Au bureau

- Par l'auteur HDS Mr Oizo -
Récit érotique écrit par Mr Oizo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au bureau Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bureau
Je suis dans mon bureau. Tu rentres brutalement chercher un dossier et tu me surprends. Paniqué, je ferme rapidement l'application sur laquelle je suis et fais mine de travailler, espérant que tu n'aies rien vu. Me retournant, je te demande alors :

- Marie, s'il vous plaît, la prochaine fois, vous seriez gentille de frapper. Vous me faites peur quand vous rentrez comme ça brutalement.

- Oh désolé !

J'ai vu ton sourire. Tu m'as capté. Inutile de le nier. Fais bien semblant d'être naturelle, à chercher ton dossier sur l'étagère ! Je sais que tu ris de moi. Tu m'as pris à défaut. Mais je ne veux pas perdre la face.

- Vous m'avez surpris en pleine pause... Vous voulez voir ce que je faisais ?

- Mm... oui.

Ce oui est dit sur le ton qui convenait parfaitement à la situation. Ni trop arrogant, ni trop curieux. Simple, quoi !

- Venez voir, j'ai trouvé un site avec pleins de petits jeux. Je m'éclate avec ça.

- Waou ! C'est quoi ?

Tu t'approches et te penches vers moi.

- Miniclip.com. Regardez !

Je commence un des jeux.

- Vous voyez ? Je passe mes pauses à essayer délivrer le shériff avec mon petit cochon...

- Oh c'est rigolo !

Tu poses tes paumes de mains sur le rebord de mon bureau et t'avances un peu plus pour me regarder jouer. Tu me mets mal à l'aise. Je voulais te montrer que je ne traînais pas sur des sites de cul, mais maintenant, suis-je plus avancé ? Je passe pour un gamin à jouer avec mon petit cochon. En plus, je n'ai pas l'habitude que quelqu'un me regarde jouer. Surtout d'aussi près. Ton chemisier me laisse entrevoir une partie de ta poitrine et un bout de ton soutien gorge. Cela finit d'augmenter mon malaise. J'interromps la partie brutalement.

- Bon ! Cela reste entre nous... Ok ? Ce n'est pas non plus une raison pour que je vous vois faire la même chose...

- Oh, sans doute que j'essaierai, pourquoi pas ? Quand vous me laisserez un moment de libre...

- Oui !

Ce oui était un petit peu idiot. J'ai ri en le prononçant pour évacuer mon malaise. Tu te relèves, tu te rajustes. Tu ne sembles pas gênée de constater que j'ai pu voir une partie de ta poitrine. Après avoir classé la feuille que tu tenais en arrivant, tu reposes en haut de l'étagère le dossier que tu avais pris, ce qui me laisse tout le loisir de contempler tes jambes. Tes belles chaussures d'été à haut talon feignent de se casser lorsque tu te mets sur la pointe des pieds. Leur couleur noire fait ressortir l'éclat de ta peau. Tes mollets arrondis au dessus de tes fines chevilles sont des petites pommes que j'aimerais croquer. Tu es très élégante dans ta minijupe noire et ton chemisier blanc, serré à la taille... Mais qu'est ce qu'il me prend à te regarder comme ça ? Je suis fou ? Et quelle discrétion !

- Je vais vous apporter un petit café, vous êtes d'accord ?

Tu me sors de ma rêverie. Je n'avais pas vu que tu t'étais retournée. Tu parais avoir rougie. Cela s'est donc tant vu que je te mâtais ?

- Heu... oui. Avec plaisir.

- Ok ! Et si j'ai bien compris, je frappe avant d'entrer la prochaine fois.

Tu sors en lançant un petit coup d'oeil complice dans ma direction, mais ne me laisses pas le temps de répliquer. Tant mieux ! Je ne savais pas quoi répondre. Je dois éviter les banalités pour ne pas paraître plus stupide. Que pourrais-je te dire quand tu rentreras ? Et si je t'expliquais que je sursaute à chaque fois que tu entres sans prévenir, même quand je suis concentré à fond sur mon travail. Non ! Laissons tomber ça ! Tu m'as grillé, tu m'as grillé, c'est tout ! Et puis quoi ! C'est moi le chef après tout ! Je ne dois pas me laisser déstabiliser. Je n'ai qu'à oublier ce qui s'est passé.

- Toc, toc. C'est moi. J'ai apporté deux cafés.

- Merci.

Tu me tends une tasse et t'assois sur le rebord du bureau, m'obligeant à reculer pour ne pas avoir tes jambes en pleine figure. Je bois une gorgée, quitte à me brûler la langue, pour éviter d'engager la conversation.

- Vous savez, vous me plaisez bien.

Je faillis recracher mon café.

- Ah ? Qu'est ce que vous entendez par « vous me plaisez bien » ?

- Je veux dire que je suis vraiment contente de travailler pour vous. Le chef avant vous, était beaucoup plus anthipatique. Il était sévère, froid, autoritaire, triste à mourir... Vous êtes tout son contraire.

- Oh ! Je suis touché, mais cela m'inquiète un peu. Un bon chef doit rester suffisamment distant avec ses employés et doit se montrer autoritaire pour être obéi et respecté.

- Oui, mais il y a différentes façons d'être autoritaire et de se faire respecter. Sa façon à lui était... immorale. Il était le chef et à partir de là, il considérait les autres comme ses esclaves. Il était vraiment méchant parfois. Je suis si contente que vous l'ayez remplacé.

- Merci, c'est gentil. Mais ne comptez sur moi pour casser du sucre sur son dos. C'est grâce à lui que je suis ici.

- Bien sûr...

Tu bois une gorgée. Je t'imite.

- En fait, c'est exactement ce que je voulais vous dire. Vous... vous êtes si...

- Si quoi ?

- Je sais pas, enfin, vous paraîssez si... gentil. Je vous trouve très honnète, très sincère. Vous ne faîtes pas de mystères, tout est transparent avec vous.

- Merci, ça me ferait plaisir si tout le monde pensait comme vous...

Je sens monter comme un léger malaise entre nous. Nous finissons notre café silencieusement. J'ai l'impression que tu essaies de me montrer que je te plais autrement que pour mes qualités de directeur. Je le sens à ta façon de frotter tes cuisses entre elles, de tourner ta cuillère, de baisser les yeux... Peut-être t'es tu dit que tu avais ta chance lorsque tu as vu que je te mâtais comme un porc... Non ! Je me fais des idées ! Qu'est ce que je ne vais pas m'inventer pour flatter mon ego ? J'ai toujours aimé m'imaginer que je plaîsais aux jolies femmes, mais cela bien sûr reste du domaine du phantasme. Tant mieux peut-être finalement, il vaut mieux comme cela.

Tu poses ta tasse sur le bureau. Tu te diriges vers la porte, silencieuse et serrant tes cuisses, ce qui rend ta démarche très sensuelle. Je ne peux m'empêcher de regarder ton petit cul se balancer dans ta minijupe. Je ne peux pas non plus détacher mes yeux de tes jambes nues qui se croisent de façon si féline. Tu t'immobilises devant la porte, la main sur la poignée, puis en un soupir, tu tournes la clé, t'adosses violemment contre la porte close, et le regard implorant, tu me dis :

- S'il vous plaît !

Court silence.

- Venez m'embrasser !

Je ne réponds pas. Mes lèvres restent scotchées l'une à l'autre. Mes yeux en revanche sont grands ouverts et devant mon air incrédule, tu rajoutes :

- Pardonnez mon audace. Vous m'excitez tellement ! Votre physique, votre humour,... votre personnalité, tout me plaît en vous... Je vous en prie, venez m'embrasser.

Tu appuies ensuite ta main sur ton sexe et le souffle court, tu renchéris :

- J'ai mouillée... toute ma culotte. Viens me... Venez...

Je n'en peux plus ! Quelle indécence ! Je tourne la tête, une main sur la bouche, l'autre sur le front pour m'en servir d'oeillère. C'est la première fois qu'un de mes phantasmes se réalise ! Quel courage tu as pour faire ça ! Je n'ai pourtant rien fait pour t'exciter !

- Je pense à vous constamment. Je vous désire tant...

Que dois-je faire ? Tu es ma secrétaire ! C'est mal ! Et puis je suis marié ! Mais putain, qu'est ce que tu m'excites ! Tu sais bien t'y prendre pour m'aguicher ! Oh oui, j'aimerais toucher ta culotte et voir comme tu mouilles... Ma femme ! Non ! Je ne peux pas faire ça à ma femme ! Je dois réagir ! Ok ! Je me lève, m'approche de toi prestement, sûr de moi. Je lis dans ton regard la crainte d'être mise à la porte l'emporter sur l'espoir d'être embrassée. Je saisis ta main libre, t'attire vers moi juste ce qu'il faut pour te décoller de la porte. Qu'est ce que je fais ? Je dois te faire sortir ! Et après ? Et puis merde ! Ta main est si douce ! Ton regard ! De mon autre main, je saisis ta hanche, et d'un coup sec, te colle contre moi. Je t'embrasse à pleine bouche, tu t'accroches à moi, soupires, m'enlaces de tes deux bras et d'une jambe. Il est encore temps de faire marche arrière ! Un baiser, ce n'est pas tromper ! Je recule. Mais tu pèses de tout ton poids contre moi, tu te laisses complètement aller. Si je te lâche, tu tombes.

- Marie, comprenez moi. J'ai une femme. Je ne peux pas...

Tu n'as pas besoin de parler. Ton soupir, ton regard suffisent pour me faire comprendre qu'il est trop tard. Je ne peux plus résister ! Je n'arrive plus à réfléchir !

- Juste une fois ! Prenez moi juste une fois ! Je suis tellement excitée ! Je ne pourrais plus travailler maintenant !

C'est un piège ! Un piège que je peux éviter ! Je pourrais te donner ton après-midi... Mais après tout, je n'ai jamais eu d'expériences avec une femme de trente ans. Pourquoi ne pas essayer ? Et c'est toi qui me cherche, non ? Non, c'est idiot. J'attends cinq ans, et ce sera pareil avec ma femme ! Oui, seulement j'aurai toujours le même âge qu'elle ! Oh, quelle merde ! Peut-être que je ne devrais pas tant réfléchir ! Je te saisis à la taille, te soulève et t'assois sur la petite table à coté de la porte. Tout ton visage rayonne de joie. Tu sais que tu as gagné. Moi je ne sais plus où j'en suis ! Je pense que le sentiment qui domine mon esprit pour l'instant est... de la colère. Oui, je suis en colère contre moi, et contre toi. Mais je suis aussi tellement excité ! Brutalement, me surprenant moi-même, j'arrache ton chemisier, faisant sauter tous les boutons et dévoilant ainsi le soutien gorge noire que j'avais aperçu auparavant. Je n'ai pas le temps de me dire que j'ai peut-être fait une connerie que tu soupires :

- Oh oui ! J'ai tellement rêvé de ça !

Tu approches ton bassin du bord, écartes les jambes et tentes de frotter ton sexe sur le mien. Tu me dis :

- Oh s'il te plaît, maintenant, prends moi !

Ok ! Je suis décidé ! Je vais te baiser ! Mais ça restera une expérience unique ! Plus jamais, je ne tromperai ma femme ! Et toi et moi, il faudra qu'on oublie cet intermède ! Cela ne devra pas changer nos habitudes ! Putain que tu es belle ! Je ne peux pas te prendre tout de suite. Laisse moi d'abord profiter de ta poitrine ! Délicatement, pour contraster avec la brutalité de mon geste tout à l'heure et montrer que je ne suis pas un sauvage, je passe ma main derrière ton dos et dégraffe avec précaution ton soutien gorge. Celui-ci glisse lentement sur ta peau. Je l'enlève et ramène mes deux mains sur ton ventre dans l'intention de les remonter lentement sur tes deux superbes seins. Tu saisis une de mes mains pour accélérer le mouvement et appuies avec elle sur ton sein. Tu m'obliges à te peloter plus fort et tu sembles aimer ça. Tu soupires encore une fois de plaisir. Je bande comme un taureau. J'approche ma bouche de ton autre sein. Je fais le tour de ton téton par mes baisers tendres et légers, avant de sortir ma langue et commencer de titiller cette chaire déjà tendue. J'appuie en même temps la bosse de mon pantalon sur ta culotte et mime des mouvements de va-et-vient. Je suis tout à mon plaisir quand tu m'attrapes les fesses et me dis :

- Oh oui, comme ça, viens me prendre !

Tu as raison. Il ne faut pas que ça traîne. Cette fois, je vais te prendre. Je descends mes mains jusque sur tes cuisses, puis les remontent pour saisir ta culotte et la faire rouler lentement le long de tes jambes. J'en profite au passage pour vérifier à quel point tu l'as mouillée. Tu ne m'avais pas mentie. Nos regards se croisent, complices, à ce moment là et tu sembles utile de justifier :

- J'ai joui au moment où vous m'avez embrassée...

Le fait que tu passes du vouvoiement au tutoiement au vouvoiement ne me choque pas. Ca me rappelle que tu es ma secrétaire et je trouve ça encore plus excitant. J'ai dit que je ne pensais plus à ma femme pendant ces cinq minutes. Je me concentre sur toi. Tes jambes sont très douces et je vois ton petit sexe excité d'impatience sous ta jupe. Ses lèvres gonflées, ses poils bien taillés, me donnent envie de le lécher. Mais je dois me retenir. Il faut faire vite. Je déboutonne mon pantalon, le descend avec mon caleçon et jette le tout au loin d'un mouvement de pied. Mon pénis se tient droit, prêt à tout déchirer. Tu sors ta langue et bascule en arrière pour t'appuyer sur les coudes et te mettre en position plus confortable. Tu lèves aussi tes jambes et les écartent plus encore pour permettre à mon sexe d'entrer dans le tien. Je saisis tes deux cuisses, les poussent en avant pour que tu sentes mieux ma pénétration. Oh ! Quel délice ! Tous deux échappons un soupir d'extase ! Je suis tellement bien dans ton sexe ! J'assure une cadence régulière et relativement rapide. Je donne en même temps des petits coups de bassin sur tes fesses, comme pour les fesser. J'aime rebondir dessus. Je te regarde, tu as la tête penchée en arrière et tu fermes les yeux. Je vois tes pauvres petits seins qui balottent sans que personne ne les maintiennent. Je libère alors mes mains en posant tes mollets sur mes épaules. Cela resserre tes lèvres et les sensations de plaisir n'en sont que relevées. Je prends à pleines mains tes deux gros seins et les pelote sans vergogne tandis que je n'en finis pas de te faire du rentre dedans. Tu lâches un petit cri qui me ramène à mes esprits. Je pose alors un doigt sur ta bouche et te dis :

- Chut ! Il ne faut pas qu'on nous entende !

- Oh, ouh, mais c'est bon !

C'est mal ce que tu viens de faire, je t'ai dit de ne pas crier ! Et ne tente pas de me sucer le doigt ! J'applique ma paume de main complète sur ta bouche pour t'empêcher de l'ouvrir à nouveau. Pendant ce temps, je rentre, je sors, je rentre, je te baise, que c'est bon ! Ma main gauche presse ton sein droit. Je me rends compte que ton téton est particulièrement sensible aux caresses de mon pouce. Je n'oublie pas alors de l'effleurer régulièrement. Ma main droite retient tous tes soupirs. J'ai l'impression de te torturer à t'empêcher ainsi d'émettre le moindre son. Je décide alors de changer de position. Je me retire. Je suis surpris de ne pas t'entendre me reprocher de m'arrêter. Tu es bien sage, tu te laisses faire, car tu sais que ce n'est pas fini. Je te fais descendre de la table et te retourne pour te prendre en levrette. Je te pénètre bien fort. Tu te mords les lèvres pour ne pas crier, ce qui me fait beaucoup plaisir car à partir de maintenant, je sais que je peux me servir de mes deux mains. J'en profite en premier lieu pour relever correctement ta minijupe et dévoiler ainsi entièrement tes superbes fesses à mes yeux. Je les masse à mesure que je te pénètre. Elles sont si belles, si parfaitement rebondies, si douces. J'avoue que depuis longtemps, j'ai envie de faire ça. Aujourd'hui, je le fais. Quel bonheur ! Je m'en donne à coeur joie. J'en profite car c'est sans doute la seule fois que je peux me laisser aller à tant d'obscénités. Oh ! Mais je dois faire gaffe ! Je pourrais jouir très vite si je ne me reprends pas. Je ralentis l'allure. Je me penche plus en avant contre toi afin de pouvoir placer une main sous ton sein et une autre dans ton entrejambe. Je cherche du doigt ton petit clitoris et le moyen de le chatouiller sans lui faire mal. Oh ! Je n'ai jamais senti un clitoris aussi gros. Combien me faut-il de doigts pour en faire le tour ? Tu me fais :

- Oh oui, vas-y ! Branle moi, branle moi ! Encore ! Pelote moi aussi ! Le sein, oui ! Mmm, c'est bon !

Oh oui, c'est bon ! Je concentre toute mon attention sur ton clitoris afin d'éviter de penser à moi et à mon plaisir. Je serais capable de jouir si je ne me concentrais pas. J'ai trouvé une bonne position pour te branler, je ressens presque ton plaisir, comme si c'est moi que je branlais. Tu commences à trembler sous mes caresses, et mes coups de bassins finissent de t'affaiblir. Je t'endends prononcer le « ooooh oui !! » qui est de trop et très brutalement, je me retire en te disant :

- Marie, je vais jouir, je n'en peux plus ! Je... Trouve moi un mouchoir !

Tu te retournes vers moi, un grand sourire aux lèvres, et très dignement, très lentement, tu t'agenouilles devant moi. Je ne peux pas croire que tu veuilles faire ça, je t'ai simplement demandé un mouchoir ! Tu commences à me sucer tout doucement, délicatement. Ton regard m'explique que c'est ta façon de me remercier. Et moi ! Je ne pourrais plus te remercier après ça... ahh ! Hmm ! Je jouis ! Une main pelotant mes couilles, une autre caressant mes fesses, tu avales toute ma jouissance, en toute noblesse. Quel pied ! Putain !

Tu te relèves, me regardes sans rien dire. Un léger sourire se dessine sur ton visage. J'ai envie de te remercier. Je n'ai plus de forces dans les jambes. Je suis bien, j'aimerais tellement que cet instant dure. En silence, tu redescends ta jupe, puis remets ton soutien gorge. Je me rhabilles aussi, car le malaise commence déjà à prendre le pas sur l'effet ahurissant du sexe. Tu attrapes ta culotte et la plies dans ta main. Il faut qu'on se parle ! Ne pas laisser au remord le temps d'apparaître !

- Je... Merci ! C'était très bien. J'ai ressenti beaucoup de plaisir.

- Moi aussi, j'ai beaucoup aimé faire l'amour avec vous...

- Hmm...

J'aperçois ton chemisier, te le tends et trouve ainsi le moyen d'enchaîner :

- Je... je suis désolé pour votre chemisier...

- Ce n'est rien !

Tu l'endosses et croise les bras pour le maintenir fermé. Puis, un grand sourire traverse ton visage et tu dis :

- Je m'en rachèterai un avec ma prime de cuissage...

Cette réplique me fait rire. Je ne sais pas si tu l'as dite sérieusement, mais pour moi, c'est de l'humour bien placé. Cela me donne la force de continuer la discussion.

- Marie... C'était vraiment très bien, mais... que l'on soit bien d'accord : c'est la seule et unique fois que cela se produit ! Je ne veux pas de nouvelles fois !

Tu baisses les yeux.

- Je ne veux pas que cela perturbe nos relations de travail. Et je ne veux surtout pas recommencer à cause de ma femme.

- Hmm, je comprends.

- Merci ! Je crois que c'est inutile d'avoir des remords ou de tenter d'oublier ce qui s'est passé. On ne pourra pas se le cacher ! On l'a voulu et on s'est fait plaisir. Mais maintenant... c'est terminé, on doit réussir à surpasser ça.!

- Mmm mmm.

Ma dernière phrase n'était pas très claire, mais tu sembles m'avoir compris. Quand je pense que j'ai baisé ma secrétaire ! Je ne pensais pas tomber un jour dans pareil cliché !

- Bon ! Il me paraît maintenant normal que vous preniez votre après-midi, ne serait-ce que pour vous changer !

- Oui, merci monsieur le directeur. Encore une fois, j'ai vraiment apprécié ce moment, et je vous remercie mille fois !

- C'est gentil ! Je vous remercie aussi.

Je pense ajouter que je n'aurais pas éprouvé autant de plaisir, même si j'avais réussi à délivrer le shériff avec mon petit cochon, mais je me ravise, trouvant cela mal placé et dévalorisant. Je me contente d'un simple au-revoir et me retrouve après cela seul dans mon bureau.

C'est ce soir que cela va être difficile. Il faut que je réussisse à rester naturel. Etre comme je suis tous les jours. Ne pas tomber dans le piège d'acheter des fleurs ! Simplement lui faire l'amour ! Lui faire très bien l'amour, comme elle le mérite ! Car c'est elle que j'aime, c'est elle que je veux remercier tous les jours.

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