AU PARFUM - Partie 3
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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AU PARFUM - Partie 3
AU PARFUM – Partie 3
Louise arriva tard chez Mariana mais elle avait mis du temps à retrouver son gode-cul que Madame de Girardin lui avait donné. Mariana fut soulagée de voir que le diamètre était plus petit que celui qu’elle avait et aussi que la forme était plutôt ovale que circulaire. C’était un bel instrument que Madame avait subtilisé d’un bordel pour femmes à Paris. Louise ne pouvait pas rester car elle avait une amoureuse qui arrivait très bientôt. Mariana et Louise étaient toutes les deux vagabondes et se jetaient sur le dos avec la première venue.
N’importe, Mariana promit de prendre bien soin du gode et de le remettre à Louise aussitôt qu’elle s’était habituée à son maniement.
L’amoureuse que Louise attendait se prénommait Bernadette et était une des favorites de Madame de Girardin mais surtout l’amante attitrée de Madame Armand. Bernadette était très dominatrice, peut-être la plus agressive parmi les jeunes lesbiennes qui gravitaient autour des femmes plus âgées.
Bernadette était grande et svelte. Une brune de presque 30 ans avec les cheveux assez courts. Elle avait de minuscules nichons très pointus et de petites fesses fermes et musclées. Comme Louise elle aimait les jeux d’eau et était très cochonne. Elle était féminine tout en étant aussi ‘blouson noir » (elle avait une moto). C’était à première vue le type « butch » dont plusieurs de ces dames raffolaient. Louise était totalement soumise à Bernadette qui la prenait soit clito à clito, soit avec un gode-ceinture ou un gode-cul. Bien qu’elle soit dominatrice, Bernadette n’était pas jalouse avec ses amantes mais avait la réputation de vouloir être la préférée des dames âgées de qui elle recevait de petits cadeaux. La venue soudaine de Mariana la contrariait un peu. Madame de Girardin s’en était aperçue et prévoyait une rencontre « amicale » entre les deux jeunes femmes en présence des femmes plus matures. C’était cette rencontre qui était prévue pour le dimanche après-midi.
C’est Madame Armand qui avait amené Bernadette de Paris à Lyon. Madame Armand, que tout le monde appelait « Minou », avait été couturière pour les grands noms à Paris et Bernadette avait été mannequin à temps partiel pour les robes pour adolescentes ou femmes dans la vingtaine. Les salles de couture et d’habillage des grands couturiers étaient des nids de lesbiennes. Minou et Bernadette se retrouvèrent souvent au milieu d’orgies saphiques. Finalement, quand Minou décida de retourner à Lyon, elle amena Bernadette avec elle.
Ce dimanche, Madame de Girardin, qui s’appelait Manon, rassembla trois couples de femmes plus âgées, en plus de Minou, pour assister à la « rencontre érotique » entre Mariana et Bernadette. Les deux s’étaient envoyées des mots d’amour par personnes interposées mais ne s’étaient jamais vues. Ça promettait.
Les six femmes mûres étaient déjà à poil lorsque Bernadette arriva quelques minutes avant Mariana. Les deux jeunes femmes furent déshabillées immédiatement et amenées au salon de bois, ainsi nommé parce que le plancher était de bois vernis et sans tapis. Ce salon était réservé aux orgies même si le plancher était dur. Comme souvent les orgies produisaient beaucoup de liquides, on pouvait par la suite laver facilement le plancher. Manon était une femme pratique. Une seule précaution : il ne fallait pas glisser sur le liquide mais les participantes se retrouvaient habituellement étendues les unes sur les autres dans le temps de le dire.
Mariana et Bernadette se retrouvèrent debout et à poil à quelques mètres l’une de l’autre. Les deux avaient eu la consigne de se raser la motte, ce qu’elles avaient fait. Les deux femmes se rapprochèrent jusqu’à ce que leurs tétines se touchent. La bouche fermée, les deux visages se frottèrent l’un contre l’autre avec délicatesse. Mariana prit un lobe d’oreille de Bernadette entre ses lèvres. La grande Bernadette se pencha pour donner une série de baisers dans le cou de l’Italienne. Les deux lesbiennes s’embrassèrent sans ouvrir la bouche et sans se toucher la langue. Leurs nichons étaient durs comme le plancher et en érection. On pouvait voir quelques gouttes de cyprine qui roulaient à l’intérieur des cuisses des deux femmes pour enfin tomber sur leurs pieds.
Mariana recula d’un pas et mit sa main à plat sur le ventre de Bernadette qui mit ses doigts contre la fente du vagin de Mariana. Mariana l’imita et les deux jeunes filles entamèrent une masturbation mutuelle très érotique. Elles entrouvrirent les lèvres du vagin de l’autre et mirent un doigt dans la fente. Elles se pénétrèrent de quelques centimètres et le va et vient les firent écarter un peu les jambes pour retrouver leur équilibre. Elles fermaient les yeux de plaisir et se mordaient la lèvre inférieure pour ne pas jouir. Ce fut Mariana qui, la première, sortit son doigt et le remonta lentement vers le clito de sa compagne. Bernadette l’imita. Les deux jeunes lesbiennes étaient visiblement en érection. On n’entendait même pas respirer les femmes plus âgées qui regardaient le spectacle. Les deux femmes roulaient le clito de l’autre doucement entre le pouce et l’index. Des spectatrices voyaient les muscles des fesses des deux filles se contracter pour ne pas exploser de jouissance. Bernadette ouvrit ses cuisses et plia les genoux. Elle défiait Mariana qui fit de même. Qui fut la première à gicler ? Tout le monde avait son opinion. Les deux lesbiennes s’aspergèrent le ventre et les cuisses de cyprine, en deux ou trois jets. Les spectatrices applaudirent. Bernadette ouvrit ses lèvres la première et fit un grand sourire à Mariana. L’Italienne se mit à genoux et ouvrit la bouche pour recevoir le jet de pisse de Bernadette. Des cris de joie et des rires fusèrent des spectatrices. Mariana en avait partout dans les cheveux, les seins, et bien sûr dans la bouche. Bernadette s’agenouilla et Mariana se leva pour lui pisser au visage. Les deux femmes avaient gardé une partie du précieux liquide dans leur bouche et, lorsqu’elles se relevèrent, elles s’embrassèrent la bouche grande ouverte, le surplus leur coulant sur les seins et le reste dans la gorge.
Avant la rencontre, Manon avait annoncé que les jeunes filles n’avaient pas pris de douche. Mais la plupart des invitées n’y firent pas attention. C’est Bernadette qui s’agenouilla la première derrière Mariana et lui ouvrit les fesses. Elle plongea sa langue dans la rondelle plissée de son amante et la retourna plusieurs fois dans l’orifice. Mariana se pencha le haut du corps pour donner plus d’espace à sa partenaire qui la lécha à répétition. Puis ce fut au tour de Mariana de pénétrer le trou des petites fesses de Bernadette. Elle s’y adonna avec entrain et il fut difficile de dire laquelle des deux avaient le mieux lécher le cul de l’autre.
Les deux jeunes femmes tombèrent dans les bras l’une de l’autre, mais pour quelques secondes seulement. Les autres femmes, excitées par la performance et les odeurs, se jetèrent sur les deux jeunes femmes en oubliant totalement leur rang et leurs manières. Manon et Minou leur laissèrent la place et se retrouvèrent en 69 sur un canapé. Mariana et Bernadette avaient trois femmes déchaînées sur chacune d’elle mais elles gardèrent leur calme et participèrent à la petite orgie qu’elles avaient elles-mêmes provoquée.
Mariana fut incluse dans une chaîne « bouche à chatte » entre elle et les trois femmes mûres. Aussitôt qu’une participante avait joui, elle se retournait ou grimpait sur la partenaire la plus proche pour reconstituer une nouvelle chaîne, pour retrouver ainsi une nouvelle moule et se faire sucer par une bouche qu’on n’avait pas écoutée depuis longtemps. Pour Bernadette, ce fut beaucoup plus de travail. Les trois femmes se placèrent sur le dos côte à côte, écartèrent les cuisses et se firent monter chacune à leur tour par la jeune Bernadette. L’ancienne mannequin tenta de faire un bout avec chacune mais ça ne fonctionnait pas. Il fallait se frotter avec une à la fois. Elle prit une femme puis la monta jusqu’à l’orgasme, puis la seconde, puis finalement la troisième qui s’était déjà masturbée, faute de pouvoir attendre son tour.
Madame de Girardin délaissa son amoureuse pour un moment et reconduisit les six femmes à l’entrée de sa maison mais non sans avoir demandé à chacune leur carte de visite. Elle remonta et se joignit enfin à Minou et aux deux jeunes femmes qui étaient exténuées.
Madame de Girardin, qui était redevenue Manon, et la belle Mariana ne s’étaient jamais même embrassées, encore moins sucées ou frottées. Minou et la grande Bernadette (elles avaient tout fait ensemble) s’éloignèrent sur la pointe des pieds et fermèrent la porte de la salle de bain derrière elles. Manon et Mariana étaient seules sur le canapé.
Mariana avait l’air d’un chiffon qu’on avait utilisé pour nettoyer une salle de bain. Elle était échevelée, et surtout couverte de cyprine, de pisse, de sueurs, et de salive. Elle avait tout reçu et tout donné avec Bernadette surtout, puis avec les trois femmes. Manon aimait les odeurs et elle en avait pour son argent. Manon s’était aussi rasée. Même après tous ces ébats, Mariana et Manon voulaient bouffer tout ce qu’il y avait au menu.
Elles s’installèrent en 69 comme deux couventines en chaleur et se sucèrent lentement, puis plus rapidement jusqu’à l’orgasme. Elles avaient brisé la glace. Manon n’avait pas pris de douche non plus et Mariana fut la première à la coincer contre le bout du canapé et à pousser son visage reluisant de liquides séchés entre les deux grosses fesses de sa nouvelle amante. Elle atteignit son but facilement et se délecta tout en faisant hurler Manon de plaisir défendu. L’Italienne se prêta ensuite au même jeu mais en étant celle qui recevait les attentions bien ciblées de la fameuse Madame de Girardin. Celle-ci n’en était pas à sa première rondelle.
Manon monta ensuite Mariana et les deux moules rasées se frottèrent pendant que les deux lesbiennes s’embrassaient comme de jeunes mariées. Ce fut leur orgasme le plus fort. Manon avait par ce geste également pris possession, d’une certaine façon, de la petite Italienne. Mariana était admise dans le cercle des bénéficiaires et des soumises. Elle l’avait compris par ce baiser double. Elle était heureuse.
Mariana regarda la porte fermée de la salle de bain.
« Elles veulent être seules », dit Manon en faisant semblant de rougir.
Manon prit la main de sa nouvelle amoureuse et l’amena dans une autre salle de bain un étage au-dessus. Elles s’étendirent dans le bain vide pour vider leur vessie l’une sur l’autre.
On les abandonne à leurs plaisirs….au moins pour le moment.
À SUIVRE
Louise arriva tard chez Mariana mais elle avait mis du temps à retrouver son gode-cul que Madame de Girardin lui avait donné. Mariana fut soulagée de voir que le diamètre était plus petit que celui qu’elle avait et aussi que la forme était plutôt ovale que circulaire. C’était un bel instrument que Madame avait subtilisé d’un bordel pour femmes à Paris. Louise ne pouvait pas rester car elle avait une amoureuse qui arrivait très bientôt. Mariana et Louise étaient toutes les deux vagabondes et se jetaient sur le dos avec la première venue.
N’importe, Mariana promit de prendre bien soin du gode et de le remettre à Louise aussitôt qu’elle s’était habituée à son maniement.
L’amoureuse que Louise attendait se prénommait Bernadette et était une des favorites de Madame de Girardin mais surtout l’amante attitrée de Madame Armand. Bernadette était très dominatrice, peut-être la plus agressive parmi les jeunes lesbiennes qui gravitaient autour des femmes plus âgées.
Bernadette était grande et svelte. Une brune de presque 30 ans avec les cheveux assez courts. Elle avait de minuscules nichons très pointus et de petites fesses fermes et musclées. Comme Louise elle aimait les jeux d’eau et était très cochonne. Elle était féminine tout en étant aussi ‘blouson noir » (elle avait une moto). C’était à première vue le type « butch » dont plusieurs de ces dames raffolaient. Louise était totalement soumise à Bernadette qui la prenait soit clito à clito, soit avec un gode-ceinture ou un gode-cul. Bien qu’elle soit dominatrice, Bernadette n’était pas jalouse avec ses amantes mais avait la réputation de vouloir être la préférée des dames âgées de qui elle recevait de petits cadeaux. La venue soudaine de Mariana la contrariait un peu. Madame de Girardin s’en était aperçue et prévoyait une rencontre « amicale » entre les deux jeunes femmes en présence des femmes plus matures. C’était cette rencontre qui était prévue pour le dimanche après-midi.
C’est Madame Armand qui avait amené Bernadette de Paris à Lyon. Madame Armand, que tout le monde appelait « Minou », avait été couturière pour les grands noms à Paris et Bernadette avait été mannequin à temps partiel pour les robes pour adolescentes ou femmes dans la vingtaine. Les salles de couture et d’habillage des grands couturiers étaient des nids de lesbiennes. Minou et Bernadette se retrouvèrent souvent au milieu d’orgies saphiques. Finalement, quand Minou décida de retourner à Lyon, elle amena Bernadette avec elle.
Ce dimanche, Madame de Girardin, qui s’appelait Manon, rassembla trois couples de femmes plus âgées, en plus de Minou, pour assister à la « rencontre érotique » entre Mariana et Bernadette. Les deux s’étaient envoyées des mots d’amour par personnes interposées mais ne s’étaient jamais vues. Ça promettait.
Les six femmes mûres étaient déjà à poil lorsque Bernadette arriva quelques minutes avant Mariana. Les deux jeunes femmes furent déshabillées immédiatement et amenées au salon de bois, ainsi nommé parce que le plancher était de bois vernis et sans tapis. Ce salon était réservé aux orgies même si le plancher était dur. Comme souvent les orgies produisaient beaucoup de liquides, on pouvait par la suite laver facilement le plancher. Manon était une femme pratique. Une seule précaution : il ne fallait pas glisser sur le liquide mais les participantes se retrouvaient habituellement étendues les unes sur les autres dans le temps de le dire.
Mariana et Bernadette se retrouvèrent debout et à poil à quelques mètres l’une de l’autre. Les deux avaient eu la consigne de se raser la motte, ce qu’elles avaient fait. Les deux femmes se rapprochèrent jusqu’à ce que leurs tétines se touchent. La bouche fermée, les deux visages se frottèrent l’un contre l’autre avec délicatesse. Mariana prit un lobe d’oreille de Bernadette entre ses lèvres. La grande Bernadette se pencha pour donner une série de baisers dans le cou de l’Italienne. Les deux lesbiennes s’embrassèrent sans ouvrir la bouche et sans se toucher la langue. Leurs nichons étaient durs comme le plancher et en érection. On pouvait voir quelques gouttes de cyprine qui roulaient à l’intérieur des cuisses des deux femmes pour enfin tomber sur leurs pieds.
Mariana recula d’un pas et mit sa main à plat sur le ventre de Bernadette qui mit ses doigts contre la fente du vagin de Mariana. Mariana l’imita et les deux jeunes filles entamèrent une masturbation mutuelle très érotique. Elles entrouvrirent les lèvres du vagin de l’autre et mirent un doigt dans la fente. Elles se pénétrèrent de quelques centimètres et le va et vient les firent écarter un peu les jambes pour retrouver leur équilibre. Elles fermaient les yeux de plaisir et se mordaient la lèvre inférieure pour ne pas jouir. Ce fut Mariana qui, la première, sortit son doigt et le remonta lentement vers le clito de sa compagne. Bernadette l’imita. Les deux jeunes lesbiennes étaient visiblement en érection. On n’entendait même pas respirer les femmes plus âgées qui regardaient le spectacle. Les deux femmes roulaient le clito de l’autre doucement entre le pouce et l’index. Des spectatrices voyaient les muscles des fesses des deux filles se contracter pour ne pas exploser de jouissance. Bernadette ouvrit ses cuisses et plia les genoux. Elle défiait Mariana qui fit de même. Qui fut la première à gicler ? Tout le monde avait son opinion. Les deux lesbiennes s’aspergèrent le ventre et les cuisses de cyprine, en deux ou trois jets. Les spectatrices applaudirent. Bernadette ouvrit ses lèvres la première et fit un grand sourire à Mariana. L’Italienne se mit à genoux et ouvrit la bouche pour recevoir le jet de pisse de Bernadette. Des cris de joie et des rires fusèrent des spectatrices. Mariana en avait partout dans les cheveux, les seins, et bien sûr dans la bouche. Bernadette s’agenouilla et Mariana se leva pour lui pisser au visage. Les deux femmes avaient gardé une partie du précieux liquide dans leur bouche et, lorsqu’elles se relevèrent, elles s’embrassèrent la bouche grande ouverte, le surplus leur coulant sur les seins et le reste dans la gorge.
Avant la rencontre, Manon avait annoncé que les jeunes filles n’avaient pas pris de douche. Mais la plupart des invitées n’y firent pas attention. C’est Bernadette qui s’agenouilla la première derrière Mariana et lui ouvrit les fesses. Elle plongea sa langue dans la rondelle plissée de son amante et la retourna plusieurs fois dans l’orifice. Mariana se pencha le haut du corps pour donner plus d’espace à sa partenaire qui la lécha à répétition. Puis ce fut au tour de Mariana de pénétrer le trou des petites fesses de Bernadette. Elle s’y adonna avec entrain et il fut difficile de dire laquelle des deux avaient le mieux lécher le cul de l’autre.
Les deux jeunes femmes tombèrent dans les bras l’une de l’autre, mais pour quelques secondes seulement. Les autres femmes, excitées par la performance et les odeurs, se jetèrent sur les deux jeunes femmes en oubliant totalement leur rang et leurs manières. Manon et Minou leur laissèrent la place et se retrouvèrent en 69 sur un canapé. Mariana et Bernadette avaient trois femmes déchaînées sur chacune d’elle mais elles gardèrent leur calme et participèrent à la petite orgie qu’elles avaient elles-mêmes provoquée.
Mariana fut incluse dans une chaîne « bouche à chatte » entre elle et les trois femmes mûres. Aussitôt qu’une participante avait joui, elle se retournait ou grimpait sur la partenaire la plus proche pour reconstituer une nouvelle chaîne, pour retrouver ainsi une nouvelle moule et se faire sucer par une bouche qu’on n’avait pas écoutée depuis longtemps. Pour Bernadette, ce fut beaucoup plus de travail. Les trois femmes se placèrent sur le dos côte à côte, écartèrent les cuisses et se firent monter chacune à leur tour par la jeune Bernadette. L’ancienne mannequin tenta de faire un bout avec chacune mais ça ne fonctionnait pas. Il fallait se frotter avec une à la fois. Elle prit une femme puis la monta jusqu’à l’orgasme, puis la seconde, puis finalement la troisième qui s’était déjà masturbée, faute de pouvoir attendre son tour.
Madame de Girardin délaissa son amoureuse pour un moment et reconduisit les six femmes à l’entrée de sa maison mais non sans avoir demandé à chacune leur carte de visite. Elle remonta et se joignit enfin à Minou et aux deux jeunes femmes qui étaient exténuées.
Madame de Girardin, qui était redevenue Manon, et la belle Mariana ne s’étaient jamais même embrassées, encore moins sucées ou frottées. Minou et la grande Bernadette (elles avaient tout fait ensemble) s’éloignèrent sur la pointe des pieds et fermèrent la porte de la salle de bain derrière elles. Manon et Mariana étaient seules sur le canapé.
Mariana avait l’air d’un chiffon qu’on avait utilisé pour nettoyer une salle de bain. Elle était échevelée, et surtout couverte de cyprine, de pisse, de sueurs, et de salive. Elle avait tout reçu et tout donné avec Bernadette surtout, puis avec les trois femmes. Manon aimait les odeurs et elle en avait pour son argent. Manon s’était aussi rasée. Même après tous ces ébats, Mariana et Manon voulaient bouffer tout ce qu’il y avait au menu.
Elles s’installèrent en 69 comme deux couventines en chaleur et se sucèrent lentement, puis plus rapidement jusqu’à l’orgasme. Elles avaient brisé la glace. Manon n’avait pas pris de douche non plus et Mariana fut la première à la coincer contre le bout du canapé et à pousser son visage reluisant de liquides séchés entre les deux grosses fesses de sa nouvelle amante. Elle atteignit son but facilement et se délecta tout en faisant hurler Manon de plaisir défendu. L’Italienne se prêta ensuite au même jeu mais en étant celle qui recevait les attentions bien ciblées de la fameuse Madame de Girardin. Celle-ci n’en était pas à sa première rondelle.
Manon monta ensuite Mariana et les deux moules rasées se frottèrent pendant que les deux lesbiennes s’embrassaient comme de jeunes mariées. Ce fut leur orgasme le plus fort. Manon avait par ce geste également pris possession, d’une certaine façon, de la petite Italienne. Mariana était admise dans le cercle des bénéficiaires et des soumises. Elle l’avait compris par ce baiser double. Elle était heureuse.
Mariana regarda la porte fermée de la salle de bain.
« Elles veulent être seules », dit Manon en faisant semblant de rougir.
Manon prit la main de sa nouvelle amoureuse et l’amena dans une autre salle de bain un étage au-dessus. Elles s’étendirent dans le bain vide pour vider leur vessie l’une sur l’autre.
On les abandonne à leurs plaisirs….au moins pour le moment.
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