AU FENIL
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2018 dans la catégorie Plus on est
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AU FENIL
La nuit tombe en cette douce soirée d'automne lorsque je croise ce vaillant ancêtre sac au dos. Il a plus de 60 ans mais son pas est alerte et son physique intéressant. Je sens son regard captivé sur mon anatomie mise en valeur par cette tenue de fondeuse très prés du corps. Je continue à courir à mon rythme. Je l'imagine osant m'interrompre dans mon effort pour me proposer de batifoler dans l'une des nombreuses micro-clairiéres qui peuplent le taillis voisin. Mon cœur s’accélère et le rouge me monte aux joues. J'aime mon anatomie assez peu en rapport avec mon sport préféré et j'aspire à m'exhiber et à susciter la concupiscence en bien des occasions. Mon cerveau est peu à peu envahi de désirs inavouables et je redouble d'effort pour faire cesser ces pulsions, mais rien n'y fait. Je finis par m’arrêter et entrer dans le taillis. A l'abri des regards, je me dénude et commence à me toucher. Je caresse mes épaules puissantes, mes seins ronds et fermes, mes fesses rebondies, mes larges hanches et mon sexe proéminent qu'une courte toison blonde met en valeur. Je plonge avec délice entre mes fesses et mes grandes lèvres. Je m'agite et détrempe mon vagin et mon cul de salive, mais rien ne vient. La caresse devient douloureuse et l'excitation tend à tomber. Rapidement revêtue, je reprends ma course en sens inverse pour essayer de rattraper le sexagénaire. L'envie de batifoler est trop forte.
La nuit est tombée et je ne reconnais pas le chemin. Une fine bruine commence à alourdir mes vêtements. Le ciel bas obscurcit l'horizon et les obstacles du chemin sont à peine visibles. Je ralentis mon pas. Au bout de quelques foulées, mon pied se prend dans un branchage et je chute sans me faire vraiment mal. La fatigue commence à me gagner et je décide, complètement perdue, de chercher un abri. Je marche un long moment et l'inquiétude me guette. Une grange hospitalière s'élève alors devant moi et j'y pénètre sans crainte. Elle a déjà du servir d'abri car une partie de la paille est éparpillée au sol. Je m'y allonge et m 'endors d'un sommeil profond peuplé de rêves érotiques. Le vieil homme, à demi nu, m'y déshabille. Son vit est dressé et effleure ma cuisse. Je sens son souffle sur mon cou et la sensation est agréable. Il pousse mes jambes en arrière et va pénétrer mes fesses de son membre, et... Une impression de fraîcheur me réveille et je découvre que mon corps a été dénudé pendant mon sommeil. Je suis couchée sur le dos dans le plus simple appareil, bras et jambes largement écartés. A mes côtés, deux formes humaines sombres sont agenouillées et bientôt me manifestent leur intérêt par mille caresses qui me mettent en transes. J'ignore qui ils sont et comment ils sont faits. J'ignore jusqu'à leur sexe. Mais je me prête totalement à leurs jeux dans le noir absolu de la grange. Lorsque leurs gestes m'y incitent, je m'installe à quatre pattes, les cuisses largement ouvertes. Deux puis trois doigts humides violent mon cul. Une fine main écarte progressivement mon sexe, dilate doucement ma vulve détrempée, finit par s'enfoncer dans mon vagin douloureux jusqu'au poignet et s’engage plus profondément. A chaque geste, mon corps se fait plus accueillant et la douleur disparaît. Leurs mouvements, amples et doux, m'anéantissent et me mettent en émoi. Je ne m'appartiens plus et je suis habitée de leurs membres, comme une marionnette de ceux de son animateur. Tout mon corps tremble et frémit et ne répond plus à mon cerveau. Mes cuisses s'emplissent de mouille et de ma bouche jaillissent des flots de salive. Je jouis en un mélange d’exaltation et de peur viscérale et m'effondre dans la paille. Mes amants se dénudent et font l'amour entre eux discrètement tout prés de mon corps repu et fatigué. Leur respiration saccadée me dit leur plaisir avant qu'ils ne se couchent à mes côtés, apparemment satisfaits. Je suis anéantie et ne puis bouger un seul muscle. La chaleur de leurs corps me réchauffe et me rassure. Je m'endors ainsi les sens en paix.
Au matin, les premiers rayons du soleil éclairent l'anatomie de mes compagnons. Peut-être devrais-je dire de mes compagnes. La plus jeune est une éphèbe d'une vingtaine d'années, de petite taille, au corps sans apprêt. Sa pilosité châtain est peu abondante et ses cheveux coupés courts. Son corps fin et androgyne se termine par des mains et des pieds longs et fins. Ses jambes et ses bras sont fuselés. Ses seins et ses fesses à peine dessinés. Je soupçonne sa main d'avoir violé mon sexe. Elle ouvre sur moi d'étonnants yeux noisette immenses en regard de la finesse de son visage, orné d'un petit nez retroussé et de minuscules oreilles. Elle caresse ma tête et m'incite à la retourner. Notre compagn(on)e est grand(e) et bien proportionné(e). Elle (il) doit, comme moi, avoir une bonne trentaine d'années. Son visage est massif mais les traits en sont élégants. Le cheveu brun est long et le regard clair. Sans surprise, sous les épaules droites se dressent des seins juvéniles et fermes. Le reste du corps dit sa féminité si ce n'est une étonnante verge de dimension moyenne qui commence à s'ériger sous mon regard. Je ne puis retenir un geste dans sa direction et l'enveloppe d'une caresse. Sous les bourses gîte une aspérité cicatricielle qui laisse penser aux séquelles d'un hermaphrodisme opéré. Son phallus se dresse sous mes doigts et je ne vois d'autre issue que de l'entourer de mes lèvres. Je m'agite et à chaque mouvement l'enfonce plus loin vers ma gorge. Mon amant(e) bloque ma tête de ses mains et en pousse le gland dans mon larynx. Je suis d'abord agitée de spasmes et bave abondamment, puis il relâche sa pression et je finis par apprécier d'être ainsi pénétrée. Ma bouche enflamme mon cul et mon sexe et mon bassin s'agite. L’éphèbe prépare mon anus qui s’arrondit et se dilate sous ses doigts délicats . La « ladyboy » quitte ma bouche et enfonce profondément son vit entre mes fesses offertes en levrette. Son amie est couchée sous moi et embrasse mes lèvres et mon visage en excitant de ses mains mes autres zones érogènes. Mon clitoris l'intéresse plus que tout. Lorsqu'elle sent que je vais jouir elle plonge à nouveau sa main dans mon vagin et l'agite jusqu'à m'entendre hurler de plaisir. Encore en pleine forme, mon hermaphrodite quitte mon cul pour s'enficher dans la vulve de sa compagne jusqu'à ce qu'ils (ou elles) exultent.
Après quelques minutes de repos, nous quittons nu(e)s notre abri pour rejoindre, sous une fine pluie, un imposant corps de ferme ou la pierre de taille le dispute à l'ardoise. Nous entrons dans une gigantesque pièce à vivre ou trois jeune hommes en tenue de travail finissent leur déjeuner. Ils m'offrent un café et, très vite, commencent à s’intéresser à mon anatomie largement dénudée. Leur attention me fait peur, surtout lorsqu'ils m’installent en bout de table, les seins plaqués sur le plateau et les fesses offertes. Mon angoisse me quitte dés que le premier me pénètre. Mes sens sont en feu. Lors qu'ils se succèdent dans mon cul et mon vagin, je sens le plaisir monter en moi. Au fur et à mesure des assauts, une multitude de petits orgasmes secoue mon corps et cambre mes reins. Ladyboy, qui se branle prés de moi, éjacule sur mes épaules. Mes intestins et mon sexe sont tapissés de foutre. Dans un coin de la pièce, la nymphette se fait jouir écartelée dans un fauteuil. Lorsque les trois hommes sont partis travailler, nous en finissons tou(te)s trois plongé(e)s dans un jacuzzi qui efface les traces de l'assaut. La jeune femme ne cesse de caresser mon corps fatigué de ses mains expertes qui m'arrachent encore quelques spasmes. Lorsque je les quitte, je reste de longues minutes dans la cour de ferme à savourer la fraîcheur de la fine pluie sur ma peau nue. Voilà qui m'apaise ! Puis je revêts mes vêtements souillés et reprends ma course depuis longtemps interrompue.
Ce jour là, mes certitudes sur ma sexualité ont été mise à mal. Depuis je suis ouverte a toute expérience nouvelle. Parfois je rejoins ce couple et leurs amis dans le fenil ou je les ai rencontré(e)s, dans la maison ou dans les champs, pour retrouver les sensations qu'ils m'ont fait découvrir. Une robuste jeune femme massive au sein lourd et au sourire canaille vient compléter le quintet de ses pulsions maternantes. J'aime nicher mon visage l'abri de son large bassin et stimuler ses sens. Parfois nous allons rejoindre les hommes dans les champs pour qu'ils nous fassent l'amour à l'abri des haies ou exposées au milieu des cultures. Souvent nous jouons entre filles tout en ne sous estimant pas l'intérêt du phallus efficace de ladyboy. Mais surtout, sans rechercher la compagnie d'amant(e)s, je ne puis plus aller courir dans la nature sans que ma sexualité ne soit en éveil et mon corps agité d'étonnants spasmes. Soudain mon ventre se creuse, ma vulve s’humidifie, mon cul s’échauffe, mes seins se tendent et ma bouche salive plus que de raison. Je m'écarte alors du chemin pour me dénuder, me caresser et me soulager à l'abri des frondaisons parfois avec l'aide d'un promeneur de passage.
La nuit est tombée et je ne reconnais pas le chemin. Une fine bruine commence à alourdir mes vêtements. Le ciel bas obscurcit l'horizon et les obstacles du chemin sont à peine visibles. Je ralentis mon pas. Au bout de quelques foulées, mon pied se prend dans un branchage et je chute sans me faire vraiment mal. La fatigue commence à me gagner et je décide, complètement perdue, de chercher un abri. Je marche un long moment et l'inquiétude me guette. Une grange hospitalière s'élève alors devant moi et j'y pénètre sans crainte. Elle a déjà du servir d'abri car une partie de la paille est éparpillée au sol. Je m'y allonge et m 'endors d'un sommeil profond peuplé de rêves érotiques. Le vieil homme, à demi nu, m'y déshabille. Son vit est dressé et effleure ma cuisse. Je sens son souffle sur mon cou et la sensation est agréable. Il pousse mes jambes en arrière et va pénétrer mes fesses de son membre, et... Une impression de fraîcheur me réveille et je découvre que mon corps a été dénudé pendant mon sommeil. Je suis couchée sur le dos dans le plus simple appareil, bras et jambes largement écartés. A mes côtés, deux formes humaines sombres sont agenouillées et bientôt me manifestent leur intérêt par mille caresses qui me mettent en transes. J'ignore qui ils sont et comment ils sont faits. J'ignore jusqu'à leur sexe. Mais je me prête totalement à leurs jeux dans le noir absolu de la grange. Lorsque leurs gestes m'y incitent, je m'installe à quatre pattes, les cuisses largement ouvertes. Deux puis trois doigts humides violent mon cul. Une fine main écarte progressivement mon sexe, dilate doucement ma vulve détrempée, finit par s'enfoncer dans mon vagin douloureux jusqu'au poignet et s’engage plus profondément. A chaque geste, mon corps se fait plus accueillant et la douleur disparaît. Leurs mouvements, amples et doux, m'anéantissent et me mettent en émoi. Je ne m'appartiens plus et je suis habitée de leurs membres, comme une marionnette de ceux de son animateur. Tout mon corps tremble et frémit et ne répond plus à mon cerveau. Mes cuisses s'emplissent de mouille et de ma bouche jaillissent des flots de salive. Je jouis en un mélange d’exaltation et de peur viscérale et m'effondre dans la paille. Mes amants se dénudent et font l'amour entre eux discrètement tout prés de mon corps repu et fatigué. Leur respiration saccadée me dit leur plaisir avant qu'ils ne se couchent à mes côtés, apparemment satisfaits. Je suis anéantie et ne puis bouger un seul muscle. La chaleur de leurs corps me réchauffe et me rassure. Je m'endors ainsi les sens en paix.
Au matin, les premiers rayons du soleil éclairent l'anatomie de mes compagnons. Peut-être devrais-je dire de mes compagnes. La plus jeune est une éphèbe d'une vingtaine d'années, de petite taille, au corps sans apprêt. Sa pilosité châtain est peu abondante et ses cheveux coupés courts. Son corps fin et androgyne se termine par des mains et des pieds longs et fins. Ses jambes et ses bras sont fuselés. Ses seins et ses fesses à peine dessinés. Je soupçonne sa main d'avoir violé mon sexe. Elle ouvre sur moi d'étonnants yeux noisette immenses en regard de la finesse de son visage, orné d'un petit nez retroussé et de minuscules oreilles. Elle caresse ma tête et m'incite à la retourner. Notre compagn(on)e est grand(e) et bien proportionné(e). Elle (il) doit, comme moi, avoir une bonne trentaine d'années. Son visage est massif mais les traits en sont élégants. Le cheveu brun est long et le regard clair. Sans surprise, sous les épaules droites se dressent des seins juvéniles et fermes. Le reste du corps dit sa féminité si ce n'est une étonnante verge de dimension moyenne qui commence à s'ériger sous mon regard. Je ne puis retenir un geste dans sa direction et l'enveloppe d'une caresse. Sous les bourses gîte une aspérité cicatricielle qui laisse penser aux séquelles d'un hermaphrodisme opéré. Son phallus se dresse sous mes doigts et je ne vois d'autre issue que de l'entourer de mes lèvres. Je m'agite et à chaque mouvement l'enfonce plus loin vers ma gorge. Mon amant(e) bloque ma tête de ses mains et en pousse le gland dans mon larynx. Je suis d'abord agitée de spasmes et bave abondamment, puis il relâche sa pression et je finis par apprécier d'être ainsi pénétrée. Ma bouche enflamme mon cul et mon sexe et mon bassin s'agite. L’éphèbe prépare mon anus qui s’arrondit et se dilate sous ses doigts délicats . La « ladyboy » quitte ma bouche et enfonce profondément son vit entre mes fesses offertes en levrette. Son amie est couchée sous moi et embrasse mes lèvres et mon visage en excitant de ses mains mes autres zones érogènes. Mon clitoris l'intéresse plus que tout. Lorsqu'elle sent que je vais jouir elle plonge à nouveau sa main dans mon vagin et l'agite jusqu'à m'entendre hurler de plaisir. Encore en pleine forme, mon hermaphrodite quitte mon cul pour s'enficher dans la vulve de sa compagne jusqu'à ce qu'ils (ou elles) exultent.
Après quelques minutes de repos, nous quittons nu(e)s notre abri pour rejoindre, sous une fine pluie, un imposant corps de ferme ou la pierre de taille le dispute à l'ardoise. Nous entrons dans une gigantesque pièce à vivre ou trois jeune hommes en tenue de travail finissent leur déjeuner. Ils m'offrent un café et, très vite, commencent à s’intéresser à mon anatomie largement dénudée. Leur attention me fait peur, surtout lorsqu'ils m’installent en bout de table, les seins plaqués sur le plateau et les fesses offertes. Mon angoisse me quitte dés que le premier me pénètre. Mes sens sont en feu. Lors qu'ils se succèdent dans mon cul et mon vagin, je sens le plaisir monter en moi. Au fur et à mesure des assauts, une multitude de petits orgasmes secoue mon corps et cambre mes reins. Ladyboy, qui se branle prés de moi, éjacule sur mes épaules. Mes intestins et mon sexe sont tapissés de foutre. Dans un coin de la pièce, la nymphette se fait jouir écartelée dans un fauteuil. Lorsque les trois hommes sont partis travailler, nous en finissons tou(te)s trois plongé(e)s dans un jacuzzi qui efface les traces de l'assaut. La jeune femme ne cesse de caresser mon corps fatigué de ses mains expertes qui m'arrachent encore quelques spasmes. Lorsque je les quitte, je reste de longues minutes dans la cour de ferme à savourer la fraîcheur de la fine pluie sur ma peau nue. Voilà qui m'apaise ! Puis je revêts mes vêtements souillés et reprends ma course depuis longtemps interrompue.
Ce jour là, mes certitudes sur ma sexualité ont été mise à mal. Depuis je suis ouverte a toute expérience nouvelle. Parfois je rejoins ce couple et leurs amis dans le fenil ou je les ai rencontré(e)s, dans la maison ou dans les champs, pour retrouver les sensations qu'ils m'ont fait découvrir. Une robuste jeune femme massive au sein lourd et au sourire canaille vient compléter le quintet de ses pulsions maternantes. J'aime nicher mon visage l'abri de son large bassin et stimuler ses sens. Parfois nous allons rejoindre les hommes dans les champs pour qu'ils nous fassent l'amour à l'abri des haies ou exposées au milieu des cultures. Souvent nous jouons entre filles tout en ne sous estimant pas l'intérêt du phallus efficace de ladyboy. Mais surtout, sans rechercher la compagnie d'amant(e)s, je ne puis plus aller courir dans la nature sans que ma sexualité ne soit en éveil et mon corps agité d'étonnants spasmes. Soudain mon ventre se creuse, ma vulve s’humidifie, mon cul s’échauffe, mes seins se tendent et ma bouche salive plus que de raison. Je m'écarte alors du chemin pour me dénuder, me caresser et me soulager à l'abri des frondaisons parfois avec l'aide d'un promeneur de passage.
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