Au bout du monde - 9

- Par l'auteur HDS Ingyt -
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au bout du monde - 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bout du monde - 9
La balade

Hier, en me branlant sur un tronc d’arbre surplombant la rivière, j’avais ressenti la même chose que ce que j’éprouvais quand j’étais toute jeune et que je le faisais en plein air dans les bois ou les champs derrière la maison. C’est à dire, un plaisir beaucoup plus intense. J’avais commencé a me masturber avant même que mes seins ne ce décide a poussé et comme pour bien des filles sans doute, j’avais découvert ça en me lavant le sexe. J’adorais à l’époque me trouver un endroit secret pour le faire, soit dans le silence de la forêt, soit dans de hautes herbes sèches bien à l’abri des regards indiscrets, mon endroit préférer. J’aplatissais les herbes en cercle, j’enlevais short et petite culotte et je m’étendais au soleil pour me branler fesses a l’air en regardant le ciel bleu. C’était vite devenu comme une drogue, un besoin que je me devais d’assouvir tous les jours ou presque. Et c’était drôlement plus excitant que le faire dans mon lit ou le bain, même si je me sentais vicieuse de faire ça un peut n’importe ou et aussi souvent.

Et ce matin je voulais remettre ça, quelque part dans les bois, encore une fois, mais loin de la roulotte pour être certaine de pouvoir le faire tranquille au cas ou Luce s’éveillerait tôt car je voulais visionner le film d’hier soir. Celui où je me faisais sodomiser, une première pour moi, a 50 ans. Et j’avais hâte de montrer à Marie, ma meilleure amie, mon pubis lisse et sans poils que je venais de me raser. J’allais me filmer a nouveau en me masturbant, ma nouvelle maladie. Je venais à peine de le faire et pourtant, je mourais déjà d’envie de recommencer.

J’ouvris l’arrière de mon 4x4 pour prendre le vieux sac d’armées de mon ex qui se portait en bandoulière. J’y mis mon ordinateur et mon téléphone, une serviette de plage et une bouteille d’eau, enfiler juste mes sandales et partit après m’être enduite d’huile solaire grisé de marcher nue au soleil le coeur léger. J’aimais sentir mon sexe exposer, sentir rebondir mes fesses un peu ramollies et voir rouler mes seins, bas et lourd, en marchant sur l’étroit chemin de terre qui menait à la route de gravier. Sans poil sur le pubis, j’avais l’étrange impression d’être encore plus nu et ça me plaisait énormément. En fait, ça me rappelait mon sexe de petite fille. L’air frais embaumait le sapin et le moindre son se répercutait au loin et toujours pas de vent, le calme plat. Et si une voiture s’amenait, je l’entendrais longtemps avant de la voir et j’aurais amplement le temps de me faufiler dans les bois. Tout de même, partir ainsi nue en expédition me rendait quelque peu nerveuse mais c’était extrêmement excitant.

Je me sentais si légère, si libre, si bien dans ma peau à présent et j’étais seul. J’ai toujours adoré la solitude et la forêt. Puis, sous une impulsion soudaine, je sortis mon téléphone pour me filmer en marchant; le pubis, puis les seins qui se frappaient ensemble mollement, la route et mon visage en disant :

— C’est encore moi ! Tu avais raison Marie, j’étais dû pour me raser la ou tu sais, comme toi. Je pars en expédition pour me trouver un endroit tranquille pour visionner un film, disons, très intime de mon amant et de moi. En fait, dis-je en souriant, on s’est filmé hier soir et en faisant ce que tu sais, ma première pénétration anale, et oui. Mais celui-là, je le garde pour moi Marie. Bye !

Je ris en expédiant le fichier. Décidément, je devenais acro à me filmer dans le plus simple appareil. « Et pourquoi pas ? » Me dis-je heureuse en fourrant le téléphone dans mon sac.

Arriver la ou le chemin priver de Luce rejoignait la route de gravier, j’enjambai la chaîne qui en barrait l’accès et ne put m’empêcher de me pencher en avant pour vérifier à droite ou à gauche le coeur battant pour être certaine d’être seul. Personne, je pris à droite pour longer la route vers le village fantôme, trop loin a pied pour que je m’y rendre, en restant proche du bois, au cas ou. En bordure du chemin; les sapins, les épinettes, les bouleaux et les trembles était gris de poussière les pauvres.

Après seulement quelques minutes de marche, comme le soleil commençait à plomber durement, je pris une bonne gorgée d’eau car j’avais déjà la gorge sèche et le corps recouvert de sueur. Celle-ci s’écoulait lentement le long de ma colonne et entre mes seins en me chatouillant. Je me sentais en harmonie avec la nature sauvage.

Le silence qui régnait avait calmé ma peur de rencontrer quelqu’un mais je restais tout de même sur le qui-vive en admirant les montagnes boisées et la forêt. J’avais de nouveau cette délicieuse sensation d’être seul au monde et cela me donna des frissons de plaisir. Malgré le fait d’être une personnalité connu de la télé, ici je pouvais me balader nu, prendre du temps pour moi et me passer mes petits fantasmes, même en plein air comme quand j’étais jeune, et je le devais à Luce. Je réaliser pleinement que je n’avais plus a allé me cacher sur une plage perdue des tropiques pour pratiquer le naturisme, je pouvais le faire ici et je préférais cela et de loin. J’avais bien l’intention de revenir dès que je le pourrais. Et dire que Luce m’avait enculé hier et que je ne m’en rappelais même pas, le trou noir total à cause du vin. Trop nerveuse j’avais bue plus qu’a l’habitude. Je ne pus m’empêcher de glisser un doigt dans ma craque de fesses moite de sueur pour me toucher l’anus juste pour voir s’il était sensible, mais il ne l’était pas, pas plus qu’a l’ordinaire. Il fallait vraiment le refaire aujourd’hui, avant que je ne reparte à Montréal et surtout que je diminue ma consommation de vin. Plus question d’avoir des trous noirs. En souriant, je ne pus m’empêcher de me taper les fesses, puis de danser comme une idiote, bras en l’air, secouant les épaules pour faire remuer mes seins en disant tout haut :

— Yes ! Vive la liberté ma grande !

Puis, riant toute seule, je continuer en me prenant les seins couverts de sueur à pleine main pour me les soulever, juste comme ça, pour le simple plaisir de le faire. Je soupirer en réalisant qu’ils étaient plus lourds que l’an dernier et sans aucun doute moins que l’an prochain. Je ne m’en plaignais pas car j’avais toujours eu une poitrine plutôt moyenne, j’aurais seulement souhaité qu’il reste plus haut, mais, au moins, mes égratignures guérissaient bien.

Soudain, je stopper en frissonnant car j’entendais une voiture qui s’amenait au loin derrière moi. Paniquer, les yeux tout ronds, je lâcher mes boules pour me réfugier dans le bois tout près sur ma droite mais ils y avaient trop d’arbustes touffus et dessécher entre les sapins, cela formait comme une barrière impénétrable. Je m’y serais tout égratigné. Décourager, le coeur battant à toute allure je repousser le sac sur mes reins pour courir de l’autre coté de la route, qui faisait une longue courbe a cet endroit, en voyant ma poitrine sursauter méchamment pour me glisser finalement entre de gros sapins en entendant le véhicule qui s’approchait de plus en plus. Je m’accroupir derrière un tronc couvert de résine collante, essouffler en surveillant la route à travers les branches comme si quelqu’un en voulait a ma vie, en me sentant un peut, même pas mal ridicule. Mon coeur cognait dur et je suais abondamment.

Un vieux pickup rouiller passa à vive allure en soulevant un immense nuage de poussière opaque qui vint directement sur moi comme un gaz mortel voilant tout sur son passage. Je dus fermer les yeux tandis que la poussière blanchâtre me recouvrait, elle se faufila jusque dans mes narines et même ma gorge me faisant tousser. Le bruit du véhicule finit par s’évanouir. J’ouvris les yeux pour me redresser en agitant une main devant mon visage et m’aperçut que la poussière c’était agglutiner a mon corps en sueur me faisant comme une seconde peau, mais grise. Moi qui venais de me laver à la rivière. Décourager, tournant le dos a la route d’où provenait encore un reste de poussière, je regarder la forêt en frottant mes yeux larmoyants pour apercevoir le miroitement d’un lac ou d’une rivière pas très loin entre les branches. Remise de mes émotions, je pris une grande gorgée d’eau pour nettoyer ma gorge et curieuse, j’allai voir de plus près en repoussant le sac sur mes reins, le corps chatouiller par les branches tout aussi grises que moi sur quelques mètres. Une autre bonne baignade me ferait du bien.

Je découvris un petit lac calme recouvert de nénuphars perdus là, au milieu de la forêt et assez loin de la route pour y être tranquille et à l’abri des regards indiscrets. Je faillis marcher sur une énorme grenouille verte au ventre jaune qui sauta dans l’eau pour y disparaître rapidement. Je ressentis une forte envie de me jeter dans ce lac moi aussi pour me débarrasser de cette poussière qui me recouvrait me donnant un petit look de femme préhistorique mais je vis que le fond en était boueux. Déception ! Pas question de se baigner dans cette grande marre à grenouille. Tant pis ! J’aperçus un espace dégager en bordure du lac à l’ombre des sapins près d’une grosse souche grise et dessécher. Je souris en remettant la bouteille d’eau dans mon sac car je venais de trouver mon endroit secret. J’y étalai la serviette de plage et m’assit adossé a la souche pour ouvrir mon ordinateur et le poser sur la serviette entres ma jambe écarter, genoux relever en entendant des corneilles crier au loin. Puis je filmer le lac en disant : Je te baptise « lac Julie. » Puis me filmer le visage en rajoutant :

— C’est encore moi Marie et recouverte de poussière comme une femme de la préhistoire, je t’expliquerai. Tu dors encore paresseuse ? J’ai un lac a mon nom, ces romantiques non ? Et toi, une vulgaire piscine ma pauvre veille. Tu veux me voir pendant que je regarde mon film ? J’imagine que oui la voyeuse... Alors, rince-toi l’oeil.

Je caler le téléphone dans la tourbe contre un petit bouleau à côté de moi déjà toute excité et, en regardant mon ordi, j’y vis la caméra intégrer en réalisant que je pouvais me filmer sous deux angles différents en même temps et que je pourrais même en faire un montage une fois de retour a la maison. De côté avec le téléphone et de face avec l’ordi que je reculer un peut pour qu’on me voie bien la vulve, la poitrine et même le visage cette fois. J’eus aussitôt des fourmillements d’excitation au creux de l’estomac en démarrant un enregistrement vidéo en même temps que le film d’hier côte à côte a l’écran.

D’un côté, je me voyais assise en train de me regarder en direct, jambe écarter, la peau grise de poussière, même mes longs cheveux teint en blond roux en étaient recouverts. Mes beaux cheveux que je venais juste de me shampouiner. Je penser mes les secouer mais, je me trouvais plutôt sexy comme ça. De l’autre, c’était le film que je commençai a visionné anxieuse de me voir me faire sodomiser, en espérant que la prise de vue soit bonne.

Je me vis tendre le téléphone à Luce qui le plaça sur le petit bureau de la chambre. À présent, je me voyais un peut de haut et de côté, à genoux, pencher sur le lit, cul rebondit, avec une vue imprenable sur mon sexe gonfler et de mon petit anus luisant de lubrifiant probablement. J’avais la tête tourner vers la caméra, reposant sur mes bras avec un air de béatitude qui me troubla. Mes seins écraser sous moi débordaient de mon torse. Luce s’agenouilla derrière moi en posant une main sur mes reins, prenant de l’autre ça bite bander dur et luisante, sûrement de lubrifiant, pour laisser son gland glisser dans ma craque de fesses jusque sur mon anus en disant :

— Détends-toi Julie.

Et elle poussa en serrant les fesses. Juste à le voir j’en frémis, mon coeur accéléra et mon anus pulsa contre la serviette. Je vis clairement le gland renfoncer mon petit trou pour y pénétrer doucement en se compressant tandis qu’elle me caressait les fesses de la main gauche. Je déglutis en me regardant le visage pour voir si cela me faisait mal; les yeux fermer, lèvre entrouverte, je semblais apprécier et pas a peut prêt.

— Merde ! Et je n’ai aucun souvenir de ça. Me dis-je tout haut le bout des doigts poser sur mon pubis glabre, si doux.

C’était la première fois que je me rasais complètement et me rendit compte que sans poil je ressentais mieux le moindre attouchement. Mes yeux se plissaient déjà, river à l’écran. Je voyais mes longs doigts caresser ma vulve gonfler, humide et ouverte qui laissait entrevoir l’entrée de mon vagin rose vif et mes petites lèvres plus pâle qui se démarquait nettement du gris de la poussière. Je reporter rapidement mon attention a l’image de gauche pour ne rien manquer.

Me regarder me faire sodomiser me fit à nouveau sentir cette moiteur si agréable entre les cuisses pendant que mon sexe devenait de plus en plus humide et que mon clitoris bandait. Je vis clairement mon anus se distendre, le gland disparaître a l’intérieur et la hampe veiner s’y enfoncer peut a peut, très lentement. Je grimacer malgré moi, mon petit trou semblait si étirer. Puis je me vis gémir et me mordiller les lèvres tout comme je le faisais déjà en direct. C’était étrange, fascinant et excitant de m’apercevoir sur les deux partis de l’écran. De me voir me regarder me faire enculé adossé à une vielle souche, jambe écarter en me branlant en pleine forêt. Mes yeux allaient de gauche à droite sans que je puisse les en empêcher. Je voulais tout voir.

Luce lâcha ça bite trop enfoncer a présent pour me prendre les reins, visiblement très exciter elle aussi. Le visage inexpressif, elle fixait son pénis les yeux mis clos, bouche entrouverte, si belle, la pointe des seins tendus. Elle la rentra prudemment jusqu’aux couilles en serrant les fesses et me demanda si ça allait, je dis que oui, la voix enrouer par le plaisir évident que je ressentais et elle commença alors a m’enculer doucement tandis que ces seins se balançaient au même rythme que ses couilles lourdes et sans poils qui heurtait mon sexe détremper. C’était si bizarre de voir cette belle grande fille avec une bite me sodomiser, de me voir me faire enculer à l’écran, que c’en était... électrisant. Mon anus semblait s’étirer quand elle ressortait son pénis presque complètement et il se renfonçait quand elle poussait. Je me vis gémir et grimacer, dents serrer a en devenir laide en glissant un bras sous moi, entre mes seins, pour me masturber et caresser ses couilles au passage. « C’est donc a sa que je ressemble quand je ressens du plaisir. Seigneur ! »

Toujours en fixant l’écran, fasciner, j’amenai distraitement mon mamelon gauche à ma bouche pour me le sucer et l’agacer du bout de la langue le sentant enfler rapidement entre mes lèvres pour devenir très sensible. Il goûtait la poussière tandis qu’une ondée de plaisir irradiait dans tout mon sein que je laisser retomber au bout d’un moment pour faire la même chose avec l’autre. Ça aussi c’était nouveau pour moi que de réussir a amené mes mamelons a ma bouche. Depuis que mes seins avaient baissé je le pouvais, mais avant, c’était impossible. Le ressentir et le voir redoublait le plaisir que je ressentais et de savoir que Marie allait me regarder faire, rajoutait a tout ça. À l’écran, Luce accélérait, de plus en plus exciter. Son ventre heurtait mes fesses de plus en plus durement les faisant rebondir et rebondir aussi ses seins. Tout mon corps en était secoué tandis que je me branlais furieusement en gémissant contre le lit. Je me pénétrais avec un doigt le dos de la main frapper par ses couilles.

Omnibuler par mon trip de voyeuse, je laisser retomber mon sein pour me contenter de me le caresser, bouche entrouverte me léchant les lèvres en me masturbant toujours. Mes doigts glissaient sur ma fente mouiller jusqu’à me toucher l’anus pour me le palper et remontaient vers mon pubis effleurant mon clito m’arrachant de nouveaux petits gémissements. Puis je me pénétrer avec un doigt comme je le faisais a l’écran, mon doigt le plus long, le poussant profondément en moi en serrant les dents. Luce stoppait parfois pour faire onduler ses hanches ou pour me taper les fesses durement les faisant rougir, ce qui faisait rebondir sa poitrine de plus belle qu’elle se caressait parfois tandis que je grimaçais en me branlant. Visiblement, j’appréciais. Puis elle recommençait a m’enculer, dents serrées. Encore là, j’imaginais qu’elle devait planer à me la mettre dans le cul, elle qui avait tant fantasmé sur moi en me regardant à la télé, comme tant d’autres.

Soudain, je me vis jouir; le visage contre le lit, les yeux clos, cuisses serrer sur ma main, le corps parcouru de spasme. Mon visage grimaçant devint tout rouge tandis qu’en direct je malmenais a présent mon clito bander dur avec mon pouce pour essayer de m’amener a l’orgasme encore une fois. C’était tout près et les petites plaintes que je lâchais a l’écran et en direct se répercutaient sur le lac. Je vis Luce se pencher sur moi pour m’agripper par les épaules et m’enculer encore plus vite et plus fort en serrant les fesses et les dents. La pointe de ses seins pendants traînait sur ma colonne. Me voir jouir avait dû quasiment la rendre folle. Mon anus c’était probablement contracter contre son pénis, du moins je l’imaginais car il pulsait chaque fois que j’avais un orgasme. Elle aussi grimaçait et semblait même furieuse tandis que ça bite allait et venait dans mon cul dilater. Ses couilles étaient rentrées par en dedans, elle allait sans doute jouir.

J’haletais en regardant, salivant, les yeux réduits à deux petites fentes me masturbant furieusement, une main caressant toujours ma poitrine passant d’un sein à l’autre. Aucun porno n’aurait pu m’exciter autant. Qu’est-ce que je pouvais bien ressentir à me faire enculer si fort, presque avec rage. Luce semblait vouloir me défoncer. Des filaments blancs de sécrétion vaginale s’étiraient même de son scrotum à ma vulve ouverte.

Je me vit crier, de plaisir sans doute, en délaissant mon sexe pour étirer les bras sur le lit et m’agripper aux draps mes longs cheveux blond roux étaler sur mes épaules. Et soudain, Luce stoppa, coucher sur moi, et ne fit plus que contracter les fesses. Je réaliser qu’elle était en train d’éjaculer ce qui me fit jouir en direct. Mes genoux se refermèrent tout à coup, je gémis en pressant mon sein droit tandis qu’un orgasme puissant me sciait le bas ventre me faisant trembler et retrousser les orteils. Une véritable explosion de plaisir qui me coupa le souffle. Je faillis pleurer à nouveau tellement c’était bon. Je me voyais encore grimacer d’un côté de l’écran tandis que de l’autre Luce se retirait doucement de mon anus pour secouer et presser ça bite rougit entre mes fesses y laissant du sperme blanc et épais avant de venir fermer le téléphone.

L’orgasme fut comme une grosse décharge électrique qui remonta jusqu’à la pointe de mes seins et qui provoqua une douloureuse crampe a mon gros orteil du pied droit qui se raidit en s’écartant des autres. La crampe me fit crier et grimacer de plus belle et même pleurer.

Je rester transit un moment, entre douleur et plaisir a attendre que l’orgasme s’évanouisse en laissant retomber mon sein pour me masser l’orteil en grimaçant, une main toujours coincer entre mes cuisses.

« Comment est-ce que je pouvais avoir oublié tout ça » me dis-je déçut tandis que la crampe s’évanouissait finalement tout comme mon orgasme. Un vrai soulagement de pouvoir enfin replier l’orteil.

Mais cela m’était déjà arrivé avec mon ex, de trop boire et de me réveiller le lendemain avec de sacrés trous noirs. Remise quelque peut de mes émotions, essouffler, épuiser et encore une fois soulager de mes pulsions, pour le moment, j’ouvris les cuisses pour retirer ma main et j’approchai mon visage de la caméra de l’ordinateur en souriant tristement et dit en essuyant mes larmes qui avait laissé des traînés sur mes joues poussiéreuses, je le voyais bien a l’écran :

— Ouuu Marie ! Orgasme et crampe d’orteil, génial, mais douloureux ! Bye !

J’arrêtai l’enregistrement et fermer l’ordi. Je soupirer longuement, le corps parcouru de frissons, le dos bien appuyer contre la souche lisse et sans écorce, a reprendre mes esprits. Je m’essuyer le sexe et la main avec la serviette et, au bout d’un moment, reprit le téléphone que j’avais oublié en disant :

— Encore un pour ta collection ma belle. Je te souhaite bien du plaisir !

Marabounta

Je soupirer longuement en me promettant de lui expédier le film mais plus tard en fourrant l’ordi et le téléphone dans le sac pour reprendre la bouteille d’eau et la vider d’un seul trait. Puis je rester la, jambe écarter, bras sur les genoux, bien heureuse en admirant le petit lac si calme ou quelques grosses grenouilles folâtraient au soleil sur des feuilles géantes. Le soleil qui continuait de s’élever et qui me frappait maintenant de plein fouet pour me chauffer délicieusement la peau me donnant juste le goût d’en profiter moi aussi. Je me plier en deux pour me débarrasser des sandales et étirer mes longues jambes en faisant craquer mes doigts de pied. Je me sentais si bien en m’adossant un peu durement cette fois au tronc qui se renfonça en s’émiettant. Surprise, je me retourner pour m’apercevoir qu’il était complètement pourri et couvert de petit trou sur le côté que je n’avais pas vu et d’ou sortait des dizaines, voir des centaines de grosses fourmis rouge et noir qui courait sur la souche et me sautait déjà sur le corps pour m’attaquer furieusement. J’avais dû détruire une bonne partie de leur citée et celle-ci devait s’étendre également sous terre car ils en sortaient aussi par de nombreux trous dans le sol tout autour de moi, ça grouillait même sous la serviette. Le soleil plombant sur la souche venait sans doute de réveiller tout ce petit monde. J’hurlai en me relevant précipitamment me donnant des tapes comme une folle en sautant sur place, imaginant déjà Luce en pleur découvrir mon grand squelette parfaitement nettoyer étendu sur le sol, bouche ouverte. Elle ne piquait pas mais m’arrachait carrément des bouts de peau avec leurs grosses mandibules et ça me brûlait atrocement tout partout. Le dos surtout mais aussi les fesses, le ventre et les seins, elles me grimpaient même sur les jambes. Je devins littéralement folle a l’idée quelle puissent me rentrer dans le vagin ou dans le cul. Elles attaquaient si vite et étaient si nombreuses que je ne cessais d’en écrabouiller contre ma peau en hurlant. Ça grouillait à mes pieds comme si le sol avait pris vie, c’était carrément dégoûtant mais surtout effrayant.

Complètement paniquer je m’éloigner en reculant, mais j’en avais tellement sur moi qu’elle me grimpait même au visage et essayait de me rentrer dans la bouche et le nez. Le corps parcourus de frissons glacé, je secouais la tête en me tapant le visage et je ne vis qu’une solution pour me débarrasser de tous ces petits monstres qui me mordait farouchement avant quelles ne me rentre dans le corps par tous les trous. Je m’élancer de toutes mes forces et plonger dans le bassin tête première, bras en avant au travers des nénuphars, tandis que des grenouilles affolées par l’onde-choc que je provoquais sautait tout partout en se plaignant. Une fois sous l’eau fraîche, qui calma aussitôt mes petites douleurs, j’ouvris les yeux en raclant le fond du lac comme un missile. Mes seins et mes mains qui traînaient dans la vase noire soulevaient des tas de sédiments qui me bouchaient la vue. Je me retourner vers la surface en clignant des yeux et je vis des dizaines de fourmis se détacher de moi en agitant leurs petites pattes, elles remontaient tout doucement pour s’accrocher à des feuilles ou flotter en nageant, sans doute tout aussi affolé que moi. Les grenouilles allaient se régaler me dis-je en agitant mes jambes pour me propulser un peut plus loin, toujours sous l’eau et si peut profonde que la, c’était mes fesses qui traînaient sur le fond vaseux. Je me retourner et pus me remettre debout près du bord en repoussant mes cheveux sur mon dos tout en crachant de l’eau pour ensuite prendre une grande bouffée d’air. Mes deux pieds étaient enfoncés dans de la boue dégueulasse jusqu’aux mollets à quelques pas de l’endroit où étaient mes affaires. Je grimacer en me débarrassant de quelques courageuses fourmis rester accrocher à ma peau par les pinces. J’avais des dizaines de minuscules morsures qui rougissaient et me brûlaient à nouveau. Je sortis du lac difficilement mes pieds étant aspirés par la vase pour m’apercevoir que mon sac, la serviette et mes sandales étaient recouverts de fourmis, une armée de fourmis. Merde !

Je rester la, le corps dégoulinant d’eau a frissonné, les pieds noirs de boue liquide et complètement décourager en me demandant ce que j’allais faire.

C’est en m’examinent le corps a nouveau que j’aperçus cette grosse sangsue noire accrocher a mon mollet gauche se repaissant déjà de mon sang vermeil. Une violente décharge d’adrénaline me transit tandis que je prenais un bout de bois qui traînait par terre pour essayer de la retirer, mais elle s’accrochait. Je dus me tordre, plier en deux pour pouvoir l’agripper a deux doigts, pouce et index, en grimaçant de dégoût sentant son corps visqueux et glissant se tordre sous mes doigts pour réussir a la faire décrocher. Je la jeter au loin dans le lac en voyant mon mollet saigner légèrement. Le coeur battant a cent a l’heure j’examinai le dos de mes cuisses pour être certaine qu’il n’y en avait pas d’autre puis me tâter les fesses, rien et soudain je songer a mon dos. J’allai me le frotter comme une dingue contre le tronc rugueux d’un gros sapin couvert de résine collante en m’égratignant au passage. Tant pis, s’il y avait des sangsues je voulais qu’elle décroche, mais apparemment il n’y en avait pas, ni sur ma nuque que je vérifier.

Décourager, les mains sur les genoux pour reprendre mon souffle et me calmer, seins étirer et pendant, je me demandais comment récupérer mon sac en sentant mon coeur ralentir peut a peut quand j’aperçus une autre sangsue, mais plus petites celle la, près de mon mamelon gauche. Mes cheveux mouiller faillirent se dresser sur ma tête. Je me redresser, soulever mon sein et la pincer avec mes ongles pour la décrocher et elle rejoignit l’autre dans le lac.

— Burk ! Fis-je en regardant une traîner de sang que j’essuyai de la main pour ensuite vérifier mon autre sein, rien. Mais les morsures des sangsues ne cessaient de saigner légèrement, je savais que ces bêtes-là sécrétaient un anticoagulant, j’avais besoin de diachylons. Le corps toujours parcouru de frissons je compris que je devrais revenir pour récupérer mes affaires le temps que les fourmis ce calme et ne regagnent leur maudite souche en espérant que personne ne vienne ici. Je me rendis à la route décourager en priant pour que le pickup ne revienne pas de si tôt et les pieds noirs de crasse et piquer par le gravier, je repartis vers la roulotte en me retenant pour ne pas me gratter jusqu’au sang. Je me tortillais en grimaçant comme si je marchais sur du charbon ardent.

Érection matinale

Luce était morte de rire, assise sur une chaise de cuisine à m’appliquer de son baume amérindien sur les morsures de fourmis et mes égratignures du bout d’un doigt. Cela m’agaçait, me chatouillait et surtout, me faisait du bien. En arrivant, je m’étais aussitôt jeté dans la rivière pour calmer ma sensation de brûlure et pour me laver avant de la réveiller. Debout, dos a elle, les bras le long du corps, je soupirais longuement insensible a ses petits sarcasmes. Elle avait désinfecté les blessures des sangsues avant d’y appliquer de petits diachylons et là, le baume calmait déjà le reste de mes bobos et en prime, j’avais droit à une magnifique érection matinale. Enfin... j’y étais sûrement aussi pour quelque chose, en tout cas, elle avait apprécié de voir mon pubis raser. Je l’avais bien vue dans ses yeux.

— T’es pas croyable Julie.
— Je sais, lâchai-je dans un souffle ne pensant déjà qu’à repartir vers l’étang mais habiller cette fois pour récupérer mes affaires.
— Des fourmis, des sangsues, un écureuil, t’as le dos toute égratigner, un tibia blessé. Tu vas être belle en robe ce soir.
— J’aime mieux ne pas y penser.
— Tu aurais pu juste te faire bronzé ici, pourquoi a la mare aux sangsues ?

Entendre ça me fit frissonner à nouveau.

— Seigneur, c’est comme ça que tu l’appelles ?
— Pas moi, le docteur Tremblay.
— Hein !
— C’est là qu’il récolte ses sangsues pour soigner différentes choses et ça marche. Il y va parfois avec sa femme. À chaque fois ils me rendent une petite visite mais ils appellent toujours avant. Des gens charmants et cultiver.

J’imaginais déjà un vieux docteur cultiver et vicieux sans sa femme fouiller mon ordi pour visionner des films compromettants en se masturbant, sans parler de mon téléphone.

— T’as fini ? Dis-je impatiente.
— Encore une et... ça y est et l’anus ça vas ? Tu veux du baume dessus aussi ?

Je faillis accepter juste pour le plaisir de me le faire tripoter mais je stressais trop pour mes affaires.

— Non ça vas ! Fis-je en filant dans la chambre pour m’habiller; slip, soutien-gorge, short et camisole.

Je me sentis étrangement lourde avec des vêtements sur le dos.

— Tu te sauves à Montréal ! Me dit-elle amuser en me voyant revenir à la cuisine en me brossant les cheveux rapidement. Elle se servait un café toujours bander en me regardant avec un petit sourire moqueur.
— Non, mes affaires sont restées là-bas, je fais vite. Ah oui, t’as un grand sac de vidanges ?
— WAIS !
— Je m’occupe de ça en revenant, dis-je en pointant du doigt sa bite qui sursautait et me mettait l’eau à la bouche. Elle se la regarda en disant :
— Si tu veux miss catastrophe, mais ça me stresses un peut.

Je lui fis une jolie grimace avant de sortir prestement sac en main.

Une fois là-bas, il y avait encore des fourmis partout, j’en frémis. Avec un bâton je ramasser mes affaires pour les fourrer dans le sac vert et le fermer en faisant un noeud solide. Une fois à la roulotte je sortis tout ça sur la table de jardin. Des tas de fourmis se mirent à courir tout partout. Je récupérer l’ordi et mon téléphone y chassant quelques fourmis qui s’y accrochaient et laisser le reste la et en entrant, je figer.

Une bonne pipe

Luce avait ouvert un grand ordinateur portable sur la table de cuisine et regardait les photos de moi qu’elle avait prises hier soir dans la rivière tout en se masturbant lentement de la main gauche. Je souris en plissant les yeux et me vit à l’écran à demi nu prenant une pose provocante et cela me gêna. La photo était d’une netteté incroyable; je ne portais plus la blouse et me soulevaient les seins en fixant la caméra; les cheveux mouilles, la peau d’une blancheur spectrale dans la pénombre du soir, couverte de chair de poule, surtout mes seins et sans sourire idiot sur le visage, je me trouver belle. Je ne m’étais jamais vu arborant un air aussi sérieux et j’aimais ça. Il m’en fallait des copies à tout prix. Luce tourna la tête vers moi, les yeux mis clos elle aussi, visiblement très exciter en disant :

— Merci Julie d’avoir posé pour moi. Je crois sincèrement que t’es la plus belle femme du monde.

Ce faire dire cela a 50 ans fait son petit effet chez une femme c’est certain, mais aussi de la voir se masturber. Je mouillais encore, pas croyable. Je lui souris en posant mes affaires sur la table pour l’embrasser longuement avant de me mettre à genoux entre ses jambes en disant :

— Regarde et laisse-moi faire.

J’enlevai sa main délicate de sur son sexe gonfler et palpitant qui touchait presque ses seins pour la poser sur ma tête, prit ça bite, langue sortit et lui lécher longuement en l’entendant pianoter sur le clavier tandis que je pressais ses couilles de l’autre main. Je ne pus m’empêcher de penser quelle me l’avait mise dans le cul la vielle mais son membre sentait bon le savon. Je lécher la hampe veinée tout du long, agacer son gland du bout de la langue avant de l’ambrasser, de le mordiller puits de l’avaler profondément en raidissant la nuque la sentant se raidir sur sa chaise. Je me mis a saliver aussitôt en la suçant avec force, narine dilater en aspirant et agitant ma langue autour de son gland, sentant ma poitrine emprisonner dans mon soutien-gorge écraser sur sa cuisse et mon slip déjà détremper. Mais comme j’avais joui plusieurs fois ce matin, je ne pensais qu’à lui procurer du plaisir. L’avoir surprise à se masturber en me regardant poser nue m’avait excité terriblement et là, elle me regardait toujours à l’écran pendant que je lui taillais une pipe digne d’une file des rues. J’y mettais tout mon coeur et toute mon âme à lui faire cette pipe baveuse et j’aimais ça, surtout en sentant ma tête effleurer sa poitrine qu’elle se caressait d’une main.

En plus de me masturber de manière compulsive depuis quelques jours, voilà que je suçais de manière compulsive et que j’avalais sans rechigner, moi qui avais toujours détesté ça. Finalement je bénissais mon divorce, c’était la meilleure chose qui pouvait m’arriver à 50 ans. À l’âge où on se trouve vieille et laide. Grâce à Luce j’étais de nouveau en harmonie avec mon corps et mon âme et même ma conscience. WAIS, j’aimais la femme nouvelle qui adorait se filmer en se branlant pour le montrer à sa meilleure amie et aimait la regarder elle le faire en rêvant de la baiser. Et Luce. La belle Luce avec son corps de femme et ça bite, les deux me rendaient complètement dingue. Je sentais mon sexe pulser contre ma petite culotte resserrer ainsi agenouiller et je devais faire de gros efforts pour ne pas me déshabiller et m’asseoir sur elle.

Perdu dans mes pensées je ne m’étais pas rendu compte a quel point je la suçais vite et fort en salivant comme une affamée. C’est sa main agrippant solidement mes cheveux épais qui me ramena à la réalité et ses gémissements de filles. Les bruits de succion que j’émettais me firent rougir encore plus et soudain, sans avertissement, du sperme jaillit avec force jusque dans ma gorge en m’emplissant la bouche. J’avalai aussitôt le foutre clair et salé, encore et encore sans aucun dégoût, bien au contraire. Quand elle eu terminer d’éjaculer, je laisser son membre rougit sortir de ma bouche pour me l’essuyer du dos de la main en m’assoyant sur mes pieds, le souffle cour tout comme Luce. Elle avait le visage aussi rouge que moi en pressant son sexe tout en disant;

— Wow ! C’est les fourmis qui te font de l’effet comme ça.
— Ouais, dis-je amuser, la grosse rouge juste la, entre tes cuisses.

Je bailler aux corneilles en me relevant pour aller me rincer la bouche et me brosser les dents puis je lui ramener une serviette humide, l’ambrasser et je ramasser mon téléphone et mon ordi pour aller m’étendre dans le lit et dormir un bon coup. Et quand, vers midi je m’éveillai, j’étais toute en sueur a nouveau. Je me débarrassai de mes vêtements lourds, humides et collants avant de sortir de la chambre pour figer encore une fois.

La caverne d’Ali Baba

La table de cuisine avait été déplacée, le tapis en dessous enlever et une grande trappe étaient ouverte. J’y vis de la lumière et un escalier que je descendis pour découvrir la caverne d’Alie Baba. C’était un vaste espace d’entreposage qui devait faire la moitié de la roulotte avec des murs en contreplaqué. Je vis avec bonheur deux airs climatiser dans un coin recouvert de plastique; une immense télé a écran plat, une mini chaîne stéréo haut de gamme, une coupole pour la télé par satellite, des lampes, une chaîne stéréo et même des laminages des oeuvres de Luce et elle était la, une grosse boîte dans les bras remplie de films en DVD.

— Tu tombes bien la marmotte, j’ai besoin d’un coup de main.
— Merde ! T’avais des airs climatiser ici et pendant ce temps on suait comme dans un sauna là-haut.
— J’aime la chaleur.
— Tu caches ça ici pour l’hiver. C’est ça ?
— T’as tout compris, inutile de tenter les voleurs miss cervelle couverte de petit point rouge.

Je me regarder, décourager on aurait juré que j’avais attrapé la rougeole. Puis je souris en me léchant les lèvres car elle était toujours nue, le carton lui écrasant la poitrine et son sexe moue remuait joliment tout comme ses couilles qui pendaient très bas.

— Tu devrais enfiler au moins des shorts, lui dis-je amuser en me tassant, la laissant passé pour admirer son cul qui sursautait tandis quelle grimpait les escaliers. Je risque d’échapper quelque chose belles fesses.
— Je mettrai ça sur ta note, cria-t-elle de là-haut.

On en sua un bon coup pour monter ces choses et tout installé, dès quelle démarra l’air climatiser au salon je me planter devant en soulevant mes cheveux sur ma tête pour y faire un noeud. Je rester planter la, mains croiser sur la nuque a regarder la pointe de mes seins gonfler et se couvrir de chair de poule à cause de l’air froid. Quand s’en fut presque douloureux, je me retourner en cambrant le dos pour offrir ce spectacle a Luce mais déçut je m’aperçues qu’elle regardait la télé bien assise sur le sofa en prenant une bière. Elle y avait branché son ordinateur et les photos de moi se succédaient sur l’écran géant.

— L’original en 3d est beaucoup mieux Luce.

Elle me regarda des pieds à la tête en souriant avec un début d’érection.

— Je suis d’accord, mais on jurerait je tu reviens de la guerre. Prends-toi une bière et vient t’asseoir la bombe aux mille blessures.

Je le fis et le liquide ambré me coulant dans la gorge me procura de délicieuses sensations, ça et l’air qui devenait déjà plus froid dans la roulotte méconnaissable depuis qu’elle était meublée. Je me coller contre elle un bras sur ses épaules en regardant son sexe de nouveau bander dure puis les photos de moi qui défilaient. Je poser ma bière sur la table de salon pour la masturber doucement en disant :

— En tout cas, tu n’as pas de problème d’érection ma belle.
— Pas avec Julie Demers, c’est certain. Et le derrière ça va, pas de douleur ?
— Oh non même que...

Sans rien rajouter, je lui pris sa bière pour la déposer sur la table, puis grimper à genoux par dessus elle et, tandis qu’elle me caressait la poitrine visiblement très exciter, je me cracher dans la main pour enduire son gland de salive. Puis j’agrippai fermement ça bite entre mes cuisses pour la faire glisser dans ma craque de fesses jusqu’a mon anus et m’assit dessus lentement...

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Texte coquin : Au bout du monde - 9
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