Au moulin des deux pucelles
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Au moulin des deux pucelles
Ce moulin n’était pas un moulin mais juste une boulangerie pâtisserie. Un beau magasin du XVième, côté Suffren, devanture grand siècle aux glaces biseautées avec textes dépolis croissants au beurre, brioches à tête ronde, sacristains, chocolatines bordelaises, viennoiseries, chouquettes, bugnes de Languedoc.
Les patrons étaient deux gars jeunes qui avaient choisi ce nom comme enseigne de leur boutique à cause de leurs vendeuses. En hommage à leurs deux vendeuses. Deux petites vendeuses boulangères, gamines souriantes du genre farouche avec les gars. Enfin si vous me comprenez, du genre copines seulement.
Le plus grand était boulanger et l’autre, le petit râblé, pâtissier. Ils faisaient la paire. Ils avaient cru qu’en embauchant ces deux petites ils auraient toute opportunité de consommer et se repaître de cuisse fraîche, vu que les gamines avaient plus look de stagiaires ingénues que de pétasses aux heures de vol pléthoriques.
Enfin, tout ça pour vous dire que tout le moulin se réjouissait des deux vendeuses nouvellement recrutées et qui souriaient avenantes à la chalandise, blouses maculée de farine fine qui sculptait leur devant de petites gamines boulangères.
Blouses roses légères avec petits seins sympas qui avaient accroché la farine de téton saillant de rondeur jolie. On aurait dit tableau de Dali surréaliste chaque jour renouvelé et chaque jour plus bandant encor. Tableau en 3D de farine projetée sur des volumes en vue de les mettre en valeur comme technique art moderne post contemporain. Révéler les volumes par les poussières projetées en volutes.
Le vrai problème est que personne n’avait compris que les deux filles se suffisaient à elles-même. Ou du moins imaginaient cela dans leur ingénuosité de gamines un peu gouines.
Mais les gamines cruches qui se croient reines du monde parce qu’elles s’aiment mutuellement et pensent qu’elles pourront se passer des hommes sont en impasse, sont dans l’erreur.
Mais cela personne ne le savait.
Les hommes en mission familiale d’approvisionner le pain quotidien, commandaient deux baguettes en louchant sur le poitrail de celle qui les servait. Ils souriaient, coincés d’avoir le regard braqué, ils souriaient un peu bête de n’être pas hommes disponibles, d’être bêtement déjà en main déjà mariés.
Les jeunes gens étaient, eux, plus hardis. Ils déclamaient chacun des bonjours aux filles. Probablement persuadés que ce suffirait pour établir le contact.
Les mecs croient que pour devenir l’intime d’une fille, il suffit de lui dire bonjour...
Les garçons sont bêtes. Les filles, elles, ne s’intéressent à un gars que si celui-ci leur plait. Les filles, elles sont sélectives.
Les garçons moins.
Les garçons, leur philosophie est d’une grande simplicité mais néanmoins d’une extrême efficacité : qu’importe le trou pourvu qu’il y ait du poil autour.
Les garçons, quand ils bandent, ils tirent tout ce qui passe à portée. C’est ça leur truc, aux garçons.
Les garçons ils ont à disposition des millions de spermatos, tous vaillants et vibrillonants. Alors les garçons sont guidés d’instinct par le concept militaire de saturation tous azimuts. Donner généreusement sans retenue et advienne que pourra. Shot and forget, la statistique fera sa loi.
Big data dit-on aujourd’hui.
Les filles sont différentes. Elles savent qu’elles n’ont, elles, chaque mois droit qu’à un coup et qu’en conséquence le choix doit être le bon dès le départ. Un seul ovocyte face à une myriade de cellules à propulsion caudale prétendantes.
Les filles sont des êtres très différents. Elles n’ont, elles, pas le droit à l’erreur. Elles choisissent, elles. Elles se doivent de choisir le costaud l’intelligent le beau, le mec qui a réussi avec la grosse bagnole ou le mec en belle santé avec la braguette gonflée...
Elles choisissent le mâle qui va les couvrir pour des tas de raisons qui sont des raisons de filles et qui n’ont rien de bien logique ni rien de bien prévisible.
Surtout que les filles, ce sont souvent que des blondes ... ou pire d’anciennes brunes, juste vaguement décolorées recolorées.
Enfin, ici, à la boulangerie du Moulin, les deux pucelles étaient loin de ces turpitudes et ne vivaient que l’une pour l’autre en conviction d’amour saphique partagé.
Mais le Bon Dieu ne l’entendait pas tout à fait de cette oreille.
Le Bon Dieu, il était d’accord pour que ces deux filles trouvent leur bonheur entre elles. Mais il voulait aussi que de l’Amour vienne descendance procréation éternité. Le Bon Dieu, c’était ça son truc son obsession la raison d’être de sa vie à lui : faire un machin pérenne.
Alors le Bon Dieu il a envoyé David.
David était beau gosse. C’était un peu le Gabriel de la fable. Les deux filles ont bien aimé David et ce qui devait arriver arriva. David était dans le lit étroit entre les deux boulangères et chacune se lovait contre lui et lui tenait la bite ou les couilles, chacune son tour. Elles partageaient. Les filles aimantes sont enclines au partage.
Elles croient qu’en partage des chaleurs du gars leur amour réciproque de filles restera indemne.
Que nenni.
Elles ont dit elles ont pensé, on va se faire tour à tour baiser et tout sera bien. David donnera à l’une donnera à l’autre et chacune aura son contentement.
Le Bon Dieu lui en observation interlope par la window rigolait en calculant, dans neuf mois sûr elles auront les mouflets. Merci David.
Et les deux pucelles qui ne l’étaient plus trop se frottaient de cuisses de ventres de thorax de cœur tendre au fameux David et pensaient toutes deux leur bonheur de copines fécondées.
Elles pensaient, va-t-on le garder ce David comme mari commun de chacune ?
Jolie situation de bonheur du vingt et unième siècle pas encore homologuée.
Mais bientôt cela sera, merci Marlène Schiappa.
Et on baisera ensemble tous les trois. Certains diront bigamie mais nous on sait bien que c’est pas ça. C’est nouveau. Deux bonheurs de filles et un garçon au milieu pour compléter, tout simplement.
Autre temps tout simplement.
Les patrons étaient deux gars jeunes qui avaient choisi ce nom comme enseigne de leur boutique à cause de leurs vendeuses. En hommage à leurs deux vendeuses. Deux petites vendeuses boulangères, gamines souriantes du genre farouche avec les gars. Enfin si vous me comprenez, du genre copines seulement.
Le plus grand était boulanger et l’autre, le petit râblé, pâtissier. Ils faisaient la paire. Ils avaient cru qu’en embauchant ces deux petites ils auraient toute opportunité de consommer et se repaître de cuisse fraîche, vu que les gamines avaient plus look de stagiaires ingénues que de pétasses aux heures de vol pléthoriques.
Enfin, tout ça pour vous dire que tout le moulin se réjouissait des deux vendeuses nouvellement recrutées et qui souriaient avenantes à la chalandise, blouses maculée de farine fine qui sculptait leur devant de petites gamines boulangères.
Blouses roses légères avec petits seins sympas qui avaient accroché la farine de téton saillant de rondeur jolie. On aurait dit tableau de Dali surréaliste chaque jour renouvelé et chaque jour plus bandant encor. Tableau en 3D de farine projetée sur des volumes en vue de les mettre en valeur comme technique art moderne post contemporain. Révéler les volumes par les poussières projetées en volutes.
Le vrai problème est que personne n’avait compris que les deux filles se suffisaient à elles-même. Ou du moins imaginaient cela dans leur ingénuosité de gamines un peu gouines.
Mais les gamines cruches qui se croient reines du monde parce qu’elles s’aiment mutuellement et pensent qu’elles pourront se passer des hommes sont en impasse, sont dans l’erreur.
Mais cela personne ne le savait.
Les hommes en mission familiale d’approvisionner le pain quotidien, commandaient deux baguettes en louchant sur le poitrail de celle qui les servait. Ils souriaient, coincés d’avoir le regard braqué, ils souriaient un peu bête de n’être pas hommes disponibles, d’être bêtement déjà en main déjà mariés.
Les jeunes gens étaient, eux, plus hardis. Ils déclamaient chacun des bonjours aux filles. Probablement persuadés que ce suffirait pour établir le contact.
Les mecs croient que pour devenir l’intime d’une fille, il suffit de lui dire bonjour...
Les garçons sont bêtes. Les filles, elles, ne s’intéressent à un gars que si celui-ci leur plait. Les filles, elles sont sélectives.
Les garçons moins.
Les garçons, leur philosophie est d’une grande simplicité mais néanmoins d’une extrême efficacité : qu’importe le trou pourvu qu’il y ait du poil autour.
Les garçons, quand ils bandent, ils tirent tout ce qui passe à portée. C’est ça leur truc, aux garçons.
Les garçons ils ont à disposition des millions de spermatos, tous vaillants et vibrillonants. Alors les garçons sont guidés d’instinct par le concept militaire de saturation tous azimuts. Donner généreusement sans retenue et advienne que pourra. Shot and forget, la statistique fera sa loi.
Big data dit-on aujourd’hui.
Les filles sont différentes. Elles savent qu’elles n’ont, elles, chaque mois droit qu’à un coup et qu’en conséquence le choix doit être le bon dès le départ. Un seul ovocyte face à une myriade de cellules à propulsion caudale prétendantes.
Les filles sont des êtres très différents. Elles n’ont, elles, pas le droit à l’erreur. Elles choisissent, elles. Elles se doivent de choisir le costaud l’intelligent le beau, le mec qui a réussi avec la grosse bagnole ou le mec en belle santé avec la braguette gonflée...
Elles choisissent le mâle qui va les couvrir pour des tas de raisons qui sont des raisons de filles et qui n’ont rien de bien logique ni rien de bien prévisible.
Surtout que les filles, ce sont souvent que des blondes ... ou pire d’anciennes brunes, juste vaguement décolorées recolorées.
Enfin, ici, à la boulangerie du Moulin, les deux pucelles étaient loin de ces turpitudes et ne vivaient que l’une pour l’autre en conviction d’amour saphique partagé.
Mais le Bon Dieu ne l’entendait pas tout à fait de cette oreille.
Le Bon Dieu, il était d’accord pour que ces deux filles trouvent leur bonheur entre elles. Mais il voulait aussi que de l’Amour vienne descendance procréation éternité. Le Bon Dieu, c’était ça son truc son obsession la raison d’être de sa vie à lui : faire un machin pérenne.
Alors le Bon Dieu il a envoyé David.
David était beau gosse. C’était un peu le Gabriel de la fable. Les deux filles ont bien aimé David et ce qui devait arriver arriva. David était dans le lit étroit entre les deux boulangères et chacune se lovait contre lui et lui tenait la bite ou les couilles, chacune son tour. Elles partageaient. Les filles aimantes sont enclines au partage.
Elles croient qu’en partage des chaleurs du gars leur amour réciproque de filles restera indemne.
Que nenni.
Elles ont dit elles ont pensé, on va se faire tour à tour baiser et tout sera bien. David donnera à l’une donnera à l’autre et chacune aura son contentement.
Le Bon Dieu lui en observation interlope par la window rigolait en calculant, dans neuf mois sûr elles auront les mouflets. Merci David.
Et les deux pucelles qui ne l’étaient plus trop se frottaient de cuisses de ventres de thorax de cœur tendre au fameux David et pensaient toutes deux leur bonheur de copines fécondées.
Elles pensaient, va-t-on le garder ce David comme mari commun de chacune ?
Jolie situation de bonheur du vingt et unième siècle pas encore homologuée.
Mais bientôt cela sera, merci Marlène Schiappa.
Et on baisera ensemble tous les trois. Certains diront bigamie mais nous on sait bien que c’est pas ça. C’est nouveau. Deux bonheurs de filles et un garçon au milieu pour compléter, tout simplement.
Autre temps tout simplement.
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