Au Balcon
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Au Balcon
La fille était nue. Enfin presque... Elle ne portait qu’un slip blanc, un grand slip blanc qui montait haut sur ses hanches.
Vu qu’il faisait nuit on ne voyait pas grand chose.
Mais sa silhouette se détachait sombre sur la façade blanche derrière la balustrade en fer forgé du balcon. Sauf bien sûr le slip blanc qui restait blanc malgré l’obscurité, comme tâche dessinée au Tipp-ex.
L’obscurité n’était pas trés obscure vu qu’on était en ville et qu’en ville il y a plein de luminosités venues de partout faisant halo baignant toute chose. Les lumières de la ville comme dirait Chaplin... City Lights.
Les lumières venaient de la rue, des réverbères et des phares des autos et aussi des devantures des magasins. Les lumières venaient aussi des dizaines de fenêtres des apparts alentour avec des gens dedans, vivants, qui allaient venaient vaquaient.
Les lumières ne venaient pas trop des étoiles. Ici les étoiles sont pâles surtout en été.
La fille était nue à son balcon et elle téléphonait.
Et moi j’étais assis sur mon lit derrière ma fenêtre ouverte et je matais.
C’était l’été et c’était normal qu’elle fût nue à téléphoner à son balcon, vu la canicule.
Et moi je pensais me faut, moi aussi, délacer mes godasses, retirer les chaussettes tomber le pantalon, fait chaud, non ? Pour être à l’unisson... De cette pérempelle nue à son balcon.
Moi j’ai en sus tombé le boxer. Faisait vraiment chaud ce soir-là.
Non ?
Je matais la grande fille, ombre noire vêtue de simple slip blanc, téléphonant à son balcon. J’avais la main sur ma bite chaude dure bandée au gland retroussé et mes pensées tonitruaient.
La fille était à son affaire de téléphonage et ne participait en rien à mes émois.
Sa main droite, celle qui ne tenait pas l’iPhone, courait sur son ventre et caressait en mouvements rotatifs son nombril. Les mouvements ne semblaient pas coordonnés ordonnés mais plutôt de fantaisie.
J’ai vu la main glisser doucement sur le pubis glabre et entrer subrepticement dans la culotte, par en dessous l’élastique de ceinture.
Le dos de la main gonflait et moulait le fin coton et l’on devinait sans ambage deux doigts au creux et deux autres par côté caressant les plis de l’aine encadrant les charnus.
Mes mains à moi étaient, elles aussi, à la tâche, l’une soulevant les roupes, l’autre serrant la hampe en tirant pour dégager totalement le gland des moiteurs de prépuce.
Le lit était bas et moi j’étais assis au pied, en contre-plongée du balcon sur lequel la fille téléphonait.
Ses pantomimes m’émouvaient et ma tige dressée exprimait la sincérité de mes sentiments à son encontre. Ma main passait et repassait sur le gland, maintenant sec et doux, porté haut et avide de la caresse.
Je m’appliquais à suivre le rythme de la main de la fille dans sa culotte et trouvais dans cette harmonie comme une résonance d’accord musical.
Ma fenêtre était ouverte et j’étais baigné des bruits de la ville. Les autos surtout qui roulaient en bas sur la chaussée mal entretenue mais surtout les conversations des passants et les roulettes des valises des gars qui se pressaient vers la gare proche.
Soudain j’ai pris conscience que cette fille qui téléphonait à grands gestes de conviction de dénégation envers son interlocuteur, je ne l’entendais pas.
J’eus beau prêter l’oreille, non rien ne venait lors que j’étais à peine à quelques mètres du balcon d’en face.
La fille était en transe et elle a posé l’iPhone pour poursuivre sa masturbation personnelle frénétiquement à deux mains au creux du slip blanc.
Alors je me suis levé pour apparaître dans l’encadrement et j’ai dit « bonjour »Sur qu’à onze heure du soir, c’était incongru. Bonsoir eût été mieux approprié.
La fille a ôté ses deux mains de la culotte dans laquelle celles-ci étaient affairées et a empoigné la rampe de fer forgé du balcon, se dressant sur la pointe des pieds, cambrée de fesses et seins pointés en avant.
Elle me matait et moi je la matais, moi tout nu avec mon organe dressé et elle toute nue avec juste son slip blanc.
Elle a juste dit, viens, je te prépare un jus de pamplemousse rose avec de l’eau qui pique, tu verras tu vas apprécier.
La porte de l’immeuble d’en face était ouverte. J’avais repassé mon pantalon mais dans ma hâte avais fait l’impasse sur les chaussures les chaussettes. L’escalier était obscur et la minuterie introuvable. J’ai monté quatre à quatre les trois étages à tâtons de la rampe. La porte de l’appart était ouverte et la seule lumière venait des fenêtres ouvertes sur la ville.
J’entendais bruits d’eau et de douche.
Elle a dit pousse la porte et clos la clenche et viens me retrouver.
J’ai tombé teeshirt jean et boxer et suis entré contre elle derrière le rideau de plastique mouillé.
Elle était chaude d’eau et de savons et m’a entrepris en grand nettoyage à se couler contre moi mains actives sur ma bite en aubade de bon accueil.
Avec son flacon détergent à bec perroquet elle aspergeait tout mon corps. On était dans le noir et j’ignorais tout d’elle, de son minois. Néanmoins mes mains avaient parcouru ses épaules son cou son poitrail. Elle était à mon goût dure de peau dure de muscles de fille sportive dure de seins petits et larges comme de gamine avec téton minuscule dressé.
Ma main à sa fesse empaumait du solide et j’en rebandais tout heureux d’avoir chaussure à mon pied.
Elle n’était pas en reste et inondait mon bitos de son produit moussant glissant, et mes fesses aussi.
Elle a posé le perroquet sur le carrelage et, se relevant, m’a saisi pour me tirer à elle et se frotter de ventre d’abdomen de thorax. C’était doux c’était tendre c’était foutrement sexe...
Surtout quand, par derrière elle a profité des substances qui ensavonnaient ma craque pour m’enfiler son grand doigt à fond de rectum, sans crier gare.
Viol, dirait-on maintenant... Mais j’étais diablement consentant.
Mon baiser gluant sous les eaux en cataracte et ses cheveux trempés et nous avons fermé les robinets.
Elle n’a rien allumé et j’ai du boire lors qu’elle finissait de se sécher mon pamplemousse dans la pénombre de la cuisine vaguement éclairée du réfrigérateur à la porte entre-ouverte.
Elle est venue lors que je buvais, agenouillée, engouler mon zizi tout rabougri des eaux chaudes. Elle a juste dit, c’est le meilleur moment, quand le bitos sent bon les effluves de propre et que la tige reste molle et modeste à pas te distendre les mandibules.
J’ai alors aperçu ses traits de brune à longs cheveux de Joan Baes Emylou Harris. Je pensais jazz, country ... Amérique.
Je pensais, je vais moi aussi lui bouffer sa chatte toute molle de la douche et aux odeurs suaves savon plutôt que cyprine.
Dans la piaule baignée des obscures clartés du ciel parisien j’ai longuement salivé dans sa touffe que j’imaginais noire sans l’avoir encore vue. Elle levait ses cuisses haut, pliée comme grenouille spinalisée et chantait doucement mélopée de fille contente.
Moi, je savais, pour l’avoir vue à l’œuvre, que cette fille aimait les choses de sensualité. Elle en savait autant de moi. Nous n’avions donc pas d’impatience.
Voisins, sexfriends, urbans de début du XXIème macronien.
Vu qu’il faisait nuit on ne voyait pas grand chose.
Mais sa silhouette se détachait sombre sur la façade blanche derrière la balustrade en fer forgé du balcon. Sauf bien sûr le slip blanc qui restait blanc malgré l’obscurité, comme tâche dessinée au Tipp-ex.
L’obscurité n’était pas trés obscure vu qu’on était en ville et qu’en ville il y a plein de luminosités venues de partout faisant halo baignant toute chose. Les lumières de la ville comme dirait Chaplin... City Lights.
Les lumières venaient de la rue, des réverbères et des phares des autos et aussi des devantures des magasins. Les lumières venaient aussi des dizaines de fenêtres des apparts alentour avec des gens dedans, vivants, qui allaient venaient vaquaient.
Les lumières ne venaient pas trop des étoiles. Ici les étoiles sont pâles surtout en été.
La fille était nue à son balcon et elle téléphonait.
Et moi j’étais assis sur mon lit derrière ma fenêtre ouverte et je matais.
C’était l’été et c’était normal qu’elle fût nue à téléphoner à son balcon, vu la canicule.
Et moi je pensais me faut, moi aussi, délacer mes godasses, retirer les chaussettes tomber le pantalon, fait chaud, non ? Pour être à l’unisson... De cette pérempelle nue à son balcon.
Moi j’ai en sus tombé le boxer. Faisait vraiment chaud ce soir-là.
Non ?
Je matais la grande fille, ombre noire vêtue de simple slip blanc, téléphonant à son balcon. J’avais la main sur ma bite chaude dure bandée au gland retroussé et mes pensées tonitruaient.
La fille était à son affaire de téléphonage et ne participait en rien à mes émois.
Sa main droite, celle qui ne tenait pas l’iPhone, courait sur son ventre et caressait en mouvements rotatifs son nombril. Les mouvements ne semblaient pas coordonnés ordonnés mais plutôt de fantaisie.
J’ai vu la main glisser doucement sur le pubis glabre et entrer subrepticement dans la culotte, par en dessous l’élastique de ceinture.
Le dos de la main gonflait et moulait le fin coton et l’on devinait sans ambage deux doigts au creux et deux autres par côté caressant les plis de l’aine encadrant les charnus.
Mes mains à moi étaient, elles aussi, à la tâche, l’une soulevant les roupes, l’autre serrant la hampe en tirant pour dégager totalement le gland des moiteurs de prépuce.
Le lit était bas et moi j’étais assis au pied, en contre-plongée du balcon sur lequel la fille téléphonait.
Ses pantomimes m’émouvaient et ma tige dressée exprimait la sincérité de mes sentiments à son encontre. Ma main passait et repassait sur le gland, maintenant sec et doux, porté haut et avide de la caresse.
Je m’appliquais à suivre le rythme de la main de la fille dans sa culotte et trouvais dans cette harmonie comme une résonance d’accord musical.
Ma fenêtre était ouverte et j’étais baigné des bruits de la ville. Les autos surtout qui roulaient en bas sur la chaussée mal entretenue mais surtout les conversations des passants et les roulettes des valises des gars qui se pressaient vers la gare proche.
Soudain j’ai pris conscience que cette fille qui téléphonait à grands gestes de conviction de dénégation envers son interlocuteur, je ne l’entendais pas.
J’eus beau prêter l’oreille, non rien ne venait lors que j’étais à peine à quelques mètres du balcon d’en face.
La fille était en transe et elle a posé l’iPhone pour poursuivre sa masturbation personnelle frénétiquement à deux mains au creux du slip blanc.
Alors je me suis levé pour apparaître dans l’encadrement et j’ai dit « bonjour »Sur qu’à onze heure du soir, c’était incongru. Bonsoir eût été mieux approprié.
La fille a ôté ses deux mains de la culotte dans laquelle celles-ci étaient affairées et a empoigné la rampe de fer forgé du balcon, se dressant sur la pointe des pieds, cambrée de fesses et seins pointés en avant.
Elle me matait et moi je la matais, moi tout nu avec mon organe dressé et elle toute nue avec juste son slip blanc.
Elle a juste dit, viens, je te prépare un jus de pamplemousse rose avec de l’eau qui pique, tu verras tu vas apprécier.
La porte de l’immeuble d’en face était ouverte. J’avais repassé mon pantalon mais dans ma hâte avais fait l’impasse sur les chaussures les chaussettes. L’escalier était obscur et la minuterie introuvable. J’ai monté quatre à quatre les trois étages à tâtons de la rampe. La porte de l’appart était ouverte et la seule lumière venait des fenêtres ouvertes sur la ville.
J’entendais bruits d’eau et de douche.
Elle a dit pousse la porte et clos la clenche et viens me retrouver.
J’ai tombé teeshirt jean et boxer et suis entré contre elle derrière le rideau de plastique mouillé.
Elle était chaude d’eau et de savons et m’a entrepris en grand nettoyage à se couler contre moi mains actives sur ma bite en aubade de bon accueil.
Avec son flacon détergent à bec perroquet elle aspergeait tout mon corps. On était dans le noir et j’ignorais tout d’elle, de son minois. Néanmoins mes mains avaient parcouru ses épaules son cou son poitrail. Elle était à mon goût dure de peau dure de muscles de fille sportive dure de seins petits et larges comme de gamine avec téton minuscule dressé.
Ma main à sa fesse empaumait du solide et j’en rebandais tout heureux d’avoir chaussure à mon pied.
Elle n’était pas en reste et inondait mon bitos de son produit moussant glissant, et mes fesses aussi.
Elle a posé le perroquet sur le carrelage et, se relevant, m’a saisi pour me tirer à elle et se frotter de ventre d’abdomen de thorax. C’était doux c’était tendre c’était foutrement sexe...
Surtout quand, par derrière elle a profité des substances qui ensavonnaient ma craque pour m’enfiler son grand doigt à fond de rectum, sans crier gare.
Viol, dirait-on maintenant... Mais j’étais diablement consentant.
Mon baiser gluant sous les eaux en cataracte et ses cheveux trempés et nous avons fermé les robinets.
Elle n’a rien allumé et j’ai du boire lors qu’elle finissait de se sécher mon pamplemousse dans la pénombre de la cuisine vaguement éclairée du réfrigérateur à la porte entre-ouverte.
Elle est venue lors que je buvais, agenouillée, engouler mon zizi tout rabougri des eaux chaudes. Elle a juste dit, c’est le meilleur moment, quand le bitos sent bon les effluves de propre et que la tige reste molle et modeste à pas te distendre les mandibules.
J’ai alors aperçu ses traits de brune à longs cheveux de Joan Baes Emylou Harris. Je pensais jazz, country ... Amérique.
Je pensais, je vais moi aussi lui bouffer sa chatte toute molle de la douche et aux odeurs suaves savon plutôt que cyprine.
Dans la piaule baignée des obscures clartés du ciel parisien j’ai longuement salivé dans sa touffe que j’imaginais noire sans l’avoir encore vue. Elle levait ses cuisses haut, pliée comme grenouille spinalisée et chantait doucement mélopée de fille contente.
Moi, je savais, pour l’avoir vue à l’œuvre, que cette fille aimait les choses de sensualité. Elle en savait autant de moi. Nous n’avions donc pas d’impatience.
Voisins, sexfriends, urbans de début du XXIème macronien.
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