Au commissariat (1)
Récit érotique écrit par Manu2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 62 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Manu2 ont reçu un total de 488 370 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 14 423 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Au commissariat (1)
Au commissariat la vie n'est pas toujours drôle et pour un jeune flic en civil il n'y a pas souvent de gros trucs, la main courante, longue comme un jour sans pain étale son lot de misère humaine. Un matin en arrivant j'ai lu qu'un Mr Prades avait appelé pour demander qu'on passe le voir le plus discrètement possible. J'ai écrit que j'allais voir sur place. Le nom ne m'était pas inconnu. J'avais lu des articles où l'on parlait de ce procureur Intransigeant.
La maison entourée d'un parc donnait le ton. Cet homme devait avoir un domicile parisien et ne résider ici que pour quelques raouts mondains ou certaines parties fines. J'ai sonné à l'interphone du portail et une voix bien trempée m'a dit de pousser la porte après que j'ai décliné mes qualités et fonctions. Il m'attendait sur le perron et à cette heure matinale, je l'ai trouvé, fumant de ces petits cigares très fins et très chers. Puant de fric et de malhonnêteté déguisée.
Bien, je vois à votre regard que vous me reconnaissez. Vous êtes encore jeune et vous espérez faire une belle carrière, comme tous. Venez, entrons.
Il s'est dirigé vers un bureau de ministre et a déverrouillé un tiroir pour en sortir une lettre et une de ces cartes mémoires d'appareils photos. Il l'a glissée dans l'ordi et après 2 manipulations l'a tourné vers moi. On voyait le procureur se faire sucer par un jeune d'un âge, disons indéfini. Un peu plus loin on le voyait ahaner entre les fesses du même jeune.
C'était qui ce jeune?
Ce n'est pas ce que je veux savoir mais QUI a pris cette vidéo d'acte innommable!
Je ne voudrais pas paraître méchant mais vous êtes en plein champ et reconnaissable.
Je vous croyais plus intelligent inspecteur. Lisez ce torchon joint à la carte.
J'ai lu sans réaction mais si ça passait dans la presse, adieu le procureur. Il y aurait des contents.
C'est signé, François. Vous connaissez un François?
Non évidemment, enfin oui sûrement. Il y a des François dans toutes nos familles.
En tout cas il écrit en excellent français. Mieux qu'à l'école de police. Il explique que vous avez fait du mal à un nommé Patrice. Là aussi il y en a beaucoup dans vos relations?
Mon petit, vous commencez à m'emmerder avec vos questions!
Je vous comprends mais que voulez vous? Porter plainte? Il faudra y ajouter des éléments pour la plainte et je n’suis pas sûr que les éléments que vous me montrez soient recevables. Excusez le terme mais vous avez, à votre décharge, été pris en flagrant délit de détournement s’il est mineur! Enfin même s’il est majeur, de nombreuses personnes vont être au courant.
J'ai bien compris tout ça depuis que j'ai reçu l'enveloppe. On veut m'abattre. Ce n'est pas un jeune couillon de pd qui aura ma peau!
Ne rajoutez pas les injures homosexuelles, prohibées depuis peu. Officiellement pour le moment, tout s'étant passé chez vous, je ne suis au courant de rien. Continuez vos activités habituelles. Réfléchissez à qui a pu prendre ce film et qui peuvent être les nommés Patrice et François. Je passerais vous voir demain matin et nous referons un point.
Je l'ai laissé mariner dans son jus. J'aime bien les vrais coupables mais je déteste les faux innocents. Et le moins qu'on puisse dire c'est que le procureur Prades n'était pas blanc comme neige. J'ai quand même mis mes indics les plus jeunes sur le coup sans citer le proc. J'ai attendu de ses nouvelles. Le lendemain il m'appelait pour me voir toutes affaires cessantes. Je l'ai fait marronner comme il le faisait avec les petites frappes ce qui m'a donné une piste. Dans l'après-midi je lui ai annoncé que je passais chez lui.
Surtout pas! Venez à la villa où nous nous sommes déjà rencontrés!
Ok dans 1/4 d'heure.
Bon j'arrive, notez que je suis de bonne composition!
Mais comme tout le monde Mr Prades.
Je suis arrivé volontairement en retard. Il fulminait dans le parc, tirant sur ses affreux cigarillos.
Alors Mr Prades quelles nouvelles?
Mais... C'est vous qui aviez des nouvelles?
Ha non, c'est vous qui m'avez demandé de passer toutes affaires cessantes. Des souvenirs?
Euh Oui et nonJe m'étais assis sur la margelle d'un puits bouché.
Allons, Mr le procureur, vous l'avez souvent répété! Toute vérité n'est pas bonne à dire mais il faut se libérer de ses mauvais penchants, n'est-ce pas vous qui le dites souvent?
Ne me faites pas la morale.
Comme vous le souhaitez. J'ai bien l'honneur Mr le procureur. Je m'étais levé et partais vers la sortie du parc.
Il m'a rattrapé avant la sortie. Allons Manuel! Je peux vous appeler Manuel n'est-ce pas?
Quand on commet des actes comme ceux que j'ai vus, on m'appelle inspecteur! Je vous ai déjà appelé par votre prénom Mr Prades?
Bien, comme vous voulez. Je vous dessaisis de cette affaire.
C'est vous qui décidez. Mais à votre place, j'en parlerais au bâtonnier avant. Cette fois j'ai marché d'un bon pas jusqu'à la voiture.
Le téléphone a dû chauffer cette après-midi là. Moi, j'avais rencontré le dénommé François et son jeune copain Patrice. Je leur ai remis une convocation au commissariat, les assurant qu'ils ne craignaient rien. François avait 20 ans mais Patrice 17 et même s’il était costaud, on ne pouvait pas le prendre pour un garçon majeur.
On allait s'amuser pour une fois au commissariat.
La maison entourée d'un parc donnait le ton. Cet homme devait avoir un domicile parisien et ne résider ici que pour quelques raouts mondains ou certaines parties fines. J'ai sonné à l'interphone du portail et une voix bien trempée m'a dit de pousser la porte après que j'ai décliné mes qualités et fonctions. Il m'attendait sur le perron et à cette heure matinale, je l'ai trouvé, fumant de ces petits cigares très fins et très chers. Puant de fric et de malhonnêteté déguisée.
Bien, je vois à votre regard que vous me reconnaissez. Vous êtes encore jeune et vous espérez faire une belle carrière, comme tous. Venez, entrons.
Il s'est dirigé vers un bureau de ministre et a déverrouillé un tiroir pour en sortir une lettre et une de ces cartes mémoires d'appareils photos. Il l'a glissée dans l'ordi et après 2 manipulations l'a tourné vers moi. On voyait le procureur se faire sucer par un jeune d'un âge, disons indéfini. Un peu plus loin on le voyait ahaner entre les fesses du même jeune.
C'était qui ce jeune?
Ce n'est pas ce que je veux savoir mais QUI a pris cette vidéo d'acte innommable!
Je ne voudrais pas paraître méchant mais vous êtes en plein champ et reconnaissable.
Je vous croyais plus intelligent inspecteur. Lisez ce torchon joint à la carte.
J'ai lu sans réaction mais si ça passait dans la presse, adieu le procureur. Il y aurait des contents.
C'est signé, François. Vous connaissez un François?
Non évidemment, enfin oui sûrement. Il y a des François dans toutes nos familles.
En tout cas il écrit en excellent français. Mieux qu'à l'école de police. Il explique que vous avez fait du mal à un nommé Patrice. Là aussi il y en a beaucoup dans vos relations?
Mon petit, vous commencez à m'emmerder avec vos questions!
Je vous comprends mais que voulez vous? Porter plainte? Il faudra y ajouter des éléments pour la plainte et je n’suis pas sûr que les éléments que vous me montrez soient recevables. Excusez le terme mais vous avez, à votre décharge, été pris en flagrant délit de détournement s’il est mineur! Enfin même s’il est majeur, de nombreuses personnes vont être au courant.
J'ai bien compris tout ça depuis que j'ai reçu l'enveloppe. On veut m'abattre. Ce n'est pas un jeune couillon de pd qui aura ma peau!
Ne rajoutez pas les injures homosexuelles, prohibées depuis peu. Officiellement pour le moment, tout s'étant passé chez vous, je ne suis au courant de rien. Continuez vos activités habituelles. Réfléchissez à qui a pu prendre ce film et qui peuvent être les nommés Patrice et François. Je passerais vous voir demain matin et nous referons un point.
Je l'ai laissé mariner dans son jus. J'aime bien les vrais coupables mais je déteste les faux innocents. Et le moins qu'on puisse dire c'est que le procureur Prades n'était pas blanc comme neige. J'ai quand même mis mes indics les plus jeunes sur le coup sans citer le proc. J'ai attendu de ses nouvelles. Le lendemain il m'appelait pour me voir toutes affaires cessantes. Je l'ai fait marronner comme il le faisait avec les petites frappes ce qui m'a donné une piste. Dans l'après-midi je lui ai annoncé que je passais chez lui.
Surtout pas! Venez à la villa où nous nous sommes déjà rencontrés!
Ok dans 1/4 d'heure.
Bon j'arrive, notez que je suis de bonne composition!
Mais comme tout le monde Mr Prades.
Je suis arrivé volontairement en retard. Il fulminait dans le parc, tirant sur ses affreux cigarillos.
Alors Mr Prades quelles nouvelles?
Mais... C'est vous qui aviez des nouvelles?
Ha non, c'est vous qui m'avez demandé de passer toutes affaires cessantes. Des souvenirs?
Euh Oui et nonJe m'étais assis sur la margelle d'un puits bouché.
Allons, Mr le procureur, vous l'avez souvent répété! Toute vérité n'est pas bonne à dire mais il faut se libérer de ses mauvais penchants, n'est-ce pas vous qui le dites souvent?
Ne me faites pas la morale.
Comme vous le souhaitez. J'ai bien l'honneur Mr le procureur. Je m'étais levé et partais vers la sortie du parc.
Il m'a rattrapé avant la sortie. Allons Manuel! Je peux vous appeler Manuel n'est-ce pas?
Quand on commet des actes comme ceux que j'ai vus, on m'appelle inspecteur! Je vous ai déjà appelé par votre prénom Mr Prades?
Bien, comme vous voulez. Je vous dessaisis de cette affaire.
C'est vous qui décidez. Mais à votre place, j'en parlerais au bâtonnier avant. Cette fois j'ai marché d'un bon pas jusqu'à la voiture.
Le téléphone a dû chauffer cette après-midi là. Moi, j'avais rencontré le dénommé François et son jeune copain Patrice. Je leur ai remis une convocation au commissariat, les assurant qu'ils ne craignaient rien. François avait 20 ans mais Patrice 17 et même s’il était costaud, on ne pouvait pas le prendre pour un garçon majeur.
On allait s'amuser pour une fois au commissariat.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Manu2
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...