Au cinema suite 8

- Par l'auteur HDS Jlf071 -
Récit érotique écrit par Jlf071 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Au cinema suite 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Au cinema suite 8
Arrivés en centre ville, nous avons flâné dans les rues piétonnes, Marc me tenait par la taille et je me laissais mener de vitrine en vitrine.

Après toutes ses émotions, je trouvais cette promenade très agréable, il faisait très beau et il y avait beaucoup de monde dans les rues.

Je me sentais tel une jeune amoureuse près de son prince charmant, me permettant même des petits caprices face à certaines boutiques pour qu’il me laisse admirer plus longtemps toutes ses jolies tenues d’été.

Lui aussi me paraissait très détendu, presque heureux d’être avec moi, parfois il se prenait même à m’enlacer et m’embrasser à pleine bouche au beau milieu de la foule.

Loin de trouver cela désagréable je me surprenais à ressentir comme de véritables sentiments pour lui et cela me troublais sérieusement.

Je vous arrête de suite, il ne s’agissait pas de sentiments d’amour comme ce que je ressentais pour mes enfants ou mon mari, non, mais des sentiments inexplicables se situant entre une profonde amitié, l’amour et une totale confiance.

Sa présence me rassurait et me rendait la vie plus belle, avec lui je pouvais me laissé aller, vivre et jouir intensément de toutes mes sensations.

Pouvoir enfin faire tout ce qu’une femme peut rêver et fantasmer en matière de sexe, sans prendre de risques et d’engagements, gardant toujours une issue de secours et pouvoir tout stopper.

Certes il y a eu des contraintes et des humiliations, mais plus consenties que je ne l’aurais cru.

Certes il a du utiliser ma peur et même le chantage pour obtenir ma résignation et faire tomber mes ultimes tabous, mais le résultat en valait la peine.

Jamais en tant que femme, je n’aurais atteins de moi-même un tel degré de perversité, car mes fantasmes me faisaient peur et me culpabilisaient de honte.

Bien sur, comme beaucoup de femme, je rêvais et m’excitais de pouvoir tromper mon mari, d’avoir un ou plusieurs amants qui se délecteraient de mon corps comme s’il était le plus beau et attirant de la terre.

Bien sur, que je me surprenais à espérer être prise bestialement sans que l’on me demande mon avis, violé mais consentante, mais c’était toujours par un très beau mâle à la puissante et magnifique virilité.

Mais la vie ne l’entendait pas ainsi, le manque de temps et les responsabilités de la vie, les enfants, l’homme que l’on aime, etc.

Toutes ces choses qui font que la vie défile vite, très vite et qui nous empêchent de profiter pleinement de notre corps et des superbes sensations que cette belle machine peut nous procurer.

C’était donc comme une véritable chance que j’interprétais le hasard de la rencontre avec Marc, chance de tomber sur un bel homme suffisamment libre et pervers pour qu’il tente sa chance.

Chance aussi que mon époux ne se soit aperçu de rien, permettant ainsi à mon bel amant de poursuivre mon initiation à la luxure.

C’était donc avec beaucoup de plaisir que je me serais contre son corps, enlacée et répondant à ses baisers, puis passant devant une terrasse ombragée, je lui ai demandé de m’offrir un verre.

Une fois assise face à lui, je l’ai regardé avec tendresse et prenant mon courage à deux mains je lui ai demandé :
Marc, puis je vous demandez… non…puis je te demander et te dire certaines choses ?

Volontairement j’ai voulu le tutoyer afin de lui faire comprendre que je ne jouais plus, que ma requête était vraiment sérieuse.

- Bien sur Emilie, tout ce que vous voudrez… ou bien préfère tu, tout ce que tu voudras ?

C’était un homme intelligent et il a compris que c’était le moment de rassasier ma curiosité au risque de perdre sa proie.

- Toi et ton Maitre comme tu l’appelle, vous avez bien profité de moi…
- Emilie ce n’est pas comme ça qu’il faut le prendre…
- Chut…s’il te plait, laisse-moi continuer
- Désolé, vas y poursuis
- Donc, vous avez bien profité de moi et de mon corps, sans vergogne vous m’avez même prostitué en quelque sorte, abusant de moi, m’humiliant et m’avilissant comme jamais je ne l’ai été.

Je le regardais en même temps et il baissait les yeux en écoutant mes vérités
- Vous m’avez offert à vos amis, tu as même laissé cette brute épaisse me prendre avec sa bite énorme, par devant et même par derrière au risque de me déchirer, mais je te rassure… j’ai vraiment pris mon pied, comme jamais.

Je voyais la gêne s’installer de plus en plus, alors je lui ai pris sa main dans la mienne pour le rassurer de mes intentions.

Tu vois, vous m’avez fait subir tous ces outrages, vous m’avez salie et pervertie, fait de moi votre petite pute, votre petite salope, n’est ce pas ?

C’était drôle, plus je parlais et plus il s’emblait gêné, regardant autour de nous pour vérifier que personne ne nous écoutait, les rôles s’étaient inversés pour mon grand plaisir.

Et bien Marc, sache que malgré tout cela…je ne t’en veux pas, bien au contraire.

Il souffla un bon coup, me serra la main et me fit un sourire.

- Emilie, jamais je n’aurai voulu te faire du mal, tu es très belle et désirable alors ce soir là, au cinéma, j’ai tenté ma chance et je suis tombé sur une femme inexploitée avec des désirs immenses.

- Et mon mari, tu n’avais pas peur qu’il s’en aperçoive ?

- C’était un risque à courir, mais la plus part des hommes ne regardent plus leur femme comme ils le devraient, ils la possèdent, lui font confiance mais jamais ils n’imagineraient que l’on puisse abuser de leur femme de cette façon.

- oui, mais quand même…les risques…
- Et alors, même si tu m’avais rembarré, tu l’aurais surement fait discrètement cherchant à éviter une éventuelle bagarre et si c’était lui qui aurait détecté quelque chose, j’aurais fait l’offusqué
- (monsieur, excusez moi, vous vous méprenez sur mes intentions, si j’ai malencontreusement touché votre épouse c’était vraiment sans le vouloir et je vous pris de m’en excuser).

- Je vois que tu as bien réfléchit à la question, vous ne laissez aucune place pour l’improvisation, mais qui est ton soit disant Maître ?

- C’est un véritable ami, tu ne le connais que sous son aspect dominateur, mais c’est un être plein de bonté, loyal et sincère, il est certes très pervers mais il connaît très bien les femmes.

- Et les hommes…il les connaît aussi ?

- Plus que tu ne le pense Emilie, c’est pourquoi il garde toujours le contrôle et assure la parfaite sécurité des femmes qui lui accordent leurs confiance.

- Marie et les autres ?

- Elles sont comme toi, soumises mais libre de partir, elles restent et poursuive leur éducation selon leur propres désirs.

- Marie est très douce et gentille, devrais je un jour, faire l’amour avec une femme ?

- Peut être, si le Maître le décide ou qu’il sent que tu en as besoin.

- Ecoute, puisque nous sommes dans la sincérité, bien sur que j’aimerais découvrir encore et encore d’autres formes de plaisir, me régaler de vos humiliations perverses et de m’abandonner à vos désirs les plus fous.

- Mais plus que tout, j’aime mon mari, j’espère que tu comprends, je l’aime et j’ai déjà pris bien trop de risques, le faire souffrir et le trahir à ce point, perdre sa confiance et son amour c’est excitant, mais l’enjeu n’en vaut pas la chandelle.

- Alors tu souhaite arrêter ?

- Je n’ai pas dit ça, cela serait tellement plus simple s’il pouvait accepter mes perversions, il pourrait participer à sa manière, il serait mon Maître à moi et me pervertirait pour notre plus grand plaisir, maintenant j’en rêve…
- Effectivement cela serait le pied, mais je ne crois pas que ton mari soit candauliste.

- C’est quoi ça, candauliste ?

- Ce sont des hommes qui aiment voir leur femme faire l’amour avec d’autres partenaires, souvent en couple, ils partagent leur épouses pour quelles en retirent un maximum de plaisir.

- Et ca existe vraiment des hommes comme ça ?

- Oui bien sur, plus que tu ne le crois, mais personne ne le cri sur les toits c’est encore tabous dans notre société.

- Et toi Marc qu’en penses-tu ?

- Je trouve ça très excitant, beaucoup d’hommes se croient plus fort en pensant que les cocus sont des faibles, qu’ils ne savent ou ne peuvent pas contenter leur femme.

Et bien ils se trompent, les candaules sont très intelligents, bien plus que la moyenne, ils arrivent à obtenir de leur partenaires bien plus que n’importe quel autre homme ne saurait le faire.

La femme d’un Candauliste sait que son mari l’aime plus que tout, c’est justement pour cette raison que son époux souhaite la faire mourir de plaisir, quelle jouisse de la vie au maximum même si cela doit passer par le partage et l’offrande.

- Waouh… tu dis tout cela avec une telle conviction que je te soupçonne d’en être un de… comment dit tu ? – Candauliste.

- Peut être que oui ou peut être que non, cela ne changerait rien à nos rapports
- Je pense que si, j’ai bien vu que tu prends ton pied quand tu m’offre à d’autres, plus ils abusent de moi et plus tu te régale, n’est ce pas ?

- C’est sur, mais tu n’es pas ma femme.

- Et alors, tu es marié ?

- Cela ne te regarde pas
- Bien sur que si, au point ou nous en sommes tout me regarde
- Oui…je suis marié
- Et ta femme sait pour tout ça ?

- Emilie… ma femme c’est…Marie
- Quoi, cette délicieuse et douce… c’est ta femme, non… ce n’est pas vrai…
- Pourquoi, ça te choque
- Non, heu…si un peu, je ne m’attendais pas à ça
- Et elle accepte tout ça…sans problèmes ?

- Elle en retire même un immense plaisir
- Mais comment est ce possible ?

- C’est comme ça, il ne faut pas chercher à comprendre, j’y prends plaisir et elle aussi, nous nous aimons plus que tout et c’est la seule chose qui compte.

- Et le Maître, il sait pour ta femme ?

- C’est son amant attitré
- Waouh… c’est chaud votre histoire, mais c’est très excitant
- Donc tu n’es pas jaloux ?

- Non… si… mais ce n’est pas le bon terme, la jalousie c’est négatif, c’est la peur de perdre ce qui nous appartient alors qu’un être vivant n’appartient à personne.

- Bien sur que j’ai peur de perdre ma femme, mais elle sait que je l’aime plus que tout, c’est à moi de faire tout ce qu’il faut pour qu’elle se sente mieux avec moi qu’avec n’importe qui d’autre.

- C’est beau ce que tu dis, j’aimerais tellement que mon mari soit comme toi
- Rien n’est impossible dans la vie
- Je crois que je peux rêver, il aime bien m’exciter avec le regard des autres mais c’est que pour lui tout seul, en bon égoïste. Il sait très bien qu’en m’exhibant à la limite de la provocation les mecs vont me mater et me draguer ce qui m’excite profondément.

- Mais cela exciterait n’importe quelle femme aussi sérieuse qu’elle soit, se sentir désirée est un réel plaisir et ce n’est pas pour cela que tu es une salope.

- Oui, mais il n’y a que lui qui en profite, souvent le soir après le travail, il savoure l’excitation de la journée sans ce soucier de mon plaisir qu’il n’assouvi plus souvent.

- C’est comme ça Emilie, c’est bien pour ça que j’ai pu en profiter, ton esprit et ton corps n’attendaient que ça.

- Oui, mais j’aurais tant aimé qu’il soit comme toi
- Ecoute rien n’est perdu, le Maître et moi on va t’aider
- Comment ça m’aider ?

- Rien tu verras on en reparlera, mais maintenant ça suffit, assez parlé profitons de cette belle journée comme il se doit, qu’est ce qui te ferais plaisir ?

Nous avons flâné toute la journée, rues piétonnes et boutiques pour le plaisir, un croque monsieur en terrasse en guise de déjeuné pour ensuite aller nous promener dans un joli parc agrémenté d’un petit lac.

Après avoir dégoté un petit coin très tranquille à l’abri de la foule, nous nous sommes allongés sur l’herbe pour profiter du soleil qui réchauffait quelques amoureux de ci et de là.

En ce jour de semaine, il n’y avait pas d’enfants jouant autour du lac, seuls quelques promeneurs dont certains avec leur chien airaient dans les allées.

Marc avait roulé sa veste en boule pour que je puisse y déposer ma nuque et je restais allongée sur l’herbe tiède en regardant le ciel et les nuages.

Marc était allongé sur le coté, il me surveillait du coin de l’œil en attendant mes désirs pour la suite de l’après midi.

Ce matin j’avais pu revêtir une des petites robes que mon mari avait sélectionné pour moi, c’était une robe porte feuille blanche avec une petite ceinture, très vaporeuse, transparente et qui m’arrivait à mi-cuisses.

Cette jolie robe m’était mes jambes en valeur et attirait les tous les regards sur moi, le tissu très léger se soulevait au gré du vent jusqu'à parfois dévoiler plus qu’il n’en faudrait ce qui retenait l’attention de quelques coquins présents dans le parc.

Comme si de rien n’était, j’observais entre mes sourcils un de ses voyeurs qui venait juste de se poser à quelques mètres de nous attendant discrètement de pouvoir en apercevoir un peu plus.

Jouant le jeu, j’ai relevé un genou pour dégourdir ma jambe ce qui à immédiatement dévoilé mes cuisses jusqu'à la dentelle de ma culotte, car pour une fois j’en avais mis une suivant la demande de mon époux.

Le résultat ne sait pas fait attendre, le voyeur à fixé son regard sur mon entre jambes pour se régaler du spectacle.

Marc s’en ai rendu compte et me la dit discrètement
- Emilie, je crois que vous avez un admirateur qui se régale les yeux
- Oui je l’ai remarqué, le pauvre, vous pourriez peut être m’aider à lui en montrer un peu plus, il ne doit pas se régaler souvent.

- Je vous vois venir, c’est un jeu risqué en pleine nature, vous n’avez pas peur ?

- La peur n’évite pas le danger, mais je ne risque rien avec vous comme ange gardien.

- Effectivement, vu comme cela
Sur ces mots, Marc à doucement défait le petit nœud ceinturant ma robe, puis il a délicatement écarté les pans de tissu sur les cotés mettant ainsi mon corps à la vue du voyeur qui ne croyait pas ses yeux.

Marc à ensuite caressé doucement mon ventre et mes cuisses pendant que je me laissais aller les yeux fermés en savourant le moment.

- Marc, il est toujours là ?

- Oui bien sur, il ne vous quitte pas des yeux
Marc continuait ses caresses langoureuses, parcourant mes jambes de bas en haut pour venir effleurer la dentelle de ma culotte, puis il remontait sur mon ventre et mes seins encore enveloppés d’un soutien gorge.

- C’est rare que vous portiez des sous vêtements, pourquoi cela ?

- Finalement je trouve ça excitant d’être ainsi mise en valeur, je suis comme un bonbon dans un joli papier cadeaux, il vous suffit de retirer l’emballage pour pouvoir consommer à votre guise.

- Vu comme cela c’est effectivement intéressant, alors faite moi voir le bonbon.

En disant ces mots il a fait sauter la petite agrafe centrale qui retenait les bonnets du soutien gorge, car j’avais mit le modèle le plus coquin de ma garde robe et celui-ci ne tenait devant que par une minuscule agrafe que Marc avait immédiatement remarqué en parfait connaisseur.

L’agrafe enlevée, le soutien gorge s’est ouvert d’un seul coup libérant au grand air ma poitrine généreuse en exhibant fièrement mes tétons déjà durcis.

Le voyeur était comme fou de ce beau spectacle et il s’était approché un peu plus de sa proie avec le quasi consentement de Marc.

Entrouvrant mes yeux je l’ai aperçu à nos cotés, à peine à deux mètres de moi, il était brun et devait avoir la quarantaine lui aussi, mais son physique m’importait peu c’était le contexte qui m’envoutait.

Totalement confiante, je laissais Marc m’exhiber pour notre plaisir à tous.

Marc me titillait les tétons en les pinçant à tour de rôle les faisant bander au maximum, puis il retournait me caresser les cuisses et ainsi de suite.

Son petit manège était délicieux et je me laissais faire en savourant la moindre sensation.

Au bout d’un moment alors que Marc me caressait le ventre, j’ai senti la chaleur d’une autre main se poser sur ma cuisse, à travers mes cils j’ai pu apercevoir notre voyeur qui était maintenant juste à coté de moi.

Celui-ci semblait ravi et comptait bien profiter de la situation avec l’accord évident de Marc qui laissait faire sa tentative approche.

Trop contant de la belle aubaine qui s’offrait à lui, c’est avec une main légèrement tremblante qu’il à commencé à parcourir mes jambes en tâtant chaque petit recoin de peau.

Marc quand à lui, surveillait maintenant la scène en me tenant la main, déposant par moment de doux baisés sur ma bouche et en me chuchotant doucement aux oreilles.

- Vous vous faite toujours remarquer et voilà ce qui arrive quand on joue avec le feu.

- Hum…mais je ne suis pas celle…que vous…croyez…hum
Les caresses étaient délicieuses et je n’ai pu m’empêcher d’ouvrir un peu plus mes cuisses pour laisser le champ libre à ce nouveau fouineur.

Le message ayant été parfaitement compris, mon voyeur approchait de plus en plus de mon intimité, frôlant la fine dentelle de ma culotte tout en cherchant le meilleur moyen de pouvoir contourner cette dernière barrière de chasteté.

Marc l’aida en soulevant l’élastique, l’invitant ainsi à glisser sa main à l’intérieur pour me caresser directement le sexe.

Message tellement bien compris que déjà il me glissait deux doigts dans la fente en libérant ma cyprine sous mes soupirs de plaisir.

- Messieurs, hum….je ne suis…pas celle…que…hum… vous croyez
Mes petites plaintes s’emblaient au contraire l’encourager à mieux me fouiller l’intimité.

- Emile, vous voyez dans quel état vous mettez ce monsieur.

- Hum…Marc, je crois…qu’il abuse…de moi…hum…
Je sentais ses doigts me pénétrer la vulve jusqu'à la paume de sa main, libérant à chaque pénétration des petits bruits mouillés bien excitants.

- Emilie, vous avez été très vilaine et il va falloir que l’on vous punisse
- Mais…non...hum…oui…je suis…très vilaine…oui…punissez moi…
La scène était délicieusement excitante, bien que dans un petit coin tranquille nous n’étions pas à l’abri d’être vus par des passants et cela augmentait très sensiblement mes désirs les plus inavouables.

Marc à mes cotés et cet inconnu qui me fouillait la chatte si facilement c’était irrationnel mais tellement jouissif que j’en voulais plus, beaucoup plus.

- Marc, hum…vous n’allez…pas… le laissé…hum…faire…
Tout en me plaignant sans réelles convictions, j’ondulais mes anches pour aider notre inconnu à me fouiller au plus profond.

Nous avions tous chaud et des gouttes de sueur perlaient sur son front, l’homme n’en pouvait plus tellement la situation l’excitait et je voyais une belle bosse prometteuse tendre son pantalon.

D’une main experte, j’ai ouvert sa ceinture et sa braguette, puis j’ai baissé son slip pour extirper son membre durci et gorgé de sang et j’ai commencé à le branler tout en douceur.

- Hum…messieurs…je suis…une femme…hum…sérieuse…
Mes suppliques en totale contradiction avec mon comportement s’emblaient exciter encore plus mes deux mâles.

- Hum…je suis…mariée…vous ne pouvez….hum…pas, abuser de moi…
Mon voyeur s’excitait en accélérant les vas et vient de ses doigts dans ma chatte bien ouverte, Marc me pinçait les tétons en me roulant des pèles avec sa langue humide.

Je rallais et me contorsionnais dans tous les sens au bord de la jouissance, lorsque mon voyeur s’ait mis sur les genoux et est venu se placer devant moi entre mes jambes tout en regardant Marc pour lui demander :
- Elle me fait trop envie, je peux me la faire ?

- Faite mon ami, elle vous est offerte de bon cœur.

Marc venait d’autoriser l’inconnu à me baisser, il s’emblait savourer ce moment en me serrant la main et en surveillant les expressions de mon visage.

Tout en prenant ma mine outrée mais toujours en tenant son sexe dans ma main, c’est moi-même qui ai présenté sa bite à l’entrée de mon vagin dégoulinant.

L’homme n’en croyait pas ses yeux, sa queue convulsait sous mes doigts lorsque je l’ai placé dans mon conduit, il a aussitôt mis le coup de reins qui la propulsé jusqu’au fond de ma grotte tout en libérant un râle de plaisir.

- Hum… mais monsieur…de quel…droit…hum…
Mon petit jeu les rendait fous.

Notre inconnu s’activa à grand coups de bite, bien campé sur ses avants bras il bougeait ses fesses en rythme, claquant sur ma vulve à chaque pénétration.

- Han…han…han…
Marc lui, n’en perdait pas une miette, il regardait au plus près la queue entrer et sortir de mon sexe dégoulinant.

Il aimait vraiment ça et il a placé sa main sur ma vulve de façon à pouvoir sentir la bite me dilater, les doigts de chaque coté de la fente il s’emblait guider cette queue qui me remplissait.

- Comprenant ses désirs je me suis mise à dire :
- Mon amour, tu ne va pas…hum…laisser…cet inconnu…abuse de moi…
A chaque coup de bite de notre inconnu, Marc appuyait la paume de sa main sur mon clitoris pour me déclencher des frissons de plaisir
- Hum…chéri, si ça…continue…je crois….que je vais….hum…jouir
L’inconnu me pilonnait à grands coups de bite tellement je l’excitais et marc me branlait littéralement en faisant vibrer sa main entre nos sexes.

- Haaaaa… mes salauds….hum…je…jouie…
J’ai lâché toute ma jouissance, branlée et baisée en plain air avec cette délicieuse excitation du risque, agrippée aux fesses de mon baiseur j’ai crié.

- Oui…hum…baise moi bien…hum…vas y….baise moi…
Le pauvre, il n’a pas tenu quelques secondes de plus, il s’est enfoncé jusqu'à la garde et à lâché tout son jus contre mes ovaires en criant son bonheur.

- Haaaaa…putain…c’est trop…bonnnnnnnn…
Marc m’a embrassé à pleine bouche pendant que je recevais les dernières gouttes de semence.

L’homme s’est retiré tout aussi vite et Marc m’a aussitôt fouillé la chatte avec ses doigts comme pour vérifier s’il avait bien éjaculé en moi.

Il était ravi de sentir ses doigts poisseux de foutre encore chaud et s’amusait à étaler cette crème sur mon entre jambes.

- Il ta bien baisé ?

- Hum…oui…c’était pas mal…mais avec toi c’est meilleur.

Nous nous sommes embrassés encore un bon moment alors que notre inconnu était déjà loin, Marc à sorti un mouchoir pour me faire une petite toilette sommaire.

- Le salaud, il ta mit la dose, tu déborde de foutre.

Avec tout ça, nous n’avions pas vu l’heure passer et l’après midi était déjà bien avancée, mais j’ai souhaité rester encore un peu allongée sur l’herbe à regarder le ciel tout en tenant la main de Marc.

Il me semble que je me suis même endormie quelques minutes tellement le moment me fut agréable.

A mon réveil, Marc m’observait toujours avec une évidente tendresse dans le regard.

- Tu as plongé, tu dois être fatiguée ?

- Non, mais je suis détendue et…heureuse, mais maintenant j’ai envie de rentrer pour prendre une douche.

- Bien madame, alors retournons à notre carrosse.

De retour chez notre Maître, Marc m’a accompagné jusqu'à la chambre, il m’a aidé à me dévêtir et en m’embrassant sur la joue il m’a dit :
- Attend un peu avant d’entrer dans la douche, j’aimerai que Marie vienne te rejoindre.

Je me suis assise sur le bord du lit pour attendre leur retour qui ne tardât pas, Marie était toujours aussi belle, jolie brune au corps incendiaire qui me rendait presque jalouse.

En s’approchant de moi elle regarda mon sexe nu et me dit :
- Et bien, je vois que vous vous êtes bien amusé cette après midi, Marc est vraiment incorrigible. Il ne peut s’empêcher de s’amuser avec les jouets du Maître, c’est plus fort que lui.

A ces mots, j’ai baissé mon regard, c’était comme une remontrance déguisé pour me rappeler qu’en quelque sorte j’avais batifolé avec son mari.

- J’espère que vous aviez son autorisation pour vous laisser aller de la sorte ?

Devant mon silence, elle me releva le menton en répétant :
- Et bien, vous êtes sourde ? Aviez-vous l’autorisation du Maître ?

- Heu…non…madame…mais Marc…
- Marc n’est pas le Maître, ce n’est qu’un disciple parmi tant d’autres, vous ne devez votre obéissance qu’à notre Maître, j’espère que c’est bien compris ?

Marie avait changé de ton, maintenant autoritaire, elle me dominait devant Marc qui ne disait rien, c’était surement encore un nouveau jeu mais il n’était pas pour me déplaire.

Telle une jeune fille prise la main dans le sac j’ai prie ma voix la plus douce pour lui demander pardon.

- Je suis désolé madame…je ne le ferais plus
- Peut être, mais cela n’apaisera pas la colère du Maître
- Pardon…je ferais tout ce que vous voudrez… mais ne le dite pas au Maître.

- Tout ce que je veux, vraiment ?

- Oui madame, tout…vraiment tout.

- Et bien voyons cela
Tout en parlant elle est venu se coucher sur le lit, relevant sa jupe et écartant ses cuisses pour me montrer sa chatte toute lisse.

- Alors montrez-moi ce que vous savez faire avec votre langue.

J’ai regardé en direction de Marc qui me fixait sans aucune intention d’intervenir en ma faveur, Marie elle, attendait les yeux mi-clos que je veuille bien m’exécuter.
Je n’avais jamais vu le sexe d’une femme d’aussi prêt, j’observais les moindres détails d’anatomie avec une sincère curiosité.

J’étais comme fascinée par cette particularité féminine, regardant la vulve de Marie comme si c’était la mienne et cherchant à comprendre d’où pouvait sortir autant de sensations.

J’ai avancé ma main pour poser mes doigts sur cette peau délicate juste à l’intérieur des cuisses, là où moi-même je ressentais des sensations merveilleuses.

Sa peau était si douce, on aurait dit du satin et j’osais à peine l’effleurer en remontant doucement vers le mon de vénus.

Au moindre de mes mouvements sur sa peau, je regardais le visage de Marie pour vérifier la qualité de mes caresses et tenter d’apercevoir l’expression d’un début de plaisir.

Mais c’était encore trop tôt, Marie était une femme d’expérience et son plaisir ne se dévoilait pas si facilement, alors presque rassurée de bien faire j’ai poursuivis mes investigations.

Ma main est remontée sur son ventre, caressant le pourtour du nombril tout en effleurant la naissance de sa jolie poitrine, des seins en forme de poires encore bien fermes, ni trop gros, ni trop petits, surmontés de petits tétons aux larges auréoles brunâtres.

Puis en redescendant, j’ai caressé l’aine du dos de la main en contournant l’anche pour pouvoir toucher sa fesse, mon geste lent lui à provoqué un premier mais minuscule frisson.

Je n’étais pas bisexuelle, mais j’étais comme fascinée par ce corps de femme, cherchant à découvrir par quel secret cette mécanique si parfaite pouvait s’animer.

Le moindre petit frisson que je pouvais lui provoquer me remplissait de fierté, j’avais l’impression de pouvoir lui démontrer mes compétences personnelles en matière de sexe.

Il me fallait donc passer à la vitesse supérieure, sachant que mon plaisir à moi partait le plus souvent du clitoris, j’ai supposé qu’il en était de même pour Marie.

Je suis donc venu découvrir son petit organe encore caché par les muqueuses de ses grandes lèvres pulpeuses, il était là tout petit et tout rose dans l’attente d’être actionné.

J’ai posé mon index dessus en séparant délicatement les chairs qui le protégeaient, puis j’ai longé la fente pour visiter cette mouler dodue qui me cachait encore tous ses secrets.

Le passage de mon doigt était facilité par les premières perles de cyprine, preuve en était que Marie devait apprécier mes investigations.
Mon visage était maintenant à moins de vingt centimètres de son intimité et je me délectais de ce gros plan que seuls les hommes pouvaient observer.

Tel un écrin fermé, sa vulve ne demandait qu’à s’ouvrir sous la fouille de mon doigt qui se promenait déjà sur l’entrée de la grotte.

Ses muqueuses brillaient sous l’effet de l’abondante lubrification qui s’installait et mon doigt se sentait comme happé par ce gouffre profond.

Je n’ai pu retenir l’envie de la visiter plus en profondeur, j’ai pointé mon doigt avec une légère pression pour qu’il puisse s’immiscer à l’intérieur et c’est avec une facilité déconcertante qu’il est descendu tout au fond.

C’était chaud et humide, je ressentais les chairs qui me ceinturaient l’index comme pour emprisonner l’intrus, j’étais dans un trou vivant qui palpitait et vibrait à mon contact.

Le conduit était bien serré sur mon doigt et je me demandais comment des chairs à l’apparence aussi fragile pouvaient recevoir de si gros diamètres, il me fallait découvrir cette subtilité.

J’ai ressorti mon doigt plein de mouille, il brillait des sécrétions visqueuses et je l’ai donc essuyé sur la longueur de la fente sans omettre de badigeonner le petit bouton qui prenait déjà du volume.

Ensuite j’ai représenté deux doigts face au trou encore ouvert de mon premier passage, appuyant doucement, les chairs s’ouvraient en épousant mes doigts qui plongeaient dans son corps.

Là aussi, l’adaptation des muqueuses ma surprise, j’ai pu entamer quelques vas et vient si facilement que j’ai eu l’envie d’y mettre un autre doigt.

En moins d’une minute j’enfonçais allègrement quatre doigts dans son conduit, seul mon pouce était encore à l’extérieur et ma main ruisselait de son jus intime.

Là, son plaisir était évident, les yeux fermés elle se mordillait les lèvres tout en contractant les muscles de son corps.

J’étais donc sur la bonne voie.

Marc quand à lui, il s’était assis juste à coté de Marie, approchant de son visage de façon à pouvoir entendre le moindre soupir sortant de ses lèvres.

Il ne me prêtait plus aucune attention, concentré sur le seul plaisir de Marie, son épouse, ce qui me faisait comprendre que je n’étais que l’instrument de leur plaisir.

Malgré l’excitation, Marc dégageait une infinie tendresse en regardant sa femme, Il me fallait donc être à la hauteur de leur amour et leur permettre d’atteindre ensemble ce plaisir si convoité.

Les doigts toujours enfouis dans sa chatte, j’ai eu envie de venir mordiller son petit bouton qui pointait de plus en plus hors de son capuchon.

J’ai sorti ma langue pour la plonger dans la fente ouverte, puis je l’ai remonté doucement en fouillant les moindres recoins et en récupérant toute la cyprine possible pour bien huiler son clito tout rouge.

L’acte me s’emblait facile, il me suffisait de reproduire avec plus de dextérité ce que mon mari me faisait parfois mais surtout de rendre la pareil à Marie qui m’avait fait jouir de cette façon l’autre soir.

Ce premier contact de ma langue chaude sur son petit bout de chair tout dur lui a prodigué un agréable frisson et ma délivré le sentiment d’une première victoire.

Comment pouvais-je créer un tel plaisir juste en posant ma langue sur un si petit bout de chair, cette réactivité était intrigante et aiguisait ma curiosité pour la poursuite des choses.

Je tournais maintenant ma langue autour du bouton comme pour creuser un sillon à sa base ce qui avait pour effet de le faire encore bander tel une petite verge que je m’appliquais à suçoter et aspirer.

Ma main libre est venu se poser sur le mon de venus, tirant la peau vers le haut pour écarter les lèvres au maximum et mettre en évidence le clitoris afin que je puisse le torturer au mieux.

Quelques légers spasmes parcouraient déjà son corps offert, m’encourageant à m’appliquer dans ma tache.

Je la léchais avec application tout en remuant mes doigts en rythme dans sa moule, libérant son jus et les clapotis annonciateurs d’un plaisir tout proche.

Marc lui caressait tendrement les cheveux et le visage tout en lui chuchotant des mots coquins comme il savait si bien le faire.

- Ca vient mon amour, elle te suce si bien…laisse toi envahir par la jouissance
Marie n’était plus que petits soupirs et contractions en tous sens, nous ressentions le plaisir monté en elle, lentement mais surement, il s’installait dans les moindres parcelles de son corps prêt à se déverser en torrent de sensations.

Devant l’imminence de sa jouissance je l’ai agrippé fermement par les anches pour me délecter de sa chatte avec laquelle ma bouche fusionnait, ma langue parcourant le moindre recoin sensible tout en revenant toujours au bouton déclencheur.

Soudain, Marie s’est cabrée telle une jument, attrapant ma tête de ses mains pour appuyer et enfoncer ma langue plus profondément en elle, lachant du même coup un véritable cri libérateur.

- Haaaaaa… c’est trop….bon….je jouiiiiiiiiiie…Elle libéra quelques derniers soubresauts en me maintenant la tête entre ses cuisses se délectant des ultimes étincelles de plaisir.

Me lâchant enfin, elle me regarda avec douceur comme pour me remercier
- Emilie, tu devrais prendre une douche, tu es encore toute poisseuse de ton après midi volage.

Elle embrassa Marc et me déposa un baisé sur la bouche
- Merci ma belle, Marc à raison tu es prometteuse.

Resté seule, je me suis blottie sous l’eau chaude de la douche, réalisant que je venais de faire jouir une femme, que j’y avais pris du plaisir et que je s’avais maintenant ce que ressentait un candauliste.

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Texte coquin : Au cinema suite 8
Histoire sexe : Une rose rouge
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