Au commissariat (2)
Récit érotique écrit par Manu2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Au commissariat (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Une fois les vérifications d'identité effectuées, j'ai commencé à les faire parler, sans agressivité. Toute l'histoire s'est déroulée d'un coup. Visiblement, ils avaient besoin de parler. J'ai appris assez vite que François tapinait dans les sous bois derrière l'ambassade de Russie et qu'il s'était fait ramasser par une ronde d’îlotiers. Mené le soir même au commissariat de quartier, il a attendu avec les tapineurs et les travs jusqu'à ce qu'un homme bien habillé passe voir au matin les nouveaux du jour. Cet homme l'a fait sortir en signant la levée d'écrou et aussitôt dans sa voiture l'a prévenu :Tu viens de sortir, mais je peux t'y renvoyer de suite.
Il a roulé jusqu'à une impasse déserte à cette heure.
Suce-moi et fait-le bien sinon je te ramène au poste.
François n'a pas été dérangé de le faire, habitué aux caprices de ses clients, allant jusqu'à avaler le jus abondant et chaud.
Brave garçon. Tu fais ça très bien. Mais je vais t'en demander plus pour effacer la tâche sur ton casier judiciaire. Je suppose que tu dors à l'hôtel. Aujourd'hui tu seras à ma disposition totale. Tu comprends ce que je te dis?
Oui m'sieur.
Il a redémarré et après des détours est entré dans un parking puis dans un box un peu spécial. Une fois la voiture engagée, le box s'est refermé avec un rideau. Là, le ton a changé.
Mets-toi à poil, petite pute! Entièrement.
Bon encore une fantaisie et j'ai tout viré docilement, j'étais fier de mon corps de jeune mec et naturellement j'ai bandé, excité par la situation.
Laisse tes affaires sur le siège et prend la porte en face de la voiture.
Je me suis trouvé dans une cabine d’ascenseur où il est monté, s'appuyant contre moi, passant les doigts un peu partout, soufflant plus rapidement.
Tu te fais mettre avec capotes la pute?
Ben oui, je suis pas fou!
Cette fois ce sera sans. Ton cul est bien ouvert, tu dois te faire pas mal de mecs.
Ben, je fais pas ça tous les jours, seulement quand je suis chaud.
Et là, t'es chaud?
Il avait enfoncé un doigt au plus profond de mes fesses, me soulevant presque.
Tu mouilles comme une femelle en chaleur.
L'ascenseur s'était arrêté et la porte ouverte donnait sur un salon très bien meublé, très chic.
Approche-toi de moi, déshabille-moi. Tu finiras par mon slip.
J'ai tout enlevé, pliant ses vêtements, découvrant son torse velu et ses larges épaules. Puis j'ai ôté ses chaussures et ses chaussettes avant de faire descendre son pantalon. Il portait un slip à poche, bien rempli par un sexe que je n'ai pas pu découvrir de suite. Il a voulu que je lèche ce slip de sous la queue jusqu'au gland que je devinais raide.
Tu sens ce que je vais mettre dans ton petit cul autant de fois dans la journée que je voudrais!
De toutes manières, mes fringues étaient au sous-sol et je ne me voyais pas partir cul nu dans un endroit inconnu. J'ai subi ses assauts répétés toute la journée. Dans toutes les positions qu'il voulait et le soir venu, il m'a fait descendre par l'ascenseur pour que je me rhabille, lui étant en robe de chambre. Après l'ouverture du volet roulant, il m'a dit que la prochaine fois il serait moins indulgent.
Barre-toi petite pute!
J'ai mémorisé le chemin pour m'y rendre et je n'y ai plus pensé pendant un moment. Une nuit mon portable a sonné, c'était Patrice qui appelait du commissariat à coté de l'ambassade, il s'était fait ramasser. Comme je lui avais dit qu'un mec m'avait sorti de là, il avait besoin d'aide. J'ai donc refait le chemin jusqu'au garage du mec mais il était fermé et j'ai fait le tour. L'immeuble était superbe et j'ai pu voir dans l'entrée sa boîte aux lettres. J'ai sonné à ce nom un moment avant que sa voix ensommeillée me réponde. J'ai sorti mon baratin très vite pour ne pas qu'il raccroche mais quand j'ai dit qu'il avait moins de 18 ans et qu'il était super mignon, il a ouvert et indiqué l'étage. Il attendait à la porte en peignoir.
Alors comme ça? Tu m'as retrouvé, petite pute? Entre. Ton pote est vraiment mignon? Et tu dis qu'il a quel âge.
Il a 17 ans m'sieur et il en fait même moins.
Bon, on va aller voir, je m'habille, mais il ne faut pas croire que je vais vous faire sortir comme ça à chaque fois!
On est descendu dans le garage et il a roulé jusqu'au commissariat.
Attends-moi là. J'espère que tu ne m'as pas raconté de bêtises.
Une fois les vérifications d'identité effectuées, j'ai commencé à les faire parler, sans agressivité. Toute l'histoire s'est déroulée d'un coup. Visiblement, ils avaient besoin de parler. J'ai appris assez vite que François tapinait dans les sous bois derrière l'ambassade de Russie et qu'il s'était fait ramasser par une ronde d’îlotiers. Mené le soir même au commissariat de quartier, il a attendu avec les tapineurs et les travs jusqu'à ce qu'un homme bien habillé passe voir au matin les nouveaux du jour. Cet homme l'a fait sortir en signant la levée d'écrou et aussitôt dans sa voiture l'a prévenu :Tu viens de sortir, mais je peux t'y renvoyer de suite.
Il a roulé jusqu'à une impasse déserte à cette heure.
Suce-moi et fait-le bien sinon je te ramène au poste.
François n'a pas été dérangé de le faire, habitué aux caprices de ses clients, allant jusqu'à avaler le jus abondant et chaud.
Brave garçon. Tu fais ça très bien. Mais je vais t'en demander plus pour effacer la tâche sur ton casier judiciaire. Je suppose que tu dors à l'hôtel. Aujourd'hui tu seras à ma disposition totale. Tu comprends ce que je te dis?
Oui m'sieur.
Il a redémarré et après des détours est entré dans un parking puis dans un box un peu spécial. Une fois la voiture engagée, le box s'est refermé avec un rideau. Là, le ton a changé.
Mets-toi à poil, petite pute! Entièrement.
Bon encore une fantaisie et j'ai tout viré docilement, j'étais fier de mon corps de jeune mec et naturellement j'ai bandé, excité par la situation.
Laisse tes affaires sur le siège et prend la porte en face de la voiture.
Je me suis trouvé dans une cabine d’ascenseur où il est monté, s'appuyant contre moi, passant les doigts un peu partout, soufflant plus rapidement.
Tu te fais mettre avec capotes la pute?
Ben oui, je suis pas fou!
Cette fois ce sera sans. Ton cul est bien ouvert, tu dois te faire pas mal de mecs.
Ben, je fais pas ça tous les jours, seulement quand je suis chaud.
Et là, t'es chaud?
Il avait enfoncé un doigt au plus profond de mes fesses, me soulevant presque.
Tu mouilles comme une femelle en chaleur.
L'ascenseur s'était arrêté et la porte ouverte donnait sur un salon très bien meublé, très chic.
Approche-toi de moi, déshabille-moi. Tu finiras par mon slip.
J'ai tout enlevé, pliant ses vêtements, découvrant son torse velu et ses larges épaules. Puis j'ai ôté ses chaussures et ses chaussettes avant de faire descendre son pantalon. Il portait un slip à poche, bien rempli par un sexe que je n'ai pas pu découvrir de suite. Il a voulu que je lèche ce slip de sous la queue jusqu'au gland que je devinais raide.
Tu sens ce que je vais mettre dans ton petit cul autant de fois dans la journée que je voudrais!
De toutes manières, mes fringues étaient au sous-sol et je ne me voyais pas partir cul nu dans un endroit inconnu. J'ai subi ses assauts répétés toute la journée. Dans toutes les positions qu'il voulait et le soir venu, il m'a fait descendre par l'ascenseur pour que je me rhabille, lui étant en robe de chambre. Après l'ouverture du volet roulant, il m'a dit que la prochaine fois il serait moins indulgent.
Barre-toi petite pute!
J'ai mémorisé le chemin pour m'y rendre et je n'y ai plus pensé pendant un moment. Une nuit mon portable a sonné, c'était Patrice qui appelait du commissariat à coté de l'ambassade, il s'était fait ramasser. Comme je lui avais dit qu'un mec m'avait sorti de là, il avait besoin d'aide. J'ai donc refait le chemin jusqu'au garage du mec mais il était fermé et j'ai fait le tour. L'immeuble était superbe et j'ai pu voir dans l'entrée sa boîte aux lettres. J'ai sonné à ce nom un moment avant que sa voix ensommeillée me réponde. J'ai sorti mon baratin très vite pour ne pas qu'il raccroche mais quand j'ai dit qu'il avait moins de 18 ans et qu'il était super mignon, il a ouvert et indiqué l'étage. Il attendait à la porte en peignoir.
Alors comme ça? Tu m'as retrouvé, petite pute? Entre. Ton pote est vraiment mignon? Et tu dis qu'il a quel âge.
Il a 17 ans m'sieur et il en fait même moins.
Bon, on va aller voir, je m'habille, mais il ne faut pas croire que je vais vous faire sortir comme ça à chaque fois!
On est descendu dans le garage et il a roulé jusqu'au commissariat.
Attends-moi là. J'espère que tu ne m'as pas raconté de bêtises.
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