Au Parc la nuit

- Par l'auteur HDS Lisa-Al -
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Récit libertin : Au Parc la nuit Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Au Parc la nuit
Quand on provoque certaines choses, elles vous prennent, sans crier gare, on se retrouve loin de notre but. C’est bien ce qui est arrivé, j’ai voulu être libre et sans le voir, je fonçais vers une autre servitude, un autre enfer sans doute pire que celui auquel j’avais échappé, dans ce mariage raté. Je me vengeais des mois passés, perdus dans l’espoir que tout allait s’arranger. Ma fuite en avant me conduisait vers un autre piège.
Je multipliait les aventures, avec un succès mitigé, pour une rencontre agréable et chaleureuse, combien furent de belles déconvenues, je ne sais pas, je ne veux pas savoir. On me dit maintenant que j’étais folle de me lancer dans des rencontres scabreuses. Je le vois aujourd’hui, je l’admets, j’ai été une belle petite conne, j’ai traversé tout ça sans expérimenter de situations trop dangereuses. Si j’analyse ma conduite de cette époque, il y a une feuille de papier entre la vie d’une femme libérée et aventureuse et celle d’une prostituée. L’ unique différence est que je le faisais gratuitement.
Sur Internet, j’avais rencontré un couple très, coquin, qui cherchait une femme complice pour des jeux à trois ainsi que des exhibitions dans des parcs et lieux publics.

Marlène et Gilles étaient un couple dans la quarantaine, très classique au fond, mais Gilles avait une libido surdéveloppée, Marlène très soumise et suiveuse ne donnait pas sa part au chien surtout si son mari l'aiguillonne. Une aventure à trois ce n’était pas bien nouveau pour moi, ce qui l’était bien plus c’était ces jeux d'exhibitions en public. Je ne suis pas à la base une fille aimant se montrer, non. Mais si je sais qu’on me regarde, j’y suis extrêmement sensible, je vais me donner à fond pour ceux qui me regardent. J’aime exciter les hommes et les femmes. J’aime penser qu’ils me traitent de salope dans leurs têtes ou à haute voix. Je ne me sens pas insultée, mais flattée. Ce n’est pas non plus ma première expérience lesbienne au sens découverte et révélation. Si avec Marlène, on se caressait, se branlait, il n’y avait jamais de duo entre elle et moi, mais des partages à trois. Je ne me voyais pas seule avec une femme à ce moment-là. Mon désir demeurait un désir de sexe masculin, en un mot clair et cru, je voulais de la bite.

22 h 00, Gilles nous dit qu’il est temps d’aller au parc, il faut chaud, nuit de fin juin. J’ai une robe légère boutonnée devant et rien dessous sinon je porte mes bas, pas de culotte comme toujours, ma chatte rasée de près. Je suis très excitée, Gilles m’a donné un petit acompte en me prenant à quatre pattes sur la moquette de leur salon, tandis que Marlène se godait en nous regardant. Nous avons jouis tous ensemble ou presque, Gilles m’avait si bien remplie, que son foutre finit sur le tapis Marlène elle avait giclé comme un arroseur de pelouse et constellé la moquette de tâche humide et nous avait copieusement arrosés, Gilles et moi.

Salope!! tu m’en fous partout dis-je.
Mais t’adore çà petite pute me dit Marlène.


Gilles riait en se réajustant, avec Marlene on se titillait souvent comme ça, celle qui serait la plus ordurière gagnais, Gilles adorait nos disputes feintes. Au fond, je les aimais bien, on s’amusait vraiment. Je n’ai pas perdu le contact avec eux, je suis passée à autre chose, eux continuent à hanter parcs et jardins, si vous tombez sur eux un de ces jours, vous passerez un bon moment.

Nous voilà dans la voiture, direction le parc. Celui-ci est connu pour être le rendez-vous d’exhibition qu’il est toujours, un lieu de drague gay également. C’est un endroit presque plus fréquenté la nuit que le jour. Voiture garée pas trop loin, bras dessus bras dessous nous voilà à l’orée du parc, Marlène toujours prête à la moindre connerie, se trousse totalement, se met une claque sur le cul et hurle
Ce soir, je suis en entrée libre !!! Viennent les mecs !! Venez Venez !!
J’enchaîne en me mettant à crier, Pipes gratuites !! Venez vous faire sucer.
Je ne vous cacherais pas, que nous avons à notre actif plusieurs mojitos bien corsés et quelques joints. J’en ai d’ailleurs un que je repasse à Marlène. Gilles nous pousse en avant, en nous passant la main au cul. Je m’arrête dans l’allée, me penche en avant, il m’enfonce ses doigts dans la chatte et me pistonne un instant…
Putain, c’est bon salaud!! Dis-je frissonnant,Tu es réellement une pute, me dit Gilles.

Il sort sa queue, et je m’accroupis au milieu de l’allée, et commence à le sucer avec application. Le tout sous un lampadaire, je suis certaine qu’on nous voit depuis le boulevard en passant en voiture. Sirène, lumière bleue. Une voiture de flic passe en trombe, Gilles remballe, je me relève croise les pans de ma robe devant moi. Les cons, ils nous ont dérangés, on doit s'enfoncer plus loin dans le parc.

Il y a du monde par là suivez moi, fait Gilles.


En effet, dans les ombres, j’aperçois des silhouettes qui nous accompagnent à distance. Marlène a enlevé son imper et se promène nue, sur ses talons qui claquent sur l’allée goudronnée, sa chevelure rousse flamboyante lui tombe au creux des reins, sa peau claire brille sous les lumières de la lune et des réverbères, elle marque lentement balançant son cul au rythme de sa marche. Moi j’ai ouvert ma robe, mes talons font aussi du bruit, je tourne sur moi-même qu’on puisse voir que je suis à poil. J’adore ça, ses yeux qui sont posés sur moi. Ma main entre mes cuisses agace ma chatte, j’ai hâte de voir du monde. Gilles nous mène jusqu’à une sorte de place ronde, avec des bancs tout autour, au centre de cette place une vasque avec des fleurs multicolores. Gilles s’approche de Marlène et lui prend les seins à pleine main. Elle roule des hanches et pousse de petits cris qui ameutent plusieurs ombres. Je me suis assise sur un banc, un pied posé sur le sol l’autre sur le banc, cuisses largement écartées, d’une main je me caresse le minou, de l’autre, je masse mes seins. La tête rejetée en arrière. Doucement, des mecs approchent, il y a même un couple, une petite brune serrée contre son mec, comme apeurée.

Venez clame Marlène, on suce on baise pour le plaisir.
Allez osez dit Gilles, il y a deux belles salopes qui veulent des queues.

Un mec est d’un coup près de moi. La queue sortie, il se branle doucement en me regardant. Entre deux âges, plutôt bien habillés, pas le style clodo. Je lui fais signe d’approcher. Il vient doucement.

Tu veux que je te suce? Demandais-jeC’est une connerie ou quoi ? Fait ilNon, viens, j’ai envie de pomper une belle bite. Lui dis-je.
Il est maintenant tout prêt, j’attrape son sexe et l’attire près de moi, il sent l’après-rasage, agréable d’ailleurs. Sa queue est déjà bien dure, épaisse, un gros gland aplati. Je me penche en avant, pose ma langue sur la queue, la prend entre mes lèvres. Mon gars pousse un soupir de plaisir alors que je descend mes lévres sur ce sexe dressé. Du coin de l'œil je vous Marléne qui entame également un fellation avec un grand type maigre. Gilles lui pelote les seins alors qu’elle suce avec entrain. La soirée démarre bien. Dans les minutes suivantes un autre homme sort des ombres, approche de moi. Je n’ai pas vu comment il est. alors que mon premier “client” est silencieux et goûte les sensations sans un mot le nouvel arrivant ouvre la bouche et dit avec un fort accent africain
Tiens regarde ça c'est une belle queue madame.
Je cesse de sucer mon petit monsieur. Je vois à sa mine dépitée qu’il pense que je vais le laisser en plan. C’est un homme, un peu rond, petit, dégarni. Il a une bonne tête et de grosses lunettes lui donnent un air de têtard. Il recule légèrement comme pour s’en aller. Mais je tiens son sexe, je serre un peu plus ma main, pour le retenir.

Mais ne te sauve pas , je ne vais pas te laisser dans cet état mon chou.
Ohhh merci, dit- il d’une voix timide.
Fais voir, approche dis-je à l’attention du black qui me met sous le nez une queue de compétition. Ohh dis donc en effet, tu a été gâté, quel engin !!
Oui Oui fait il en rigolant, Jamais fatiguée!! Madame, tu veux bien?
Viens je vais te manger tout cru dis-je enjouée.

Je m’amuse comme une folle, l’alcool et le pétard ne sont pas pour rien dans mon état. Mais voir ces deux hommes si dissemblables, le sexe à l’air qui quémandent de l’attention à une petite nana a poil sur un banc public. La situation est ubuesque, pathétique peut-être.
Je prend en main la queue de mon black, elle est épaisse, il bande mais comme souvent les africains, la taille de son sexe donne l’impression qu’il n’es pas si dure que çà. Au bas mot son sexe doit friser les 25 cm. Je suce à nouveau mon petit monsieur, avant de forcer la pine de mon géant d'ébène dans ma bouche. J’ai un peu de mal à avaler ce gland énorme. L’homme est plus aventureux, ses grandes mains avancent vers mes seins. Doucement avec une voix de gosse dans une boutique de jouets il me dit.

Je peux vous toucher?Madame
Pour toute réponse je hoche la tête avec sa queue dans ma bouche. Je n'oublie pas mon têtard, je le branle lentement. Il ose un geste et il caresse mes cheveux et ma joue d’une main tremblante. Les mains douces de l’autre passant d’un sein à l’autre, titillent mes tétons qui durcissent un peu plus. J’ai de la chance, deux inconnus très doux, il m’est arrivée d’avoir des gars un peu moins agréables voir détestables. Dans ce cas, on se fâche, on ferme boutique et dans la majorité des cas ils se sauvent en nous insultant mais rares sont les fois où j’ai eu l’impression de risque, ou de peur.
Mon petit monsieur, gémis trés fort maintenant et son sexe tout dur palpite sur ma langue, mon bel africain me caresse partout, glissant vers mon ventre, il approche de mon sexe. Je m’avance sur le bord du banc, écarte bien mes cuisses pour qu’il accède à ma chatte. Aussitôt ses grands doigts me pénètrent, causant un frisson qui me parcourt.

Attention attention hoo dit mon têtard pour me prévenir d’une explosion imminente.


Je lui fais comprendre qu’il peut se lâcher sans peur dans ma bouche. Je prend son sexe a fond, il n’est pas énorme et ne touche pas le fond de ma gorge, mais il se met à cracher qon sperme avec de petits cris qui en disent long sur son plaisir. Il me remplit la bouche, d’un jus particulièrement épais , dense, collant. Le goût est agréable, et j’avale, je savoure. J’ouvre ma bouche pour lui montrer que j’ai tout avalé.

Ohhh vous êtes sublime, c’était si bon. Vous venez souvent ici?
De temps en temps, oui j’espère vous retrouver.
Oh moi aussi, c’est la première fois que je trouve une aussi jolie personne. On pourrait se voir autrement?
Non vous êtes gentil, passez de temps en temps, la prochaine fois on fera autre chose peut être.
Il se rajuste, fait une caresse à mes cheveux et ma joue, je fais un bisou sur ses doigts, il à l’air enchanté.
Je reviens à mon black, très entreprenant. Et habile de ses doigts, je suis toute mouillée. Marléne sur l’autre banc suce Gilles et un autre gars. Je regarde le couple toujours là dans l’ombre, l’homme à glissé ses mains sous le pull de sa compagne et lui pétrit les seins. Elle branle la queue qui dépasse de la braguette de son mec de la main gauche le dos appuyé contre lui. Je leur fais signe d’approcher. Ils sortent de la nuit et viennent vers moi et mon bel africain. Que je branle à deux mains. Le femme est belle, la quanrantaine, sans doute une bonne bourgeoise, maquillée avec soin, elle semble avoir une belle poitrine, sa jupe est minimaliste, de ma main je la souléve, elle sourit, je dévoile une chatte imberbe avec des trés grandes lévres pendantes et charnues.

Jolie chatte dis-jePfiuuuu siffle mon black.
Tu vois je t’avais dit que tu aurais du succès dit l’homme en embrassant la bouche qu’elle lui tend en se tournant vers lui.
Tu me donnes un petit coup de main? Regarde même à deux mains j’arrive pas à en venir à bout.
L’homme lui murmure à l’oreille. La femme tends une main et sans arrêter de branler son homme, empoigne la queue du black et branle en cadence avec moi cette belle queue. Je me penche en avant, le couple s’approche plus le gland du mari est devant moi je le léche tandis que sa femme continue à le branler.

Oh c’est exitant fait la femme., elle te léche bien la petite blonde là?
Oui c’est bon de te voir comme ça chérie. Elle est belle ma femme dit l’homme.
Oh très belle, fait mon black. Puis me regardant, tu veux ma queue dans toi?
Hmmm Oui cochon, mais pas dans ma chatte, viens mon beau encules moi.
Oh la la c’est gros tu vas crier!!
Je le fais asseoir sur le banc, je lui tourne le dos, je guide son gland contre mon anus, j’ai bien mouillé son énorme sexe. La femme devant moi c’est troussée et se caresse la chatte, s’enfonce trois doigts. et dit à son mari
Regarder cette gamine, la petite poufiasse elle se prend cette grosse queue dans le cul!
Tu voudrais être à sa place ma femme? Demande lui si il veut te baiser après.
Oh oui, dis toi tu m’enfiles après elle?
Oui oui vous êtes de sacrées cochonnes !!
Je fais entrer le gland, de mon black, et doucement je me laisse descendre sur cette queue. Oh putain il est gros, mon cul explose. La nana s’en aperçoit, et me dit
Un peu d’aide ma chérie? Tu as l'air de déguster.
Oh oui dis je haletante. vas-y il est en train de me déchirer.
Oh j’adore, dit-elle en plantant ses doigts dans ma chatte dégoulinante.

Elle s’agenouille entre mes cuisses et tout en me fouillant le con, elle me bouffe le clito. Les ondes de plaisir m’aident à supporter la pénétration. Le mari derrire sa femme est en train de la prendre,
Mais tu m’arrose petite pute !! tu m’en crache plein la gueule. regarde çà.
Oui oui t’en veux plus?
La nana à le visage constellé de gouttes transparentes que je lui ai craché au visage. Me tenant par les hanches, mon black me fait monter et descendre sur sa queue. Il est gros, mon petit trou est explosé par cette bite épaisse et longue. Je sens parfaitement la queue qui plonge loin en moi. C’est bon j’aime ça. La femme elle me fouille la chatte, je suis si rempliequ’elle doit avoir enfoncé 4 doigts dans mon sexe. Sa bouche aspire mon clito qui est tout tendu et sensible au point que je gueules quand sa langue le touche. Je me laisse aller, je sens monter un nouvel orgasme, la nana sent mon con se serrer sur ses doigts et me lèche encore plus vite, plus fort.

Vas y petite salope, jouis encore, arrose moi donne moi tout ton jus. demande- t-elle d’une voix rauque.
Ohh putain!! ohh putain je vais jouir, je jouisss je me mets a crierC’est fort, rapide, les doigts de la nana s'agitent dans ma chatte totalement béante et ruisselante, je gicles plusieurs jets qui innondent le visage de la femme, elle en bois une bonne part, bouche ouverte. Sa jupe et son petit pull sont à l'ordre.

Salopes !!! je vais cracher, dit son mari qui la baisait jusque là.
Viens, viens jouir sur ma gueule, lui criais-je.
Il obéis, s’approche de moi, en se branlant, une belle queue bien dure, toute luisante du jus de sa femme. Il est à quelques centimètres de ma bouche quand il pousse un grognement, il jouit avec force, son sperme m’arrose le visage, tombe sur ma langue. Il pousse sa queue dans ma bouche ou il lache encore une paire de giclées. Il se retire, il a l’air chancelant. Mon beau noir contunue de se servire de moi comme un sex toy. La femme me regarde intensément, j’ai le sperme de son mec qui coule partout sur mon visage. Ma main passe derrière sa tête, empoigne ses cheveux, je tire son visage vers moi. Je déverse dans sa bouche le sperme qui est dans la mienne, on échange un profond baiser, en faisant passer le sperme d’une bouche à l’autre. Elle lèche mes joues, ensuite, mon front..

Tu veux le jus de ton mec, prends tout tu est aussi putain que moi.. toi.. dis jeOh mais oui il y a deux super salopes ici dit mon black. Chérie laisse moi donner ma queue a ta copine..
Je me léve lentement, son sexe met un temps inini à sortir de mon cul. Qu’il est long.
La femme se met à quatre pattre sur le banc, la croupe en l’air, elle écarte ses fesses et dit
Vas y mon chéri, encules moi comme elle. Fort!! vas y..
Je vais te faire gueuler aussi toi dit le black.. Après je vais vous juter sur la gueule.

La queue du black s’enfonce dans la rondelle de la femme, elle pousse un cri qui fait se tourner Marlène et Gilles.

Ohhhhh tu me défonces !! Continue, ouiiii oh mon dieu c’est bon !!
Voyant que le mari de ma nouvelle copine est encore en forme, je lui fait signe d’approcher. Sa queue est toujours gonflée et bandée. Avec toute cette agitation son excitation n’est pas retombée.

Tu veux que je te baise?? dit l’hommeNon, j’ai envie de te sucer lui dis-je.

J’adore sucer les mâles, j’aime le pouvoir que nous avons sur eux nous les femmes quand ils sont entre nos lèvres. Je ressent une intense excitation de pouvoir diriger le plaisir de mon partenaire, en faire un jouet. Je suis soumise, avec les femmes, mais avec les hommes je peux être dominatrice et j’adore qu’ils me supplient de les faire jouir. Je sais ce que çà fait d’attendre le bon vouloir de ma tendre amie pour jouir, elle sait tellement bien me mener au bout de mes sens, je deviens folle, prête a tout pour entendre cet ordre, jouis. Il a une jolie queue le mari de la brune. Pas monstrueuse comme celle de mon black mais épaisse et noueuse. Circoncis, j’aime pas vraiment, j’adore enfiler ma langue dans le prépuce et cajoler le gland dans sa retraite de peau. Je le prends loin dans ma bouche, encore une chose que j’aime. Je prends les queues jusqu’au fond de ma gorge, je fais jouir les hommes alors que leur gland est au fond de ma gorge et leur foutre se déverse directement, sans me remplir la bouche,enfin quand ça marche bien. Avec lui ça va aller il a déjà déchargé dans ma bouche tout à l’heure. Une seconde éjaculation sera moins copieuse.

Marlène et Gilles se sont approchés de nous, l’action et les voyeurs et potentiels acteurs s' ils l’osent sont autour de ce couple, du black et moi. Marléne à les joues et le menton couverts de sperme., elle en a plein les seins également.

Tu t'amuses bien Lisa? Moi je viens d’en faire jouir 3 presque en même temps et mon adorable mari vient de me coller une quatrième dose avant de venir, vous retrouver.

Pour prouver la chose, elle écarte les cuisses et montre sa chatte qui dégouline de sperme.

Une deuxième bouche ça te plait dit elle à l’homme.
Oh mais oui, tout me plait.. vous venez souvent?
De temps en temps dis-je, laissant Marlène prendre le relais.
On pourrait se joindre à vous ?
Laisse nous finir on en parle après.

Je retournais partager sa queue avec Marléne qui le pompait avec application


A suivre

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Texte coquin : Au Parc la nuit
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