Au concert
Récit érotique écrit par XASS23 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au concert
A l’occasion d’un concert de musique classique, j’étais assis à côté d’une vieille femme à la figure très ridée, assurément marquée par l’âge. On pourrait dire qu’elle n’était vraiment pas belle. Néanmoins, elle était vêtue d’une minijupe qui, dans la position assise, était remontée jusqu’à la lisière de ses bas noirs dévoilant bien ses jambes. Fréquemment, elle tirait sur sa jupe pour la remettre en place. Attiré par ces mouvements, j’ai pu lui faire une gentille remarque :
- « Ne cachez pas ce qui est joli. De nos jours les femmes ne portent que des jeans et basquettes. L’élégance qui faisait la réputation de notre pays est devenue bien rare. Je trouve vos jambes très jolies. »
- « Sur la tenue des femmes actuelles jeunes ou âgées, Vous avez raison monsieur, je l’observe comme vous. Merci pour votre compliment. Quel âge avez-vous ? »
- « J’ai 70ans et vous ? »
- « Un peu plus vieille, 74 »
Pendant le concert, j’ai souvent porté mon regard sur son jeu de jambes. A la fin de la séance, avant de nous quitter, nous avons échangé sur la qualité du concert et sur nos activités de bénévolat. Je ne sais pourquoi, cette femme m’excitait alors qu’à part ses jambes et la vision qu’elle donnait d’une poitrine avantageuse sous un pull moulant, elle n’était effectivement pas belle. Que m’a-t-il pris de lui dire : « j’aimerais vous revoir », je n’ai pas osé lui dire « dans l’intimité ».
- « Moi aussi, vous m’êtes sympathique mais qu’aurons-nous à nous dire ? »
- « Nous pourrons continuer à échanger sur nos activités et je pourrai à nouveau admirer vos jambes gainées. «
- « Petit coquin, je peux vous offrir le café chez moi et vous montrer ce que j’écris à l’occasion de mon engagement pour les gens en difficulté et cela en tout bien tout honneur. »
- « J’accepte l’invitation. Dites-moi où vous habitez. Quel est votre prénom ? moi c’est Alain. »
- « Moi c’est Janine. Je vous donne ma carte de visite come cela vous aurez mon nom, mon adresse et mon tel portable. Prévenez-moi de votre visite car je suis souvent de permanence à mon association. Donc au revoir monsieur Alain »
Effectivement ma pensée était un peu coquine mais notre échange sur nos activités de seniors était très intéressant. J’avais appris qu’elle militait à la croix rouge, qu’elle participait souvent à des maraudes et qu’elle avait des contacts enrichissants. Pour ma part, je lui avais raconté brièvement mon engagement dans le conseil aux personnes en difficulté avec internet au sein d’une amicale de quartier.
Un beau jour retrouvant sa carte de visite, je m’avise d’appeler mon nouveau contact non sans une arrière-pensée un peu idiote car comme je l’ai dit, à par ses jambes et sa poitrine, elle n’est vraiment pas belle.
- « Allo Janine, c’est Alain votre contact à l’occasion du concert. Comment allez-vous ? »
- « Je vais bien, un peu fatiguée de ma dernière maraude, je me suis couchée tard. Que me vaut votre appel ? »
- « Il fait suite à votre proposition de boire un café chez vous Etes-vous libre cet après-midi ? »
- « Oui, je n’ai rien de programmé, vous pouvez venir vers 15h si vous le souhaitez, je vous attendrai. »
- « Ok, je viendrai. »
Rien dans notre brève conversation ne me dit si elle a envie de me voir autrement que pour discuter de nos activités. Je n’ai pas voulu trop m’avancer de peur de ne pas être compris. Donc à l’heure convenue, je me présente à sa porte. Janine m’ouvre dans une tenue de ville mais un brin sexy : jupe très courte sur des bas dont on découvre le haut brodé et corsage entrouvert laissant deviner une poitrine non soutenue dont les tétons marquent bien le tissu. Mon regard s’égard et je crois qu’elle l’a vu sans réaction.
- « Bonjour ma chère, puis-je vous faire la bise ? »
- « Ce n’est pas de refus même si nous nous connaissons à peine. »
- « C’est une attitude amicale. »
Je dépose donc un léger baiser sur sa joue en faisant glisser mes lèvres près des siennes. Elle ne réagit pas et m’embrasse également sur la joue.
- « Mettez-vous à l’aise, prenez place sur un fauteuil, j’ai préparé le café accompagné de quelques mignardises. »
En se penchant pour poser les tasses et la cafetière sur la table basse, je peux admirer cette poitrine libre qui bouge à chaque mouvement. Janine s’assied en face moi dans le canapé et comme au concert, sa jupe remonte à bien dévoiler le haut de se bas.
- « Alors Alain, vous souhaitiez que nous échangions sur nos activités de bénévolat. Venez à côté de moi je vais vous montrer les photos que j’ai prise lors de mes maraudes et de nos différentes réunion à la croix rouge. Elles vont alimenter le livre que je suis en train d’écrire. »
En me déplaçant, je renverse par inadvertance le paquet de photos qui les fait voler par terre.
Tous les deux, penchés sur le sol pour les ramasser, Janine se cogne contre la table et en se relevant, un sein s’échappe de son corsage. Relevée, le sein libéré et bien visible, mon hôte s’excuse sans manifester un empressement à remettre son corsage en place.
- « Ne vous excusez pas Janine, je vous ferai la même réflexion qu’au concert à propos de vos jambes : ne cachez pas ce qui est joli. »
- « Je suis confuse mais accepte votre compliment. »
- « Si j’osais, je vous demanderais de me montrer l’autre. »
- « Je vous trouve effectivement bien osé mon cher Alain, ma vieille carcasse vous intéresse tellement ? Mes jambes, ma poitrine, ne me dites pas que je vous fais de l’effet ? Regardez ma figure toute ravagée par les rides, je ne suis qu’un vilain tableau. »
- « Ne vous dévalorisez pas madame, si j’ai souhaité vous revoir c’est parce que oui, votre corps m’avait émoustillé et avait fait naître en moi quelque pensée lubrique. Si vous m’y autorisiez, je caresserais cette poitrine que vous m’avez presqu’offerte. »
- « Vous me plaisez Alain, je vous autorise. »
En dégageant le deuxième sein de ma main droite, je pose mon autre main sur sa cuisse. Je m’approche pour prendre en bouche un téton bien dressé qui trahi une probable excitation de ma voisine.
- « Là, vous en demandez trop mon cher d’autant que je ne suis pas sûre de refuser. Votre main sur ma cuisse est posée comme une caresse et si vous la faites courir un peu plus haut, vous risquez des surprises. »
San hésiter, mes doigts remontent jusqu’à l’entre jambes et oui, quelle surprise ! j’accède à une toison très fournie et passablement humide.
- « Vous n’avez pas de culotte et vous êtes mouillée Vous aurais-je excitée ? »
- « Oui Alain. Cela fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas caressée. Même à mon âge, j’ai des désirs sexuels et seule la masturbation me permet de les assouvir. J’ai envie d’être offerte, je voudrais donner mon corps à toute personne qui saura me faire jouir et comme dans mes rêves lubriques je veux être très vulgaire. Baisez-moi, donnez-moi votre queue dans ma chatte, faites-moi jouir jusqu’à épuisement. »
Sans hésiter je dégrafe mon jean qui tombe à terre, la bosse de mon boxer en dit long sur mon excitation, je sors mon sexe que Janine s’empresse de mettre en bouche. En décalottant le gland, sa langue le parcours avec délectation.
- « Vous semblez être une experte ma chère ! »
- « Vous avez déclenché en moi un désir que je ne peux refreiner. Alain, baise-moi, baise-moi, mets ta langue dans ma fente, prends mon clito et quand tu m’auras fait jouir une première fois, baise ma chatte avec ta queue. Caresse-moi aussi derrière. Ne jouis pas de suite, tu le feras derrière dans mon cul. »
- « Vous voulez que je vous encule ? »
- « Oui, c’est le mot, fais de moi ta salope, tu peux me tutoyer comme une pute, je suis ton esclave du moment. »
Nos corps s’enlacent, le corsage de ma partenaire est grand ouvert, je mordille et suce un téton pendant que ma main fouille sous la jupe entièrement relevée. Ma langue descend lentement sur ce corps offert, je fais glisser sa jupe et atteins sa chatte. Je m’amuse avec ses poils trempés et atteins son clito que j’aspire et mordille.
- « Oui ! c’est bon ce que tu me fais Alain, continue, je sens que je vais jouir, ne t’arrête pas. »
En effet, cette petite salope se raidit et en plein orgasme, m’inonde la figure de son jus.
- « Viens derrière comme je te l’ai demandé, lubrifie mon trou avec ma mouille et pénètre moi profond et bien fort. Fais-moi à nouveau jouir en m’envoyant tout ton sperme. »
Je la ramone et la lime sans ménagement et quand je sens l’orgasme monter, je la préviens pour que nous jouissions en semble. Après un extase bruyante où Janine crie de plaisir, nos corps se séparent.
- « Eh bien madame Janine quelle partie de plaisir vous m’avez offert et vous êtes-vous satisfaite ? »
- « Oui Alain c’était merveilleux, je vous remercie. J’ai un peu honte de m’être livrée ainsi, j’ai concrétisé ce que je vois dans les vidéos et imagine dans mes fantasmes. C’était si bon. »
- « A nos âges, il faut profiter de la vie sans limite et sans regret. Il y a un instant, vous m’avez dit : « Cela fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas caressée, je voudrais donner mon corps à toute personne qui saura me faire jouir »
- « Et si c’était une femme ? »
- « Je n’ai jamais eu l’occasion mais je reconnais que le visionnement occasionnel de vidéos de gouines m’excite quand je me masturbe. Dans notre groupe de bénévoles, il y a une petite jeune dont la rumeur dit qu’elle est lesbienne. J’observe son comportement mais rien ne trahit cette rumeur. Pour notre partie d’aujourd’hui, qui comme je l’ai dit état une première depuis très longtemps, si vous ne m’aviez pas provoquée, je n’aurais jamais osé. Je préfère secrètement qu’on me fasse des avances mais tout ceci est d’un autre âge. Sans vous, je me serais toujours satisfaite de mes plaisirs solitaires. Vous m’avez libéré de ma solitude sexuelle et votre dernière question sur la jouissance avec une femme me donne des idées d’action. Nous en reparlerons.
- « Janine je dois vous quitter à regret, tenez-moi au courant de ce que vous appelez « idées d’action sur la jouissance avec une femme. »
Nous nous séparons avec un tendre baiser sur la bouche.
- « Ne cachez pas ce qui est joli. De nos jours les femmes ne portent que des jeans et basquettes. L’élégance qui faisait la réputation de notre pays est devenue bien rare. Je trouve vos jambes très jolies. »
- « Sur la tenue des femmes actuelles jeunes ou âgées, Vous avez raison monsieur, je l’observe comme vous. Merci pour votre compliment. Quel âge avez-vous ? »
- « J’ai 70ans et vous ? »
- « Un peu plus vieille, 74 »
Pendant le concert, j’ai souvent porté mon regard sur son jeu de jambes. A la fin de la séance, avant de nous quitter, nous avons échangé sur la qualité du concert et sur nos activités de bénévolat. Je ne sais pourquoi, cette femme m’excitait alors qu’à part ses jambes et la vision qu’elle donnait d’une poitrine avantageuse sous un pull moulant, elle n’était effectivement pas belle. Que m’a-t-il pris de lui dire : « j’aimerais vous revoir », je n’ai pas osé lui dire « dans l’intimité ».
- « Moi aussi, vous m’êtes sympathique mais qu’aurons-nous à nous dire ? »
- « Nous pourrons continuer à échanger sur nos activités et je pourrai à nouveau admirer vos jambes gainées. «
- « Petit coquin, je peux vous offrir le café chez moi et vous montrer ce que j’écris à l’occasion de mon engagement pour les gens en difficulté et cela en tout bien tout honneur. »
- « J’accepte l’invitation. Dites-moi où vous habitez. Quel est votre prénom ? moi c’est Alain. »
- « Moi c’est Janine. Je vous donne ma carte de visite come cela vous aurez mon nom, mon adresse et mon tel portable. Prévenez-moi de votre visite car je suis souvent de permanence à mon association. Donc au revoir monsieur Alain »
Effectivement ma pensée était un peu coquine mais notre échange sur nos activités de seniors était très intéressant. J’avais appris qu’elle militait à la croix rouge, qu’elle participait souvent à des maraudes et qu’elle avait des contacts enrichissants. Pour ma part, je lui avais raconté brièvement mon engagement dans le conseil aux personnes en difficulté avec internet au sein d’une amicale de quartier.
Un beau jour retrouvant sa carte de visite, je m’avise d’appeler mon nouveau contact non sans une arrière-pensée un peu idiote car comme je l’ai dit, à par ses jambes et sa poitrine, elle n’est vraiment pas belle.
- « Allo Janine, c’est Alain votre contact à l’occasion du concert. Comment allez-vous ? »
- « Je vais bien, un peu fatiguée de ma dernière maraude, je me suis couchée tard. Que me vaut votre appel ? »
- « Il fait suite à votre proposition de boire un café chez vous Etes-vous libre cet après-midi ? »
- « Oui, je n’ai rien de programmé, vous pouvez venir vers 15h si vous le souhaitez, je vous attendrai. »
- « Ok, je viendrai. »
Rien dans notre brève conversation ne me dit si elle a envie de me voir autrement que pour discuter de nos activités. Je n’ai pas voulu trop m’avancer de peur de ne pas être compris. Donc à l’heure convenue, je me présente à sa porte. Janine m’ouvre dans une tenue de ville mais un brin sexy : jupe très courte sur des bas dont on découvre le haut brodé et corsage entrouvert laissant deviner une poitrine non soutenue dont les tétons marquent bien le tissu. Mon regard s’égard et je crois qu’elle l’a vu sans réaction.
- « Bonjour ma chère, puis-je vous faire la bise ? »
- « Ce n’est pas de refus même si nous nous connaissons à peine. »
- « C’est une attitude amicale. »
Je dépose donc un léger baiser sur sa joue en faisant glisser mes lèvres près des siennes. Elle ne réagit pas et m’embrasse également sur la joue.
- « Mettez-vous à l’aise, prenez place sur un fauteuil, j’ai préparé le café accompagné de quelques mignardises. »
En se penchant pour poser les tasses et la cafetière sur la table basse, je peux admirer cette poitrine libre qui bouge à chaque mouvement. Janine s’assied en face moi dans le canapé et comme au concert, sa jupe remonte à bien dévoiler le haut de se bas.
- « Alors Alain, vous souhaitiez que nous échangions sur nos activités de bénévolat. Venez à côté de moi je vais vous montrer les photos que j’ai prise lors de mes maraudes et de nos différentes réunion à la croix rouge. Elles vont alimenter le livre que je suis en train d’écrire. »
En me déplaçant, je renverse par inadvertance le paquet de photos qui les fait voler par terre.
Tous les deux, penchés sur le sol pour les ramasser, Janine se cogne contre la table et en se relevant, un sein s’échappe de son corsage. Relevée, le sein libéré et bien visible, mon hôte s’excuse sans manifester un empressement à remettre son corsage en place.
- « Ne vous excusez pas Janine, je vous ferai la même réflexion qu’au concert à propos de vos jambes : ne cachez pas ce qui est joli. »
- « Je suis confuse mais accepte votre compliment. »
- « Si j’osais, je vous demanderais de me montrer l’autre. »
- « Je vous trouve effectivement bien osé mon cher Alain, ma vieille carcasse vous intéresse tellement ? Mes jambes, ma poitrine, ne me dites pas que je vous fais de l’effet ? Regardez ma figure toute ravagée par les rides, je ne suis qu’un vilain tableau. »
- « Ne vous dévalorisez pas madame, si j’ai souhaité vous revoir c’est parce que oui, votre corps m’avait émoustillé et avait fait naître en moi quelque pensée lubrique. Si vous m’y autorisiez, je caresserais cette poitrine que vous m’avez presqu’offerte. »
- « Vous me plaisez Alain, je vous autorise. »
En dégageant le deuxième sein de ma main droite, je pose mon autre main sur sa cuisse. Je m’approche pour prendre en bouche un téton bien dressé qui trahi une probable excitation de ma voisine.
- « Là, vous en demandez trop mon cher d’autant que je ne suis pas sûre de refuser. Votre main sur ma cuisse est posée comme une caresse et si vous la faites courir un peu plus haut, vous risquez des surprises. »
San hésiter, mes doigts remontent jusqu’à l’entre jambes et oui, quelle surprise ! j’accède à une toison très fournie et passablement humide.
- « Vous n’avez pas de culotte et vous êtes mouillée Vous aurais-je excitée ? »
- « Oui Alain. Cela fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas caressée. Même à mon âge, j’ai des désirs sexuels et seule la masturbation me permet de les assouvir. J’ai envie d’être offerte, je voudrais donner mon corps à toute personne qui saura me faire jouir et comme dans mes rêves lubriques je veux être très vulgaire. Baisez-moi, donnez-moi votre queue dans ma chatte, faites-moi jouir jusqu’à épuisement. »
Sans hésiter je dégrafe mon jean qui tombe à terre, la bosse de mon boxer en dit long sur mon excitation, je sors mon sexe que Janine s’empresse de mettre en bouche. En décalottant le gland, sa langue le parcours avec délectation.
- « Vous semblez être une experte ma chère ! »
- « Vous avez déclenché en moi un désir que je ne peux refreiner. Alain, baise-moi, baise-moi, mets ta langue dans ma fente, prends mon clito et quand tu m’auras fait jouir une première fois, baise ma chatte avec ta queue. Caresse-moi aussi derrière. Ne jouis pas de suite, tu le feras derrière dans mon cul. »
- « Vous voulez que je vous encule ? »
- « Oui, c’est le mot, fais de moi ta salope, tu peux me tutoyer comme une pute, je suis ton esclave du moment. »
Nos corps s’enlacent, le corsage de ma partenaire est grand ouvert, je mordille et suce un téton pendant que ma main fouille sous la jupe entièrement relevée. Ma langue descend lentement sur ce corps offert, je fais glisser sa jupe et atteins sa chatte. Je m’amuse avec ses poils trempés et atteins son clito que j’aspire et mordille.
- « Oui ! c’est bon ce que tu me fais Alain, continue, je sens que je vais jouir, ne t’arrête pas. »
En effet, cette petite salope se raidit et en plein orgasme, m’inonde la figure de son jus.
- « Viens derrière comme je te l’ai demandé, lubrifie mon trou avec ma mouille et pénètre moi profond et bien fort. Fais-moi à nouveau jouir en m’envoyant tout ton sperme. »
Je la ramone et la lime sans ménagement et quand je sens l’orgasme monter, je la préviens pour que nous jouissions en semble. Après un extase bruyante où Janine crie de plaisir, nos corps se séparent.
- « Eh bien madame Janine quelle partie de plaisir vous m’avez offert et vous êtes-vous satisfaite ? »
- « Oui Alain c’était merveilleux, je vous remercie. J’ai un peu honte de m’être livrée ainsi, j’ai concrétisé ce que je vois dans les vidéos et imagine dans mes fantasmes. C’était si bon. »
- « A nos âges, il faut profiter de la vie sans limite et sans regret. Il y a un instant, vous m’avez dit : « Cela fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas caressée, je voudrais donner mon corps à toute personne qui saura me faire jouir »
- « Et si c’était une femme ? »
- « Je n’ai jamais eu l’occasion mais je reconnais que le visionnement occasionnel de vidéos de gouines m’excite quand je me masturbe. Dans notre groupe de bénévoles, il y a une petite jeune dont la rumeur dit qu’elle est lesbienne. J’observe son comportement mais rien ne trahit cette rumeur. Pour notre partie d’aujourd’hui, qui comme je l’ai dit état une première depuis très longtemps, si vous ne m’aviez pas provoquée, je n’aurais jamais osé. Je préfère secrètement qu’on me fasse des avances mais tout ceci est d’un autre âge. Sans vous, je me serais toujours satisfaite de mes plaisirs solitaires. Vous m’avez libéré de ma solitude sexuelle et votre dernière question sur la jouissance avec une femme me donne des idées d’action. Nous en reparlerons.
- « Janine je dois vous quitter à regret, tenez-moi au courant de ce que vous appelez « idées d’action sur la jouissance avec une femme. »
Nous nous séparons avec un tendre baiser sur la bouche.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très agréable histoire de plaisir que j’aimerais bien vivre. Malheureusement, les problèmes de santé et mes78 ans limitent mes ambitions. Votre récit ravive mes souvenirs d’adolescent où une très agréable vieille dame de 76 ans, mère du bâtonnier de ma ville, avait décidé de profiter de la vie en offrant son expérience à des jeunes de 16 à 19 ans (jamais 20) et leur offrant un petit cadeau. Depuis je n’ai pas appris grand chose. Depuis ma petite enfance, j’ai toujours été attiré par les personnes âgées moi qui ne connut jamais de grand-mère. Continuez à faire revivre mes sensations.
Bravo une suite peut-être ?