Au bout du monde - 4
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bout du monde - 4
Maudit maillot
Je me rendis à ma voiture pour chercher ma serviette de plage et mon maillot dans mon
sac de voyage. Et la, décourager, je m’aperçut en fouillant que j’avais, dans ma
précipitation, apporté mon vieux maillot une pièce que j’avais achetée 15 ans plutôt
pour aller à la Barbade au lieu de mon nouveau bikini. Il fallait vraiment que je sois
épuisé pour faire une connerie pareil. Je m’essuyer en frissonnant car j’avais entendu
crier un écureuil au loin. Ce qui me fit rire un peut honteuse et je sursauter et
crier comme une fofolle quand mon téléphone sonna et ça, ce n’était vraiment pas mon
genre.
— Ben voyons ! Fis-je décourager de moi une main sur ma poitrine en le sortant de mon
sac pour y voir une photo du visage de Marie me faisant une grimace.
— Marie.
— Salut, t’es où ? Je t’attends depuis une demi-heure.
Je me rappeler soudain qu’on devait souper ensemble.
— Tu m’as oublié c’est ça ?
— En plein ça, je m’excuse.
— Bon, dans combien de temps vas-tu être là ?
— Eh... 10 h environ.
Oups ! Un petit silence tandis que je riais.
— Pardon ?
— Je suis sur la Côte-Nord, passé Les Escoumins.
Oups ! Un autre silence, cette fois je grimacer en me frappant une fesse y écrasant un
minuscule moustique.
— OK, avec le gars d’hier c’est ça ?
— WAIS ! Répondis-je en m’essuyant la main avec ma serviette le téléphone coincer
entre mon épaule et mon oreille.
— Oh, je comprends, y baise bien ? T'es seul ? Il écoute ?
— Oui je suis seul et nue au soleil à un chalet près d’une jolie rivière de sable ma
belle. L’eau est fraîche et il n'y a même pas de mouche, enfin presque.
— Fais chier, mais j’ai posé trois questions. Attends, t’as dit que t’étais toute nue
à un chalet, tu dois être loin dans le bois ma grande. Doit pas y avoir grand monde
dans le coin.
— Ça tu peux le dire.
— OK, et pour l’autre question.
— On s’en reparlera.
— Je ne te crois pas, tu n'es pas nue. Je te connais Julie, t’es trop coincé pour
faire ça. Pas ici au Québec à moins que tu ne te sois soudainement décidé, comme
Madonna, de montrer ton beau corps pas mal conserver de petite vielle dans tous les
médias.
Je ris dents serrer avant de dire sous une impulsion soudaine :
— Attend.
Avec mon téléphone je me poser de bas en haut en perspective pour que ça me grossisse
les seins sans qu’on me voie la tête et poser mon beau derrière quelle m’enviait tant,
puis ma poitrine avec mon 4x4 en arrière-plan et mon pubis avec la rivière cette fois
en arrière-plan et la roulotte. Pour finir je fis un gros plan sur l’un de mes
mamelons justes pour l’agacer puis de ma bouche en lui envoyant un baiser et j’envoyai
tout ça en riant certaine que si quelqu’un tombait sur ces photos jamais on ne
pourrait me reconnaître. Dire que 24 h plutôt je n’aurais jamais osé faire ça, même
avec elle et la... ça m’excitait en plus.
— Marie.
— Oui.
— Je t’ai envoyé des photos.
— Mon oeil. Attends ! Un silence et... Ahhhhhhh, c’est pas vrai ! Je l’entendis rire
aux éclats et la, je me sentis terriblement gêner d’avoir osé lui envoyer ça, surtout
quelle devait être dans notre restaurant préférer. Oh, tes seins on tomber ma grande
et ils sont tout égratigné. Ça, c’est de la baise torride. Ben voyons... tu te
dégênes, qu’est-ce qui t’arrive ? Oh, ton cul fait toujours chier et t’es dû pour te
raser là où je pense ma belle.
— Merci. C’est gentil.
— Et ben... Je peux venir ?
— Bye !
Je jeter mon téléphone sur le siège en riant comme une folle, n’en revenant pas de
m’être poser nue et de lui avoir envoyé les photos en plus. C’était tellement pas moi.
Bon, le maudit maillot.
— Merde ! Dis-je en passant finalement les jambes dans le costume de bain en tirant
pour le monter en me tortillant comme une dinde en riant et surtout heureuse d’être
seul. J’avais un peu de gras maintenant sous les cuisses et mes fesses avaient gonflé
mais je finis par y arriver en grognant. Une fois les ganses sur mes épaules
finalement je regarder décourager la chair blanche de mes seins qui en débordait sur
les coté. J’eus beau pousser dessus, mes doigts s’enfonçant dans la chair molle ou
étirer le tissu en riant, rien n’a faire et pour mes maudites fesses non plus. Mon
téléphone émit un signal de message. C’était une photo de Marie qui s’était posée dans
les toilettes du restau et me faisait un doigt d’honneur. Elle m’enviait et pourtant
elle était heureuse avec son Marcel et ses enfants. Et elle m’avait envoyé un texto; «
depuis le temps que Marcel rêve de te voir nue, je vais faire laminer ces photos.
Merci pour lui et amuse-toi bien »
Je ris jaune en lui écrivant : « Si tu fais ça, t’es morte ma vielle. »
Bon retour au maillot.
À l’époque j’étais plus mince et sexy que maintenant et là, le maillot trop étroit
laissait quasiment mon cul à l’air et me rentrait dans la craque de fesses et ce
n’était vraiment pas confortable. J’allais devoir m’en acheter un autre ici.
Décourager, je me tapoter le ventre un peu gonfler en regardant mes seins si bas aux
pointes tendues. L’enfer pour une femme, c’est de vieillir ou d’engraisser et là, je
me tapais les deux. Je m’enduis d’huile solaire toujours debout à côté de mon auto en
regardant la roulotte. Une roulotte de célibataire. Je me demandais si j’allais y
trouver au-dessus de son lit; un laminage de jeune blonde nue cuisses écarter, ou un
poster de Bo Dereck courant sur la plage, ou de moi datant de l’époque ou j’étais
mannequin dans la vingtaine en bikini. Il s’en était vendu pas mal a dans le temps.
Peut-être qu’il était un de mes fans. Un de ces gars qui rêvait de me baiser. Je ne
savais rien de lui. Comme il était bi, je réaliser aussi qu’il pouvait tout aussi bien
avoir un laminage de pompier nu avec juste son casque cachant son pénis aux dessus de
son lit. Je riais encore toute seule en regardant l’éolienne qui tournait lentement en
me disant; qu’il devait avoir une collection de films pornos vu qu’il avait le
courant. Les hommes en ont tous, même les hommes qui s’habillent en femme j’imagine.
J’agrippai mon sac et partit en exploration toute excité. En fait, cette fois j’avais
vraiment l’impression de commencer une nouvelle vie et ça me plaisait énormément.
J’entrai dans une cuisinette propre et bien ranger; à droite il y avait un coin salon
avec sofa et un foyer sur patte et un coin salle a mangé devant une grande fenêtre. À
gauche un étroit couloir menait à une salle de bain rutilante avec juste une douche et
au fond une chambre avec un lit double. Pas de laminage érotique. Pas de collection de
DVD de cul de visible, juste ses affaires sur le lit et un espace de rangement dans un
coin. Il n’y avait aucune décoration, ni télé, ni chaîne stéréo. S’il pleuvait
plusieurs jours d’affiler on risquait de trouver le temps long, quoi que.... WAIS, ce
gars-là était... bizarre et mystérieux. Je laisser mon sac au salon au cas ou il
n’avait pas prévue de dormir avec moi, ce qui m’étonnerais et me prit une bière
presque froide dans le mini frigo avant de retourner m’asseoir au soleil. Je pris une
bonne gorgée et fermer les yeux l’âme en paix en me disant qu’un bi célibataire qui
n’a pas de photo de belles filles ou de gars musclé sur ses murs... c’est louche. Je
me mis a rêvassé le sourire aux lèvres et...
— Julie... Julie !
— Hum !
— T’es en train de brûler.
— Quoi ?
Elle me regardait en souriant en me tapotant l’épaule avec juste ses shorts sur le dos
et une bière a la main. Son t-shirt et son haut de bikini avaient mystérieusement
disparu. Ses seins nus et en sueur, tout aussi blanc que les miens, me troublèrent un
peu tandis que j’émergeais décourager.
— Tu t’es encore endormi ma belle.
— Merde, ce n’est pas possible. Fis-je en me frottant les yeux avant de bailler aux
corneilles main sur la bouche. J’ai des coups de soleil ?
— Non, mais presque. Sexy le maillot a la Baywatch. T’en fais pas, c’est de ton âge
d’essayer de rentrer dans un maillot trop petit.
Je lui fis mes petits yeux méchants, plus une grimace et elle souriait.
— Je me suis trompé de maillot, c’est mon vieux. Demain on peut aller au village m’en
acheter un autre ? Quoique, à te voir, c’est vraiment utile ?
Là, elle plissa les yeux en disant.
— Ici, pas vraiment, mais il y a de sacrer belle plage dans les environs. Seul j’y
vais jamais mais si tu en as envie, c’est sur qu’il te faut un autre maillot.
— WAIS ! J’aimerais mieux.
— Demain on ira faire des courses à la boutique, pas de problème.
— La boutique ? Il y en a juste une ?
Elle se contenta de me sourire mystérieusement.
— Quoi ? Tu fais une drôle de face.
— Rien, dit-elle en se penchant tandis que je tirais le tissu sur mes boules en me
tortillant. Elle ramassa mes shorts et me dit en me les tendant avec mes slips :
— Mets juste ça, tu vas être plus confortable et t’inquiètes pas. Si une voiture
approche on va l’entendre vingt minutes à l’avance et on est à une heure de marche du
village. Personne ne vient ici et j’ai une chaîne à l’entrée du chemin. Quand je suis
seul devine ce que je porte.
— Ta perruque.
— Même pas. T’as faim, miss je dors tout le temps ?
Je ris en prenant la bière qui était restée coincer entre mes cuisses et me lever en
disant :
— WAIS, j’ai faim, miss silhouette de rêve encore a 52 ans et qui se vas ce rincer
l’oeil en plus.
Je pris une gorgée de bière avant de la poser dans le sable pour me débarrasser de mon
maillot en lui souriant. Une fois nue elle me regarda sans gêne tandis que j’enfilais
mes slips et mes shorts les joues rouges. C’est vrai que je me sentais nettement mieux
comme ça, seins nus, mais j’avais encore une petite gène. On ne se refait pas à mon
âge. Mais mamelons me chatouillait en durcissant et je vis une bosse grossir sous son
short. Au moins je la faisais encore bander. Je ramasser ma bière embarrasser par mes
seins étirer qui se frappèrent mollement.
— Ouf, fis-je en me relevant, on va manger ?
— Tu n’as pas à être gêné Julie, tu es magnifique.
— Merci ma belle, mon ventre gargouille.
C’était si étrange de se promener seins nus avec elle mais très agréables tout en me
disant que si Marie aurais été la, avec nous, j’aurais été hors compétition avec ses
grosses boules. En entrant je filer a la salle de bain vider ma vessie et me
recoiffer. En revenant je fus accueilli par un verre de vin rouge et une rose noire
superbe. Classique, mais efficace, j’eus une petite montée subite d’émotion. Il en
faut si peuvent parfois à nous les filles pour nous faire craquer.
— Merci, dis-je les yeux tout petits après avoir senti le doux parfum de la fleur, et
je lui donnai un petit baiser troubler par sa poitrine effleurant la mienne et l’odeur
délicate de son parfum. Tout ça m’enivrait.
— Pas de problème, passe a table je te sers. T’as une petite mousse dans le nombril.
— Quoi ! Merde ! Dis-je en m’en débarrassant tout en riant.
— C’est beau le petit drapeau, on va le laisser là !
J’allai regarder a coté d’elle par la fenêtre au dessus de l’évier. Je vis mon
soutien-gorge blanc qui se démarquait nettement du vert des sapins. Je souris
décourager.
— Je dors où au fait ? Demandais-je pour l’agacer en m’installant à la petite table.
— Ou tu veux. Dit-elle en m’amenant un pot en verre rempli d’eau pour la rose que
j’installai au milieu de la table près de la grande fenêtre.
— Le divan m’a l’air confortable.
— Oui, mais va y avoir un bon quatre pieds de jambes qui vont dépasser ma grande. T’as
une nouvelle blessure ?
— Hum ! Ah, ouais, mon tibia.
— Un autre écureuil ?
— C’est chouette ici, pas de décoration, répondis-je en éludant la question, pas de
télé, même pas une lampe, c’est reposant.
Là, elle rit sous cape en se servant du vin.
— Un toast a vos vacances Madame Demers et a vos petites blessures.
— Aux vacances dis-je en frappant nos verres.
Le vin était fruité et délicieux. Un Chilien.
Je me sentais si bien en le buvant à petite gorgée en la regardant déballer ses
emplettes et sortir des assiettes cartonner seins a l’air. J’appréciais le spectacle
et m’habituait a celui que je donnais. On se sent vraiment libre sans soutien d’aucune
sorte même avec des seins tombants. Elle avait acheté différentes choses d’un
traiteur; salade, brochette a la Grecque, fromage et des desserts a faire doubler la
taille de mes fesses. Je n’avais pas mangé avec autant d’appétit depuis des années. Le
plein air ça creuse. Et manger seins nus, c’était ma foi... franchement érotique. Le
vin aidant je me mis à la désirer follement. Moi qui n’avais jamais été attiré par une
autre femme. Mais elle ne l’était pas, pas vraiment. Je ne pouvais pas m’imaginer le
visage entre les cuisses d’une vraie femme.
Mais avant, je voulais en savoir plus sur elle et me mit a la cuisiner tandis que le
soleil disparaissait peut a peut derrière les montagnes et qu’elle allumait des petits
lampions quelle venait d’acheter. L’atmosphère se prêtait à la confidence et nous les
filles on adore poser des questions.
Oups ! J’en prends pour mon rhume.
— Hier, au bar, tu ne m’aurais pas approché non !
— Non !
— Hum ! Je comprends, je t’intimidais. Je suis connu alors tu te disais que tu
n’aurais aucune chance, Mais je suis une fille bien ordinaire tu le sais maintenant.
J’aimais les regards discrets que tu me jetais.
— Oups !
Je froncer les sourcils de surprise.
— Oups ?
— Hum !
Je la regarder curieusement, elle avait un drôle de petit sourire en coin très
intriguant.
— Pourquoi oups ?
— Parce que t’es pas mon genre de fille normalement. Tes superbes, mais d’habitude je
préfère les petites brunes un peut ronde moi.
— Ah ! OK ! Je souris un peut surprise de sa franchise, mais ça me plaisait et je dis
a la blague. Mais faut dire que je suis tellement, tellement irrésistible que... Je...
je... Merde !
Je venais d’allumer en me tapant le front de la main gauche et en retombant les deux
pieds sur terre et pas a peut près en m’adossant a la chaise.
— Merde ! Tu regardais Marie ?
— Et oui.
Je me mordiller les lèvres embarrasser le feu aux joues. Chacun a ses préférences,
c’est comme ça et puis il n’était pas non plus mon genre habituel quand il était en
homme. Donc je le comprenais très bien mais je me sentais ridicule.
— Marier, heureuse et mère. Lui appris-je un peu jalouse.
— Dommage. Dit-elle rieuse, les yeux brillants en amenant son verre a ses lèvres
superbes.
— Là, je passe pour la fille qui se prend vraiment, mais vraiment pour une bombe
irrésistible c'est ça ?
— Un petit peut, mais pour être une bombe, ça tu l’es, t’inquiète pas.
— Ben oui, mais tu reluquais Marie et ses grosses boules ! Et je suis aller te voir
comme une dinde en pensant que ces moi qui tu rêvais de sauter. T’as le tour Luce de
me ramener les deux pieds sur terre. WAIS ! Vraiment. Mais honnêtement, en homme, tes
pas le genre de gars qui me plaît habituellement, t’es l’exception disons, et moi ?
— L’exception aussi.
Là, elle rit avec moi en me resservant du vin tout en disant :
— Je pensais que tu allais t’en aller toi aussi et j’ai été vraiment surpris que tu
viennes me voir. Je n’en revenais pas. Julie Demers. Il faut que je t’explique quelque
chose Julie la prétentieuse.
— Vas s’y, je ne peux pas tomber plus bas la fille qui aime les gros seins. Ton côté
homme j’imagine ?
— OK ! Je suis classé si j’ai bien compris.
— WAIS ! Alors, explique....
— J’ai fantasmé sur toi a tes débuts a la télé comme tous le monde et ça m’as surprit
longtemps jusqu'a ce que je comprenne que c’était ton coté garçon manquer qui me
plaisait et ton sens de l’humour. Il y a très peut de fille qui me font rire mais toi
oui et aussi, c’est certain, ton beau grand corps de mannequin et se sourire si
extraordinaire avec des belles dents d’en avant si jolie. Il n’y en a pas deux comme
toi et tant mieux. Ce que je préférais c’était de te voir rire, la tête pencher en
arrière, tes beaux grands yeux presque fermer en te claquant dans les mains. Pour
parler franchement tu m’as fait bander longtemps et la hier je te vois avec ton amie
et je t’ai trouvé toujours aussi superbe et ces toi qui m’attirait le plus sauf que
timide comme je suis et même te sachant divorcer, comme tu le disais, jamais je
n’aurais oser t’aborder. Je me disais, « cette femme-là est d’une classe à part mon
vieux, oublie ça, elle va sortir avec un gars riche et célèbre ou quelque chose du
genre, ta aucune chance avec elle, surtout avec tes seins et ta double vie. Et comme
je le disais, ton amie était en plein mon genre et ma foi, elle est magnifique.
Alors...
— Tu te disais que t’avais plus de chance avec elle qu’avec moi. Wow, je comprends ta
surprise quand je t’ai abordé.
— Oui, je savais plus où me mettre, j’avais l’impression de rêver, surtout quand tu
m’as proposé que je te ramène chez moi. J’étais si nerveux, mais ça ses biens passer
finalement. Mais je ne pensais jamais que tu me rappellerai et surtout aussi vite.
J’espérais te revoir plus que tout mais je n’y croyais pas trop. C’était déjà beaucoup
pour moi que tu sois venu chez moi mais en plus tu me rappelles et acceptes de venir
ici pour quelques jours. J’ai toujours de la misère a croire que ces biens toi qui est
la, ici, chez moi et à demi nue en plus. Je conduisais aujourd’hui en me disant que
bien des gars auraient voulu être à ma place et là, moi j’étais en fille au risque de
te voir déguerpir ce matin au café. Si tu savais comment j’ai hésité à me transformer.
Mais je voulait que... enfin...
— Ça passe ou ça casse, dis-je presque les larmes aux yeux devant tant de franchise,
tu devais être nerveuse et pas a peut prêt ?
— J’en avais l’estomac tout à l’envers. Ne le prend pas mal Julie, mais tes une fille
extraordinaire et unique.
— Oh ! Je le prends très mal, dis-je en m’essuyant les yeux avec une serviette en
papier.
— Je sais que tu viens de te séparer et que ta sûrement pas le goût de te rembarquer
dans une relation, juste celui de baiser un peut de t’éclater et ces corrects, mais...
Je réalise que je suis follement amoureux de toi et que d’avoir la chance un jour de
partager ta vie ne serait ce que quelques années, ce serait... sûrement les plus
belles années de ma vie. Mais je sais que c’est un doux rêve. Alors, comme je te l’ai
dit, t’as seule présence me suffit, même si ce n’est que pour quelques jours et
t’inquiète pas, je ne suis pas le genre a harceler quelqu’un. Tu pourras repartir
l’esprit tranquille ma grande et reposer.
Je rester sans voix, trop émue a m’essuyer les yeux. C’était la chose la plus
touchante que l’on m’avait dite depuis longtemps. Je voyais bien dans ces yeux qu’il,
enfin elle me disait la vérité et si il y a quelque chose que l’on apprécie nous les
femmes et bien... c’est la franchise.
— OK ! T’as raison pour le divorce j’ai besoins de temps et le reste. Amusons-nous le
temps que ça durera après on verra. Mais je ne peux pas rester longtemps, je dois
préparer mon... Et merde, on baise j’en peux plus ?
« J’ai des condoms » Dis-je en même temps qu’elle avant qu’on éclate de rire et qu’on
cale nos verres.
Ah oui ! Ah oui !
Jambes en l’air les orteils tout croches, je me faisais baiser d’aplomb et j’en criais
mon plaisir sans retenue en lui griffant le dos ou les fesses. Les préliminaires avait
été pas mal écourter, à peine le temps de se mettre nue quelques attouchements
fiévreux en s’embrassant avant de tomber sur le lit et quelle enfile un condom. Elle
me désirait autant que je la désirais et j’avais mouillé aussi tôt quelle avant amener
son gland a mon vagin pour me pénétrer si facilement.
Chaque fois que nos pubis se frappaient et que sa bite me pénétrait bien à fond et que
ses couilles frappaient mon anus me le chatouillant je venais tout près de jouir.
J’aurais bien voulu me masturber mais elle était couché sur moi bien accrocher a mes
épaules joue contre joue. Sentir nos poitrines écraser l’une contre l’autre et
sursauter en même temps rajoutait au plaisir intense que je ressentais. Les yeux
réduits a deux petites fentes, je me plaignais comme si on me faisait mal. Je sentais
travailler les muscles de ses fesses à chaque coup de boutoir qu’elle me donnait. Je
deviner que ce ne serait pas long comme première baise surtout après ce quelle venait
de me raconter. Avoir fantasmer sur moi pendant des années et maintenant, j’étais la,
en chair et en os, dans son lit sur le dos, jambes en l’air et elle me fourrait. À
cause du condom sans doute elle put se retenir presque 15 minutes avant de jouir en
grognant à mon oreille tandis que je croisais les jambes sur ses reins en planant. Je
me sentais insatisfaite mais heureuse qu’elle ait pris son plaisir et puis on n’avait
que ça à faire ici, baisé, alors...
— Désoler, dit-elle au bout d’un moment en se retirant pour se débarrasser du condom
assise au bord du lit et le jeter dans la corbeille.
— Ça va, je comprends, je suis tellement bombe.
Elle rit avant de dire, le sexe toujours au garde-à-vous et j’en salivais.
— On va se baigner la bombe.
— Oh ! On tenue d’Ève.
— Absolument et on amène le vin !
— T’es certaine qu’on ne sera pas dérangé ?
— Oui, miss prude !
— OK, mais t'as intérêt a assuré quand tu vas me sauter dessus langue a terre ce soir.
— Ou l’inverse, je suis tellement bombe.
— Tu gardes ta perruque pour te baigner ?
J’eus droit à une jolie grimace en m’essuyant le sexe avec des kleenex.
Je me rendis à ma voiture pour chercher ma serviette de plage et mon maillot dans mon
sac de voyage. Et la, décourager, je m’aperçut en fouillant que j’avais, dans ma
précipitation, apporté mon vieux maillot une pièce que j’avais achetée 15 ans plutôt
pour aller à la Barbade au lieu de mon nouveau bikini. Il fallait vraiment que je sois
épuisé pour faire une connerie pareil. Je m’essuyer en frissonnant car j’avais entendu
crier un écureuil au loin. Ce qui me fit rire un peut honteuse et je sursauter et
crier comme une fofolle quand mon téléphone sonna et ça, ce n’était vraiment pas mon
genre.
— Ben voyons ! Fis-je décourager de moi une main sur ma poitrine en le sortant de mon
sac pour y voir une photo du visage de Marie me faisant une grimace.
— Marie.
— Salut, t’es où ? Je t’attends depuis une demi-heure.
Je me rappeler soudain qu’on devait souper ensemble.
— Tu m’as oublié c’est ça ?
— En plein ça, je m’excuse.
— Bon, dans combien de temps vas-tu être là ?
— Eh... 10 h environ.
Oups ! Un petit silence tandis que je riais.
— Pardon ?
— Je suis sur la Côte-Nord, passé Les Escoumins.
Oups ! Un autre silence, cette fois je grimacer en me frappant une fesse y écrasant un
minuscule moustique.
— OK, avec le gars d’hier c’est ça ?
— WAIS ! Répondis-je en m’essuyant la main avec ma serviette le téléphone coincer
entre mon épaule et mon oreille.
— Oh, je comprends, y baise bien ? T'es seul ? Il écoute ?
— Oui je suis seul et nue au soleil à un chalet près d’une jolie rivière de sable ma
belle. L’eau est fraîche et il n'y a même pas de mouche, enfin presque.
— Fais chier, mais j’ai posé trois questions. Attends, t’as dit que t’étais toute nue
à un chalet, tu dois être loin dans le bois ma grande. Doit pas y avoir grand monde
dans le coin.
— Ça tu peux le dire.
— OK, et pour l’autre question.
— On s’en reparlera.
— Je ne te crois pas, tu n'es pas nue. Je te connais Julie, t’es trop coincé pour
faire ça. Pas ici au Québec à moins que tu ne te sois soudainement décidé, comme
Madonna, de montrer ton beau corps pas mal conserver de petite vielle dans tous les
médias.
Je ris dents serrer avant de dire sous une impulsion soudaine :
— Attend.
Avec mon téléphone je me poser de bas en haut en perspective pour que ça me grossisse
les seins sans qu’on me voie la tête et poser mon beau derrière quelle m’enviait tant,
puis ma poitrine avec mon 4x4 en arrière-plan et mon pubis avec la rivière cette fois
en arrière-plan et la roulotte. Pour finir je fis un gros plan sur l’un de mes
mamelons justes pour l’agacer puis de ma bouche en lui envoyant un baiser et j’envoyai
tout ça en riant certaine que si quelqu’un tombait sur ces photos jamais on ne
pourrait me reconnaître. Dire que 24 h plutôt je n’aurais jamais osé faire ça, même
avec elle et la... ça m’excitait en plus.
— Marie.
— Oui.
— Je t’ai envoyé des photos.
— Mon oeil. Attends ! Un silence et... Ahhhhhhh, c’est pas vrai ! Je l’entendis rire
aux éclats et la, je me sentis terriblement gêner d’avoir osé lui envoyer ça, surtout
quelle devait être dans notre restaurant préférer. Oh, tes seins on tomber ma grande
et ils sont tout égratigné. Ça, c’est de la baise torride. Ben voyons... tu te
dégênes, qu’est-ce qui t’arrive ? Oh, ton cul fait toujours chier et t’es dû pour te
raser là où je pense ma belle.
— Merci. C’est gentil.
— Et ben... Je peux venir ?
— Bye !
Je jeter mon téléphone sur le siège en riant comme une folle, n’en revenant pas de
m’être poser nue et de lui avoir envoyé les photos en plus. C’était tellement pas moi.
Bon, le maudit maillot.
— Merde ! Dis-je en passant finalement les jambes dans le costume de bain en tirant
pour le monter en me tortillant comme une dinde en riant et surtout heureuse d’être
seul. J’avais un peu de gras maintenant sous les cuisses et mes fesses avaient gonflé
mais je finis par y arriver en grognant. Une fois les ganses sur mes épaules
finalement je regarder décourager la chair blanche de mes seins qui en débordait sur
les coté. J’eus beau pousser dessus, mes doigts s’enfonçant dans la chair molle ou
étirer le tissu en riant, rien n’a faire et pour mes maudites fesses non plus. Mon
téléphone émit un signal de message. C’était une photo de Marie qui s’était posée dans
les toilettes du restau et me faisait un doigt d’honneur. Elle m’enviait et pourtant
elle était heureuse avec son Marcel et ses enfants. Et elle m’avait envoyé un texto; «
depuis le temps que Marcel rêve de te voir nue, je vais faire laminer ces photos.
Merci pour lui et amuse-toi bien »
Je ris jaune en lui écrivant : « Si tu fais ça, t’es morte ma vielle. »
Bon retour au maillot.
À l’époque j’étais plus mince et sexy que maintenant et là, le maillot trop étroit
laissait quasiment mon cul à l’air et me rentrait dans la craque de fesses et ce
n’était vraiment pas confortable. J’allais devoir m’en acheter un autre ici.
Décourager, je me tapoter le ventre un peu gonfler en regardant mes seins si bas aux
pointes tendues. L’enfer pour une femme, c’est de vieillir ou d’engraisser et là, je
me tapais les deux. Je m’enduis d’huile solaire toujours debout à côté de mon auto en
regardant la roulotte. Une roulotte de célibataire. Je me demandais si j’allais y
trouver au-dessus de son lit; un laminage de jeune blonde nue cuisses écarter, ou un
poster de Bo Dereck courant sur la plage, ou de moi datant de l’époque ou j’étais
mannequin dans la vingtaine en bikini. Il s’en était vendu pas mal a dans le temps.
Peut-être qu’il était un de mes fans. Un de ces gars qui rêvait de me baiser. Je ne
savais rien de lui. Comme il était bi, je réaliser aussi qu’il pouvait tout aussi bien
avoir un laminage de pompier nu avec juste son casque cachant son pénis aux dessus de
son lit. Je riais encore toute seule en regardant l’éolienne qui tournait lentement en
me disant; qu’il devait avoir une collection de films pornos vu qu’il avait le
courant. Les hommes en ont tous, même les hommes qui s’habillent en femme j’imagine.
J’agrippai mon sac et partit en exploration toute excité. En fait, cette fois j’avais
vraiment l’impression de commencer une nouvelle vie et ça me plaisait énormément.
J’entrai dans une cuisinette propre et bien ranger; à droite il y avait un coin salon
avec sofa et un foyer sur patte et un coin salle a mangé devant une grande fenêtre. À
gauche un étroit couloir menait à une salle de bain rutilante avec juste une douche et
au fond une chambre avec un lit double. Pas de laminage érotique. Pas de collection de
DVD de cul de visible, juste ses affaires sur le lit et un espace de rangement dans un
coin. Il n’y avait aucune décoration, ni télé, ni chaîne stéréo. S’il pleuvait
plusieurs jours d’affiler on risquait de trouver le temps long, quoi que.... WAIS, ce
gars-là était... bizarre et mystérieux. Je laisser mon sac au salon au cas ou il
n’avait pas prévue de dormir avec moi, ce qui m’étonnerais et me prit une bière
presque froide dans le mini frigo avant de retourner m’asseoir au soleil. Je pris une
bonne gorgée et fermer les yeux l’âme en paix en me disant qu’un bi célibataire qui
n’a pas de photo de belles filles ou de gars musclé sur ses murs... c’est louche. Je
me mis a rêvassé le sourire aux lèvres et...
— Julie... Julie !
— Hum !
— T’es en train de brûler.
— Quoi ?
Elle me regardait en souriant en me tapotant l’épaule avec juste ses shorts sur le dos
et une bière a la main. Son t-shirt et son haut de bikini avaient mystérieusement
disparu. Ses seins nus et en sueur, tout aussi blanc que les miens, me troublèrent un
peu tandis que j’émergeais décourager.
— Tu t’es encore endormi ma belle.
— Merde, ce n’est pas possible. Fis-je en me frottant les yeux avant de bailler aux
corneilles main sur la bouche. J’ai des coups de soleil ?
— Non, mais presque. Sexy le maillot a la Baywatch. T’en fais pas, c’est de ton âge
d’essayer de rentrer dans un maillot trop petit.
Je lui fis mes petits yeux méchants, plus une grimace et elle souriait.
— Je me suis trompé de maillot, c’est mon vieux. Demain on peut aller au village m’en
acheter un autre ? Quoique, à te voir, c’est vraiment utile ?
Là, elle plissa les yeux en disant.
— Ici, pas vraiment, mais il y a de sacrer belle plage dans les environs. Seul j’y
vais jamais mais si tu en as envie, c’est sur qu’il te faut un autre maillot.
— WAIS ! J’aimerais mieux.
— Demain on ira faire des courses à la boutique, pas de problème.
— La boutique ? Il y en a juste une ?
Elle se contenta de me sourire mystérieusement.
— Quoi ? Tu fais une drôle de face.
— Rien, dit-elle en se penchant tandis que je tirais le tissu sur mes boules en me
tortillant. Elle ramassa mes shorts et me dit en me les tendant avec mes slips :
— Mets juste ça, tu vas être plus confortable et t’inquiètes pas. Si une voiture
approche on va l’entendre vingt minutes à l’avance et on est à une heure de marche du
village. Personne ne vient ici et j’ai une chaîne à l’entrée du chemin. Quand je suis
seul devine ce que je porte.
— Ta perruque.
— Même pas. T’as faim, miss je dors tout le temps ?
Je ris en prenant la bière qui était restée coincer entre mes cuisses et me lever en
disant :
— WAIS, j’ai faim, miss silhouette de rêve encore a 52 ans et qui se vas ce rincer
l’oeil en plus.
Je pris une gorgée de bière avant de la poser dans le sable pour me débarrasser de mon
maillot en lui souriant. Une fois nue elle me regarda sans gêne tandis que j’enfilais
mes slips et mes shorts les joues rouges. C’est vrai que je me sentais nettement mieux
comme ça, seins nus, mais j’avais encore une petite gène. On ne se refait pas à mon
âge. Mais mamelons me chatouillait en durcissant et je vis une bosse grossir sous son
short. Au moins je la faisais encore bander. Je ramasser ma bière embarrasser par mes
seins étirer qui se frappèrent mollement.
— Ouf, fis-je en me relevant, on va manger ?
— Tu n’as pas à être gêné Julie, tu es magnifique.
— Merci ma belle, mon ventre gargouille.
C’était si étrange de se promener seins nus avec elle mais très agréables tout en me
disant que si Marie aurais été la, avec nous, j’aurais été hors compétition avec ses
grosses boules. En entrant je filer a la salle de bain vider ma vessie et me
recoiffer. En revenant je fus accueilli par un verre de vin rouge et une rose noire
superbe. Classique, mais efficace, j’eus une petite montée subite d’émotion. Il en
faut si peuvent parfois à nous les filles pour nous faire craquer.
— Merci, dis-je les yeux tout petits après avoir senti le doux parfum de la fleur, et
je lui donnai un petit baiser troubler par sa poitrine effleurant la mienne et l’odeur
délicate de son parfum. Tout ça m’enivrait.
— Pas de problème, passe a table je te sers. T’as une petite mousse dans le nombril.
— Quoi ! Merde ! Dis-je en m’en débarrassant tout en riant.
— C’est beau le petit drapeau, on va le laisser là !
J’allai regarder a coté d’elle par la fenêtre au dessus de l’évier. Je vis mon
soutien-gorge blanc qui se démarquait nettement du vert des sapins. Je souris
décourager.
— Je dors où au fait ? Demandais-je pour l’agacer en m’installant à la petite table.
— Ou tu veux. Dit-elle en m’amenant un pot en verre rempli d’eau pour la rose que
j’installai au milieu de la table près de la grande fenêtre.
— Le divan m’a l’air confortable.
— Oui, mais va y avoir un bon quatre pieds de jambes qui vont dépasser ma grande. T’as
une nouvelle blessure ?
— Hum ! Ah, ouais, mon tibia.
— Un autre écureuil ?
— C’est chouette ici, pas de décoration, répondis-je en éludant la question, pas de
télé, même pas une lampe, c’est reposant.
Là, elle rit sous cape en se servant du vin.
— Un toast a vos vacances Madame Demers et a vos petites blessures.
— Aux vacances dis-je en frappant nos verres.
Le vin était fruité et délicieux. Un Chilien.
Je me sentais si bien en le buvant à petite gorgée en la regardant déballer ses
emplettes et sortir des assiettes cartonner seins a l’air. J’appréciais le spectacle
et m’habituait a celui que je donnais. On se sent vraiment libre sans soutien d’aucune
sorte même avec des seins tombants. Elle avait acheté différentes choses d’un
traiteur; salade, brochette a la Grecque, fromage et des desserts a faire doubler la
taille de mes fesses. Je n’avais pas mangé avec autant d’appétit depuis des années. Le
plein air ça creuse. Et manger seins nus, c’était ma foi... franchement érotique. Le
vin aidant je me mis à la désirer follement. Moi qui n’avais jamais été attiré par une
autre femme. Mais elle ne l’était pas, pas vraiment. Je ne pouvais pas m’imaginer le
visage entre les cuisses d’une vraie femme.
Mais avant, je voulais en savoir plus sur elle et me mit a la cuisiner tandis que le
soleil disparaissait peut a peut derrière les montagnes et qu’elle allumait des petits
lampions quelle venait d’acheter. L’atmosphère se prêtait à la confidence et nous les
filles on adore poser des questions.
Oups ! J’en prends pour mon rhume.
— Hier, au bar, tu ne m’aurais pas approché non !
— Non !
— Hum ! Je comprends, je t’intimidais. Je suis connu alors tu te disais que tu
n’aurais aucune chance, Mais je suis une fille bien ordinaire tu le sais maintenant.
J’aimais les regards discrets que tu me jetais.
— Oups !
Je froncer les sourcils de surprise.
— Oups ?
— Hum !
Je la regarder curieusement, elle avait un drôle de petit sourire en coin très
intriguant.
— Pourquoi oups ?
— Parce que t’es pas mon genre de fille normalement. Tes superbes, mais d’habitude je
préfère les petites brunes un peut ronde moi.
— Ah ! OK ! Je souris un peut surprise de sa franchise, mais ça me plaisait et je dis
a la blague. Mais faut dire que je suis tellement, tellement irrésistible que... Je...
je... Merde !
Je venais d’allumer en me tapant le front de la main gauche et en retombant les deux
pieds sur terre et pas a peut près en m’adossant a la chaise.
— Merde ! Tu regardais Marie ?
— Et oui.
Je me mordiller les lèvres embarrasser le feu aux joues. Chacun a ses préférences,
c’est comme ça et puis il n’était pas non plus mon genre habituel quand il était en
homme. Donc je le comprenais très bien mais je me sentais ridicule.
— Marier, heureuse et mère. Lui appris-je un peu jalouse.
— Dommage. Dit-elle rieuse, les yeux brillants en amenant son verre a ses lèvres
superbes.
— Là, je passe pour la fille qui se prend vraiment, mais vraiment pour une bombe
irrésistible c'est ça ?
— Un petit peut, mais pour être une bombe, ça tu l’es, t’inquiète pas.
— Ben oui, mais tu reluquais Marie et ses grosses boules ! Et je suis aller te voir
comme une dinde en pensant que ces moi qui tu rêvais de sauter. T’as le tour Luce de
me ramener les deux pieds sur terre. WAIS ! Vraiment. Mais honnêtement, en homme, tes
pas le genre de gars qui me plaît habituellement, t’es l’exception disons, et moi ?
— L’exception aussi.
Là, elle rit avec moi en me resservant du vin tout en disant :
— Je pensais que tu allais t’en aller toi aussi et j’ai été vraiment surpris que tu
viennes me voir. Je n’en revenais pas. Julie Demers. Il faut que je t’explique quelque
chose Julie la prétentieuse.
— Vas s’y, je ne peux pas tomber plus bas la fille qui aime les gros seins. Ton côté
homme j’imagine ?
— OK ! Je suis classé si j’ai bien compris.
— WAIS ! Alors, explique....
— J’ai fantasmé sur toi a tes débuts a la télé comme tous le monde et ça m’as surprit
longtemps jusqu'a ce que je comprenne que c’était ton coté garçon manquer qui me
plaisait et ton sens de l’humour. Il y a très peut de fille qui me font rire mais toi
oui et aussi, c’est certain, ton beau grand corps de mannequin et se sourire si
extraordinaire avec des belles dents d’en avant si jolie. Il n’y en a pas deux comme
toi et tant mieux. Ce que je préférais c’était de te voir rire, la tête pencher en
arrière, tes beaux grands yeux presque fermer en te claquant dans les mains. Pour
parler franchement tu m’as fait bander longtemps et la hier je te vois avec ton amie
et je t’ai trouvé toujours aussi superbe et ces toi qui m’attirait le plus sauf que
timide comme je suis et même te sachant divorcer, comme tu le disais, jamais je
n’aurais oser t’aborder. Je me disais, « cette femme-là est d’une classe à part mon
vieux, oublie ça, elle va sortir avec un gars riche et célèbre ou quelque chose du
genre, ta aucune chance avec elle, surtout avec tes seins et ta double vie. Et comme
je le disais, ton amie était en plein mon genre et ma foi, elle est magnifique.
Alors...
— Tu te disais que t’avais plus de chance avec elle qu’avec moi. Wow, je comprends ta
surprise quand je t’ai abordé.
— Oui, je savais plus où me mettre, j’avais l’impression de rêver, surtout quand tu
m’as proposé que je te ramène chez moi. J’étais si nerveux, mais ça ses biens passer
finalement. Mais je ne pensais jamais que tu me rappellerai et surtout aussi vite.
J’espérais te revoir plus que tout mais je n’y croyais pas trop. C’était déjà beaucoup
pour moi que tu sois venu chez moi mais en plus tu me rappelles et acceptes de venir
ici pour quelques jours. J’ai toujours de la misère a croire que ces biens toi qui est
la, ici, chez moi et à demi nue en plus. Je conduisais aujourd’hui en me disant que
bien des gars auraient voulu être à ma place et là, moi j’étais en fille au risque de
te voir déguerpir ce matin au café. Si tu savais comment j’ai hésité à me transformer.
Mais je voulait que... enfin...
— Ça passe ou ça casse, dis-je presque les larmes aux yeux devant tant de franchise,
tu devais être nerveuse et pas a peut prêt ?
— J’en avais l’estomac tout à l’envers. Ne le prend pas mal Julie, mais tes une fille
extraordinaire et unique.
— Oh ! Je le prends très mal, dis-je en m’essuyant les yeux avec une serviette en
papier.
— Je sais que tu viens de te séparer et que ta sûrement pas le goût de te rembarquer
dans une relation, juste celui de baiser un peut de t’éclater et ces corrects, mais...
Je réalise que je suis follement amoureux de toi et que d’avoir la chance un jour de
partager ta vie ne serait ce que quelques années, ce serait... sûrement les plus
belles années de ma vie. Mais je sais que c’est un doux rêve. Alors, comme je te l’ai
dit, t’as seule présence me suffit, même si ce n’est que pour quelques jours et
t’inquiète pas, je ne suis pas le genre a harceler quelqu’un. Tu pourras repartir
l’esprit tranquille ma grande et reposer.
Je rester sans voix, trop émue a m’essuyer les yeux. C’était la chose la plus
touchante que l’on m’avait dite depuis longtemps. Je voyais bien dans ces yeux qu’il,
enfin elle me disait la vérité et si il y a quelque chose que l’on apprécie nous les
femmes et bien... c’est la franchise.
— OK ! T’as raison pour le divorce j’ai besoins de temps et le reste. Amusons-nous le
temps que ça durera après on verra. Mais je ne peux pas rester longtemps, je dois
préparer mon... Et merde, on baise j’en peux plus ?
« J’ai des condoms » Dis-je en même temps qu’elle avant qu’on éclate de rire et qu’on
cale nos verres.
Ah oui ! Ah oui !
Jambes en l’air les orteils tout croches, je me faisais baiser d’aplomb et j’en criais
mon plaisir sans retenue en lui griffant le dos ou les fesses. Les préliminaires avait
été pas mal écourter, à peine le temps de se mettre nue quelques attouchements
fiévreux en s’embrassant avant de tomber sur le lit et quelle enfile un condom. Elle
me désirait autant que je la désirais et j’avais mouillé aussi tôt quelle avant amener
son gland a mon vagin pour me pénétrer si facilement.
Chaque fois que nos pubis se frappaient et que sa bite me pénétrait bien à fond et que
ses couilles frappaient mon anus me le chatouillant je venais tout près de jouir.
J’aurais bien voulu me masturber mais elle était couché sur moi bien accrocher a mes
épaules joue contre joue. Sentir nos poitrines écraser l’une contre l’autre et
sursauter en même temps rajoutait au plaisir intense que je ressentais. Les yeux
réduits a deux petites fentes, je me plaignais comme si on me faisait mal. Je sentais
travailler les muscles de ses fesses à chaque coup de boutoir qu’elle me donnait. Je
deviner que ce ne serait pas long comme première baise surtout après ce quelle venait
de me raconter. Avoir fantasmer sur moi pendant des années et maintenant, j’étais la,
en chair et en os, dans son lit sur le dos, jambes en l’air et elle me fourrait. À
cause du condom sans doute elle put se retenir presque 15 minutes avant de jouir en
grognant à mon oreille tandis que je croisais les jambes sur ses reins en planant. Je
me sentais insatisfaite mais heureuse qu’elle ait pris son plaisir et puis on n’avait
que ça à faire ici, baisé, alors...
— Désoler, dit-elle au bout d’un moment en se retirant pour se débarrasser du condom
assise au bord du lit et le jeter dans la corbeille.
— Ça va, je comprends, je suis tellement bombe.
Elle rit avant de dire, le sexe toujours au garde-à-vous et j’en salivais.
— On va se baigner la bombe.
— Oh ! On tenue d’Ève.
— Absolument et on amène le vin !
— T’es certaine qu’on ne sera pas dérangé ?
— Oui, miss prude !
— OK, mais t'as intérêt a assuré quand tu vas me sauter dessus langue a terre ce soir.
— Ou l’inverse, je suis tellement bombe.
— Tu gardes ta perruque pour te baigner ?
J’eus droit à une jolie grimace en m’essuyant le sexe avec des kleenex.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe , mais a quand la suite !
Bonjour,
J'aime beaucoup ton histoire. Je suis juste gêné par l'orthographe approximative.
Bonne année à vous.
J'aime beaucoup ton histoire. Je suis juste gêné par l'orthographe approximative.
Bonne année à vous.