Au goût de chacun!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Au goût de chacun!
-Bon si tu y tiens je vais te raconter.
Christiane est la sœur cadette de ma mère. Une brune très mince, toujours bien mise. Et il se trouve que cette dernière fait partie du groupe quelques semaines plus tôt devant mon exhibition. Une idée de ma grand-mère. Qui propose ce soir-là, à nous, ses petits enfants au nombre de quatre, d’exposer nos sexes devant un jury composé bien sûr de mamie, et de ses trois filles, dont ma mère. Il se trouve que j’ai au cours de l’après-midi tripoté sans modération le trou du cul de ma cousine et qui n’est pas moins la fille de Christiane.
Et qui reste quelques heures plus tard, sur mes doigts des effluves de mon tripatouillage. Et bien sûr, il me suffit de les passer sous mes narines pour me donner un petit coup fouet à mon excitation et alors présenter à ces dames une merveilleuse érection.
Elles sont toutes restées muettes devant mon étalage. Sauf mamie, égale à elle-même. Heureuse du tableau qui se joue sous les yeux. Parce que ce n’est pas tous les jours qu’elle se trouve en face d’une queue en érection. Elle, qui est veuve depuis vingt ans.
-Eh bien ! Si on s’attendait à cela ! N’est-ce pas mes filles ? Je pense, vous comme moi, qu’il n’y a même pas photo, c’est bien entendu Alain qui gagne les dix francs pour nous avoir montré la plus grosse. Merci la cousine ! Fut ma première pensée. D’ailleurs je lui avais payé une glace !
Sans un mot, les filles se dispersent. Ma mère, quant à elle, me fait un clin d’œil. Pas peu fière de mon exploit.
Et donc, il se trouve que lors des précédentes vacances, Christiane, sans doute, affectée par mon exhibition, insiste fortement pour que je l’assiste pour son travail de confection de chemisier. Un travail à la maison, qui ce situe dans son grenier.
Elle porte ce jour-là une longue robe portefeuille à fleurs. Ses cheveux bruns coiffés en chignon lui donnant une allure austère. Je ne mets pas longtemps à comprendre ce qu’elle attend de moi, malgré mon jeune âge. Par inadvertance ou pas, il se trouve que la boite de boutons a fini au sol, les éparpillant sur ce dernier. Mais alors que je m’amuse à les rassembler, ma tante se fond en excuses, elle qui est assise en train de coudre à la machine.
Je me rends compte qu’elle m’observe avec bizarrerie. Son regard va de mes jambes nues, et glisse sur mes cuisses pour se fixer sur mon sexe. Je me mets à penser que mon exhibition, naguère, à laisser des séquelles sur son comportement.
-Ce n'est pas tout ça, lui fais-je, mais j’ai du boulot à tout ramasser.
-Oui…oui, Vas-y mon chéri !
Encouragement par sa conduite, je pose mon regard sur ses orteils qui dépassent de ses mules. Pour glisser l’instant d’après plus haut. C’est alors qu’elle choisit pour gesticuler sur sa chaise. Se faisant, sa robe s’ouvre, divulguant ainsi une grande partie de ses jambes nues. Retenant mon souffle, je frotte ma queue à travers l’étoffe de mon short.
L’étape suivant, voilà que Christiane desserre les jambes et là, mon cœur fait un bond en découvrant son bas-ventre nu. Enfin si j’exclus son buisson de poils noirs, épais comme une barbe.
Du bout des doigts je continue à masser la bosse que forme ma verge sur le devant de mon short.
-C’est mon cul qui t’intéresse ?
Je l’entends me dire. Comme je ne réponds pas, elle insiste :
-Oui ou non ? Fait-elle en écartant largement ses cuisses.
Exhibant, pour mon plus grand plaisir, toute son épaisse fourrure noire. Je suis en tête à tête avec un con fabuleux. Pourtant j’en es déjà vue d’autre. Toujours en extase, je l’entends m’ordonner de me lever. Alors je me place debout près d’elle.
- Ainsi tu lorgnes ta tante pendant qu’elle travaille. C’est du joli. C’est la première fois que tu vois un con de femme?
Je suis dans l’incapacité de répondre. Et tandis que j’avale ma salive, les joues en feu, pris entre la honte et le désir fou qui me saisit, elle enchaîne posément.
- Si tu le souhaites, tu peux de nouveau regarder le mien. Mais je te préviens, je te le montre pour t’apprendre, tu comprends ?
Je me place sous la table, en fasse de ses cuisses grandes ouvertes. Une tuerie !
- Tu le vois bien ? Me questionne-t-elle devant sa machine.
- Pas trop bien !
- Et comme ça ? Fait-elle en soulevant ses fesses, ouvrant ses cuisses à angle droit. Sa chair intime se déplie alors comme un gros mollusque velu. J’en bave. J’avale, pas sans mal, ma salive.
- Regarde bien comment c’est fait.
Sa main descend pour mon plus grand plaisir vers son ventre. À l’aide de deux doigts, elle écarte sa fente. J’ai devant mes rétines, une petite bouche pourpre, et sur le haut de la fente un clitoris bien enflé. Ses doigts se promènent sur son intimité. M’enseignant chaque endroit, chaque orifice. Et tandis qu’elle me fait la leçon, sa main continue à jouer avec son con.
- Tu vois, là, c’est sensible. Si on caresse comme ça, c’est bon. Tu veux essayer, Alain ?
- Oui, gargouillai-je.
Elle prend ma main et la guide vers son bourgeon. M’imprime le rythme, puis retire sa main et continue avec sa machine en m’éclairant de ses conseils.
- Un peu plus fort… moins vite… pas trop vite… tu peux mettre tes doigts dans la fente si cela te dis…tu dois apprendre Alain, apprendre…
Elle mouille. Ses poils sont collés par le jus qui s’écoule de son con. Ça fait des mèches gluantes au bord de sa fente. Je joue sans retenue avec sa chatte allant jusqu’à enfoncer mes doigts dans sa tirelire. Je la branle, la triture. Je… comment dire ? M’enhardis… allant jusqu’à doigter son anus. Comme je le faisais avec sa fille.
Une odeur entêtante monte de sa fissure. Une odeur de pisse m’attire. Ma tante, les deux mains en appuies su la table, soupire fort. En remuant du bassin.
- Continue… oui tu me plais. Pince le bouton… au-dessus de la fente… oui là… oui comme ça… que c’est bon, continu…
Je suis dans un tel état d’excitation, que je ne peux m’empêcher d’éjaculer dans mon slip. Mais je ne m’en soucie pas. Je veux la sucer, voir la baiser. Je n’ai jamais baisé une femme. Je ne suis pas entièrement dupe de son jeu vicieux. Pas question pourtant de laisser échapper une telle occasion. Maintenant elle respire hâtivement, la tête en arrière. Elle se tient les seins.
- Viens me lécher les bouts de mes nichons !
Je suis dans un tel état de désordre dans ma tête, que je suis prêt à réaliser ses quatre volontés. Elle profite que je sois penché sur elle, pour m’envoyer..
- Voyez-moi ce cochon ! C’est qu’il a la queue toute raide ! Ce n'est pas que tu as l’intention de me la mettre. Fait-elle en lâchant un rire nerveux. Pendant ce temps-là, ma langue explore ses mamelons, alors que je sens ses doigts qui s’activent sur mon bas-ventre. Et brusquement, elle pousse un gémissement. Son corps s’arque. Je porte mon regard sur mon sexe où la main de ma tante s’active.
Pris d’une sale envie, je fais pivoter son siège. Sa bouche poilue est agitée de spasmes. Fébrilement, je colle ma queue contre sa fente. Après seulement trois à quatre allers-retours, j’atteins un orgasme qui n’en est pas moins foudroyant. Je m’écroule sur elle. Cela la fait rire. Elle glousse.
- Cochon, va ! Tu n’as pas honte ?
-Oh non tata… que du plaisir !
-Bien sort d’ici maintenant, et je te préviens bouche cousue ! Sinon je ne te laisserais plus me toucher!
Bien entendue le lendemain je ne me suis pas fait prier pour aller la retrouver dans la grenier.
-Bien dormi ? Me lâche-t-elle.
-Oui… avec plein de clichés dans les yeux !
-Tu vois bien, ma touffe ! Me fait-elle en retroussant l’ourlé de sa jupe qu’elle portait. Elle te plaît vraiment ma chatte ?
-Oui tata…
-Cela te dit de la toucher ?
Elle passe ses doigts dans sa fourrure comme si elle caressait un chat.
-Mais cela reste entre nous, bien sûr.
Je reste encore aujourd’hui, tout de même médusé par son attitude de l’époque. Son regard aimanté sur ma queue au garde-à-vous.
Ses deux mains entre les cuisses, elle fouille dans sa fourrure, le regard aimanté sur ma queue au garde-à-vous. Elle écarte les poils et je vois apparaître deux grosses lèvres presque mauves qui pendent. Elle tire dessus, les séparant comme on ouvre un livre.
-Regarde, salaud ! C’est de ta faute ! Tout en exhibant tout l’intérieur. Jamais mais jamais, je n’aurais pensé cela de tante Christiane. Je découvrais là sa vraie nature ! Ses manières dévergondées, mais surtout cette touffe grasse et obscène.
Elle ouvre et referme les babines de sa fente avec un clapotis honteux. Puis elle glisse ses doigts dans la large blessure mauve.
-Tu ne peux pas savoir comment elle aime ça, ma chatte ! Mais malheureusement…
-Oui… je t’écoute, fais-je.
-Laisse tomber !
Ses yeux prennent alors, une fixité étrange comme celle que l’on voit dans le regard des fous. Une bave épaisse s’écoule de son touffu souillant ses doigts, en haut de la fente, un bouton de chair nacrée dépasse de sa luxuriante fourrure.
J’ai l’impression de rêver. Ma queue gorgée de sang palpite entre mes cuisses. Mes couilles, remontées dans mes bourses, forment une grosse masse ronde. Lorsque je saisis ma verge à pleines mains, ma tante m’encourage d’une voix tremblante.
-Oui, branle-toi pendant que je me tripote la foufoune.
Ces mots sortis de la bouche de ma tante stimulent un peu plus mon excitation. Je m’astique plus vite. De son côté, écartant très haut les genoux, elle enfonce ses doigts dans sa foufoune. Elle pousse de longs gémissements. C’est l’instant que je choisis pour faire gicler mon plaisir. Ma semence s’élève très haut pour retomber autour de mon nombril.
Elle examine ma queue qui continue à déverser sa jouissance laiteuse.
-Je pense qu'on va bien s’entendre. N‘est-ce pas Alain ?
-Je ne sais pas tata !
-Comment ça, tu ne sais pas ? Tu ne vois pas ce qu'on vient de faire ?
Sans trop savoir ce que cela voulait dire, je fais un signe d’assentiment.
-Tu veux continuer ?
Sans attendre ma réponse, elle écarte les cuisses au maximum, comme si elle cherchait à déboîter ses articulations. Elle saisit sous la mousse brune de son sexe, le clitoris vertigineux qui s’érige orgueilleusement, entre le pouce et l’index. Les autres doigts, elle les rassemble et les enfouit entre les lèvres, charnues et humides, et sa féminité.
À cette évocation, le jeu de son poignet se fait plus rapide et plus rythmé que précédemment, les doigts agiles font un bruit de succion mouillée dans le sexe où ils vont et viennent. Déjà, elle halète.
-Viens poser ta bouche, mon chou… je ne tiens plus !
Je n’en crois pas mes oreilles. Cette tante qui me propose une telle sale chose.
-Allez, tu ne sais pas le plaisir que tu vas me donner ! Tu veux faire plaisir à ta tata, oui ou non ?
Pour toute réponse, j’engouffre mon nez dans son buisson. Respirant en profonde inspiration l’odeur entreprenante que sa chatte laisse échappée. Je reconnais que c’est plus enrichissant en fragrance que ses culottes portées. Je suis comme saoulé. À me faire perdre mon self-control. Et me voilà à lui donner des coup de langue. Je trouve la source, ma langue affolée s’y engouffre comme si elle cherchait à la pourfendre en tous sens en un combat fait de rage et de volupté.
-Mais mon chou, c’est bon ce que tu me fais avec ta bouche ! Fait-elle. Tu es un doué, toi, ajoute-t-elle, en se cambrant, en gémissant sous le plaisir qui l’envahit.
De ses deux mains, elle ouvre, comme la veille, son décolleté et fait jaillir les pointes de ses seins hors de leur nid. Lentement, elle les caresse avec ses paumes, les faisant durcir sous l’effleurement. Puis elle les prend entre le pouce et l’index et commence à les titiller en les pressant de plus en plus fort.
Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Il tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre au devant ma caresse buccale. Je lui lèche une fois encore l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et observe ma tante. Je demeure attentif à ses sensations. À certains moments, après une caresse plus vive, son ventre tressaille et des spasmes parcourent ses cuisses. Sa respiration devient sifflante à s’approcher de la jouissance.
Instinctivement, elle soulève ses cuisses et montre ses fesses pleines que sépare une raie étroite. Je prends cela pour une invitation et titille son anus de petits coups de langue.
- Oh, Alain, on ne me l'a jamais fait par là. Même ton oncle. Tu es vraiment incroyable !
Je soulève ses jambes, les replie et les écarte. Les jambes en l’air, elle m’offre sa fente du clitoris à l’anus. Ses poils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus protubérant, plissé comme un œillet mauve, s’étend une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se déplie et s’ouvre dans ses poils parfumés. Je me demande si elle ne va pas chier devant moi tant elle pousse fort. L’odeur qui imprègne son sillon, mélange de parfum, de sueur, de mouille et de sécrétions anales. Je commence par donner des coups de langue plus prononcés autour de l’anus, coiffant les poils dans l’entrejambe. Écartant l’anus avec mes pouces, j’enfile ma langue à l’intérieur. J’ai par la même occasion introduit deux doigts dans le vagin. Ma tante gémit en agitant les fesses. Mon nez dans ses poils de sa chatte, alors que ma bouche lèche son cul, à perdre haleine.
Plus tard avant d’aller rejoindre la famille, Christiane me caresse la joue du revers de la main et m’embrasse tendrement avant de conclure en ces termes :
-Merci, Alain, moi aussi j’aimerais te faire plaisir à mon tour.
-Mais tu l’as déjà fait !
-Mais ce que je te propose est autre chose!
-Je t’écoute tata !
-Tu verras demain !
-Aller tata !
- Bon, si tu insistes. Je devine que tu es puceau ?
-Tu devines bien tata.
-Et tu aimerais ne plus l’être…
-Ce serait avec plaisir… Avec toi ?
-Pas si vite, coco… il faut avant tout que je réfléchisse sur le sujet. C’est bien pour ça que je te demande de patienter.
Le lendemain, Christiane est déjà dans le grenier quand j’y entre.
-Verrouille la porte, sont ses premières paroles.
Ceci fait, elle me demande de m'approcher d'elle. Là, elle écarte tout ce qui la gêne, pour attraper ma queue. Puis elle se met à me branler avec vigueur. Je suis tellement raide, tellement dur et depuis si longtemps que j’ai l’impression que ça n’en finirait jamais de bander. C’est comme une crampe. Et puis, au bout d’un moment, parce qu’elle s’acharne, je sens comme une déchirure de chaleur dans mon bas-ventre.
J’éjacule sous sa caresse, jet après jet. Elle en prend partout sur le visage.
- Dis-moi Alain, je te plais ? M’interroge-t-elle.
- Pourquoi cette question, tata ?
- Je dois savoir ?
-Bien sûr que tu me plais !
Sans plus attendre, la voilà qu’elle fait tomber sa robe sur le plancher. Comme si soudain, elle regrettait son geste, elle croise les mains sur ses seins en resserrant les cuisses.
- Voilà, dit-elle, tu me vois nue.
- Qu’est-ce que tu attends de moi, tata ?
- L’amour ! Me lâche-t-elle en m’entraînant jusqu’à une pile de matelas. Elle les chevauche et se laisse tomber dessus. Elle replie sa jambe gauche sur son genou droit. À demi allongée sur le matelas, elle se masse la plante du pied. Au milieu de ses cuisses écartées, son sexe.
- J’ai envie de ta queue. Tout de suite ! Tu es d’accords ?
Sans prendre la peine de répondre, je passe ma main sur sa chatte gluante.
-Tu n’as pas entendu ce que je t’ai dis ?
-Oui tata, mais j’aime te toucher.
Je réparti le liquide gras sur toute la surface autour de l’orifice. Écartant les poils, les petites lèvres rougeâtres et bien gonflées d’excitation. Je présente ma tige à l’entrée de son antre. La saisissant fermement par les hanches, je fais entrer mon gland dans sa grotte bien accueillante, ce qui l’a fait se cambrer un peu plus. Je vois mon gland passer les lèvres intimes de tata Christiane pour enfin la pénétrer. Modelant sa chatte.
Après quelques minutes de légers mouvements, ma verge avance petit à petit et fait son chemin dans son vagin qui s'écarte pour me permettre sa progression.
Instinctivement, elle relève ses jambes et ceinture ma taille. J’avance jusqu’à ce que j’atteigne le bord de sa chatte avec mon gland, puis je me retire pour mieux replonger l’instant d’après, en elle, jusqu'à ce que mes couilles giflent ses fesses.
Après seulement quelques allers-retours, elle jouit à en perdre connaissance. Encouragé, je la baise comme une bête, de différentes manières, ce qui l’amène à avoir d’autres orgasmes successifs. Le grenier est rempli des sons de nos grognements et de ses cris de plaisir, ainsi que du bruit de sa chatte trempée pistonnée par ma bite qui projette son jus en dehors.
Je suis comme fou de ma queue. Qui élargit la chatte de ma tante. Elle n’arrête pas de jouir sous mes coups de boutoirs. Je suis inépuisable !
Il a fallu que je la baise encore et encore pour arriver enfin, à ma jouissance. Polluant pour la première fois, l’intérieur d’une chatte de mon sperme.
J’ai trouvé ça merveilleux, surtout de faire ça avec ma tante. Mais ma préférence va tout de même, pour un bon léchage de chatte, de cul, voir même, une sodomie ! Mais ça, c’est au goût de chacun !
Christiane est la sœur cadette de ma mère. Une brune très mince, toujours bien mise. Et il se trouve que cette dernière fait partie du groupe quelques semaines plus tôt devant mon exhibition. Une idée de ma grand-mère. Qui propose ce soir-là, à nous, ses petits enfants au nombre de quatre, d’exposer nos sexes devant un jury composé bien sûr de mamie, et de ses trois filles, dont ma mère. Il se trouve que j’ai au cours de l’après-midi tripoté sans modération le trou du cul de ma cousine et qui n’est pas moins la fille de Christiane.
Et qui reste quelques heures plus tard, sur mes doigts des effluves de mon tripatouillage. Et bien sûr, il me suffit de les passer sous mes narines pour me donner un petit coup fouet à mon excitation et alors présenter à ces dames une merveilleuse érection.
Elles sont toutes restées muettes devant mon étalage. Sauf mamie, égale à elle-même. Heureuse du tableau qui se joue sous les yeux. Parce que ce n’est pas tous les jours qu’elle se trouve en face d’une queue en érection. Elle, qui est veuve depuis vingt ans.
-Eh bien ! Si on s’attendait à cela ! N’est-ce pas mes filles ? Je pense, vous comme moi, qu’il n’y a même pas photo, c’est bien entendu Alain qui gagne les dix francs pour nous avoir montré la plus grosse. Merci la cousine ! Fut ma première pensée. D’ailleurs je lui avais payé une glace !
Sans un mot, les filles se dispersent. Ma mère, quant à elle, me fait un clin d’œil. Pas peu fière de mon exploit.
Et donc, il se trouve que lors des précédentes vacances, Christiane, sans doute, affectée par mon exhibition, insiste fortement pour que je l’assiste pour son travail de confection de chemisier. Un travail à la maison, qui ce situe dans son grenier.
Elle porte ce jour-là une longue robe portefeuille à fleurs. Ses cheveux bruns coiffés en chignon lui donnant une allure austère. Je ne mets pas longtemps à comprendre ce qu’elle attend de moi, malgré mon jeune âge. Par inadvertance ou pas, il se trouve que la boite de boutons a fini au sol, les éparpillant sur ce dernier. Mais alors que je m’amuse à les rassembler, ma tante se fond en excuses, elle qui est assise en train de coudre à la machine.
Je me rends compte qu’elle m’observe avec bizarrerie. Son regard va de mes jambes nues, et glisse sur mes cuisses pour se fixer sur mon sexe. Je me mets à penser que mon exhibition, naguère, à laisser des séquelles sur son comportement.
-Ce n'est pas tout ça, lui fais-je, mais j’ai du boulot à tout ramasser.
-Oui…oui, Vas-y mon chéri !
Encouragement par sa conduite, je pose mon regard sur ses orteils qui dépassent de ses mules. Pour glisser l’instant d’après plus haut. C’est alors qu’elle choisit pour gesticuler sur sa chaise. Se faisant, sa robe s’ouvre, divulguant ainsi une grande partie de ses jambes nues. Retenant mon souffle, je frotte ma queue à travers l’étoffe de mon short.
L’étape suivant, voilà que Christiane desserre les jambes et là, mon cœur fait un bond en découvrant son bas-ventre nu. Enfin si j’exclus son buisson de poils noirs, épais comme une barbe.
Du bout des doigts je continue à masser la bosse que forme ma verge sur le devant de mon short.
-C’est mon cul qui t’intéresse ?
Je l’entends me dire. Comme je ne réponds pas, elle insiste :
-Oui ou non ? Fait-elle en écartant largement ses cuisses.
Exhibant, pour mon plus grand plaisir, toute son épaisse fourrure noire. Je suis en tête à tête avec un con fabuleux. Pourtant j’en es déjà vue d’autre. Toujours en extase, je l’entends m’ordonner de me lever. Alors je me place debout près d’elle.
- Ainsi tu lorgnes ta tante pendant qu’elle travaille. C’est du joli. C’est la première fois que tu vois un con de femme?
Je suis dans l’incapacité de répondre. Et tandis que j’avale ma salive, les joues en feu, pris entre la honte et le désir fou qui me saisit, elle enchaîne posément.
- Si tu le souhaites, tu peux de nouveau regarder le mien. Mais je te préviens, je te le montre pour t’apprendre, tu comprends ?
Je me place sous la table, en fasse de ses cuisses grandes ouvertes. Une tuerie !
- Tu le vois bien ? Me questionne-t-elle devant sa machine.
- Pas trop bien !
- Et comme ça ? Fait-elle en soulevant ses fesses, ouvrant ses cuisses à angle droit. Sa chair intime se déplie alors comme un gros mollusque velu. J’en bave. J’avale, pas sans mal, ma salive.
- Regarde bien comment c’est fait.
Sa main descend pour mon plus grand plaisir vers son ventre. À l’aide de deux doigts, elle écarte sa fente. J’ai devant mes rétines, une petite bouche pourpre, et sur le haut de la fente un clitoris bien enflé. Ses doigts se promènent sur son intimité. M’enseignant chaque endroit, chaque orifice. Et tandis qu’elle me fait la leçon, sa main continue à jouer avec son con.
- Tu vois, là, c’est sensible. Si on caresse comme ça, c’est bon. Tu veux essayer, Alain ?
- Oui, gargouillai-je.
Elle prend ma main et la guide vers son bourgeon. M’imprime le rythme, puis retire sa main et continue avec sa machine en m’éclairant de ses conseils.
- Un peu plus fort… moins vite… pas trop vite… tu peux mettre tes doigts dans la fente si cela te dis…tu dois apprendre Alain, apprendre…
Elle mouille. Ses poils sont collés par le jus qui s’écoule de son con. Ça fait des mèches gluantes au bord de sa fente. Je joue sans retenue avec sa chatte allant jusqu’à enfoncer mes doigts dans sa tirelire. Je la branle, la triture. Je… comment dire ? M’enhardis… allant jusqu’à doigter son anus. Comme je le faisais avec sa fille.
Une odeur entêtante monte de sa fissure. Une odeur de pisse m’attire. Ma tante, les deux mains en appuies su la table, soupire fort. En remuant du bassin.
- Continue… oui tu me plais. Pince le bouton… au-dessus de la fente… oui là… oui comme ça… que c’est bon, continu…
Je suis dans un tel état d’excitation, que je ne peux m’empêcher d’éjaculer dans mon slip. Mais je ne m’en soucie pas. Je veux la sucer, voir la baiser. Je n’ai jamais baisé une femme. Je ne suis pas entièrement dupe de son jeu vicieux. Pas question pourtant de laisser échapper une telle occasion. Maintenant elle respire hâtivement, la tête en arrière. Elle se tient les seins.
- Viens me lécher les bouts de mes nichons !
Je suis dans un tel état de désordre dans ma tête, que je suis prêt à réaliser ses quatre volontés. Elle profite que je sois penché sur elle, pour m’envoyer..
- Voyez-moi ce cochon ! C’est qu’il a la queue toute raide ! Ce n'est pas que tu as l’intention de me la mettre. Fait-elle en lâchant un rire nerveux. Pendant ce temps-là, ma langue explore ses mamelons, alors que je sens ses doigts qui s’activent sur mon bas-ventre. Et brusquement, elle pousse un gémissement. Son corps s’arque. Je porte mon regard sur mon sexe où la main de ma tante s’active.
Pris d’une sale envie, je fais pivoter son siège. Sa bouche poilue est agitée de spasmes. Fébrilement, je colle ma queue contre sa fente. Après seulement trois à quatre allers-retours, j’atteins un orgasme qui n’en est pas moins foudroyant. Je m’écroule sur elle. Cela la fait rire. Elle glousse.
- Cochon, va ! Tu n’as pas honte ?
-Oh non tata… que du plaisir !
-Bien sort d’ici maintenant, et je te préviens bouche cousue ! Sinon je ne te laisserais plus me toucher!
Bien entendue le lendemain je ne me suis pas fait prier pour aller la retrouver dans la grenier.
-Bien dormi ? Me lâche-t-elle.
-Oui… avec plein de clichés dans les yeux !
-Tu vois bien, ma touffe ! Me fait-elle en retroussant l’ourlé de sa jupe qu’elle portait. Elle te plaît vraiment ma chatte ?
-Oui tata…
-Cela te dit de la toucher ?
Elle passe ses doigts dans sa fourrure comme si elle caressait un chat.
-Mais cela reste entre nous, bien sûr.
Je reste encore aujourd’hui, tout de même médusé par son attitude de l’époque. Son regard aimanté sur ma queue au garde-à-vous.
Ses deux mains entre les cuisses, elle fouille dans sa fourrure, le regard aimanté sur ma queue au garde-à-vous. Elle écarte les poils et je vois apparaître deux grosses lèvres presque mauves qui pendent. Elle tire dessus, les séparant comme on ouvre un livre.
-Regarde, salaud ! C’est de ta faute ! Tout en exhibant tout l’intérieur. Jamais mais jamais, je n’aurais pensé cela de tante Christiane. Je découvrais là sa vraie nature ! Ses manières dévergondées, mais surtout cette touffe grasse et obscène.
Elle ouvre et referme les babines de sa fente avec un clapotis honteux. Puis elle glisse ses doigts dans la large blessure mauve.
-Tu ne peux pas savoir comment elle aime ça, ma chatte ! Mais malheureusement…
-Oui… je t’écoute, fais-je.
-Laisse tomber !
Ses yeux prennent alors, une fixité étrange comme celle que l’on voit dans le regard des fous. Une bave épaisse s’écoule de son touffu souillant ses doigts, en haut de la fente, un bouton de chair nacrée dépasse de sa luxuriante fourrure.
J’ai l’impression de rêver. Ma queue gorgée de sang palpite entre mes cuisses. Mes couilles, remontées dans mes bourses, forment une grosse masse ronde. Lorsque je saisis ma verge à pleines mains, ma tante m’encourage d’une voix tremblante.
-Oui, branle-toi pendant que je me tripote la foufoune.
Ces mots sortis de la bouche de ma tante stimulent un peu plus mon excitation. Je m’astique plus vite. De son côté, écartant très haut les genoux, elle enfonce ses doigts dans sa foufoune. Elle pousse de longs gémissements. C’est l’instant que je choisis pour faire gicler mon plaisir. Ma semence s’élève très haut pour retomber autour de mon nombril.
Elle examine ma queue qui continue à déverser sa jouissance laiteuse.
-Je pense qu'on va bien s’entendre. N‘est-ce pas Alain ?
-Je ne sais pas tata !
-Comment ça, tu ne sais pas ? Tu ne vois pas ce qu'on vient de faire ?
Sans trop savoir ce que cela voulait dire, je fais un signe d’assentiment.
-Tu veux continuer ?
Sans attendre ma réponse, elle écarte les cuisses au maximum, comme si elle cherchait à déboîter ses articulations. Elle saisit sous la mousse brune de son sexe, le clitoris vertigineux qui s’érige orgueilleusement, entre le pouce et l’index. Les autres doigts, elle les rassemble et les enfouit entre les lèvres, charnues et humides, et sa féminité.
À cette évocation, le jeu de son poignet se fait plus rapide et plus rythmé que précédemment, les doigts agiles font un bruit de succion mouillée dans le sexe où ils vont et viennent. Déjà, elle halète.
-Viens poser ta bouche, mon chou… je ne tiens plus !
Je n’en crois pas mes oreilles. Cette tante qui me propose une telle sale chose.
-Allez, tu ne sais pas le plaisir que tu vas me donner ! Tu veux faire plaisir à ta tata, oui ou non ?
Pour toute réponse, j’engouffre mon nez dans son buisson. Respirant en profonde inspiration l’odeur entreprenante que sa chatte laisse échappée. Je reconnais que c’est plus enrichissant en fragrance que ses culottes portées. Je suis comme saoulé. À me faire perdre mon self-control. Et me voilà à lui donner des coup de langue. Je trouve la source, ma langue affolée s’y engouffre comme si elle cherchait à la pourfendre en tous sens en un combat fait de rage et de volupté.
-Mais mon chou, c’est bon ce que tu me fais avec ta bouche ! Fait-elle. Tu es un doué, toi, ajoute-t-elle, en se cambrant, en gémissant sous le plaisir qui l’envahit.
De ses deux mains, elle ouvre, comme la veille, son décolleté et fait jaillir les pointes de ses seins hors de leur nid. Lentement, elle les caresse avec ses paumes, les faisant durcir sous l’effleurement. Puis elle les prend entre le pouce et l’index et commence à les titiller en les pressant de plus en plus fort.
Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Il tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre au devant ma caresse buccale. Je lui lèche une fois encore l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et observe ma tante. Je demeure attentif à ses sensations. À certains moments, après une caresse plus vive, son ventre tressaille et des spasmes parcourent ses cuisses. Sa respiration devient sifflante à s’approcher de la jouissance.
Instinctivement, elle soulève ses cuisses et montre ses fesses pleines que sépare une raie étroite. Je prends cela pour une invitation et titille son anus de petits coups de langue.
- Oh, Alain, on ne me l'a jamais fait par là. Même ton oncle. Tu es vraiment incroyable !
Je soulève ses jambes, les replie et les écarte. Les jambes en l’air, elle m’offre sa fente du clitoris à l’anus. Ses poils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus protubérant, plissé comme un œillet mauve, s’étend une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se déplie et s’ouvre dans ses poils parfumés. Je me demande si elle ne va pas chier devant moi tant elle pousse fort. L’odeur qui imprègne son sillon, mélange de parfum, de sueur, de mouille et de sécrétions anales. Je commence par donner des coups de langue plus prononcés autour de l’anus, coiffant les poils dans l’entrejambe. Écartant l’anus avec mes pouces, j’enfile ma langue à l’intérieur. J’ai par la même occasion introduit deux doigts dans le vagin. Ma tante gémit en agitant les fesses. Mon nez dans ses poils de sa chatte, alors que ma bouche lèche son cul, à perdre haleine.
Plus tard avant d’aller rejoindre la famille, Christiane me caresse la joue du revers de la main et m’embrasse tendrement avant de conclure en ces termes :
-Merci, Alain, moi aussi j’aimerais te faire plaisir à mon tour.
-Mais tu l’as déjà fait !
-Mais ce que je te propose est autre chose!
-Je t’écoute tata !
-Tu verras demain !
-Aller tata !
- Bon, si tu insistes. Je devine que tu es puceau ?
-Tu devines bien tata.
-Et tu aimerais ne plus l’être…
-Ce serait avec plaisir… Avec toi ?
-Pas si vite, coco… il faut avant tout que je réfléchisse sur le sujet. C’est bien pour ça que je te demande de patienter.
Le lendemain, Christiane est déjà dans le grenier quand j’y entre.
-Verrouille la porte, sont ses premières paroles.
Ceci fait, elle me demande de m'approcher d'elle. Là, elle écarte tout ce qui la gêne, pour attraper ma queue. Puis elle se met à me branler avec vigueur. Je suis tellement raide, tellement dur et depuis si longtemps que j’ai l’impression que ça n’en finirait jamais de bander. C’est comme une crampe. Et puis, au bout d’un moment, parce qu’elle s’acharne, je sens comme une déchirure de chaleur dans mon bas-ventre.
J’éjacule sous sa caresse, jet après jet. Elle en prend partout sur le visage.
- Dis-moi Alain, je te plais ? M’interroge-t-elle.
- Pourquoi cette question, tata ?
- Je dois savoir ?
-Bien sûr que tu me plais !
Sans plus attendre, la voilà qu’elle fait tomber sa robe sur le plancher. Comme si soudain, elle regrettait son geste, elle croise les mains sur ses seins en resserrant les cuisses.
- Voilà, dit-elle, tu me vois nue.
- Qu’est-ce que tu attends de moi, tata ?
- L’amour ! Me lâche-t-elle en m’entraînant jusqu’à une pile de matelas. Elle les chevauche et se laisse tomber dessus. Elle replie sa jambe gauche sur son genou droit. À demi allongée sur le matelas, elle se masse la plante du pied. Au milieu de ses cuisses écartées, son sexe.
- J’ai envie de ta queue. Tout de suite ! Tu es d’accords ?
Sans prendre la peine de répondre, je passe ma main sur sa chatte gluante.
-Tu n’as pas entendu ce que je t’ai dis ?
-Oui tata, mais j’aime te toucher.
Je réparti le liquide gras sur toute la surface autour de l’orifice. Écartant les poils, les petites lèvres rougeâtres et bien gonflées d’excitation. Je présente ma tige à l’entrée de son antre. La saisissant fermement par les hanches, je fais entrer mon gland dans sa grotte bien accueillante, ce qui l’a fait se cambrer un peu plus. Je vois mon gland passer les lèvres intimes de tata Christiane pour enfin la pénétrer. Modelant sa chatte.
Après quelques minutes de légers mouvements, ma verge avance petit à petit et fait son chemin dans son vagin qui s'écarte pour me permettre sa progression.
Instinctivement, elle relève ses jambes et ceinture ma taille. J’avance jusqu’à ce que j’atteigne le bord de sa chatte avec mon gland, puis je me retire pour mieux replonger l’instant d’après, en elle, jusqu'à ce que mes couilles giflent ses fesses.
Après seulement quelques allers-retours, elle jouit à en perdre connaissance. Encouragé, je la baise comme une bête, de différentes manières, ce qui l’amène à avoir d’autres orgasmes successifs. Le grenier est rempli des sons de nos grognements et de ses cris de plaisir, ainsi que du bruit de sa chatte trempée pistonnée par ma bite qui projette son jus en dehors.
Je suis comme fou de ma queue. Qui élargit la chatte de ma tante. Elle n’arrête pas de jouir sous mes coups de boutoirs. Je suis inépuisable !
Il a fallu que je la baise encore et encore pour arriver enfin, à ma jouissance. Polluant pour la première fois, l’intérieur d’une chatte de mon sperme.
J’ai trouvé ça merveilleux, surtout de faire ça avec ma tante. Mais ma préférence va tout de même, pour un bon léchage de chatte, de cul, voir même, une sodomie ! Mais ça, c’est au goût de chacun !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très jolie initiation du neveu texte chaud . Daniel

