AU BISTROT DE L’ABBAYE
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2012 dans la catégorie Plus on est
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AU BISTROT DE L’ABBAYE
Après ce long parcours en forêt, c'est un véritable plaisir que de rencontrer des premières maisons du village. Le soleil d'automne, bas vers l'horizon, éclaire d'un rai livide rues et ruelles. Face à l'abbaye, le café restaurant s'est trouvé un nouveau propriétaire. La terrasse est pimpante, le mobilier est encore couvert des gouttes de rosée du matin. J'hésite à m'y installer. J'opte pour l'intérieur de la salle et me place face au bar pour un long moment d’attente solitaire. Le local vide s'anime soudain de la suavité d'un parfum connu et je me retrouve sidéré face à un amour de mes jeunes années. Son visage pâle et souriant est bordé de cheveux noirs coupés courts. Il s'illumine en signe de reconnaissance. Son corps est svelte et juvénile sa poitrine et ses fesses à peine dessinées. Elle me déshabille du regard.
Nous restons sans voix. Insensiblement, nos corps se rapprochent comme aimantés l'un par l'autre. Mon hôtesse me saisit par la main et m'entraîne dans une cuisine immaculée inondée d’une lumière métallique. Nos deux corps s'enlacent avec maladresse; nos mains s'agitent en mille caresses indécentes ; nos sexes et nos poitrines s'écrasent mutuellement. Je n’ose me risquer dans des contacts trop précis. Elle me caresse sans ménagement aux meilleurs endroits. Nous savourons en silence ces émouvantes retrouvailles. Corps contre corps, les minutes passent avec une infinie douceur, mélange de tendresse et d'excitation.
Lorsqu'enfin nous nous séparons, elle m'intime brutalement l'ordre de me dénuder. Surpris j'hésite puis, curieusement haletant d’émotion, j’envisage vraiment de me plier à son désir. Sentant son avantage, elle répète son injonction en serrant fermement mon entrecuisse. Je quitte tranquillement chaussettes et chaussures, pantalon et chemise que je porte à même la peau. Toujours vêtue, elle me prend par la main et m'attire dans une imposante cour intérieure dallée, bordée de bâtiments de faible hauteur. Une dizaine de personnes sont installés, devisant gaiement, assis sur les fauteuils de jardin. Elle m’oblige à circuler entre eux qui, au passage, en profitent pour peloter mon corps nu. Certains se contentent d'une caresse. D'autres pincent ou pénètrent ce qui passe à leur portée. À leur caprice, mon hôtesse m'immobilise pour que je sois à leur merci.
Lorsqu'elle se dévêt enfin, mon sexe est déjà érigé. Penchée en avant, elle m'offre ses fesses et je la pénètre en levrette en appuyant fermement sur sa nuque. Les spectateurs se sont rapprochés et touchent maintenant nos corps en mouvement. Les mains se concentrent sur l'intérieur de nos cuisses, nos poitrines, nos visages et nos fesses. Nous sommes massés, mordus, griffés à l’envi. Des doigts pénètrent nos bouches puis nos culs et précipitent ainsi notre jouissance. Lorsque l'ambiance tourne à l'orgie, mon amie me soustrait à ces envahissantes attentions, les laisse s’exciter entre eux, et s'enferme avec moi dans un étroit réduit qui sert de réserve au restaurant.
Elle recrée le désir en léchant mon corps fatigué avec une particulière insistance pour l'entre deux de mes fesses. Ses petits seins sont dressés, son ventre agité de spasmes réguliers. Elle me force à me ficher dans son cul humide qui se dilate comme par enchantement. Les mouvements de son bassin m’obligent à m’enfoncer profondément en elle. Elle saisit mes fesses et introduit doucement deux doigts dans mon anus. Elle les fait divinement bouger et je ne cesse de m’échauffer. Son corps s’agite et sa bouche émet des sons graves puis vire à l’aigu lorsqu’elle jouit bruyamment. Mon plaisir est pris en silence, dans une infinie douceur.
J'ai maintenant table ouverte chez elle. Je n’ose exprimer comment elle va à la rencontre de mes nombreux fantasmes. Elle est consciente de l’effet produit sur moi par son physique androgyne. Elle se comporte en dominante d’abord en petit comité puis devant un public plus nombreux. Mille fois elle me déculotte au milieu du restaurant, exhibe mon sexe et mes fesses et me soumet aux désirs de ses convives des deux sexes. Je pénètre chattes et culs. Mon anus et ma bouche accueillent sexes et jouets. Je sers les clients nu ou habillé d’étonnants vêtements transparents. Mon hôtesse n’est pas de reste et prête longuement son corps de garçonnet à mille supplices. Nos plus ardents clients sont les gendarmes de la brigade locale qui, dans leur majorité, prennent possession de nos corps avec un certain sadisme. Mais ils nous protègent des rigueurs de la loi.
Très vite, notre réputation gagne l’abbaye voisine et le père abbé vient nous rencontrer. Il évoque nos soirées coquines tout en caressant la cuisse de l’hôtelière assise à sa portée. Puis il se tait et remonte vers l’entrejambe en troussant sa minijupe. Son souffle est haletant. Il libère les fesses maigrichonnes de l’hôtelière de leur culotte, relève le pull et la prend en levrette, tandis que ses petits seins bougent en rythme. Je contemple avec étonnement le cul nu du prélat qui s’agite, le pantalon aux chevilles. A peine en a-t-il fini avec elle qu’il empoigne d’une main mon bas ventre et se rue sur la ceinture de mon pantalon de l’autre. Il dégage mes fesses de leur gangue de tissu en les pelotant et les pénètre violemment de ses doigts puis de son sexe. Ses deux bras enserrent mes hanches et ses mains me branlent sans douceur. Il m’arrache un étonnant orgasme et continue longuement à me besogner jusqu’à libérer en moi son épiscopal foutre. Quelle santé !
Après cet épisode, nous sommes conviés, tous les dimanches après vêpres à soulager les burnes de la communauté monastique. La chapelle, le réfectoire ou le cloitre sont le théâtre de ces orgies. Les moines sont systématiquement nus sous leur bure. Quant à nous, nul vêtement ne nous est toléré. Souvent nous jouons à nous cacher dans mille recoins. Lorsqu’ils nous retrouvent, au comble de l’excitation, ils nous empalent de leurs vits, violentent nos seins et nos sexes, remplissent nos bouches de leur foutre… Parfois, ils nous obligent à lire des textes sacrés évocateurs ou coquins en chaire pendant qu’ils nous enculent. A pâques, ils nous ont liés sur des croix, dans la chapelle à peine chauffée, et ont martyrisé nos corps pantelants pendant de longues heures. La lance du soldat romain, opportunément retournée, a plusieurs fois violé nos fesses et la vulve de mon amie. Parfois ils nous invitent, nus et debout au milieu du chœur, à les écouter chanter vêpres. Leurs regards vicieux sans cesse nous pénètrent. Leur demande est telle que désormais nous limitons les autres soirées coquines au mercredi soir.
Mal nous en prend car les gendarmes deviennent menaçants et nous sommes condamnés à subir leurs assauts tous les lundis après-midi à la caserne. Heureusement, ils invitent les pompiers ce qui nous permet de nous reposer un peu les autres jours. Parfois, mon amie voit pénétrer son vagin d’un révolver qui semble chargé. Elle simule alors rapidement le plaisir pour mettre fin à la torture. Plus d’une fois, je l’ai vue suspendue à leurs sexes, empalée devant et derrière, uniquement vêtue d’un casque ou d’un képi et de lourdes bottes trop grandes pour elle. Souvent, une matraque pénètre mon derrière et remonte si haut que la douleur m’est insupportable. Et pourtant je finis par jouir en dispersant mon sperme au sol. Ils m’obligent alors à le lécher pendant qu’ils continuent à me besogner le cul. D’autres fois, ma bouche est profondément envahie d’un sexe, tandis que mon cul est violemment dilaté par une verge. L’asphyxie renforce ma jouissance anale et je ne suis plus qu’une zone érogène.
Je vous passe les exigences moins fréquentes du conseil municipal et de quelques apprentis maîtres chanteurs. Pour nous, l’amour n’est plus qu’orgie bisexuelle dont le siège social est situé au bar de l’abbaye. En résumé nous ne sommes plus tolérés dans le village qu’à la seule condition de nous prêter aux jeux érotiques et pervers des habitants et de leurs amis.
Nous restons sans voix. Insensiblement, nos corps se rapprochent comme aimantés l'un par l'autre. Mon hôtesse me saisit par la main et m'entraîne dans une cuisine immaculée inondée d’une lumière métallique. Nos deux corps s'enlacent avec maladresse; nos mains s'agitent en mille caresses indécentes ; nos sexes et nos poitrines s'écrasent mutuellement. Je n’ose me risquer dans des contacts trop précis. Elle me caresse sans ménagement aux meilleurs endroits. Nous savourons en silence ces émouvantes retrouvailles. Corps contre corps, les minutes passent avec une infinie douceur, mélange de tendresse et d'excitation.
Lorsqu'enfin nous nous séparons, elle m'intime brutalement l'ordre de me dénuder. Surpris j'hésite puis, curieusement haletant d’émotion, j’envisage vraiment de me plier à son désir. Sentant son avantage, elle répète son injonction en serrant fermement mon entrecuisse. Je quitte tranquillement chaussettes et chaussures, pantalon et chemise que je porte à même la peau. Toujours vêtue, elle me prend par la main et m'attire dans une imposante cour intérieure dallée, bordée de bâtiments de faible hauteur. Une dizaine de personnes sont installés, devisant gaiement, assis sur les fauteuils de jardin. Elle m’oblige à circuler entre eux qui, au passage, en profitent pour peloter mon corps nu. Certains se contentent d'une caresse. D'autres pincent ou pénètrent ce qui passe à leur portée. À leur caprice, mon hôtesse m'immobilise pour que je sois à leur merci.
Lorsqu'elle se dévêt enfin, mon sexe est déjà érigé. Penchée en avant, elle m'offre ses fesses et je la pénètre en levrette en appuyant fermement sur sa nuque. Les spectateurs se sont rapprochés et touchent maintenant nos corps en mouvement. Les mains se concentrent sur l'intérieur de nos cuisses, nos poitrines, nos visages et nos fesses. Nous sommes massés, mordus, griffés à l’envi. Des doigts pénètrent nos bouches puis nos culs et précipitent ainsi notre jouissance. Lorsque l'ambiance tourne à l'orgie, mon amie me soustrait à ces envahissantes attentions, les laisse s’exciter entre eux, et s'enferme avec moi dans un étroit réduit qui sert de réserve au restaurant.
Elle recrée le désir en léchant mon corps fatigué avec une particulière insistance pour l'entre deux de mes fesses. Ses petits seins sont dressés, son ventre agité de spasmes réguliers. Elle me force à me ficher dans son cul humide qui se dilate comme par enchantement. Les mouvements de son bassin m’obligent à m’enfoncer profondément en elle. Elle saisit mes fesses et introduit doucement deux doigts dans mon anus. Elle les fait divinement bouger et je ne cesse de m’échauffer. Son corps s’agite et sa bouche émet des sons graves puis vire à l’aigu lorsqu’elle jouit bruyamment. Mon plaisir est pris en silence, dans une infinie douceur.
J'ai maintenant table ouverte chez elle. Je n’ose exprimer comment elle va à la rencontre de mes nombreux fantasmes. Elle est consciente de l’effet produit sur moi par son physique androgyne. Elle se comporte en dominante d’abord en petit comité puis devant un public plus nombreux. Mille fois elle me déculotte au milieu du restaurant, exhibe mon sexe et mes fesses et me soumet aux désirs de ses convives des deux sexes. Je pénètre chattes et culs. Mon anus et ma bouche accueillent sexes et jouets. Je sers les clients nu ou habillé d’étonnants vêtements transparents. Mon hôtesse n’est pas de reste et prête longuement son corps de garçonnet à mille supplices. Nos plus ardents clients sont les gendarmes de la brigade locale qui, dans leur majorité, prennent possession de nos corps avec un certain sadisme. Mais ils nous protègent des rigueurs de la loi.
Très vite, notre réputation gagne l’abbaye voisine et le père abbé vient nous rencontrer. Il évoque nos soirées coquines tout en caressant la cuisse de l’hôtelière assise à sa portée. Puis il se tait et remonte vers l’entrejambe en troussant sa minijupe. Son souffle est haletant. Il libère les fesses maigrichonnes de l’hôtelière de leur culotte, relève le pull et la prend en levrette, tandis que ses petits seins bougent en rythme. Je contemple avec étonnement le cul nu du prélat qui s’agite, le pantalon aux chevilles. A peine en a-t-il fini avec elle qu’il empoigne d’une main mon bas ventre et se rue sur la ceinture de mon pantalon de l’autre. Il dégage mes fesses de leur gangue de tissu en les pelotant et les pénètre violemment de ses doigts puis de son sexe. Ses deux bras enserrent mes hanches et ses mains me branlent sans douceur. Il m’arrache un étonnant orgasme et continue longuement à me besogner jusqu’à libérer en moi son épiscopal foutre. Quelle santé !
Après cet épisode, nous sommes conviés, tous les dimanches après vêpres à soulager les burnes de la communauté monastique. La chapelle, le réfectoire ou le cloitre sont le théâtre de ces orgies. Les moines sont systématiquement nus sous leur bure. Quant à nous, nul vêtement ne nous est toléré. Souvent nous jouons à nous cacher dans mille recoins. Lorsqu’ils nous retrouvent, au comble de l’excitation, ils nous empalent de leurs vits, violentent nos seins et nos sexes, remplissent nos bouches de leur foutre… Parfois, ils nous obligent à lire des textes sacrés évocateurs ou coquins en chaire pendant qu’ils nous enculent. A pâques, ils nous ont liés sur des croix, dans la chapelle à peine chauffée, et ont martyrisé nos corps pantelants pendant de longues heures. La lance du soldat romain, opportunément retournée, a plusieurs fois violé nos fesses et la vulve de mon amie. Parfois ils nous invitent, nus et debout au milieu du chœur, à les écouter chanter vêpres. Leurs regards vicieux sans cesse nous pénètrent. Leur demande est telle que désormais nous limitons les autres soirées coquines au mercredi soir.
Mal nous en prend car les gendarmes deviennent menaçants et nous sommes condamnés à subir leurs assauts tous les lundis après-midi à la caserne. Heureusement, ils invitent les pompiers ce qui nous permet de nous reposer un peu les autres jours. Parfois, mon amie voit pénétrer son vagin d’un révolver qui semble chargé. Elle simule alors rapidement le plaisir pour mettre fin à la torture. Plus d’une fois, je l’ai vue suspendue à leurs sexes, empalée devant et derrière, uniquement vêtue d’un casque ou d’un képi et de lourdes bottes trop grandes pour elle. Souvent, une matraque pénètre mon derrière et remonte si haut que la douleur m’est insupportable. Et pourtant je finis par jouir en dispersant mon sperme au sol. Ils m’obligent alors à le lécher pendant qu’ils continuent à me besogner le cul. D’autres fois, ma bouche est profondément envahie d’un sexe, tandis que mon cul est violemment dilaté par une verge. L’asphyxie renforce ma jouissance anale et je ne suis plus qu’une zone érogène.
Je vous passe les exigences moins fréquentes du conseil municipal et de quelques apprentis maîtres chanteurs. Pour nous, l’amour n’est plus qu’orgie bisexuelle dont le siège social est situé au bar de l’abbaye. En résumé nous ne sommes plus tolérés dans le village qu’à la seule condition de nous prêter aux jeux érotiques et pervers des habitants et de leurs amis.
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