Au boulot - Evelyne
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Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Au boulot - Evelyne
Au boulot souvent, on croire des gens sans vraiment y prêter attention. C’est le cas d’Evelyne. Je l’ai vu arriver toute jeune et jeune mariée dans cette grande maison. Originaire de la campagne joyeuse les joues rouges, naturelle et enjouée une gentille gamine. Elle réalisait les câblages que je devais contrôler avant la mise en service. Sérieuse et bosseuse c’était un plaisir de travailler avec elle. Et on s’amusais bien. Puis on est affectés ailleurs, on perd le contact. Mais c’est la vie.
Quelques années plus tard. Voilà la petite Evelyne qui arrive comme petite nouvelle. Cette fois comme standardiste. Fini le câblage les échelles et le travail ingrat. De prime abord je ne l’avais pas reconnue. Je vois cette nouvelle, je la trouve plutôt séduisante, cheveux courts bouclés, châtain, des jolis yeux noisette, jolie silhouette et joli sourire. Petit chemisier col ouvert sur une petite poitrine ma fois bien appétissante. Petite jupe assez courte mais assez sage bas fumés et jolis souliers vernis à talons. Je remarque les bas à couture. J’aime beaucoup.
Je suis à peine rentré dans le bocal (surnom donné au local du standard). Que cette jolie jeune femme se jette presque à mon cou en me faisant la bise.
- Ah bonjours Gilles fait elle en m’embrassant, elle sent bon en plus.
Voyant que j’étais un peu dans le flou elle reprend
- C’est vrai à l’époque j’étais un petit tonneau, j’ai un peu changé en mieux. Tu te souviens le câblage ?
- Oh oui Evelyne !! Je ne t’avais pas reconnue désolé. Dis-je
- C’est pardonné ça fait longtemps et j’ai bien changé mais en mieux.
- Tu es vraiment bien mais tu te dévalorise quand on était là-bas on était plus jeune et tu n’étais pas un monstre !
- Oh si dis donc tu as oublié, je m’habillais comme un sac, et je mangeais des cochonneries tout le temps
- Oui je me souviens que tu étais gourmande J’admets.
- C’est fini j’ai changé, je me sens mieux et je suis mieux non ? Dit-elle tournant sur elle-même pour se montrer.
Chacun avait son travail, mais je bavardais souvent avec elle. Je compris qu’elle était toujours mariée mais il semblait évident que le mariage était bancal. Je connaissais son mari cal collègue lui aussi, brave gars mais pecno dans l’âme, la chasse son bout de vigne . Je plaignais Evelyne surtout en constatant la mue qu’elle avait réussie. Je me souvenais bien maintenant, fille amusante ronde, mal habillée pas trop féminine mais quand même adorable. Je l’avais vue comme une collègue une copine marrante. Je la voyais maintenant autrement. De son côté elle avait aimé travailler avec moi et elle se sentait proche de moi. Dans les semaines et mois qui suivirent. Evelyne n’hésitait pas à se confier à moi. Même pour des choses assez intimes, voir totalement intimes, comme le fait qu’elle avait des amants passagers. Elle savait que ma vie sentimentale était assez complexe et qu’il y avait beaucoup de passages certains éclairs.
- C’est étonnant, tu ne m’as jamais dragué Gilles. Puis, c’est vrai a l'époque je n’étais pas très attirante. En plus tu étais avec une blonde a cheveux courts un vrai mannequin
- Ah oui c’est vrai tu avais croisé Sonia. A l’époque tu m’avais dit qu’elle avait de la chance d’avoir ce look. Mais maintenant tu n’as plus rien à lui envier je trouve. Je ne t’avais pas reconnue ma belle.
- J’ai vu quand je suis arrivée, ça m’a fait tout bizarre même car qu’est-ce qu’on a rigolé que tu ne me reconnaisses pas ça m’a fait de la peine un peu.
- Excuse-moi, mais tu étais une adorable gamine espiègle en léger surpoids et tu nous reviens en femme fatale très classe. Cela surprend. Dis-je
- Ah te voilà revenu toi, dragueur ! Dit-elle en riant. Mais je n’avais pas oublié tes yeux verts, je les ai toujours aimés et je n’avais jamais osé te le dire.
- Voilà qui est fait, mais les tiens sont jolis eux aussi. Lui dis-je en prenant son menton et en tournant sa tête vers moi.
- Toujours aussi charmeur, je t’ai vu faire si souvent avec d’autres... fit elle
- Et jamais avec toi, c’est ça ?
Elle ne dit rien, hocha la tête et détourna le regard. Je posais ma main sur sa joue et l’obligeais à me regarder.
- Tu penses que je peux rattraper le temps perdu ?
A nouveau elle hocha la tête, sa main se posa sur la mienne contre sa joue, Elle serra mes doigts me regardant avec un regard pétillant, une petite larme roula sur sa joue. Elle avait les lèvres tremblantes Je me baissais et avançait la tête pour un baiser quand nous avons été dérangés. La frustration fut grande, autant celle d’Evelyne et la mienne.
J’étais d’autant plus frustré que je ne m’étais pas rendu compte quand nous avions travaillé ensemble auparavant, qu’Evelyne s’intéressait à moi. A ma décharge elle était jeune mariée et je n’imaginais pas cette possibilité. Cela en plus n’avais rien à voir avec son ancienne silhouette, je ne m’attache pas au physique des femmes qui ont partagé mon lit. Certaines auraient pu être mannequins, d’autres n’attiraient pas le regard. Il faut avouer que le plaisir pris avec elle est presque inversement proportionnel à leur look. Les jolies femmes ont un défaut, elles savent qu’elles sont jolies et mise tout sur cet aspect. Les filles moins jolies en fait son souvent moins prudes car elles savent qu’elles n’ont pas l’atout de l’apparence pour séduire, alors elles compensent par un surcroit de sensualité et d’accessibilité. Je l’ai constaté maintes et maintes fois.
Par bonheur, le soir je partais en même temps qu’Evelyne. Et nous voilà tous les deux dans l’ascenseur. Je n’ai pas eu le temps de le faire avant elle. Elle m’enlaçait et posais ses lèvres sur les miennes. Je la sentais trembler de tous ses membres. Le baiser ne dura que le temps du voyage. Mais il semblait la combler. Moi aussi j’avais le sentiment de rattraper une erreur.
Une fois sur le parking je lui dit.
- Tu as le temps avant de rentrer?
- Oui, j’ai le temps, pourquoi ? Fit-elle avec un petit sourire
- Vient on va boire un verre à la maison. On a des choses à se dire je crois.
- Je suis désolée, je t’ai sauté dessus sans réfléchir tu ne voulais peut-être pas. Je me suis peut-être trompée.
- Tu as eu l’impression que je résistais. Que je n’aimais pas ? Tu as juste été plus rapide que moi.
- C’est vrai ? Dit-elle inquiète.
- Mais oui, je m’en veux de ne pas avoir compris avant quand on bossait tous les deux.
- J’étais mariée, je suis tombée enceinte pas longtemps après. Voilà. Je commençais à me poser des questions sur mon mariage, mais le bébé a tout changé.
- Je ne savais pas que tu avais des enfants.
- Un seul il a 7 ans.
7 ans déjà !! J'ai l'impression que ça se passait hier
- Oui moi aussi ça me fait pareil. Puis elle ajouta Gilles nous deux c’est seulement pour le plaisir, ne pense pas que ..
- Chut Jolie coquine, ne restons pas là. Si une commère nous remarque on va avoir des ennuis. Laisse ta voiture là. Comme çà tu seras potentiellement encore au travail.
Sur le trajet jusqu’à mon appartement, Evelyne, avait sa main sur ma nuque et me caressais doucement. De mon côté profitant que je conduis toujours des voiture s automatiques, ma main lui caressais le genou et la cuisse. Et la belle Evelyne tremblait toujours.
- Tu à peur ? Inquiète ? Tu trembles demandais-je
- Je suis anxieuse, j’ai tellement pensé à çà et depuis que je savais que j’allais te retrouver la maintenant c’est comme çà. Je crains que ça se passe mal, peur de rater cette nouvelle chance.
- Tu me fais peur, c’est si important que çà pour toi ?
- Oui mais les choses ont changé, j’ai changé. Je ne voulais pas foutre le bordel dans ta vie.
- Tu es en train de me dire que c’était sérieux à l’époque ?
- Oui, j’avoues, j’étais amoureuse, c’est vrai, mais je te voyais avec souvent des femmes différentes, je me disais que je ne t'intéressais pas. C’est vrai j’en ai été malheureuse. Mais c’est la vie.
Touché par ce qu’elle me disait, j’avais serré son genou. Elle posa sa main sur la mienne. Du coin de l’œil je vis que des larmes roulaient sur ses joues.
- Ne pleure pas, ne sois pas triste, J’ai peut-être été trop vite aujourd’hui
- Oh non ce n’est pas trop rapide, pas du tout. Mais je vois que tu as aussi les yeux qui brillent. Je n’aurais jamais pensé que ça te toucherait autant.
Elle avait raison, j’étais déstabilisé par ce que je venais de découvrir. La gorge nouée, j’essayais de rassembler mes idées, de digérer ce qu’elle venait d’avouer. Ce n’est pas tous les jours qu’on découvre que peut être on est passé à côté d’une autre vie, d’une autre voie. C’est un peu ma marque de fabrique, tant de fois je suis passé à deux doigts de choses qui auraient pu tout changer. Maintenant, nous n'avions plus qu’à profiter pleinement des moments que nous allions voler.
Evelyne me caressa la joue et inclinant la tête la posa sur mon épaule. Une fois arrivé nous prenons l’ascenseur et a peine la porte refermée, nous nous enlaçons et échangeons un baiser passionné. Nous étions encore bouches soudées quand la porte s’ouvrit à mon étage. Devant la porte ma voisine, une petite grand-mère sympathique.
- Ah là là les jeunes, profitez en maintenant après il sera trop tard. Bonne soirée les enfants dit-elle, Puis avec un grand sourire je suis sure qu’elle va être bonne pour vous deux, ne vous inquiétez pas je suis sourde.
Cette gentille dame nous avait donné le sourire. A peine entrés dans l’appartement, Evelyne posa son sac, sa veste finit par terre. Et elle se précipita contre moi, pour m’embrasser. J’avais la même envie et on a passé un temps conséquent, debout à l’entrée du salon, on se mangeait la bouche avec ardeur. Elle se collait à moi s’enroulait presque autour de moi comme une liane. Elle faisait preuve d’une sensualité insoupçonnée. Mes mains étaient sous son chemisier presque totalement déboutonné. Sa peau douce frissonnait sous mes caresses. Elle tremblait encore. Elle avait les yeux encore humides, son émotion était tangible. Je pense qu’elle avait senti que je ne m’attendais pas à cette découverte. Je m’en voulais d’avoir loupé ce signal, n’avoir pas pigé que cette jeune femme me désirait. Maintenant je redoutais un peu la suite de notre relation. Je ne voulais pas la décevoir, je voulais effacer la déception qu’elle avait dû ressentir. D’un autre côté je n’avais pas l’intention disons le franchement de tomber amoureux. Je passais d’une femme a une autre, j’avais plusieurs femmes, parfois même elles étaient deux voire trois dans mon lit.
- Tu as l’air soucieux me dit Evelyne. C’est à cause de moi ? De ce que j’ai dit ?
- Non pas vraiment ma belle, je m’en veux de ne pas avoir compris à l'époque. J’ai dû te rendre malheureuse et çà c’est une chose que je ne supporte pas. Tu sais bien que je ne suis pas l’homme d’une seule femme. Je suis comme çà. Je ne peux pas t’offrir ce que tu veux sans doute.
- Arrête, arrête, je ne veux rien d’autre qu’un peu de temps avec toi, comme les autres femmes que tu as. Rien de plus.
Je devais absolument arrêter de me poser des questions et me laisser aller, me concentrer sur le plaisir d’Evelyne. Elle n’était pas une femme légére, si elle avait craqué c’est qu’il y avait une histoire entre nous. Je m’en voulais de ne pas l’avoir senti quand il le fallait.
Je finissais ce que j’avais commencé, son chemisier finit sur un fauteuil, son soutien-gorge par terre, avec surprise je me trouvais face a deux seins aux courbes parfaites, les tétons aux larges aréoles, étaient tendus, mes lèvres se refermèrent sur le droit, Je le suçait doucement. Je ne quittai pas son visage des yeux, elle rejeta la tête en arriére et poussa un petit soupir.
- Hoo c’est bon tes lèvres sont douces dit elle les yeux mi-clos caressant ma nuque.
Je ne pouvais abandonner son frère sans caresse, il subit le même sort que son jumeau. Ses bouts de seins étaient durs, et appelaient d’autres caresses.
Sous mes doigts les attaches de sa jupe cédèrent. Ma belle compagne était vraiment pleine de surprises agréables, Porte jarretelles noir et un minuscule string avec des petits nœuds que les hanches. Evelyne tremblait un peu plus et sa respiration était un peu hachée. Mes mains sur ses hanches descendaient, passant pas les deux fesses bien rondes et fermes que je flattais un moment. Descendant le long de ce corps magnifique. Evelyne me prenait au dépourvu, je n’avais pas mesuré le changement entre la gamine un peu ronde d’hier et la femme magnifique qu’elle était devenue. Ma bouche éparpillait des baisers sur sa peau chaude et frissonnante.
- Tu es vraiment magnifique ma chérie. Tu es belle. Tu es devenue tellement désirable.
Je regrettais ces paroles aussitôt, elle ne prêtait pas trop attention à ce que je venais de dire, préférant écourter sa peau qui buvait mes caresses plutôt que d’écouter mes âneries, parfois je parle trop
Ma bouche descendait au milieu de son corps, petite halte autour de son nombril, que je taquine de ma langue. Je tire sur les petits nœuds de son string, qui glisse doucement vers le sol. Petite toison clairsemée et bouclée, taillée en ticket de métro, puis grandes lèvres bombées et charnues, une fente de petite fille presque. La respiration d’Evelyne s’accélère. Ses mains sont sur mes épaules. Derrière elle un fauteuil, doucement je lui fais faire un pas en arrière, elle se laisse aller sur le fauteuil laissant sa jupe par terre. Bien installée, je fais passer ses jambes sur mes épaules. Tout naturellement ses cuisses s’écartent. Je dévoile un sexe rose aux petites lèvres presque inexistantes, mais dans la fourche au sommet de ce sexe, le clitoris a peine couverte par un embryon de capuchon et là à attendre mes caresses. Je dépose un baiser sur ce sexe, j’écarte les grandes lèvres, son sexe s’ouvre en grand.
- Fais doucement Gilles je suis très excitée, je suis sensible. Mais tu es si doux.
Elle est toujours frissonnante, tremblante, son regard est intense, elle respire vite, le gouge de ses joues et de sa gorge est la preuve de son excitation. Ses mains caressent mon crane, mon front les tempes. Mes baisers tournent autour de son sexe, chaque fois que je m’approche du centre de sa chatte, sa respiration s’intensifie. Je vois rapidement qu’elle mouille de plus en plus. Je lèche ses petites lèvres remontant vers son clitoris que j’effleure à peine.
- Ohhhh Gilles chéri ohhh c’est bon encore !! Dit-elle en se cambrant et avaçant son pubis contre ma bouche.
Cette fois je laisse ma langue la pénétrer et la fouiller doucement. J’adore son odeur douce et piquante à la fois, senteur poivrée,
- Ohhhh c’est fort !! Oui comme çà oh oui chéri encore, encore.
Je lui mange le sexe avec délice, c’est mon activité favorite avec les femmes, je peux lécher un sexe pendant des heures je suis un amoureux du sexe féminin, Ils sont tous beaux, ils ont tous leur charme, leur spécificité. Evelyne est hyper sensible. Si j’insiste trop cela deviendra désagréable.
Ma langue glisse sans la vallée entre ses fesses. J’écarte les deux rondeurs pour dévoiler son petit trou plissé. Au premier coup d’œil je sais qu’il ne e sera pas interdit. Et quand je pose ma langue et le parcours et le mouille lui qui était déjà luisant des sucs qui coulent de son vagin.
- Ohhhhhhhhh oui là c’est bon, lèche-moi encore mon chéri
Je continue à lécher son anus, Elle semble adorer ce que je lui fais. Elle a une main sur ma tête et l’autre caresse ses seins, s’attardant même pour pincer un téton.
Si je continue ainsi elle jouira sous peu. Mais elle me surprend, elle s’assied au bord du fauteuil, me donne ses lèvres, échange de baiser.
- Humm fait elle la voix un peu rauque, le gout de mon sexe sur tes lèvres. Oh Gilles chéri tu as une langue de velours. A mon tour, de te caresser, j’en meurs d’envie.
Ma chemise rejoint les autres vêtements au sol m Presque fébrile, elle ôtait ma ceinture et faisais tomber mon pantalon,
- Chéri j’ai vraiment très envie de te découvrir nu. Même il y a longtemps, je me demandais tu sais.
Elle fit glisser mon caleçon qui finit sur le tas de fringues éparpillées. Nue, elle aussi, sauf ses bas son porte-jarretelles et ses escarpins. Evelyne se mit debout m’entrainant avec elle. Mon sexe était dressé plaqué contre mon ventre. Les yeux pétillants de désir, elle me regardait avec un joli sourire. Ses mains caressaient tout mon corps, comme si elle vérifiait que toutes les pièces étaient bien à leur place. Elle se serra contre moi, coinçant mon sexe contre le sien. Sa joue sur ma poitrine, levant les yeux vers les miens elle dit.
- Cela fait si longtemps que je fantasmais cet instant, tu ne peux pas imaginer combien de fois j’ai rejoué cet instant dans ma tête. Tu sais tout a l’heure j’étais à deux doigts de jouir jamais on ne m’avait léché comme tu sais le faire. Mais maintenant c’est mon tour. Laisse-moi faire, ne m’arrêtes pas je veux te faire jouir.
Elle se laissa glisser le long de mon corps, s’agenouillât. Ses mains s’emparent de mon sexe je frissonne au contact de ses doigts
- Oh chéri mes doigts te font tant d’effet ?
- Toujours ma belle, toujours quand on s’occupe si bien de moi. Tu ne veux pas être plus confortable ma chérie ?
- Non je rêve depuis si longtemps de m’agenouiller devant toi pour faire çà.
Dans crier gare elle prit ma queue dans sa bouche, la conduisant jusqu’au fond. Ses lèvres étaient à la base de ma verge et son nez se pressait contre mon pubis. Je n’ai pas un sexe démesuré, mais là elle m’avait avalé jusqu’a la gorge.
- Oh c’est bon bébé ta bouche est douce !!
Elle me regardait, ses yeux pétillants semblaient apprécier ce qu’elle voyait. Mes mains c’étaient posée dans ses cheveux, avec sa main droite elle pressa sur mes mains pour me demander de l’aider à m’avaler en cadence. Cela faisait sans doute parti de son fantasme. J’accompagnais donc le mouvement avec autant d’aisance que c’est toujours ce que je fais au fond. J’avais un bon coup de langue, mais Evelyne avait une façon de sucer bien à elle. Et je sentais qu’elle aimait çà. Une de ses mains malaxait étirait pressait mes couilles faisant naitre des tas d’ondes de plaisir. Sa langue cajolait mon gland.
- Oh ma chérie, quelle bouche !! Tu vas me rendre dingue.
Elle guettait toutes les réactions, maintenant mes reins étaient en mouvement et accompagnais son va et vient Si bien que parfois elle avait à peine mon gland dans sa bouche et ensuite j’’étais planté dans sa gorge. Ses yeux parfois laissaient couler une larme quand elle me prenait à fond. Je la laissais faire. Je suis certain que si j’avais voulu faire une pause pour la laisser moins se donner elle n’aurait pas aimé. Elle avait dit qu’elle avait vécu ce moment dans sa tête des centaines de fois. Je devais la laisser vivre ce moment. Et je dois dire que je n’avais pas envie d’arrêter. De toutes les fellations que j’ai reçues c’est sans doute celle qui m’a le plus troublé et l’une des plus jouissives. Maintenant, je sentais un doigt qui glissait entre mes fesses alors qu’elle accélérait la cadence. Son doigt, caressa un instant mon anus, puis sans vergogne ce doigt de mis au chaud, me pénétrant doucement. Malgré ses ongles longs je n’avais presque rien senti. Mais soudain elle avait trouvé le bon endroit, elle me suçait avec ferveur mais en plus elle massait ma prostate. Evelyne avait une pratique des plus expertes.
- Ohhhhhh Evelyne chérie... oh que c’est bon comme çà. Oh oui mon bébé.
A cet instant je compris que je ne résisterais pas des heures à ce traitement. Dans ces yeux je voyais la satisfaction qu’elle ressentait en voyant mes réactions.
- Ohhh ma chérie je suis tout à toi, en ton pouvoir tu me rends fou !!
Je sentais monter en moi l’orage qui grandissait au fond de mes couilles. Evelyne ne perdait pas une miette de mes réactions, j’essayais de ne pas devenir trop brusque avec mes mains, mais les sensations qu’elle faisait naitre dans mon ventre en me suçant de la sorte, ne m'aidaient pas. Elle pinçait ses lèvres sur mon sexe quand elle reculait la tête de telle manière qu’elle décalottait ma queue encore plus.
- Oh ouiii chérie comme çà c’est bon.
Manque d’imagination dans mes commentaires... C’est toujours comme çà parfois je me dis que je ne devrais pas parler pendant l’amour tellement on dit des conneries mais impossible de me retenir.
Comme il est impossible maintenant de retenir ma jouissance qui déferle en moi. Le barrage ténu est sur le point de lâcher. Une pression des lévrs, un doigt qui appuie un peu plus sur ma prostate. Et c’est l’effondrement. Je tremble tellement c’est puissant, Ce n’est pas souvent que je suis à ce point secoué par la jouissance.
Je ne peux retenir mes cris
- Arghhhhh Putain !!! Ouiiiiiiiiii!! Oh ouiiiiiiiiiiiiiii chérie !!!!!!!
Mes couilles se contractent, ma queue est dure comme jamais. Secouée de spasme elle gicle dans la bouche d’Evelyne qui plus doucement continue à me sucer. Je vois ses joues se gonfler sa gorge qui bouge alors qu’elle avale mon sperme. Elle me surprend, quand elle laisse sortir ma queue de sa bouche en pleine éjaculation, sa bouche ouverte laisse couler mon jus sur son menton, elle continue à me branler les giclées maintenant s’écrase sur son visage, elle semble en extase. J’ai ces images gravées dans ma mémoire. Ses yeux pétillants de plaisir, le sperme qui dégouline le long de son nez, ce foutre qui coule sur ses seins, sa gorge. Elle en a plein les cheveux.
Ce sont les dernières giclées, je me tort de plaisir sous ses doigts sa langue récupère le foutre qui coule le long de ma tige.
- Oh chérie, c’est bon, que c’est bon ... Je te veux, j’ai trop envie de toi !!
Elle me regarde un peu surprise, elle avale tout le sperme qu’elle a dans sa bouche, ouvre a nouveau sa bouche pour me montrer qu’elle a tout avalé. Avec ses doigts elle récupère le sperme sur son visage et ses seins avant de lécher ses doigts en faisant claquer ses lévres en signe de satisfaction, avec un sourire radieux.
Surprise a nouveau quand je la bascule en arrière sur le fauteuil. Ma queue est toujours aussi dure, je viens de jouir, mais je sais que cela n’a aucune incidence si je n’attends pas. Je suis fait comme çà je n’y peux rien.
Elle écarte largement les cuisses me dévoile un sexe totalement inondé et ouvert. Ma queue glisse dans ce fourreau de soie humide, glissant. Je suis un peu bizarre, je n’ai jamais l’impression d’avoir fait l’amour a une femme ou un homme tant que je ne l’ai pas pénétrée. Je commence seulement à lui faire l’amour malgré tout ce qui précède. C’est con oui mais c’est moi.
- Ohhh Déjà tout de suite tu viens de jouir !!! puis un long soupir en dit long sur l’effet de ma queue qui la pénètre.
- J’ai trop envie de toi ma chérie, embrasse moi
Nouveau sourcil levé, son visage est encore couvert de sperme. Elle se pend à mon cou pose ses lèvres sur les miennes. Au lieu d’un baiser je lèche mon sperme sur ses joues son front. Avant de venir le partager dans sa bouche. Quand je fais çà je sens un long frisson chez elle. Elle aime mon comportement. Les coups de reins qu’elle donne en sont la preuve.
- Oh oui Gilles je te sens bien, tu es si dur !
- Oh Evelyne, Evelyne ma chérie...
Je retiens mes mots brusquement, j’allais dire ce que je ne veux pas dire. Hélas j’ai trop de facilité à le dire et a l’instant ou je le dis je suis totalement sincère. Mais ces mots sont trop lourds de sens. Et il faut bien admettre que dans ma vie ils ne m’ont jamais porté chance.
Je la prends physiquement, je donne de grands coups de reins, mes couilles claquent sur ses fesses. Ses jambes soyeuses gainées de noir sont refermées sur mes hanches. Sa tête dodeline de gauche à droite. Bouche entrouverte elle gémis cries.
- Oh oui comme çà, oui fort, plus fort. J'aime çà Gilles.
- Tu aimes çà ma chérie, je te prends bien tu sens ma queue ?
- Oh tu es dur, viens plus loin plus fort.
Ses mains ses, ongles griffent mon dos, convulsivement. C'est comme un aiguillon pour moi, certaines conquêtes un peu hystériques m’ont parfois mis le dos en sang. Evelyne n’a pas été jusqu’a cette extrémité mais il s’en fallait de peu.
Je constatais qu’elle ressentait intensément cette union. Elle y mettait toute son âme, ses forces aussi.
Je sentais à nouveau déferler a la vitesse d’un cheval au galop, la vague qui allait m’emporter. Evelyne aussi était au seuil de l’orgasme, les convulsions de son sexe en était le signe le plus évident.
- Ohhh oui ouii plus vite criait elle.
Je commis l'erreur de l’écouter et accélérais le rythme. Elle renversait la tête tendue vers son plaisir je sentais tout son corps presque tétanisé. Mais ce fus moi qui explosais le premier, giclant en elle planté au plus profond de son sexe. Je vidais mes couilles pour la seconde fois en peu de temps. Je ne cherchais pas à finir de jouir en elle, je me retirais giclant sur son ventre au passage. Tombant à genoux je plongeais ma bouche dans son sexe. Un véritable marigot, clapotant où se mêle sperme et cyprine abondante, Je la bois littéralement et ma langue trouve son clito qu’elle cajole, je l’aspire le pince entre mes lèvres. Ses mains sur ma tête tentent de faire pénétrer mon visage dans sa chatte. De nouveau elle est tendue comme un arc, Je me rends compte que sa musculature est puissante. Elle serre ses cuisses sur ma tête et bascule sur le côté. Sous ma main sa fesse, sous mon pouce son anus trempé. Mon pouce s’enfonce doucement. Elle se cambre encore plus
- Oui oui oui ouo ouo Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
C’est brutal, se détendant comme un arc Evelyne jouis dans ma bouche, ma langue est dans son sexe le plus loin possible, j’explore tous les recoins ce qui semble prolonger son orgasme. Ma queue saute encore et lâche encore quelques petites giclées sur le sol. Mon visage est trempé, ma barbe dégoulinante. Je vais garder l’odeur d’Évelyne un moment après çà.
Je m’allonge sur elle, la queue toujours dure. Je prends ses lèvres pour un long très long baiser. Elle me caresse le visage, en me fixant intensément de ses yeux noisette. Elle est essoufflée et reprends lentement une respiration plus normale. Moi aussi je me suis donné à fond comme toujours.
-Ohhh Gilles cela n’avait jamais été comme çà. J’ai l’impressions d’avoir découvert le plaisir. Jamais cela n’a été aussi fort, jamais, je te le jure. Disant cela une petite larme coulait au coin de son œil.
- Mais non, c’est nouveau tu en avais une forte envie. Je n’ai rien de spécial tu sais.
- Oh si, oh si qu’est-ce que je regrette qu’on n'ait pas fait çà plus tôt. Je te garde comme amant, si tu veux bien.
- Naturellement et je ne vais pas dire non, car tu sais on ne m’a pas sucé comme çà tous les jours. Tu as eu l’air d’aimer ?
- Oh oui j’avais tellement visualisé ce moment !! Je voulais que ce soit parfait et je l’ai vécu comme dans mon fantasme, grâce à toi.
Nous nous rendions compte peu de temps après que l’heure avait tourné, qu’il était temps que je la ramène à sa voiture. On ne résista pas à prendre notre douche ensemble. Et c’est vraiment pris par le temps, que nous n’avions pas remis çà sous l’eau. On s’est bien un peu agacés. Evelyne était surprise que malgré tout çà ma queue était toujours en l’air. Parfois je serais content qu’elle reste au repos mais en vieillissant çà s’améliore... Hélas.
Quelques années plus tard. Voilà la petite Evelyne qui arrive comme petite nouvelle. Cette fois comme standardiste. Fini le câblage les échelles et le travail ingrat. De prime abord je ne l’avais pas reconnue. Je vois cette nouvelle, je la trouve plutôt séduisante, cheveux courts bouclés, châtain, des jolis yeux noisette, jolie silhouette et joli sourire. Petit chemisier col ouvert sur une petite poitrine ma fois bien appétissante. Petite jupe assez courte mais assez sage bas fumés et jolis souliers vernis à talons. Je remarque les bas à couture. J’aime beaucoup.
Je suis à peine rentré dans le bocal (surnom donné au local du standard). Que cette jolie jeune femme se jette presque à mon cou en me faisant la bise.
- Ah bonjours Gilles fait elle en m’embrassant, elle sent bon en plus.
Voyant que j’étais un peu dans le flou elle reprend
- C’est vrai à l’époque j’étais un petit tonneau, j’ai un peu changé en mieux. Tu te souviens le câblage ?
- Oh oui Evelyne !! Je ne t’avais pas reconnue désolé. Dis-je
- C’est pardonné ça fait longtemps et j’ai bien changé mais en mieux.
- Tu es vraiment bien mais tu te dévalorise quand on était là-bas on était plus jeune et tu n’étais pas un monstre !
- Oh si dis donc tu as oublié, je m’habillais comme un sac, et je mangeais des cochonneries tout le temps
- Oui je me souviens que tu étais gourmande J’admets.
- C’est fini j’ai changé, je me sens mieux et je suis mieux non ? Dit-elle tournant sur elle-même pour se montrer.
Chacun avait son travail, mais je bavardais souvent avec elle. Je compris qu’elle était toujours mariée mais il semblait évident que le mariage était bancal. Je connaissais son mari cal collègue lui aussi, brave gars mais pecno dans l’âme, la chasse son bout de vigne . Je plaignais Evelyne surtout en constatant la mue qu’elle avait réussie. Je me souvenais bien maintenant, fille amusante ronde, mal habillée pas trop féminine mais quand même adorable. Je l’avais vue comme une collègue une copine marrante. Je la voyais maintenant autrement. De son côté elle avait aimé travailler avec moi et elle se sentait proche de moi. Dans les semaines et mois qui suivirent. Evelyne n’hésitait pas à se confier à moi. Même pour des choses assez intimes, voir totalement intimes, comme le fait qu’elle avait des amants passagers. Elle savait que ma vie sentimentale était assez complexe et qu’il y avait beaucoup de passages certains éclairs.
- C’est étonnant, tu ne m’as jamais dragué Gilles. Puis, c’est vrai a l'époque je n’étais pas très attirante. En plus tu étais avec une blonde a cheveux courts un vrai mannequin
- Ah oui c’est vrai tu avais croisé Sonia. A l’époque tu m’avais dit qu’elle avait de la chance d’avoir ce look. Mais maintenant tu n’as plus rien à lui envier je trouve. Je ne t’avais pas reconnue ma belle.
- J’ai vu quand je suis arrivée, ça m’a fait tout bizarre même car qu’est-ce qu’on a rigolé que tu ne me reconnaisses pas ça m’a fait de la peine un peu.
- Excuse-moi, mais tu étais une adorable gamine espiègle en léger surpoids et tu nous reviens en femme fatale très classe. Cela surprend. Dis-je
- Ah te voilà revenu toi, dragueur ! Dit-elle en riant. Mais je n’avais pas oublié tes yeux verts, je les ai toujours aimés et je n’avais jamais osé te le dire.
- Voilà qui est fait, mais les tiens sont jolis eux aussi. Lui dis-je en prenant son menton et en tournant sa tête vers moi.
- Toujours aussi charmeur, je t’ai vu faire si souvent avec d’autres... fit elle
- Et jamais avec toi, c’est ça ?
Elle ne dit rien, hocha la tête et détourna le regard. Je posais ma main sur sa joue et l’obligeais à me regarder.
- Tu penses que je peux rattraper le temps perdu ?
A nouveau elle hocha la tête, sa main se posa sur la mienne contre sa joue, Elle serra mes doigts me regardant avec un regard pétillant, une petite larme roula sur sa joue. Elle avait les lèvres tremblantes Je me baissais et avançait la tête pour un baiser quand nous avons été dérangés. La frustration fut grande, autant celle d’Evelyne et la mienne.
J’étais d’autant plus frustré que je ne m’étais pas rendu compte quand nous avions travaillé ensemble auparavant, qu’Evelyne s’intéressait à moi. A ma décharge elle était jeune mariée et je n’imaginais pas cette possibilité. Cela en plus n’avais rien à voir avec son ancienne silhouette, je ne m’attache pas au physique des femmes qui ont partagé mon lit. Certaines auraient pu être mannequins, d’autres n’attiraient pas le regard. Il faut avouer que le plaisir pris avec elle est presque inversement proportionnel à leur look. Les jolies femmes ont un défaut, elles savent qu’elles sont jolies et mise tout sur cet aspect. Les filles moins jolies en fait son souvent moins prudes car elles savent qu’elles n’ont pas l’atout de l’apparence pour séduire, alors elles compensent par un surcroit de sensualité et d’accessibilité. Je l’ai constaté maintes et maintes fois.
Par bonheur, le soir je partais en même temps qu’Evelyne. Et nous voilà tous les deux dans l’ascenseur. Je n’ai pas eu le temps de le faire avant elle. Elle m’enlaçait et posais ses lèvres sur les miennes. Je la sentais trembler de tous ses membres. Le baiser ne dura que le temps du voyage. Mais il semblait la combler. Moi aussi j’avais le sentiment de rattraper une erreur.
Une fois sur le parking je lui dit.
- Tu as le temps avant de rentrer?
- Oui, j’ai le temps, pourquoi ? Fit-elle avec un petit sourire
- Vient on va boire un verre à la maison. On a des choses à se dire je crois.
- Je suis désolée, je t’ai sauté dessus sans réfléchir tu ne voulais peut-être pas. Je me suis peut-être trompée.
- Tu as eu l’impression que je résistais. Que je n’aimais pas ? Tu as juste été plus rapide que moi.
- C’est vrai ? Dit-elle inquiète.
- Mais oui, je m’en veux de ne pas avoir compris avant quand on bossait tous les deux.
- J’étais mariée, je suis tombée enceinte pas longtemps après. Voilà. Je commençais à me poser des questions sur mon mariage, mais le bébé a tout changé.
- Je ne savais pas que tu avais des enfants.
- Un seul il a 7 ans.
7 ans déjà !! J'ai l'impression que ça se passait hier
- Oui moi aussi ça me fait pareil. Puis elle ajouta Gilles nous deux c’est seulement pour le plaisir, ne pense pas que ..
- Chut Jolie coquine, ne restons pas là. Si une commère nous remarque on va avoir des ennuis. Laisse ta voiture là. Comme çà tu seras potentiellement encore au travail.
Sur le trajet jusqu’à mon appartement, Evelyne, avait sa main sur ma nuque et me caressais doucement. De mon côté profitant que je conduis toujours des voiture s automatiques, ma main lui caressais le genou et la cuisse. Et la belle Evelyne tremblait toujours.
- Tu à peur ? Inquiète ? Tu trembles demandais-je
- Je suis anxieuse, j’ai tellement pensé à çà et depuis que je savais que j’allais te retrouver la maintenant c’est comme çà. Je crains que ça se passe mal, peur de rater cette nouvelle chance.
- Tu me fais peur, c’est si important que çà pour toi ?
- Oui mais les choses ont changé, j’ai changé. Je ne voulais pas foutre le bordel dans ta vie.
- Tu es en train de me dire que c’était sérieux à l’époque ?
- Oui, j’avoues, j’étais amoureuse, c’est vrai, mais je te voyais avec souvent des femmes différentes, je me disais que je ne t'intéressais pas. C’est vrai j’en ai été malheureuse. Mais c’est la vie.
Touché par ce qu’elle me disait, j’avais serré son genou. Elle posa sa main sur la mienne. Du coin de l’œil je vis que des larmes roulaient sur ses joues.
- Ne pleure pas, ne sois pas triste, J’ai peut-être été trop vite aujourd’hui
- Oh non ce n’est pas trop rapide, pas du tout. Mais je vois que tu as aussi les yeux qui brillent. Je n’aurais jamais pensé que ça te toucherait autant.
Elle avait raison, j’étais déstabilisé par ce que je venais de découvrir. La gorge nouée, j’essayais de rassembler mes idées, de digérer ce qu’elle venait d’avouer. Ce n’est pas tous les jours qu’on découvre que peut être on est passé à côté d’une autre vie, d’une autre voie. C’est un peu ma marque de fabrique, tant de fois je suis passé à deux doigts de choses qui auraient pu tout changer. Maintenant, nous n'avions plus qu’à profiter pleinement des moments que nous allions voler.
Evelyne me caressa la joue et inclinant la tête la posa sur mon épaule. Une fois arrivé nous prenons l’ascenseur et a peine la porte refermée, nous nous enlaçons et échangeons un baiser passionné. Nous étions encore bouches soudées quand la porte s’ouvrit à mon étage. Devant la porte ma voisine, une petite grand-mère sympathique.
- Ah là là les jeunes, profitez en maintenant après il sera trop tard. Bonne soirée les enfants dit-elle, Puis avec un grand sourire je suis sure qu’elle va être bonne pour vous deux, ne vous inquiétez pas je suis sourde.
Cette gentille dame nous avait donné le sourire. A peine entrés dans l’appartement, Evelyne posa son sac, sa veste finit par terre. Et elle se précipita contre moi, pour m’embrasser. J’avais la même envie et on a passé un temps conséquent, debout à l’entrée du salon, on se mangeait la bouche avec ardeur. Elle se collait à moi s’enroulait presque autour de moi comme une liane. Elle faisait preuve d’une sensualité insoupçonnée. Mes mains étaient sous son chemisier presque totalement déboutonné. Sa peau douce frissonnait sous mes caresses. Elle tremblait encore. Elle avait les yeux encore humides, son émotion était tangible. Je pense qu’elle avait senti que je ne m’attendais pas à cette découverte. Je m’en voulais d’avoir loupé ce signal, n’avoir pas pigé que cette jeune femme me désirait. Maintenant je redoutais un peu la suite de notre relation. Je ne voulais pas la décevoir, je voulais effacer la déception qu’elle avait dû ressentir. D’un autre côté je n’avais pas l’intention disons le franchement de tomber amoureux. Je passais d’une femme a une autre, j’avais plusieurs femmes, parfois même elles étaient deux voire trois dans mon lit.
- Tu as l’air soucieux me dit Evelyne. C’est à cause de moi ? De ce que j’ai dit ?
- Non pas vraiment ma belle, je m’en veux de ne pas avoir compris à l'époque. J’ai dû te rendre malheureuse et çà c’est une chose que je ne supporte pas. Tu sais bien que je ne suis pas l’homme d’une seule femme. Je suis comme çà. Je ne peux pas t’offrir ce que tu veux sans doute.
- Arrête, arrête, je ne veux rien d’autre qu’un peu de temps avec toi, comme les autres femmes que tu as. Rien de plus.
Je devais absolument arrêter de me poser des questions et me laisser aller, me concentrer sur le plaisir d’Evelyne. Elle n’était pas une femme légére, si elle avait craqué c’est qu’il y avait une histoire entre nous. Je m’en voulais de ne pas l’avoir senti quand il le fallait.
Je finissais ce que j’avais commencé, son chemisier finit sur un fauteuil, son soutien-gorge par terre, avec surprise je me trouvais face a deux seins aux courbes parfaites, les tétons aux larges aréoles, étaient tendus, mes lèvres se refermèrent sur le droit, Je le suçait doucement. Je ne quittai pas son visage des yeux, elle rejeta la tête en arriére et poussa un petit soupir.
- Hoo c’est bon tes lèvres sont douces dit elle les yeux mi-clos caressant ma nuque.
Je ne pouvais abandonner son frère sans caresse, il subit le même sort que son jumeau. Ses bouts de seins étaient durs, et appelaient d’autres caresses.
Sous mes doigts les attaches de sa jupe cédèrent. Ma belle compagne était vraiment pleine de surprises agréables, Porte jarretelles noir et un minuscule string avec des petits nœuds que les hanches. Evelyne tremblait un peu plus et sa respiration était un peu hachée. Mes mains sur ses hanches descendaient, passant pas les deux fesses bien rondes et fermes que je flattais un moment. Descendant le long de ce corps magnifique. Evelyne me prenait au dépourvu, je n’avais pas mesuré le changement entre la gamine un peu ronde d’hier et la femme magnifique qu’elle était devenue. Ma bouche éparpillait des baisers sur sa peau chaude et frissonnante.
- Tu es vraiment magnifique ma chérie. Tu es belle. Tu es devenue tellement désirable.
Je regrettais ces paroles aussitôt, elle ne prêtait pas trop attention à ce que je venais de dire, préférant écourter sa peau qui buvait mes caresses plutôt que d’écouter mes âneries, parfois je parle trop
Ma bouche descendait au milieu de son corps, petite halte autour de son nombril, que je taquine de ma langue. Je tire sur les petits nœuds de son string, qui glisse doucement vers le sol. Petite toison clairsemée et bouclée, taillée en ticket de métro, puis grandes lèvres bombées et charnues, une fente de petite fille presque. La respiration d’Evelyne s’accélère. Ses mains sont sur mes épaules. Derrière elle un fauteuil, doucement je lui fais faire un pas en arrière, elle se laisse aller sur le fauteuil laissant sa jupe par terre. Bien installée, je fais passer ses jambes sur mes épaules. Tout naturellement ses cuisses s’écartent. Je dévoile un sexe rose aux petites lèvres presque inexistantes, mais dans la fourche au sommet de ce sexe, le clitoris a peine couverte par un embryon de capuchon et là à attendre mes caresses. Je dépose un baiser sur ce sexe, j’écarte les grandes lèvres, son sexe s’ouvre en grand.
- Fais doucement Gilles je suis très excitée, je suis sensible. Mais tu es si doux.
Elle est toujours frissonnante, tremblante, son regard est intense, elle respire vite, le gouge de ses joues et de sa gorge est la preuve de son excitation. Ses mains caressent mon crane, mon front les tempes. Mes baisers tournent autour de son sexe, chaque fois que je m’approche du centre de sa chatte, sa respiration s’intensifie. Je vois rapidement qu’elle mouille de plus en plus. Je lèche ses petites lèvres remontant vers son clitoris que j’effleure à peine.
- Ohhhh Gilles chéri ohhh c’est bon encore !! Dit-elle en se cambrant et avaçant son pubis contre ma bouche.
Cette fois je laisse ma langue la pénétrer et la fouiller doucement. J’adore son odeur douce et piquante à la fois, senteur poivrée,
- Ohhhh c’est fort !! Oui comme çà oh oui chéri encore, encore.
Je lui mange le sexe avec délice, c’est mon activité favorite avec les femmes, je peux lécher un sexe pendant des heures je suis un amoureux du sexe féminin, Ils sont tous beaux, ils ont tous leur charme, leur spécificité. Evelyne est hyper sensible. Si j’insiste trop cela deviendra désagréable.
Ma langue glisse sans la vallée entre ses fesses. J’écarte les deux rondeurs pour dévoiler son petit trou plissé. Au premier coup d’œil je sais qu’il ne e sera pas interdit. Et quand je pose ma langue et le parcours et le mouille lui qui était déjà luisant des sucs qui coulent de son vagin.
- Ohhhhhhhhh oui là c’est bon, lèche-moi encore mon chéri
Je continue à lécher son anus, Elle semble adorer ce que je lui fais. Elle a une main sur ma tête et l’autre caresse ses seins, s’attardant même pour pincer un téton.
Si je continue ainsi elle jouira sous peu. Mais elle me surprend, elle s’assied au bord du fauteuil, me donne ses lèvres, échange de baiser.
- Humm fait elle la voix un peu rauque, le gout de mon sexe sur tes lèvres. Oh Gilles chéri tu as une langue de velours. A mon tour, de te caresser, j’en meurs d’envie.
Ma chemise rejoint les autres vêtements au sol m Presque fébrile, elle ôtait ma ceinture et faisais tomber mon pantalon,
- Chéri j’ai vraiment très envie de te découvrir nu. Même il y a longtemps, je me demandais tu sais.
Elle fit glisser mon caleçon qui finit sur le tas de fringues éparpillées. Nue, elle aussi, sauf ses bas son porte-jarretelles et ses escarpins. Evelyne se mit debout m’entrainant avec elle. Mon sexe était dressé plaqué contre mon ventre. Les yeux pétillants de désir, elle me regardait avec un joli sourire. Ses mains caressaient tout mon corps, comme si elle vérifiait que toutes les pièces étaient bien à leur place. Elle se serra contre moi, coinçant mon sexe contre le sien. Sa joue sur ma poitrine, levant les yeux vers les miens elle dit.
- Cela fait si longtemps que je fantasmais cet instant, tu ne peux pas imaginer combien de fois j’ai rejoué cet instant dans ma tête. Tu sais tout a l’heure j’étais à deux doigts de jouir jamais on ne m’avait léché comme tu sais le faire. Mais maintenant c’est mon tour. Laisse-moi faire, ne m’arrêtes pas je veux te faire jouir.
Elle se laissa glisser le long de mon corps, s’agenouillât. Ses mains s’emparent de mon sexe je frissonne au contact de ses doigts
- Oh chéri mes doigts te font tant d’effet ?
- Toujours ma belle, toujours quand on s’occupe si bien de moi. Tu ne veux pas être plus confortable ma chérie ?
- Non je rêve depuis si longtemps de m’agenouiller devant toi pour faire çà.
Dans crier gare elle prit ma queue dans sa bouche, la conduisant jusqu’au fond. Ses lèvres étaient à la base de ma verge et son nez se pressait contre mon pubis. Je n’ai pas un sexe démesuré, mais là elle m’avait avalé jusqu’a la gorge.
- Oh c’est bon bébé ta bouche est douce !!
Elle me regardait, ses yeux pétillants semblaient apprécier ce qu’elle voyait. Mes mains c’étaient posée dans ses cheveux, avec sa main droite elle pressa sur mes mains pour me demander de l’aider à m’avaler en cadence. Cela faisait sans doute parti de son fantasme. J’accompagnais donc le mouvement avec autant d’aisance que c’est toujours ce que je fais au fond. J’avais un bon coup de langue, mais Evelyne avait une façon de sucer bien à elle. Et je sentais qu’elle aimait çà. Une de ses mains malaxait étirait pressait mes couilles faisant naitre des tas d’ondes de plaisir. Sa langue cajolait mon gland.
- Oh ma chérie, quelle bouche !! Tu vas me rendre dingue.
Elle guettait toutes les réactions, maintenant mes reins étaient en mouvement et accompagnais son va et vient Si bien que parfois elle avait à peine mon gland dans sa bouche et ensuite j’’étais planté dans sa gorge. Ses yeux parfois laissaient couler une larme quand elle me prenait à fond. Je la laissais faire. Je suis certain que si j’avais voulu faire une pause pour la laisser moins se donner elle n’aurait pas aimé. Elle avait dit qu’elle avait vécu ce moment dans sa tête des centaines de fois. Je devais la laisser vivre ce moment. Et je dois dire que je n’avais pas envie d’arrêter. De toutes les fellations que j’ai reçues c’est sans doute celle qui m’a le plus troublé et l’une des plus jouissives. Maintenant, je sentais un doigt qui glissait entre mes fesses alors qu’elle accélérait la cadence. Son doigt, caressa un instant mon anus, puis sans vergogne ce doigt de mis au chaud, me pénétrant doucement. Malgré ses ongles longs je n’avais presque rien senti. Mais soudain elle avait trouvé le bon endroit, elle me suçait avec ferveur mais en plus elle massait ma prostate. Evelyne avait une pratique des plus expertes.
- Ohhhhhh Evelyne chérie... oh que c’est bon comme çà. Oh oui mon bébé.
A cet instant je compris que je ne résisterais pas des heures à ce traitement. Dans ces yeux je voyais la satisfaction qu’elle ressentait en voyant mes réactions.
- Ohhh ma chérie je suis tout à toi, en ton pouvoir tu me rends fou !!
Je sentais monter en moi l’orage qui grandissait au fond de mes couilles. Evelyne ne perdait pas une miette de mes réactions, j’essayais de ne pas devenir trop brusque avec mes mains, mais les sensations qu’elle faisait naitre dans mon ventre en me suçant de la sorte, ne m'aidaient pas. Elle pinçait ses lèvres sur mon sexe quand elle reculait la tête de telle manière qu’elle décalottait ma queue encore plus.
- Oh ouiii chérie comme çà c’est bon.
Manque d’imagination dans mes commentaires... C’est toujours comme çà parfois je me dis que je ne devrais pas parler pendant l’amour tellement on dit des conneries mais impossible de me retenir.
Comme il est impossible maintenant de retenir ma jouissance qui déferle en moi. Le barrage ténu est sur le point de lâcher. Une pression des lévrs, un doigt qui appuie un peu plus sur ma prostate. Et c’est l’effondrement. Je tremble tellement c’est puissant, Ce n’est pas souvent que je suis à ce point secoué par la jouissance.
Je ne peux retenir mes cris
- Arghhhhh Putain !!! Ouiiiiiiiiii!! Oh ouiiiiiiiiiiiiiii chérie !!!!!!!
Mes couilles se contractent, ma queue est dure comme jamais. Secouée de spasme elle gicle dans la bouche d’Evelyne qui plus doucement continue à me sucer. Je vois ses joues se gonfler sa gorge qui bouge alors qu’elle avale mon sperme. Elle me surprend, quand elle laisse sortir ma queue de sa bouche en pleine éjaculation, sa bouche ouverte laisse couler mon jus sur son menton, elle continue à me branler les giclées maintenant s’écrase sur son visage, elle semble en extase. J’ai ces images gravées dans ma mémoire. Ses yeux pétillants de plaisir, le sperme qui dégouline le long de son nez, ce foutre qui coule sur ses seins, sa gorge. Elle en a plein les cheveux.
Ce sont les dernières giclées, je me tort de plaisir sous ses doigts sa langue récupère le foutre qui coule le long de ma tige.
- Oh chérie, c’est bon, que c’est bon ... Je te veux, j’ai trop envie de toi !!
Elle me regarde un peu surprise, elle avale tout le sperme qu’elle a dans sa bouche, ouvre a nouveau sa bouche pour me montrer qu’elle a tout avalé. Avec ses doigts elle récupère le sperme sur son visage et ses seins avant de lécher ses doigts en faisant claquer ses lévres en signe de satisfaction, avec un sourire radieux.
Surprise a nouveau quand je la bascule en arrière sur le fauteuil. Ma queue est toujours aussi dure, je viens de jouir, mais je sais que cela n’a aucune incidence si je n’attends pas. Je suis fait comme çà je n’y peux rien.
Elle écarte largement les cuisses me dévoile un sexe totalement inondé et ouvert. Ma queue glisse dans ce fourreau de soie humide, glissant. Je suis un peu bizarre, je n’ai jamais l’impression d’avoir fait l’amour a une femme ou un homme tant que je ne l’ai pas pénétrée. Je commence seulement à lui faire l’amour malgré tout ce qui précède. C’est con oui mais c’est moi.
- Ohhh Déjà tout de suite tu viens de jouir !!! puis un long soupir en dit long sur l’effet de ma queue qui la pénètre.
- J’ai trop envie de toi ma chérie, embrasse moi
Nouveau sourcil levé, son visage est encore couvert de sperme. Elle se pend à mon cou pose ses lèvres sur les miennes. Au lieu d’un baiser je lèche mon sperme sur ses joues son front. Avant de venir le partager dans sa bouche. Quand je fais çà je sens un long frisson chez elle. Elle aime mon comportement. Les coups de reins qu’elle donne en sont la preuve.
- Oh oui Gilles je te sens bien, tu es si dur !
- Oh Evelyne, Evelyne ma chérie...
Je retiens mes mots brusquement, j’allais dire ce que je ne veux pas dire. Hélas j’ai trop de facilité à le dire et a l’instant ou je le dis je suis totalement sincère. Mais ces mots sont trop lourds de sens. Et il faut bien admettre que dans ma vie ils ne m’ont jamais porté chance.
Je la prends physiquement, je donne de grands coups de reins, mes couilles claquent sur ses fesses. Ses jambes soyeuses gainées de noir sont refermées sur mes hanches. Sa tête dodeline de gauche à droite. Bouche entrouverte elle gémis cries.
- Oh oui comme çà, oui fort, plus fort. J'aime çà Gilles.
- Tu aimes çà ma chérie, je te prends bien tu sens ma queue ?
- Oh tu es dur, viens plus loin plus fort.
Ses mains ses, ongles griffent mon dos, convulsivement. C'est comme un aiguillon pour moi, certaines conquêtes un peu hystériques m’ont parfois mis le dos en sang. Evelyne n’a pas été jusqu’a cette extrémité mais il s’en fallait de peu.
Je constatais qu’elle ressentait intensément cette union. Elle y mettait toute son âme, ses forces aussi.
Je sentais à nouveau déferler a la vitesse d’un cheval au galop, la vague qui allait m’emporter. Evelyne aussi était au seuil de l’orgasme, les convulsions de son sexe en était le signe le plus évident.
- Ohhh oui ouii plus vite criait elle.
Je commis l'erreur de l’écouter et accélérais le rythme. Elle renversait la tête tendue vers son plaisir je sentais tout son corps presque tétanisé. Mais ce fus moi qui explosais le premier, giclant en elle planté au plus profond de son sexe. Je vidais mes couilles pour la seconde fois en peu de temps. Je ne cherchais pas à finir de jouir en elle, je me retirais giclant sur son ventre au passage. Tombant à genoux je plongeais ma bouche dans son sexe. Un véritable marigot, clapotant où se mêle sperme et cyprine abondante, Je la bois littéralement et ma langue trouve son clito qu’elle cajole, je l’aspire le pince entre mes lèvres. Ses mains sur ma tête tentent de faire pénétrer mon visage dans sa chatte. De nouveau elle est tendue comme un arc, Je me rends compte que sa musculature est puissante. Elle serre ses cuisses sur ma tête et bascule sur le côté. Sous ma main sa fesse, sous mon pouce son anus trempé. Mon pouce s’enfonce doucement. Elle se cambre encore plus
- Oui oui oui ouo ouo Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
C’est brutal, se détendant comme un arc Evelyne jouis dans ma bouche, ma langue est dans son sexe le plus loin possible, j’explore tous les recoins ce qui semble prolonger son orgasme. Ma queue saute encore et lâche encore quelques petites giclées sur le sol. Mon visage est trempé, ma barbe dégoulinante. Je vais garder l’odeur d’Évelyne un moment après çà.
Je m’allonge sur elle, la queue toujours dure. Je prends ses lèvres pour un long très long baiser. Elle me caresse le visage, en me fixant intensément de ses yeux noisette. Elle est essoufflée et reprends lentement une respiration plus normale. Moi aussi je me suis donné à fond comme toujours.
-Ohhh Gilles cela n’avait jamais été comme çà. J’ai l’impressions d’avoir découvert le plaisir. Jamais cela n’a été aussi fort, jamais, je te le jure. Disant cela une petite larme coulait au coin de son œil.
- Mais non, c’est nouveau tu en avais une forte envie. Je n’ai rien de spécial tu sais.
- Oh si, oh si qu’est-ce que je regrette qu’on n'ait pas fait çà plus tôt. Je te garde comme amant, si tu veux bien.
- Naturellement et je ne vais pas dire non, car tu sais on ne m’a pas sucé comme çà tous les jours. Tu as eu l’air d’aimer ?
- Oh oui j’avais tellement visualisé ce moment !! Je voulais que ce soit parfait et je l’ai vécu comme dans mon fantasme, grâce à toi.
Nous nous rendions compte peu de temps après que l’heure avait tourné, qu’il était temps que je la ramène à sa voiture. On ne résista pas à prendre notre douche ensemble. Et c’est vraiment pris par le temps, que nous n’avions pas remis çà sous l’eau. On s’est bien un peu agacés. Evelyne était surprise que malgré tout çà ma queue était toujours en l’air. Parfois je serais content qu’elle reste au repos mais en vieillissant çà s’améliore... Hélas.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aimerais en vrai rencontrer un homme comme toi Prospero pour qu'il s'occupe de mon minou avec délice et qu'il le lèche pendant des heures, bisous partout où tu veux
Bien écrit
Encore une histoire qui donne envie de vos connaitre encore plus.
Je ne pense pas me tromper en disant que sous des dehors débridés et pervers se cache quelqu'un de charmant et doux. Et pas un méchant.Je commence a sérieusement penser que celles et ceux qui vous on rencontré ont eu de la chance. Je pense que c'est sincère et véridique, je sens une grande pratique des jeux .. mêmes interdis. ce serait un excellent complice pour moi .
Je ne pense pas me tromper en disant que sous des dehors débridés et pervers se cache quelqu'un de charmant et doux. Et pas un méchant.Je commence a sérieusement penser que celles et ceux qui vous on rencontré ont eu de la chance. Je pense que c'est sincère et véridique, je sens une grande pratique des jeux .. mêmes interdis. ce serait un excellent complice pour moi .
Une histoire de sexe parfait bien écrite et détaillée des textes comme celui là on en redemande tellement ils sont agréable à lire. Daniel
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