Au jour le jour
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Au jour le jour
Les jours qui suivirent furent radieux. D’abord, Paulo était là pour….quelque temps. Ensuite, il me tenait souvent compagnie au magasin durant la journée. J’ai, à cette occasion, constaté un surcroît de clientèle…. – attirée par Paulo ? -. Enfin, le soir, on retrouvait très souvent Abdel qui venait passer la nuit avec nous, après la fac. Que demander de plus ?
Souvent, à la pause de midi, avant d’aller prendre un sandwich quelque part, on allait courir un peu dans le bois avec Paulo. Paulo qui devait entretenir son corps un maximum s’il voulait toujours être autant sollicité dans son boulot de top model… Une fois, au retour du jogging, on avait pris une douche aménagée dans l’arrière pièce du magasin. Cela avait bien fini en séance de baise. Eh bien, finalement, les jours où on ne pouvait aller courir, ça nous manquait. Le soir, Abdel nous emmenait parfois à sa salle de sport. Je vous dis pas quand Paulo a fait sa première apparition là bas ! Ceux qui avaient l’air encore plus tourneboulés, c’étaient….les mecs. Ces endroits, ça doit être des nids de gays, ma parole- bon à savoir… -. Il faut reconnaître qu’il y avait là quelques beaux spécimens de mecs aussi.
Les soirées à trois étaient toujours très joyeuses. Paulo n’est pas un triste, Abdel encore moins. En plus, on est encore à l’âge où on aime plus que tout rigoler. On n’a pas encore été rattrapé par tous les soucis et les contraintes de la vie.
Abdel était très heureux car, par petites touches délicates, il avait commencé à préparer sa mère à son coming out de gay. Oh, il ne voulait surtout pas le faire brutalement. Il avait l’impression que sa mère évoluait lentement. Par amour pour son fils, sans doute. Pour lui, c’est sûr, il a définitivement basculé du côté des garçons. De plus, il aimait beaucoup notre façon de vivre très libre.
Assez souvent aussi, quand il y avait nocturne, on allait à la piscine. On s’arrangeait pour y aller la dernière heure car ainsi, on se retrouvait avec Slimane et Ali au sauna sec et au hammam de longs et agréables moments. Slimane et Abdel ne pouvaient s’empêcher de se mesurer sur 100 ou 200 mètres. Ca finissait toujours par de belles séances de caresses et de fellations. Une fois, dans les douches, on fit même le « petit train » à quatre. Trop cool ! Lui, Abdel, nous avait fait découvrir le vélo, la natation, l’aviron, la course à pieds….Plein de trucs physiques.
Même chez nous, combien de fois a-t-on baisé à trois dans la douche italienne ? Je ne saurai le dire. Ca commençait toujours très cool. On se lavait avant d’aller se coucher…. C’est cela, oui… Qui commençait ? C’étai variable, selon l’humeur. Ce qui était certain c’est qu’une fois lancé, il n’y avait jamais aucun refus. Bien au contraire ! Au moins deux fois par semaine, Abdel nous demandait de lui raser le bas ventre et la raie sous la douche car il a un poil qui pousse très vite. Forcément, c’était souvent le début d’une sex party…Paulo adorait voir Abdel se balader en slip dans l’appart, le soir. Il le trouvait aussi très beau et attirant – encore plus que Rémi m’a -t-il confié une fois -. Plusieurs fois dans la soirée, il lui faisait changer de slip – sa collec est immense -, il adorait ça. Ca lui rappelait peut être le boulot mais en plus cool. Paulo m’avait aussi confié qu’il adorait faire l’amour avec lui ou se faire pénétrer par lui. Je lui avais demandé si c’était plus qu’avec moi. Il m’avait répondu par une bourrade.
Jaloux et curieux, je lui avais quand même demandé ce qui l’attirait chez Abdel. En toute franchise, il me dit que ça avait été sa beauté en premier, puis le fait qu’il adorait le sexe, qu’il était très « démonstratif » , qu’il gémissait facilement et qu’il n’hésitait pas à commenter ou à demander des trucs précis…. Qu’il éjaculait aussi de grandes quantités de sperme ! – ça, j’avais remarqué aussi - . Par la suite, il avait appris à découvrir sa personnalité attachante, sa gaité, son dynamisme, son côté positif et toujours tourné vers les autres. Moins intello que Rémi, aussi – il veut être prof de gym -. Il appréciait aussi le fait qu’Abdel s’exprimait correctement en anglais ce qui lui facilitait la vie à lui, Paulo. Dans la foulée, je lui avais demandé ce qui l’avait attiré chez moi… Il me dit que c’était quasiment les mêmes choses. Mais que, depuis toutes ces années ensemble, j’étais devenu un point d’ancrage dans sa vie, dont il avait terriblement besoin et dont il pourrait difficilement se passer.
Ce qu’on aimait bien aussi, tous les trois, le soir, c’était de cuisiner ensemble. C’était à qui proposerait le truc le plus fun à préparer. Chacun vantant sa cuisine d’origine, bien sûr. On passait ainsi un temps fou à se préparer des trucs. On aimait bien aussi se frôler, toujours en slips, se toucher comme par inadvertance. Abdel avait bien sûr amené avec lui toute sa cuisine nord africaine. Intéressants mélanges.
Mais, par-dessus tout, bien sûr, ce qu’on préférait c’était faire l’amour à trois. Une grande partie du début de chaque nuit était consacrée à ça – parfois, ça pouvait même être en pleine journée -. On pouvait compter sur Abdel et sur Paulo pour trouver des variantes qui ajoutaient du piquant. Sans problème, imagination infinie. Ces séances se passaient aussi toujours beaucoup dans la joie et la rigolade. C’était souvent Abdel qui proposait un truc rigolo. Avec Paulo, c’était plus déjanté. Si on ne commençait pas par la douche, ça démarrait, au lit, sur de longues séances de caresses, de bisous, de pompages, de feuilles de rose, de doigtages, de godes … On échangeait les rôles, à tour de rôle.
Abdel annonçait alors ce qu’il aimerait à ce moment précis. Paulo, qui ne demandait que ça, s’exécutait de bonne grâce me mettant souvent à contribution. Abdel n’était pas ce qu’on appelle un passif car, tout comme nous, il appréciait de tenir indifféremment les deux rôles, passif et actif. Ce qu’on aimait tous par-dessus tout c’est que ça dure le plus longtemps possible avant de jouir. Pour Abdel, c’était moins un problème car, dix à quinze minutes après avoir joui, il pouvait remettre ça avec autant de fougue. Paulo, lui, contrairement à Abdel, était beaucoup plus endurant avant de jouir. Moi, j’étais entre les deux.
Après les positions qu’on aimait bien à trois étaient plus que nombreuses. Depuis la levrette côte à côte, la levrette doublée, Le dos côte à côte, en cuiller, le milieu qui se fait mettre et qui suce, le petit train en levrette, le petit train sur le côté, l’empalage, l’empalage assis, le tas de trois – sur le ventre -, la ceinture à la taille dos au mur, la savonnette, jusqu’à la double… Parfois, ça prenait la tournure d’une session à deux avec le troisième qui filmait ou photographiait. Perso, je préférais quand Paulo me prenait ou que je le prenais et qu’Abdel filmait. Mais, j’aimais beaucoup aussi quand Abdel me défonçait avec sa belle bite de jeune fougueux et qu’il m’inondait de flots de foutre chaud. Aaaaah ! .Abdel avait aussi intégré que ma position favorite était debout, dos au mur, avec mes jambes qui enserraient la taille de celui qui me fourrait. A chaque fois qu’il le pouvait, j’avais droit à un tel moment. On ne s’endormait jamais si les trois n’avaient pas joui, au moins une fois. A chaque fois, pourtant, Abdel nous réservait, à Paulo et à moi, un moment d’intimité privilégié. Délicate attention.
Au cours de la nuit, il n’était pas rare du tout que l’un de nous trois remette ça soit avec l’un soit avec les deux. Très variable. Ca pouvait se passer dans le lit, sur le canapé ou dans la salle de bain… Tout était open.
Abdel m’a dit une fois que ce à quoi il avait le plus de mal à résister c’est quand je le fourrais en cuiller et, qu’en même temps, je prenais sa bite à deux mains – une sur son sac de couilles et le bas de sa hampe, l’autre sur le gland, du bout des doigts – et que je le branlais doucement. Il m’a dit que là, il ne pouvait pas tenir plus de deux minutes sans juter. Une autre fois, il m’avait aussi avoué qu’il s’était déjà masturbé plusieurs fois sous notre douche car il nous croyait trop fatigués pour une nouvelle session de sexe.
Il nous remerciait aussi du fait qu’on lui avait fait découvrir certaines choses sur lui qu’il ne soupçonnait pas. Ainsi, il ne se savait pas exhibitionniste – il avait trouvé ça super excitant - et encore moins voyeur. Il n’avait non plus jamais expérimenté le sexe à plusieurs. Et, en fait, il avait beaucoup aimé et continuerait probablement dans cette voie.
« -J’espère qu’on ne t’a pas trop perverti…-Pourquoi tu dis ça ? Vous ne m’avez pas perverti, c’est une ouverture d’esprit, au contraire ! C’est moi qui étais curieux de votre façon de vivre ! Je voulais connaître ça. Je trouve qu’en peu d’années, j’ai déjà fait un bon chemin de découvertes et qu’il m’en reste sûrement encore à faire ! »Perso, j’ai toujours trouvé que ce qui nous liait le plus, en dehors de tout le reste, c’était notre amour du sexe. Sous toutes ses formes. On adore l’odeur du sperme, le goût du sperme. Le fait de se retrouver nus tous les trois dans le lit, collés l’un à l’autre, au chaud, dégoulinants de sperme, après avoir fait l’amour comme des sauvages. On a toujours eu aussi la chance de tomber sur des mecs qui aimaient aussi ça par dessus tout.
Par contre, bien qu’il n’y ait que six ans d’écart entre nous et Abdel, on trouvait qu’Abdel était beaucoup plus libéré que nous vis-à-vis du sexe que nous qui pensions l’être déjà pas mal. De plus, il s’affichait ouvertement gay – sauf auprès de sa mère -, à la fac, au stade, au boulot. Partout. Il le revendiquait même. Il faut dire qu’avec son physique à tomber, il ne laissait personne indifférent. Très jeune, il avait senti des regards de garçons sur lui. Ils ne l’avaient jamais laissé indifférent même s’il avait commencé par fréquenter des filles, au début. Au contraire. Lui-même se sentait troublé par certains garçons… Une autre fois, il m’avait parlé de son premier garçon. Il était plus âgé que lui. Il avait été très doux et ça avait été vraiment une belle initiation. Aujourd’hui, il ne recherchait pas que le grand amour romantique – avec un garçon, s’entend – mais il était plus que motivé pour explorer toutes les facettes de l’amour gay.
Toutes ces grandes discussions sur l’amour et le sexe nous échauffaient pas mal les sangs et c’était pas rare du tout que ça finisse en un démontage de la literie et… du reste. Dans ces cas là, c’est Abdel qui prenait toutes les initiatives sur nos deux corps. Pour notre plus grand plaisir. Il savait nous faire languir avant de nous fourrer bien profond mais tout doucement… Ses gémissements, ses commentaires, tout cela nous excitait grave. Alors, quand on recevait sa bite entière….Quel soulagement ! Paulo et moi étions très demandeurs ! Tellement qu’à un moment, Paulo nous demanda une double.
Abdel me demanda si je voulais bien m’allonger sous Paulo pendant que lui essaierait de le pénétrer par-dessus ma bite. Bizarrement, il savait comment pratiquer. Je sentais sa bite se coller à la mienne pour essayer de forcer le passage de Paulo. Je n’avais aucun doute qu’il y arriverait sans trop de problèmes.
« Walllaaa ! J’y suis ! On y est tous les deux ! Mortel !! »Doucement, il commença à limer. Il était scotché au dos de Paulo, il lui agaçait les tétons. Moi, je lui branlais doucement son pieu turgescent. Paulo avait l’air assez ravi de ce qui lui arrivait.
« -E bom ! E bom demais ! Continue indo » ( C’est bon ! C’est trop bon ! Continue ! )J’essayais de me synchroniser avec le limage d’Abdel…Ca y est ! On était en phase. Paulo se régalait de recevoir un tel piston. Ses gémissements parlaient pour lui. Abdel lui demandait sans cesse s’il lui faisait mal…« -Pelo contrario ! Pelo contrario ! » ( Au contraire !)A nous deux, on accélérait légèrement la cadence. Paulo le sentit et voulut, lui aussi, accompagner notre mouvement. Si bien que « la machine s’emballa ». On arriva vite à un paroxysme d’agitation. Paulo râlait en continu maintenant, les yeux chavirés.
« -Je vais jouuuiiirr ! » eut le temps de crier Abdel.
Je sentis son foutre se déverser dans le ventre de Paulo et sur ma bite aussi. Cela me fit tellement d’effet, qu’à mon tour, je me vidais en lui. Paulo était aux anges d’être ainsi honoré doublement. Pendant un moment encore il continua à coulisser sur nos deux bites qui débandaient doucement, voulant prolonger ce délicieux moment. On ruisselait littéralement de sperme. Le reste de la nuit fut calme.
Le lendemain, dans l »après midi, Paulo repartait courir le monde pour son boulot. Abdel était à la fac. Avant de partir, il me prit longuement, très longuement, une dernière fois. Ce fut…délicieux mais déchirant comme à chaque fois qu’il partait. Je le pris, à mon tour. On s’endormit et on se réveilla tout juste pour l’avion.
Il me dit de prendre très grand soin d’Abdel pendant tout le temps où il serait absent.
Je lui promis.
Souvent, à la pause de midi, avant d’aller prendre un sandwich quelque part, on allait courir un peu dans le bois avec Paulo. Paulo qui devait entretenir son corps un maximum s’il voulait toujours être autant sollicité dans son boulot de top model… Une fois, au retour du jogging, on avait pris une douche aménagée dans l’arrière pièce du magasin. Cela avait bien fini en séance de baise. Eh bien, finalement, les jours où on ne pouvait aller courir, ça nous manquait. Le soir, Abdel nous emmenait parfois à sa salle de sport. Je vous dis pas quand Paulo a fait sa première apparition là bas ! Ceux qui avaient l’air encore plus tourneboulés, c’étaient….les mecs. Ces endroits, ça doit être des nids de gays, ma parole- bon à savoir… -. Il faut reconnaître qu’il y avait là quelques beaux spécimens de mecs aussi.
Les soirées à trois étaient toujours très joyeuses. Paulo n’est pas un triste, Abdel encore moins. En plus, on est encore à l’âge où on aime plus que tout rigoler. On n’a pas encore été rattrapé par tous les soucis et les contraintes de la vie.
Abdel était très heureux car, par petites touches délicates, il avait commencé à préparer sa mère à son coming out de gay. Oh, il ne voulait surtout pas le faire brutalement. Il avait l’impression que sa mère évoluait lentement. Par amour pour son fils, sans doute. Pour lui, c’est sûr, il a définitivement basculé du côté des garçons. De plus, il aimait beaucoup notre façon de vivre très libre.
Assez souvent aussi, quand il y avait nocturne, on allait à la piscine. On s’arrangeait pour y aller la dernière heure car ainsi, on se retrouvait avec Slimane et Ali au sauna sec et au hammam de longs et agréables moments. Slimane et Abdel ne pouvaient s’empêcher de se mesurer sur 100 ou 200 mètres. Ca finissait toujours par de belles séances de caresses et de fellations. Une fois, dans les douches, on fit même le « petit train » à quatre. Trop cool ! Lui, Abdel, nous avait fait découvrir le vélo, la natation, l’aviron, la course à pieds….Plein de trucs physiques.
Même chez nous, combien de fois a-t-on baisé à trois dans la douche italienne ? Je ne saurai le dire. Ca commençait toujours très cool. On se lavait avant d’aller se coucher…. C’est cela, oui… Qui commençait ? C’étai variable, selon l’humeur. Ce qui était certain c’est qu’une fois lancé, il n’y avait jamais aucun refus. Bien au contraire ! Au moins deux fois par semaine, Abdel nous demandait de lui raser le bas ventre et la raie sous la douche car il a un poil qui pousse très vite. Forcément, c’était souvent le début d’une sex party…Paulo adorait voir Abdel se balader en slip dans l’appart, le soir. Il le trouvait aussi très beau et attirant – encore plus que Rémi m’a -t-il confié une fois -. Plusieurs fois dans la soirée, il lui faisait changer de slip – sa collec est immense -, il adorait ça. Ca lui rappelait peut être le boulot mais en plus cool. Paulo m’avait aussi confié qu’il adorait faire l’amour avec lui ou se faire pénétrer par lui. Je lui avais demandé si c’était plus qu’avec moi. Il m’avait répondu par une bourrade.
Jaloux et curieux, je lui avais quand même demandé ce qui l’attirait chez Abdel. En toute franchise, il me dit que ça avait été sa beauté en premier, puis le fait qu’il adorait le sexe, qu’il était très « démonstratif » , qu’il gémissait facilement et qu’il n’hésitait pas à commenter ou à demander des trucs précis…. Qu’il éjaculait aussi de grandes quantités de sperme ! – ça, j’avais remarqué aussi - . Par la suite, il avait appris à découvrir sa personnalité attachante, sa gaité, son dynamisme, son côté positif et toujours tourné vers les autres. Moins intello que Rémi, aussi – il veut être prof de gym -. Il appréciait aussi le fait qu’Abdel s’exprimait correctement en anglais ce qui lui facilitait la vie à lui, Paulo. Dans la foulée, je lui avais demandé ce qui l’avait attiré chez moi… Il me dit que c’était quasiment les mêmes choses. Mais que, depuis toutes ces années ensemble, j’étais devenu un point d’ancrage dans sa vie, dont il avait terriblement besoin et dont il pourrait difficilement se passer.
Ce qu’on aimait bien aussi, tous les trois, le soir, c’était de cuisiner ensemble. C’était à qui proposerait le truc le plus fun à préparer. Chacun vantant sa cuisine d’origine, bien sûr. On passait ainsi un temps fou à se préparer des trucs. On aimait bien aussi se frôler, toujours en slips, se toucher comme par inadvertance. Abdel avait bien sûr amené avec lui toute sa cuisine nord africaine. Intéressants mélanges.
Mais, par-dessus tout, bien sûr, ce qu’on préférait c’était faire l’amour à trois. Une grande partie du début de chaque nuit était consacrée à ça – parfois, ça pouvait même être en pleine journée -. On pouvait compter sur Abdel et sur Paulo pour trouver des variantes qui ajoutaient du piquant. Sans problème, imagination infinie. Ces séances se passaient aussi toujours beaucoup dans la joie et la rigolade. C’était souvent Abdel qui proposait un truc rigolo. Avec Paulo, c’était plus déjanté. Si on ne commençait pas par la douche, ça démarrait, au lit, sur de longues séances de caresses, de bisous, de pompages, de feuilles de rose, de doigtages, de godes … On échangeait les rôles, à tour de rôle.
Abdel annonçait alors ce qu’il aimerait à ce moment précis. Paulo, qui ne demandait que ça, s’exécutait de bonne grâce me mettant souvent à contribution. Abdel n’était pas ce qu’on appelle un passif car, tout comme nous, il appréciait de tenir indifféremment les deux rôles, passif et actif. Ce qu’on aimait tous par-dessus tout c’est que ça dure le plus longtemps possible avant de jouir. Pour Abdel, c’était moins un problème car, dix à quinze minutes après avoir joui, il pouvait remettre ça avec autant de fougue. Paulo, lui, contrairement à Abdel, était beaucoup plus endurant avant de jouir. Moi, j’étais entre les deux.
Après les positions qu’on aimait bien à trois étaient plus que nombreuses. Depuis la levrette côte à côte, la levrette doublée, Le dos côte à côte, en cuiller, le milieu qui se fait mettre et qui suce, le petit train en levrette, le petit train sur le côté, l’empalage, l’empalage assis, le tas de trois – sur le ventre -, la ceinture à la taille dos au mur, la savonnette, jusqu’à la double… Parfois, ça prenait la tournure d’une session à deux avec le troisième qui filmait ou photographiait. Perso, je préférais quand Paulo me prenait ou que je le prenais et qu’Abdel filmait. Mais, j’aimais beaucoup aussi quand Abdel me défonçait avec sa belle bite de jeune fougueux et qu’il m’inondait de flots de foutre chaud. Aaaaah ! .Abdel avait aussi intégré que ma position favorite était debout, dos au mur, avec mes jambes qui enserraient la taille de celui qui me fourrait. A chaque fois qu’il le pouvait, j’avais droit à un tel moment. On ne s’endormait jamais si les trois n’avaient pas joui, au moins une fois. A chaque fois, pourtant, Abdel nous réservait, à Paulo et à moi, un moment d’intimité privilégié. Délicate attention.
Au cours de la nuit, il n’était pas rare du tout que l’un de nous trois remette ça soit avec l’un soit avec les deux. Très variable. Ca pouvait se passer dans le lit, sur le canapé ou dans la salle de bain… Tout était open.
Abdel m’a dit une fois que ce à quoi il avait le plus de mal à résister c’est quand je le fourrais en cuiller et, qu’en même temps, je prenais sa bite à deux mains – une sur son sac de couilles et le bas de sa hampe, l’autre sur le gland, du bout des doigts – et que je le branlais doucement. Il m’a dit que là, il ne pouvait pas tenir plus de deux minutes sans juter. Une autre fois, il m’avait aussi avoué qu’il s’était déjà masturbé plusieurs fois sous notre douche car il nous croyait trop fatigués pour une nouvelle session de sexe.
Il nous remerciait aussi du fait qu’on lui avait fait découvrir certaines choses sur lui qu’il ne soupçonnait pas. Ainsi, il ne se savait pas exhibitionniste – il avait trouvé ça super excitant - et encore moins voyeur. Il n’avait non plus jamais expérimenté le sexe à plusieurs. Et, en fait, il avait beaucoup aimé et continuerait probablement dans cette voie.
« -J’espère qu’on ne t’a pas trop perverti…-Pourquoi tu dis ça ? Vous ne m’avez pas perverti, c’est une ouverture d’esprit, au contraire ! C’est moi qui étais curieux de votre façon de vivre ! Je voulais connaître ça. Je trouve qu’en peu d’années, j’ai déjà fait un bon chemin de découvertes et qu’il m’en reste sûrement encore à faire ! »Perso, j’ai toujours trouvé que ce qui nous liait le plus, en dehors de tout le reste, c’était notre amour du sexe. Sous toutes ses formes. On adore l’odeur du sperme, le goût du sperme. Le fait de se retrouver nus tous les trois dans le lit, collés l’un à l’autre, au chaud, dégoulinants de sperme, après avoir fait l’amour comme des sauvages. On a toujours eu aussi la chance de tomber sur des mecs qui aimaient aussi ça par dessus tout.
Par contre, bien qu’il n’y ait que six ans d’écart entre nous et Abdel, on trouvait qu’Abdel était beaucoup plus libéré que nous vis-à-vis du sexe que nous qui pensions l’être déjà pas mal. De plus, il s’affichait ouvertement gay – sauf auprès de sa mère -, à la fac, au stade, au boulot. Partout. Il le revendiquait même. Il faut dire qu’avec son physique à tomber, il ne laissait personne indifférent. Très jeune, il avait senti des regards de garçons sur lui. Ils ne l’avaient jamais laissé indifférent même s’il avait commencé par fréquenter des filles, au début. Au contraire. Lui-même se sentait troublé par certains garçons… Une autre fois, il m’avait parlé de son premier garçon. Il était plus âgé que lui. Il avait été très doux et ça avait été vraiment une belle initiation. Aujourd’hui, il ne recherchait pas que le grand amour romantique – avec un garçon, s’entend – mais il était plus que motivé pour explorer toutes les facettes de l’amour gay.
Toutes ces grandes discussions sur l’amour et le sexe nous échauffaient pas mal les sangs et c’était pas rare du tout que ça finisse en un démontage de la literie et… du reste. Dans ces cas là, c’est Abdel qui prenait toutes les initiatives sur nos deux corps. Pour notre plus grand plaisir. Il savait nous faire languir avant de nous fourrer bien profond mais tout doucement… Ses gémissements, ses commentaires, tout cela nous excitait grave. Alors, quand on recevait sa bite entière….Quel soulagement ! Paulo et moi étions très demandeurs ! Tellement qu’à un moment, Paulo nous demanda une double.
Abdel me demanda si je voulais bien m’allonger sous Paulo pendant que lui essaierait de le pénétrer par-dessus ma bite. Bizarrement, il savait comment pratiquer. Je sentais sa bite se coller à la mienne pour essayer de forcer le passage de Paulo. Je n’avais aucun doute qu’il y arriverait sans trop de problèmes.
« Walllaaa ! J’y suis ! On y est tous les deux ! Mortel !! »Doucement, il commença à limer. Il était scotché au dos de Paulo, il lui agaçait les tétons. Moi, je lui branlais doucement son pieu turgescent. Paulo avait l’air assez ravi de ce qui lui arrivait.
« -E bom ! E bom demais ! Continue indo » ( C’est bon ! C’est trop bon ! Continue ! )J’essayais de me synchroniser avec le limage d’Abdel…Ca y est ! On était en phase. Paulo se régalait de recevoir un tel piston. Ses gémissements parlaient pour lui. Abdel lui demandait sans cesse s’il lui faisait mal…« -Pelo contrario ! Pelo contrario ! » ( Au contraire !)A nous deux, on accélérait légèrement la cadence. Paulo le sentit et voulut, lui aussi, accompagner notre mouvement. Si bien que « la machine s’emballa ». On arriva vite à un paroxysme d’agitation. Paulo râlait en continu maintenant, les yeux chavirés.
« -Je vais jouuuiiirr ! » eut le temps de crier Abdel.
Je sentis son foutre se déverser dans le ventre de Paulo et sur ma bite aussi. Cela me fit tellement d’effet, qu’à mon tour, je me vidais en lui. Paulo était aux anges d’être ainsi honoré doublement. Pendant un moment encore il continua à coulisser sur nos deux bites qui débandaient doucement, voulant prolonger ce délicieux moment. On ruisselait littéralement de sperme. Le reste de la nuit fut calme.
Le lendemain, dans l »après midi, Paulo repartait courir le monde pour son boulot. Abdel était à la fac. Avant de partir, il me prit longuement, très longuement, une dernière fois. Ce fut…délicieux mais déchirant comme à chaque fois qu’il partait. Je le pris, à mon tour. On s’endormit et on se réveilla tout juste pour l’avion.
Il me dit de prendre très grand soin d’Abdel pendant tout le temps où il serait absent.
Je lui promis.
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