AU CENTRE D'ACHAT
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 20 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Polichinel ont reçu un total de 22 034 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 241 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
AU CENTRE D'ACHAT
<p>La journée au bureau fini tu te diriges vers le centre d’achat. Tu n’as pas vraiment rien à acheter mais si tu pars tout de suite tu sais que tu seras bloquée dans les interminables bouchons de la métropole. Alors tu flânes entre les boutiques qui sont pleine à craquer. Tu te promènes ici et là sans but particulier juste pour tuer le temps.
En sortant du magasin de musique tu remarques un jeune homme qui, assit à un air de repos, t’observe en silence. Vos regards se croisent, un peu gênée tu lui souris. Il te retourne un sourire rapide avant que tu détournes le regard. Il est plus jeune que toi, mi vingtaine peut-être un peu plus mais sûrement pas trente ans. Sa barbe est courte et bien taillée, ses cheveux bruns sont bien coiffés, il est habillé professionnellement, complet-cravate. En un mot, tu le trouves élégant, même séduisant. Un peu troublé par ce regard perçant tu passes ton chemin et continue ton faux magasinage.
Sans que tu t’en préoccupes vraiment, au détour des couloirs et des magasins tu le croises deux ou trois fois. Chaque fois ses yeux se sont pausés sur toi. C’est sûrement le hasard, son trajet de magasinage doit être semblable au tien, que tu te dis.
Au milieu d’une boutique de linge tu t’aperçois qu’il t’épie entre les rayons de vêtements. Maintenant tu ne crois plus au hasard. À bonne distance, il ne te quitte pas des yeux. Il suit chacun de tes mouvements. Rien ne lui échappe. Malgré ta gêne sa présence forte et calme ne te dérange pas. Il dégage une sorte de charme silencieux qui sans que tu ne le remarque commence à t’envoûter.
Tu lui souris, sans gêne cette fois. À son tour il te souri, mêlant sont regard au tien. Tu ne peux supporter très long temps son regard profond et posé. Tu as l’impression qu’il fouille ton âme de ces yeux. Rougissant légèrement, tu détournes la tête. Il fait un pas vers toi. Sans comprendre tu vas te réfugier dans une autre boutique. Mais lentement il te suit des yeux avant de marcher une fois de plus en ta direction.
Tu fais mine de t’intéresser à une robe, mais dans le fond tu tentes par tout les moyen de voir s’il est la ou non. Tu ne le vois nulle part, mais tu sens sa présence, comme si la boutique rapetissait. Tu es sure qu’il est là quelque part à te contempler.
« Voulez-vous essayer cette robe » te demande une vendeuse.
« heuuu… heeuuu … oui bien sur » que tu lui réponds presque automatiquement tant ton esprit était concentré ailleurs.
Tu entres dans la cabine, et te déshabilles. Sous la porte tu vois des jambes en pantalons foncés avec des souliers de cuir noir. Instinctivement tu sais que c’est lui. Il tourne en rond devant la cabine comme s’il attendait patiemment que tu sortes pour approuver cette nouvelle tenue. L’air de la cabine se fait plus chaud. Toujours en sous-vêtement, tu te surprends à espérer qu’il entre dans la cabine. Comme dans un rêve ta main s’avance pour ouvrir le verrou.
« TOC TOC, » ton cœur arrête de battre,
« Madame avez-vous besoin d’aide pour essayer la robe ?» demande la vendeuse. Reprenant tes esprits tu affirmes, un peu mal à droitement, que non tout va bien. Au contraire ça ne va pas du tout! Tu es à moitié nue dans une cabine d’essayage à attendre qu’un homme, bien plus jeune que toi, ouvre la porte pour te faire l’amour. À cette pensée, tu remarques que tes mamelons sont durs et que ton sexe est humide de désirs.
Chassant ses images de ta tête tu te rhabilles en vitesse, te convaincant que ça doit que ton imagination. Car tu ne là pas vu dans cette boutique, tu espérait le voir mais rationnellement tu te dis qu’il ne t’a pas suivit. Prenant une grande respiration, tu sors de la cabine.
Il est là à moins de dix mètres de toi. Son sourire est large et franc, son regard toujours aussi perçant comme s’il savait ce que tu ressens. Tu rougies, une fois de plus sous son regard bleu gris. Baissant la tête pour cacher ton désarroi, tu vois clairement son pantalon et ses souliers ; sans aucun doute s’était lui.
À cette constatation, ta tête s’enflamme. Des idées et des images érotiques t’envahissent. Tu te vois nue te donner à lui. Tu sens son membre entrer en toi. Tu sens son souffle sur ta peau. Tu n’as plus le contrôle de ton corps, seul le plaisir compte désormais.
Troublée, tu tentes de relever la tête, et de lui faire face. Mais s’est sans espoir tu ne peux rester là comme si de rien n’était. Lorsqu’il avance d’un pas, tu sens tes genoux faiblir, ton cœur s’accélère. Son silence ajoute une touche de mystère. Sachant que c’est la seule chose qu’il te reste à faire tu lui fais dos et t’en va. Evidemment, il te suit de sa démarche sure, assurée et calme.
Tu ne sais pas si s’est lui ou toi-même que tu fuis. Il s’est un peu rapproché, tes fantasmes remontent. Tu imagines ses mains caressant ton corps. Tu te vois appuiée contre le mur alors qu’il te prend. Tu sens sa bouche venir se collée sur ton sexe. Tu rêves de prendre sa verge au creux de ta bouche. Sans arrêter de marcher, tu sens toutes ces sensations qui t’envahissent, tranquillement mais sûrement tu perds contact avec la réalité.
Tes pas te conduisent dans le dédale du centre d’achats, il y a de moins en moins de monde dans ce coin. Tes pensées te font oublier complètement où tu es. Tu n’as que seule envie, qu’il te prenne. Un couloir vide, faiblement éclairé, Sans même y penser tu l’empruntes. Sans courir, tu accélères le pas, tu ne fuis plus, s’est l’excitation qui guide le rythme.
En tournant le coin, tu arrives dans un entrepôt du centre d’achat. Autour de toi s’éparpillent des boîtes de toutes les dimensions. Tu t’arrêtes. Il est presque collé à toi. Il souffle doucement sur ta nuque. Ce premier contact est une décharge dans tout ton corps. Les images que tu vois son pleine de sensualité et de désir. Ton dos se cabre sous l’intensité du désir qui t’assiège.
Tremblante d’excitation, tu te retournes vers lui. Fermant les yeux tu lui offre tes lèvres. Une main glisse sous ton cou, prend ta nuque et t’attire à lui. Sa bouche se pose sur la tienne. Lorsque sa langue passe sur tes lèvres, tu t’effondres dans ses bras, le nez enfoui sur son torse tu sens son odeur qui t’enivre. Ton corps brûle de l’intérieur. Ton esprit est rempli de fantasmes, il met une main au creux de tes reins et te colle à lui.
Tu sens son sexe qui forme une bosse dans son pantalon pousser sur ton ventre. Tu le saisies d’une main sans cesser de l’embrasser. Au travers du tissu tu masses son pénis qui continue de grandir dans ta main. Il prend un de tes seins et le pétrit avec force. La tête renversée en arrière, tu savoures cette première caresse. Ses lèvres partent de ta bouche et parcourent ton cou en direction de ta poitrine. Chacun de ses baisers sont un feu agréable sur ta peau, c’est un mélange de douceur et de fermeté.
Ce mélange de délicatesse et d’autorité te fait chavirer. Ton esprit ne t’appartient plus, tu lui offres ton corps sans aucune retenue. D’un seul mouvement rapide, il ouvre ta blouse. D’une main, il sort tes seins de ton soutien gorge. Il prend ta poitrine plantureuse et généreuse de ses deux mains. Ses caresses sont fortes et précises sur tes seins. Alors que sa bouche lèche tes seins s’attardant sur tes mamelons, une main plonge sur vers ton entre jambes. Sa main prend ton sexe. Et le serre. Sa poigne est comme un étau et ne se relâche pas. Tu sens ton sexe être écrasé dans sa paume. Cette pression prolonger sur ton clito t’excite au plus haut point. Le plaisir est tel que tes jambes deviennent molles. Sans desserrer sa prise, l’autre main dans ton dos, il accompagne ta chute en douceur pour t’allonger sur le sol. Ton corps est à lui.
Relevant les hanches tu l’invites à te dévêtir. Il accède à ta demande et te retire pantalons ainsi que sous vêtements. Il remonte tes jambes. Partant de tes chevilles ses mains parcourent tes mollets. Avec une lenteur infinie ses caresses descendent sur tes cuisses. Ses doigts s’arrête juste avant ton sexe qui ruisselle de désir. Il se penche vers toi, et sa bouche se pose sur ton sexe. Il te déguste, d’abord tendrement, dans tous les coins de ton intimité. Ouis, sa langue se fais plus forte. Il te mange avec plus de vigueur, aspirant, becottant ton clito. Et finalement, il te dévore. Ses mains se joignent à sa bouche. Il enfonce ses doigts en toi. Il fait des aller retour ultra rapides avec sa main tandis que qu’il garde ton clito prisonnier de ses lèvres.
Tu sens que tu vas bientôt jouir. Tu cabres les reins, tenant tes seins de te mains, tu pousses un long soupir. Ses doigts enfouis dans ton sexe te pousse vers l’orgasme. Puis quittant ton sexe il se relève devant toi. Tu sais très bien que c’est maintenant ton tour de s’occuper de lui.
Tu te relèves sur les genoux. Ton visage est au niveau de son sexe, fébrilement tu défais sa ceinture et ouvres sa braguette. Son pantalon tombe à ses chevilles. Son sexe est dur et droit devant toi. Tu ouvres la bouche pour commencer à le sucer. Mais il t’empêche, au lieu d’enfoncer son pénis au fond de ta gorge, il fait passer son sexe sur tes joues et tes lèvres Tu aimes cette nouvelle sensation de soumission, tu sens que tu ne te contrôles plus, seul son plaisir importe maintenant. Tu prends son sexe fermement. Tout en le masturbant, tu fais glisser son gland sur ton visage. Il doux et chaud cette caresse ta peau te fais frémir. Tu passes et repasses son sexe sans relâche sur ta figure.
Mais tu as le goût de lui faire plaisir. Tu ouvres la bouche et l’avale au plus profond de ta gorge. Tandis que tu le suces avec un plaisir évidant, lui commence à se déshabiller. Il laisse tomber sa cravate, sa chemise et son veston à tes cotés. Son torse est sculpté au couteau, sa peau doré par le soleil, un régal pour tes yeux. Ses mains massent tes épaules et tes seins. Puis prenant ta tête il t’impose un rythme plus rapide. Tu aimes te soumettre à son plaisir.
Avec une poigne de fer il te saisi les poignet et te relève avec délicatesse. Debout devant lui, tu retires le ta blouse et ton soutien gorge qui vont rejoindre le reste de vos vêtements sur le sol. Te tenant une main, il te fait tourner devant lui. Il t’admire sur tous tes angles. Satisfait, il sourit et te tire a lui. Sa peau est chaude contre la tienne. Vous vous découvrez mutuellement, ses mains danse sur ton corps, les tiennes caressent sont torse, son dos, ses fesses puis enfin son sexe.
Sans que tu t’en aperçoives, tu te retrouves le dos contre une pile de boîte de carton. D’un geste sans équivoque, il écarte tes cuisses. Enfin il va te prendre.
Tu retiens ton souffle. D’un seul coup de rein il entre en toi et se loge au fond de sexe. Tu relâches un cri de plaisir. Son sexe remplie tes entrailles. Ses mains caresses tes seins, il t’embrasse langoureusement. Puis il commence des lent va et vient en toi. Son pieux de chair te fais trembler de plaisir, un feu te brûle te plus en plus.
Tu montes et descends ton bassin à un rythme effréné, tes jambes passent autour de ses hanches. Tu accroches à ses épaules. Tu subis ses assauts sans relâche. Tu ne touches plus au sol, tant ses coups de reins sont puissants. Puis en douceur, il repose, il te retourne. Son torse collé contre ton dos, tu sens son membre glisser entre tes fesses, et se positionner devant l’entrée de ton sexe. Tu prends appuie sur les cartons devant et pousses ton cul vers l’arrière. Tu sens son pénis entrer en toi. Ses mains sur tes hanches il commence à te pilonner. Ta respiration ce fait rapide, ton corps se couvre de sueur. Pour la troisième fois ton sexe se contracte avant d’exploser dans un puissant orgasme. Les coups de butoir de ton amant se maintenant lent et profonds. Il te colle contre lui. Tu sens des spasmes parcourir son dos. Dans un dernier coup de rein, il se déverse en toi, la chaleur de sa semence te procure un dernier moment de jouissance.
Blottie contre lui, son sexe toujours en toi, comblée, tu sais qu’à partir de maintenant, tu lui appartiens.
</p>
En sortant du magasin de musique tu remarques un jeune homme qui, assit à un air de repos, t’observe en silence. Vos regards se croisent, un peu gênée tu lui souris. Il te retourne un sourire rapide avant que tu détournes le regard. Il est plus jeune que toi, mi vingtaine peut-être un peu plus mais sûrement pas trente ans. Sa barbe est courte et bien taillée, ses cheveux bruns sont bien coiffés, il est habillé professionnellement, complet-cravate. En un mot, tu le trouves élégant, même séduisant. Un peu troublé par ce regard perçant tu passes ton chemin et continue ton faux magasinage.
Sans que tu t’en préoccupes vraiment, au détour des couloirs et des magasins tu le croises deux ou trois fois. Chaque fois ses yeux se sont pausés sur toi. C’est sûrement le hasard, son trajet de magasinage doit être semblable au tien, que tu te dis.
Au milieu d’une boutique de linge tu t’aperçois qu’il t’épie entre les rayons de vêtements. Maintenant tu ne crois plus au hasard. À bonne distance, il ne te quitte pas des yeux. Il suit chacun de tes mouvements. Rien ne lui échappe. Malgré ta gêne sa présence forte et calme ne te dérange pas. Il dégage une sorte de charme silencieux qui sans que tu ne le remarque commence à t’envoûter.
Tu lui souris, sans gêne cette fois. À son tour il te souri, mêlant sont regard au tien. Tu ne peux supporter très long temps son regard profond et posé. Tu as l’impression qu’il fouille ton âme de ces yeux. Rougissant légèrement, tu détournes la tête. Il fait un pas vers toi. Sans comprendre tu vas te réfugier dans une autre boutique. Mais lentement il te suit des yeux avant de marcher une fois de plus en ta direction.
Tu fais mine de t’intéresser à une robe, mais dans le fond tu tentes par tout les moyen de voir s’il est la ou non. Tu ne le vois nulle part, mais tu sens sa présence, comme si la boutique rapetissait. Tu es sure qu’il est là quelque part à te contempler.
« Voulez-vous essayer cette robe » te demande une vendeuse.
« heuuu… heeuuu … oui bien sur » que tu lui réponds presque automatiquement tant ton esprit était concentré ailleurs.
Tu entres dans la cabine, et te déshabilles. Sous la porte tu vois des jambes en pantalons foncés avec des souliers de cuir noir. Instinctivement tu sais que c’est lui. Il tourne en rond devant la cabine comme s’il attendait patiemment que tu sortes pour approuver cette nouvelle tenue. L’air de la cabine se fait plus chaud. Toujours en sous-vêtement, tu te surprends à espérer qu’il entre dans la cabine. Comme dans un rêve ta main s’avance pour ouvrir le verrou.
« TOC TOC, » ton cœur arrête de battre,
« Madame avez-vous besoin d’aide pour essayer la robe ?» demande la vendeuse. Reprenant tes esprits tu affirmes, un peu mal à droitement, que non tout va bien. Au contraire ça ne va pas du tout! Tu es à moitié nue dans une cabine d’essayage à attendre qu’un homme, bien plus jeune que toi, ouvre la porte pour te faire l’amour. À cette pensée, tu remarques que tes mamelons sont durs et que ton sexe est humide de désirs.
Chassant ses images de ta tête tu te rhabilles en vitesse, te convaincant que ça doit que ton imagination. Car tu ne là pas vu dans cette boutique, tu espérait le voir mais rationnellement tu te dis qu’il ne t’a pas suivit. Prenant une grande respiration, tu sors de la cabine.
Il est là à moins de dix mètres de toi. Son sourire est large et franc, son regard toujours aussi perçant comme s’il savait ce que tu ressens. Tu rougies, une fois de plus sous son regard bleu gris. Baissant la tête pour cacher ton désarroi, tu vois clairement son pantalon et ses souliers ; sans aucun doute s’était lui.
À cette constatation, ta tête s’enflamme. Des idées et des images érotiques t’envahissent. Tu te vois nue te donner à lui. Tu sens son membre entrer en toi. Tu sens son souffle sur ta peau. Tu n’as plus le contrôle de ton corps, seul le plaisir compte désormais.
Troublée, tu tentes de relever la tête, et de lui faire face. Mais s’est sans espoir tu ne peux rester là comme si de rien n’était. Lorsqu’il avance d’un pas, tu sens tes genoux faiblir, ton cœur s’accélère. Son silence ajoute une touche de mystère. Sachant que c’est la seule chose qu’il te reste à faire tu lui fais dos et t’en va. Evidemment, il te suit de sa démarche sure, assurée et calme.
Tu ne sais pas si s’est lui ou toi-même que tu fuis. Il s’est un peu rapproché, tes fantasmes remontent. Tu imagines ses mains caressant ton corps. Tu te vois appuiée contre le mur alors qu’il te prend. Tu sens sa bouche venir se collée sur ton sexe. Tu rêves de prendre sa verge au creux de ta bouche. Sans arrêter de marcher, tu sens toutes ces sensations qui t’envahissent, tranquillement mais sûrement tu perds contact avec la réalité.
Tes pas te conduisent dans le dédale du centre d’achats, il y a de moins en moins de monde dans ce coin. Tes pensées te font oublier complètement où tu es. Tu n’as que seule envie, qu’il te prenne. Un couloir vide, faiblement éclairé, Sans même y penser tu l’empruntes. Sans courir, tu accélères le pas, tu ne fuis plus, s’est l’excitation qui guide le rythme.
En tournant le coin, tu arrives dans un entrepôt du centre d’achat. Autour de toi s’éparpillent des boîtes de toutes les dimensions. Tu t’arrêtes. Il est presque collé à toi. Il souffle doucement sur ta nuque. Ce premier contact est une décharge dans tout ton corps. Les images que tu vois son pleine de sensualité et de désir. Ton dos se cabre sous l’intensité du désir qui t’assiège.
Tremblante d’excitation, tu te retournes vers lui. Fermant les yeux tu lui offre tes lèvres. Une main glisse sous ton cou, prend ta nuque et t’attire à lui. Sa bouche se pose sur la tienne. Lorsque sa langue passe sur tes lèvres, tu t’effondres dans ses bras, le nez enfoui sur son torse tu sens son odeur qui t’enivre. Ton corps brûle de l’intérieur. Ton esprit est rempli de fantasmes, il met une main au creux de tes reins et te colle à lui.
Tu sens son sexe qui forme une bosse dans son pantalon pousser sur ton ventre. Tu le saisies d’une main sans cesser de l’embrasser. Au travers du tissu tu masses son pénis qui continue de grandir dans ta main. Il prend un de tes seins et le pétrit avec force. La tête renversée en arrière, tu savoures cette première caresse. Ses lèvres partent de ta bouche et parcourent ton cou en direction de ta poitrine. Chacun de ses baisers sont un feu agréable sur ta peau, c’est un mélange de douceur et de fermeté.
Ce mélange de délicatesse et d’autorité te fait chavirer. Ton esprit ne t’appartient plus, tu lui offres ton corps sans aucune retenue. D’un seul mouvement rapide, il ouvre ta blouse. D’une main, il sort tes seins de ton soutien gorge. Il prend ta poitrine plantureuse et généreuse de ses deux mains. Ses caresses sont fortes et précises sur tes seins. Alors que sa bouche lèche tes seins s’attardant sur tes mamelons, une main plonge sur vers ton entre jambes. Sa main prend ton sexe. Et le serre. Sa poigne est comme un étau et ne se relâche pas. Tu sens ton sexe être écrasé dans sa paume. Cette pression prolonger sur ton clito t’excite au plus haut point. Le plaisir est tel que tes jambes deviennent molles. Sans desserrer sa prise, l’autre main dans ton dos, il accompagne ta chute en douceur pour t’allonger sur le sol. Ton corps est à lui.
Relevant les hanches tu l’invites à te dévêtir. Il accède à ta demande et te retire pantalons ainsi que sous vêtements. Il remonte tes jambes. Partant de tes chevilles ses mains parcourent tes mollets. Avec une lenteur infinie ses caresses descendent sur tes cuisses. Ses doigts s’arrête juste avant ton sexe qui ruisselle de désir. Il se penche vers toi, et sa bouche se pose sur ton sexe. Il te déguste, d’abord tendrement, dans tous les coins de ton intimité. Ouis, sa langue se fais plus forte. Il te mange avec plus de vigueur, aspirant, becottant ton clito. Et finalement, il te dévore. Ses mains se joignent à sa bouche. Il enfonce ses doigts en toi. Il fait des aller retour ultra rapides avec sa main tandis que qu’il garde ton clito prisonnier de ses lèvres.
Tu sens que tu vas bientôt jouir. Tu cabres les reins, tenant tes seins de te mains, tu pousses un long soupir. Ses doigts enfouis dans ton sexe te pousse vers l’orgasme. Puis quittant ton sexe il se relève devant toi. Tu sais très bien que c’est maintenant ton tour de s’occuper de lui.
Tu te relèves sur les genoux. Ton visage est au niveau de son sexe, fébrilement tu défais sa ceinture et ouvres sa braguette. Son pantalon tombe à ses chevilles. Son sexe est dur et droit devant toi. Tu ouvres la bouche pour commencer à le sucer. Mais il t’empêche, au lieu d’enfoncer son pénis au fond de ta gorge, il fait passer son sexe sur tes joues et tes lèvres Tu aimes cette nouvelle sensation de soumission, tu sens que tu ne te contrôles plus, seul son plaisir importe maintenant. Tu prends son sexe fermement. Tout en le masturbant, tu fais glisser son gland sur ton visage. Il doux et chaud cette caresse ta peau te fais frémir. Tu passes et repasses son sexe sans relâche sur ta figure.
Mais tu as le goût de lui faire plaisir. Tu ouvres la bouche et l’avale au plus profond de ta gorge. Tandis que tu le suces avec un plaisir évidant, lui commence à se déshabiller. Il laisse tomber sa cravate, sa chemise et son veston à tes cotés. Son torse est sculpté au couteau, sa peau doré par le soleil, un régal pour tes yeux. Ses mains massent tes épaules et tes seins. Puis prenant ta tête il t’impose un rythme plus rapide. Tu aimes te soumettre à son plaisir.
Avec une poigne de fer il te saisi les poignet et te relève avec délicatesse. Debout devant lui, tu retires le ta blouse et ton soutien gorge qui vont rejoindre le reste de vos vêtements sur le sol. Te tenant une main, il te fait tourner devant lui. Il t’admire sur tous tes angles. Satisfait, il sourit et te tire a lui. Sa peau est chaude contre la tienne. Vous vous découvrez mutuellement, ses mains danse sur ton corps, les tiennes caressent sont torse, son dos, ses fesses puis enfin son sexe.
Sans que tu t’en aperçoives, tu te retrouves le dos contre une pile de boîte de carton. D’un geste sans équivoque, il écarte tes cuisses. Enfin il va te prendre.
Tu retiens ton souffle. D’un seul coup de rein il entre en toi et se loge au fond de sexe. Tu relâches un cri de plaisir. Son sexe remplie tes entrailles. Ses mains caresses tes seins, il t’embrasse langoureusement. Puis il commence des lent va et vient en toi. Son pieux de chair te fais trembler de plaisir, un feu te brûle te plus en plus.
Tu montes et descends ton bassin à un rythme effréné, tes jambes passent autour de ses hanches. Tu accroches à ses épaules. Tu subis ses assauts sans relâche. Tu ne touches plus au sol, tant ses coups de reins sont puissants. Puis en douceur, il repose, il te retourne. Son torse collé contre ton dos, tu sens son membre glisser entre tes fesses, et se positionner devant l’entrée de ton sexe. Tu prends appuie sur les cartons devant et pousses ton cul vers l’arrière. Tu sens son pénis entrer en toi. Ses mains sur tes hanches il commence à te pilonner. Ta respiration ce fait rapide, ton corps se couvre de sueur. Pour la troisième fois ton sexe se contracte avant d’exploser dans un puissant orgasme. Les coups de butoir de ton amant se maintenant lent et profonds. Il te colle contre lui. Tu sens des spasmes parcourir son dos. Dans un dernier coup de rein, il se déverse en toi, la chaleur de sa semence te procure un dernier moment de jouissance.
Blottie contre lui, son sexe toujours en toi, comblée, tu sais qu’à partir de maintenant, tu lui appartiens.
</p>
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Polichinel
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...