédents."]
Les écrans muraux changent soudainement, affichant maintenant nos deux visages en gros plan, capturant chaque microexpression, chaque dilatation pupillaire, chaque goutte de sueur. Des graphiques biométriques s'affichent en superposition – rythme cardiaque, niveau d'adrénaline, tension musculaire, excitation sexuelle.
"Fin de partie, ma belle," dit Rick, sa voix étonnamment calme et posée. Contrairement à la brutalité primale de Vince ou à l'intensité prédatrice de Jayden, Rick dégage une aura de contrôle absolu, de calcul froid.
"Tu es différente des autres proies," continue-t-il en faisant quelques pas dans ma direction. "Les précédentes suppliaient pour qu'on les épargne, ou tentaient désespérément de séduire leur chasseur."
Il s'arrête à quelques mètres de moi, son regard parcourant délibérément mon corps meurtri, s'attardant sur les marques laissées par les précédentes confrontations.
"Mais toi," poursuit-il avec une note presque respectueuse, "tu as transformé la chasse. Tu as neutralisé mes deux concurrents après qu'ils t'aient possédée. Impressionnant."
["Analyse conversationnelle en cours," commente inutilement la voix artificielle. "Tension psycho-sexuelle détectée. Niveau d'engagement de l'audience : maximal."]
Rick commence à défaire sa combinaison, révélant progressivement sa peau marquée par les cicatrices de nombreux combats. Contrairement aux autres chasseurs qui avaient arraché leurs vêtements dans un accès de passion bestiale, ses gestes sont méthodiques, précis, presque cliniques.
"Je ne vais pas commettre les mêmes erreurs qu'eux," explique-t-il tout en continuant à se déshabiller. "Ils t'ont sous-estimée. Ils ont pensé que la domination physique suffisait."
Complètement nu maintenant, il révèle un physique moins imposant que Vince, moins athlétique que Jayden, mais dénotant une force dense, compacte, une fonctionnalité pure plutôt qu'une recherche esthétique. Son membre viril, semi-érigé, est de taille moyenne – ni monstrueux comme celui de Vince, ni exceptionnellement épais comme celui de Jayden – mais parfaitement proportionné à son corps.
["Détection d'une approche stratégique différente," signale la voix artificielle. "Le chasseur Rick emploie des techniques psychologiques avancées."]
Rick sourit légèrement à ce commentaire, confirmant silencieusement l'analyse du système.
"Sais-tu pourquoi j'ai attendu?" demande-t-il en commençant à décrire un cercle autour de moi, comme un prédateur évaluant sa proie. "Pourquoi je ne t'ai pas traquée immédiatement comme les autres?"
Il s'arrête derrière moi, si proche que je peux sentir sa chaleur sur mon corps nu, son souffle effleurant ma nuque.
"J'ai observé," murmure-t-il à mon oreille. "J'ai appris tes forces, tes faiblesses, tes réactions. J'ai vu comment tu gérais Vince et Jayden. Comment tu les laissais prendre ce qu'ils voulaient avant de retourner la situation."
Ses mains se posent légèrement sur mes épaules, une touche à peine perceptible qui envoie pourtant des frissons le long de ma colonne vertébrale.
"Et surtout," poursuit-il en contournant de nouveau mon corps pour me faire face, "j'ai vu comment ton corps réagissait malgré toi. Comment tu jouissais sous leurs assauts. Comment la honte de ce plaisir se mêlait à ta détermination."
Les écrans muraux affichent maintenant des gros plans alternés de nos visages, capturant ce duel psychologique dans ses moindres détails. Des statistiques en temps réel indiquent l'engagement de l'audience – jamais l'émission n'a connu de tels chiffres.
["Augmentation significative des paramètres d'excitation chez la proie," annonce la voix, trahissant la réaction physiologique que je tente de dissimuler.]
Rick sourit à cette information, confirmant qu'il a accès en temps réel à mes données biométriques – avantage tactique considérable dans ce jeu de manipulation psychologique.
"Tu vois," dit-il en pointant vers un des écrans affichant mes constantes vitales, "ton esprit peut mentir, mais ton corps ne ment jamais. C'est la beauté de ce jeu."
Il s'approche encore, réduisant l'espace entre nous à quelques centimètres à peine. Je peux sentir son odeur – un mélange de sueur propre et d'un parfum subtil, presque métallique.
"Je pourrais te prendre comme eux," continue-t-il, sa voix descendant d'une octave. "Te plaquer contre cette plateforme, écarter tes jambes et te posséder brutalement. Tu résisterais, puis ton corps céderait, comme avant."
Sa main effleure ma joue dans un geste faussement tendre.
"Mais ce serait..." il cherche le mot juste, "...ordinaire. Et tu n'es pas une proie ordinaire."
Il recule soudainement d'un pas, créant un espace inattendu entre nous.
"Je veux que tu comprennes quelque chose de fondamental," dit-il avec une intensité nouvelle. "Dans cette arène, la véritable victoire n'est pas physique. Elle est psychologique."
Il fait un geste large englobant les écrans muraux, les caméras flottantes, la structure entière.
"Tout ceci est conçu pour une chose : la soumission volontaire. Pas la défaite forcée, mais l'acceptation consciente de sa défaite."
Mon rythme cardiaque s'accélère alors que je saisis pleinement sa stratégie. Il ne cherche pas simplement à me dominer physiquement – il veut que je me rende, que je choisisse de me soumettre. Une défaite totale, de l'esprit autant que du corps.
["Configuration spéciale activée," annonce soudain la voix artificielle. "Protocole de choix final initié."]
La plateforme centrale s'illumine davantage, projetant un cercle de lumière parfait autour de nous deux.
["Participants, attention," continue la voix. "Selon le protocole final, la proie dispose maintenant d'un choix décisif : se soumettre volontairement ou résister jusqu'au bout. Ce choix déterminera la nature de la résolution finale."]
Rick sourit, visiblement satisfait de cette tournure des événements – probablement orchestrée avec les producteurs bien avant le début de l'émission.
"Voilà ton véritable test," dit-il doucement. "Pas de fuite possible, pas d'astuces technologiques, pas de gadgets cachés. Juste un choix pur et simple."
Les écrans muraux affichent maintenant un compte à rebours géant : 60 secondes pour prendre ma décision. Des graphiques en temps réel montrent les paris des téléspectateurs sur mon choix – l'audience est divisée presque exactement en deux.
"Un million de dollars contre ta dignité," murmure Rick, son regard plongé dans le mien. "La question est simple : jusqu'où es-tu prête à aller pour gagner?"
Je comprends maintenant le piège parfait qu'il a élaboré. Si je refuse de me soumettre, je perds automatiquement la compétition selon les nouvelles règles. Si j'accepte, je gagne peut-être financièrement, mais je perds sur un plan plus profond, psychologique.
["30 secondes restantes," annonce la voix.]
Rick s'approche à nouveau, son membre maintenant complètement érigé – non pas par excitation primale comme les autres chasseurs, mais comme un outil calculé de domination psychologique.
"Agenouille-toi," ordonne-t-il simplement.
Les caméras se rapprochent, capturant ce moment décisif sous tous les angles possibles. L'audience mondiale retient son souffle, des millions de personnes suspendues à mon choix.
["10 secondes."]
Dans un geste lent, délibéré, calculé, je m'agenouille devant lui. Les écrans explosent en statistiques folles – l'audience atteint des sommets inimaginables, les paris virtuels s'enchaînent à une vitesse vertigineuse.
["Soumission volontaire enregistrée," déclare la voix artificielle. "Phase finale initiée."]
Rick me regarde de haut, savourant ce moment de victoire psychologique. Son membre rigide se trouve maintenant à quelques centimètres de mon visage, la démonstration physique de sa domination.
"C'est ça," approuve-t-il doucement. "Montre au monde entier ce que signifie vraiment la défaite."
Il saisit mes cheveux fermement mais sans brutalité excessive, guidant mon visage vers son sexe. Ses gestes sont contrôlés, méthodiques, dénués de la frénésie animale qui caractérisait les autres chasseurs.
"Ouvre la bouche," ordonne-t-il.
Les caméras capturent en gros plan mes lèvres qui s'entrouvrent, mon regard qui monte vers lui, la tension évidente sur mon visage.
"Parfait," murmure-t-il. "Maintenant, prends-le. Lentement."
Son gland franchit la barrière de mes lèvres, s'insinuant dans ma bouche avec une délibération calculée. Contrairement aux autres chasseurs qui imposaient leur rythme brutal, Rick me laisse adapter progressivement, comprenant que cette lente progression est psychologiquement plus dévastatrice qu'une intrusion violente.
["Analyse des mouvements buccaux en cours," commente cliniquement la voix artificielle. "Participation active détectée. Confirmation de soumission volontaire."]
Ce commentaire fait sourire Rick – il sait parfaitement que cette "participation active" est un élément crucial de sa stratégie de domination. Il ne veut pas simplement utiliser ma bouche, il veut que je participe activement à ma propre défaite.
"C'est ça," encourage-t-il alors que je commence à le caresser de ma langue. "Montre à l'audience que tu choisis consciemment de me servir."
Les écrans muraux changent encore, affichant maintenant non seulement nos images, mais aussi les réactions sélectionnées de téléspectateurs du monde entier – leurs expressions de fascination morbide, d'excitation, de jubilation devant ce spectacle d'humiliation consentie.
["Audience mondiale confirmée : 214 millions de connexions simultanées," annonce la voix. "Record absolu historique pour tout programme de divertissement."]
Les mains de Rick encadrent mon visage, guidant mes mouvements en douceur mais avec fermeté. Son membre glisse plus profondément dans ma bouche, touchant parfois le fond de ma gorge, me faisant lutter contre le réflexe nauséeux.
"Regarde la caméra principale," ordonne-t-il en désignant du menton l'objectif qui flotte directement face à nous. "Je veux que le monde voie ton regard pendant que tu me suces."
Je lève les yeux vers la caméra, consciente de l'image que je projette – à genoux, les lèvres étirées autour de son sexe, des larmes involontaires perlant au coin de mes yeux. C'est l'apogée de l'humiliation publique, exactement ce que les producteurs et l'audience attendaient depuis le début.
"Parfait," approuve Rick. "Maintenant tous comprennent ce qu'est la vraie soumission."
Son rythme s'accélère légèrement, ses mains fermement ancrées dans mes cheveux. La salive s'écoule abondamment de ma bouche, coulant sur mon menton puis sur mes seins exposés. Les caméras zooment sur ces détails intimes, ne laissant rien à l'imagination des spectateurs.
"Le savoir est pouvoir," philosophe Rick entre deux respirations plus profondes. "J'ai étudié tes réactions avec les autres chasseurs. Je connais les points exacts où tu cèdes au plaisir malgré toi."
Sa main descend vers ma gorge, qu'il entoure délicatement mais fermement – pas assez pour couper ma respiration, juste assez pour sentir les mouvements de déglutition lorsque son membre pousse contre le fond de ma gorge.
"Tu sens ça?" demande-t-il, sa voix légèrement plus rauque maintenant. "Le moment précis où tu perds le contrôle, où ton corps accepte l'intrusion."
Il a raison, et les capteurs biométriques le confirment – mon corps réagit malgré ma volonté. Une chaleur traîtresse s'installe dans mon bas-ventre, mes tétons se durcissent, une humidité s'accumule entre mes cuisses. Ces réactions physiologiques s'affichent impitoyablement sur les écrans environnants.
["Excitation sexuelle de la proie en hausse constante," confirme la voix artificielle. "Réponse physiologique autonome détectée."]
Rick sourit à cette annonce, son regard alternant entre mon visage et les écrans de données biométriques.
"Même dans la défaite, ton corps cherche le plaisir," constate-t-il. "C'est fascinant, n'est-ce pas? Cette dualité entre l'esprit qui résiste et le corps qui cède."
Son rythme augmente progressivement, ses mouvements devenant plus profonds, plus insistants. Son membre pousse maintenant régulièrement contre l'entrée de ma gorge, me forçant à réprimer mes réflexes naturels. Les larmes coulent librement sur mes joues, mélange de réaction physiologique et d'humiliation profonde.
"Tu pleures," remarque-t-il, son pouce essuyant une larme. "Est-ce de honte? De frustration? Ou simplement une réaction physique?"
Il n'attend pas ma réponse – impossible à donner dans ma position actuelle. Ses poussées deviennent plus rythmiques, son souffle s'accélère légèrement.
"Je veux que tu comprennes quelque chose," dit-il, sa voix maintenant plus tendue, trahissant son excitation croissante. "Ce n'est pas juste ton corps que je possède en ce moment. C'est ton image, ton identité publique."
Il désigne d'un geste les écrans montrant les réactions de l'audience mondiale.
"À partir d'aujourd'hui, peu importe ce que tu feras de ta vie, des millions de personnes te reconnaîtront comme la femme qui s'est agenouillée volontairement, qui a choisi sa défaite."
Cette vérité cruelle amplifie l'humiliation à un niveau presque insupportable. Je réalise pleinement les implications à long terme de ce moment – cette image me suivra toujours, définira ma personne publique pour les années à venir.
Les mouvements de Rick deviennent plus erratiques, son membre pulsant légèrement dans ma bouche – signes avant-coureurs de son orgasme imminent.
["Préparation à l'éjaculation détectée," annonce cliniquement la voix artificielle. "Probabilité d'orgasme du chasseur dans les 30 secondes : 92%."]
Rick ralentit délibérément, prolongeant le moment, maximisant la tension dramatique pour l'audience. Ses mains encadrent fermement mon visage, m'immobilisant complètement.
"Regarde-moi maintenant," ordonne-t-il, son regard plongeant dans le mien. "Je veux voir tes yeux quand je jouirai dans ta gorge. Je veux que tu comprennes pleinement ta position."
Nos regards se verrouillent dans une intimité perverse, captée en gros plan par les caméras flottantes. Son membre pulse plus fortement, annonçant l'imminence de sa libération.
"Avale tout," commande-t-il, sa voix rauque. "Jusqu'à la dernière goutte."
C'est précisément ce moment de vulnérabilité maximale que j'attendais depuis le début. Alors que Rick est entièrement concentré sur son plaisir imminent, ses défenses mentales abaissées par l'approche de l'orgasme, j'active mon dernier recours – non pas un gadget externe qui serait interdit par les règles, mais une modification biologique préalablement implantée.
Une capsule de neurotoxine temporaire, chirurgicalement dissimulée sous ma langue avant même mon entrée dans l'arène, que je mords délicatement à cet instant précis. Le composé se mélange instantanément à ma salive, entrant en contact avec les muqueuses sensibles de son pénis.
Cette substance n'aurait aucun effet par simple contact avec la peau ordinaire, mais les tissus érectiles de son membre, gorgés de sang et ultra-réceptifs dans cet état d'excitation extrême, l'absorbent instantanément.
Rick ne remarque rien dans l'immédiat, interprétant certainement la légère pression de mes dents comme une stimulation supplémentaire. Son bassin pousse une dernière fois, son membre s'enfonçant profondément dans ma gorge alors que les premières contractions de son orgasme commencent.
"Je vais... jouir," annonce-t-il, son visage se crispant dans l'expression caractéristique du plaisir ultime.
Les premiers jets de son sperme frappent le fond de ma gorge au moment précis où la neurotoxine commence à faire effet. Je déglutis docilement, maintenant le contact prolongé entre les muqueuses de sa verge et le composé actif.
["Rick marque son..." commence la voix artificielle avant de s'interrompre brusquement, détectant l'anomalie qui se produit.]
L'expression de Rick change brutalement, passant de l'extase orgasmique à la confusion la plus totale. Son éjaculation se poursuit mais ses jambes commencent à trembler, non pas de plaisir mais de faiblesse soudaine. Ses mains relâchent leur emprise sur mes cheveux alors qu'il lutte visiblement pour comprendre ce qui lui arrive.
"Qu'est-ce que... tu as..." balbutie-t-il, son orgasme toujours en cours mais son corps perdant rapidement toute force.
Je me dégage lentement, me relevant tandis qu'il s'effondre graduellement sur ses genoux. Nos positions s'inversent dans une symétrie parfaite – lui maintenant agenouillé devant moi, son membre toujours rigide pulsant faiblement, éjaculant par spasmes involontaires.
["Anomalie physiologique significative détectée chez le chasseur Rick," annonce la voix artificielle, une note de surprise évidente dans son ton synthétique. "Paralysie neuromusculaire progressive en cours."]
Je m'essuie délibérément la bouche du dos de la main, fixant directement les caméras principales.
"Le règlement stipule qu'aucun dispositif externe n'est autorisé après la phase initiale," je déclare calmement. "Mais il ne mentionne rien concernant les modifications physiologiques préalables à l'entrée dans l'arène."
En effet, avant le début du jeu, j'avais soudoyé un technicien médical pour implanter chirurgicalement cette capsule sous ma langue – un détail soigneusement omis lors des examens préliminaires et des multiples scanners.
["Analyse approfondie du règlement en cours," confirme la voix après plusieurs secondes de silence tendu. Les écrans affichent le texte du règlement défilant à grande vitesse, des algorithmes d'IA juridique analysant chaque clause, chaque mot.
"Interprétation validée," annonce finalement la voix. "Aucune infraction détectée. La modification corporelle préalable ne constitue pas une violation du règlement section 7.3 concernant les dispositifs externes."]
Rick, maintenant complètement effondré sur le sol, me fixe avec un mélange de rage impuissante et de respect réticent. Son corps est entièrement paralysé à l'exception de ses yeux qui me suivent, brûlants de fureur et d'incrédulité.
"La... parfaite... proie," articule-t-il péniblement, chaque syllabe lui coûtant un effort considérable. "Tu... avais tout... planifié."
["Neutralisation permanente confirmée," proclame triomphalement la voix artificielle. "Nature de la neutralisation : paralysie neuromusculaire temporaire. Durée estimée : 36 heures. Aucun danger vital."]
Cette précision est importante – la substance n'est pas létale, juste incapacitante pour une durée bien supérieure à celle du jeu. Le composé laisse également son esprit parfaitement conscient, une cruauté calculée qui lui permet d'expérimenter pleinement sa défaite.
Les écrans muraux explosent en un kaléidoscope de couleurs et d'animations, affichant en lettres géantes : "VICTOIRE HISTORIQUE DE LA PROIE".
["Félicitations Maya!" tonne la voix artificielle avec une emphase presque humaine. "Vous remportez un million de dollars, le titre de Proie Suprême de cette saison, et établissez un nouveau record de l'émission – première proie à neutraliser TOUS les chasseurs!"]
Les barrières énergétiques de la chambre s'abaissent simultanément. Sur les écrans périphériques apparaissent les visages stupéfaits de Vince et Jayden, obligés d'assister à ma victoire depuis leurs positions dans l'arène. Leurs expressions oscillent entre l'incrédulité et une forme de respect nouveau.
["Audience finale confirmée : 236 millions de téléspectateurs simultanés," annonce fièrement la voix. "Record absolu toutes catégories confondues dans l'histoire des médias interactifs."]
Je me tiens debout, victorieuse mais meurtrie, au centre de ce théâtre technologique. Mon corps porte les stigmates de ces confrontations brutales – les ecchymoses, les morsures, les irritations, les résidus de fluides corporels – mais mon regard est celui d'une conquérante, d'une stratège qui a tout planifié depuis le début.
Les drones-caméras m'encerclent frénétiquement, capturant ma victoire sous tous les angles imaginables. Un écran holographique se matérialise devant moi, affichant les réactions en direct des réseaux sociaux et des sites d'information – mon nom est déjà en tête des tendances mondiales, mon image virale sur tous les continents.
["Une dernière déclaration pour votre public mondial?" propose la voix artificielle.]
Je fixe directement la caméra principale, consciente que mon corps nu est projeté sur des écrans dans le monde entier, des bars aux places publiques, des terminaux personnels aux façades des gratte-ciels.
"Dans un jeu conçu pour l'humiliation féminine," je déclare d'une voix claire et ferme, "j'ai choisi de renverser les règles. Ce n'est pas l'histoire d'une victime, mais celle d'une stratège. Rappelez-vous que parfois, se mettre à genoux peut être la position parfaite... pour frapper là où ça fait mal."
Un silence presque religieux s'abat sur l'arène avant qu'une clameur virtuelle n'explose – les réactions de millions de téléspectateurs fusionnant en une vague sonore qui emplit la structure.
Des portes dissimulées s'ouvrent dans les parois, révélant une équipe médicale qui s'avance prudemment. Derrière eux, j'aperçois plusieurs silhouettes en costumes sombres – les producteurs exécutifs, venus assister en personne à ce dénouement historique.
Le producteur principal, un homme d'une cinquantaine d'années au visage ciselé par les interventions esthétiques, s'approche avec un mélange de respect nouveau et d'excitation commerciale évidente.
"Maya," dit-il en me tendant une robe de chambre en soie noire ornée du logo de l'émission. "Vous venez de réinventer le concept même de notre show."
Je prends le vêtement et l'enfile lentement, savourant la sensation du tissu luxueux sur ma peau maltraitée. L'équipe médicale commence à s'occuper de Rick, le plaçant sur une civière antigravitationnelle tout en vérifiant ses constantes vitales.
"Nous avons déjà reçu des offres pour vous," continue le producteur, incapable de cacher son enthousiasme. "Des contrats publicitaires, des propositions d'autobiographie, et bien sûr... une offre pour revenir dans une édition spéciale."
Ses yeux brillent d'anticipation mercantile – il me voit déjà comme le nouveau visage de la franchise, une mine d'or potentielle.
"Imaginez," poursuit-il, baissant la voix comme pour partager une confidence, "une saison où vous seriez la chasseuse, traquant trois hommes qui auraient tout à perdre. Le public en deviendrait fou."
Les écrans muraux affichent déjà des projections conceptuelles de cette hypothétique nouvelle saison – mon visage superposé au logo du programme, avec le slogan : "Les rôles s'inversent. La proie devient prédatrice."
Je considère un instant cette proposition, évaluant les implications, les possibilités, les conséquences. Ma victoire m'a donné un pouvoir de négociation que peu de participants ont jamais possédé.
"Nous parlerons de tout cela," je réponds diplomatiquement, "après que j'aie récupéré et consulté mes avocats."
Le producteur sourit, reconnaissant dans ma réponse la naissance d'une femme d'affaires aussi calculatrice que lui.
"Bien sûr," acquiesce-t-il. "Reposez-vous. Nous avons tout le temps."
Alors que l'équipe médicale m'escorte vers la sortie, je jette un dernier regard à Rick, toujours paralysé sur sa civière. Nos yeux se croisent brièvement – les siens toujours brillants de rage impuissante, les miens reflétant une sérénité nouvelle, celle de la victoire absolue.
["Fin officielle de l'émission 'Get Her and Fuck', épisode 7," annonce la voix artificielle alors que les portes se referment derrière moi. "Restez connectés pour l'émission spéciale d'après-jeu dans 30 minutes."]
Je quitte l'arène la tête haute, laissant derrière moi le théâtre de ma transformation. Entrée comme proie, je ressors en prédatrice. Le monde m'attend, transformé lui aussi par ce qu'il vient d'observer.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon texte. Juste corriger le titre « Attrape-moi si tu peux » sans "s". À l’impératif, les verbes du premier groupe comme attraper perdent le "s" final à la 2ᵉ personne du singulier.

