Au club libertin

- Par l'auteur HDS Nanou -
Récit érotique écrit par Nanou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Au club libertin Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2006 dans la catégorie Plus on est
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Au club libertin
Juin 2006



Avant de vous raconter nos premières expériences sexuelles avec Philippe et Domi, je vais vous narrer notre dernière aventure.

Nous les avons invités à passer le week-end de Pentecôte chez nous.
Mais, hormis nous baigner nus dans notre piscine (nous n'avons pas de vis-à-vis), les possibilités sont limitées du fait de la présence de nos enfants. Aussi, nous avons prévu quelques sorties à vocations libertines.

Nous ne sommes pas des connaisseurs des clubs libertins de la région de Lyon, car nous n'y sommes jamais allé. Nous ne voulons pas aller dans un endroit sordide, comme il doit en exister. Heureusement, un couple de nos amis (Muriel et Stéphane) a pour voisin le directeur d'un club. Lors d'une soirée, ils nous ont dit qu'ils étaient allés visiter ce club. Ils ont trouvé l'ambiance très sympathique. Il y a sauna, hammam, bar, piste de danse, alcôves discrètes. Ils n'ont pas participé, se contentant d'observer les comportements des "invités". Pas de tenues outrancières, personne ne les a importunés. Ils ont vu des femmes refuser des attouchements sans déclencher de problème. Bien qu'excités par ce qu'ils voyaient, ils n'ont pas osé aller plus loin. Stéphane regrettait un peu, mais il a eu l'impression que Muriel n'était pas prête.

Aussi, quand nous leur avons dit que nous avions eu une expérience d'échangisme avec un couple, ils n'ont pas été choqués, peut-être un peu surpris. Nous ne leur avons pas tout raconté ce jour là, ils ont eu connaissance de nos expériences un peu plus tard.
Du coup, quand Bernard leur téléphone pour leur demander s'ils peuvent nous présenter (Philippe, Domi, Bernard et moi) à leur voisin, Stéphane répond qu'il lui téléphone tout de suite. Il rappelle dans l'heure : son voisin nous invite tous à une soirée spéciale couples. Muriel et Stéphane sont d'accord pour nous servir de guides.

Domi et Philippe arrivent dans la matinée du Samedi. Lors du repas, Bernard leur annonce que nous sommes invités ce soir à une soirée dans un club. Domi a l'air très satisfaite, car elle nous a avoué récemment, que ce qu'elle aimait le plus, c'est d'être observée par des inconnus. Dans le club qu'ils fréquentent, il n'y a pas souvent de nouvelles têtes.

Après une sieste pour se reposer du voyage, Ils nous rejoignent au bord de la piscine. Bernard et moi sommes nus. Ils ont un peignoir de bain et, évidemment rien dessous, car nous les avons prévenus de la situation de notre maison qui permet cette liberté. Philippe plonge directement dans l'eau. Quand il ressort, je vois qu'il s'est rasé le bas-ventre. Domi vient s'allonger sur le transat à côté de moi. Elle aussi est complètement épilée. Sa petite motte est déjà bronzée. Je l'ai toujours trouvée mignonne, mais j'avoue que nue telle qu'elle est, même si ce n'est pas la première fois, je la trouve craquante. Nous profitons de ce bel après-midi, avant d'aller nous préparer pour la soirée.

Avant de me doucher, je me regarde dans le miroir Bien que ma toison soit plutôt courte, je décide de m'épiler totalement. Bernard m'aide pour étaler la crème, c'est un de ses plaisirs. Il se douche pendant que le produit agit, puis il enlève la mixture. Je me douche, après m'être séchée, Bernard étale de la crème hydratante sur ma petite chatte toute lisse. Pour un peu, j'aurai bien continué par des galipettes. Tant pis, nous gardons nos forces pour tout à l'heure.

Bernard s'habille d'un pantalon confortable et d'une chemisette. De mon côté, je mets une robe, un peu au-dessus du genou, par contre comme elle est fermée devant par des boutons, je laisse, en haut, deux boutons ouverts et en bas, trois. Je néglige les sous-vêtements, c'est le meilleur moyen de ne pas les perdre.

Philippe et Domi nous rejoignent dans le salon. Philippe est habillé un peu comme mon époux, pantalon et polo. Domi porte un chemisier rouge transparent, qui laisse deviner un soutien-gorge en dentelle de même couleur, et une mini-jupe, vraiment mini, fermée par une fermeture éclair sur toute la hauteur. Elle porte aussi des collants ou des bas. Dès qu'elle s'assied, je vois que ce sont des bas, genre Dim-up : sa jupe est si courte que le haut de ses cuisses est visible au-dessus de la bordure de dentelle.

Nous prenons notre monospace, pour passer prendre Muriel et Stéphane et nous allons au club.
A l'entrée, ils demandent Yves, le directeur. Il nous accueille et nous présente le club en nous indiquant la marche à suivre pour profiter au mieux de notre soirée. Stéphane et Muriel connaissent un peu les lieux, aussi, il nous laisse entre leurs mains.

Après avoir fait le tour des installations, nous allons au bar. Nous discutons de choses et d'autres. Des gens viennent boire d'autres sortent en direction des différentes salles. Nous allons danser pendant quelque temps. Quand nous revenons, Philippe a envie d'aller au hammam, je décide de l'accompagner, Domi veut rester pour s'imprégner de l'ambiance du lieu, Bernard reste avec elle.
Des portemanteaux sont disponibles à l'entrée du hammam. J'enlève ma robe, je me trouve donc complètement nue. Philippe me regarde pendant qu'il se déshabille :

- Bravo, avec une tenue comme ça, tu as vite fait de te déshabiller.
- Que veux-tu, vu l'endroit, je ne vois pas l'intérêt d'en mettre plus.
- C'est sûr, surtout pour l'enlever. Ah ! Mais, cet après-midi, tu n'étais pas épilée.
- Non, bien sûr, c'est de vous voir tous les deux qui m'a donné envie. Tu n'aimes pas ?
- Si, si, cela me rappelle la première fois que je t'ai vue. Enfin, la première fois que je t'ai vue de près. Car avant c'était de plus loin.
- Arrête de me parler de ça, je vais être excitée.
- Super, je vais continuer.

Je me dirige vers l'entrée du hammam, suivie par Philippe. L'atmosphère chaude et humide est très agréable. Je me dirige vers un banc et commence à me détendre. Pour l'instant, nous sommes seuls

- Tu sais que tu es toujours aussi excitante, j'aime bien quand tu es parfaitement nue. D'ailleurs, je t'avoue que c'est de te voir comme cela qui m'a fait apprécier l'épilation totale chez Domi.
- Tant mieux, moi aussi j'aime bien sentir la douceur de ma peau quand je me lave, et j'imagine bien le plaisir que vous ressentez, vous les hommes, quand vous caresser une petite chatte toute lisse.

Joignant le geste à la parole, je pose une main sur mon pubis.

- Ça, tu peux le dire, depuis que Domi s'est épilée totalement lors de nos vacances ensemble, je ne peux plus m'en passer. Tu me laisses toucher ?
- Bien sûr, tout le plaisir est pour moi.
- Tu sais que je ne vais pas tarder à bander, si on continue.
- Ah bon ? Ça te dérange ?
- Non, pas du tout, mais quand je suis allumé par une petite coquine, j'aime bien être éteint.
- Qui te dit que tu ne seras pas éteint ?
- J'aime bien le hammam, mais il fait un peu chaud pour s'agiter
- Eh bien, on ira dans un petit salon.

Sa main est posée sur mon minou, ses doigts s'agitent autour de mon clito. J'écarte les cuisses pour favoriser le geste. Son autre main s'occupe de mes seins. Je sens des doigts se diriger vers mon puits d'amour, qui est déjà bien humide.
La porte du hammam s'ouvre pour laisser passer un couple. Elle est visiblement métisse, il est noir. Ils sont nus, évidemment, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils sont magnifiques. Il nous regarde avec un sourire et dit :

- Ne vous déranger pas pour nous, SVP , continuez.

Ils vont s'asseoir, presque en face de nous. J'ai toujours fantasmé sur les noirs, et j'avoue que celui-là est vraiment beau, grand, baraqué pas de graisse. Je ne délaisse pas pour autant mon ami Philippe. J'enlève ses mains de sur mon corps et je m'agenouille devant lui. Je prends son sexe dans les mains, il est déjà bien dur. Puis, je me sers de ma bouche et son chibre continue à durcir.

- Arrête, si tu continues, je ne réponds de rien.

Il me relève et m'assied sur ses genoux. Je sens son sexe contre mon dos. Il reprend ses caresses, une main s'insinue entre mes cuisses, que j'écarte complaisamment. L'autre couple est aussi entrain de se caresser, leurs regards se dirigent souvent vers nous.
Bernard entre, il est seul.
- On ne s'embête pas à ce que je vois !
- Tu es seul, ils n'ont pas voulu venir ?
- Non, Domi voulait aller danser, Muriel et Stéphane l'ont accompagnée.

Son regard se dirige vers les autres occupants, il s'assied à nos côtés. Il me caresse les seins, puis me murmure à l'oreille :

- Tu m'as bien dit que tu fantasmais sur les noirs ?
- Oui, mais ce n'est peut-être pas le moment, il est accompagné.
- On peut leur demander, en plus il est beau, non ?

Je ne réponds pas, mais cette éventualité ne me déplait pas. Bernard se dirige vers le couple et leur dit quelque chose que je n'entends pas. Lui me regarde et me fait un signe de la tête et se retourne vers sa compagne. Elle a l'air d'accord, car elle attire Bernard à ses côtés.

De fait, l'homme se lève et viens vers nous. Son sexe a commencé à grossir, je ne sais pas si c'est dû aux caresses de sa compagne ou au spectacle que je lui procure, en tout cas, cette vision m'est agréable.

- Je m'appelle Edouard, suivez-moi, ici ce n'est pas confortable, les salons sont mieux, dit-il.
- On sort comme çà, ou l'on se rhabille ? demande Philippe
- Vous pouvez rester nus, prenez juste vos affaires.

Dans l'entrée, nous nous séchons un peu avec les serviettes mises à disposition, puis Edouard nous précède vers un escalier. Philippe est derrière moi, ses mains caressent mes fesses. Nous arrivons dans une pièce où il y a des fauteuils et un grand canapé d'angle avec une méridienne.
Edouard prend ma main et m'entraîne vers le canapé, il m'aide à m'allonger sur la méridienne. Il prend ma robe et la dépose avec ses habits sur un chevalet.
Je comprends pourquoi il m'a fait prendre place sur la méridienne : les deux hommes peuvent se mettre chacun d'un côté sans se gêner. Ce qu'ils font, évidemment. Puis ils me caressent, partout, les seins, les épaules le ventre, les cuisses, les hanches, c'est une symphonie à quatre mains comme j'en ai déjà bénéficié lors de notre première rencontre avec Philippe. Cela ne me laisse pas indifférente, normal. Philippe change de position et commence à m'embrasser les seins, puis il descend vers mon ventre, puis vers le haut de ma fente. Il me connaît, il sait quelles sont les caresses qui m'excitent le plus. J'écarte les cuisses, sa langue fait des mouvements sur mes lèvres intimes, ensuite elle pointe sur mon bouton.
Edouard continue à me caresser les seins, il s'est mis à genoux. Dans cette position, je vois son chibre à quelques distances de mes yeux, je le prends dans une main. J'ai toujours entendu dire que les noirs ont des sexes énormes, c'est certainement vrai pour certains, Edouard, lui, a un membre viril de bonne taille, mais pas disproportionné, à vue d'œil, je le compare à celui de mon époux, peut-être un peu plus long. Quoi qu'il en soit, il est bien dur.
Philippe s'est déplacé vers le pied de la méridienne, il m'attrape par les hanches et me demande de descendre de manière à ce que j'ai les fesses au bord.
Mes pieds sont posés par terre, ma fente est bien exposée. Il se met à genoux devant moi et frotte sa pine sur mon sexe tout mouillé. Puis, il écarte mes nymphes et s'enfonce en moi. Edouard continue ses caresses, j'essaye d'en faire autant sur son chibre. Les mouvements de Philippe dans ma grotte d'amour et les caresses d'Edouard augmentent mon excitation et je finis par jouir.
Philippe sort de ma petite chatte, il n'a pas joui, il bande donc encore.
Edouard se lève, je sens qu'il veut prendre la place de Philippe. Je suis d'accord, mais je veux qu'il mette une capote. Avec Philippe, ce n'est pas pareil, depuis le temps que l'on se connaît, nous avons eu le temps de discuter, nous savons que ni eux ni nous n'avons eu d'autres expériences non protégées.

Édouard revient avec une capote qu'il a prise dans son pantalon. Il me fait des caresses très douces sur les cuisses, il remonte vers mon ventre, redescend doucement vers ma fente. Ses effleurements amplifient mon excitation, un doigt vient caresser mon clito, un autre pénètre mon sexe. Je lui dis de venir en moi. Je sens son sexe qui entre dans mon corps. Philippe est à nouveau à mes côtés et il approche ses mains de mes seins. Je m'appuie sur les coudes, car je veux pouvoir observer cette tige de chair sombre, aller et venir dans mon corps blanc (je suis très blanche de peau.) Je me dis que j'ai bien fait de m'épiler complètement, le contraste n'est que plus intense. Je ne suis pas tellement voyeuse, plutôt exhibitionniste - on s'en serait douté - mais cette vision insolite m'excite. Ceci joint aux va-et-vient de ce sexe noir dans ma chatte, me déclenche un nouvel orgasme. Quand j’ai commencé à jouir comme cela, je deviens insatiable. Aussi, je n'hésite pas quand Philippe me dit :

- Lève toi, je vais me mettre à ta place, tu viendras sur moi
- D’accord, je veux bien, mais Edouard n’a pas joui !
- Moi non plus, ne t’inquiètes pas la soirée n’est pas finie.

Je me lève, il s’allonge à ma place. Cette méridienne est vraiment bien faite : elle est suffisamment étroite et basse pour que je puisse l’enjamber, ce que je fais. Mes deux pieds parterre, je me mets juste au-dessus de la tige dressée de Philippe, je la prends dans la main et la dirige vers mon antre chaud et humide. Je descends lentement pour bien sentir la pénétration. Quand il est complètement en moi, je bouge d'avant en arrière, le contact de nos deux peaux dépourvues de poil est super agréable. Mon clito est bien titillé par cette caresse inhabituelle et je sens que je suis de plus en plus mouillée et excitée.
Edouard s'est mis derrière moi, il passe ses mains sur mes seins aux pointes érigées. Toutes ces caresses entraînent encore un orgasme.
Un peu fatiguée, je repose ma poitrine sur celle de Philippe, mais je continue à me frotter sur Philippe, car le contact de nos peaux nues me donne des sensations fantastiques. Les mains d'Edouard délaissent mes seins, pour mes hanches, puis je les sens sur mes cuisses. Au début à l'extérieur, puis vers l'intérieur, et après sur mes fesses , un doigt parcours mon sillon et atteint mon œillet. J'ai dû tellement mouiller qu'Edouard n'hésite pas à me pénétrer de son doigt. J'arrête mes ondulations contre Philippe et je recule à la rencontre du doigt d'Edouard. Il enlève son doigt, je me retourne et lui dit :

- Non, non, continue.
- J'aimerais mieux avec mon sexe
- Oh, oui ! Vas-y, je suis toute excitée.

J’ai l’impression d’être observée et instinctivement, je tourne la tête de l'autre côté : à l'entrée du salon se trouvent Muriel, Stéphane et Bernard. Bernard est nu, mais Muriel et Stéphane sont toujours habillés. Au moment où Edouard présente son chibre à l'entrée de mon petit trou, j'entends Muriel qui demande à Bernard :

- Cela ne te gêne pas de voir Nanou se faire pénétrer par un autre homme ?
- Non, je sais qu'elle m'aime. Elle ne le ferait pas si je n'étais pas là.
- Oui, mais enfin, là, elle se fait prendre par 2 hommes en même temps, un dans le sexe et l’autre qui la sodomise.
- Lors de nos expériences échangistes, elle l’a déjà fait.
- Ah ! Bon ! D’accord ! Oui, mais là ce sont des …

Le reste, je ne l’écoute pas, je préfère me concentrer sur mon plaisir. Le sexe d’Edouard continue à ouvrir petit à petit la porte de mes fesses, rendue plus étroite par la présence de Philippe dans mon vagin.
Comme je l’ai déjà écrit, le fait de m’être montrée épilée, à des connaissances aussi bien qu’à des inconnus, l’année de notre rencontre avec Philippe m’a fait découvrir mon exhibitionnisme. Aussi, cette sensation d’être regardée, dans ces circonstances particulières, décuple mon excitation.
Je sens les mouvements d’Edouard dans mon cul et j’imagine la vision que je donne à nos amis et à mon cher et tendre époux : empalée sur un sexe blanc et sodomisée par un chibre noir, le bonheur.
Les va-et-vient d'Edouard se font plus rapides, je jouis encore. Peu de temps après, Je jouis et je sens les mains d’Edouard qui se crispent sur mes hanches, lorsque lui aussi atteint le septième ciel.
Quand il se retire, je regarde vers mon mari, je lui fais signe de venir. Il a compris ce que je veux : bien que je ne sois pas une fana de la sodomie, j’apprécie beaucoup de me faire pénétrer le petit trou, quand je suis prise en même temps dans le sexe. De plus, je sais qu'il aime bien m'enculer. Le sexe de Bernard est bien bandé et mon anus bien lubrifié, il entre d’un seul coup dans mes fesses, ses allers et retours longs et profonds augmentent mon excitation jusqu'à déclencher de nouveaux orgasmes dans mon corps et quand il éjacule au fond de mes entrailles, c’est l’apothéose.
Je ne suis plus en mesure de m’agiter sur Philippe, qui est resté bien dur, malgré les pressions de mon vagin sur son sexe. Quand Bernard se retire, Philippe m’aide à me relever, puis il m’installe à genoux devant le canapé, la poitrine reposant sur le siège, la moquette est très douce et j’adore cette position. Philippe pénètre mon sexe tout doucement, je sens son membre turgescent entrer dans mon puits d’amour. Il commence par des mouvements lents et amples, puis accélère, il me connaît bien et sais que cette succession de rythme, m’amènera à la jouissance. Je tourne la tête vers l’entrée du salon, Muriel et Stéphane sont encore là, cette fois-ci, il est derrière elle. Il a passé une main sous sa jupe et je vois qu’il la caresse, elle se laisse faire en me regardant. Les mouvements de Philippe me déclenchent de nouveaux orgasmes, puis je sens sa semence qui se répand dans mon corps.

Après un moment de repos, les hommes se rhabillent, je remets ma robe sans la fermer, Muriel et Stéphane restent dans le salon, nous partons à la rencontre de Domi. Nous la retrouvons sur un fauteuil autour de la piste de danse. Sa position, bien enfoncée dans le moelleux fauteuil, nous dévoile ses cuisses gainées de bas , son string rouge, assorti à son soutien-gorge, est transparent , il dévoile le haut de sa fente épilée.
Elle me dit :

- Toi, tu as la tête de quelqu'un qui a fait l'amour et en plus tu as oublié de remettre ta culotte !
- Je n'avais pas de culotte.
- On dirait que tu t'étais préparée à passer à la casserole.
- Je te rappelle que je suis une adepte du sans-culotte, et puis nous sommes venus un peu pour ça.

Philippe se dirige vers elle, il glisse ses mains sous sa jupe :

- Toi aussi, tu devrais enlever la tienne, après je t'emmène danser.
- Dis donc, tu n'aurais pas des idées, toi, répond elle.

Cela ne l'empêche pas de se laisser faire. Ils partent sur la piste de danse, au son d'un slow langoureux. La soirée est déjà avancée, les tenues sont beaucoup moins habillées qu'au début. Certaines femmes sont en sous-vêtements, d'autres ont perdu une partie de leurs habits. Dès le début de la musique, Philippe entreprend de descendre la fermeture de la jupe de Domi , elle le laisse faire et se retrouve les fesses nues. Avec son chemisier rouge et ses bas noirs, elle est très érotique.
La danse finie, ils reviennent s'asseoir, Philippe a la jupe de Domi dans une main et de l'autre, il caresse son postérieur. Domi à l'air réjoui, elle qui voulait s'exhiber devant des inconnus, elle est servie. Dès que Philippe s'installe, elle s'agenouille devant lui et ouvre la braguette. Devant une telle envie, Philippe dégrafe sa ceinture et enlève pantalon et slip. Domi embouche la tige déjà bien dure.
Bernard et moi sommes assis sur le canapé en vis-à-vis, nous avons une vue imprenable sur l'anatomie de Domi, surtout Bernard, qui est juste en face. D'ailleurs il en profite pour lui caresser les fesses. Je regarde autour de nous, de nombreuses personnes se font des câlins plus ou moins poussés.
Domi se relève, elle va se mettre sur Philipe. De ma place, je vois bien ses nymphes qui s'écartent pour laisser passer le membre de Philippe. Elle commence à s'agiter sur son chéri, la tête tounée vers la piste, elle voit des danseurs s'arrêter pour profiter du spectacle qui se déroule sous leurs yeux. Philippe descend ses mains vers les fesses de Domi, comme il l'a souvent fait en notre présence, il caresse son œillet, avant de la pénétrer avec ses doigts. Elle jouit, en poussant des petits cris.
Domi, elle, est une vraie amatrice de la sodomie, nous la voyons donc se séparer de Philippe, se retourner et s'empaler sur lui. Elle monte et descend sur cette tige qui transperce son anus, Philippe caresse en même temps son clito. Domi accélère son mouvement et, à nouveau, elle jouit. Elle reste assise sur Philippe, qui n'a pas débandé, sa petite chatte épilée est luisante d'excitation.
Elle fait un signe à Bernard, à qui le spectacle a redonné de la vigueur. Il s'approche d'elle, elle caresse son chibre avec une main, puis, elle se penche pour le sucer. Elle recommence des petits mouvements de va-et-vient, le cul toujours occupé par Philippe. Puis elle arrête ses caresses buccales, modifie sa position, pour que Bernard puisse venir l'enfiler par-devant. La position est un peu acrobatique, mais l'excitation de chacun fait oublier ces désagréments. Bernard s'agite en elle jusqu'à prendre son plaisir, partagé par Domi qui jouit en poussant toujours des petits cris.
Elle se repose quelques instants, le sexe de Philippe, bien dur, reste enfoncé dans ses fesses. Lui, aussi veut prendre son plaisir, il fait comme avec moi, tout à l'heure : il aide Domi à se relever et l'installe à genoux devant le canapé, puis il pénètre sa rondelle d'un mouvement lent et continu. Une fois au fond, il va et vient entre ses fesses. D'où je suis, je vois bien sa tige entrer et sortir du petit trou de Domi, qui visiblement prend plaisir à se faire sodomiser devant des inconnus. Ils jouissent tous les deux quasiment en même temps.
Ils reprennent place sur le canapé. Nous prenons un rafraîchissement, pour nous remettre de nos émotions. Puis après quelques danses, quand Muriel et Stéphane nous rejoignent, nous décidons de rentrer.

J'espère que ce récit vous plaira.

A suivre…

Si mes récits vous plaisent n’hésitez pas à me l’écrire : dois-je continuer ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je n'avais pas eu l'occasion de lire ce récit à l'époque de la parution mais je ne
regrette pas de l'avoir lu aujourd'hui. Beau texte,belle histoire,bien écrite et très
érotique. C'est sur que ce récit me plait beaucoup car j'aime les femmes qui assument
leurs envies et vont au bout de leur plaisir. Je vais chercher de nouvelles aventures
car cette Nanou est une vrai coquine.
Merci pour cet érotisme.



Texte coquin : Au club libertin
Histoire sexe : Une rose rouge
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